Bienvenu dans l'âge ingrat

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

résumé : cassi rencontre quelques problèmes au collège

genre : humour (j’espère) gentillet, et bien sur Romance !!!!!

disclaimer : pas a moi

note de l’auteur : je veux pas avoir l’impression de mendier mais c’est vrai qu’un petit mail ça fait pas de mal L … même plutôt du bien J !

petite note à la fin, plus une idée issue d’un bouquin réel que je site…(très bon livre d’ailleurs)

bienvenu dans l'âge ingrat

SG1 était à l’infirmerie après un banal retour de mission et attendaient le docteur Frasier

J : allez Daniel !!! je suis sur que vous en mourez d’envie en plus!

D : NON ! vous passez en premier et c’est comme ça Jack !

J : haaaa !!!! j’ai compris !!! vous voulez être le dernier pour rester plus longtemps !

T : puis-je savoir d’ou vient cette attirance pour le personnel médical de la part des hommes de cette planète ?

S : pardon ?

T : je me rappelle que l’on m’a parler du syndrome des blouses blanches mais je n’ai pas eu d’explication…

D : on en parlera plus tard Teal’c !

S : NON !

D : quoi ? il faut bien qu’il apprenne …

S : pas comme ça ! je vais lui apprendre moi ! Comme ça il sera tout à fait présentable

D : mais…

J : Daniel, avouez que vous en avez fait n’importe quoi de lui ?

D : mais Teal’c n’est pas de la patte à modeler, c’est vraiment dur de lui expliquer

S : je pense y arriver

J : on peut assister au cours ???

Elle le regarda étrangement en levant les sourcils

J : non ?? bas ! tan pis

Janet fit alors sont entrée, elle ne saluât personne et se pencha directement sur les analyses

Janet : tout va bien ! allez y !

S : Janet ?

Janet : quoi ?

S : tout va bien ?

Janet : oui, allez en salle de briefing, le général vous attend

J : doc. ! on voit bien que ça ne va pas !

Janet : rien d’important colonel

S : à propos de quoi ?

Janet : … c’est Cassi…

S : que ce passe-t-il ?

Janet : justement je ne sais pas !

J : elle a un problème ?

Janet : ho oui ! et un gros !

S : tu me fait peur là !!! dis moi ce qui ce passe !!!!!

Janet : il se trouve que notre chère petite se trouve en pleine crise d’adolescence !

J : ha… et c’est tout ?

Janet : colonel, pour une petite fille qui n’a pas grandis ici c’est vraiment beaucoup !

S : que peut-on faire ?

Janet : je n’en sait rien, mais elle est vraiment étrange, elle ne me parle presque plus, elle ne sourit jamais…

S : c’est à cause des ses… vous pensez ?

Janet : elle m’en aurait parler je pense !

S : pas sur…

T : de quoi parlez vous ?

J : ne posez jamais une telle question à l’avenir Teal’c !

Janet : elle est distante et semble malheureuse, elle ne veux rien me dire de sa vie au collège, mais je sais que quelque chose ne vas pas

S : on peut venir la voir si tu veux ?

Janet : ça pourrait peut être l’aider…

J : mais oui ! tenez…vous doc., vous représentez l’autorité maternelle c’est normal qu’elle ne puisse plus vous voir dans cette période de sa vie !

Janet le regarda surpris

J : ben quoi ? j’ai été un ado moi aussi, je sais comment ça marche

D : et vous n’en êtes surtout jamais sortit ! c’est pour ça que vous connaissez la sujet à fond

J : en attendant moi j’y ai laisser mes boutons, pas comme certain qui se les trimbalent encore ! !

Janet : si vous pouviez passer à la maison ce serait bien

S : ce soir ?

J : j’en parle au général

Janet : merci beaucoup

J : ben… c’est un peut notre fille à tous alors….

***********

Le soir, chez Janet

Janet : merci encore d’être venu… entrez donc elle est dans sa chambre

S : elle sait que nous venons la voir ?

Janet : je lui ait dit que vous passeriez pour prendre un verre

D : comment a-t-elle réagit ?

Janet : … elle a hausser la son de la stéréo

D : …ha… c’est mauvais signe ça !

Daniel posa trois énormes bouquins sur la table

Janet : c’est quoi tout ça ?

D : ben… on peut en tirer quelques idées

J : pas mal !!!

S : messieurs, je suis désolé de vous dire que ça ne se règle pas avec quelques jolies phrases bien tournée, mais avec du temps ; et parfois ça peut durer jusqu'à ses 17 ans !

J : on est pas sortis de l’auberge !

Janet se plaça dans l’escalier et haussa le ton

Janet : cassi ! viens dire bonjour à tout le monde !

Cassi (criant) : je suis occupée !!!!!!!

Janet : descend tout de suite s’il te plais ! ce n’est pas polie !

Cassi : M’en fou !!!!!!

J : hey…. !!!!

Jack se leva

D : si Mahomet ne va pas à la montagne, c’est la montagne qui ira à Mahomet

J : en clair ?

D : on va la voir

S : j’y vais d’abord…

Elle alla vers l’escalier ou se trouvait Janet

Janet : bonne chance

Sam inclina la tête pour répondre

S : j’ai vu pire … enfin je pense

Elle monta jusqu'à la chambre de Cassi et frappa

C : y a personne !

S : c’est moi Sam, ouvre moi

C : je veux rester toute seule !

