Ceci est la suite de ma fanfic " Le Goa’uld Vampire des Terres du Milieu "
Disclaimer : Aucun des personnages présents dans cette fic ne m’appartient. Si vous voulez savoir à qui ils sont, zavez qu’a refaire une recherche sur le net parce que j’ai toujours pas envie de bosser.
Résumé : Les dirigeants de la sociétés Umbrella ont réussi à s’emparer de la porte des étoiles et se servent des peuples d’une petite planète comme sujet d’expérience. Gabe demande l’aide de SG1.
Note de l’auteur : Cette fic est encore un pur délire de ma part. C’est toujours pas la peine de m’envoyer de mails incendiaires, je les lirai pas non plus cette fois ! Na ! Mais je lirai les autres par contre. Comment ferais-je me redemanderez-vous ? You know, the Force is still strong with me. Chris-redfield@caramail.com
Resident Gate
Le général hammond mangeait tranquillement sa troisième pizza de la journée lorsque que le téléphone sonna. Il abandonna tristement la part qu’il tenait à la main et porta le combiné à son oreille. A l’autre bout du fil, le garde de la porte tendit le téléphone aux personnes qui se tenait devant lui. L’un d’eux s’avança et entama une longue discussion avec le dirigeant de la base. Lorsqu’il raccrocha, les hurlements de colère du général continuèrent à résonner sur un rayon de plusieurs kilomètres. Les quatre membres de l’Agence se dirigèrent vers l’ascenseur sans quitter le sol des yeux.
Le colonel O’Neill se précipita vers le bureau de son supérieur, l’arme au poing. Il défonça la porte mais ne trouva aucun intrus dans la pièce. Lorsqu’il croisa le regard du général, il put y lire la colère mais aussi la résignation. Alors le colonel poussa un cri d’animal blessé.
Jack> Noooon !
Hamond> Et si !
Jack> Pas lui ! Qu’est ce qu’il a fait cette fois ?
Hamond> Lorsque vous étiez sur le monde Terre du Milieu, une milice armée s’est emparée de la porte de l’Agence. Il voudrait la récupérer mais ils n’ont aucune piste.
Jack> Bon ! Je vais chercher tout le monde.
Quelques minutes plus tard, SG1 et les membres de l’agence étaient réunis dans la salle de briefing. Le général fit signe au major Carter de prendre la parole.
Sam> Comme vous le savez tous, la porte des étoiles émet des vibrations mesurables lors de son utilisation. C’est ce phénomène qui permit à l’équipe de retrouvé la seconde porte en antarctique. Durant les deux derniers jours, les détecteurs ont enregistré plusieurs utilisation de la stargate. Après triangulation du signal, nous sommes en mesure de situé le site à trois centimètres et demi près. La Stargate manquante se trouvent donc …
Un bruit familier l’interrompit en plein speech. Elle poussa un soupir résigné avant de se retourner. Toutes les personnes présentes dans la salle de briefing étaient affalées sur la table. Carter réveilla tout le monde puis, saisissant un gros feutre rouge sur la table, elle se dirigea vers la mappemonde accrochée au mur et traça une croix rouge en plein milieu du continent Antarctique.
Jack> Qui est le con qui a remis la porte au freezer ?
Hamond> Mettez vos moufles ! Vous partez tout de suite.
La tête du zombie explosa et il s’effondra. Chris Redfield jaillit du couloir, son fusil à pompe à la main. Il descendit vivement les marches et se retrouva dans un grand hall. Il contourna alors l’escalier et tomba finalement sur sa sœur. Claire était attachée au mur par un réseau de filaments gluants. Elle était inconsciente. Chris, pressé de la délivrer leva son fusil à pompe. Claire ouvrit alors de grands yeux et remua frénétiquement sa tête de gauche à droite.
Claire> Avec le couteau. Avec le couteau.
Chris> Si on peut même plus s’amuser.
Lorsque la jeune femme se retrouva enfin totalement libre, un rire dément jaillit au-dessus d’eux. Chris fut le premier à reconnaître la silhouette.
Chris> Alexia !
Claire> C’est pas un travelo ?
Alexia> I am Alexia Ashford !
Les deux jeunes héros se tournèrent vers le narrateur
Claire> ben elle parle pas français ?
Narrateur> Elle a tué la fille qui devait la doubler.
Chris et Claire> (avec un air de totale compréhension) Aaaaaaah !
Alexia> I’ll kill you for what You’ve done to my brother. You will pay …
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. En effet, un bombardier B2 traversa alors le plafond en la bousculant un peu et elle alla se fracasser contre le mur. Lorsque le nuage de poussière retomba, la porte avant de l’avion s’ouvrit. Un militaire en sorti. Il examina les alentours avant de se retourner vers l’avion.
