E-mail me

e-mail : marjo987@hotmail.com

auteur: marge

genre : romance S/quelqu’un...

résumer : Sam rencontre un homme parfait pour elle

disclaimer : pas à moi

note : j’espère que ça vous plaira, bonne lecture à tous (et joyeux noël en avance) biz

E-mail me

Sam entra sans frapper à l’infirmerie et trouva Janet sur son ordinateur

S : salut !

Janet : salut...

S : tu es occupée ?

Janet : oui... qu’est ce que je peut faire pour toi ?

S : .. rien, laisse tomber.

Janet releva enfin le nez de son écran

Janet : mais tu sourie dit moi !

S : ouais !

Janet : que ce passe-t-il ?

S : je ne sais pas si je doit te le dire...

Janet : tu es bien venue ici pour ça alors je peut savoir quand même ! un rapport avec le colonel ?

S : non, aucun

Janet : avec le réacteur ?

S : non plus

Janet : alors qu’est ce qui peut bien te rendre aussi heureuse ?

S : tu me promet de n’en parler à personne ?

Janet : je te promet ce que tu veux mais je veux savoir !

Sam l’entraîna un peut plus loin pour être sure de ne pas être dérangée

S : voilà... je ne sais pas par quoi commencer c’est tellement absurde

Janet : lance toi !

S : j’ai rencontrer quelqu’un !

Janet : QUOI ?

S : ne crie pas !

Janet : je... je suis juste surprise c’est tout. Mais comment ? c’est un homme de la base ?

S : pourquoi ?

Janet : tu ne sort jamais d’ici !

S : non c’est pas dans la base

Janet : alors dit moi ou sinon je te perfuse avec un sérum de vérité !

S : ...c’est sur Internet !

Janet commença à rire

S : mais quoi ? c’est pas marrant ! je te parle de ma vie là !

Janet : tu es astrophysicienne non ?

S : ben oui

Janet : tu es le cerveau le plus brillant de cette base non ?

S : possible... c’est ce que les autres disent en tout cas

Janet : je te le confirme alors... et tu n’es pas foutue de savoir que c’est un réseau interne qu’on a ici ! depuis l’incident avec le pirate informatique...

S : quoi ?

Janet : on est pas connectés au monde extérieur Sam !

S : mais... mais c’est pas possible...oh merde !!! j’avais oublier !!!!

Janet : tu passes trop de temps sur ton réacteur ! du coup, le plus simple t’es étranger

S : ho mon dieu...

Janet : je suis désolée.

S : et moi donc !

Janet : c’est qui ?

S : aucune idée...j’ai trop honte ! je n’oserais plus jamais sortir d’ici

Janet : pourquoi ?

S : parce que je me demanderais qui c’est... si je le croise dans un couloir ou... si je tombe sur lui....oh mon dieu

Janet : tu ne saura même pas que c’est lui, et il ne saura pas que c’est toi !

S : c’est vrai... je n’ai pas dit toute la vérité sur moi

Janet : tu lui a dit quoi ?

S : que j’écrivait des bouquins... c’est pas faux, j’en ai déjà fait deux, je n’ai pas mentit

Janet : et lui ?

S : il est gentil, attentionné, il a plein d’histoires à raconter, mais je n’en sais pas plus, on évite d’en dire trop

Janet : tu penses que ça pourrait être qui ?

S : j’en ai pas la moindre idée... on est presque 300 dans cette base Janet, peut être que je ne le connaît pas !

Janet : peut être... mais tout le monde te connais par contre alors fait gaffe

S : je ne lui parlerais plus

Janet : tu va y arriver ?

S : il faudra bien, c’est sûrement un militaire, il n’y a presque que ça dans la base

Janet : alors il est pas très intelligent lui non plus ne doit pas savoir que c’est un réseau interne

S : j’espère qu’il ne le saura jamais

Janet : je vais mener mon enquête...

S ; je te l’interdit !

Janet : pourquoi pas ?

S : je ne veux pas savoir, je veux tout oublier... mon dieux moi qui croyait justement pouvoir rencontrer quelqu’un d’extérieur à ma vie ici

Janet : et le colonel ?

S : arrête avec lui, on sait très bien toutes les deux que ce n’est pas possible pour bien des raisons

Janet : lesquelles ?

S : petit un je ne suis pas attirée par lui

Janet : premier mensonge

S : petit deux il n’est pas attiré par moi

Janet : deuxième

S : petit trois on est militaires

Janet : bouquet final !

