INDEPENDANCE DAY

 

Auteur : Marie-Laure

Email : Fdixies@aol.com

Résumé : alors que SGC s’apprête à célébrer la fête de l’indépendance, un jeune garçon arrive à la base pour leur demander de l’aide.

Genre : aventure, action, suspense, romance jack/sam. (et un peu d’humour aussi)

Note : les personnages de ce fanfic ne m’appartiennent pas (sauf le gamin), je n’ai reçu aucune rémunération pour cela et ce n’est que par simple distraction que je l’ai écris.

Voilà, c’est mon quatrième fanfic et j’espère qu’il vous plaira et vous fera passer un bon moment.

 

 

QUELQUE PART DANS UNE GALAXIE, SUR P2X728

 

L’équipe de SG1 traversa la porte des étoiles. Ils se retrouvèrent sur une planète où tout semblait calme, comme leur avait indiqué la sonde précédemment envoyée. Teal’k tournait aux alentours pour prévenir d’une menace éventuelle. Daniel se mit à chercher parmi des ruines toute chose qui pourrait le renseigner sur la civilisation de ce monde. Quand à Sam, elle installait toute sorte d’appareils scientifiques. Jack, qui bien sûr n’y comprenait rien, la regardait faire, admiratif tout de même, en gardant un œil sur ses coéquipiers.

O’Neill : rien en vue, Teal’k ?

Teal’k : non, colonel O’Neill.

O’Neill : ok, et vous Daniel ? quelque chose d’intéressant dans ces poubelles?

Daniel : ce ne sont pas des poubelles, Jack, mais des ruines ! et pour l’instant, rien.

O’Neill : des ruines, c’est ca, pourquoi, ce n’est pas ce que j’ai dit ?

Daniel ne répondit pas à la remarque ironique de Jack, qui comme à son habitude, essayait de le taquiner.

O’Neill : et vous, Carter, vous avez trouvé quoi ?

Carter : et bien, rien de bien différent à notre planète, mon colonel. Le taux de relativité et la masse gravitationnelle…..

O’Neill : stop ! ! j’ai compris, je ne vous demande plus rien, Carter, vous ferez comme d’habitude votre rapport de retour sur Terre…

Carter : et comme d’habitude vous ne le lirez pas, mon colonel.

O’Neill : moi ? ? mais vous savez bien que c’est faux, Carter.

Sam lui lança un regard méchant de sorte qu’il dise la vérité.

O’Neill : ah ba en fait, si, vous avez raison, je ne les lis jamais. Mais j’écoute vos exposés aux débriefings…….enfin, un peu….bon, ok, mais vous savez que je n’y comprends rien à vos théories !

Carter : mais je ne vous reproche rien, mon colonel, c’est juste que je m’amuse à vous faire dire la vérité.

O’Neill : c’est la dernière fois que vous me prendrez au piège, major.

Teal’k, revenu près d’eux : je ne vois rien de suspect ou d’inquiétant, colonel O’Neill.

O’Neill : c’est génial, ca Teal’k. Bon, et bien pourquoi il n’y a personne ici ?

Daniel : je ne sais pas, Jack. Peut être les habitants ont-ils eu peur ?

Teal’k : mais de quoi, docteur Jackson ?

Daniel : aucune idée, mais ce qui est sûr, c’est que ça fait bien longtemps qu’ils ne vivent plus ici.

Carter : je ne reçois aucunes ondes de nul part, mon colonel.

O’Neill : ce qui veut dire ?

Carter : qu’il n’y a pas non plus de population sur……disons des centaines de kilomètres, voir plus.

O’Neill : bon, en résumé, on est au beau milieu d’un désert sur une planète qui a été fuit pour je ne sais quelle raison . C’est bien ça ?

Teal’k : cette définition de la situation me paraît tout à fait exact, O’Neill.

O’Neill : merci, Teal’k.

Carter : que faisons nous, mon colonel ?

O’Neill : on rentre, à moins que notre cher archéologue reconvertit en éboueur est encore envie de faire les poubelles ?

Daniel, pour répondre à la vanne de Jack : ah bon, alors je compte " cher " à vos yeux ? Mais dites moi, ce sont des aveux qui me vont droit au cœur.

O’Neill : le jours où un truc pareil arrivera, Daniel, c’est soit que vous serez sur le point de mourir et qu’il faudra que je vous dise une chose gentille, soit je serais sous l’effet d’une drogue.

Sur cette dernière phrase, qui fit sourire Carter, Jack tourna les tallons et ordonna à Teal’k de composer les coordonnées de la Terre.

Lorsque SG1 rentra à la base, le général Hammond vint à leur rencontre.

Hammond : Déjà de retour, colonel O’Neill ?

O’Neill : que voulez vous qu’on trouve en plein désert ?

Hammond : je vois, la mission a été un échec. Alors, passez à l’infirmerie et rendez vous dans 1 heure à la salle de briefing.

O’Neill : bien général. Tout bas à Sam : vous savez ce que je déteste le plus dans ces missions, encore plus que les Goaul’d ?

Carter : non, mon colonel ?

O’Neill : les visites médicales !

Sur le beau sourire de Sam, les quatre équipiers de SG1 se rendirent à l’infirmerie.