S : s’il te plais ma chérie

C : je suis occupée

S : ça ne prendra pas longtemps

C : et si je veux pas ?

S : ben… je peut fabriquer une bombe et faire sauter ta porte, ou je demande à teal’c de l’enfoncer ou au colonel de tirer dessus, et Daniel peut même lui parler alors ouvre là !

Elle entendis la petite clé tournée dans la serrure

Cassi portait un jogging trop large avec un grand pull, les cheveux tombant sur ses yeux et ses épaules, la chambré était dérangée c’est à peine si on pouvait voir la couleur du sol mais aussi…

S : depuis quand tu fumes ?

C : quoi ?

S : ça sent le tabac !

C : mais non

S : cassi…

C : tu n’es pas ma mère alors commence pas à me prendre la tête !

Sam resta un instant choquée par ce que venais de lui cracher la petite file

S : c’est pas bon pour ta santé, Janet ne te l’a pas dit ?

C : tout ce que sait faire Janet c’est me sortir des grande phrase médicales que je comprend pas, elle me saoule !

S : et … tu veux qu’on parle toutes les deux ?

C : non

S : je suis une amie…

C : qu’est ce que tu y comprend à ma vie de toute façon ?

S : mis à part que je ne viens pas d’une autre planète je suis passée par là aussi… comme toi j’ai perdu les êtres auxquels je tenais alors c’est un peut pareil

C : mais ça fait longtemps que je n’y pense plus… sauf le soir… mais ça n’a pas de rapport

Cassi s’assit sur le lit et Sam l’imita

S : alors ? raconte moi tout

C : c’est… c’est ridicule, tu va te moquer de moi

S : mais non !

C : ben… c’est ce garçon…

S : Ha !!!! et comment il s’appelle ?

C : Mick

S : et… ???

C : il se moque s’en arrêt de moi avec ses copains… et les autres filles de la classe c’est pareil… à la récréation je suis toutes seule, pareil en classe

S : mais pourquoi ?

C : …

S : cassi je t’en pris, je suis là pour t’aider tu sais

C : … ils disent que je suis bizarre

S : bizare comment ?

C : tu vas m’en vouloir...

S : mais non…

C : et ben un jour, la prof de français nous a demander une rédac fantastique, et moi j’ai compris qu’il fallais faire une histoire comme dans les contes, alors que c’était un truc qui nous ait arriver vraiment qu’il fallais décrire…j’ai parler de la porte en pensant que c’était de toute façon Faux puisque c’est comme un conte, mais ils ont cru que je disait que je l’avait vécu et ils me disent que je suis bizarre, ils disent que je suis moche et que je suis pas comme eux….

S : c’est rien… respire un peut…pour cette histoire de rédaction c’est pas bien grave, du moment qu’ils ont cru à une blague

C : oui mais moi je suis toute seule !

S : tu es dans une période délicate ma chérie, et j’aurais vraiment voulu que ça se passe bien pour toi… moi je n’en ait que des mauvais souvenirs

C : pourquoi ?

S : parce que j’était la première de la classe, parce que je n’était pas vulgaire, parce que je n’avait pas le droit d’aller aux boumes le soir chez des copines et des copains… de toute façon je n’en avait pas alors…

C : toi tu n’avait pas d’amis ?

S : c’est pas facile quand on ne s’adresse à toi que pour faire les devoirs des autres, alors tu ne dis pas non parce que tu pense qu’en le faisant ils t’aimerons un peut, mais c’est faux…c’est comme la cigarette

C : comment tu as fait ?

S : je n’étais pas courageuse à l’époque, je me suis laissée faire et j’ai finit par ne plus vouloir d’amis en me disait qu’il ne voulaient que mes bonnes notes, je me suis rabaissée à un tel point que je ne concevait même pas que quelqu’un puisse m’aimer pour de vrai

C : et c’est arrivé ?

S : quand je suis aller au lycée oui, je suis restée en contacte avec une seule des fille qui est restée ma meilleure amies pour ce que j’était vraiment, mais je regrette d’être passée pour une perdante pendant mes années de collège, je me dit qu’il y avait des moyens pour m’en sortir, je n’ai pas tout fait… enfin je pense

C : mais c’est pas pareil pour moi… tu ne comprend pas

S : alors raconte moi !

C : ben…c’est Mick, je le déteste mais…il est quand même drôle, et plutôt mignon

S : oui mais il te fait du mal

C : je sais, mais… c’est Mick.

S : toi tu es amoureuse

C : non !

S : moi je te dis que si.

C : …

S : écoute, tu vaux bien plus que ça, tu ne doit pas rester bloquée sur ce garçon qui te fait souffrir

C : mais toi c’est ce que tu fait pourtant !

S : moi ?

C : ben oui avec jack ! tu restes amoureuse de lui alors que vous vous faites du mal

S : mais non… on parlait de toi là alors ne détourne pas le sujet !

C : mais oui…

S : bon…j’espère que tu as compris un peut ce que je voulais te dire

C : mouais… mais ça ne me dit pas comment faire

S : ben…rend les jaloux !

C : comment ça ?

S : tu rencontre d’autres gent, tu les regarde de haut, tu lui dit ces quatre vérité et c’est bon

C : et ça marche ?

S : oui, et puis tu peut aussi faire un effort pour t’habiller un peut, ce jogging te va pas du tout

C : mais le reste ça ne me vas pas non plus

S : alors demain on va faire les courses

C : c’est vrai ?