Jack> Je vous avais dit qu’on volait trop bas major.
Une jeune femme blonde sortie à son tour de la carcasse du bombardier, suivit de six autres militaires.
Sam> C’est pas ma faute. J’ai éternué.
Lian> Merci d’avoir voyagé sur la compagnie US Air Force.
Daniel, qui avait commencé à explorer les alentours, se demandait quel genre de civilisation étrange pouvait bien vivre ici. Il se rappela alors qu’il se trouvait sur Terre et se tapa la tête sur le mur de dépit. Lorsqu’il releva les yeux, une jeune fille le regardait avec un drôle de regard.
Claire> Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ?
Chris> (pointant le canon de son lance-roquettes vers le visage de l’égyptologue) Vous faites partie d’Umbrella ?
Daniel> (pas rassuré) Jaaaaaaaaack !
Après quelques minutes de parlementation et un apéro au bistro du coin, Chris consenti enfin à baisser son arme. Chacun expliqua alors les raisons qui l’amenaient dans le complexe du consortium pharmaceutique Umbrella. Lorsque tout le monde eut fini de parler, Claire eut soudain l’impression d’avoir oublier quelque chose. Elle était encore plongée dans ses pensée quand un grincement de porte la fit sursauter. Ils pointèrent tous leurs armes en direction d’un jeune homme qui les regarda étonné. Claire compris soudain ce qui la travaillait.
Claire> Steve ! T’es vivant.
Steve> Euh … C’est qui tout ce monde ?
Tout le monde recommença donc son explication pour le retardataire. Steve ne réagit que lorsque Gabe parla d’un anneau en métal à forte valeur sentimentale.
Steve> J’ai vu un truc comme vous avez dit dans la salle où j’étais enfermé.
Ils suivirent tous le jeune homme jusque dans une longue salle remplie de marchandises. La mention toxique apparaissait sur la plupart des boites. Gabe s’approcha du Stargate et le sera très fort dans ses bras. Sam posa quelques question très technique à Claire qui ne s’endormi pas. Quand elle compris ce que contenait les contenaires devant eux, elle comprit ce qui s’était passé.
Sam> Mon colonel. Je crois qu’il se servait de la porte pour mener leurs expériences sur une autre planète.
Jack> Maintenant ils sont bloqués là-bas. On rentre major.
Daniel> Mais on devrait pas aller sauver les indigènes ?
Jack> On a pas les coordonnées de leur monde. On emballe la porte et on se casse.
Claire> J’ai trouvé une disquette dans la salle de cryogénisation. Il y a sept symboles dessinés dessus. J’ai essayé de la lire mais c’est crypter.
Sam> Faîtes voir … Ce sont des coordonnées. Nous savons où ils sont parti.
Lian > Nous devons les arrêter.
Daniel > Il faut empêcher le meurtre des innocents de cette galaxie.
Teresa et Chris> On va casser du zombi.
Teresa et Chris se regardèrent alors droit dans les yeux et se mirent à sourire.
Teal’c> je suis d’accord avec eux, O’Neill. Nous devons aider ce peuple à combattre les faux dieu et les consortiums pharmaceutiques psychopathes.
Gabe> Du moment que je récupère ma porte après …
Jack> Et merde ! J’appelle le général.
Hunk se réveilla en sursaut. Il s’était endormi durant son tour de garde. Si son chef apprenait ça, il allait se faire tuer ou pire. Il scruta l’obscurité à la recherche du bruit qui l’avait sorti du sommeil. Le bruit se répéta juste derrière lui. Il se retourna juste à temps pour voir la septième loupiotte rouge s’allumer. Le flot bleu du vortex s’élança hors de l’anneau, éclairant les moindres recoins de la salle d’embarquement. Lorsqu’il se stabilisa, une silhouette en sorti.
Jack plissa le nez dès qu’il eut franchi la porte. Il y avait une drôle d’odeur dans la salle et il se demandait bien ce qui pouvait dégager une puanteur pareil. Baissant les yeux, il avisa une paire de rangers encore fumante juste devant lui. Sam traversa l’anneau à son tour et fut surprise de voir son colonel essayer une nouvelle paire de bottes qui lui allait fort bien d’ailleurs. Le vortex se referma finalement et ils se répartirent en cinq groupes :
Jack et Sam seraient le groupe Alpha,
Teresa et Chris le groupe Bravo,
Claire et Steve le groupe Charlie,
Gabe et Lian le groupe Delta,
Teal’c, Lawrence et Daniel le groupe Tango.