 

Frasier, à Sam : Vous me semblez en parfaite santé, Sam. C’était comment cette dernière mission ?

Carter : on était envoyé au milieu d’un désert, alors, pensez dont !

Frasier : le colonel O’Neill n’a pas du être ravis !

Carter : c’est le moins qu’on puisse dire, et c’est encore ce pauvre Daniel qui a tout pris.

Frasier : en parlant de Jack, est-ce qu’il va venir au bal de la fête d’indépendance ?

Carter : le 4 juillet ? eh bien, je n’en ai aucune idée, à vrai dire.

Frasier : il ne vous a pas encore invité ?

Carter : et pourquoi le ferait il ?

Frasier : et bien, vous le savez mieux que moi, Sam. Parce que vous lui plaisez.

Carter : pardon, Janet, j’ai du mal à vous suivre ? ?

Frasier : je vois que vous restez bornée ! de toute façon, vous verrez que j’ai raison, je suis sûre qu’il va venir vous demander de l’accompagner d’ici peu.

Carter : ca m’étonnerais, ce n’est pas son genre de venir aux soirées de la base.

Frasier : on parie ?

Carter : d’accord. Celle qui perd paye le restaurant à la gagnante. Ok ?

Frasier : ok !

Carter : bon, je dois y aller, Janet. A plus tard, et passez le bonjour à Cassandra.

Sur ces derniers mots, Sam se dirigea vers la porte quand Janet lui dit :

Frasier : ah au fait, Sam. Mon restaurant préféré, c’est celui où nous étions allées samedi dernier.

Carter lui fit un petit sourire et sortit.

Le débriefing fut très rapide car peu d’éléments étaient venu l’alimenter, étant donné les résultas de la mission. P2X728 fut classée dans les planètes sans intérêt et sans danger.

A la fin de la réunion, le général Hammond en profita pour rappeler la soirée organisée à la base en l’honneur de l’indépendance américaine.

Hammond : j’espère que vous serez tous présents samedi prochain, c’est à dire après demain, pour la petite fête.

Daniel : bien sûr, général, vous pouvez compter sur moi.

Carter : moi aussi, mon général, je serais présente.

Teal’k : je viendrai moi aussi, général Hammond, soyez en rassuré. C’est un honneur pour moi que de célébrer une de vos victoires.

Le général se retourna vers Jack, qui avait la tête baissée en espérant que personne ne lui demande.

Hammond : et vous, colonel, serez vous de la partie ?

O’Neill : ben, c’est à die que, voyez vous…. Enfin, plutôt…..

Hammond : ce n’est pas clair, tout ca. Oui ou non, colonel ?

Daniel : ca serait dommage que vous ne soyez pas là pour nous faire profiter de votre humour, Jack !

O’Neill : vous tenez vous aussi à moi, à ce que je vois, Daniel, des aveux ?

Daniel : ne détournez pas le sujet, vous venez , n’est ce pas, c’est un jour de gloire pour la nation.

Carter : Daniel à raison, mon colonel, sans vous, la fête sera moins bien.

Teal’k : je n’image pas que vous puissiez être absent pour ce jour si important pour votre nation , colonel O’Neill !

Hammond : alors, colonel, oui ou non ?

O’Neill, forcé : bon, ca va ca va, je viendrais, c’est bon.

Hammond : Ravis de le savoir, O’Neill. L’équipe sera au complet.

Carter, toute souriante : vous ne le regretterez pas, mon colonel.

Daniel : on va danser, chanter, s’amuser…. on fera tout ca ensemble, Jack !

O’Neill : oh si, Carter, je le regrette déjà……

Hammond : sur ce, disposez !

Les membres de SG1 repartirent tous à leur occupation. Carter s’était empressée de retourner dans son laboratoire afin de peaufiner ses recherches sur le naquada. Teal’k était à sa méditation. Quand à Daniel, il s’évadait dans des bouquins d’histoire ancienne, d’écritures antiques, et autres légendes égyptiennes. Jack, lui, après être passé manger un morceau au ness, errait dans les couloirs, les mains dans les poches.

En passant devant le bureau de Daniel, il décida d’y entrer.

O’Neill : quoi de neuf, Daniel ?

Daniel : rien qui vous intéresserait, Jack. Mais j’imagine que vous n’êtes pas venu pour parler histoire ?

O’Neill : c’est vrai. En fait, je voulais savoir s’il faut venir accompagné à la soirée ?

Daniel : et bien ce n’est pas une obligation…..

O’Neill : mais c’est mieux ?

Daniel : en effet.

O’Neill : vous y allez avec qui vous ?

Daniel : avec Cassandra, elle a tenu à ce que je sois son cavalier, c’est qu’elle a 14 ans maintenant ! et Teal’k sera accompagné par Janet.

O’Neill : et Carter ?

Daniel : Sam ? oh, je ne sais pas, je pense qu’elle est encore libre. En fait, je voulais vous la laisser, comme je pense que….

O’ Neill : vous pensez quoi ?

Daniel : que ce serait mieux pour vous, vous deux, quoi. Ensemble.

O’Neill : faites moi plaisir, Daniel, arrêtez de penser.