S : oui !

C : et les autres peuvent venir aussi ?

S : bien sur, va donc leur dire

C : merci Sam

Elle l’embrassa et descendis les escalier en trombe

Janet : Melle est décidé à sortir de son trou ?

C : bonjour à tous, demain vous venez faire les courses avec Sam et moi !

J : bonjour… quoi ?

C : Sam a dit qu’on irait faire les courses pour des vêtements et je veux que vous veniez pour avoir votre avis… vous êtes des hommes non ?

J : jusqu'à preuve su contraire oui…

S : tu ne veux pas leur raconter ce que tu m’a dit la haut… tu sais ils peuvent peut être mieux t’aider que moi

C : SAM !!! c’est super gênant !!!!!!!!!!

S : excuse moi mais si tu veux t’en sortir, on peut tous t’aider…

C : mais…

S : je ne te force pas, c’est à toi de prendre la décision

C : …

S (à son oreille) : tu n’es pas obligée de leur dire que je t’ai surprise en train de fumer, mais je leur dirait si tu n’arrête pas les cigarettes dès maintenant !

C : …ok

D : tu sais cassi on peut t’aider nous aussi, d’après ce livre, l’adolescente est une période critique ou le corps se transforme et ou l’individu deviens un adulte en travaux qui…

Jack attrapa le livre

J : on s’en fou de vos bouquin, on veux cassandra nous !

Cassi se mit sur un fauteuil et commença à leur parler, bien sur c’est difficile pour une ado, mais le fait qu’aucun d’eux ne soit ces parent facilitait un peut les choses, et puis sa culture de naissance l’y poussait un peut

Une foie que tout fut clair dans le tête de tout le monde

J : alors comme ça ce petit merdeux il se paye ta tête ? tu as son adresse que j’aille voir son père ???

C : jack…

J : cassi tu me le demande rien qu’une foie et je me charge moi même de le démolir

S : ce n’est pas la solution mon colonel

J : mais si !

S : mais non !

J : qu’en savez vous ?

S : j’ai été à sa place, pas exactement pareil mais je peut vous affirmer que ce n’est pas comme ça qu’on s’en sort

J : alors comment ?

S : il faut qu’elle prenne le taureau par les cornes, il faut qu’elle leur montre ce qu’elle est réellement, voir même qu’elle les rendent jaloux et jalouses

C : c’est pour ça qu’on veux faire du shoping

D : d’après cet autre ouvrage, " l’adolescent sent son corps se transformer et ça lui fait peur, on peut appeler ça le complexe du homard, comme lorsque ce dernier change de carapace pour en faire une nouvelle, et bien pendant ce laps de temps, il est vulnérable et il risque les attaques des prédateurs plus forts que lui… "

J : la ferme !

D : mais…

J : on s’en fou de vos théories

D : c’est pas la mienne c’est dans le livre " paroles pour adolescents ou, le complexe du homard "

J : la ferme quand même !

C : alors ?

J : on vient pour demain, mais je pense qu’il faut prévoir un plan en plusieurs parties…

S : mon colonel on ne vous demande pas une stratégie militaire vous savez.

J : la vie c’est comme l’armée… tu es partante cassi ?

C : ouais !!!

J : alors voilà, on va commencer par les fringues, tu choisira ce qui te plais, mais qui reste joli quand même, ensuite, je t’apprend à sortir des super blagues

D : là tu fait un bide en général

C (s’adressant à Daniel) : comme toi quand tu viens voir Janet le soir quand je suis couchée ?

J : hahahah ! elle est déjà formidable cette petite ! tu es sure que je n’ai jamais connu ta mère cassandra ?

D : ho mon dieux !! un clone miniature de Jack ! on est perdus !

J : non… VOUS êtes perdu danny ! nuance…

C : et après ?

J : et après… le grand plan !

C : qu’est ce que c’est ?

J : tu rencontre un autre garçon et tu les faits tous se mordre les doigts !

C : mais je ne connais pas d’autres garçons !

J : mouais… et ben on va t’en trouve un !

C : mais ça va pas la tête ? je marche pas la dedans moi !

J : calme toi… tu n’es pas obligée de sortir avec… juste leur faire croire

C : comment ça ?

J : tu aimerais qu’un jeune homme de …17 ans vienne te chercher en motos devant ton collège ?

S : mon colonel ?

J : ben quoi ?

S : … rien… c’est juste que… non rien…

J (reportant son attention sur cassi) : alors ?

Janet : mais ce n’est pas dangereux ?

J : mais non

C : mais qui ?

J : ben… Daniel !

D: QUOI ??????

J : avec un casque et son air chétif on le prend pour un môme !

D : mais ça va pas ????

C : ça marchera jamais !!!!

J : mais si !!! carter vous avez une moto il ne semble ?

S : …oui…

J : alors danny arrive dessus, il s’arête, il garde son casque, cassi monte à l’arrière et ils repartent ! et ça pendant quelques jours

D : j’ai eu peur pendant un moment

J : quoi ? jamais je ne vous permettrait de poser les mains dessus vous êtes fou ?

D : la façon dont vous l’avez dit j’ai cru que c’était vous qui étiez fou Jack !

S(grand sourire) : cassi j’espère que tu te rend compte de la chance que tu as… j’aurais tuer pour ça !

J : vous ?

