Dans la peau d’un autre

Auteur : marge

E-Mail : marjo987@hotmail.com

Résumé: les membres de SG1 sont en mission, et deux d’entre eux reviennent, mais pas comme ils l’espéraient.

Spoiler : transfert (2.17)

Saison : peu importe

Avertissement : les personnages ne sont pas à moi, je fait ça pour me divertir et je ne gagne rien pour le faire.

Dans la peau d’un autre

L’équipe sg1 est comme d’habitude en exploration sur une planète apparemment normale, je dis bien APPAREMMENT normal, car c’est toujours à ce moment qu’il arrive quelque chose…

J : je ne vois pas ce qu’on fait ici…mais alors vraiment pas !

S : nous essayons de faire que les rayonnements de superproduction gamma vienne interférer avec notre positionnement afin de…

J : Ok…je retire ma question !

D : disons qu’on étudie le climat !

J : merci daniel, c’est déjà mieux !

S : désolé mon colonel

J : ne le soyez pas, j’ai pas assez fait d’études, c’est tout ! nan pèche qu vous vous en avez fait trop

D : ne soyez pas jaloux jack, sam nous a sauvé plus d’une foie avec ses théories.

T : le major carter est un des meilleurs élément que je connaisse

S : merci Teal’c

J : oui bon ben c’est fini là ? sinon elle va se sentir indispensable !

Elle esquissa un sourire qui ne passa pas inaperçu dans les yeux du colonel, mais pendant ce temps, le climat semblait avoir changé…

J : que ce passe-t-il ici ?

S : c’est justement ce que nous devons mettre en évidence mon colonel

D : autrement dis jack, c’est ce pour quoi on est là !

J : merci, mais j’avait compris ! alors major, que ce passe-t-il ?

S : il semble que cet espèce de brouillard qui vient vers nous…n’en soit pas vraiment un ! il est trop volatile, et bien de trop rapide.

J : partons d’ici, je n’aime pas ça !

S : à vos ordre !

Ils rebroussèrent chemin, mais le nuage les rattrapa, peu à peu, ils tombèrent tous dans les pommes, c’était le trou noir autour d’eux.

Jack se senti ouvrir les yeux, ou était-il ? que c’était-il passé ? il s’éclairci la vue en passant sa main devants ses yeux et se dis qu’il avait une main moins cornée que d’ordinaire !

Il regardait partout autour de lui, et vit le docteur Frasier face à lui.

J : bonjour docteur ! que me vaux ce plaisir ?

Janet : vous vous sentez bien sam ?

J (ne comprenant pas) : s…comment ? non, moi c’est Jack !

Janet : sam… vous êtes sur que tout va bien ??? vous êtes la première à faire surface, le colonel O’Neil ne s’est pas encore réveillé…

J (la coupant) : une seconde…c’est MOI le colonel O’Neil !

Janet (ouvrant ses yeux en grand) : pardon ???

J : oui, c’est ce que je vous répète depuis tout à l’heure ! mais vous ne semblez pas beaucoup m’écoutez à ce que je vois !

Janet : colonel ???

J (faussement ironique) : SURPRISE !!!! bon alors, que s’est-il pas…

Il s’arrêta brusquement lorsqu’il fit retombé son bras sur son torse, enfin…ici, on pouvait dire sur sa poitrine ! et oui… il leva le drap et vit deux bosses à travers son Tee-Shirt.

J : c’est quoi CA ????

Janet (en partant) : je ne comprend pas…. Attendez, le colonel se réveille !

J : c’est MOI le colonel !!! (tout seul) bref, dans quoi on est partis encore ?

Janet se dirigeait vers le corps du colonel qui faisait surface…

Janet : colonel ?

Pas de réponse…

Janet (hésitante) : …Sam… ?

S : oui ! janet ? que c’est-il passé ?

En parlant sam posa sa main sur sa gorge, qui sonnait étrangement.

Janet : il semble que vous et le colonel ayez changé de corps…comme c’était le cas avant pour lui et Teal’c !

S : mais…

Sam regarda dans l’autre partie de la pièce et vit son propre corps allongé sur un lit

S : je suis morte ?c’est ça !

Janet : non, je viens de vous expliquée, là bas, c’est le colonel…dans votre corps !

S : mais…comment est-ce possible ???

Janet : je ne sait pas

S : et daniel ?? et Teal’c ??

Janet (le visage triste) : ils ne sont pas revenus, on ne sait pas ce qui a pu arrivé, à vrai dire on contait sur vous deux pour nous le dire.

S : je …je n’en sait rien

J (élevant le ton pour qu’on l’entende) : et ohhh je suis lààààà

Janet avait du mal à dissocié la voie de l’esprits

Janet : oui sam, nous sommes là !

J : je vous dis que moi c’est JACK ! bon, je peu me lever ?

Janet : oui, vous n’avez rien d’autres à signaler.

Le général fit son entrée

H : vous voilà tous les deux !