Après cela, Jack s’en alla. Il était en fait heureux de savoir que Sam était encore libre, enfin, il l’espérait. Il se décida donc à aller l’inviter, avant que cela ne soit trop tard.

Il trouva Sam dans son laboratoire, entrain de tapoter sur son ordinateur.

O’Neill : qu’est-ce que vous faites, Carter ?

Carter, qui sursauta : ah ! c’est vous, colonel ?

O’Neill : je ne voulais pas vous faire peur, désolé.

Carter :ce n’est rien, c’est que j’étais tellement concentrée sur ma nouvelle théorie…

O’Neill : ah, c’est bien ca.

Un long silence s’installa soudainement. Carter fit la première à le briser.

Carter : vous vouliez, mon colonel ?

O’Neill : ah oui, heu…..vous y allez avec qui à la soirée ?

Carter :à vrai dire, je n’ai pas encore choisi mon cavalier.

O’Neill : dans ce cas, pourquoi ne pas y aller ensemble, vous et moi ?

Carter : j’en serais enchantée, mon colonel. Merci beaucoup.

O’Neill : un râteau d’éviter ! c’est moi qui vous remercie, Carter. Faut que je passe vous prendre chez vous, je présume ?

Carter : si ca ne vous dérange pas ?

O’Neill : du tout, alors, disons, 20H . Ca vous va ?

Carter : très bien, mon colonel. 20H à mon appartement.

O’Neill : vous savez que demain, c’est journée repos ?

Carter : oui, je sais, mon colonel. Mais je serais tout de même à la base, il faut que je finisse ma théorie.

O’Neill : je m’en doutais. Moi, j’ai quelque rangement à faire chez moi. Bon, et bien je vous dit à samedi soir, 20H.

Carter : à samedi, mon colonel.

Jack quitta le laboratoire, fier de lui, pensant : elle a acceptée, mais c’est génial ca, peut être que cette soirée ne va pas être si nulle que ca, après tout.

En même tant, Sam se disait : je n’aurais vraiment pas cru que Jack m’inviterais. La soirée va être excellente, je le sens. J’ai hâte d’y être.

Le lendemain, Sam était effectivement à la base, qu’en fait, elle n’avait pas quitté. Daniel, lui, était parti en ville, à la bibliothèque, à la recherche de quelques textes égyptiens qui pourraient l’aider dans ses nouvelles traductions. Teal’k était retourné sur sa planète voir son fils et ses amis. Quand à Jack, il effectuait un grand nettoyage de printemps dans sa maison.

La journée se passa bien pour chacun d’eux.

Le samedi, c’était enfin le grand jour. Sam et Daniel étaient revenu à la base pour les préparatifs de la fête, accompagnés de Janet et Cassandra. Il y avait beaucoup à faire : les ballons, les banderoles, les confettis…. Bref, ils en avaient eu pour toute l’après midi. Le soir venu, chacun rentrait chez soi afin de se faire une petite beauté.

Sam attendait avec impatiente 20H, l’heure où Jack venait la chercher, telle cendrillon attendant son prince.

Quelqu’un frappa a la porte. Sam, pas encore tout à fait prête s’empressa d’aller ouvrir.

Carter : ah, c’est vous, mon colonel ! entrez !

O’Neill : bonsoir Carter, je ne suis pas trop en avance ?

Il avait 10 minutes d’avance, mais ne tenait plus en place à l’idée de retrouver Carter chez elle, dans son appartement coquet.

Carter : non, bien sûr que non, ce n’est pas grave, et à vrai dire, c’est moi qui suis en retard.

Bien qu’elle savait que cela était faux, elle préférais rejeter la faute sur elle.

Carter : installez vous, je fini de me préparer, j’en ai pour dix petites minutes.

Sam parti dans la salle de bain tandis que Jack naviguait dans le salon, observant tous les cardes et bibelots entreposés sur le bahut.

Moins de dix minutes plus tard, Sam sorti fin prête , surprenant Jack qui ne l’avait pas vu venir.

Carter : voilà, mon colonel, je suis prête ! ca n’a pas été trop long au moins ?

A sa vue, Jack eu un léger frisson. Elle était magnifiquement habillée d’une grande robe bleu nuit de soirée, ses cheveux fraîchement lavés et coiffés, ses petits souliers en harmonie avec sa robe…. Bref, elle était parfaite. Elle tendait un collier à Jack.

Carter : pouvez vous me passer ca au cou, s’il vous plaît mon colonel ?

O’Neill : bien sûr. Il lui accrocha le collier au cou et la retourna vers lui. Vous êtes magnifique, Carter, c’est comme ca que vous devriez venir en mission, nous n’aurions aucun problème de diplomatie, j’en suis sûr.

Carter, souriante et gênée : merci, mon colonel, votre costume est aussi très élégant.

O’Neill : mouai, je n’ai trouvé que ca. Ah oui, au fait, si on oubliait les " mon colonel " ?

Carter : bien, jack, mais alors appelez moi Sam. Bon, nous allons êtres en retard si nous continuons à papoter.

Sur ce, ils montèrent dans la voiture de Jack et se rendirent à la soirée de la base.