S : mon colonel, quelle jeune fille normalement constituée d’un collège tel qu’il soit, n’a jamais rêver d’en mettre plein la vue à des filles qu’elle ne peut par supporter ? c’est dans la tête de toutes les filles de son age ce genre de trucs !

C : ha bon ?

S : peut être pas toi parce que tu es unique comme tu le sais cassi, mais les autres vont s’en mordre les doit

Janet : je doit avouer que c’est le fantasme le plus répandu chez les collégiennes

J : hey !!! je veux pas qu’on utilise le mot " fantasme " quand on parle de danny qui va aller chercher cassandra !

S : mais nous seul savons que c’est une farce !

D : je suis partant si cassi veux bien que je vienne la chercher

C : bien sur !

J : alors affaire réglée !

C : merci !!

Elle fit un baiser à chacun

Janet : il se fait tard jeune fille, au lit car demain c’est une journée de shoping qui t’attend

J : vous pensez que le général peut demander à ce que ce soit facturé pour l’armée… une fille de cet age veux tout acheter même si elle ne le met pas !

S : ça lui donnera plus confiance en elle mon colonel, c’est ce qui compte avant tout, une fois qu’elle aura confiance elle n’aura plus besoin de nous et vivra sa vie

Janet : mais ce n’est qu’un bébé

D : d’après ce dernier livre, les parents on du mal à voir évoluer leurs enfant, ce lien affectif s’estompe et ils ne comprennent pas pourquoi alors qu’ils pensaient leurs relation était unique et qu’elle n’allait jamais s’arrêter..

Tous : LA FERME !

Le lendemain, SG1 avait obtenu un Week-end, le général avait même sourit quand ils lui ont expliquer la raison et avait conclut en disant : " c’est dur d’être parent, alors quand on est 5 à endosser rôle, on risque de se marcher sur les pieds… faites gaffe "

Mais tout ce passait bien puisque SG1 n’avait que des conseils à donner et pas de décision à prendre, Cassi devait choisir par elle même

S : et celle là ?

C : trop…rose

S : elle est pas mal !

C : Sam elle est rose cette robe : c’est la honte !

S : ho ! oui la honte ! (à Daniel) : dites moi que je ne suis pas si vielle que ça !

D : pardon ?

S : j’ai juste besoin de l’entendre

D : vous n’êtes pas vielle Sam

S : merci ! vous le pensez vraiment ?

D : ben… vous m’avez demander de vous le dire alors…

S : vous auriez pu jouer le jeu jusqu’au bout !

Et elle s’en alla à travers les rayons

D : ben quoi ? qu’est ce que j’ai dit encore ?

Cassi avait déjà trouver un petit haut violet avec un jean évasé en bas et surtout serré pour une fois, elle avait trouver une jupe trois quart en jean qu’elle pouvait mettre avec des bottes et un débardeur, un nouveau sac pour les cours et tous le reste, ils étaient tous là à la regarde quand elle sortie de la cabine

S : Wouha !!!

C : tu le pense vraiment?

S : tu es parfaite !

J : un peut trop ! tu ne va pas sortir dans cette tenue quand même ?

C : ben si !

J : ça va pas ? tu es folle ?

D : ça y est ! Jack joue le père protecteur !

S : mon colonel, elle à 15 ans !

J : et alors ? je veux pas q’un sale type pose ses mains sur elle

C : et si moi j’ai envi ?

Jack resta choqué alors que Sam essayait de ne pas trop rire

J : tu es encore jeune !

C : pas tant que ça ! j’ai 15 ans ! et tu ne peut pas m’en empêcher !

J : mais…

S : mon colonel ! un conseil, ne répondez pas… ça va en empirant

Cassi souriait de sa victoire, jack la regarda de haut en bas

J : promet moi de te méfier alors, tu sais que les hommes sont tous des porcs !

C : toi aussi ?

J : Moi ??? non !!!! bien sur que non !!!!

C : et teal’c et Daniel ???

J : Daniel je dis pas, mais pas teal’c !

D : hey !!!

J : bon ok, ce ne sont pas tous des porcs, mais méfie toi de tous ! ça vaux mieux comme ça

Cassi regarda Sam un instant

S : ils n’ont pas tord, mais ne t’empêche pas de vivre non plus !

Sam s’en alla suivit de jack et des autres

J : mais ça va pas ??? vous l’incitez à la débauche !

S : mon colonel, une ado fera toujours ce qu’on lui interdit de faire ! alors il vaux mieux lui laisser analyser la situation par elle même

J : vous… vous êtes sure ?

S : oui, elle n’est pas idiote non plus, et si ça doit arriver ça arrivera, tandis que si on l’en empêche elle ne voudra pas nous en parler et on ne pourra pas la conseiller comme il faut

J : ha… mais n’en pêche que…

S : on ne sera pas tout le temps là mon colonel

J : … vous avez raison

S : merci !

Puis elle repartie vers cassi afin d’essayer d’autre fringues dans tous les magasins de la galerie commerciale

Arrivés presque à la fin

Janet : bon, messieurs, je vous remercie, mais on va continuer seules

J : pourquoi ?

S : parce que.

J : ce n’est pas une réponse major

S : on est pas en service mon colonel

D : mais pourquoi on doit partir ?

Janet : ben… profitez en pour porter les paquets à la voiture si vous voulez vous rendre utiles

C : ce que Janet et Sam essayent de vous dire c’est qu’on aimerait bien aller dans un magasin pour femmes !

