Titre : C’est quoi ce foutoir ?

Auteur : marge

Genre : humour, romance, cross over

ATTENTION : Ceci est un cross-over avec Ally Mc Beal, il est INDISPENSABLE de connaître cette série pour comprendre, sinon vous serez royalement largués... désolé mais c’est véridiquement vrai.

Note de l’auteur : bonne années à tous, j’espère que tout le monde va bien !

Ha... j’ai aussi utiliser des phrases de la série Ally Mc Beal, alors si vous êtes des habitué, vous reconnaîtrez c’est lesquelles

Disclaimer : pas à moi (les trucs saoulant reviennent vite non ?)

Résumé (j’allais l’oublier celui là) : tout commence dans la base, et ça se poursuit à Boston dans un cabinet d’avocat renommé

C’est quoi ce foutoir ?

Base de Cheyenne Montain

Sam fit le tour de la base à la recherche de Daniel, elle avait besoin de lui pour un artéfact de P2X741, mais c’est Teal’c qu’elle croisa

S : ha ! Teal’c, vous savez ou je peux trouver Daniel s’il vous plaît ?

T : il est à la salle de sport major carter

S : vous êtes sûr ?

T : tout à fait

S : et qu’y fait-il ?

T : le colonel O’Neill veut parfaire son entraînement

S ; je vais aller lui sauver la vie alors... merci

T : ce fut un plaisir

Elle se dirigea alors vers la salle de sport, puis entra

J : allez Daniel encore dix minutes !

D : je n’en peux plus jack !

J : mais si !!! tout est dans la tête

D : je vous jure que je peux plus...ouf...

S : mon colonel ?

J : ha! Carter!

S : je puis savoir pourquoi vous avez attaché Daniel à cet instrument ?

J : comme ça il est obligé de courir ou il se casse la figure

S : c’est un peu barbare vous ne trouvez pas ?

D : je lui disais.... Mais y m’écoute pas !

J : taisez vous et courez !

S : j’ai besoin de lui pour un artéfact mon colonel, pouvez vous le libérer ?

J : ... vous voulez pas repasser dans une demi-heure ? Il faut encore que je le pende par les pieds à cet engin là bas et que je lui fasse faire du vélo...

D : jack...ayez pitié

S : s’il vous plaît mon colonel, ce ne sera pas long

Elle lui fit son regard auquel il ne pouvait pas résister

D : souriez Sam ! Ça marchera !

Jack poussa le bouton encore plus vite pour se venger

D : JACK !!

S : mon colonel il va y rester !

J : ce serait vraiment grave ?

S : heu...oui quand même un peu !

Jack coupa le moteur de la machine, Daniel s’effondra

D : Sam... vous venez de me sauver la vie...

S : je vous le ferai remarquer un autre jour Daniel

Micro : le colonel O’Neill et le major carter sont attendus dans le bureau du général Hammond

J : qu’est ce qu’ils nous veulent ?

S : je ne sais pas...allons voir

En arrivant, ils pouvaient entendre le général hurler à travers la porte de son bureau

J : ho ho... c’est la crise de la soixantaine vous pensez ?

S : il n’a pas l’air dans son état...

H : COLONEL MAJOR ! ENTREZ ICI TOUT DE SUITE SINON JE NE REPONDS PLUS DE RIEN!

Jack et Sam entrèrent le général était rouge de colère

J : que se passe-t-il mon général ?

H : ce qu’il se passe ? Ce qu’il se passe ? Je vais vous le dire ce qu’il se passe ! c’est que j’ai deux parfaits imbéciles au bout de ce téléphone qui me harcèlent depuis une heure !

J : à quel propos ?

H : a propos de vous ! c’est pour ça que ça commence à me peser sérieusement !

S : qu’a-t-on fait mon général ?

H : Asseyez-vous ! TOUT DE SUITE !!!!

Les deux militaires échangèrent un regard inquiet. Hammond sortit une enveloppe marron de grand format et la passa à Jack.

H : voilà le problème O’Neill !

Jack ouvrit l’enveloppe, regarda à l’intérieur, il faillit s’étouffer et rangea le contenu à l’intérieur

S : qu’est ce que c’est ?

H : Dites-lui !

J : non !

S : me dire quoi ?

H : jack !

J : c’est rien Carter !

S : il y a dans cette enveloppe quelque chose qui me concerne et sauf votre respect j’aimerais savoir ce que c’est mon colonel

J : c’est... c’est une photo major

S : une photo ?

J : une photo truquée bien entendu...

S : je peux voir ?

J : je préfèrerais pas

H : vous allez au tribunal pour ça alors montrer lui de quoi elle est accusée !

S : accusée ?

J : apparemment un petit malin a fait une chouette photo de nous... en petite tenue...

Sam prit l’enveloppe des mains de jack et l’ouvrit, on les voyait l’un sur l’autre dans un lit

S : oh mon dieu !

J : oui, je trouve aussi que c’est mon mauvais profil...

S : non, je trouve pas c’est assez réussi...mais c’est....c’est NOUS !!!!

J : j’ai vu ça !

H : c’est pas la seule ...continuez...

Sam sortit tout le tas de photos de l’enveloppe

S : Wow

J : je savais pas que nous avions fait tout ça...

S : c’est pas nous, c’est un montage photo

J : je me disais aussi que je m’en serais souvenu... surtout celle ou vous...

H : je connais des avocats qui pourront vous défendre, ils sont assez psychopathes pour détourner toutes les lois à leur avantage...ils sont juste un peu...frappés, mais ils feront l’affaire

J : c’est pas un tribunal militaire monsieur ?

H : si, mais vos avocats seront civils... ils m’ont représenté un jour et ce sont des pros malgré les apparences... heu... si vous vous sentez agressés par leurs méthodes de travail c’est normal

J : et c’est ou exactement ?

H : à Boston

J : ok... on peut garder les photos ? ..non ? c’est juste une question...

********

Boston- cabinet Cage et Fish, réunion du matin

Richard : bonjour à tous, aujourd’hui est une belle journée...t’as pas un peu grossi Marc ? non ? bref, nous avons un super dossier, l’armée nous confie une fatale histoire de fesse ... je ne sais pas pourquoi mais je sens que cette idée va me plaire ! bref, Ally, Nelle et John sur le coup !

John : 3 avocats ?

Richard : Ling tu connais la devise de la maison... ?

Ling : argent argent argent... pouvoir et argent... est ce que j’ai dit argent ?

Ricard : c’est à l’armée que nous avons à faire messieurs dames, il faut mettre toutes les chances de notre coté ! Et à nous le pognon !

Ally : Richard je ne veux pas...

Richard : Ally tu es sur ce dossier que tu le veuilles ou non, je sais que tu es encore sous le coup de l’émotion de ta rupture, tu sais que tu peux te confier à moi...non, ne le fais pas finalement... Je dis ça pour être gentil avec toi. Alors tu seras sur ce dossier ! Rien de telle qu’une histoire de couple pour trois avocats célibataires.

Nelle : ce n’est pas parce que tu sors avec une pré-ado que tu peux te sentir jeune et dynamique

Richard : Nelle ne soit pas négative, c’est moi qui ai intercepté ton mail, c’est pour ça que ton nouveau petit copain d’Internet ne t’a pas répondu

Nelle : quoi ? mais...

Richard : la réunion est finie, bonne chance à tous !

Il sortit de la salle laissant tout le monde perplexe

Nelle : sa copine est dans sa mauvaise période ou quoi ??

*********

L’ascenseur s’ouvrit, laissant passer SG1 au complet, ils restèrent un moment à regarder ce qui se passait autour d’eux...

D : vous êtes sûrs que c’est là ?

J : y en a du monde pour un cabinet d’avocat

S : allons voir si on peut nous aider...

Sam se dirigea vers Hellène avec les autres membres de son équipe

S : Excusez-moi, je suis...

Hellène commençait à se frotter contre Jack

Hellène : je sais qui vous êtes... tout le monde ne parle que de vous depuis ce matin...(à Sam) entre nous...il est comment au pieu ?

Une voix se fit entendre par derrière

Ally : Hellène couchée !!!! ... bonjour, je suis une de vos avocates, maître Mc Beal, allons dans la salle de conférence si vous voulez bien.

Ils suivirent le convoi et s’installèrent en salle de conférence

Ally : Asseyez-vous

John : bonjour, je suis maître Cage, et voici mes collègues, maître Mc Beal et maître Potter.

J : moi c’est le colonel Jack O’Neill, le major Carter, le docteur Jackson et Théodore

John : alors comme ça vous êtes accusés de coucherie... heu... de tromperie envers l’armée... c’est bien ça ?

J : apparemment, mais c’est du n’importe quoi cette histoire... c’est des photos truquées

John : je peux voir les pièces à conviction ?

Jack lui tendit l’enveloppe que John ouvrit

John : poké-poké ...

Nelle : poulp !

John : POULP ! Nelle ce n’est pas drôle ! Arrête avec ça !

Ally (souriant) : sinon quoi ??? ...tu vas lui mettre la fessée ?

Narine de John : tuuuuuuuuuuuttttt

J : pardon mais peut-on savoir comment se sortir de là ?