Lorsqu’ils arrivèrent, tous les autres étaient déjà présents, ce qu’ils leur valu une petite remarque de Daniel.

Daniel : bonsoir tout le monde, enfin vous voilà. Vous êtes en retard, qu’est-ce que vous pouviez bien faire ?

O’Neill : on a fait un ping-pong, c’était marrant !

Daniel : ah oui ?

Cassandra arrivait derrière Daniel en se pendant à son cou.

Cassie : ah, vous voilà ! ca va Sam, et toi Jack ?

O’Neill et Carter en même temps : bien, merci.

Cassandra embarqua Daniel pour lui montrer des pas de danse.

Teal’k vint à son tour saluer Jack et Sam accompagné de Janet et du général.

Teal’k : bonsoir, colonel et bonsoir major.

O’Neill : un simple " jack " suffira, Teal’k, et pour elle " Sam ".

Teal’k : comme vous le souhaitez, jack.

Janet : vous êtes venu avec jack, alors ?

Carter : comme vous le voyez.

Janet : alors, réservez pour vendredi soir, ca vous va ? vous connaissez l’adresse.

Carter :ok, Janet.

O’Neill, largué : on peut savoir de quoi vous parlez ? ?

Carter, lui faisant un clin d’œil : secret féminin, jack.

La musique commença a se faire entendre.

Janet : venez Teal’k, vous êtes mon chevalier servant et je compte bien en profiter. Dansons.

Teal’k : mais je ne sais pas, Janet.

O’Neill : ayez confiance, Teal’k, je suis sûr que c’est un bon professeur.

Teal’k et Janet partirent sur la piste de danse, où se trouvaient déjà Daniel et Cassie.

Hammond : bon, et bien je vous souhaite une bonne soirée. Je crois que vais m’adonner à quelques pas de danse moi aussi.

Le général s’en alla à la recherche d’une cavalière.

O’Neill : il y a un beau banquet la bas, qui ne me laisse pas indifférent. Je vais aller y faire un tour, vous venez ?

Carter : je vous suis, jack.

Ils dégustèrent à presque toutes les bonnes choses qu’avaient préparé Janet et Sam.

O’Neill : hum….. ses toasts sont délicieux.

Carter : merci !

O’Neill : pourquoi ? C’est vous qui les avaient fait ?

Carter : oui, et ceux là c’est Janet.

O’Neill : mais vous êtes une formidable cuisinière, en plus d’être une ingénieuse scientifique.

Sam se mit à rougir et baissa la tête pour ne pas le montrer.

La soirée se déroula parfaitement bien. Tout le monde rigolait, chantait, s’amusait, dansait. Daniel, qui avait un peu bu, était même monté sur les tables pour faire un numéro de jonglage.

Lorsque minuit approcha, les slows commençaient leur série. On voyait différents couples se former pour l’occasion, comme Janet et Teal’k, se dernier qui semblait apprécier les fêtes terriennes, Cassie et Daniel, qui était maintenant complètement rond, ou bien Hammond et une de ses subalternes féminines.

O’Neill : vous dansez, Sam ?

Carter, ravis de la proposition : oui, Jack, allons y.

Ils se rendirent sur la piste, et Jack la colla à lui. Pour jouer le jeu, Sam mit ses bras autour de son cou. C’est ainsi qu’ils effectuaient de nombreux slows, corps contre corps. Chacun sentait la pression montée, et l’envie de s’avouer leurs sentiments réciproques. Mais il n’en fut rien, à la fin de la série, ils se séparaient et retournaient à leur place. Daniel, titubant, vint les rejoindre.

Daniel : bons….oir, les zamis !

O’Neill : vous avez bien reçu, Daniel !

Daniel : mais, …pas du tout ! j’ai zrien bu, ou presque. Zuste un tit verre ou deux !

O’Neill : ouai, mais tout dépend la taille du verre.

Daniel, tout bas à Jack : alors Zack, vous lui avez dit ?

O’Neill, surpris : pardon ? ?

Daniel, beaucoup plus fort cette fois : que vous l’aimez ! ! faites pas l’innocent, hein !

O’Neill : vous êtes vraiment saoul, Daniel.

Carter : qu’est-ce qu’il dit, jack ? De quoi il parle ?

O’Neill : ne faites pas attention, Sam, il a trop bu.

Daniel : pas du tout ! écoutez Zam, faut que ze vous dises que Zack, il est am…..

Jack lui mit la main sur la bouche et l’emmena dans les toilettes.

O’Neill : écoutez Daniel, vous êtes entrain de foutre ma soirée en l’air parce que vous avez trop bu. Alors, quand vous serez plus net, revenez !

Jack quitta les toilettes pour retourner à la salle, mais croisa Sam dans les couloirs, qui venait voir si tout allait bien.

Carter : comment va Daniel ?

O’Neill : écoutez, Sam, Daniel n’est vraiment pas bien, ne faites pas attention à ce qu’il dit. Il est entrain de se purger un peu.

Carter : ah, mais il voulait dire quoi ? et pourquoi vous avez arrêtez dans sa phrase ?

O’Neill, ne sachant plus quoi dire : et bien, heu… c’est qu’il se mêle toujours de ce qui ne le regarde pas ! c’est agaçant !

