Deux mois, c’est long !

Auteur : marge

E-Mail : marjo987@hotmail.com

Résumé : O’Neil est blessé au cours d’une mission sur P3X654, et…

Saison : aucune

Genre : Sam/Jack romance

Disclaimer : les personnages ne sont pas à moi, je fait ça pour passer le temps agréablement, et je ne gagne pas d’argent pour le faire

Note de l’auteur : ben…comme d’ab…si vus pouviez me glisser un petit mot dans ma boite aux lettres pour me dire ce que vous en pensez !

Deux mois, c’est long !

Sur P3X654

S : mon colonel, je ne pense pas que ce soit la meilleur stratégie !

J : on en a pas d’autres, alors à mon commandement, on fonce !

Sg1 se leva de l’endroit ou ils étaient caché, c’était un grand bosquet qui était distant de 100 mètres de la porte des étoiles. Ils coururent pendant un moment, puis un tir vint frapper jack à la jambe. Teal’c qui était juste derrière lui, l’aida à ce relevé, et à continuer le chemin

J (avec un visage plein de douleur) : Daniel ! les coordonnées !

Daniel s’exécutant, et la masse bleutée apparue, laissant SG1 passer de l’autre côté.

Sur terre

H : SG1, que faites vous déjà de retour ?

S : il faut une équipe médicale, le colonel est touché !

H (très fort) : une équipe médicale, d’urgence !

S (à jack) : tout va bien mon colonel ?

J : si j’oubli que ma jambe vient de me quitter, je dirait que ça va !

S : on va vous soigner !

L’équipe médicale arriva, et installa jack sur un brancard, puis, partit vers l’infirmerie.

H : que c’est-il passé ?

T : nous avons été attaqué par un groupe rebelle de P3X654, en fuyant, le colonel à été touché à la jambe.

H : briefing dans une demie heure !

SG1 se rendis alors à l’infirmerie, pour prendre des nouvelle de jack, après vingt minutes à attendre, Janet vint les trouver.

S (à Janet) : comment va-t-il ?

Janet : ça va aller, il s’en tirera sans trop de dégâts, mais il ne pourra pas se servir de sa jambe avant deux bon mois !

D : on peu aller le voir

Janet : bien sur, mais pas trop longtemps car je doit encore finir de le soigner

En entrant dans la chambre

J : alors, je vous manque déjà !, ne vous en faites pas pour moi, dans une petite semaine je serais sur pied !

S : je ne pense pas mon colonel.

D : apparemment, vous en avez pour deux mois !

J : mais non ! c’est encore un truc des docteurs ça ! je vous dis que ça va !

H : vous resterez ici pendant les deux prochains mois de toute façon, sous avis du médecin et de moi-même.

J (aux autres) : on dirait que vous venez de gagner deux mois de vacances… vous en avez de la chance !

H : ça je ne pense pas… vous voulez que je mette ma meilleur équipe sur le stand by parce que vous vous êtes fait mal ?

J : Ben… justement oui! Et je tient à préciser qu’une amputation c’est douloureux !

S (souriant) : vous exagérés un peu colonel…

H: je viens d’appeler Washington, et il m’envoient un remplaçant.

S : pourquoi ? on ne peu pas faire appel à quelqu’un que l’on connaît ?

H : j’en saurait plus sur lui au briefing de toute à l’heure, à plus tard, et vous colonel, tachez de vous reposer.

Hammond sortit de l’infirmerie

J : ben dites donc, ils ne perdent pas de temps à Washington !

D : vous pensiez être irremplaçable jack ?

J : vous venez de briser mes illusions Daniel !

S : ne vous en faites pas colonel, je suis sure que tout ira bien, en plus, vous n’en avez pas pour si longtemps que ça.

J :essayez de rester allongés ou assis pendant deux mois…deux longs mois !!!

T : le principal c’est que vous alliez mieux O’Neil

J : je n’irais pas bien tant que mon équipe sera avec je ne sait pas qui !

Janet (coupant la conversation) : colonel, calmez vous ou vous aurez droit à une piqûre, quand à vous, (s’adressant aux autres) vous êtes priez de sortir pour que je finisse mes soins

J : soyez douce avec moi.

Janet : nous verrons si vous êtes un patient compréhensif pour une fois.

S (toujour avec son beau sourire) : à plus tard mon colonel

D : on repassera jack (à Janet) vous auriez pas un produit pour qu’il se calme ?

J : Daniel ! sortez d’ici tout de suite !

T : soyez tranquille O’Neil, tout se passera bien.

Jack ne répondis pas, et se retrouva seul avec Janet, et se n’était pas bon signe pour sa blessure qui lui faisait encore atrocement mal.

Le reste de l’équipe se rendit en salle de briefing.

H : bon, j’ai eu le temps de me renseigner, et le replaçant sera là dès demain, il se nome Erty, le colonel Erty. Il nous vient du pentagone, et c’est un spécialiste en physique nucléaire, ce qui devrait vous convenir Major !