John : d’après ces ... preuves...Waw...Excusez-moi mais cette... (il penche la tête vers la droite) ... bref ; on ne va pas réussir à contester ces preuves ça c’est sûr...à moins que l’on réussisse à prouver que vous n’êtes pas aussi souple que cette photo veut bien le laisser paraître...et que qui quoi...poké poki...excusez moi

Ally : le seul moyen c’est de les faire accepter !

Nelle : Ally a raison, nous allons leur faire accepter cette histoire

J : vous connaissez l’armée ?

Nelle : j’ai eu un ex militaire un jour...ça n’a duré qu’une nuit...mais quelle nuit !

Ally : tu parleras de ça ailleurs Nelle

Nelle : c’est pas parce que tu es frustrée sexuellement que les autres doivent l’être aussi !

J : excusez moi mais on parle de notre affaire là ???j’ai pas l’impression...

John : Nelle, Ally qui de vous deux connaît le manuel militaire ?

Nelle : moi, j’ai réussi à faire accepter un travesti un jour !

John : parfait, alors tu t’y colles...Ally, les histoires de cul... pardon, ...de cœur c’est ton truc, alors tu interroges ces messieurs dame comme il faut pour parer à toute éventualité pendant le procès. On fait une pause on reprend dans une heure.

J : c’est tout ?

John : nous venons juste d’avoir le dossier, mais ne vous en faites pas, nous y arriverons

**********

John rentre dans le bureau de Richard très rapidement

John : mais tu es fou ! on va la perdre cette affaire !

Richard : pourquoi ?

John : regarde les pièces à conviction !

Richard : ...WOW !!! elle est encore là ???? dis moi qu’elle est encore là !!!

John : arrête un peu, contre ça on ne peut rien !

Richard : ben quoi ? L'homme a un manche. Dieu le lui a donné pour que la femme s'en empare : fishisme ! Tu penses que c’est grave si je garde celle là... Ou non ! Plutôt celle la... je vais faire des photocopies ne bouge pas !

John : rend moi ces photos espèce d’obsédé !

Puis il ressortit du bureau

*******

J : on est chez les fous ou c’est une impression ?

D : Hammond avait raison de parler de psychopathes

T : ces humains me semblent encore plus étranges que vous O’Neill

S : je vais aller aider maître Potter pour le manuel militaire, je le connais assez bien

J : ça ne me surprendrait pas que vous le connaissiez par cœur

S : en effet

D : il semble que vous ayez sauté un passage pourtant ... " ton collègue tu ne te feras point ! "

J : DANIEL !

Hellène arriva à ce moment : excussssssssezzz moiiiiii mais il faut que je passe...

Elle se mit entre Jack et le mur puis partit vers les bureaux

J : des fous ! Des fous je vous dis !

D : je vais allez faire un tour à bibliothèque de cette ville, il paraît qu’elle est superbe

J : ravie de voir que mon procès vous passionne

D : oh mais c’est le cas...c’est juste que... je préférerais être ailleurs c’est tout !

J : je vais aux petit coin....(il trouva quelqu’un) excusez-moi...les toilettes s’il vous plaît... merci

Il s’y dirigea laissant Teal’c seul contre le mur, stoïque et impressionnant...

Plus loin Nelle et Ling discutaient en regardant Teal’c

Ling : c’est qui lui ?

Nelle : un ami des militaires, il s’appelle Théodore...

Ling : pauvre de lui, dur à porter comme prénom

Nelle : je ne l’ai pas encore bien cerné celui là...

Ling : moi le vieux je l’ai pas mal cerné en tout cas

Nelle : le colonel ?

Ling : en plus il est colonel, tu sais que j’aime le pouvoir, pourquoi ne pas me l’avoir présenté ?

Nelle : un colonel sur le point de finir en taule si je ne trouve pas comment leur faire accepter cette liaison

Ling : joue sur un trouble de vieillesse...ça doit bien exister pour les vieux

Nelle : non ça n’existe pas...je me demanderai toujours comment tu as fait pour obtenir ton diplôme de Droit toi.

Pendant ce temps, aux toilettes

J : (voyant une femme) : ho excusez-moi...

Richard arrivait derrière lui pendant que la femme sortait

Richard ; entrez, c’est unisexe ici !

J : original

Richard ; je me présente, Richard Fish, associé de ce cabinet

J : colonel O’Neill, USAF

Richard : rien que ça ! ... quand j’étais jeune j’ai réussi à me faire réformer, je me suis fait passer pour un homo et ça a marché comme sur des roulettes.

J : j’en connais qui ont fait ça aussi

Richard : au fait, je tenais à vous dire chapeau, j’ai vu les photos et c’est du bon boulot !

J : mais ce n’est pas...

Richard ; allons....nous savons bien tous les deux que ce sont de vraies photos...juste une question, votre copine et vous c’est sérieux ? ...non parce que si c’est pas le cas je pourrais peut être...

J : Carter et moi ne sommes pas...

Richard : nous allons vous sortir de cette mauvaise passe mon vieux, militaire ou pas militaire tout le monde à droit au sexe...Fishisme !

J : ...

Richard sortit des toilettes.

********

Bureau d’Ally, Sam aidait Nelle et Ally à comprendre le fond de l’histoire

Nelle : et vous nous dites qu’il n’y a rien entre vous c’est ça ?

S : exact!

Ally : depuis combien de temps travaillez-vous avec lui ?

S : cinq ans

Ally : et rien ??? pas même un petit bisou ???

S : non...

Nelle : à quand remonte votre dernier rapport sexuel ?

S : Pardon ????

Nelle : la date ! on pourra mettre ça dans le dossier, le manque d’activité peut jouer en votre faveur vous savez !

S : mais je n’ai jamais fait ce dont on m’accuse

Nelle : on ne peut pas prouver le contraire de toute façon, l’accusation arrivera à ne pas les faire contester, alors autant mettre les pieds dans le plat

Ally : nous vous croyons, mais nous ne gagnerons pas ce procès si on ne va pas jusqu’au bout

S : ...je ne suis pas la seule à prendre la décision

Nelle : on vous donne rendez-vous demain à 9H, le procès ne débute qu’à 14H

S : très bien, nous serons là

Nelle : oh... et puis Théodore peut venir s'il veut, Ling a craqué sur lui

Ally : elle est avec Jackson non ?

S : Daniel ?

Ally : non, un autre Jackson...

Nelle : oui et non, c’est compliqué ses affaires de sexe

S : je ne pense pas que ça intéressera mon ami... je lui dirai quand même

Nelle : a demain

Ally : a demain, et en forme surtout !

S : merci à vous

Sam sortit du bureau et se dirigea vers les ascenseurs ou elle retrouva Jack et Teal’c

S : on peut partir, on doit être là demain à 9H mon colonel

J : et qu’est ce qu’ils ont dit ?

S : Elles veulent continuer sur leur stratégie de départ

J : mais...

S : je sais, mais je pense que nous n’avons pas beaucoup de choix mon colonel

J : on est fichu !

Ils partirent

************

Le lendemain, salle de conférence, avec, Ally, Nelle, John, Jack et Sam

John : très bien, alors Nelle, qu’as-tu trouvé ?

Nelle : pas grand chose, un vague article sur les couples mariés... l’armée n’est pas très conciliante apparemment

J : vous avez enfin remarqué !

Nelle : on ne peut pas non plus leur demander une nouvelle loi...ce serait un peu présomptueux

Ally : on peut plaider la folie, le manque, l’envie

Nelle : en effet, le règlement ne dit rien sur les simples coucheries, ils ne parle que des " liaisons affectives ", s’il n’y a que du sexe il n’y a pas de sentiment et le règlement n’est pas bafoué

J : je peux juste vous poser une question ?

John : allez-y

J : juste pour vérifier un truc ... notre général nous a dit que vous l’aviez déjà défendu... c’était pour quel genre d’affaire ?

Nelle : le général Hammond ?

J : oui

Nelle : Richard et moi l’avions défendu...je ne devrais pas vous en parler, mais c’était pour détournement de mineure

J : QUOI ?

Nelle : mais il s’est avéré qu’il s’agissait de sa fille et qu’il avait le droit de lui prendre la main... on n'a eu aucun mal à gagner

J : en clair vous êtes spécialisés dans les affaires bizarres ?

John : en général oui

J : alors essayez d’enregistrer ce que je vais vous dire.... Cette scène (montrant les photos)... n’a jamais eu lieu, Carter et moi n’avons jamais couché ensemble, même après le harcèlement sexuel que j’ai du subir de sa part, j’ai réussi... durement certes, mais j’ai réussit à résister !

Ally : un harcèlement sexuel ? Heureusement que nous ne l’avons pas appris pendant le procès ! Expliquez-vous !

J : ...

S : c’est compliqué...J’étais droguée et je ne savais pas ce que je faisais.

Nelle : tiens ! un major de l’US Air Force qui se fait un shoot de temps en temps c’est pas banal

S : A mon insu !

John: et que s’était-il passé ?

S : le colonel O’Neill m’a cognée...

Nelle : ils peuvent faire passer ça pour du sado masochisme c’est très courant à notre époque

J : STOP ! on arrête ok ? vous êtes la pour nous aider et pas pour chercher tous nos petits faux pas et les disséquer !