Carter : se mêler de quoi, Jack ?

O’Neill : écoutez, Sam, je dois vous dire une chose.

Carter, impatiente devant le silence de jack : quoi dont, jack ? je suis toute ouïe…

Ne sachant pas quoi dire, il l’empoigna par la taille de sorte à la coller à lui et l’embrassa.

Au début hésitante, elle lui rendit vite son baiser tendre et passionné.

O’Neill : comme ca, c’est plus explicite, non ?

Carter : il me semble, oui. C’est plus clair que des paroles, et plus agréable aussi.

O’Neill, content de sa réaction : et bien, on aurait tors de s’en priver, non ?

Carter : tu as tout à fait raison, jack.

Ils s’embrassaient encore et bien plus longtemps cette fois. Mais l’alerte vient rompre ce baiser.

TUT TUT TUT TUT

ALERTE ACTIVATION EXTERIEURE DE LA PORTE NON PROGRAMMEE

ALERTE ACTIVATION EXTERIEURE DE LA PORTE NON PROGRAMMEE

Carter : que se passe-t-il ?

O’Neill : je n’en sais rien, mais ca tombe au mauvais moment.

Daniel sortit à toute vitesse des toilettes, un peu remis de ses instants de folie. Il vit les deux amants encore enlacés.

Daniel : et bien, Jack, vous me remercierez plus tard, Jack…

Après la remarque de Daniel, ils s’empressaient d’aller à la salle des commandes.

Hammond : vous voilà ! quelqu’un essaie de passer la porte !

Carter : et qu’avez vous décidez, mon général ?

Hammond : pour l’instant, on a fermé l’iris, en attendant un signal.

O’Neill : mais toutes les équipes sont ici, alors, ca ne vient pas de chez nous.

Daniel : peut être les Tokra, ou un autre peuple….

Sergent aux commandes : mon général, nous avons un signal !

Hammond : et qu’est-ce dont, sergent ?

Sergent : c’est difficile à lire.

Daniel : laissez moi faire !

O’Neill : ca n’est peut être pas une bonne idée, ca Daniel !

Daniel : alors, il est écrit : " nous sommes pacifistes et demandons votre aide " !

Carter : mais qui ca peut bien être ?

O’Neill : peut être des gens pacifistes qui veulent qu’on les aide.

Tous le regardaient.

O’Neill : ca va, je disais ca pour détendre l’atmosphère.

Hammond : bon, ouvrez l’iris. Nous verrons bien. SG 3 et 4 , préparez vous en bas, armes aux poings.

Tous se positionnaient dans l’attente des visiteurs. Un jeune garçon d’une douzaine d’année traversa la porte. Les militaires attendaient la suite de l’escorte.

Garçon : je suis le seul, vous pouvez baisser vos armes, je ne vous veut aucun mal.

Hammond, descendu retrouver le garçon : qui est tu et d’où viens tu ?

Garçon : je me nomme Gull et je viens de la planète Mycrytzynon.

O’Neill : Mycry quoi ? ? ?

Gull : Mycrytzynon, ou P2X728, si vous préférez.

O’Neill : et bien, ca ne m’avance pas plus….

Carter : c’est la planète que nous avons visité avant hier, mon colonel.

O’Neill : ah, le désert vous voulez dire !

Daniel : et vous y habitez ?

Gull : exact. Depuis toujours.

Teal’k : pourtant, il n’y avait personne quand nous sommes venu.

Gull : nous vivons sous terre.

Daniel : pourquoi ?

Gull : les attaques des Goaul’d nous y obligent !

O’Neill : ca faisait longtemps qu’on n’avait pas entendu parler d’eux, tiens !

Carter : ils vous attaques ? et comment vous leur résistez ?

Gull : nous sommes enfouis sous terre, et nous sommes protégé par un bouclier énergétique.

Carter : c’est par ca que je ne recevais aucunes ondes…mais où est le problème alors ?

Gull : celui ci ne va pas tenir longtemps.

Daniel : combien de temps ?

Gull : deux jours au maximum.

O’Neill : pourquoi ne pas l’avoir dit quand nous étions la bas, on aurait gagné deux jours !

Gull : il fallait que je sois sûr que vos intentions étaient bonnes. Puis, j’ai du retrouver vos coordonnées.

Hammond : très bien, nous allons examiner votre requête. Montons dans la salle de briefing.

Une fois en haut, Gull leur expliqua plus clairement les problèmes rencontrés par son peuple.

Hammond : Nous sommes disposez à vous venir en aide, Gull.

O’Neill : là où il y a les Goaul’d, il y a SG1 pas loin.

Gull, à l’inverse de Sam qui souriait, n’avait pas comprit la réplique de jack.

O’Neill, en regardant Teal’k : vous êtes fait pour vous entendre vous deux, comme vous, il ne comprend rien à mes blagues !

Teal’k se contenta comme à son habitude de lever un sourcil.

Daniel : sur le chemin, il faudrait que vous m’expliquiez votre histoire et vos coutumes.

Gull : très bien, docteur Jackson.

Carter : mais dites moi, vous êtes une espèce de porte parole de votre monde ?

Gull : pas exactement, je suis le chef en fait !