S : vous dites un spécialiste en physique nucléaire ?

T : je pense que c’est ce que le général Hammond a dit Major Carter !

S : merci Teal’c… (à Hammond) je vais peut être pouvoir partager mes recherches avec quelqu’un, c’est très excitant.

H : ravi de vous l’entendre dire.

D : mais ce n’est l’affaire que de deux mois, n’est ce pas ?

H : oui, d’ailleurs, il à d’autre projets qui l’attendent.

S : le colonel ne va pas être ravi que ce soit un scientifique qui prenne sa place…

H : je le sait, mais il devra s’habituer, car nous n’avons pas le choix, c’est tout ce que j’avais à vous dire, vous pouvez disposer.

SG1 retourna à l’infirmerie

D : devinez quoi Jack !

J (soufrant atrocement car il se redressait) : dites ou je me sert de vos boyaux comme nouveau collier

S : colonel, évitez les efforts s’il vous plais

J : tout ce que vous voudrez Carter… alors Daniel, dites…je vous écoute !

D : c’est un certain Colonel Erty qui vous remplacera

J : jusque là rien à signaler.

D : attendez… il est expert en physique nucléaire !

J : QUOI ? c’est pas possible ! on avait assez de Carter pour ça, en plus, on en avait même en trop !

S (souriant) : calmez vous mon colonel… il pourra peut-être nous être utile.

J :sérieusement, on avait pas besoin d’un autre scientifique pour SG1, il auraient du choisir un pro du combat, un super doué de la technique de terrain.

D : et vous, vous pensez être comme ça ?

T : laissez moi vous dire O’Neil, que lorsque nous attaquons, nous n’avons jamais de plan, et nous…

J : c’est bon…j’ai compris, mais nan pêche que…

S : le ordres ne sont pas discutables, ils viennent du pentagone.

J (ironique) : donnez moi leur numéro alors !

D : vous faites vraiment l’enfant jack !

J (hors de lui) : je fait comme je veux, c’est pas à vous de me dire ce que je doit faire !

S : on va vous laisser seul un instant…on repassera plus tard

Sam fit un signe de la tête pour dire aux autre qu’il était temps de partir, elle ne supportait pas de le voir dans cet état là, et elle ne tenais pas plus longtemps dans cette infirmerie, elle pensait qu’il était alors temps de partir.

J : ne m’oubliez pas tout de même

D : ça ne risque pas ! no vous entend crier jusqu’au ness !

Jack se retrouva seul dans cet pièce blanche, et commençais à regretter ce qu’il venait de dire, mais il avait l’impression d’être mis de côté, et son égaux venait d’en prendre un sacré coup. D’ailleurs, qui c’est ce type qui va le remplacer ? il ne le connaît même pas ! et depuis quand ils veulent un autre scientifique ? il passera tout son temps avec Sam et… il préféra s’arrêter ici dans réflexion, et se mis à regarder le plafond.

Le lendemain, salle de briefing

H : vous êtes tous là ! je vais pouvoir vous présenter le colonel Erty ! (vers la porte) colonel, vous pouvez entrer !

Le colonel Erty passa la porte, et fit un signe de tête à tout le monde.

Il était dans la force de l’age, à peu près 35 ans, les cheveux noir, et les yeux bleu, assez grand et bien bâti, en clair, il était très séduisant, ce qui n’échappa à personne.

E : merci général Hammond, (à tous) je suis très heureux d’être présent parmis vous, bien que les circonstances ne soient pas tout à fait celle que j’espérait, néanmoins, je compte faire de mon mieux le temps de ma présence parmis vous.

H : merci colonel… laissez moi vous présentez…

E (le coupant) : le major Samantha carter je suppose, astrophysicienne qui plus est !

S (se mettant au garde à vous) : c’est exact mon colonel

E : vous devez être le docteur Jackson, archéologue

D : salut !

E ; et vous Teal’c, ancien Jaffa au service des Goa’Uld

T (froid et impénétrable comme toujours) : bonjour Colonel Erty.

Erty eu un instant un peu peur de Teal’c, et se dit qu’il faudrait mieux pour lui de ne pas se mettre sur son chemin.

D (voyant l’inquiétude de Erty) : ne vous en faites pas, il est doux comme un agneau

H : bon ! je vous laisse faire connaissance, je doit m’absenter.

Erty ne se sentait pas trop à l’aise, il avait l’impression d’avoir le mauvais rôle dans l’histoire, ce qui était un peu vrai, mais on peu pas vraiment lui en vouloir, après tout, c’est pas lui qui a tiré sur jack.

E : je ne veux pas être vu comme quelqu’un de menaçant…

D : c’est de jack qu’il faudra vous tenir éloigné

E : pourquoi ça ?

: il n’aime pas trop se savoir hors course, et par dessus tout il déteste les scientifiques

E : comment faites vous major carter ?

D : il fait une exception pour Sam !