John : ok... alors, colonel O’Neill, major Carter, pensez vous pouvoir subir un interrogatoire ?

Jack et Sam échangèrent un regard

J : j’ai un sentiment de déjà vu

S : moi aussi

J : quand c’est pas devant un type qui se prend pour dieu, c’est pour devoir expliquer nos vies en public !

John : mais la question est : est-ce que vous pensez arriver à rester concentrés et à ne pas donner raison à l’adversaire ?

J : on va y arriver !

*********

Tribunal, en attendant le procès, Ally et Renée prennent un café.

R : alors cette nouvelle affaire ?

A : passionnante, je défends l’armée

R : et qui est l’accusation ?

A : l’armée aussi.

R : tu plaisantes ?

A : non !

R : ça s’appelle une coure martiale ça ma chérie, ... remonte un peu ta jupe et défais un bouton de ta chemise, y aura plein d’hommes beaux et musclés là dedans !

A : arrête un peu !!!!!

R : ok, et c’est quoi cette affaire ?

A : si tu savais... c’est d’un romantisme.....

R : raconte !

A : un colonel, un major

R : homo ?

A : non, le major est une majorette si tu préfères...

R : hoooo... et que s’est-il passé ?

A : des photos d’eux falsifiées ont été interceptées apparemment... mais étant de l’armée ils sont cruellement séparés par leur devoir et...

R : tu as encore vu Roméo et Juliette toi ?

A : oui mais... c’est pareil Renée !!!

R : si tu le dis... en attendant Cendrillon, n’oublie pas que ce soir je chante au bar, je peux compter sur toi ?

A : j’y serai, mais je n’arriverai que plus tard.

Jack et Sam arrivèrent à ce moment

J : excusez moi maître Mc Beal, mais c’est où la salle du procès ?

Ally : c’est celle là, juste derrière

Renée : c’est vous le colonel et sa majorette ?

S : major carter... il n’y a pas de féminin dans les grades

Renée : j’adore l’uniforme par contre

Ally : RENEE !

Renée : passez donc au bar ce soir, je vais chanter !

Ally : je doute que ça les intéressent Renée

J : mais si, ce serait un plaisir, merci, sauf si je vais en prison en sortant d’ici !

Renée : je connais Ally, elle va vous sortir de là. Pour les affaires de cœur c’est la meilleure !

Renée partie, John arrive

John : Ally... où est Nelle ? le procès va bientôt commencer et je ne la vois nulle part...

Ally ; elle m’a dit qu’il fallait qu’elle se change

John : oh ces femmes...très bien, allons-y...

Nelle : Attendez-moi !

John : te voil...

Nelle arrivait vêtue d’un faux uniforme militaire, disons qu’il était plus...petit, serré et du style de " Nelle "

J : wow...

John : je...poké poké...on y va !

Il entra précipitamment dans la salle

Ally : c’est quoi cet uniforme ?

Nelle : je me suis dit que c’était aujourd’hui ou jamais

J : si ce modèle devenait réglementaire il n’y aurait plus de problème de recrutement dans toute l’armée soyez en sûrs !

Sam le regarda méchamment

Ally : entrons, le procès va commencer

**********

salle du procès

greffier : levez-vous ! ... affaire O’Neill/Carter contre l’armée des Etats Unis

juge : la cour martiale est ouverte... qui représente les accusés ?

John : c’est nous votre honneur, maître Cage, Mc Beal et Potter du cabinet Cage&Fish

juge : vous n’êtes pas militaire ?

John : non en effet votre honneur... cela pose-t-il un problème ?

Juge : non, continuons... maître cage...

John : merci votre honneur, ... messieurs dames les jurés, je représente mes clients qui sont respectivement le colonel O’Neill et le major Carter de l’armée de l’air des Etats Unis d’Amérique, il se trouve qu’ils sont accusés d’avoir eu un rapport sexuel... la défense vous prouvera que les accusés ne sont nullement responsables de ce qui est arrivé...et que tout ceci n’est qu’une mascarade.

Juge : merci...maître Trust, poursuivez.

Trust : merci votre honneur, mesdames et messieurs les jurés, l’accusation va tout faire, et je dis bien TOUT, pour vous prouver que le règlement militaire à été bafoué, nous vous apporterons les preuves bien qu’elles soient quelque peu dénudées si je puis me permettre. Nous allons faire en sorte de préserver l’intégrité de notre pays, en commençant par nettoyer son armée de ceux qui se moquent librement de son fonctionnement.

Juge : bien, nous allons commencer par vous maître Trust, avez-vous des témoins à appeler ?

Trust : j’appelle le colonel O’Neill à la barre votre honneur

John : objection c’est notre témoin !

Juge ; et alors ?

John : ... excusez moi... j’ai pensé que ce n’était pas pareil chez vous... enfin, dans l’armée...poké poké...

Juge : bref, colonel O’Neill venez à la barre.

Jack se plaça dans le box des témoins

Trust : colonel O’Neill, répondez par oui ou par non, vous connaissez votre major depuis 5 ans c’est exact ?

Ally : objection, elle n’est major que depuis 3 ans, cet avocat ne peut pas prétendre que le colonel O’Neill connaisse son major depuis 5 ans, car il n’y avait pas de major Carter avant ! ...*logique*...votre honneur

Juge : pfff... reformulez maître Trust... mais c’est la dernière interruption pour quelque chose de ce genre me suis-je bien fait comprendre ?

Trust : donc vous connaissez cet individu qui est désormais votre major, depuis 5 années c’est exact ?

J : oui

Trust : je vais vous présenter maintenant les pièces à convictions de la N°1 à la 25... pour le respect de tous, je vais vous faire parvenir les moins choquantes

J : mais ce sont...

Trust : par oui ou par non colonel !

Jack regarda ses avocats qui lui firent signe d’accepter, pendant ce temps les photos circulaient parmi les membres du jury.

Trust : voilà, je pense que nous pouvons dire, que... OUI, vous avez commis cet acte colonel ?

J ...(regarde encore ses avocats) : ...NON !

Trust : non ?

J : c’est un montage

John : objection votre honneur, le témoin ne voulait pas dire ceci...

Juge : vous objectez votre client maître cage ?

John : ...ben...oui...

Juge : asseyez-vous, je veux comprendre cette affaire, poursuivez !

J : ces photos sont truquées votre honneur, je le saurais mieux que personne si j’avais fait ...CA !

Trust : mais vous n’allez pas nous le dire délibérément non plus...ce serait trop simple, c’est pourquoi j’ai avec moi la pièce à conviction N°26, une lettre de M. Hardis qui certifie l’authenticité de ces photos votre honneur, elles ne sont plus contestables

Juge : l’expert n’a pas pu venir de lui-même ?

Trust : il est sur une affaire en Californie votre honneur, il s’excuse

Juge : poursuivez...

Trust : colonel, vous avez dans votre dossier militaire un nombre non négligeable de rapports faisant office de manquement de respect envers des supérieurs hiérarchiques vous en êtes conscient ?

J : oui...

Trust : 10 rapports plus exactement...en 5 ans dans les services d’interventions spéciales.

J : c’était il y a longtemps .

Trust : quels rapports entretenez-vous avec le général Hammond ?

John : objection, hors de propos

Juge : rejeté, répondez

J : plutôt bons, je suis fier de servir sous ses ordres

Trust : vous êtes même plutôt amis n’est-ce pas ?

J : je peux dire que c’est un homme pour qui j’ai beaucoup de respect et pour qui je suis prêt à donner ma vie.

Trust : ce peut-il que ce général soit un peu trop " laxiste " avec vous colonel ?

J : ho ça non alors, il en loupe pas une pour me faire la misère

Trust : pardon ?

J : l’autre jour il m’a même confié l’entraînement du docteur Jackson !!! Rendez-vous compte de la corvée que c’est !!!

Trust : là n’est pas la question, pensez-vous que le général soit trop concilient avec vous ?

John : objection, un témoin ne peut pas prétendre connaître les pensées d’autrui !

Juge : retenu.

Trust : je n’ai plus de questions votre honneur

Juge : le témoin est à vous maître Cage.

John se leva

John : colonel O’Neill, vous êtes un homme qui a cessé d’être en retraite pour revenir au service actif n’est-ce pas ?

J : en effet

John : je ne sais pas exactement ce que vous trafiquez, mais pensez-vous que vous avez eu le choix ?

J : pas vraiment

John : vous pensez donc que l’armée vous est redevable ?

J : non plus, cette remise au service actif a été bénéfique pour moi

John : pourquoi ?

J : je serais mort et enterré depuis longtemps sinon

John : racontez-nous !

J : ... j’avais tout perdu, puis l’armée m’a rappelé, au début je pensais mourir, mais je me suis accroché, j’avais des responsabilités et je les ai assumées.

John : en attendant vous n’aviez plus de vie à l’extérieur de votre travail ...

J : exact.

John : vous êtes un homme ?

J : jusqu'à preuve du contraire oui

John : plus de questions votre honneur

Juge : le témoin peut aller à sa place, maître Cage, un témoin ?

John : j’appelle le major Carter

Sam monta sur la chaise qui lui était réservée

John : pouvez vous expliquer à tout le monde qui vous êtes ?

