Les Culnigans
les personnages ne m’appartiennent pas je gagne pas d’argent et blablabla
RÉSUME: vous verrez bien
genre: romance Sam\jack aventure
SGC
Tout était calme. Aucune mission n’etait prévue pour SG-1. Le général Hammond avait donne quelques jours de vacances pour nos courageux aventuriers. Comme d’habitude le Docteur Daniel Jackson travaillait sur une de ces traductions et le Colonel O’Neil essayait d’enlever le Major Carter à son microscope et son ordinateur. Sam qui avait pourtant de très fort sentiments pour son Colonel se sentait assez embarrassée lorsqu’elle se trouvait seul en sa compagnie en dehors du contexte du travail.
JACK: Vous êtes sure. Enfin c’est comme vous voulez. Si vous trouvez que vous vous amusez plus avec votre joujou qu’avec moi, c’est comme vous le sentez.
Il tourna les talons et commença à se diriger vers le mess
SAM: Attendez!! Mon Colonel!! Je... euh... je ne voulais pas vous vexer. Je suis désolée. En fait, il faut que je vous avoue que je ne suis pas très à l’aise.
JACK: Non ce n’est rien, je m’en remettrait Major. -pour lui- Histoire de changer. -tout haut- Je vais essayer de décoller Daniel de ses traductions.
AU LABO DE DANIEL
DANIEL: Salut Jack! OOOOOh !!! Vous avez une sale tête. Vous vous êtes encore pris une veste pas Sam.
JACK: DANIEL!!!!!!! Vous lâcherez jamais l’affaire. Combien de fois je vais devoir vous dire qu’il n’y a rien entre Carter et moi.
DANIEL: Mais ça je le sais. Et l n’y aura jamais rien entre vous deux si vous vous conduisez comme vous le faites avec elle.
JACK: Et comment je me conduit avec elle? J’ai rien fait.
DANIEL: Et bien justement, vous ne faites rien. Et je ne voudrais pas vous presser mais vous devriez vous bouger un peu avant qu’il ne soit trop tard. Enfin... avant que vous ne vieillissiez un peu trop
Daniel parlait de plus en plus doucement car il venait de se rendre compte de sa maladresse. Jack n’eu pas le temps de répliquer que Sam venait les prévenir que leurs vacances étais déjà fini avant d’avoir commence. Le général voulait les voir immédiatement en salle de débriefing. En effet le père du Major Carter venait pour prévenir le SGC qu’une planète ,P3Z 362 venait de se faire attaquer par les Goa’uld. Le général Carter venait demander de l’aide à SG-1. Les Tok’ra avaient signes un traite avec le peuple des Culnigans. Les grands allies de la tau’ri avis (dans un très grand moment de gentillesse) promis leur appuis en cas d’attaque.
JACK: Et pourquoi ça serait à nous de les aider, on leur a rien promis NOUS.
JACOB: Je le sais très bien Jack, mais en ce moment toutes nos flottes sont déjà en mission, et nous ne pouvons pas les rappeler. Sam ma dit que vous étiez en vacance alors j’ai pense que....
JACK: MAJOR!!!!!! Vous n’avez pas osée. -se retournant vers Hammond- Bon , alors on fait quoi.
HAMMOND: Les Tok’ra nous ont toujours apporter leurs aides je pense qu’il est de notre devoir de faire de même Colonel.
JACK: Comme de toute façon je n’est pas le choix -s’adressant a Jacob- Mais je veut tout les détails, il est hors de question que j’envoie mes hommes a une mort certaine. Je vous connais vous les Tok’ra.
JACOB: Ne vous énervez pas Jack. J’allais tout vous expliquer.
JACK: Ah!
deux heures plus tard
DANS LA SALLE D’EMBARQUEMENT
HAMMOND: -dans un micro- Bonne chance SG-1
SG-1: Merci général.
JACOB: -tout bas à Jack- Je vous confie ma fille Jack. Elle est tout ce que j’ai alors ramenez la moi vivante s’il vous plait.
JACK: Vous inquiétez pas j’ai toujours eu l’habitude de ramener mon équipe entière.
Après des derniers au revoir SG-1 traversait la porte des étoiles craignant ce qui les attendraient de l’autre cotée la mare bleute.
Arrive de l’autre cote se fut le choc, le feu et les ruines avaient remplace ce que Jacob leur avait décrit comme étant un des plus beau paysage qu’il avait jamais vu.
JACK: Ok, bon tout le monde à couvert on sait jamais si les serpents décidaient de se pointer. Carter, venez près de moi.
SAM: Qu’est ce qui se passe mon Colonel ?
JACK: Rien, c’est que je voudrais pas qu’un serpent vous fasse un trou dans se si gros cerveau ça serai dommage.