S : … Rmm… ben oui…

J : …ha…

D: en effet…

J : vous êtes sure ?

Janet : certaines

D : vous savez nous on s’y connais aussi et….

Janet : hors de question !

J : ok… bon, ben… à tout à l’heure alors…

D : on vous attend à la voiture

T : quel genre de magasin est-ce ?

S : ben… venez avec nous Teal’c, j’avais promis de vous apprendre deux ou trois trucs !

Janet : pourquoi pas. Mais vous deux (jack et Daniel), à la voiture !

Daniel et jack s’éloignait déjà

J : prenez des notes Teal’c !

Puis ils sortirent du magasin.

D : pourquoi elles ne veulent pas de nous ?

J : a votre avis ?

D : je suis déjà rentrer dans ce genre de magasin pourtant

J : ouais, mais je vais vous dire un truc… que vous y alliez seul OK, mais avec une femme que vous connaissez c’est pas possible ! parce qu’après vous ne pouvez que l’imaginer en sous vêtement !

D : ha…

Pendant ce temps…

S : et celui là ?

Janet : pour cassi ?

S : ouais…

Janet : trop sexy ! mais alors bien de trop sexy à mon goût !

Teal’c semblait en grande conversation avec une cliente du magasin

T : ce tissu semble très doux.

Femme : c’est de la soie

T : je n’en ai pas chez moi.

Femme : prenez en un !

Et comme teal’c écoute toujours ce qu’on lui dit, et ben… il acheta le soutient gorge de soie bleue

Janet : et celui là ?

C : il est pas beau !

Janet : mais si ! et puis pourquoi tu en veux un beau d’abord ??? tu ne va pas le montrer à tout le monde !!!!

C : Janet !!!! pas si fort s’il te plais !!!

S : j’ai trouver ! celui là est parfait ! gris clair, il…soutient ! et je le trouve très beau sans être provoquant !

C : il me plais bien aussi

Janet : ok ! va pour celui là

S : il y a le même en noir, ça peut servire et en blanc

C : pourquoi toutes ces couleurs ?

Janet : parce que ça dépend comment tu t’habille

S : si tu met une t-shirt blanc, tu met le blanc ! Pour ne pas qu’on le voie

C : …ok… mais… que fait Teal’c ?

Elle se tournèrent vers lui, il était en train de donner un conseil à une dame concernant le choix de ses dessous

T : celui là est bien plus doux… la couleur me rappelle là d’ou je viens…

Femme : merci beaucoup monsieur, je vais suivre vos conseils !

Plus tard à la voiture

J : alors ça c’est bien passé ?

S : très bien ! mais on a faillit perdre Teal’c mon colonel.

D : comment ça ?

Janet : les gent du magasin lui ont proposer de travailler pour eux, ils l’on adorer !

J : c’est vrai ça ?

T : affirmatif O’Neil, je leur ait promis de revenir un jour

J : Wouha…

D : Teal’c vous savez que vous réaliser le rêves de pas mal d’hommes sur cette terre !

Janet : du calme messieurs, vous reprendrez cette discussion quand nous ne serons pas là !

Tout le monde repartit dans la voiture, et SG1 retourna à la base, il était convenu que Daniel irait chercher cassi à l’école le lendemain soir à 16H en moto, vêtu d’un Jean et d’un tee-shirt moulant

J : vous devriez faire dix bonnes séries de 20 pompes Daniel !

S : je trouve que c’est suffisant pour un jeune de 17 ans

D : hey !!!

T : pourquoi ne pas mettre un peu de soie ?

J : teal’c ! c’est pas parce que vous découvrez un truc que ça s’adapte à toutes les situations !

D : bon, je peut retirer ces fringues ?

S : j’y vais, à plus tard messieurs, à 9 H demain matin au briefing !

J : pourquoi ?

S : ça concerne mon rapport sur les trous noirs et la dilatation de l’espace temps en fonction…

J : vous savez quoi ?

S : … non ?

J : vous me le direz demain ok ?

S (souriant) : à plus tard tout le monde !

Le lendemain ; le briefing se passe très bien, sauf peut être pour Jack qui n’avait pas réussit à comprendre un mot malgré toute la bonne volonté du monde

Pour cassi par contre, la journée était une véritable épreuve de survie comme lui avait dit jack dans la voiture, elle avait beau aimer ces nouveaux vêtements, elle se demandait si ils lui allaient si bien que ça et se surpris à en repérer tous les défaut jusqu'à les détester. Mais elle arrivait à son collège et il fallais qu’elle garde la tête haute, elle descendis du bus scolaire et entra dans l’établissement devant les autres élèves qui la regardaient de loin.

A la pause elle se dirigea vers son casier, suivie par quelques membres du groupe qui étaient pas super gentils avec elle

Fille 1 : et ben dites moi ! c’est cette chère cassandra que nous avons là !

Cassi se gela au son de cette voie, elle la connaissait trop bien, elle referma son casier et se retourna

C : bonjour

Fille 2 : qu’est ce qui t’es arrivé au juste ?

C : co…comment ça ?

Fille1 : tes fringues ! tu les sorts d’ou ? de la déchetterie ?