S : major Samantha Carter de l’armée de l’air des Etats Unis d’Amérique, chercheur, astrophysicienne en biologie organique. Je suis aussi le second du colonel O’Neill.

John : ... ok.. je n’ai pas tout saisi, mais je suis sur que c’est captivant...

S : ça l’est en effet

John : Que pouvez vous nous dire de cette affaire major Carter ?

S : c’est une histoire à dormir debout, ces photos ont vraisemblablement été trafiquées

Trust : objection, nous avons confirmation d’un expert qui...

S : ... avec tout le respect que je vous dois, je suis capable de faire les même avec n’importe quel être vivant sur cette planète, une solution de di-iode et une iso tonicité perpétré par un rayonnement Alpha permet toute contrefaçon, même pour le meilleur des experts.

Tous : ...

Juge : peu importe, n’ayant pas les moyens de vérifier vos dires, les pièces à convictions sont maintenues, je ne vous autorise pas à les contester

John : ma cliente en est consciente votre honneur... alors, major Carter, voilà 5 ans que vous vivez en collectivité c’est bien ça ?

S : oui

John : comment cela se passe-t-il ?

S : ça se passe.

John : mais encore... ?

S : j’ai énormément de travail, je ne suis en lieu collectif que très peu de temps, je travaille seule

John : vous vivez sur place n’est ce pas ?

S : oui

John: et en 5 ans, combien de fréquentations avez-vous eu ?

S : ...heu...

John : n’ayez pas peur de répondre, on est entre nous

S : ça dépend de ce que vous entendez par " fréquentations " maître Cage

John : ... vous savez... avec un homme...

S : je ne saurais pas vous répondre

John : en clair, ça remonte à tellement loin que vous ne vous en souvenez pas ?

S : ... peut être...

John : merci, je n’ai plus de questions votre honneur

Juge : maître Trust !

Trust : merci... major carter, vous connaissez le règlement militaire?

S : oui

Trust : alors comment ce fait-il que vous l’avez bafouer ? et ne cherchez pas à contester les preuves surtout.

Sam regarda ses avocats, et Jack, il lui fit signe de répondre ce qu’ils attendaient d’elle, il en avait plus qu’assez de toute cette histoire

S : ... je ne sais pas

John : monsieur le juge, je demande une suspension d’audience

Juge : pour quel motif ?

John : ...détresse émotionnelle monsieur le juge !

Juge (hésitant) : accordé, nous allons faire une pause de dix minutes

*******

salle proche du tribunal

Nelle : on est dans de salles draps !

Ally : on ne peut plus reculer, qu’en penses tu John ?

John : il faut avant tout que nos clients soit conscients de ce qui va arriver... colonel O’Neill, Major Carter... asseyez vous !

Ally : John, la faute a été reconnu

John : Un des éléments de la faute, c'est l'intention !

Ally: Quoi ? Tu comptes dire que c'est arrivé par accident : cette femme avait chaud, elle s'est déshabillée et un pénis l'a pénétré ?

John : heu...

Ally : Désolé, rappelle-toi que quand tu es avec moi, tu n'as pas à avoir peur d'être le seul fou dans la pièce.

Sam et jack les regardaient sans comprendre

J : écoutez, nous on est peut être pas avocats, mais comment voulez vous que l’on y arrive si on doit décrire quelque chose qui n’est jamais arriver ?

Nelle : on va faire un test... racontez nous comment c’est arriver !

Ally : allez y, n’ayez pas peur

Mais les deux officiez extrêmement gêner ne purent rien répondre

Nelle : alors je vais vous raconter comment c’est arriver moi...

John : Nelle je ne pense pas que...

Nelle : vous n’avez pas le droit d’avoir une relation sentimentale, ... donc... laissez moi réfléchir... vous aviez bu, vous ne vous êtes pas rendu compte de ce qui ce passait, vous avez coucher ensemble, le lendemain vous avez repris vos esprit et tout oublier

J : c’est de l’express avec vous !

S : ça reste un mensonge

John : on sait, mais ils mentent eux aussi en prétendant avoir des photos non truqués, c’est de la légitime défence

S : ... vu sous cet angle...

J : vous approuver carter ?

S : non, mais...

J : si !

S : non !

J : vous venez de le faire

S : comme si vous ne pensiez pas la même chose

J : mais...

John : ok, ok on va y retourner et après ça, laissez nous faire notre travail ok ?

S et J : ...ok

********

T : docteur Jackson, je pense que nous devrions y aller

D : je vous dit que ce n’est pas la peine

T : mais c’est un moment important pour le colonel et le major, nous devrions aller les soutenir

D : ok Teal’c, mais je vous préviens que s’ils m’appellent à la barre des témoins je ne pourrais pas mentir

T : mentir sur quoi docteur Jackson ?

D : sur le fait qu’ils sont fou l’un de l’autre bien sur !

T : allons y quand même, je pense qu’ils ont besoin de trouver notre équipe complète

D : ...ok

Daniel et Teal’c arrivèrent au tribunal mais ne trouvaient pas la salle

D : si vous n’aviez pas emporter une arme avec vous on serait déjà arriver !

T : je ne comprend pas pourquoi cet appareil à sonner sur mon passage docteur Jackson.

D : c’est un détecteur à métaux, c’est fait pour ça, et on a pas le droit aux armes ici, heureusement que vous n’avez pas pris le Zat, on serait enfermer dans une cellule...

T : que ce passe-t-il docteur Jackson ?

D : ... je crois qu’on est perdus...

T : non, attendez, je connais cette personne...

Il se dirigea vers une femme

T : excusez moi, mais je suis un ami du colonel et...

Ling : je sais qui vous êtes.

T : je cherche mes amis, pourrirez vous m’aider ?

Ling : salle 25 en tournant à gauche, puis à droite

D : merci

Ils s’en allèrent la laissant seule

*******

salle du tribunal

John : ...nous pouvons poursuivre votre honneur

juge : major carter ?

Sam s’avança à nouveau vers le box des témoins

La porte grinça, on pu voir Daniel entrer avec Teal’c, ils se firent le plus discret possible et le procès continua

Trust : major Carter, racontez nous comment cela est arrivé !

S : ... heu... nous...nous avions bus, beaucoup ! ...et on ne s’est rendu compte de rien

D(à Teal’c) : je le savais !

T : quoi docteur Jackson ?

D : qu’ils avaient coucher ensemble !

S : ... et c’est tout !

Trust : donc vous reconnaissez avoir eu un rapport non professionnel avec votre supérieur ?

S : oui

Trust : votre honneur, est ce que le colonel O’Neill peut nous donner confirmation de sa place ?

Juge : colonel ?

J : ...c’est exacte votre honneur...

Trust : alors je n’ai plus de question votre honneur

John : puis-je poser d’autres question votre honneur ?

Juge : allez y.

John : major Carter, comment définiriez vous le rapport que vous avez entretenu avec le colonel ?

S : ... je dirait que ce n’était qu’un moment

John : autrement dit, vous n’avez pas de remord ni même des sentiments à son égard ?

S : ... je tient beaucoup à lui...ainsi qu’au reste des membres de mon équipe

John : cette relation était purement sexuelle et passagère donc ?

S : ... oui

John : je n’a rien à ajouter votre honneur

Juge : merci, nous entendrons votre plaidoirie dans une heure maître cage, et votre réquisitoire juste après maître Trust

Greffier : levez vous !

Le juge sortit de la salle

Trust : vous n’avez aucune chance

Ally : hey !

Nelle : à votre place, je me ferait tout petit...mais alors vraiment petit

Daniel et Teal’c arrivèrent

D : je le savait !!!!!

J : Daniel !

D : je suis super content pour vous !

J : ben nous on est pas super content pour nous !

S : Daniel, nous ne pouvions pas refuser les photos, et si nous refusions de coopérer nous étions sur de perdre... d’ailleurs, c’est encore le cas

Nelle : faites nous confiance

John : d’ailleurs Nelle, j’aimerais que ce soit toi qui plaide.

Ally : QUOI ?

John : ne t’emporte pas Ally, mais je pense que si nous utilisons la même stratégie que lorsque nous t’avons fait sortit de prison ça peut marcher

J : notre avocate à fait de la prison ? c’est merveilleux !

Nelle : qui te dis que j’accepterais de me re-déshabiller devant tout le monde ?

D : .. par...pardon ?

John : pas te déshabiller... juste faire un peut pareil pour leur montrer que le sexe est incontrôlable, je te fait confiance pour les détails

Ally : je trouve ça cruel John, Nelle n’est pas qu’une machine à exciter les hommes

Nelle : tu est jalouse parce que ce n’est pas toi qui a été retenue !

Ally : c’est faut !

Nelle : n’en pêche que toi on t’interdis de remonter ta jupe, tandis que moi, c’est le contraire !

Ally : c’est ridicule !

John : Ally, c’est une question de stratégie, si ça avait été une affaite de lutins et de père noël j’aurais fait appel à toi !

Ally (sèchement) : trop aimable !

***********

Après avoir laisser les avocats réfléchir, SG1 se retrouva dans un café

D : je suis sur que ça va marcher

S : excusez moi de ne pas être aussi optimiste que vous Daniel

J : carter, je démissionnerais s’il le faut

S : mais je ne veux pas que vous démissionniez

J : si c’est la seule solution...