O’Neill : wa ! quand je pense qu’à votre age vous en n’êtes même pas là, général ! !

Sam sourit une nouvelle fois à sa blague.

Hammond : j’espère que votre aide sera plus performante que vos blagues, colonel O’Neill, sinon, le peuple de Gull n’est pas sorti de l’auberge.

O’Neill : sans doute, général. Mais dites moi, il fait nuit ici, pas sur votre planète ?

Gull : non, chez moi, il fait jour la moitié du temps, qui correspond à une année solaire chez vous.

O’Neill : il fait nuit pendant un an ! c’est pire que les esquimaux !

Hammond : bon, sur ce, disposez. SG1, vous partirez dans 30 minutes.

Tous allaient se préparer. Comme à son habitude, jack grognait dans les vestiaires.

O’Neill : c’est pas vrai, on était bien, ici, à notre fête.

Daniel : je n’en doute pas jack, vous aviez l’air de bien vous amuser !

O’Neill : je ne vois pas de quoi vous voulez parler, Daniel. Dans l’état où vous étiez, c’est sûrement une hallucination.

Daniel : j’en doute, jack, je me rappelle très bien vous et Sam, bras dans les br…..

O’Neill, sur un ton ferme: stop ! Daniel ! vous dépassez les limites là ! Allons y !

Sam, qui était toute rouge, sorti la première pour échapper aux remarques de Daniel.

Devant la porte, SG1 s’apprêtait à partir en mission, avec Gull.

Hammond, du haut de la salle des commandes : prêt, allez y et bonne chance.

SG 1 exécutait.

De l’autre côté de la porte, le même décors que l’autre fois : désert.

Gull marchait quelques pas et s’agenouilla. Il tendit la main et brandit une espèce de boîtier. Une porte souterraine s’ouvra automatiquement.

Gull : venez, par ici.

O’Neill, sous le regard plein de reproche de Daniel : ben quoi, je pouvais pas savoir !

Daniel : si vous nous aviez laissé le temps, on aurait sans doute trouvé, jack !

Carter : ce n’est pas le moment des engueulades !

Teal’k : le major Carter a raison, colonel, allons y !

Ils descendirent plusieurs mètres en profondeur, avant d’arriver au camps de Gull.

Gull : voilà, vous êtes chez nous !

O’Neill : c’est sympa, sombre, mais sympa.

Carter : je ne vois pas votre bouclier ?

Gull : il n’est pas actuellement en marche, nous économisons l’énergie.

Daniel : puis je discuter avec vos compagnons, Gull ?

Gull : bien sûr, docteur Jackson.

Ce dernier s’empressa d’aller retrouver les amis de Gull et bavarder avec eux. Pendant ce temps, Teal’k devait faire face aux regard inquiets des locataires.

Gull : ne vous inquiétez pas, il est avec nous, c’est un jaffa rebelle.

Après avoir dîner autour d’une bonne table, SG 1 et Gull, ainsi que quelques uns de ses amis guerriers, envisagèrent un plan.

Gull : que pouvons nous faire ?

O’Neill : vous n’avez pas d’armes ?

Guerrier : nous ne sommes pas beaucoup avancé.

O’Neill, tout bas à Sam : ca fait plaisir de rencontrer un peuple qui ne nous ridiculise pas !

Gull : vous en avez vous, des armes ?

O’Neill : je ne pense pas que ce soit suffisant. Malgré la très haute performance de notre artillerie…..

Carter , tout bas : n’en faites pas trop, mon colonel.

Teal’k : il est alimenté par quoi votre générateur ?

Gull : un élément très rare sur notre planète. Et malheureusement, il est épuisé.

Teal’k : et c’est quoi cet élément ?

Gull : le calcaire.

Carter : ah oui ! vous n’en avez plus ?

Gull : non.

O’Neill : il se trouve que sur Terre, il y en a plein. Voir trop, quand je regarde l’état de mon évier !

Carter : peut être pourrions nous vous en amener ?

Gull : ca serait formidable ! vous en disposez de combien ?

Carter : eh bien, pas mal, beaucoup en faite. Il vous en faudrait combien ?

Gull : disons, que un morceau de roche de cette taille (il montra la taille avec ses mains, 15cm) suffirait pour tout un mois.

Carter : tout un mois ! ! mais c’est largement suffisant alors !

Gull : et vous pouvez nous l’apporter ?

O’Neill : je pense bien, oui. Ce n’est pas difficile, une brouette, une pelle, et hop !

Une fois de plus, Gull ne compris pas la blague de jack.

O’Neill : bon, il faudrait que nous retournions sur Terre, le temps presse.

Gull : très bien. Si vous le souhaitez, docteur Jackson, vous pouvez rester pour faire connaissance avec les habitants et les coutumes.

Daniel : j’en serais ravis, merci beaucoup !

La dessus, les trois équipiers partirent faire part de leur plan au général Hammond. Celui ci paru satisfait et ordonna à SG5 et 7 d’aider SG1 a recueillir du calcaire.

Il fallut 4 heures seulement aux hommes pour réunir une quantité suffisante de calcaire pour subvenir aux besoins du bouclier pendant 1an au moins.