Les groupes alpha, bravo, charlie et Delta sortirent de la salle et se séparèrent afin d’explorer le complexe. Le fait que chacun de ses groupes soit constitué d’un homme et d’une femme était bien sur totalement fortuit. Pendant ce temps, le groupe tango s’installa tranquillement près du Stargate et commença à pique-niquer. Il ne remarquèrent pas la caméra qui était fixé sur eux.
Albert Wesker fixait son écran, un grand sourire sur les lèvres. Ainsi donc, les STARS l’avaient suivi jusqu’à l’autre bout de l’univers. Il ne connaissait pas leur compagnon de route mais cela ne changeait rien à ses plans.
Wesker> Je vous tueraient … tous ! Vous allez mourir !
Son rire démoniaque résonna dans tous les couloirs du complexe souterrains. Lorsque enfin il se calma, il appuya sur un gros bouton rouge sur lequel il était écrit : Ne pas appuyer. Aussitôt, toutes les cages du laboratoire s’ouvrirent et les créatures qui y étaient enfermé depuis plusieurs jours se jetèrent sur leurs tortionnaires. Lorsqu’ils eurent fini de petit-déjeuner, ils se répandirent dans le complexe.
Wesker> Nous allons voir si vous réussissez à vous en sortir cette fois.
Son rire démoniaque résonna à nouveau dans tous les couloirs.
Teal’c> La ferme, bordel ! Je voudrais bien manger tranquille.
Le rire s’arrêta immédiatement. A la place, des sanglots se firent entendre tandis que Wesker courait vers sa chambre en pleurant.
Teresa et Chris se déplaçaient furtivement dans le couloir lorsqu’ils remarquèrent une silhouette devant eux. Ils levèrent leur arme et tirèrent. Le zombi s’écroula, une balle dans chaque œil. Les deux jeunes gens se félicitèrent l’un l’autre et reprirent leur chemin. Après avoir trucidé une trentaine de mort-vivant, ils tombèrent sur un Hunter. Le gros singe mutant était tranquillement assis à une table. Il se découpa une nouvelle tranche de scientifique et l’avala gloutonnement. Puis il s’essuya la bouche, plia sa serviette et la posa près de son assiette. Poussant un cri strident, il se jeta sur nos deux héros mais fut fauché en plein vol par le mp5 de Teresa. Il essaya de se relever mais Chris posa son pied sur sa gorge pour l’empêcher de bouger. La pauvre créature vit le canon du magnum s’approcher lentement de sa tête. Elle n’entendit jamais la détonation.
Chris se releva et se mit à gueuler comme un sourd.
Chris> Merde ! Ma veste toute neuve. Y a plein de sang dessus maintenant. C’est dégueulasse !
Il finissait de retirer sa chemise lorsque Teresa, ne pouvant résister plus longtemps, se jeta sur lui et lui arracha son pantalon. Bien … hum … Nous reviendrons sur eux un peu plus tard voulez-vous.
Pendant ce temps, Claire et Steve avançait prudemment dans un couloir. Ils avaient bien rencontré quelques zombis sur leur chemin mais rien de bien grave jusqu'à maintenant. Mais depuis quelques minutes maintenant, Claire avait l’impression que quelqu’un les épiait. Lorsqu’ils arrivèrent devant la dernière porte, la sensation de gêne s’accentua. Elle serra plus fort son Beretta et ouvrit la porte.
Elle reconnut tout de suite le rire dément qui les accueillit dans la nouvelle pièce. Derrière elle, une grille coulissa sur la porte, empêchant toute fuite. Steve se mit à paniquer et Claire fut forcer de l’assommer.
Claire> Je suis forcée de t’assommer !
Steve> Aie
Alexia apparu alors en haut des escaliers. Elle portait la même robe que le jour précédant mais son physique avait quelque peu changé. Sa rencontre avec le bombardier B2 avait laisser quelques séquelles. Elle avait un joli tatouage de l’US Air Force sur le bras et le train d’atterrissage de l’avion était maintenant partit intégrante de sa tête. Curieusement, elle ne semblait pas gênée par cette protubérance. Son bras droit s’enflamma mais elle ne s’en souciait guère. Elle commença à descendre les marches tandis que tout son corps se transformait sous l’action du feu. Elle arriva en fin à la hauteur de claire et sourit de toutes ses dents.
Alexia> You’re dead !
Claire> Putain ! T’as une haleine de chacal !
Steve, qui s’était réveillé, saisit un extincteur tout proche et l’utilisa sur la créature qui fut autrefois Alexia.
Alexia> What the fuck … ?!?