D : c’est vous l’optimiste Jack !

S : Daniel à raison, avec tout le respect que je vous doit mon colonel, si vous perdez espoir, ... c’est qu’il n’y a plus d’espoir...

J : et on manquerais de revoir papa Jacob ? jamais de la vie ! et puis je pense que mes poissons ont encore de bonnes années devant eux

D : ne soyez pas SI optimiste... l’age est bel et bien présent lui, à quand la retraite ?

J : tout dépend du verdict de ce procès... et vous avez fait quoi vous aujourd’hui ?

T : nous avons fait une course.

J : acheter quoi ?

T : un album photo

D : TEAL’C !!!!

T : oui docteur Jackson ?

D : fallais pas le dire !

J : pourquoi ?

D : on comptait vous offrit les pièces à convictions...

S : mais...

J : n’y songez même pas !

D : c’était juste une idée...

S : au fait, où irons telles après ces photos?

J : je pense dans nos dossiers

D : j’ai entendu dire tout à l’heure que des photos circulaient à la base

J : qui vous a dit ça ?

S : Janet !

D : comment vous le savez que c’est elle qui me l’a dit ?

S : il n’y a qu’elle que vous pourriez appeler à trois heure du matin en comptant le décalage horaire

D : ...

J : donc tout le monde le sait ?

D : oui, mais c’est pas plus mal, comme ça vous n’aurez plus à vous cacher

J : mais on a rien à cacher... retenez moi ou la prochaine fois que je suis accusé de quoi que ce soit ce sera de meurtre !

D : moi ce que j’en dit... c’est dans votre intérêt.

S : arrêtez messieurs, la situation est critique

Sam se leva et partie hors du café

D : allez la voir au moins !

J : moi ?

D : non Apophis !

J : mais pourquoi ?

D : elle a besoin de vous

Jack ne répondis rein, attendis trois secondes comme si ne rein était, puis attrapa sa veste rapidement et sortit à la recherche de Sam, il la trouva près d’un banc, non loin du palais de justice

J : carter ?

S : mon colonel.

J : ne faites pas cette tête, je suis sur que tout ce passera bien pour vous.

S : et pour vous ?

J : je ne suis pas si facile à éliminer, beaucoup s’y sont risqués

S : pareil pour moi mon colonel

J : alors pourquoi prenons nous cette affaire tant au sérieux ? c’est vrai... ils ne peuvent pas ce débarrasser de nous non ?

S : je pense aussi

J : je suis sur que vous avez une théorie sur la question

S : peut être

J : dites.

S : je suis encore votre major mon colonel

J : justement, je vous demande de me développer votre théorie

S : justement non mon colonel... allons y, le procès va reprendre

J : ...mouais...

Ils partirent tous deux vers la salle du tribunal

********

reprise du procès

juge : je vous écoute maître Cage

John : votre honneur, je vais laisser le soin à maître Potter de faire la plaidoirie si vous n’y voyez pas d’inconvénients bien sur ?

Juge : aucun, allez y maître Potter !

Nelle se leva et attendis une seconde, regarda autour d’elle, puis elle se lança d’un air assuré

Nelle : monsieur le juge, messieurs les jury, bonjour ! (faisant le tour du bureaux) le colonel O’Neill et le major carter ont couchés ensemble...soit ! je vous l’accorde, mais nous sommes ici pour vérifier que le règlement militaire n’a pas été bafoué, et comme il dit, je site... " tout rapprochement sentimental de deux officiers dans une même chaîne de commandement est interdit " ...mais s’il n’y a pas de sentiments ???? il n’y a pas dans ce cas de rapprochement sentimental ! ...

L’avocat de l’accusation se leva et allais parler pensant que Nelle en avait terminer

Nelle : je n’ai pas finit... (il se rassit) merci... (elle enleva ses lunettes) ... messieurs, vous avez déjà tous plus ou moins collaborer avec des femmes dans vos unités. Imaginez ou repensez à ces situation quand vous êtes coupé du monde avec cette personne... imaginons que ce soit....avec moi ! (elle retira sa veste, inutile de préciser que tout le monde eu de plus en plus chaud tout d’un coup dans la salle) nous serions seuls, pendant 5 ans, ... 5 longues années à me tenir près de vous... nous sommes tous constituez d’hormones non ? (elle retira son épingle à cheveux les laissant tomber sur ses épaules dans une cascade de boucle blonde)

Nelle regarda un instant les hommes du tribunal la déshabiller du regard...

J : mince alors...

Il eu pour seule réponse un regard meurtrier de la part de Sam, mais les autres restaient hypnotisés

S : elle fait souvent ça ?

Ally : un peu trop à mon goût...

J : il faut reconnaître qu’elle a les arguments pour... enfin... elle est assez convaincante son argumentation je trouve... enfin....

Nelle reprenait en s’approchant du jury

Nelle : j’en ai moi même fait l’expérience... et si la tension sexuelle qui existe n’est pas... ( voix langoureuse) pleinement satisfaite... alors c’est le chaos qui s’abattra sur l’équipe au complet, et ça, ce n’est pas ce que veux l’armée américaine n’est ce pas ??? et elle ne veux pas ,non plus a avoir à dire " non " aux femmes dans ses rangs ??? je pense que pour une meilleure ambiance et pour un meilleur travail pour les individus coupés du monde depuis si longtemps comme le colonel et le major, l’acte sexuel devrait être permis... de toute façon comme je l’ai dit précédemment, ils n’ont pas enfreint le règlement !

Nelle alla s’assoire

Juge : ... m...merci maître Potter... ce fut....très instructif

Nelle : de rien votre honneur !

Juge : pouvons nous entendre l’avocat de l’accusation maintenant ? maître Trust ?

Trust : je...oui ! voilà... alors, le colonel O’Neill et le major carter ont pleinement reconnus leur implication dans l’acte sexuel qui est en cause de ce procès ! ils sont donc coupable de la détérioration de l’armée américaine que nous servons tous dans le respect et l’application des lois.

John se servi un verre d’eau, si lentement que Trust fut coupé dans son élan, attendant que John finisse comme s’il était hypnotisé

Juge : maître Trust ?

Trust : ...quoi qu’il en soit, leur acte les condamnent entièrement, ils sont coupable ... merci

J : j’ai préféré notre avocat ! pas vous ?

S : ....

Juge : bien, puis-je entendre ce que vous attendez du procès ?

Trust : une condamnation pour manquement au règlement militaire incluant la mise aux arrêt définitive et une amande de 500 000 dollars pour les deux accusés

John : nous demandons une non culpabilité de nos clients, ainsi qu’un droit les permettant d’avoir une relation plus qu’amicale

Juge : pardon ?

John : nous ne voulons pas d’indemnité de la part de l’armée, cela nous est inutile et sans intérêt, mais nos clients doivent être dédommagés pour ce qu’ils ont subit injustement, et nous pensons que c’est un bon compromis

Juge : ... le jury est invité à délibéré, mais comme il se fait tard, le verdict ne sera rendu que demain à 10H00, bonsoir à tous

Greffier : levez vous !

Tous se levèrent, le juge et les jury partirent

John : bon, ça se présente pas si mal !

S : vous voulez dire par le fait que vous avez presque harceler sexuellement le jury, que vous vous soyez servi d’un texte pour le détourner juste parce qu’il a été mal écrit, et que vous demandiez en même temps que nous puissions avoir le droit de contourner cette lois ?????

J : vu sous cet angle...

John : ne vous fâchez pas, nous allons gagner ce procès...

Ally : Nelle et John ont étés très bien, même si ce sont des méthodes que je n’apprécie pas toujours, mais ça m’a permis de sortir moi même de prison alors je doit bien reconnaître qu’elle a cet avantage

S : on verra...

John : bon, il faut que je repasse au cabinet

Ally : avec Renée nous avons inviter le major carter et le colonel O’Neill a se joindre à nous au bar...

J : moi c’est Jack... vous n’êtes pas militaire lors...

S : et moi c’est Sam

Nelle : votre ami Théodore vient aussi ?

J : ...possible...

Nelle : à ce soir alors

*********

le soir, au bar

Richard : alors John cette affaire ?

John : c’est encore incertain, nous verrons demain

Richard : mais on va gagner n’est ce pas ?

John : je garde une réserve...Nelle s’est bien défendue

Richard : on m’a dit, j’aurais aimer être là

Ally : qu’est ce que Ling attend comme ça ?

Nelle : les militaires... enfin, leur ami

Ally : Théodore ?

Nelle : elle a craquer sur lui mais ne l’admettra pas

Hélène : quand est ce que chante Renée ?

Ally : d’ici dix minutes à ce qu’elle m’a dit

Nelle : les voilà !

Hélène : qui ?

Ils virent arriver SG1 au complet dans le bar, ils aperçurent leurs avocats et se dirigèrent vers eux

J : sympas comme petit coin

Ally : tout va bien ?

S : un peu anxieux du jugement mais ça va aller

J : ha ! le petit scarabée à beaucoup aimer votre prestation maître Potter

Nelle : le petit... ???

J : Daniel !