E (à Sam) : en tout cas, j’ai lut tous vos travaux, et je les ai trouvé passionnants, on pourrait travailler ensemble si vous voulez

S : ce serait un plaisir.

E (à tous) : bien ! je pense que je vais tout de même aller me présentez au colonel O’Neil… au fait, vous pouvez m’appeler Devis, c’est mon prénom, je ne supporte pas trop les grades

D : en ce qui concerne Teal’c ça va poser des problèmes, il a tendance à sortir la totale, mais pour moi c’est : Daniel !

S : j’essaierais, mais je ne vous promet rien.

De : c’est déjà un début ! mais je peu vous appelez comment ?

S : le colonel m’appelle Carter.

De : vous avez un joli prénom portant…je préfère Sam !

S (rougissante) : comme vous voulez…

D : vous attendez un peu ici avant d’aller voir le colonel, je vais vérifier qu’il est bien sous sédatifs

De (comprenant que ce n’était pas vrai) : bien, si vous voulez.

Daniel alla vite à l’infirmerie pour y trouver Jack, en pleine méditation sur la couleur du plafond, est-il blanc-blanc ou blanc-acre ?

D : jack !

J (agacé) : quoi ?

D : vous vous rappelez… Erty ?

J : et alors ?

D : en plus d’être intelligent, d’être colonel, et tout ce qui s’en suit, il est pas mal du tout !

J : depuis quand vous vous intéressez aux hommes ?

D : depuis que ce dernier veut faire de Sam une amie…proche apparemment…je me suit dis que vous aimeriez le savoir avant leur arrivée

J : je ne vois pas pourquoi vous me racontez toutes ces histoires, et sortez s’il vous plais !

D : c’était pour vous prévenir, c’est tout

J : moquez vous de moi !

D : bon, j’avoue, je voulait voir votre tête quand je vous l’aurait dit! Et je ne suit pas déçu !

J : Daniel écoutez moi ! vous allez foutre le camp d’ici, et ne revenir que quand ce sera pour m’apporter du chocolat ou du café, car je n’en peut déjà plus d’être là

A ce moment, une ombre ce fit dans l’encadrement de la porte

De : colonel O’Neil ?

J: oui... c’est moi! Je suppose que vous êtes le colonel Erty !

De : effectivement. Je tenais à vous connaître, pour que nous puissions parler du programme SG ensemble.

J : pour ça y a les autres ! en plus ils sont bien plus intelligents que moi !

D : ce n’est pas un secret ici !

J : plus intelligent peut être, mais pas aussi bon soldats que moi

S (qui arrivait à ce moment et n’aimait pas trop la dernière réplique de jack) : pas même moi mon colonel ?

J : vous êtes une exception Carter !

De : a ce que je vois Sam, il n’y a que des exceptions qui vous concernes

J : Sam ??? comment ça des exceptions ??

De (naturellement) : en ce qui concerne les soldats, et les scientifiques

D (par gestes avec les lèvres) : JE-VOUS-EX-PLI-QUE-RAIS !

Jack tournait la tête pour penser à autre chose, puis Janet arriva

Janet : aller, tout le monde dehors, notre grand blessé à du repos à récupérer !

Ils sortirent sauf Daniel

Da (à Janet) : pouvez vous nous laisser un instant, c’est important !

Janet : une minute alors.

J (à Daniel) : alors, c’est quoi ces salades ?

Da : il nous appelle par nos prénoms, et je ne vois pas ce que ça peu faire… et en ce qui concerne les exceptions, on lui a juste dis que vous n’aimiez pas les scientifiques, et j’ai rajouté que Sam était une exception…

J (ironiquement) : non ! vous me décevez, je pensait en faire mon nouveau meilleur ami, il va avoir une piètre image de moi le pauvre…

Da : bon, je vous laisse, à demain !

J : ouais, c’est ça… à demain ! mais n’oubliez pas les chocolats

D : vous allez vous empatter jack, pensez à votre ligne !

Le lendemain, Sam et Devis travaillaient sur un problème de naquada, tout était très complexe, mais les travaux n’avaient jamais autant avancés.

S : tout ceci devient de plus en plus simple

De : il suffit de s’y mettre à plusieurs, il y a toujours un des deux qui se pose une question auquel l’autre n’avait pas pensé.

S : c’est bien vrai, je vous remercie

De : tout le plaisir est pour moi, ces expériences me passionne

Sam regarda dans le vide et sourit à elle même

De : que ce passe-t-il Sam ?

S : non, rien, c’est juste que le colonel O’Neil, lui, n’y comprend rien, ça me fait toujours un peu rire

De : je suis sur qu’il n’écoute rien de ce que vous lui dites en langage scientifique

S : vous avez raison, mais dès fois, il fait des efforts, ou alors, il fait semblant de comprendre

De : est ce que cela vous gène que je le remplace ?

S : non, pourquoi ça ?