Cassi se sentie alors toute petite, mais elle se rappela ce que Sam lui a dit

*S : elle chercherons à te mettre mal à l’aise, et à te faire douter, ne rentre pas dans leur jeux*

alors elle se ressaisit

C : ça plais à mon nouveau petit copain en tout cas alors je me fou de votre avis

Fille 2 : mais oui ! comme si on allait te croire !

C : croyez ce que vous voulez je m’en fiche pas mal, il est bien plus grand et bien plus beaux que vos mecs de collège !

File 1 : arrête de baratiner, on te crois pas

Fille 2 attend un peu, on va s’amuser… et il est en quelle classe ton soi-disant mec ?

C : il est au lycée !

Fille1 : mais oui, l’espoir fait vivre !

C : vous ne me croyez pas ?

Fille (les deux) : NON !

C : comme vous voulez, mais il viens me chercher en moto ce soir…

Fille 1 : on attend de voir ça !

Puis elles partirent sans la croire

Le soir, elles étaient toutes réunis avec tous les mecs de la bande, ils devaient être une vingtaine en retrait et regardaient cassi sur le bord de la route afin d’assister au " spectacle de cassi se faisant détruire " mais elle gardait foie en elle.

J : allez y Daniel, et racontez nous !

D : tout ce que j’espère c’est ne pas avoir d’accident ! surtout si j’ai cassi derrière avec moi

S : je vous ait montrer comment faire, ce n’est pas si dur

J : courage danny, on fait ça pour la petite

Daniel démarra alors et partit en trombe

J : j’espère qu’il va pas tout faire foirer !

S : pourquoi on n’irait pas voir on colonel ?

T : comment ça major carter ?

J : mais oui !!! allez, en voiture !

Ils suivirent Daniel

J : si il va à cette vitesse il est pas près d’arriver !

S : il lui reste dix minutes, c’est amplement suffisant

Pendant ce temps, cassi attendait tout le temps sur le bord de la route, elle commençait à paniquer mais ce n’était pas encore l’heure, elle finit par ce dire que SG1 menait toujours à bien ses mission, alors elle n’avait pas à s’en faire… mais d’un autre coté, si ils avaient eu entre temps un VRAI mission… ils n’auraient pas hésiter à la planter là !

Mec : hey ! cassandra ! t’attend qui comme ça ? tu penses vraiment qu’un mec de lycée s’intéresse à toi ?

C : et toi tu pense vraiment que quelqu’un en règle général peut s’intéresser à toi ?

C ( dans sa tête) : Et pan ! merci Jack !

Elle se concentra sur la route qui était devant elle quand elle entendis un moteur arriver, c’était lui ! un sourire s’afficha sur son visage quand elle reconnu Daniel sur la moto de Sam.

Une fille dans le groupe : j’y crois pas…

Autre fille : ben merde alors…

La moto s’arrêta juste devant cassi, sans enlever son casque il la pris dans ses bras comme pour dire bonjour en temps normal, il lui passa un autre casque et elle monta sur la moto en le serrant dans ses bras comme la moto redémarrait

Un peut plus loin

C (criant à Daniel) : merci !

D : de rien !

Encore plus loin…

S : mission accomplie mon colonel.

J : rien d’autre à signaler major ?

S : RAS

J : et vous Teal’c ?

T : mis à part quelque visages hostiles je confirme la réussite de la mission O’Neil

J : parfait, tout le monde au cartier général pour évaluer la situation dans ce cas !

S : à vos ordre !

Et ils allèrent vers chez Janet ou ils trouvèrent Daniel Janet et Cassi en grande discussion

C (sautant à leur cou) : ça a marcher !

S : on sait, on étaient là !

D : ou ça ?

J : vous ne vous êtes même pas rendu compte qu’on vous avait filer tout le long du chemin !

C (à Sam) : tu as vue leurs têtes ?

S : oh que oui ! et je peut te dire que tu as fait des jalouses

C : et maintenant ?

S : ben… déjà attend d’avoir les premières réactions de ces filles et on peut continuer un moment

J : on ne pourra pas le faire indéfiniment, on a des missions qui reprennent la semaine prochaine

C : je dirait que je l’ai quitter pour un autre

D : tu me quitte ?

C : pas maintenant, à la fin de la semaine

D : j’ai le cœur brisé !

************

Quelques jours plus tard….

S : ça alors…

Sam était dans ces quartiers mais sortie en vitesse

S : mon colonel, vous avez vu teal’c ?

J : dans ses quartiers je pense… pourquoi ?

S : un léger problème…mais rien de grave…merci mon colonel

Elle continua son chemin à grande enjambée ne se rendant pas compte que Jack la suivait de loin

Toc… toc… toc…

T : oui

S (entrant): Teal’c, c’est vous qui me les avez voler?

T : quoi major carter ?

S : mes sous vêtements ! depuis que vous faites une obsession sur ce genre de chose vous réagissez comme tous les autres hommes !

T : je suis désolé major carter, j’ignorais que c’était interdis

S : c’est pas que c’est interdis par la loi, c’est que c’est un truc privé ! .. ou sont-ils ?

T : juste là…

Elle pris le tas de linge de le mis sous sa veste de tenue de corvée

S : retenez bien ça : si vous voulez voir des dessous vous en achetez comme tout le monde, parce que sinon moi j’ai plus rien à mettre !

T : excusez moi Major carter

S : y a pas de mal… mais ne recommencez plus s’il vous plais

Elle sortie mais se percuta contre O’Neil qui était juste à l’extérieur de la chambre

S : mon colonel ?