D : heu...très convainquant, surtout quand on connais Sam et jack depuis longtemps

Ally : comment ça ?

D : disons que ça commence à devenir long tout ça

J : Daniel !

D : quoi ?

J : vous le savez !

D : mais non, sinon je ne vous le demanderais pas

J : et ben fermez la quand même

D : je n’ait pas d’ordre à recevoir de vous

J : peut être mais votre vie dépend de mon humeur alors ne me cherchez pas trop !

D : excusez moi mais je pense que cette histoire peut être bénéfique pour vous et...

J : ...et rien du tout et fermez là !

S : messieurs s’il vous plais...

Ils se turent aussitôt

Ling (qui les avaient rejoint) : les femmes ont toujours eu le pouvoir quoi qu’on en dise

J : aucun rapport

S : mon colonel permission de parler librement ?

J : ...allez y

S : elle a raison

J : je...mais non !

D : mais si ! regardez Sam, elle fait ce qu’elle veux de vous !

Ally : je me demandait quels avantages avait l’armée...finalement si j’avais su !

John : permet moi de te dire sans te vexé que tu aurais fait une trop mauvaise militaire ma chère

Ally : ha... et pourquoi ça ?

Richard : il a raison, tu est trop portée sur les affaires de cœur, pas assez malléable et trop maigre pour estimer survivre en pleine foret à manger des larves !

Ally : ... peut être mais j’aime bien ça quand même

Nelle : le coté " amour interdit " t’as toujours fait frissonner

J : excusez moi, mais une femme militaire à bien plus de mérite qu’un homme !

Ils se retournèrent interloqués

J : ben quoi ? elles risquent plus gros, c’est tous des porcs...ou presque tous, elles subissent bien plus que leurs collègues

S : merci de vous en rendre compte mon colonel

J : ça ne les empêches pas d’être toujours plus envahissantes ! on ne peut plus être tranquilles entre hommes !

S : comme si je ne savais pas ce qui ce passait dans la salle de repos tous les vendredis soir... sans vouloir vous manquer de respect...

J : ce n’est pas ce que vous croyez...

S : vous jouez au poker !

J : ok...c’est ce que vous croyez...

D : on est découvert !

J : on parlaient d’Hommes Daniel...

D : ...

Ling : vous ne dites rien Théodore, tout va comme vous voulez ?

T : j’essaye d’analyser la situation

J : ne vous inquiétez pas, il fait toujours ça

Ling : tirez vous des conclusions ?

T : que hommes et femmes sont indispensable, de là d’ou je viens, ils ont négliger ce détail

D : le sage à parler !

J (à l’oreille de Sam) : faut bien que ça lui serve à quelque chose d’avoir plus de cent ans

Elle lui répondis par un sourire qu’Ally remarqua, elle essaya de dissimuler le sien en buvant une gorgée

Tout d’un coup, une chanson démarra, Renée allais chanter, dès les premières notes, ils reconnurent la mythique chanson de luis Armstrong, What a wonderfull word...

Ling : vous savez danser Théo ?

Sans attendre la réponse elle l’entraîna sur la piste

Richard : votre ami est assuré dans les risques en tout genre ?

J : il en a vu pire je pense

S : qui dit que c’est pour lui déplaire ?

D : bonne remarque

Les paroles commencèrent...

I see trees of grenn, red roses too

I see them bloom for me and you

And I think to myself

... what a wonderfull word ...

D : vous voulez boire quelque chose?

J : une bière

D : Sam ?

S : pareil, merci

Daniel disparus

Ally se pencha vers Jack

Ally : invitez la à danser !

J : mais...

Ally : allez y ou je vous botte le cul !

J : comme si vous me faisiez peur

Ally : elle en meurt d’envie

J : mais oui...

Ally : je suis une femme, je sais reconnaître ce genre de trucs

J : ...

Ally : vous ne me croyez pas ?

J : je n’oserais pas remettre en cause votre féminité

Nelle s’étouffa de rire dans sa boisson en entendant ça

S : je vais aller téléphoner au général mon colonel, je revient d’ici vingt minutes

J : il vous faut vingt minutes pour parler au général ?

S : 2 minutes je lui explique la situation, 5 minutes pour qu’il se calme un peu, 3 minute pour prendre des nouvelles, et dix minutes avec Janet

J : passez le bonjour au doc. de ma part

La chanson continuait

I see skies of blue, and clouds of white

The bright blessed day

The dark sacred night

And I think to myself

...What a wonderful world...

Sam s’en alla

Ally: et vous la laissez partir comme ça ?

J : elle va faire son travail

Ally : ça peut attendre non ?

J : si elle veux une excuse pour sortir c’est qu’elle en a envie

Ally : alors vous savez que ce n’est pas la vrai motif ?

J : bien sur, surtout qu’elle l’a déjà appeler tout à l’heure

Ally : allez la voir !

J : écoutez, je sais que vous vous dites " ha un truc romantique à souhait " mais nos vies sont loin d’être romantique et on est loin de pouvoir faire ce que l’on veux, un lourd travail repose sur nous, nous n’avons pas le droit à l’erreur

The colours of the rainbow

So pretty in the sky

Are also on the faces of people passing by

I see friends shaking hands, asking "How do you do?"

They're really saying "I love you"

Ally : au risque de finir malheureux ?

J : ...s’il le faut oui

Ally : c’est trop moche

Nelle : on ne sait jamais, peut être que le juge acceptera

J : vous vous mettez le doit dans l’œil, et même si c’était le cas...

Nelle : pourquoi ?

J : elle a quelqu’un dans sa vie

Ally : non ?????

J : si...

Nelle : qui ?

J : un réacteur organique, elle préfère de loin sa compagnie que la mienne

Ally et Nelle : ...

Ally : je m’obstine à penser que vous êtes fait l’un pour l’autre !

Nelle : C'est très bien de vivre aux pays des fantasmes, c'est très bien d'être romantique et d'attendre le prince charmant et de croire qu'il y a une âme sœur pour chacun d'entre nous sur Terre.

Ally : Donc, tu ne crois pas à toutes ces choses ?

Nelle : Si j'y ai cru... Et puis j'ai eu neuf ans.

I hear babies cry

I watch them grow

They'll learn much more

Than I'll ever know

And I think to myself

What a wonderful world

Yes, I think to myself

What a wonderful world

Pendant ce temps ; Sam était sortie prendre l’air, elle marchait un peut

? : major carter ?? ... Sam carter ???

elle se retourna

S : maître cage... que faites vous ici ?

John : ho appelez moi John... je...j’avais oublier mon bloc au bureau, mais et vous ?

S : je... j’allais téléphoner...

John : on vous a déjà dit que vous mentiez très mal ?

S : on a pourtant sembler me croire au tribunal

John : qu’est ce qui vous arrive ?

S : rien, rentrez donc au chaud

John : mais j’ai tout mon temps, allons marcher un peut si vous voulez ? je suis doué pour écouter les autres

Au bout d’un moment John commença à parler

John : je présume que c’est le contenu du procès qui vous perturbe ?

S : je...

John : je l’ai bien vu dans vos yeux, vous êtes amoureuse de lui

S :... c’est présomptueux de ma part

John : pourquoi ça ?

S : je suis major de l’air force, brillante biochimiste nucléaire, la plupart des gens ne savent même pas ce que ça veux dire ! ... et pourtant, il est bien au dessus de moi...

John : la vie réelle n’est pas faites que de grades, ... vous me croyez si je vous dit qu’un nabot comme moi est sortit presque un an avec Nelle Potter ! la comparaison physique est rapide non ?

S : il y a tellement d’autres choses...mon père par exemple !

John : quoi votre père ?

S : ils ont le même age à quelque chose près ! je sais que c’est ridicule mais ça y fait...

John : vous l’aimez ?

S : bien sur

John : alors ne gâchez pas votre vie

S : ...

Sam s’arrêta et le regarda

S : si je vous disais...imaginez un instant, que l’avenir du monde entier, que la survie de chaque espèce vivante sur cette terre dépendait de la votre, si je vous disait que sans vous et une tierce personne le monde serait détruit, et qu’il y a ce risque à chaque instant de votre vie...seriez vous près à laisser tomber le monde entier et votre tache pour vous même, égoïstement ?

John : ... même superman avait trouver la temps de voir Loïs !

S : je n’ai pas cette chance, et le colonel non plus

John : je suis sur que si, mais c’est vrais que je ne connais pas bien vos vies... toutefois, je sais à quel point ça peut manquer de n’avoir personne vers qui se pencher quand ça ne vas pas, je sais que vous comptez les uns sur les autres

S : c’est vrai, on en a vu de toutes les couleurs tous ensemble...nous sommes très solidaires, mais il est trop fière

John : vous aussi peut être ? pour avouer ce que vous ressentez... ce passage ou on avoue et ou on attend la réponse de l’autre est insupportable, j’ai toujours détesté ça, c’est peut être pour ça que j’ai laisser s’échapper beaucoup d’occasions dans ma vie, je m’en mord encore les doigt, mais j’ai appris qu’il fallais passer par là pour arriver à ses fins

S : justement, dans mon cas, les deux réponses seraient des supplices

John : pourquoi ?

