Sentiments cachés
Auteur : Marie-Laure
Email : Fdixies@aol.com
Résumé : SG1 assiste à une conférence scientifique décernant un prix, et Sam doit y faire un discours. La soirée est bien arrosée. Le lendemain, beaucoup de choses ont changés, notamment le comportement de Jack….
Genre : ben, comme l’indique le titre, c’est surtout romance Jack/Sam, mais ya quand même un peu de sciences….vous verrez. (c’est pas trop mon habitude de faire une story très romance, mais bon…).
Spolier : pff….ben, faut au moins 4 ans, c’est mieux parce que sinon, certains dialogues sont plus bons.
Notes : pas de tunes, c’est pas mes persos, juste fais ca pour kiffer un bon coup lol
Amusez vous la compagnie !
BASE SGC
Ce matin, tous les officiers de la base SGC étaient réunis à Washington, ainsi que de nombreux scientifiques de la NASA, pour un meeting sur les planètes et l’univers. Chaque physicien devait présenter un exposé traitant d’un sujet et à la fin de la matinée, l’un d’eux se verrait décerné un prix.
La grande salle était comble. Au milieu, sur un banc, étaient assis Daniel, le général Hammond, Sam, Jack, et Teal’c, couvert d’un chapeau pour cacher son tatouage au front.
Un scientifique, assez âgé, était au pupitre, sur la scène, et faisait son exposé sur les masses stellaires. Sam paraissait absorbée par cela, alors que Jack avait décroché depuis longtemps.
O’Neill : vous y comprenez quelque chose, Carter ?
Carter : bien sûr mon colonel. Mais je ne suis pas tout à fait d’accord avec le professeur Marlyn. Enfin, c’est normal, il ne connaît pas tout ce que nous savons, alors ses hypothèses ne sont pas tout à fait complètes….
O’Neill : ben moi, même en sachant ce que nous savons, je ne comprends rien de tout ca.
Sam sourit et se reconcentra sur le monologue du professeur.
Lorsqu’il eut fini, Sam fut appelée sur scène pour faire son exposé. Elle était un peu crispée.
Hammond : c’est à vous, major Carter.
O’Neill : détendez vous, Carter, vous êtes la meilleure.
Carter : merci, mon colonel.
Teal’c : je suis certain que votre discours sera fort apprécié, major.
Daniel : vous allez faire des étincelles, Sam.
Carter : merci à tous.
Sam se leva, enjamba les personnes du banc, et monta sur la scène.
Pour la première fois depuis le début, Jack tendit l’oreille et essaya de suivre.
Carter : bonjour, mesdames, mesdemoiselles, messieurs. Mon exposé porte sur la formation d’un système solaire.
Pour commencer, nous savons tous que cela débute par la formation d’un soleil. Des nuages interstellaires sont à l’origine de ce soleil. Lorsque le nuage originel commence à se compresser, plusieurs étoiles naissent, certaines se transforment en supernova. L’explosion favorise l’agglomération des poussières en éléments plus gros. Le nuage s’aplatit en disque épais, entraînant une concentration de poussières et d’agrégats près de son centre, autour de l’axe de rotation. Le disque s’élargit et s’amincit, les agrégats formés suivent un orbite circulaire. Au centre de cette concentration, la température atteint un seuil suffisant pour permettre la synthèse d’hélium à partir d’hydrogène. C’est ainsi que le soleil naît. Ensuite, nous pouvons remarquer…..
C’est à ce moment là que Jack décrocha, incapable de tenir plus longtemps à tous ces discours scientifiques. Il faisait tout de même mine de suivre.
Après quinze minutes, Sam finit son exposé et retourna s’asseoir, sous l’ovation de la salle.
Hammond : félicitation, major Carter. Vous nous faites honneur.
Carter : merci, mon général.
O’Neill : ca se voit que vous êtes dans mon équipe, ca vous instruit !
Sam sourit, ce qui lui permis de décompresser un bon coup, car elle était encore stressée.
Seulement deux physiciens passaient après elle, et bientôt, le jury donna son vote.
Une femme s’approcha du bord de la scène avec une enveloppe en main.
Femme : le jury s’est concerté et a l’honneur de décerné son prix à….
Elle ouvrit l’enveloppe qu’elle tenait en mains.
Femme : à…..au major Samantha Carter.
Sam sursauta, réjouis de cette nouvelle. Les autres faisaient de grands sourires.
O’Neill : wa ! Carter !
Daniel : je vous l’avait dit, Sam, vous avez fait des étincelles !
Hammond : je crois que vous devriez y aller, major.
Sam ne pu décrocher un mot, alors elle se leva et rejoignit la scène pour chercher son prix, sous les applaudissements de la salle.