J : bon, général, on fait les présentation, moi c’est le colonel O’Neil, et elle…enfin LUI, bref…c’est le major carter !

H : major !!! que vous arrive-t-il ??

Jack passa alors sa main dans ses cheveux…et, ben...ils étaient plus long que d’habitude, et il faut dire que ça fait bizarre !

Janet : il se trouve que les esprits du major et du colonel aient été comme interférés.

S : comme ce qui est arrivé à Teal’c et au colonel précédemment.

J : d’ailleurs, je n’en ai pas gardé que de bon souvenirs !

H : et Teal’c et daniel Jackson justement que leurs est-il arrivé ???

J : nous ne savons pas.

S : c’est le trou noir.

H : bon, briefing dans dix minutes pour préparer éventuellement une mission de sauvetage.

Le général sorti, et Janet le suivi de près

Janet : je doit aller finir vos tests, donc je vous revois au briefing, à tout à l’heure.

Jack et sam (ou sam et jack c’est comme on préfère vu les circonstances) restèrent seul dans l’infirmerie.

Jack (regardant son propre corps) : je crois que c’est mon mauvais profil là.

Sam : et moi je doit retourner chez le coiffeur à ce que je vois !

Jack : non, j’aime assez comme ça.

Sam (revenant à la réalité) : il faut qu’on trouve une solution pour cette situation.

Les deux étaient désormais debout, et se faisaient face, s’examinant mutuellement, et se rendant peu à peu compte de la situation dans laquelle ils se trouvent.

J : major ! allons à ce briefing !

S : bien colonel

Il y avait comme un truc qui clochais !

Au briefing

H : bon, c’est clair dans mon esprits cette histoire, le docteur Frasier m’a tout expliqué, et je pense que je m’y ferais.

J : ravi de l’entendre !

H : donc vous ne vous rappelez plus de rien c’est bien cela ?

S : en fait, nous étions sur P1X147, et mon détecteur d’onde ne m’indiquait aucune présence dans un rayon maximum de 590 m2, puis, un nuage de fumée est apparu, c’est alors, que sous les ordre du colonel, nous allions évacuer la planète.

H (s’adressant au corps de sam) : colonel, regarder comme s’est bon de vous voir parler intelligemment !

J : c’est vrai que c’est assez plaisant, vous pouvez me confirmez que les caméras enregistres, je voudrais une copie de la cassette.

H : quand à vous major, ne vous mettez pas à raconter ses mauvaises blagues un jour, ça ne vous ressemble pas !

S : bien mon général !

H (reprenant son sérieux) : très bien, donc, il se trouve qu’il y ai des chances que daniel Jackson et Teal’c soit en vie, car nous avons un signal de présence humaine sur cette planète, certainement eux, mais tant que nous ne sommes pas sur de votre sécurité, nous ne vous enverrons pas là bas, et nous ne pouvons pas risquer de perdre une autre équipe. Le prochain briefing est prévu pour demain 9h, je suppose que c’est évident pour vous tous, que nous gardons cette information secrète…je parle de votre état… rompez !

Tous se levèrent et commencèrent à sortir de la salle, mais jack rattrapa sam

J : major !

S : colonel ?

J: apparemment nous sommes bloqués comme ça pour un moment…et je ne vous cache pas que ce n’est pas mon truc, et, je n’espère pas rester comme ça longtemps, surtout que je me rend conte que je commence à avoir des rides…

S : …mon colonel ! ce n’est pas le moment, nous devons faire en sorte de sauver nos amis, …mais je ne vous cacherait pas que ce n’est pas mon truc non plus…

J (s’approchant et parlant à voie basse) : au fait… comment vous faites pour porter ce truc... vous savez…ça fait quand même mal…

S (gênée car elle imagine de quoi il parle) : de quoi parlez vous ???

J : vous savez… ce soutien gorge…c’est super désagréable !

S (éclatant à moitié de rire) : c’est dur d’être une femme, et heureusement pour vous que vous n’avez pas le droit à la totale !

Sur ce, elle s’en alla.

J (criant pour qu’elle l’entende) : évitez de marcher comme ça ! j’ai une réputation ici !

Et il s’en alla de l’autre coté.

Il avait du mal à marcher lui aussi, il se demandait même comment elle y arrivait avec sa poitrine qui se balançait, en même temps, il trouva l’idée séduisante, mais il se refusa de porter atteinte au corps de sam, se disant que c’est tout de même un truc qui ne se fait pas !

En continuant de marcher, il rencontra le capitaine John Cramor, qui lui fit un grand sourire et un clin d’œil ! comment ce fait-il que ce type face un clin d’œil à son major !!! il n’avait pas le droit ! il n’y avait que lui qui avait cette autorisation…bien sur délivrée par lui même mais bon !

Sam fit elle aussi un petit tour, et sur le chemin, croisa deux assistantes de Janet, qui prirent le même ascenseur qu’elle pour ce rendre au ness, et ces deux jeunes femmes regardaient le colonel dans les yeux.