SAM: Je vois, c’est mon père. Il vous a demander de veiller sur moi, c’est ça. Vous inquiétez pas je suis capable de me débrouiller toute seule.... mon Colonel.
Tous repris leur marche après que Sam est repris sa place a la fin de la file, vexée que SON Colonel n’est pas plus confiance en elle que ça. Daniel qui avait tout entendu se rapprocha de Jack.
DANIEL: C’est malin ça, maintenant elle pense que vous n’avez pas confiance en elle.
JACK: Mais.......
Il n’eu pas le temps de finir sa phrase que Daniel s’entait éloigner ne voulant pas entendre les représailles qu’allait lui faire subir Jack qui n’aimait pas qu’on lui dise comment se comporter envers ses soldats et surtout SON Major.
Les heures défilaient et il n’y avait toujours pas de serpents à tuer ou d’innocent a sauver. Daniel qui n’arrêtait pas de se plaindre avait réussi à convaincre Jack de s’arrenter et de monter le camps.
Car demain sera une journée plus difficile et surtout plus dangereuse. En effet le Major Carter avait déceler des ondes à l’aide de ses appareils qui prouvaient qu’ils étaient bientôt arrives.
JACK: Je meurt de faim, qui fait la bouffe?
SAM: Pourquoi vous me regardez comme ça? Ah non, je ne me ferai pas encore avoir, c’est pas parce que je suis une femme que je sais e taper la bouffe. Pourquoi pas vous Colonel, hum?
DANIEL: Vous plaisantez, je préfère encore le faire plutôt que de me faire empoisonner. C’est bon je m’en occupe.
Jack fit un clin d’oeuil à Carter qui le lui rendit. Il était soulage qu’elle ne lui en veuille plus. Il se sentait très mal à chaque fois qu’il se disputaient. Mais ça ne durait jamais très longtemps. Sam était incapable de lui faire la tête plus d’une demi-heure. Jack le savait très bien et il en profitait.
Cette nuit fut assez agite pour notre Colonel étant donne qu’il avait rêver de son Major.
Le lendemain notre fameuse équipe se remis en route.
SAM: Mon Colonel.
JACK: Oui!
SAM: Je pense que nous y sommes. Regardez, la-bas. C’est la forteresse dont nous a parler mon père. Je pense que nous devrions y aller et sortir ces personnes de la le plus vite possible.
JACK: Carter, arrêtez de penser. Ca serai sympa de me laisser le rôle de l’intello de temps en temps. C’est comme même moi le chef ici, non?
SAM: Désole mon Colonel
JACK: Ah oui, et arrêtez de vous excuser a chaque fin de phrase. Vous allez encore avoir le beau rôle. Bon , et bien je pense qu’on devrai aller mettre un bon coup de pied au fesse à ses serpents et sortir tout le monde de la
.
TEAL’C: Je croit que c’est exactement ce que vient de dire le Majors Carter, O’Neil!
DANIEL: C’est pour essayer de faire croire qu’il a un cerveau. Vous n’auriez pas besoin de quelqu’un pour surveiller nos affaires par hasard.
JACK: N’y penser même pas Danny boy.
DANIEL: Ok, j’ai compris, alors on y vas.
JACK: On va se séparer. Carter vous venez avec moi, on va libérer les gentils et vous deux vous aller tuer les méchants avec un beau feu d’artifice.
SAM: Mais ça c’est mon boulot d’habitude.
JACK: Et bien il est temps de changer tout ça. Rendez vous à la porte dans quatre heures. Si nous ne sommes pas la partez sans nous. Aller c’est partis.
DANS LA FORTERESSE
SAM: Mon Colonel d’après ce que nous a dis mon père les prisonniers se trouvent dans une seule cellule de l’autre cote du bâtiment. Il va falloir tout traverser c’est pas un peu dangereux.
JACK: Ca nous permettra de faire une petite visite aller Carter tout se passera bien on y va
Quelque couloir plus loin ils tombèrent nez à nez avec qui? A votre avis le pas beau le tout moche Apophis
JACK: Salut!! Ca faisait longtemps tiens. Vous commencer a me manquer.
APOPHIS: Encore vous. Vous paierez pour votre insolence. JAFFA KREE
JACK: Je croit qu’on est mal barrer.
SAM: je vous le fait pas dire mon Colonel.
JACK: C4est incroyable comme j’aime votre optimisme Carter vous avez le don de me remontez le moral.
SAM: Désole mon Colonel.
JACK: Carter!!!! Qu’est ce que je vous est dis chercher un moyen de sortir de la au lieu de vous excuser.
FIN DE LA 1ere PARTIE
Si vous désirez une suite il suffit de demander j’attends vos commentaires merci de m’envoyer un mot
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