Carter (au micro) : merci…je…je ne sais pas quoi dire….si ce n’est un immense merci…..je ne m’attendais pas du tout à cela. Je tiens à remercier du fond du cœur toutes les personnes qui m’entourent et me soutiennent. Le général Hammond, le professeur Jackson, mon ami T….Teodor (elle se retint de dire Teal’c car ca n’existe pas). Et bien sûr, le colonel O’Neill, qui me supporte, malgré ses réticences profondes face aux scientifiques.
A cette dernière remarque, toute la salle éclata de rire, mis à part Jack qui se sentit gêné.
Sam finit son discours et revint vers eux pour passer au banquet.
Il y avait une très grande table avec toutes sortes de crudités, des toasts, et des gâteaux pour finir.
Sam était entourée de scientifiques, passionnés par ses connaissances et impatients d’échanger quelques mots avec l’élue de l’année, le nouveau prodige.
Mais elle put tout de même se libérée pour rejoindre son équipe.
Daniel : alors Sam, vos impressions ?
Carter : c’est absolument merveilleux. La reconnaissance de toute une vie de recherches.
Hammond : je suis très fier que vous soyez sous mon commandement, major Carter.
Carter : merci, mon général.
O’Neill : ne la flattez pas trop, général, elle va chopper la grosse tête…
Teal’c : la grosse tête ? mais le major Carter à une tête tout à fait normal.
Daniel : c’est une expression, Teal’c.
O’Neill : oui, Teodor, une expression.
Sam sourit encore à la blague de Jack.
Daniel partit avec Teal’c pour lui expliquer ce que voulait dire " avoir la grosse tête ", alors que Hammond retourna au buffet.
Sam et Jack restaient seuls, face à face, silencieux.
O’Neill : vous faites de l’humour, Carter ?
Carter : pardon, mon colonel ?
O’Neill : lors de votre discours de remerciement, vous avez bien fait rire la galerie avec votre remarque sur moi.
Carter : désolée mon colonel. Ca ne vous a pas vexer au moins ?
O’Neill : non, juste un peu gêné, c’est tout. J’étais au milieu d’une marre de scientifiques, alors pensez dont….
Sam baissa la tête et se sentit rougir.
O’Neill : ca va Carter, j’en suis pas mort pour autant. Allez, venez boire une coupe de Champagne ! le prix de je sais plus quoi, ca se fête !
Sam le suivit et tous les deux buvaient ensembles, vite rejoint par Daniel et Teal’c.
Il était déjà 17h et le banquet était fini. Les premiers scientifiques partaient, alors que d’autres restaient pour finir les bouteilles. Tout le monde avaient bien bu, à plus ou moins forte dose.
Daniel, qui ne supportait pas du tout l’alcool, s’était assis car il ne tenait plus debout. Teal’c était à ses côtés pour veiller à ce qu’il ne lui arrive rien. Hammond était déjà partit avec un groupe de militaires. Quand à Jack, il squattait le fond de la salle, un verre à la main, observant Sam discuter avec le professeur Marlyn.
Ils riaient beaucoup, sans doute à cause de l’alcool, ce qui énervait un peu Jack qui se décida à les rejoindre.
O’Neill : salut !
Carter : ah ! colonel. Je vous présente le professeur Marlyn.
Marlyn : enchanté.
O’Neill : ouai, moi de même, je suis Jack O’Neill, le chef de mademoiselle.
Marlyn sourit à sa remarque.
Carter : nous parlions d’astres et de planètes, mon colonel, voulez vous vous mêler à la discussion ?
O’Neill : sans façon, Carter.
Les deux scientifiques riaient puis Marlyn s’excusa car il devait partir.
O’Neill : passez le bonjour à vos météorites !
Carter (souriante) : vous ne changerez jamais, mon colonel.
O’Neill : surtout pas avec ce genre de types.
Carter : quel genre de types ?
O’Neill : ceux qui se permettent de draguer mes officiers. Et surtout mon major.
Jack, sous les effets de l’alcool, disait ca sans vraiment s’en rendre compte.
Carter : ah oui ? et pourquoi ?
O’Neill : parce que vous êtes ma Carter, et faudra me passer sur le corps avant de vous prendre !
Sam, qui avait également bu, lui fit son plus beau sourire.
Carter : vous êtes mon garde du corps, mon colonel ?
O’Neill : l’idée de garder votre petit corps me plait bien, major.
Sam sourit une nouvelle fois, mais un peu plus crispée, et déposa un doux baiser sur la joue de son colonel.
Carter : c’est gentil, mon colonel.
O’Neill (surpris) : wa ! ca vaut le coup, heureusement que le général n’est plus là.
Carter : et qu’est-ce qu’il y pourrait, le général ?
Jack ne su quoi répondre.
Carter : je crois que nous ferions mieux de rentrer, mon colonel.
O’Neill : ouai, et Daniel n’a pas l’air dans un très bel état.
Jack partit vers Teal’c et lui demanda de mettre Daniel dans sa voiture.
Il les ramenaient tous les deux à l’appartement de Daniel.