La 1ere : alors colonel, vous n’êtes pas passé nous voir ce matin ??

La 2eme : on vous a attendue au labo

Sam (voulant répondre) : …..

La porte de l’ascenseur s’ouvrit à ce moment là !

Les deux : à plus tard alors…

Sam (dans sa tête) : De quoi elle parlaient ces deux pré-pubertes ? d’ou est-ce qu’on parle de cette manière à un supérieur… mais NON, elles , elles ne sont pas militaires ! qu’elle pauvre fille tu fait ! pourquoi es tu devenue militaire ?

Elle alla manger, puis, partie à la recherche du colonel, elle le trouva devant le poste de télévision de la salle de repos, il était seul

S : mon colonel, le général nous a demandé de garder notre situation pour nous, il faudrait donc que vous passiez un peu plus de temps au labo !

J : et vous, vous arriverez à en passer loin du labo ?

S (souriante) : non, bien sur… mais…je voudrais aller me coucher, je tombe de fatigue, et je ne pense pas que mes pyjamas m’ailles désormais….

J (avec une petite moue) : moui… bien sur ! suivez moi…

Il sortit et elle le suivait, jusque dans les cartiers du colonel

J : je pense que vous devriez ouvrir la porte, ça choquerais moins si on nous voyais.

Elle exécuta l’ordre (qui n’en était pas vraiment un), une fois à l’intérieur…

J : comment on va expliqué que vous dormez dans ma chambre et moi je dors dans votre chambre ? en plus, moi non plus je n’aurai pas de pyjamas pour cette nuit.

S : on à cas rester là, je ne suis pas vraiment pour le fait que vous soyez dans mon corps…c’est tout de même la chose la plus personnelle que je possède

J : je pensait à la même chose…

Un froid venait de s’abattre dans cette chambre surchauffée

S : donc,… on reste ici… ?

J : je prend le fauteuil, et on garde nos vêtement pour dormir !

S : bien mon colonel !

Il se couchèrent après avoir défait leurs chaussures

J : bonne nuit major

S : bonne nuit colonel

Le sommeil vint les trouver assez rapidement, car les évènements de la journée avaient étés un peu épuisants.

Le lendemain matin, c’est jack qui se réveilla le premier, il préparait les vêtements que devra porter sam, en fait, c’était comme d’habitude, un treillis, un Tee-shirt, un caleçon…et oui ! elle aura le droit de voir ses caleçons… heureusement, la lessive était faite.

Elle se réveilla doucement, et en voyant son corps devant elle, elle se remémora tout ce qui, était arrivé le veille.

J : bonjour. Bien dormie ?

S : ça peu aller, j’ai eu du mal à trouver une position…

J : moi aussi, je ne sait vraiment pas comment vous faites vous les femmes avec ces deux machins qui prennent toute la place !

S : on appelle ça une poitrine ! plaignez-vous, moi non plus je n’ai pas l’habitude de marcher avec quelque chose entre les jambes !

J : bon… on va arrêtez là ! je vous ai préparer des vêtements, ils sont sur le lit, vous pouvez passer à la salle de bain… par contre, c’est moi qui m’occupe de raser ma barbe !

S : mais…c’est moi qui vais souffrir mon colonel ! vous savez…je saurait le faire…

J : je ne veut pas de cicatrice, sinon, je ne pourrait m’en prendre qu’a moi même.

S : bien mon colonel !

Elle partie dans la petite salle de bain, et en sortie dix minutes plus tard

J (la voyant) : passez moi le rasoir et la mousse s’il vous plais

S : voilà !

J : ne bougez plus, je ne veux vraiment pas de cicatrices !

S : je ne bouge pas, c’est vous qui tremblez… vous êtes sur que ça ne peu pas attendre

J : on dirait une barbe de 5 jours… je ne vous laisserait pas sortir comme ça ! depuis que j’ai pris un petit coup de vieux, je ne veux pas me laisser aller !

S : vous parlez des deux assistantes de Janet ?

S (se prenant la joue) : AILE !!!

J : désolé… et vous alors, avec le capitaine John Cramor ? depuis quand il vous harcèle de cette manière ?

S (haussant le ton) : il ne m’harcèle pas du tout, il est juste… mais ça ne vous regarde pas !

J : ma vie privée ne vous regarde pas non plus, le sujet est clos !

S : mais…

J : c’est un ordre major !

S : bien mon colonel.

Jack pris conscience que son autorité avait un peu débordé, et voulu se rattrapé

J : bon… allons dans vos cartiers pour que je m’habille

Ils allèrent trouver, un pantalon et un Tee-shirt, ainsi que des sous-vêtements.

J : ça en fait tout un tas de trucs à mettre !

S : vous n’avez pas le choix il me semble mon colonel

J : taisez vous Carter, sinon je vais à la cafétéria et je vous fait prendre 10 kilos sur les fesses.