De : j’ai cru remarqué que l’équipe SG1 était extrêmement soudée, vous avez tous vos particularités et…

S : ne vous en faites pas, c’est vrai que nous aurions préféré que le colonel O’Neil soit valide, mais ce n’est pas le cas, alors nous faisons avec.

Teal’c arriva par la porte, comme une grande ombre, les bras croisés derrière le dos

S : Teal’c ? qu’y a-t-il ?

T : major carter… le colonel O’Neil souhaiterais vous voir.

S : merci teal’c, j’y vais… (à Devis) vous pouvez m’excuser un instant…

De : bien sur, allez y.

Sam rentra dans l’infirmerie, et y trouva Jack essayant de se mettre debout.

S (en s’avançant) : je pense que vous ne devriez pas vous lever colonel

J : peu importe, je ne tien plus en place !

S (en le poussant un peu pour qu’il se remette sur son lit) : ce n’est pas raisonnable mon colonel, rasseyez vous !

J : c’es moi qui donne les ordres major, vous semblez déjà avoir oublier, voilà à peine un jour que je suis ici et c’est l’anarchie dehors

S (en souriant) : c’est pour votre bien que je vous dis ça ! allez ! dans votre lit mon colonel

J : c’est une invitation carter…

S (rougissante) : que vouliez vous me dire ? Teal’c est passé me chercher…

J : je voulais savoir comment il était ce type qui me remplace !

S : Devis est très …

J : DEVIS ???

S : euh… le colonel Erty est un brillant scientifique, il connaît beaucoup de…

J : et sinon ?

S : sinon quoi mon colonel ?

J : est-il réellement digne de confiance ?

S : je pense que oui mon colonel.

J : c’est ce que nous verrons

S : que voulez vous dire ?

J : rien… rien du tout

S : si… vous alliez dire autre chose…mon colonel

De justesse le " mon colonel " !!

J (détournant la conversation) : en fait, je voulais que vous veniez ici pour me faire une faveur.

S : laquelle ?

J : je voudrait que vous me conduisiez au ness pour prendre un café avec moi

S (surprise mais ne voulant pas le montrer) : sans vouloir vous vexée, vous êtes cloué au lit mon colonel.

J : non, Janet m’a dit que je pouvait prendre le fauteuil roulant…alors, vous m’accompagner ?

S : euh… avec plaisir mon colonel.

J : aidez moi à m’asseoir par contre, j’ai un peu de mal…

Sam l’aida à s’asseoir sur le fauteuil roulant, puis, il partirent tous deux en direction du ness

Sur le chemin, ils croisèrent Devis

De : ha ! Sam, vous êtes là ! bonjour colonel O’Neil !

J : mouais, bonjour

S (gênée de la présence de Devis) : il y a un problème colonel ?

Devis compris aussitôt qu’il n’était pas le bienvenu, et Sam l’avait appelé " colonel " malgré elle, la présence de jack la bloquait, et il s’en rendait compte.

De : non, aucun, je voulais juste vous montrer un…

S : je suis désolée, mais je me rendais au ness avec le colonel O’Neil…

De : bon, ben…tant pis, on en discutera après ! au revoir colonel O’Neil.

J : c’est ça !

S : allons y mon colonel

J :attendez une minute Carter, vous préférez venir avec moi boire un café plutôt que de travailler sur un truc bizarre ?

S : je vous ai dit que je vous accompagnait, donc c’est ce que je fait !

J (souriant) : c’est gentil à vous SAM !

Sam le regarda interrogée

J : ben quoi ? il a bien le droit lui !

S : je ne vous ai jamais dit que vous n’aviez pas le droit, mais c’est vous qui m’appelez Carter !

J : il est temps de changer alors

S : au moins, quand vous utilisez MAJOR, je sait que vous m’en voulez, ou que vous voulez exercer votre autorité, quand c’est CARTER, c’est que vous plaisantez ou que ça n’a aucun intérêt

J : vous m’analysez souvent comme ça ?

S : non…mon colonel, mais il faut dire que ce n’est pas très compliqué…

J : et si je vous appelle SAM ?

S : c’est que vous avez quelque chose à me demander… ou que vous voulez vous amuser !

J (ironique) : jamais je ne me permettrait de m’amuser sur votre dos !

S : ravie de l’entendre mon colonel.

Ils burent le café ensemble et elle le reconduit dans sa chambre. Cette opération se répéta tous les jours pendant plus d’un mois, resserrant les liens entre Sam et Jack, mais il y avait toujours ce Devis que jack n’aimais pas beaucoup, et qui commençais à tourner trop près autour de Sam, il passait beaucoup de temps avec elle, et a faisait même parfois un peu rire, et ça, il ne le supportait carrément pas, il n’y a que lui qui ait le droit de faire rire Carter.

Au bout de un mois donc, entre deux sorties de SG1, jack croisa Devis dans un couloir, il voulu donc faire demi-tour, mais ses béquilles n’avançaient pas assez vite pour lui, si bien que Devis le rattrapa

De : Puis-je vous parler un instant colonel O’Neil ?