O’Neill : je compte sur vous, Teal’c, surveillez le bien.
Teal’c : vous pouvez avoir confiance en moi, colonel O’Neill.
Puis Jack ramena Sam chez elle. Ils étaient encore en bas de l’immeuble, dans la voiture. La fatigue se faisait maintenant très pesante.
O’Neill : voilà, Carter….
Carter : vous montez boire un verre, mon colonel ?
O’Neill : vous pensez que je n’ai pas assez bu, major ?
Carter (souriante) : c’est comme vous voulez.
Elle s’approcha de lui pour lui donner un baiser sur la joue mais il se retourna au même moment et leurs lèvres vint en contact. Aucun ne se repoussa, au contraire, ils partageaient bien volontiers ce baiser. Puis Jack s’écarta.
O’Neill : heu….désolé, major….
Carter : non, c’est moi, mon colonel…..
O’Neill : vous devriez rentrer, Carter.
Carter (un peu déçue) : oui, mon colonel. Bonne nuit.
Jack lui fit un signe de tête et rentra chez lui.
Le lendemain matin, SG1 avait quartiers libres, pour se reposer de la veille. Jack n’était pas encore à la base.
Alors qu’il arrivait, une voix au haut-parleur raisonna.
Voix : SG1 est demandée en salle de briefing, je répète, SG1 est…..
O’Neill : ca commence bien !
Il se rendit à la réunion, bon dernier, comme d’habitude.
Hammond : vous êtes tout excusé cette fois, colonel. La soirée d’hier était épuisante.
O’Neill : merci, général.
Puis il croisa le regard de Sam, alors gêné, il détourna ses yeux et s’asseye.
Hammond : je vous ai fait réunir car j’ai une nouvelle mission pour vous.
Daniel :de quoi s’agit il, monsieur ?
Hammond : nous avons reçu ce matin les images de la sonde envoyée sur PX711. On peut y voir une planète au décors totalement différent de la notre.
O’Neill : et ?
Hammond : et je veux que le major Carter aille y faire des expériences.
Carter : bien sûr, mon général.
Jack voulait rétorquer quelque chose à Sam mais il n’osait pas parler.
Daniel : vous ne dites rien contre ca, Jack ? ?
O’Neill : de quoi parlez vous, Daniel ?
Teal’c : le docteur Jackson trouve que votre comportement passif à la suite de l’annonce du général est très étrange.
Daniel : exactement, Teal’c !
O’Neill : seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Hammond : vous marquez un point, colonel. Et je suis ravis que vous nous suiviez dans cette mission. Bon, vous avez vingt minutes pour vous préparer. Disposez !
Tous se levaient et quittaient la salle pour se retrouver dans les vestiaires.
Daniel : alors Jack, vous avez bien dormis ? pas trop fatigué de la soirée d’hier ?
O’Neill : comme un loir. Par contre, vous avez du passer une nuit agitée, parce que je vous vois encore à moitié dans le coma sur votre chaise.
Daniel : c’est vrai que j’ai surtout passé la nuit aux toilettes, mais heureusement Teal’c était là pour me veiller. Et vous avez ramené Sam alors ?
Cette question mis l’intéressé et Jack dans une gêne horrible, et Daniel s’aperçu tout de suite qu’il avait du se passer quelque chose.
O’Neill : oui, je n’allais pas la laisser rentrer à pieds. Quelle question ! !
Alors Daniel pensait que Jack et Sam avaient à parler. Ils pris Teal’c par le bras et tous deux sortirent, laissant le colonel et son major seul à seul.
O’Neill : ce Daniel aurait du faire inspecteur plutôt qu’archéologue ! toujours à poser des questions ! !
Carter : mon colonel, je crois qu’il faut qu’on parle….
O’Neill : mais il n’y a rien à dire, major. Nous avions bu, c’est une erreur à mettre sur le compte de l’alcool, et voilà tout. Ca reste entre nous et l’histoire est close.
Ses dernières paroles avaient été très sèches et Sam en était un peu vexée.
Carter (déçue) : bien, comme vous voulez mon colonel.
Sam sortit des vestiaires pour rassembler son attirail scientifique.
Jack s’en voulait énormément pour le ton qu’il avait employé. Il ne le voulait pas, mais la situation très complexe l’en avait forcé. Il n’était pas doué pour ce genre de chose, il ne savait pas comment régir. De plus, la peur d’être déçu face à Sam le rendait malade. Comment une femme aussi magnifique, passionnante, étonnante, sérieuse dans sa vie et dans son travail pourrait s’intéresser à lui ? alors il préférait mettre le baiser d’hier soir sur le compte de l’alcool et en rester là. Mais au fond de lui, il espérait tant qu’elle l’aime du même amour que lui.
Jack finit de se préparer et se rendit à la salle d’embarquement où étaient déjà présent les autres.
Hammond : bien, vous voilà au complet. Alors bon courage SG1 !