S : s’il est aussi attaché à moi que moi à lui, il reste que nous sommes ce que nous sommes, un colonel et un major, et si c’est l’inverse et que je me suis fait des idées...je ne pourrais pas rester dans son équipe

John : essayez un truc pour êtres plus sure de vous... vous aimez Barry White ?

********

Dans le bar

J : vous revoilà major ! alors comment va Janet ?

S : ça va bien, elle vous attend avec impatience pour votre prise de sang, buvez modérément mon colonel

D : elle sera là à notre arrivée ?

S : elle vous fera passer en dernier Daniel ne vous en faites pas

Ling et Teal’c étaient toujours sur la piste de danse

Richard : il se débrouille bien votre ami

D : merci.

Richard : Pourquoi ?

D : c’est moi qui lui ait appris

J : vous nous en cachez des choses Dany

Ally : Renée devrait encore chanter dans dix minutes

Nelle : quoi ?

Ally : je lui ai demander " je t’aime, moi non plus "

Nelle : vous dansez avec moi colonel ?

J : ... moi ?

Nelle : ben oui ! si je vous le demande ! et ne me dites pas que vous avez mal aux pieds, si vous êtes au service actif c’est que tout va bien !

Il ne se risqua pas de regard vers Sam et se leva pour rejoindre la piste de danse

Nelle (mettant ses bras autours de son cou) : alors ?

J : alors quoi ?

Nelle : elle nous regarde ?

J : j’en sait rien

Nelle (faisant une superbe manipulation) : oui ! elle a mordue

J : à quoi ?

Nelle : c’était un test, je voulais voir si elle était jalouse et possessive, test réussi colonel O’Neill

J : ha...

Nelle : c’est tout l’effet que ça vous fait ?

J (peu convainquant) : youpi !

Nelle : c’est déjà ça...

La soirée se poursuivie plutôt bien, tous s’entendaient relativement bien, mais Sam se sentie fatiguée des évènements qui s’étaient passés et voulue aller se coucher

S : bien, je vais vous laisser, je veux être en forme pour demain

D : vous rentrez à l’hôtel ?

S : oui, bonne nuit tout le monde et merci pour ce soir (clin d’œil à John)

Ally : je vous interdit de partir, pas avant que vous n’ayez danser avec votre colonel !

S : mais je suis vraiment fatiguée et...

Ally : taratata ! allez y !

S : bonne nuit à tous

Renée qui les avaient rejoint et qui n’avaient peur de rien alla jusqu'au micro

Renée : re-bonsoir à tous !

Tous : salut !

Renée : j’ai une petite histoire à vous raconter... mais avant je voudrait qu’un certain colonel et un major viennent sur la piste de danse

Personne ne bougea

Renée : ne m’obligez pas à employer les noms de famille !!!!

Sam et Jack furent pousser par les autres au centre de la piste

Renée : et maintenant , on danse !

Elle commença une chanson douce, comme du gospel qui racontait une histoire d’amour magnifique qui pouvait parfaitement s’appliquer au cas de Sam et de Jack

J : vous êtes vraiment fatiguée ?

S : oui

J : je croyait que c’était une excuse pour partir, comme pour le téléphone

S : vous saviez ?

J : oui

S : non ce n’était pas une excuse, je suis vraiment fatiguée, et je n’aurais pas du prendre la quatrième bière...

J : malheur, notre major est bourrée !

S ; non je ne le suis pas ! ... mais ma tête l’est un peu...ou alors c’est le sol qui bouge...

J (resserrant ses bras dans la dos de Sam) : je vous tient, n’ayez pas peur

Sam ferma les yeux pour ne plus voir le sol bouger et posa sa tête contre le torse de jack sans s’en rendre compte

S (parlant comme pour elle même) : je n’ai pas peur quand je suis avec vous...

Il la contempla un instant, elle était si fragile à ce moment là, il voulu lui dire combien il l’aimait, la serrer très fort dans ses bras, et se noyer dans ses cheveux... mais il ne pouvais pas bouger, il se contentait de la laisser faire, et finirent leur danse sans dire un mot, sous la voix douce et poignante de Renée

****

Le lendemain, Tribunal

John : ça va aller ?

J : y faudra bien...

S : une fois finit ça ira mieux... ou moins bien

D : restez optimiste Sam

J : c’est vous qui dites ça Dany boy ?

D : faut bien inverser les rôles parfois

Ally : il faut y aller, ça va être l’heure, courage

Ils entrèrent dans le tribunal peu rassurés, après s’être installé et que le juge soit entré avec les jury, le coup de marteaux retentit alors

Juge : membre du jury avez vous un verdict ?

Jury N°1 : oui votre honneur

Le papier circula du jury au juge et revins vers le jury

Juge : allez y

Jury N°1 : à l’accusation du colonel O’Neill et du major Carter de l’armée de états unis d’Amérique sur la loi de non fraternisation, le jury les a reconnus....coupables !

S et J : quoi ?????....

Juge : s’il vous plais, taisez vous !

J : mais....

Juge : taisez vous !

John : restez calme....

Juge : je vais prononcer la sentence... le colonel et le major son reconnu coupable des faits qui leurs sont reprochés, néanmoins, ils n’aurons pas de peine pour des raisons classées " secret défense "

J : ... c’est déjà ça...

S : c’est génial !!!

Juge : à une condition...

J : ho, ho...je la sent mal...

Juge : que je vous déclare mari et femme dans la seconde

S : QUOI ????

J : j’ai pas tout saisit là

Nelle : c’est génial !

Ally : WOW

Juge : alors ?

John : votre honneur, que risquent ils dans le cas contraire ?

Juge : tout ! après tout, s’ils sont reconnus coupable de fraternisation c’est qu’il y a des raisons...j’attend...

J : je.. heu....

S: ben...c’est à dire que....

Jack regarda Sam et essaya d’analyser la situation du mieux possible, puis tout deviens clair et limpide

J : carter !

S : quoi ?

J : vous voulez m’épouser ?

S : ben...

J : faites un effort !

S : laissez moi finir !

J : dites !

S : ça dépend.

J : de quoi ?

S : c’était une question ou une de vos phrases ironiques servant à dédramatiser la situation très complexe dans laquelle nous nous trouvons et dans laquelle je me sent complètement dépassée par les évènements ?

J : du calme, reprenez vote souffle !

S : c’est un ordre ?

J : ouais !

S : alors ?

J : alors c’était une vrai question avec un vrai mariage au bout !

S : wow

J : vous ne voulez pas ?

S : ben... j’aurais aimer que mon père soit là ! et ça ne ressemble pas trop à ce que j’aurais pu imaginer....

Ally lui glissa un truc dans la main, jack analysa la situation, puis se mit à genoux tenant une bague entre ses doits !

J : voulez vous m’épouser ou non ?

S : ... oui

Ils se relèvent et l’embrassèrent, tout le monde dans le tribunal resta sans rien dire tant ça ce fut passer si vite, il se décolèrent de leur long baiser qui c’était transformé peut à peu...il lui passa la bague autour du doit dans un tonner d’applaudissement et de rires

Juge : je vous déclare mari et femme jusqu'à ce que la mort vous sépare !

J : déjà ?

Juge : oui déjà

S : ben mince alors... j’ai pas eu le temps de m’en rendre compte

Daniel arriva accompagné de Teal’c

D : félicitation

J : si vous l’ouvrez encore je vous tue

D : qu’est ce que j’ai dit ?

J : excusez moi Daniel c’est l’habitude...

D : cette fois je n’y suis pour rien

T : mes félicitations O’Neill

J : merci c’est gentil

T : à vous aussi major carter

D : mais non, c’est le major O’Neill maintenant

J : ha ouais ! ça fait bizarre...

S : et moi donc

John : c’est la première cour martiale à laquelle j’assiste mais je doit avouer que ça valait le détour

Nelle : en effet, ces militaires sont vraiment à croquer !

Juge : quand à vous maître Potter, Dans mon tribunal, comme dans tous les tribunaux, il y a une tenue à respecter. les gens de loi sont là pour voir et juger les comportements anormaux. L'obscénité en est un, et on le juge quand on le voit. Je vous interdit de vous représenter devant mon tribunal avec une jupe aussi courte. Ce sera tout, la séance est levée !

******

Plus tard, cabinet Finch et Cage

Richard : tu as gagné ?

John : tu en doutais ?

Richard : non... mais c’est génial, on va être plein aux as, on pourra l’écrire sur nos cartes de visite " à vaincu l’armée "

John : c’est une modeste victoire, ils ont du se marier en contre partie

Richard : se marier ?

John : ça n’avais pas l’air de leur déplaire

Richard : une perle de moins dans l’océan ...

John : tu en trouvera d’autres

Richard : j’ai quand même conserver des photos...tu veux les voir ?

*********

Le soir, hôtel

les quatre amis rentrèrent en riant dans l’hôtel, ils avançaient vers les chambres comme à leur habitude, puis au moment de ce séparer

D : bonne nuit de noce !

J : quoi ?

S : ...ho...

D : ben quoi vous êtes marié maintenant !

T : je vous souhaites de nombreux descendants, c’est un signe de sagesse sur ma planète

S : c’est vous qui les portez peut être ???

D : allez Teal’c, on va les laisser seuls...