SG1 retourna sur là bas, mais quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils virent que la planète était en pleine attaque Goaul’d.

O’Neill : Teal’k, portez les sacs de calcaire ! suivez moi. Carter, armez vous, tenez vous prête. Peut être que ces maudits serpents surveillent la porte.

Carter : bien mon colonel.

L’équipe avançait prudemment vers l’emplacement de la porte souterraine.

O’Neill : ouvrez, les amis, c’est nous !

Après quelques secondes, la porte s’ouvrit, quand un jaffa déboula derrière Sam. Jack se retourna et l’abattu d’un coup de fusil.

O’Neill : dépêchez vous, entrez !

Ils se ruaient vers les sous sols, retrouvez les autres.

Gull : vous arrivez juste, colonel O’Neill. Le bouclier va lâcher, ce n’est qu’une question de minutes, il faut faire vite. Le compartiment est plus loin, la bas, mais les Goaul’d en ont explosé une bonne partie. C’est devenu difficile d’accès !

O’Neill : Teal’k, venez, nous allons mettre les pierres où elles doivent aller. Nous irons avec un de vos guerriers. Carter, restez ici et surveillez bien, prévenez moi s’il y a un problème.

Carter : bien mon colonel, faites attention.

Jack lui lança un dernier regard et parti en compagnie de Teal’k et d’un guerrier.

Ils traversaient un long couloir, très endommagé par les bombardements des Goaul’d.

Guerrier : c’est là bas, un peu plus loin, vous voyez la porte rouge ?

O’Neill : oui.

Guerrier : c’est à l’intérieur. Il suffit de mettre les pierres dans un grand four. C’est simple.

Teal’k : je vois deux jaffas qui avancent en notre direction, O’Neill.

O’Neill : je vois, Teal’k. Préparez vous à l’attaque. Jack tendit un Zat au guerrier. Prenez ca et couvrez nous. Nous saurons faire.

Guerrier : bien, je suis prêt, bonne chance.

Jack et Teal’k avançaient vers le compartiment.

O’Neill : à trois, on fonce. TROIS !

Jack et Teal’k se levaient et tiraient sur les jaffas tout en se dirigeant vers la porte. Mais les tirs attiraient d’autres jaffas. Heureusement, les deux hommes étaient parvenu à la porte et c’étaient réfugiés dans la salle.

O’Neill :surveillez la porte, je vais mettre les gâteaux au four.

Teal’k protégeait la porte, en empêchant que les jaffas ne s ‘approchent d’eux. Ils tiraient dans tous les sens, et le guerrier de Gull faisait de même depuis son poste.

Jack se dépêcha à mettre le calcaire dans le four et après quelques secondes, un gros bruit sourd se fit entendre.

Teal’k : je crois que ce sont les réacteurs qui se mettent en marche.

O’Neill : oui, je crois, ca veut dire que nous avons réussit. Partons maintenant.

Teal’k et jack s’apprêtaient à partir, mais il y avait beaucoup trop de jaffas.

Teal’k : c’est impossible, nous ne passerons pas. De plus, je crois que le guerrier s’est fait tuer, il n’y a plus de tir de sa part.

O’Neill : et zut ! la poisse. Si vous leur chantiez une petite berceuse pour les endormir ?

Teal’k levant me sourcil : je ne pense pas que cela soit la meilleure solution colonel !

O’Neill : c’était une hypothèse, pour voir…

Des coups de tirs au fusil se fient entendre. C’était Carter et plusieurs guerrier qui leur venaient en aide. En quelques secondes, tous les jaffas furent tués.

O’Neill : je vous avais pourtant dis de rester à votre place, MAJOR !

Carter : mais sans nous, vous n’auriez jamais pu me dire cette phrase, mon colonel !

O’Neill : mais si, nous avions un plan, Teal’k devait leur chanter une berceuse pour les endormir !

Carter : désolé d’avoir désobéit à vos ordres, mon colonel, mais je trouvait le temps long, alors…

O’Neill : ca ira pour cette fois, carter, bon, allons y.

Ils retournaient au près de Gull et de ses amis.

Gull : votre mission a été une réussite, colonel O’Neill !

O’Neill : pof, la routine, on vient, on manque de se faire tuer, mais au final, on sauve la planète ! Pas de quoi pavoiser !

Gull : nous vous devons beaucoup !

Carter : vous pourriez m’expliquer le fonctionnement de votre bouclier, par exemple ?

Gull : malheureusement, nous ignorons tout de celui ci. Ce sont nos ancêtres qui l’ont créé, et nous en avons tout simplement hérité. Mais nous avons gardez quelques plans, si cela vous intéresse ?

Carter : et bien, pourquoi pas. Peut être qu’à force de recherches je trouverais quelque chose.

Gull ordonna à un de ses guerriers de rapporter les plans au major Carter. Ce qu’il fit.

O’Neill :et bien, maintenant que tout est en ordre, je crois que nous pouvons rentrer chez nous. Vous savez quel jour on est ?

Gull : le 4 juillet selon votre calendrier.

O’Neill :exact, et c’est l’anniversaire de notre jours d’indépendance. Et maintenant, c’est le votre aussi.