O’Neill : mouai ! c’est plus de chance dont on a besoin.
Daniel : cessez de râler Jack !
O’Neill (nerveux) : je fais ce que je veux, je suis le chef ! !
Daniel se tut et n’insista pas davantage, il savait que Jack était sur le point d’exploser, alors il ne voulait pas trop en faire.
Le vortex s’ouvrit et Jack ordonna à son équipe de traverser la porte des étoiles.
De l’autre côté, cette planète n’avait effectivement rien à voir avec la Terre. Le sol était tout rouge et rocailleux. Il n’y avait pratiquement aucune végétation, et de nombreuses fumées s’échappaient des terres, ce qui rendait la respiration un peu difficile.
O’Neill : bon, ben j’espère qu’on ne va pas s’éterniser ici, ou alors on va tous mourir asphyxiés.
Teal’c : je ne ressens aucune présence Goaul’d, O’Neill.
O’Neill : on s’en plaindra pas. Passez devant, on va en direction de….de vers la colline là bas.
C’est ainsi que SG1 marchait en direction d’une petite colline à quelques centaines de mettre de là, avec Teal’c en tête, suivit de Jack, Sam, les yeux rivés sur ses appareils, et Daniel fermant la marche, déjà un peu essoufflé.
Arrivé à leur destination, Jack ordonna a Sam de commencer ses tests. Quand à Teal’c et Daniel, ils faisaient leur tour d’horizon. Jack observait un peu tout le monde.
Au bout d’une demi heure, Sam s’approcha de Jack, hésitante et n’osant pas le regarder dans les yeux.
Carter : bien, j’ai fini, mon colonel.
O’Neill : alors on rentre.
Jack se tourna pour mettre court à la discussion. Sam se sentit outrée une nouvelle fois. Elle ne savait pas comment prendre cela.
Mais Daniel semblait très attiré par quelque chose.
O’Neill : qu’est-ce que vous fichez, Daniel ?
Daniel : attendez Jack, je crois que….oui, on dirait bien….
Teal’c : qui a-t-il, Daniel Jackson ?
Tout le monde s’approchaient de Daniel, qui cherchait dans le sable rougeâtre.
Daniel : je crois que ce sont des vieilles amphores romaines, enfin, des restes.
O’Neill : vous parlez de ces vieux bout de pierres ?
Daniel : ce ne sont pas de vieux bouts de pierres, je viens de vous le dire, ce sont des ruines d’amphores romaines, ou peut être grecques, je n’en suis pas sûr.
Carter : et qu’est-ce que ca signifie, Daniel ?
Daniel : je ne peux pas encore le dire, Sam….
O’Neill : alors on rentre, et vous étudierez vos machins à tous les deux une fois sur Terre. Teal’c, devant !
Jack avait encore ce ton désagréable, mais c’était sans le vouloir, c’était plus fort que lui. Il était sur les nerfs depuis cette histoire avec Sam, et ca le dépassait totalement.
Teal’c emmena l’équipe à la porte des étoiles et ils rentrèrent à la base.
Après un passage rapide à l’infirmerie, Daniel se pressa dans son bureau pour observer de plus près ces ruines, et Sam se dirigea dans son laboratoire afin de procéder à des analyses sur les échantillons prélevés.
Quand à Jack et Teal’c, ils se retrouvèrent au mess pour manger un morceau.
Teal’c restait silencieux, ce qui eut l’effet de calmer Jack, qui avait soudainement envie de se confier.
O’Neill : alors Teal’c, vous avez apprécié la soirée d’hier ?
Teal’c : toute la journée d’hier fut un grand honneur pour moi, colonel O’Neill.
O’Neill : vous ne vous êtes pas ennuyé ?
Teal’c : pas une seule seconde, votre culture est vraiment très passionnante.
O’Neill : c’est ce qu’on dit quand on connaît pas….dites moi, vous me trouvez bizarre ces temps ci ?
Teal’c : en effet, colonel.
O’Neill : c’est que voyez vous, j’ai des problèmes.
Teal’c : puis-je vous aider, O’Neill ?
O’Neill : à vrai dire, non, Teal’c. Mais peut être qu’un conseil serait le bien venu. Voilà, en ramenant Carter, hier soir, il s’est passé….quelque chose….vous voyez de quoi je veux parler ?
Teal’c (arquant un sourcil) : non.
O’Neill : bon, ok. On s’est embrassé.
Teal’c ne réagissait pas.
O’Neill : eh oh ! je vous parle, on s’est embrasser, vous savez, un bisou sur la bouche, quoi.
Teal’c : je vois très bien de quoi vous voulez parler, O’Neill, et je ne vois pas où est la surprise. Tout le monde se doute de votre attirance respective ici.
O’Neill : comment ca ? ?
Teal’c : nous savons tous comment cette histoire va finir, et ca devait bien passer par là. Alors le seul conseil que je peux vous donner, O’Neill, c’est de vous investir dans votre relation avec le major Carter.