J : que ce passe-t-il?

S : … rien du tout

J : vous avez l’air énervée carter

S : tout va bien mon colonel

Il regarda son ventre qui semblait avoir pris des rondeurs

J : vous êtes enceinte peut-être ?

S : non…

T : tout est de ma faute O’Neil

S : Teal’c !

J : laissez le parler carter… vous avez peur de quoi ?

T : il se trouve que j’ai emprunter des affaires du major et qu’elle n’a pas apprécier

J : ha… et quoi ? son livre de physique nucléaire atomique nouvelle version remasterisée ?

T : ses dessous

S : Teal’c ! toute la base n’est pas censée être au courant !

T : excusez moi encore major carter

J : quoi ?? vous avez piquer les sous vêtements de carter ??????

T : c’est exacte O’Neil !

J : ça alors…

Sam commença à partir, mais il la rattrapa

J : excusez le, il ne sais pas ce qu’il fait…

S : je le sais mon colonel

J : parfois on croirait que c’est encore un grand enfant

S : c’est le cas monsieur

J : vous ne lui en voulez pas trop ?

S : je ferais avec monsieur

Puis elle se dirigea vers ses propres cartiers, le laissant souriant bêtement en pensant à ce qu’avait fait son amis et retournant le voir pour en savoir plus

Le soir même, Janet les avaient inviter à manger chez elle, ça faisait déjà plusieurs jours que cette histoire était finie et elle voulais les remercier ainsi que Cassandra

**********

chez Janet

Janet : entre donc, on n’attendait plus que toi !

S : les autres sont déjà là ?

Janet : oui

Elle entra et les trouva tous au salon attendant de manger la pizza qu’ils avaient commander

J : c’est pas trop tôt ! pour une fois que je suis pas le dernier

D : les femmes mettent plus de temps à se préparer pour sortir réellement que pour travailler jack !

J : encore un mystère que le monde masculin aimerait résoudre !

Cassi s’avança vers eux

C : j’ai quelque chose à vous dire…, déjà, merci à tous

Tous : de rien

C : grâce à votre aide ça va mieux maintenant, et devinez quoi ?

J : dis nous !

C : Mick voulais sortir avec moi !

S : Quoi ?

C : mais j’ai refuser !

J : ben pourquoi ?

C : parce qu’il a été un porc avec moi et que je ne lui pardonne pas !

S : tu as raison, il ne te mérite pas !

J : tu es bien de trop classe pour ce genre de type

C : au fait Daniel, si tu veux j’ai une ou deux amies qui t’aiment bien !

D : ça va aller merci ! pas la peine…

J : vous branchez les ados maintenant ?

D : il est connu que les adolescentes préfèrent les garçon plus murs, c’est leur façon de ce sentir supérieures !

C : c’est parce que les mec de mon age sont un peut gamin

Janet : hey !!! tu n’a que 15 ans jeune fille alors je veux pas que tu sorte avec un plus de 16 ans pour le moment !

C : pffff…. Mais je connais des personnes qui ont au moins dix ans de différence d’age et qui sont amoureux, ça ne veux rien dire…

D : je crois que je les connais aussi…

J (rapidement) : et si on portait un toast hein ? Ha cassi !

S : bonne idée ! ha cassi ! mais ne néglige pas tes études maintenant !

C : mais non !!!

Tout le monde trinquât gentiment à cette bonne semaines qu’ils avaient passés. Cassandra alla se coucher vers 23H après avoir saluer tout le monde, laissant les adultes entre eux.

J : mesdames et messieurs, je déclare la mission cassandra partie 2 terminée !

D : à quand la suite ?

S : la crise d’indépendance à 18 ans… suivit du chapitre quatre : le mariage et en cinquième : ses enfants !

Janet : c’est à peut près ça !

J : on est pas sortit de l’auberge !

S : avouez que c’était plutôt amusant…

T : vous n’aviez pas l’air de vous amuser major quand vous m’avez crier dessus ce matin

D : vous avez crier sur teal’c ?

S : mais non !!! Teal’c bon sang !! vous voulez pas le communiquer à travers la porte des étoiles non plus ?

Janet : que c’est-il passé ?

J : Teal’c fait une obsession sur les petites culottes depuis un certain temps

S : mon colonel !!!! pas vous maintenant !!!

J (faussement convainquant) : il ne fallait pas le dire ???

D : comment vous êtes au courant jack ?… étrange…

J : je me trouvais par là…

Après un digestif, Janet leur parla à son tour comme cassandra l’avait fait

Janet : moi je voudrait vous remercier de m’aider avec la petite, c’est pas facile tous les jours et je reconnais que vous avez fait du bon travail

S : c’est normal

Janet : je me dit qu’elle a de la chance d’avoir autant de parents pour elle toute seule, elle s’en rend compte, et me le dit tous les soirs

J : nous aussi on sais qu’on a de la chance de l’avoir

S : et moi je te remercie de t’occuper d’elle jours après jours comme tu le fait, je n’aurais pas supporter qu’on la place dans une famille que je ne connaissais pas

J : bon, je ne veux pas avoir à pleurer ce soir les enfants alors si on arrêtait là parce que je pense pas tenir longtemps

S : a vos ordres mon colonel

J : parfait ! il se fait tard… on va y aller

D : … ben… je vais aider à ranger, je vous rejoindrait plus tard

J : …mouais… (suspicieux)

Sam échangea un curieux regard avec Janet mais n’insista pas

S : alors à demain Janet, à demain Daniel

Ils sortirent tous les trois de la maison

J : allez campeurs ! et haut les cœurs !