S (souriante) : veillez acceptez mes plates excuses mon colonel.

Il sortit de la salle de bain

S : bon, laissez moi vous maquiller un peu

J : quoi ???

S : vous m’avez raser, je peu bien vous maquiller !

J :… c’est assez juste…mais c’est moi le chef

S : mon colonel… j’ai des cernes immondes !

J : mais non… mais non…

S : s’il vous plais, asseyez vous !

J : si vous y tenez tan que ça…

Voilà… vue de l’extérieur, Jack est en train de maquiller sam !

Au briefing

H : bien, j’espère que tout est encore possible pour nos deux compagnon sur P1X147, nous devons avoir des nouvelles au plus vite

S : comment est l’atmosphère de cette planète ? le nuage est-il partit ?

H : justement, nous avons, grâce à la sonde, pu repérer que ce nuage apparaissait toutes les 42 minutes environs

S : il s’agirait peut être d’un moyen de défense de la planète, mais ça nous laisserait le temps de sortir daniel et Teal’c de là bas

H : je suis d’accord avec vous c…major ! c’est pourquoi une équipe SG ira les chercher dès la prochaine période d’inactivité

J : nous voulons y aller, nous aimerions savoir pourquoi nous ne sommes pas nous même.

H : c’est pourquoi l’équipe SG2 vas placer une éprouvette rétractable, qui aura pour but de ramener de ce gaz chez nous, pour l’étudier.

S : nous ferons les analyses nécessaires ici

J (se passant les mains dans ses long cheveux) : bien, alors faites comme ça !

H : parfais, et bien entendu, j’espère que personne n’est au courant de cette histoire…sinon, les hommes de Meybourn se ferons un plaisir de vous séquestrer.

J : nous avons fait ce qu’il faut pour ça !

H : vous vous êtes blésée en vous rasant major ???

Sam ne dis rien et se contenta de baisser les yeux, car c’était un peu de sa faute, elle avait provoqué la colère de son colonel.

H : bon…rompez !

Ils se levèrent, sam se rendis dans son labo, et jack alla vers les couloirs…

Une heure plus tard

???: activation extérieure de la porte

H : qui est-ce ?

???: signal d’identification SG2 général !

H : ouvrez l’iris !

Hammond se dirigeât vers la porte et vit l’équipe SG2, qui portait sur son dos, Teal’c et daniel.

H : que c’est-il passé

D (qui était conscient) : je me sent comme tout engourdis…

T( idem) : moi aussi général Hammond, néanmoins, je commence déjà à me sentir mieux

H : ce doit être ce nuage qui vous faisait cet effet.

Sam et jack arrivèrent ensembles

J : alors comment allez vous ?

D : tout va bien sam ! ne vous inquiétez pas

J : euhhh…,là, y a comme un truc qui a changé….

S : oui, en fait, nous avons été victime d’un transfert de pensé, certainement due au flux de rayon radioactif qui s’échappe de ce nuage que j’examinerait dès que…

D : et ben oui…pas de doute, c’est bien Sam, Jack serai incapable de parler comme ça !

J : hey…je vous en pris !

H : bon, vous êtes tous sains et sauf, c’est tout ce qui compte, pour le reste colonel, nous attendrons le retour de l’échantillon que nous irons chercher lors de la prochaine période de non-activité. Docteur Jackson, Teal’c, vous allez à l’infirmerie !

Tous prirent le chemin de cette infirmerie, trop heureux de s’être enfin retrouvés

A l’infirmerie

D (qui allait déjà mieux) : alors comme ça vous avez changer de corps vous deux !

S : exact daniel, nous ne savons pas comment, ni pourquoi, mais c’est bien le cas.

T : vous avez déjà vécu la situation O’Neil.

J : c’était un peu différent Teal’c, …

D : ….et en quoi étai-ce différent ?

J : peu importe, que vous est-il arrivé à vous ?

T : nous nous sommes réveillé à chaque levée de nuage, mais vous étiez trop loin de nous quand le premier est arrivé, c’est alors, que nous avons réalisé que vous étiez partis, mais, nous on c’est perdu, et on a vu SG2 venir vers nous…et voilà !

J : nous, nous ne nous rappelons plus de rien

S : c’est sûrement du à notre transfert, il nous a sûrement assommé, il se peu que quelqu’un nous ai conduit jusqu'à la porte

J : j’en doute. Mais toutes les solutions sont bonnes à prendre major !

D ( sortant de ses rêves) : ça fait vraiment bizarre tout de même !

J : on sait ça !

S : je vais y aller, l’échantillon devrai arriver d’ici peu

J : ouai, c’est ça, allez y

S : je repasserais vous voir, à tout à l’heure.

Sam sortie.

D : alors….

J : alors quoi ???

D : alors …. Ben…vous n’avez jamais été aussi proche….et….

J : vous ne perdez pas le Nord vous alors !