J (en se retournant doucement avec un faut sourire) : je vous cherchait justement !

De : on peu se mettre un peu à part ?

J : pourquoi cela ?

De : je voudrait vous parler en privé.

J (hésitant) : je vous suit

Il entrèrent dans le labo de Sam, car elle était à la visite médicale, jack se servi un vers d’eau, et Devis s’installa sur une chaise.

J : alors colonel, que voulez vous me dire de si important, je vous prévient, si ça concerne le Naquada ou un truc du genre, je me tire vite fait.

De : je peu vous poser une question …à titre personnel ?

J (méfiant) : allez y toujours !

De (hésitant) : y a-t-il quelque chose entre vous … et le major Carter ?

Jack crachat l’eau qu’il avait dans la bouche tellement il était surpris de cette question. Que voulais-il dire au juste ? Pourquoi s’intéressait il à la relation qu’il avait avec Sam ?

De : je suis désolé, je ne voulais pas vous mettre dans l’embarra…

J : de quoi vous parlez au juste ?

De : de vous et de Sam…

J : en quoi cela peut-il vous intéresser ?

De : disons que… elle est particulièrement agréable, belle, je dirait même séduisante…

J : oui bon ben ça suffit comme ça ! je vous rappelle que vous êtes son supérieur, et qu’il existe un règlement colonel Erty !

De : je le sait bien, mais je n’en ait plus que pour trois semaines au sein du SGC, et je voulais m’assurer que vous et Sam…

J : pourquoi ?

De : j’aimerais assez qu’elle vienne avec moi, au pentagone, pour faire d’autre expériences, pour continuer nos travaux, et pour…être ensemble…

J : je ne pense pas que cela puisse intéresser Carter !

De : pourquoi ça ?

J : son travail ici la passionne, et elle est heureuse au SGC

De : en êtes vous certain ?

J : casser du serpent est un vrai plaisir ! nous avons une mission, et cette mission consiste à protéger la Terre !

De : oui, mais est-elle réellement heureuse ?

J (sans savoir) : ben…oui !

De : je ne comprend pas votre attitude colonel O’Neil !

Sam entra dans son labo à ce moment précis, et inutile de vous préciser que le ton de la conversation avait quelque peu augmenter

S : messieurs ?

J : j’allais partir

De : oui, moi aussi

S (à jack) mon colonel, c’est moi qui vous fait fuir ?

De (à la place de jack) : non, je devais partir

J (énervé) : s’est MOI son colonel !

De (gêné) : je… je doit partir…

S (voulant sauver la situation) : je parlais pour vous deux….

J : peu importe… a plus tard major!

Jack et Davis sortirent en même temps du labo, laissant Sam perplexe.

Arrivé à l’heure de la pause café avec jack, Sam se rendis jusque dans ses cartiers, puis, ils allèrent au ness ensemble. Ils n’avaient pas échangés beaucoup de mots, et n’utilisaient que les mots d’usage : comment allez vous ? qu’étiez vous en train de faire ?? mais un blanc fini par s’installer entre eux.

J : carter ?

S : oui…

J : je peu vous poser une question ?

S : allez y…

J : avant ça, promettez moi d’y répondre le plus franchement possible !

S : accordé mon colonel.

J (très sérieusement) : êtes vous heureuse ?

S : pardon ?

J (expliquant mieux) : enfin, au sein du SGC, de la vie que vous menez… de tout ce genre de truc quoi !

S : c’est un peu compliqué comme question…

J : non, pas du tout, vous dites oui ou non !

S : ce n’est pas aussi simple…

J : comment ça ?

S : j’aime mon travail, j’aime les personne avec qui je travail, j’aime visiter de nouveaux mondes et découvrir de nouvelles choses…

J : alors c’est oui !

S : oui mais…

J : mais quoi ?

S : je pense qu’un jour je partirais…

J : expliquez vous…

S : je doit aussi mener ma vie, et l’armée ne me le permet pas, je veux vivre un jour en dehors de tous ses murs gris qui recouvrent la base, et voir autre chose que des atrocités dans certains de mes rêves…

Jack était un peu gêné car il ne voulais pas en arriver là, il savait qu’elle soufrait souvent, bien plus qu’elle n’aurait du souffrir dans sa vie, mais il faisait tout pour faire passer leur travail pour un plaisir, en sortant ses blagues ridicules, il savait qu’elle en rirait, et qu’elle se détendrait, il aimait tant la voir sourire, qu’il en occultait presque tout le reste. Mais Sam le ramena à la réalité, elle méritait une vie heureuse, et de quel droit gâcherais-il ça, il n’en avait justement aucun droit, il s’en sentait même coupable.

Sam vit l’état dans lequel elle mis jack, il ne parlait plus et cela l’inquiétait, elle ne voulais pas montrer ses faiblesses, mais elle avait eu une immense envie de se confier, et surtout, à lui, car elle savait qu’il ne la jugerais pas.