O’Neill (pensif) : ah…oui….bon…..
Sur ce, les deux hommes se levèrent et sortirent de la cantine.
Teal’c partit en salle de sport et Jack déambulait dans les couloirs, jusqu’au débriefing.
Hammond : bien, alors, qui commence ? major ?
Carter : mon général, j’ai fini mes premiers tests sur PX711. Il s’avère que cette planète est un volcan à elle toute seule.
Daniel : comment ca ?
Sam se leva pour leur montrer des diapositives au tableau.
Carter : regarder ca ! (elle montrait avec une baguette) Ici, on peut voir un échantillon de terre prélevé sur PX711.
O’Neill : on pourrait faire un beau château de sable !
La blague fit rire Sam, et même sourire Daniel, rassuré de voir que Jack allait mieux.
Hammond : ne vous laissez par perturbée par les troubles faits, major, poursuivez.
Carter : bien, mon général. Je disais que ceci est en fait un extrait de roche andésique.
O’Neill : oula, je sens que je vais être largué dans moins de deux secondes.
Carter : je m’explique. Cette planète à un volcanisme explosif, à cause de la lave visqueuse, lié à une subduction.
Daniel : et alors ?
Carter : alors c’est une planète très dangereuse car il peut à tout moment y avoir des écoulements de magma.
Teal’c : voulez vous dire que cette planète est inhabitable, major Carter ?
Carter : inhabitable et inhabitée, Teal’c, oui.
Daniel : c’est dut à quoi ?
Carter : le manteau, c’est à dire, l’enveloppe géologique qui se trouve sous la croûte, est très fragile et agitée. J’ai relevé des morceaux de plaques lithosphériques. Leur étude nous révèle que le manteau terrestre est en perpétuel mouvement. Il n’est pas stable, ce qui provoque les éruptions volcaniques.
Hammond : donc, il peut à tout moment avoir des coulées de laves ?
Carter : absolument, mon général, mais pas seulement à tout moment, mais tout le temps. D’ailleurs, nous avons remarqué les échappées de fumée. C’est un signe très distinctif.
Hammond : bien, major Carter, vous pouvez vous rasseoir, merci pour ces précisions.
Sam retourna à sa place et c’était au tour de Daniel de faire son rapport.
Daniel : j’ai étudié de plus près ses restes d’amphores. Comme je le soupçonnais, elles sont d’origine Grecques.
O’Neill : ah non, vous aviez dit romaines !
Daniel (l’ignorant) : et, selon mes estimations, elles ont 4000 ans d’âge.
Hammond : 400 ans ? vous en êtes sûr ?
Daniel : oui, général.
O’Neill : et alors ? ces de vieilles amphores, et où ca nous mène ?
Daniel : ca signifie que non seulement le peuple égyptien, mais aussi le peuple grecque avait connaissance de la porte des étoiles, et ils ont voyagé à travers les galaxies.
Teal’c : je n’ai jamais entendu parlé de ce peuple, docteur Jackson.
Daniel : c’est normal Teal’c, vous êtes trop jeune.
O’Neill : 90 ans ! ! vous trouvez ca jeune ?
Daniel : je veux dire par là que cette civilisation à disparu depuis des milliers d’années, bien avant que les ancêtres de Teal’c ne viennent au monde.
Carter : exterminée par les éruptions volcaniques.
Daniel : exactement, Sam.
O’Neill : voilà, la boucle est bouclée. On a relié les causes à effets. On peut s’en aller, général ?
Sam sourit discrètement, mais Jack s’en était aperçu.
Hammond : pas si vite, colonel. Vous ne nous avez pas fait part de votre rapport, il me semble ?
O’Neill : heu….ben …qui ? moi ? ?
Carter (prenant sa défense) : le colonel avait bien autre chose à faire sur cette planète, mon colonel. Comme notamment visiter les alentours afin de s’assurer qu’aucun Goaul’d ou autre ennemi ne nous dérange.
Jack fut surpris de la réaction de Sam, qui semblait ne plus lui en vouloir.
Hammond : il me semblait que c’était l’affaire de Teal’c ?
Teal’c : nous n’étions pas de trop à deux, général.
Hammond : bon, ca va, vous pouvez disposer alors. Je classe PX711 dans les planètes inintéressantes et inutiles.
Tous se levèrent et sortirent.
Dans le couloir, Jack stoppa ses coéquipiers.
O’Neill : dites, vous n’espérez tout de même pas que je vais vous payer pour m’avoir défendu ?
Daniel (ironiquement) : on avait pensé au quart de votre solde…..
O’Neill : Daniel ! ! ! !
Daniel : bon, ok le dixième alors.
O’Neill : retenez moi ou je vais faire un meurtre.
Teal’c : rassurez vous O’Neill, notre aide n’a été qu’amical, nous ne vous demandons rien en échange.
Daniel : si ! de ne plus être affreusement désagréable avec nous comme lors de notre dernière mission.