Ils partirent à travers le couloir, laissant seuls Sam et Jack, au cour de la soirée ils ne s’étaient comporté que comme deux amis, cette barrière nouvellement franchit leur fit peur

J : alors ?

S : voilà.

J : qu’est ce qu’on fait maintenant ?

S : aucune idée...

J : moi non plus

S : on peu peut être en parler ?

J : bonne idée, mais le couloir ne me semble pas le lieu le plus approprié pour ça

S : entrons

Elle ouvrit la porte de sa chambre et l’invita à entrer, une fois à l’intérieur, ils s’assirent sur des fauteuils qui se faisaient face

S : que pensez vous de tout ça ?

J : je pense qu’on peut se tutoyer maintenant ? non ?

S : oui, on peut

J : je vais avoir du mal à ne plus vous appeler " carter "... enfin, à ne plus T’appeler " carter "

S : si on reprenait depuis le début.... Ça va Jack ?

J : ça va et toi ?

S : ça va...

J : on en est toujours au même point là...

S : je sais

J : on aurais du demander le manuel à Dany

Sam souriait à cette idée

S : ça n’aurais peut-être pas été une si mauvaise idée

Jack pris un air plus sérieux et s’approcha de Sam à genoux devant elle

J : tu sais, si tu ne veux pas que ça ce passe comme ça on peut encore tout arrêter

Sam le regarda intensément, elle ne l’avait jamais trouver aussi beau, il était presque timide et peu sur de lui, il avait peur et elle le sentait, d’ailleurs elle aussi avait une trouille monstre

S : c’est ce que tu veux ?

J : ...je ne pense pas...

Jack voulaits presque partir, il venait de ce rendre compte de ce qu’il disait, il avouait ses sentiments

S : moi non plus

Il leva les yeux vers elle

S : mais je suis terrifiée

J : pas autant que moi

Hésitante, elle passa sa main sur le visage de Jack et le caressa en le regardant droit dans les yeux, ils ne pouvaient plus reculer maintenant, il se pencha vers elle et l’embrassa doucement. Ils leurs sembla que ce baiser avait duré des heures, cette fois ils avaient eu envi de le savourer, mais très vite ils retrouvèrent la même passion qui les avaient habiter au tribunal, leur baiser devint plus intense et plus fort, ils se séparèrent à court de souffle

J : wow

S : si j’avais su ça plus tôt

Il rit doucement en se re-penchant vers elle

J : j’ai si souvent rêvé de cet instant

Elle entoura ses bras autour de son cou et ils se levèrent tous les deux

S : on a la vie pour en profiter maintenant

J : je n’aurais jamais cru entendre ces mots sortir de ta bouche

Ils se remirent en action si rapidement que la conversation tourna court et se perdit dans la chambre d’hôtel, les caresses devenant de plus en plus intenses pour eux, la nuit ne s’acheva que très tard dans un dernier souffle disant " je t’aime "

****

le lendemain était le jour du départ pour SG1, ils allaient rentrer tous ensemble à la base et tout ce passerait bien

D : faut qu’on aille dire au revoir au moins

J : ils nous attendent pour 10h

S : pourquoi ?

J : ils m’on dit qu’ils feraient un petit pot pour nous

S : c’est gentil ça

J : c’est pas tous les jours qu’un cabinet d’avocat civil défendent des militaires.

T : mademoiselle Wou sera là ?

J : pourquoi ? amoureux ?

T : pas spécialement, je la trouve même terrifiante

J : elle a l’air chouette comme fille pourtant !

D : faites gaffe à ce que vous dites, vous êtes marié maintenant jack !

Jack passa son bras autour des hanches de Sam et l’embrassa dans le cou très tendrement

J : elle semble compréhensive

S : pas tant que ça ! fait gaffe !

Ils partirent vers le cabinet d’avocats

******

Au cabinet, dans le bureau d’Ally

Ally : je te jure Renée, c’était tellement.... Merveilleux, j’aurais donner n’importe quoi pour être à sa place

Renée : moi un mec me fait ça je le tue sur place, si j’avait voulu dire " non " comment j’aurais fait ?

Ally : arrête un peu, là ils étaient si... si...

Richard : ils vont arriver, tout le monde dans le hall ! et que ça saute !

Elles sortirent du bureau pour rejoindre les autres

Richard : selon ma montre et le gardien de l’immeuble, ils devraient être là dans 4,3,2,1 ...

L’ascenseur s’ouvrit enfin devant les regards de tout le monde

Hélène : vous m’attendiez ????

Richard : échec ! pas grave, ils vont arriver, pousse toi de là tu bloque l’entrée !

Hélène : moi qui croyait que c’était pour moi...qui va arriver ?

Ally : les militaires, le colonel et le major se sont mariés hier et on a gagné le procès, on voulait fêter ça !

Ascenseur : ding dong !

Sg1 apparue à ce moment

Tous : félicitations !

J : merci c’est gentil...

John : on voulais vous féliciter pour votre mariage

Richard : ben c’est fait maintenant, allez ! tout le monde au travail ! le temps c’est de l’argent. Un pour tous, tous pour moi !

Ally : essaye de ne voir en ce moment qu’un couple heureux... c’est si romantique !

Une petite musique démarra dans la tête d’Ally faisant commencer un film ou elle se voyait dans les bras de cet homme qui...

Richard : excuse moi d’interrompre ton rêve, mais pour le moment tu es seule, tu as trente ans passé et tu n’as toujours pas d’enfant, alors atterrit un peut dans le monde des vivants !

....................le disque se railla

les individus du cabinet commençaient à reprendre leurs activités normales, seul restait SG1 et leurs trois avocats

Ally : on dirait que tout ce passe bien ?

D : si vous faites allusion à ces deux là, ...demandez à ceux qui dormaient sous leur chambre...

J : Daniel !

Nelle : j’espère que ça valait le coup...je parle du procès bien sur ... Rmmm ....

John : poké poké...

S : on voulais vous remercier pour ce que vous avez fait pour nous

John : merci aussi à vous

Tout le monde le regarda sans comprendre, il fixait Sam dans les yeux, eux seuls semblaient être en accord, comme s’ils avaient une discutions interne disant " j’ai compris qu’il s’agissait de vous quand vous parliez de sauver le monde " elle répondait " merci de garder ça pour vous "

J : c’est pas tout ça mais on va louper notre avion si on y va pas tout de suite

John : bon retour

Ally : soyez heureux !

Nelle : ha au fait Théodore, Ling voudrait que vous sachiez que finalement vous n’êtes pas son genre

T : ça tombe bien !

J : allez, on y va ! bye et merci encore !

 

SG1 rentra dans l’ascenseur et appuya sur le bouton, un dernier au revoir et ils étaient partis !

********

SGC

SG1 arrivait dans les couloirs de la base de bonne humeur, ils tournèrent à un angle pour aller vers le bureau du général quand ils virent le général Hammond et Jacob discuter dans le couloir et venant à leur rencontre

H : SG1 !

J et S : mon général !

H : n’ayant pas reçu de nouvelles du procès et vous voyant devant moi j’en conclut que vous n’êtes pas coupables ?

J : ...oups !

D : quoi ?

S : ne me dites pas qu’on a oublier de vous prévenir mon général ?

J : je pensais que tu l’avais fait ?

S : et moi je pensait que Daniel l’avait fait !

D : je reposais sur vous Jack, je me suis dit que vous ne perdriez pas une seconde pour annoncer la bonne nouvelle !

T : vous voulez dire " les "bonnes nouvelles docteur Jackson

Jacob : de quoi parlez vous bon sang ?

S : bon... ça va pas être facile, surtout pour toi papa ...disons que...

J : disons que Sam et moi...

Jacob : " Sam " ?

J : on est mariés !

H : quoi ????????

S : vous avez bien entendu mon général

Jacob : ma fille...ma petite fille...

S : papa calme toi... reprend ton souffle...

D : je vous explique... ils sont sensé avoir perdu le procès, mais en réalité, ils l’ont gagné car ils n’ont aucune condamnation et ont du se marier sur le champ

H : c’est ça les bonnes nouvelles ?

J : oh y en a d’autres, Teal’c sait danser, Daniel sait reconnaître une salle de tribunal d’un café...

H : colonel...vous voulez dire que vous êtes vraiment mariés ?

Jack se pencha vers Sam et l’embrassa

Jacob : ho mon dieu... heu, excusez moi...félicitations...

H : disons que c’est génial pour vous, on s’y attendait, mais de là à être marié si vite !!!!

Jacob : sans ton vieux père !

S : on n’a pas eu le choix papa, mais on fera une autre cérémonie

Jacob : Georges, laissons les enfants tranquilles maintenant

H : tu veux un whisky ?

Jacob : volontiers...ça me remontra...au fait ! ravi que vous alliez bien mes enfants !

J : pareil pour vous papa !

Ils partirent tous les deux vers le bureau de Hammond

D : bon, je pense que tout fini bien !

J : plus que bien même

S : on ne peut mieux

T : j’ai une question ...pensez vous que les toilettes mixtes soient applicables au sein du SGC O’Neill ?

FIN

Voilà j’espère que ça vous a plus, n’oubliez pas : un petiot mot fait toujours plaisir...

Biz et bonne année à tous