J (faiblement) : je suis désolé carter

S : non, ne le soyez pas, c’est grâce à vous que j’ai envi de continuer, et pour rien au monde je n’arrêterais avant vous…

J : justement, je sui désolé pour ça, sans moi, vous seriez peut-être ailleurs…

S : ailleurs peut-être, mais pas forcément heureuse…

Elle commença à regretter ses paroles un peu trop ambiguës, mais le visage de jack se redressa, il pu la regarder dans les yeux.

S (se reprenant) : ce que je veux dire, c’est que je m’imagine mal une vie hors du SGC en sachant que ça continu de tourner ici, je me sentiras… c’est un peu égoïste de dire ça, mais je me sentirait comme " hors circuit "

J : je vous comprend parfaitement, c’est ce qui m’arrive en ce moment…

S : pourquoi m’avoir posé une telle question ?

J : je m’interrogeait…

S : est ce que ça a un rapport avec tout à l’heure…dans le labo…vous et le colonel Erty… ?

J : qu’est ce qui vous fait dire ça ?

S : j’ai eu comme l’impression que vous vous arrêtiez de parler lorsque je suis arrivée.

J (avouant) : c’est juste.

S : vous parliez de moi ou de tout le monde en général ?

J (baissant ses yeux) : de vous…

S : qu’est ce qui vous a amené à ça ?

J : ce n’est pas à moi qu’il faut poser la question.

S (déduisant) : …au colonel Erty ?

J : c’est vous qui voyez.

Sur ce, il pris ses béquilles et sortit du ness. Laissant Sam seule avec beaucoup trop de questions en tête, il fallais qu’elle sache.

Elle se rendis alors dans son labo, avec l’espoir d’y trouver Erty, et c’était à sa plus grande surprise qu’elle trouva Teal’c.

S : ha ! Teal’c, comment allez vous ?

T : je pense que c’est plutôt à moi de vous poser la question major Carter, vous n’avez pas l’air très bien.

S : ce n’est rien Teal’c, ça va aller…

T : vous pouvez me parler major Carter, si vous en sentez le besoin.

S (après réflexion) : Teal’c… vous savez pourquoi le colonel O’Neil et le colonel Erty agissent bizarrement aujourd’hui ?

T : voulez vous une réponse honnête major Carter ?

S (surprise) : bien sur…vous savez quelque chose ?

T : le colonel O’Neil ne porte pas le colonel Erty dans son cœur…

S : oui, ça je sait, mais qu’elle en est la raison ?

T : à ce que j’ai pu comprendre major carter, il s’agissait de votre bonheur.

S (ne comprenant rien au charabia de Teal’c) : comment ça ?

T : vous devez en parlez au colonel Erty plutôt qu’avec moi major Carter, c’est à vous de prendre une décision.

S : MAIS QUELLE DECISION ???

T : celle de partir ou de rester.

S : mais je reste voyons, je ne part nul part…

T : c’est plus compliqué que cela major Carter.

S : comment ce fait-il que je soit la dernière au courant de ma propre vie ?

T : je suis désolée, mais par mégarde de ma part, j’ai surpris la conversation du colonel O’Neil et du colonel Erty avant votre arrivée, je ne peu pas vous en dire plus, ce n’est pas de mon ressort.

Sur ce, Sam partie en claquant la porte de son labo, laissant le grand jaffa seul, droit comme un piquet, dans l’ombre absolue, sans dire un mot (rien d’extraordinaire quoi !)

Donc, Sam se mis à parcourir tous les recoins de la base pour trouver Erty, qui peut-être lui donnera des informations, elle le trouva alors, près de la salle de briefing.

S : colonel Erty ! pouvez vous m’expliquer se qui ce passe en ce moment?

De : comment ça Sam ?

S : tout le monde ce préoccupe de mon bonheur et de savoir si je veux partir…je ne comprend plus rien !

De : et qu’avez vous répondue ?

S : que j’était heureuse ici, que je ne partirait pas d’ici avant la fin de notre équipe SG1, mais qu’un jour, je comptait partir vivre ma vie… c’est à peu près tout !

Elle en avait tellement marre qu’elle aurait raconter ça au premier passant, rien que pour avoir plus d’informations, elle à beau être super intelligente quand elle le veux, mais là !

De : c’est parce que je comptait vous demander de partir avec moi…pour le travail !

S : comment ça ?

De : je pensait que vous accepteriez de partir au pentagone avec moi pour travailler ensemble, et peut être un jour…

S : c’est pour CA que tout le monde en fait toute une histoire, comment-on-t-ils pu croire un instant que j’aurait envi de partir ?

De : en fait, j’aurais espéré aussi, qu’après que je ne soit plus votre supérieur au SGC, que nous pourrions peut-être…

Tout s’était éclairci dans l’esprit de Sam, en un éclair, elle n’avait pas besoin d’entendre la suite pour tout deviner maintenant.