On entendit un bruit sourd lorsque l’extincteur vint s’écraser sur le crane de la pauvre créature. Steve, content de son effet, frappa encore et encore la forme sanguinolente sur le sol. Lorsqu’il décida que cela suffisait, une demi-heure avait déjà passé. Il lâcha son arme improvisée et se retourna vers Claire. Celle-ci le regardait d’un air extasié. N’y tenant plus, elle se jeta sur lui et lui arracha tous ses vêtements. Bien … hum …Décidément.
Gabe et Lian montèrent lentement les escaliers. Gabe suivait la jeune femme et surveillait son derrière … ses arrières. Il ne remarqua pas la silhouette qui se déplaçait juste au-dessus de lui. Lorsqu’il ressentit la présence, il était trop tard. Le Licker se laissa tomber au sol et darda sa langue super-hyper-méga-giga-etc… longue et entoura le cou de sa proie. Lian, qui n’avait pas vu la situation, continuait à avancer tandis que la silhouette de son coéquipier faisait des gestes frénétiques pour attirer son attention. Finalement, Gabe se rappela le semi-automatique qu’il avait à la main et tira un chargeur complet sur la créature qui le lâcha précipitamment.
Licker> Non mais ça va pas non ! Une peau toute neuve. J’arriverais jamais à la ravoir.
Des bruit de pas retentirent tandis que Lian s’élançait vers le Licker. Elle porta la main à sa ceinture et poussa un cri qui glaça le sang de son adversaire.
Lian> Kyaaaaaaaaaai
Licker> C’est qui cette malade ?
Lian> Il ne peut en rester QU’UN !
La lame du katana brilla un faible instant dans sa main avant de rejoindre son fourreau. La main toujours sur la garde de son sabre, Lian se détourna de son adversaire. Derrière elle, la tête du Licker glissa au sol. Le reste du corps parti à sa recherche en tâtonnant sur le sol. Gabe regarda sa coéquipière avec un nouveau regard.
Gabe> Tu … Tu m’as sauvé la vie.
Il se jeta alors sur elle pour lui arracher ses vêtements (Et c’est reparti !). Il était toujours en l’air lorsqu’il rencontra la paume de la main de sa partenaire (Ah tiens, non !). Sous la force de l’impact, il fut projeter plusieurs mètres en arrières. Le Licker qui se trouvait sur sa trajectoire valsa à l’autre bout de la pièce et se rétama la gueule dans les escaliers. Gabe se releva la tête en sang. Il se précipita vers les escaliers avec un pauvre sourire sur les lèvres.
Gabe> Désolé. C’est pas ma faute.
Licker> Ouch !
Gabe> (se retournant vers Lian, les yeux plein de larmes) Pourquoi ?
Lian> C’est une fanfic tout public là. Sale pervers.
Narrateur> Comment elle t’as fracasse. Arf arf arf.
Gabe> Oh ! Hey ! C’est bon, hein !
Licker> Help !
Ils reprirent leur chemin en oubliant pas de vérifier le plafond cette fois.
Jack et Sam arrivèrent devant la porte de la salle de surveillance. La scientifique posa ses fesses (fort jolie d’ailleurs) devant l’ordinateur et commença à farfouiller dans les dossiers. Son regard s’éclaira quelques secondes plus tard.
Sam> J’ai trouvé la carte du complexe. J’ai plus qu’à l’imprimer.
Jack> Waaaah ! Ils ont les moyens ici. Vous avez vu leur imprimante. C’est une Lexmark® !
Sam> Je sais. J’ai la même chez moi.
Lecteur> …
Jack> (se tournant vers le narrateur) Personne va comprendre là ! Faut leur expliquer que c’est une private joke !
Narrateur> C’est une private joke !
Jack> Waaaah ! Quel talent !
Narrateur> Oh ! La ferme !
Sam> Dites ! On peut continuer ?
Chirac> Mangez des pommes !
Jack> Qu’est ce qu’il fout la lui ? Dis ! Tu te sens bien Narrateur ?
Narrateur> …
Jack> Narrateur ?!?
Sam> Il est parti ?
Jack> J’ai l’impression. Ca te dirais pas qu’on aille dans la chambre à côté ?
Sam se mit à rougir comme une pivoine. Elle se jeta sur son supérieur et l’embrassa fougueusement. C’est à ce moment que le narrateur sorti des toilettes.
Narrateur> Aaaaaargh ! Stop ! Pas de romance entre vous deux. Jamais ! Sinon je vais me faire lapider par mes lecteurs.
Jack et Sam> C’est pô juste !
Ils quittèrent la pièce en boudant.
Prochaînement, la suite de votre programme
Ne zapper pas …