O’Neill : mais j’étais normal !
Daniel : ah oui ?
O’Neill : parfaitement ! !
Sam, qui ne voulait pas que les deux hommes aillent plus loin, intervint pour les calmer.
Carter : ne vous disputez pas, ce n’est pas grave, tout est revenu dans l’ordre.
Daniel : oui, et on se demande pourquoi d’ailleurs…
O’Neill : ca ne vous regarde pas !
Teal’c : Daniel Jackson, je crois que nous devrions laissez le colonel et le major tranquille.
Daniel : ah bon ? mais….
Teal’c le pris par le bras et l’entraîna avec lui dans ses quartiers.
Sam s’apprêtait à partir mais Jack la retenu.
O’Neill : Carter….
Carter : mon colonel ?
O’Neill : je vous dois des excuses.
Carter : pas besoin, mon colonel, vous êtes mon supérieur et vous n’avez aucun compte à me rendre.
O’Neill : je parle en tant qu’ami alors.
Carter : ah ? …..
Sam était agréablement surprise de la réaction de Jack, elle aimait l’idée que pour une fois, il l’a considère comme une amie.
O’Neill : venez dans ma chambre.
Il l’y emmena, non loin de là. Il pris soin de fermer la porte à clé.
O’Neill : Sam…..
Carter : oua ! vous m’appelez par mon prénom….
O’Neill : je pense que nous en sommes arrivés à un point où s’appeler par nos noms ne signifient plus rien.
Carter : bien…que vouliez vous me dire, Jack ?
O’Neill : je suis désolé pour le ton que j’ai employé la dernière fois, de notre dispute, de ma mauvaise humeur en mission…tout ca quoi.
Carter : oui, vous êtes tout excusez, mon colonel.
O’Neill : c’est que je suis dans une impasse. Je ne regrette en rien le baiser que nous avons échangé l’autre soir, mais d’un autre côté, je me dis que je n’ai pas le droit.
Carter : pourquoi ?
O’Neill : vous êtes si brillante, Sam, et vous avez une magnifique carrière devant vous.
Carter : à choisir entre l’amour ou la carrière, je préfère l’amour.
O’Neill : ah oui ? pourtant, c’est dur de penser que….
Sam ne le laissa pas le temps de finir sa phrase, elle s’approcha de lui et l’embrassa tendrement.
Carter : tu es convaincu ?
O’Neill : j’ai encore un léger soupçon. ….attends, je vérifie.
Jack l’entoura de ses bras et la colla à lui pour mieux l’embrasser. Ce baiser dura plusieurs secondes, leurs lèvres ne voulant pas se séparer.
O’Neill : alors là, j’en suis sûr. Tu me préfères moi à tes échantillons et ton réacteur de machin chose.
Carter : de naquada. Oui, je te préfère toi, et de loin.
O’Neill : tu ne m’en veux vraiment pas pour mon comportement ?
Carter : à vrai dire, sur le coup, je croyais que j’allais t’étrangler. Puis ensuite, je me suis dit que tu serrais bien obliger d’accepter tes sentiments.
O’Neill : c’est oublié maintenant ?
Carter : à toi de te faire pardonner.
Alors Jack releva le défit et la fit tomber sur le lit. Il s’allongea sur elle et l’embrassa de partout. Sam riait sur chaque partie sensible et chatouilleuse.
Il lui enleva son tee-shirt et elle fit de même avec lui. Ils poursuivaient leur exploration mutuelle, quand la voix au micro vint les interrompre.
Voix : ACTIVATION EXTERIEURE DE LA PORTE NON PROGRAMMEE
Mais Jack ne semblait pas vouloir s’arrêter, ni même Sam, d’ailleurs.
Carter : je crois que nous devrions y aller, Jack….
Elle avait dit ca sans grande conviction, bien mieux ici, dans le lit avec Jack.
O’Neill : c’est pas notre boulot……
Il continuait ses baiser et ses caresses un peu partout.
Carter : allez, viens ….
O’Neill : après 4 ans, ils exagèrent, on pourrait au moins avoir dix minutes rien que pour nous !
Alors ils se relevaient, s’habillaient, tout en se donnant ici et là de petits bisous, et partaient en salle de commande.
Hammond : ah enfin !
O’Neill : il y a un signal ?
Daniel : pas encore.
Sergent : le voilà ! ce sont les Tokra.
Hammond : ouvrez l’iris.
La porte s’ouvrit et Jacob accompagné des deux guerriers traversèrent le vortex.
SG1 et le général s’empressaient d’aller les retrouver en bas.
Hammond : ah ! Jacob ! quel bon vent t’amène?
Jacob : rien de bien spécial, Georges, je viens juste en visite.
Jacob pris Sam dans ses bras et la serra très fort.
Carter : comme tu m’as manqué papa.
Jacob : toi aussi ma chérie.