D : Jack, vous me parlez d’elle tous les jours ou presque depuis plus de deux moi, je me disait juste que cette fois…

J : vous avez déjà essayé de vous embrasser vous même vous ????

D (perplexe) : je n’avais pas vu les chose sous cet angle là… c’est un problème de taille !

J : j’ai découvert que le capitaine Cramor s’intéressait à elle

D : comment avez vous fait ?

J : il m’a dragué !

Daniel éclata de rire, et jack restait assis là, sur le lit, avec ses grands yeux bleu plein d’interrogation et de gène mélangé, il en profita aussi pour remettre la bretelle se son soutien gorge qui avait tendance à le serrer un peu, et ne cacha pas une petite grimace de petite douleur désagréable.

D : je vois que vous vous y faites très vite jack !

J : en attendant, j’ai les yeux qui me démangent mais je ne peu pas me gratter pour ne pas que le rimmel de MADAME va coulé !

Daniel était vraiment partit en fou rire inexplicable, et ne se retenait plus désormais, jack sortit alors, en jetant un regard à teal’c, puis, sortit vois ce qui pouvait bien ce passer pour son échantillon.

Mais dans la salle des commande, on venais de recevoir des nouvelles de la sonde, elle n’avait pas fonctionné, c’était apparemment un circuit défaillant, bref, il faudrait deux heures pour tout remettre en ordre, et les meilleurs techniciens se mettaient déjà au travail

J (à carter) : venez, on va manger !

S : mais, il faut réparer la sonde si on veut pouvoir…

J : et comment ferez vous pour vous nourrir une fois que l’échantillon sera là ?je vous connaît, vous resterez des heures sans manger ! allez, venez… et puis c’est un ordre désormais !

S (sourire) bien mon colonel !

ils appelèrent daniel et Teal’c qui n’avaient pas mangé depuis un certain temps, et partirent en direction du ness.

S (voyant le plateau de jack) : mon colonel, je suis désolé, mais pour vous ce sera une salade avec un yaourt, et un fruit si vous voulez…

J : depuis quand êtes vous au régime ???

S : depuis que ce n’est pas moi qui le fait… je peu compter sur vous ??

J : non ! j’ai faim comme pas possible…

D : vous prendrez un peu plus de salade jack !

J : je le fait si vous aussi vous le faites… moi aussi j’en ai peu être besoin…enfin pas tant que ça ! mais disons que ça me ferait plaisir !

S : bon…d’accord !

Après s’êtres restaurés, ils racontèrent leurs dernières 24h, avec beaucoup d’intérêts, les rirent furent bel et bien présent….

S : colonel ??? excusez moi, mais est-ce normal que les assistantes de Janet me fixe dans les yeux en me souriant et en se moquant de vous ?????

J (se retournant discrètement) : je crois qu’elles m’aiment bien…

D : et qu’elles ne vous aimes pas sam !

T : j’ai déjà rencontré des cas de rivalité femelles sur chula’c ! ça avait terminé en bain de sang.

D (chuchotant) : teal’c….shuuut !!!!!

Teal’c haussa un sourcil et attaqua un autre gâteau

S (un peu attristé) : et elles se moquent souvent de moi ??

J : non, rassurez vous…elles ne vous arrivent pas à la cheville

Daniel baissa ses lunettes sur le bout de son nez pour mieux voir les deux femmes en question, il faut préciser qu’elles étaient superbes.

D : ben dites donc jack…. Vous en avez du succès !

J : arrêtez vos gamineries daniel !

S : je doit y aller maintenant, a plus tard messieurs

Elle sortie par l’entrée principale, et dès qu’elle eu le dos tournée, jack attrapa le gâteau de la main de Daniel

D : NON, vous avez promis !

J : daniel, j’en veux juste un peu….

D : c’est pour votre bien, croyez moi !

Pendant ce temps, sam avait rejoint l’équipe de techniciens

S : alors messieurs, ou en est-on ?

Tech : ça avance colonel. La sonde sera larguée dans à peu près une demie heure, puis l’échantillon sera là d’ici une heure.

S : parfait, je vais voir si tout va bien en salle de contrôle.

Salle de contrôle

H : C…major (décidément il a du mal !) ! que ce passe-t-il ?

S : à vrai dire mon général, je ne sait pas si nous aurons la réponse à notre question sur cet échantillon, et la situation est des plus inconfortable.

H : oui, je comprend, nous allons faire de notre mieux, mais pourquoi ne pas demander à Marchello ?

S : parce que ce précédé n’est pas le même, et que nous ne connaissons pas les effets secondaires.

H : autre chose major, comment ce fait-il que seul le colonel et vous ayez changer de cops ?

S : à vrai dire général, je ne sait pas, peut être était-ce parce qu’il m’aidait à avancer lorsque l’on courait pour éviter le nuage, il y a eu contact…je ne sait pas, c’est tout ce que j’ai trouvé !

H : merci major, et ne vous en faites pas trop, vous êtes notre meilleur chercheur !