S : je regrette…

De : j’était trop présomptueux, et je ne savais pas trop ce qui vous unissait vous et le colonel O’Neil…

S : je ne voit pas ce que le colonel O’Neil vient faire là dedans, c’est ridicule…

De : pas tant que ça !

Sam ne savait plus quoi dire, car il avait touché le point juste, et elle se refusait à continuer à se justifier, car Devis voyait clair, et qu’elle ne réussirait pas à le persuader du contraire

De : quand nous avons commencer à travailler ensemble, je me suis dit que vous et moi avions peu-être un avenir…que lui, il n’y connaissait à notre passion pour la science, que nous partageons tous les deux…

S : il m’en faut plus que la science…(souriant légèrement, les yeux dans le vague) je doit dire que son dégoût pour les scientifiques m’a donné envi de continuer pour lui prouver le contraire

De : il vous faut O’Neil !

S (calmement) : vous n’avez pas le droit de dire des choses comme ça, ma vie ne vous regarde pas colonel Erty !

Sam s’arrêta de parler lorsqu’elle vit le regard de Devis continuer son chemin derrière son épaule à elle. Elle se retourna, et vit que jack se trouvais juste derrière, avec dans les yeux, comme un profond regret, et une profonde souffrance, mais à travers ça, il regardait Sam jusqu’au fond d’elle même, avec tout l’amour qu’il pouvait porter en lui.

Sam ne dis plus rien, et alla jusque dans la salle des commandes, qui était vide, elle s’assit sur le " tableau de commande " elle commençait à se sentir mal. Jack arriva dans l’encadrement de la porte, et s’avança vers elle.

S : mon colonel…

J: major...

S : que désirez vous ?

J : parler un peu, je crois qu’il faut que je m’y mette ces derniers temps, en fait j’aurais du commencer bien plus tôt…mais il y a eu cette invitation de Thor que je n’ai pas pu refuser…et annulant ainsi mon invitation pour la pêche…

Elle ne disait rien, et cela inquiettait jack

J (voulant détendre l’atmosphère) : si vous le vouliez vous pourriez partir en courant…je ne pourrais pas vous rattraper avec mes béquilles !

S : vous pensez vraiment que c’est le moment de blaguer mon colonel ?

J : ça ne vous déplais pas d’habitude…

S (l’interrompant) : mon colonel !

J : oui… euh …excusez moi…

S : je pense que nous savons très bien que nous n’avons pas à avoir cette conversation, que nous savon que nous ne devons pas…

J (l’interrompant) : oui, mais si elle a lieux, c’est qu’il le fallais

S : si je comprend bien, aucun de nous ne va commencer à parler directement, on ne va faire que tourner autour du pot encore longtemps…pourquoi pas encore quatre ans !

J : je ne sait pas si je pourrais attendre aussi longtemps…parce que je meurt d’envi de faire un truc depuis longtemps, et que je ne veut pas encore remettre ça à un autre jour !

Il s’approcha d’elle difficilement avec ses béquilles, puis il les posa sur le côté. En faisant cela, il était déjà presque collé à Sam, qui elle, comprenait ce qui ce passait, elle n’était plus inquiète, mais elle s’attendait encore à un truc du genre téléportation de jack, activation de la porte… Elle décida d’occulter ça de son esprit, car pendant que jack était tout contre elle, elle pouvait sentir son odeur, elle pouvait sentir sa respiration contre elle…

Jack mis une de ses main derrière le dos de Sam, ce qui provoqua une décharge dans son corps, qui la fit frissonner, et jack s’en aperçu, il la rapprochait d’elle encore un peu, et la regardait droit dans les yeux.

S : je croit que nous ne devrions pas faire ç…

Il ne lui laissa pas le temps de finir se phrase, il mis sa bouche contre la sienne, puis, doucement, Sam se détendis, voulant se laisser aller un peu. Il en profita pour continuer son voyage manuel autour du corps de Sam, et commençait à l’embrasser plus " profondément ". Sam ne refusa pas cette invitation si sensuelle et magique en même temps, elle se mis aussi à explorer cet homme qu’elle avait l’impression de découvrir dans un baiser.

Aucun des deux ne voulait lâcher prise, ils en redemandaient encore au contraire, tout ce temps de frustration les avaient fait devenir de vrai " bombes à retardement " qui s’étaient enfin trouvés, et qui faisait un feu d’artifice dans le salle des commandes.

Sam, qui était toujours sur son " tableau de commande ", s’était peu à peu allongée, entourant jack de ses jambes, tout était magique, mais la réalité les rappela à l’ordre.

S (entre deux baisers) : il ne faut pas qu’on reste ici…

J (pareil) : tu as raison, quelqu’un pourrais venir…

S : ce serait pas bon pour nos carrières…

J : à ce moment précis si tu savais à quel point je m’en fou !

S : il faudrait qu’on arrête là, en plus ta jambe…

J : je ne la sent même plus !

Ils commençaient à se remettre debout, puis, résignés, commençaient à partir vers le labo de Sam, qu’ils purent fermer à clef, et enfin, ils purent s’abandonner complètement l’un à l’autre.