Hammond : viens dans mon bureau, Jacob, j’ai des trucs à te montrer, si tu le veux bien.
Jacob : tu veux parler de ce fameux Bourbon dont tu m’a parlé ?
Le général se sentit gêné devant ses soldats.
O’Neill : bah ! on vous comprend, général, on ferrait pareil à votre place.
Hammond : oui….
O’Neill : mais amenez la bouteille au prochain briefing.
Hammond : très drôle, Jack.
Jacob : et je ne pense pas qu’il en restera.
Carter : on se revoit ce soir, papa. On dîne ensemble.
Elle l’embrassa une dernière fois et il partit dans le bureau de Hammond.
Daniel : votre père est de plus en plus dynamique, Sam.
Carter : oui, on dirait.
O’Neill : Teal’c, chargez vous d’occuper les guerriers.
Teal’c : comment, O’Neill.
O’Neill : je ne sais pas, apprenez leur le kendurim.
Teal’c leva un sourcil.
Daniel : il plaisante, Teal’c. Venez, je vais vous aider.
Tous deux partirent ensembles pour occuper les deux guerriers Tokra.
O’Neill (tout bas) : ce soir, tu dînes avec ton père ?
Carter : oui, mais tu viendras si tu veux. Je pense que c’est une bonne occasion pour nous, tu ne crois pas ?
O’Neill : tout à fait, tu as toujours d’excellentes idées.
Ils partaient finir se qu’ils avaient entreprit avant d’être dérangé.
D’ailleurs, dans le bureau du général, Jacob et Georges n’étaient pas loin du même sujet.
Jacob : alors, ils en sont où ?
Hammond : oh ! je commence à désespérer. Ni Jack ni Sam ne semble vouloir faire le premier pas.
Jacob : hum…ca met notre pari en péril.
Tous deux partirent à rire.
Jacob : non, sérieusement, tu penses qu’ils finiront ensembles ?
Hammond : je l’espère pour l’un comme pour l’autre. Ils seraient vraiment heureux ensembles. Et tu hériterais d’un très bon gendre, je t’assure. Il n’en a peut être pas l’air, mais c’est un chouette gars.
Jacob : oui, je suis sûr qu’il est le seul qui saura rendre ma fille heureuse.
Ils trinquaient à leur probable union et finirent la bouteille, à peine entamée.
Le soir venu, Jacob, sans ses deux gardes, se rendit au restaurant où lui avait donné rendez vous Sam. Il était le premier, alors il se posa et commanda un verre de blanc pour passer le temps.
Quelques minutes après, Sam rappliqua, cramponnée au bras de Jack.
Jacob (étonné) : bonsoir…..
Carter : je t’explique papa….
Sam lui expliqua rapidement la récente situation.
Jacob : alors c’est du sérieux entre vous ?
O’Neill : oh oui, Jacob, j’aime votre fille plus que n’importe qui, et croyez moi, je la rendrait la plus heureuse au monde.
Jacob : pour ca, je veux bien vous croire, Jack.
Carter : alors, papa, qu’est-ce que tu en penses ?
Jacob : ma fille, tu viens de faire de moi le plus heureux des pères.
Il commanda une bouteille de Champagne pour fêter l’événement.
Le repas se passa très bien, remplit d’anecdotes, d’histoires drôles, de vieux souvenirs…
A la fin, ils se séparaient, à presque 23h, Jack et Sam rentraient à l’appartement de cette dernière, alors que Jacob se rendit à la base, dans ses quartiers.
Mais avant, il fit un petit tour dans le bureau de Hammond. Comme il le pensait, le général y était encore.
Hammond : alors, c’était bon ce restaurant?
Jacob : oui, et je crois que tu pourras bientôt t’en apercevoir toi même, Georges.
Hammond : pourquoi ?
Jacob : je viens de perdre mon pari. Tu as gagné un restaurant.
Hammond : que veux tu dire, Jack et Sam….
Jacob : exactement ! et comme j’avais parié dans deux mois, alors que toi pour le mois actuel, tu as gagné.
Hammond : ah ! ben ca c’est une bonne nouvelle ! viens, j’ai une autre bouteille en stock.
Alors les deux hommes trinquèrent une nouvelle fois, profitant de n’importe quelle occasion pour boire.
Le lendemain matin, Jack et Sam n’arrivaient pas en même temps à la base pour ne pas éveiller les soupçons.
Mais après seulement une demi heure de présence, Jack ne put s’empêcher de rejoindre Sam dans son laboratoire, qui elle aussi, l’attendait avec impatience.
O’Neill : je peux vous voir, major Samantha Carter ?
Carter : tout dépend de la raison, colonel Jonathan O’Neill.
O’Neill : Jonathan ! ! pas ca !
Carter : moi, j’aime bien…bon ok, Jack.
Elle enlaça ses bras autour de sa taille et se scotcha à lui. Ils s’embrassèrent de nouveau, incapables de s’arrêter. Mais ils en étaient obliger lorsque la voix au micro fit encore une annonce.