S : le plus dur, c’est l’attente mon général.

H (dans un soupir) : oui, allons donc voir ce que donne notre machine électronique qui coûte des fortunes au gouvernement et qui ne marche pas !

S (souriant) : bien mon général !

La sonde partie, et revins une heure après, tous l’attendait dans la salle d’embarquement, mais il n’y avait que SG1, le général et le docteur Frasier qui connaissaient la véritable raison de la venue de ce gaz.

En arrivant, sam s’empara de la fiole, mais les gardes la regardaient étrangement, elle tendis alors la fiole à jack, comme pour ne rien laisser paraître, puis, une fois passé la porte, il lui donna son éprouvette, et elle partie dans son labo.

Pendant la nuit, sam n’avait pas dormie, jack, était venue lui tenir compagnie dans le labo, et se faisait tout petit dans un coin, il se dis que c’était aussi son problème, et qu’elle n’avait pas à faire tout le travail seule.

De temps à autre, elle avait le droit à du café, à une petite collation qu’il avait lui même préparé en cuisine, et à un rangement de feuilles vierges dans les placards, selon les quadrillages et les longueurs des pages

S : merci colonel, c’est le genre de chose que je n’ai jamais le temps de faire moi même

J : c’est la seule chose qui est en ma compétence ici de toute façon !

S : vous pouvez aller vous coucher, je vais vous chercher de vêtements si vous voulez ?

J : non, c’est bon… tout ce qui me faut c’est juste une petite pause

S : assaillez vous si vous voulez.

J : promettez moi avant de ne pas me parler dans votre langage

S : j’ignorait que " le scientifique " était une langue !

J : je sait que vous faites ça rien que pour me mettre hors de moi

S : et ça marche à chaque fois !

J : vous en êtes fière en plus, vous devriez avoir honte carter !

S : ca marche !

J: oui, ben j’ai compris…

S : non, ça marche mon colonel… l’expérience…voyez, avec l’azote, le gaz se dissipe et permet d’obtenir un autre gaz, qui lui même subissant des transformations biochimique…

J : carter !

S : … excusez moi… nous devons aller voir le général et les autres !

J : bien, allons y vite

Salle de briefing, une heure plus tard

S : voilà, je pense avoir trouver un moyen de contourné le processus, mais pour cela, il faut retourner sur cette planète, pour me permettre d’avoir un plante de là bas, une espèce qui est revenue dans une des éprouvette sui était sur moi lors de notre retour, il m’en faut encore d’autre

J : général, il faut y aller ! nous aimerions redevenir NOUS !

H : bien sur, vous attendrez la prochaine période d’inactivité de la planète, vous prenez cette plante et vous revenez !

Dix minutes plus tard, SG1 au complais était en salle d’embarquement

J : ça y est, peut-être enfin guérit !

S : ce n’est pas une maladie d’être une femme mon colonel

J : il y a des côtés agréables, j’avoue…

D : comme quoi ???

J : j’ai les jambes toutes douces !

Pour conclusion à sa phrase, il eu droit à un regard meurtrier de la par de lui même

J : ne faites pas cette tête, c’est pas beau à voir !

S : avec tout le respect que je vous doit colonel, c’est votre tête !

Elle se mis en marche, et traversa le cercle des étoiles, pendant ce temps, daniel fit un regard moqueur à jack, et partit à son tour.

De l’autre côté, sur P1X147…

S : aucune activité d’aucune sorte à signaler mon colonel

J : parfais, prenez cette plante et on y va !

Elle pris quelques pieds de plantes, et les plaça dans un caisson étanche et stérile

S : on peu y aller mon colonel !

J : parfait, tout le monde revient vers a porte !

Soudait, sam trébucha, et jack la retient de justesse, mais, ils furent déséquilibrés, et tombèrent dans un petit tas de plante de la même espèce que sam avait ramassé, mais ils ne réussirent pas à se relevé tout de suite, ils étaient comme assommé par les odeurs, et tombèrent dans une inconscience partielle

Dans leur inconscient (peu être)

Le salle était blanche, et tout semblait liquide autour d’eux

J : je connais cet endroit

S : moi ça me dis juste quelque chose

Une voie féminine: bonjour.

Ils se retournent en même temps, il y avait une espèce de force bleuté, sans forme particulière.

Spectre : vous êtes de retour, je ne l’aurait pas cru !

S : que c’est-il passé ?

Spectre : lorsque vous êtes venus, j’ai discerné une grande incompréhension entre vous, et en même temps une symbiose extraordinaire, j’en ai donc déduit que vous étiez là pour le DON !

J : quel " DON " ????

Spectre : le don de pouvoir voir les choses par les yeux de l’autre, de le comprendre, de pouvoir vivre d’autres sensations…c’est généralement pour cela que viennent les visiteurs.

S : nous ne sommes que des explorateur pacifiques, nous ne sommes pas là pour ça !