Gull : J’en suis honoré, colonel, je déclare cette journée fête nationale, alors. Mais pour ce qui est du calcaire, pouvez vous nous en ramener dès que les réserves seront épuisées ?

Daniel : bien sûr, nous en avons en pagaille chez nous !

Gull : c’est formidable de faire alliance avec vous !

O’Neill : un pour tous, tous pour un ! bon allons y !

Après les adieux, SG1 rentra sur Terre.

Hammond : alors, colonel O’Neill, tout c’est bien passé ?

O’Neill : sinon, je ne serais pas là pour vous dire cette phrase. En regardant Sam : je crois que j’ai déjà entendu ca quelque part.

Sam baissa la tête et sourie.

Hammond : bon, visite médicale !

O’Neill : oh, pour une fois, général, ne peut on pas y échapper, en guise de récompense ?

Hammond : on ne discute pas les ordres, O’Neill, vous le savez !

O’Neill, en regardant encore Sam : c’est qu’en ce moment, les ordres, c’est pas trop ca !

SG1 se rendait tout de même à la visite.

Janet, à Sam : n’oubliez pas, vendredi soir !

Carter : je sais Janet, dès que je rentre chez moi, je réserve.

Janet : alors, c’était comment les slows ?

Carter : Janet ! ! !

Janet : quoi ? ? c’était qu’une question anodine. Mais dites quand même ?

Carter: c’était bien .

Janet : c’est tout ?

Carter: bon, d’accord, c’était génial ! un vrai gentleman.

Janet : ah ! et ensuite ?

Carter: quoi ensuite ?

Janet : il ne vous a rien dit ? ou même fait ?

Carter : Daniel a parlé, c’est ca ?

Janet : Daniel ?

Carter: jack a raison, il se mêle de ce qui ne le regarde pas ! mais bon, tant pis, ce qui est fait est fait.

Janet : il était si excité par vos aveux, qu’il est tout de suite venu me le dire.

Carter : et bien oui, on s’est embrassé, mais je ne sais pas si ca aura une suite…

Janet : je suis sûre que oui. Il vous aime, Sam, et le plus dur pour lui est passé, alors, pourquoi est-ce qu’il en resterait là ?

Carter : je ne sais pas Janet, j’espère que vous avez raison. Bon je dois y aller, il faut que j’étudie les plans de Gull.

Sur ce, Sam quitta la pièce. Elle était la dernière à être passée à la visite. Les autres vaquaient déjà à leurs occupations. Seul jack s’ennuyait un peu. Il n’arrivait pas à penser à autre chose qu’à leur baiser, avec Sam. Elle sait, maintenant, se dit il, je ne peux plus reculer. Autant que j’ y aille à fond, le plus pénible est passé. Je l’aime, elle le sait, et je sais que elle aussi m’aime . Ca ne devrait donc pas poser de problème. Pour le règlement, on verra. Aller, je vais la voir , faut que je sois fixé sur ces intentions.

C’est ainsi que jack parti retrouver Sam . Comme il l’imaginait, elle était dans son laboratoire. Après avoir frappé à la porte, il entra.

O’Neill : alors, quoi de neuf, Carter ?

Carter : je relis les plans de Gull. C’est très complexe !

O’Neill : je n’en doute pas, mais je ne doute pas non plus que vous trouverez quelque chose d’ici peu.

Carter : merci, mon colonel !

O’Neill : en fait, je suis venu pour qu’on parle.

Carter : oui, je m’en doutais un peu.

O’Neill : vous vous souvenez de ce qu’on a fait, dans les couloirs, alors que Daniel ramonait la cheminée ?

Carter, esquissant un sourire : tout à fait, mon colonel, et je ne regrette pas du tout.

O’Neill : alors tant mieux, parce que moi non plus. Et que pensez vous faire ?

Carter : ce qui vous semblera le mieux, mon colonel.

O’Neill : c’est à dire ?

Carter : et bien, on connaît chacun les sentiments de l’autre, mais il y a les règlement et…

O’Neill : au diable le règlement. Personne ne le respecte. Et vous en avez encore donné un exemple lors de l’attaque Goaul’d sur P2X…..machin chose !

Carter : c’est vrai….

O’Neill :alors il n’y a aucun remord à avoir sur l’enfreint de celui ci ?

Carter : non, aucun.

O’Neill : alors, nous pourrions sans problème continuez notre petite romance ?

Carter : certes, mon colonel.

O’Neill : donc, je peux faire ca ?

Il s’approcha d’elle, lui pris le visage entre les mains et l’embrassa. Après un long baiser passionné, ils se séparaient.

Carter : tu peux faire ca, jack !

O’Neill :alors tant mieux, parce que ca me démangeait !

Carter : et même plus…

O’Neill : si tu n’y vois pas d’inconvénient ? ok…attend ! faut que je vérifie…

Jack ferma la porte à clé.

O’Neill : là, c’est plus sûr. On en était où déjà ? 

Carter : là, je crois….

Les deux amants partirent pour de plus tendres baisers, jusqu’à plus de souffle, enfin sûr de leurs sentiments réciproques. Et peu importe le règlement, l’amour rend aveugle, alors tant pis pour les conséquences…

 

THE END