Voix : SG1 est demandée en salle de réunion immédiatement.
O’Neill : je vais casser tous ces micros, et toi qui t’y connais bien là dedans, tu vas mettre un virus dans le système informatique pour que ca grille tout.
Carter : à vos ordres, mon colonel….que j’aime.
Ils s’embrassaient une dernière fois et se rendaient à la réunion.
Sam fit un grand sourire à son père.
Hammond : bonjour, asseyez vous.
O’Neill (ironiquement) : que nous vaut ce bonheur, général ?
Hammond : j’ai eu connaissance de la nouvelle situation, Jack.
Jack et Sam devenaient tout blême, alors que Daniel paressait très intrigué.
Daniel : la….nouvelle situation ? ?
Carter : papa ! !
Jacob : du calme, Sam, j’ai fait que vous donner un coup de main.
O’Neill : j’appelle ca un coup de poignard, Jacob.
Hammond : je comprends votre angoisse, mais ne vous en faites pas, l’affaire est déjà réglée.
Les visages de deux amants changeaient soudain pour maintenant afficher de grands sourires, alors que Daniel n’y comprenant toujours rien.
Daniel : mais de quoi parlez vous ? ?
Hammond : le colonel et le major sont enfin ensembles, professeur Jackson.
Daniel (heureux) : quoi ? ? sérieux ? mais c’est magnifique ! !
O’Neill : calmez vous, Daniel.
Daniel : depuis le temps que ca dure ! !
Teal’c : toutes mes félicitations, à tous les deux.
O’Neill : c’est surtout grâce à vous, Teal’c. C’est vous qui m’avez persuadé de tout avouer à Sam.
Carter : vous savez que je vous serais reconnaissante toute ma vie, Teal’c, rien que pour ca.
Teal’c se contenta d’incliner sa tête.
Daniel : on fête ca quand ?
Hammond : du calme, Daniel. Il ne faut pas que cette histoire s’ébruite. Vous savez que c’est interdit par le règlement.
O’Neill : oh oui ! ! ! ! ca, on le sait ! ! !
Hammond : mais pour le mariage, croyez moi que je compte bien organiser une petite fête.
O’Neill : le mariage ?
Sam, sous la table, pris la main de Jack. Il la regardait et elle lui décrocha son plus beau sourire.
O’Neill : ah oui….le mariage, bien sûr.
Jacob : bon, je dois partir, Sam. Mais je reviendrais bientôt. J’ai hâte de connaître la suite des évènements.
Hammond : rassure toi, Jacob, je veille sur ces deux là.
Jacob se leva, et tous firent de même. Ils se dirigèrent en salle d’embarquement.
Voix : chevron 7 enclenché.
O’Neill : général. Pour mon cadeau de mariage, j’ai déjà une idée.
Hammond : laquelle, Jack ?
O’Neill : vous faites enlever tous les micros de la base !
Cette blague dite de manière très sérieuse fit rire tout le monde, et même Teal’c esquissa un léger sourire.
Jacob embrassa longuement sa fille.
Jacob : soit heureuse, Sam.
Carter : t’en fais pas pour ca, papa, la voix est libre maintenant.
Ils se séparaient et Jacob disparu avec ses deux gardes Tokra.
Hammond : bien, que chacun retourne à ses occupations. Et je parle d’occupations professionnelles, tous les deux.
Il s’adressait bien sûr à Jack et Sam.
Carter : naturellement, mon général.
O’Neill : tout à fait, général.
Hammond quitta la salle, septique, il se doutait bien que dès qu’il aurait le dos tourné, les deux tourtereaux en profiteraient pour se faire des câlins.
Daniel : je suis super content pour vous, vraiment.
O’Neill : ca va, j’ai compris Daniel, vous serez mon témoin de mariage.
Daniel : merci ! ! !
Carter : et Teal’c sera le mien.
Teal’c (s’inclinant) : c’est un grand honneur que vous me faites là, major Carter.
Les deux futurs témoins s’éloignèrent, tout content.
Jack et Sam se rendaient au mess pour faire le point sur cette histoire merveilleuse et inattendue qui venait de se produire.
O’Neill : tu vois, tout c’est bien passé.
Carter : je n’y aurais jamais cru.
O’Neill : moi non plus. Finalement, on s’est privé pendant 4 ans pour rien.
Carter : mais on va vite rattrapé le retard, je crois.
O’Neill : compte sur moi.
Jack lui prit la main et lui fit du pieds.
Carter : c’est un comportement de collégien, ca.
O’Neill : tu vas voir, ce qui va suivre n’a rien d’un collégien.
Il lui fit un clin d’œil et tous deux se souriaient mutuellement, en pensant bien évidemment à la même chose : la soirée promettait d’être agitée et très longue.
FIN
(ouai, je le dis en français maintenant, c’est mieux)