Spectre : veillez m’excuser, mais la visite est si rare de nos jours, qu’on ne se pose plus vraiment de questions…

J : et comment on revient ???

Spectre : tenez vous la main, comme lorsque vous avez été envahis par la fumée… vous vous teniez la main pour avancer plus vite il me semble…

J : et si on avançait plus vite, c’était pas pour fuir par hasard ??? alors votre erreur est bien énorme dans ce cas !

Spectre : je m’en rend conte, veillez m’excuser à nouveau !

S (prenant la main de O’Neil) : c’est bon maintenant, que fait-on ?

Spectre : il faut respirer la plante, et je m’occupe du reste.

J : nous faites pas un vieux coup pendant ce temps… je vous ait à l’œil !

Spectre : au revoir

Une lueur blanche apparue, Teal’c et Daniel apparurent en même temps des buissons pour aller vite chercher le colonel et le major, car le brouillard commençait à se lever. Ils trouvèrent leurs corps derrière un arbre, et sans avoir le temps de comprendre, il les portèrent, et rentrèrent à la base.

Quelques instants plus tard, les deux officiers se réveillent

D : bonjour vous deux ! comment va ?

S : ça va daniel, merci.

J (réalisant qu’il était lui même) : parfait, je vois que tout à l’air en ordre, c’est parfait !!!

H : alors, que c’est-il passé ?

J : vous aurez tout ça dans nos rapports général ! je n’ait pas envi de m’attarder là dessus, bon, je dois aller faire un tas de truc encore

Janet (à jack) : vous vous sentez bien ?

J : oui, ce gaz n’a qu’un effet temporaire. (il sortit)

H : je doit aller chercher des documents, mais je tenait à vous féliciter tous !

Daniel (cherchant une idée pour partir) : bon, je vais montrer à Teal’c comment on se sert d’un …stylo !

T : mais…

D :…. Teal’c !

Sam resta seule avec Janet, et celle ci s’assit au bord du lit de son amie.

Janet : alors, vous vous sentez mieux ?

S : oh que oui, j’ai retrouvé mon corps et je doit dire que je me sent bien dedans !

Janet : tant mieux…au fait, pendant que j’y pense…pourquoi le colonel m’a-t-il demandé de faire muter mes assistantes à un autre service ? vous ne sauriez pas par hasard ?

S : euhhh…. Non, il se trouve que le colonel agit parfois bizarrement, mais il faut peut-être l’écouter, il a ses raisons !

Sam savait qu’il avait demandé cette faveur à Janet pour elle, car, elle, elle ne les aimait vraiment pas ces deux pinbèches sur leurs talons hauts…et elle l’avait montré au colonel

Sam se décida à se lever, et elle se rendis près des cartiers de O’Niel

J (l’apercevant) : carter ! je vous manque déjà ?

S (rougissant) : non…je passait seulement voir comment vous alliez…

J ( douteux) : vous voulez me dire quelque chose ??

S :…(avec courage) c’est vous le coup de mutation des stagiaires ??

J (tournant les talons) : je ne sait pas…

S : soyez honnêtes…

J : pourquoi ça ?

S (gênée) : mon colonel, nous avons partagés les mêmes corps donc vous pouvez au moins me dire si c’est vous !

J : admettons…que ce soit le cas … qu’est ce que ça ferait !

S : je voulais juste savoir pourquoi ?

J : elles étaient un peu….je ne sait pas comment définir le terme….

S : ce n’est pas grave, laissez tomber… je voulais aussi vous demander mon pyjamas… il est dans vos cartiers il me sembles

J : allons y

Arrivés à la porte de la chambre, carter n’osa pas entrer et resta sur le pas de la porte

Comme elle est belle ainsi se dit-il en la regardant furtivement, pour ne pas se faire remarquer par elle, elle, qui d’ailleurs, ne le lâchait pas des yeux, elle connaissait cet homme, mais depuis quelques temps, ils s’étaient rapprochés l’un de l’autres, et elle ne voulait pas qu’il lui échappe à nouveau, elle voulait en rester soit au même point, soit, aller bien plus loin, mais ne pas faire en sorte que tout redevienne comme avant, ça NON !

J : vous êtes mieux comme ça major

S (sortant de se réflexion) : pardon ??

J : je vous préfère comme ça…c’est tout.

S : merci mon colonel.

J : mais de rien

S : vous aussi…je vous préfère comme ça.

J (changeant de sujet) : bon, tenez, voilà vos affaires.

S : merci…

Elle fit les premiers pas vers le couloir, prenant la direction de la sortie

J : attendez carter...

S : oui ???

J : vous et Cramor, c’est du sérieux ?

S (troublée) : ça vous intéresse vraiment ou c’est pour être aimable ?

J : un peu les deux…

S : bien que ça ne vous regarde pas, il agit de la sorte avec moi depuis un mois environs, je me contente de l’ignorer

J : pourquoi ?? vous n’êtes pas ensemble ??