Au réveil, ils étaient tous deux sur une table haute du labo, et Sam n’avait pas l’air d’être trop traumatisée de toutes les éprouvettes tombées à terre pendant la nuit extrêmement longue.

Tous les deux, donc, enlacés, commençaient à se réveiller.

S : tu va bien ?

J : alors là tu me pose une bonne question !

Il se mis presque sur elle pour l’embrasser à nouveau

J : est ce que ça y répond… ?

Sam se contenta de sourire

J : j’aime quand tu souris comme ça, je te l’ai jamais dit, mais ce sourire m’a sauvé plus d’une fois d’une mort certaine

S : comment ça ?

J : il m’a donné la force de me battre lorsque je sentait que la fin était proche, sans lui, je me serait peut-être laissé mourir

S : ne parle pas comme ça, et ne pense pas à des trucs de ce genre.

J (souriant) : et toi…qu’est-ce qui te marque chez moi ?

S : peut-être tes cheveux blancs !

J : quoi ?

S (riant) : non… c’est un TOUT, tes yeux, tes mains, TOI quoi !

Micro : TOUTE L’EQUIPE DE SG1 EST DEMANDEE AU COMPLET DANS LA SALLE DE BRIEFING, IMMEDIATEMENT !

S : oh non…

J: on était bien là, je dirais au général de nous laisser un peut plus de temps la prochaine fois !

S (souriante) : allez, le devoir nous appel !

Ils allèrent tous deux à la salle de briefing, et tout le monde était déjà là, il y avait donc, le général, Daniel, et Teal’c. mais le colonel Erty n’était pas présent. Janet arriva juste derrière Sam et jack, puis, alla s’assoire.

J (s’essayant) : Daniel, pourquoi riez vous ?

S (pareil) : et vous tous, que ce passe-t-il ?

H : c’est plutôt à vous de nous le dire il me semble…

S : ou est le colonel Erty ?

H : partit pendant la nuit major…

Daniel éclatât de rire, et il se tourna vers Janet, qui le rejoint dans son délire, teal’c avait même fait un grand sourire.

J : pourquoi vous souriez Teal’c ? ce n’est pas un truc à vous ça !

T : je suis heureux pour vous et pour le major Carter , O’Neil !

Jack et Sam échangèrent un regard. Visiblement, ils avaient tous compris ce qui s’était passé !

H : colonel O’Neil, Major Carter, mes félicitations ! ne vous en faites pas pour le règlement, de toute façon, l’affaire ne risque pas de sortir de la base !

D (se tenant le ventre tellement il riait) : ça m’étonnerait général, mais on verra !

J : DANIEL ! que ce passe-t-il bon sang ?

D : vous n’étiez pas dans la salle des commandes hier par hasard ?

J : euh…

D : ne répondez pas, c’est pas la peine, on sait tous ce qui c’est passé, les micros étaient en route, en clair toute la base a entendue votre petite conversation !

S : QUOI ????? vous vous moquez de nous ??? mon général, ce n’est pas vrai !

H : oh que si major, mais ne vous en faites pas, ce genre d’histoire s’oubli facilement…

J : ça je ne croit pas !

D : jack, écoutez, ce que vous voulez, c’est être ensemble, et c’est le cas, alors de quoi vous plaignez vous ?

J : c’est une histoire de vie privée ! mais c’est vrai que maintenant, on n’a plus à ce cacher !

S (à jack) : c’est quand même un peu embarrassant…

D : de toute façon, ça a rendu un énorme service à tout le monde, car toute la base a fait des paris sur vous deux, et comme ça, on a put tous avoir la même version des faits, on a tous réglés nos contes hier soir ! moi, personnellement, je n’ai fait que 25 Dollars, mais Teal’c en a fait presque 100 ! quant à Janet, elle en a eu pour…attention, tenez vous bien…150 billets !

S : Janet…vous aussi ???

J : en plus y avait des paris !!!!!!!!

H : tout le monde savait que cela finirais de cette façon, il nous a fallut seulement de miser sur le temps, ou sur une situation

S : parce que vous aussi mon général ?

H : oui, je l’avoue, et j’ai perdu 50 billets !

J : vous pensiez à quel scénarios

H : vrai dire, je voyait plus ça en mission, mais tant pis !

Jack et Sam échangèrent un regard complice et tout de même souriant, ils ne pouvaient pas leurs en vouloir, car déjà que le général permettait leur relation plus que professionnelle…

D : allez, embrassez vous, on a attendu ça trop longtemps !

Sam et jack se regardèrent encore une fois, et étaient trop heureux pour le cacher, leur liaison était officielle, et ils pourraient continuer ensemble. Jack se pencha vers Sam, et l’embrassa tendrement.

D : au fait, on vous donnera une copie de l’enregistrement qu’on a fait !!!

Jack et Sam : DANIEL !!!!!!!!!!

…FIN…