Sur le chemin du retour, Jack et Sam étaient à l’avant, Teal’c à l’arrière, personne n’échangea un mot à part les petites phrases déjà toutes faire du genre " il fait pas beau en ce moment " ou alors " on dirai que l’hivers approche " mais ils essayèrent de ne pas trop discuter pour que jack puisse se concentrer sur la route, il avait bu pas mal, même un peut trop et risquait une bonne amende et un retrait de véhicule si on le trouvait dans cet état…

Jusqu'à la base le climat était assez soutenable, mais au moment de sortir de la voiture, Jack s’aperçu que teal’c était endormi dans la voiture

J : merde !

S : quoi ?

J : il a bu quoi ?

S : il ne bois pas d’habitude

J : on dirait qu’il a pris le punch pour du jus d’orange…

S : comment on fait ?

J : on le laisse là ?

S : on va essayer de le porter, à nous deux ça devrait aller

J : je pense qu’il est pas mal ici… je suis sur qu’il oubliera tout

S : ok, de toute façon après ce qu’il m’a fait je lui doit bien ça !

J : comme vous êtes rancunière… je ne vous connaissait pas comme ça !

S : mais vous ignorez encore beaucoup de chose sur mon compte mon colonel

J : ne me donnez pas envi d’enquêter major

Ils se dirigèrent maladroitement vers l’ascenseur, un airman y était posté

J : salut !

Airman : mon colonel !

J : tout c’est bien passé en notre absence au moins ?

S : on nous aurais appeler mon colonel si ça n’avait pas été le cas…

J : ha ouais… je pense que j’ai un peu trop bu…

Et il entra dans l’ascenseur se plaquant contre le mur du fond

S : faites moi une place …

J : a vos ordres

S : je pense qu’il y a confusion…

J : dans quoi ?

S : je sais pas… de quoi je parlais déjà ?

J : Je ne sais déjà plus

S : ça devait pas avoir d’importance

J : ben non, parce que les trucs importants on s’en souvient

S : comme quoi ?

J : … pfff… comme vous par exemple

S : moi ?

J : ben ouais… on risque pas de vous oublier quand on vous connais

S : c’est gentil ça…

J : ça vous étonne que je dise des trucs gentil ?

S : un peu

J : alors c’est parce que je ne vous y ait pas habitué… si je vous dit que, par exemple, vous êtes vraiment très belle ce soir, comme tous les soir d’ailleurs

S : je vous répondrais que vous avez trop bu mon colonel

La porte de l’ascenseur d’ouvrit, et elle essai d’en sortir rapidement, mais quand elle fut sortie, il l’attrapa par la main et la fit rentrer à l’intérieur de nouveau, attendant que les porte des ferment

S : monsieur ?

Il appuya sur le bouton STOP et l’embrassa sans attendre

Au bout de quelques secondes elle se dégagea

S : mon colonel que…

J : j’en avait atrocement envie

S : …ha

J : ha quoi ?

S : juste ha !

J : traduction ?

S : demandez à Daniel pour ça

J : je n’ai pas vraiment envi de le voir à l’heure actuelle

S : moi non plus à vrai dire

Il l’embrassa à nouveau, Sam ne pu s’empêcher de sortir un " wow "

J (riant) : quoi ?

S : si j’avais su ça plus tôt…

J : vous le pensez vraiment ?

S : je doit vous le répéter ?

J : pourquoi pas…

S : wow !

J : j’adore !!!

Cette fois c’est elle qui se pencha sur lui

J : j’ai l’impression d’avoir 17 ans à l’heure actuelle

S : c’est à dire que je serais à peine née ?

J : ne me cherchez pas major !

S : je veux juste vous provoquer

J : pourquoi ?

S : parce que vous n’hésitez pas à mordre dans ces cas là…

J : qu’avez vous fait de mon major carter ? ou l’avez vous enfermer ?

S : je vous assure que c’est bien moi

J : je voulais juste m’en assurer

Ils furent interrompu par l’ouverture automatique de la porte

H : colonle ! major !

J : oops

Hammond monta dans l’ascenseur avec eux comme si ne rien était

H : bonne soirée ?

J : mon général…

H : oui ?

S : mon général on peut vous expliquer…

H : je ne pense pas major carter

J : si ! on a une explication….

H : ce genre de truc ne s’explique pas colonel, c’est… la nature

J : quoi ?

H : vous avez bien entendu colonel

S : que… que doit-on penser de cela général ?

La porte s’ouvrit à nouveau, la général pris soin d’appuyer sur le bouton stop avant de sortir

H : ne vous arrêtez pas pour moi surtout… passez une bonne nuit et à demain

La porte de referma sur eux

S : heu…

J : vous pensez que…

S : il l’a dit !

J : oui ! on a rien à se reprocher alors…

S : on peut même considérer sa phrase comme un ordre

J : laquelle ?

S : … passez une bonne nuit !

FIN

J’espère que vous avez aimer, je tien à signaler que ce fic m’est très personnel et que je le dédit à une amie qui n’en aura même pas connaissance, mais c’est pas grave, je le fait quand même…

Bref, j’espère que pour certain ça n’a pas rappeler de mauvais souvenir de cette période de leurs vies…

biz