S (comme pour ce justifier) : non, bien sur que non ! et vous savez que si c’était le cas, nous n’en aurions pas le droit, nous sommes militaires…(elle s’arrêtât comprenant enfin ce qu’elle venait de dire)

J : et sans ce règlement… vous auriez fait quoi ? si ce n’est pas trop indiscret ?

S : s’il n’y avait pas ce règlement, ce n’est sûrement pas vers lui que je me tournerais…

Un silence de mort cette foie régnait dans toute la chambre, elle l’avait regardé droit dans les yeux en prononçant cette dernière phrase, et il était très troublé, il aurait voulu garder le contrôle de la situation, mais ce n’était pas le cas…

J ( hésitant) : et qui serait l’heureux élut… ?

S : ça ne vous regarde pas !

J : même pas un petit peu ???

S (comme résignée) : vous savez qu’on ne peu pas… à quoi bon se faire du mal ?

J (ironiquement bien que ce n’était pas le moment) : ben… pour ce faire du bien justement !

S (avec une ébauche de sourire) : soyez sérieux…mon colonel

Sur ce, elle tourna les talon et s’en alla, le laissant seul avec toutes ses suppositions et tous ses sous entendus, il ne voulais pas la laisser partir, mais il ne pouvait pas la forcer à l’aimer, ou à abandonner sa carrière…

Elle, elle allais vers ses cartiers, ses affaires dans sa main, et elle se demandait encore ce qui l’avait prise de faire un truc comme ça ! et de répondre de cette façon à son supérieur, mais en fait, elle n’attendait qu’une chose, c’était de l’embrasser de toute son âme, de n’être qu’a lui !

Le lendemain, salle de briefing

H : donc, voilà que la situation est rentrée dans l’ordre, j’ai lut vos rapport colonel et major, mais je me pose une question…

J : allez y…on pourra peut- être y répondre, mais l’intelligente, c’est elle !

H : cette question vous concerne tous les deux colonel ! en fait, je voulais savoir comment vous avez vécu cette situation ?

Moment de silence, les deux interrogés se regardaient dans les yeux.

J : j’ai appris des tas de trucs

H : développez un peu colonel !

J (ironiquement) : j’ai appris que c’est pas si facile que ça de courir avec une poitrine !

Daniel éclata de rire, mais jack voyais bien dans quel état il mis son major, et ne voulu pas en rajouté., il s’en voulais déjà.

H : et vous major ?

S ( pour se venger méchamment) : que c’était dur d’aller aux sanitaire debout !

Jack était blanc comme un linge, et cette fois, tous éclatèrent de rire dans la petite salle

H (reprenant ses esprits) : bon,… le briefing est terminé, vous pouvez partir.

Ils se levèrent et sortirent tous, sauf sam et jack qui restèrent debout devant le tableau des planètes

J : c’était un coup bas major !

S : c’est vous qui avez attaqués mon colonel !

J : bon, je regrette…

S : oui, moi aussi.

J : et si…on crevait l’abcès !

S : de quoi parlez vous ?

J : à votre avis !

S (baissant le regard) : ha… vous parlez de…

J : de nous !

S : il n’y aura jamais de NOUS, mon colonel

J : c’est à vous de voir, tout est entre vos mains désormais

S : non, c’est entre les mains de nos supérieurs

J : je ne respecte jamais le règlement et c’est pas maintenant que je vais commencer, mais c’est à vous de voir, je sait que vous tenez à votre place, et à notre équipe entière, je ne peu rien vous imposer… et bien sur, je comprendrait très bien …que vous n’éprouviez rien pour moi….

S : vous vous trompez…

J : comment ça ???

S : je ne veux que ça depuis si longtemps, mais il y a votre carrière…

J : comment voulez vous qu’on se débarrasse de nous comme ça ?

S : c’est vrai que notre travail ici est important…

J : ils ne pourrons pas se mettre entre nous…

Depuis le début de la discutions, ils se parlaient en se rapprochant, et en se mettant à chuchoter de plus en plus bas, pour arriver presque, la bouche près de l’oreille de l’autre… de plus, jack commençait à passer son bras autour de la taille de sam, pour la sentir toujours près d’elle, c’est alors, qu’il l’embrassa dans le cou.

S : votre raisonnement me plais beaucoup je doit dire

J : je vous jure que je n’avait rien préparé

Elle esquissa un sourire, et blotti sa tête dans le cou du colonel, tout en l’enlaçant de ses deux bras. Lui, il lui releva la tête, et déposa sur ses lèvres un tendre baiser, plein d’émotion et de délicatesse, comme pour goûter une nouvelle saveur du bout des lèvres, avant de la prendre pour soit, et de la savourer enfin…

Quatre longues années, de pudeur, de mensonge pour soit même, et maintenant, c’était la fin, ou plutôt, le commencement d’une nouvelle histoire pour nos deux amant tendrement enlacés…

…Fin…