S : arrête avec ça, j’essaye de penser à autre chose et tu ne m’aides pas

Janet : pauvre de toi, un homme que tu aimes et qui t’aime...c’est vrai que tu es à plaindre

S : je ne rigole pas, je pensais pouvoir me sortir d’ici... avoir un endroit ou aller quand je serais dehors, quelqu’un qui pourrait m’attendre

Janet : je sais que c’est dur Sam, mais rien ne t’empêche de continuer avec cet homme

S : jamais de la vie

Janet : pourquoi pas ?

S : parce que s’il ne me plais pas ou si je lui plais pas, et ben ça fera vite le tour de cette base, et je ne veux pas qu’on sache, c’est pour ça que je viens me confier à toi... quoi que maintenant je me demande si c’est une bonne idée...

Janet : tu as bien fait Sam, ne t’inquiètes pas, je n’en parlerais à personne

S : merci.

Janet : que vas tu faire maintenant ?

S : me remettre à travailler et oublier tout ça très vite

Janet : ça va aller ?

S ; il faudra bien... merci encore Janet

Elle sortit de l’infirmerie, Janet la regardait partir, elle se dit que c’était dommage, Sam avait le droit elle aussi au bonheur, elle était vraiment triste pour son amie.

Sam alla vers son labo, elle baissait la tête pour marcher comme pour ne croiser aucun regard pour ne pas être trop mal à l’aise, elle entra, traversa la pièce et regarda de loin son ordinateur encore allumé, elle essaya de ce concentrer pendant de longues heures sur ses expériences, mais elle avait l’esprit occupé

Pc : vous avez un message, vous avez un message

S : et merde !

Elle n’avait vraiment pas besoin de ça pour le moment, elle tenta de l’ignorer, mais la petite boite aux lettres clignotait sur son écran

S : non ! tu n’ira pas ! tu ne le lira pas !.... il faut que je l’efface

Elle se dirigea vers le PC quand le petite voix se fit à nouveau entendre

Pc : vous avez un message, vous avez un message

Elle essaya de se convaincre

S : peut être que c’est quelqu’un d’autre...on ne sait jamais... mais si c’était lui... il ne faut pas que je lui parle... mais il a le droit de savoir que je ne lui parlerait plus... qu’est ce que je raconte là ? ça n’a aucun sens ! tu deviens folle ma pauvre fille

Elle alla décidée vers le PC, et ouvrit son courrier

Message : salut, c’est moi, je voulais m’excuser encore d’avoir du partir précipitamment tout à l’heure, je suis désolé, mais j’ai un amis qui est passer me voir avec un problème... tu m’excuse ?

Sam se surpris à sourire, puis se gifla mentalement et continua de lire

Message : ... je serais là ce soir, de 8H à minuit, si tu es là on pourra reprendre ou on en était, j’attendrais que tu viennes. Je t’embrasse signé : SOS

Elle relut le message au moins dix fois avant de l’effacer enfin, elle souriait encore et ferma rapidement son ordinateur portable se sentant coupable de vouloirs le rejoindre, mais elle n’irait pas, c’était décidé ! elle n’était pas major de l’air force pour gâcher sa vie et sa réputation de cette manière.

Micro : SG1 est appelé en salle de briefing, je répète, SG1 est appelé en salle de briefing

S : ça me fera penser à autre chose, avec un peu de chance j’aurais une mission pour ce soir m’empêchant de répondre.

Elle arriva et vit qu’il manquait encore Jack et Daniel

H : assaillez vous major, on attend deux minutes, s’ils ne sont pas là on commence sans eux.

S : un problème mon général ?

H : vous saurez ça tout à l’heure

Daniel arriva avec un livre dans les mains, plongé dans sa lecture, il ne saluât personne et s’assit directement

S : daniel ?

D : ...

S : Daniel?

D: ha! Salut Sam... ça va?

S : vous lisez quoi ?

D : science du comportement à l’age des hommes préhistorique, j’ai penser que ça pourrait nous servir si on rencontrait à nouveau des primitifs, ce livre est passionnant !!

Jack arriva alors

H : parfait, on peut commencer !

J : attendez mon général, j’ai pas dit la blague du jour !

H : asseyez vous colonel !

J : si vous le prenez comme ça... bonjour à tous quand même

Après les salutations

H : voilà je vous ai réunit pour vous annoncer que la semaine prochaine à lieux votre semaine médicale.

J : oh nonnnnnnnnnn s’il vous plais mon général !

H : colonel cette semaine ne se renouvelle que tous les deux ans, estimez vous heureux d’être encore là pour en vivre une autre

D : vous serez peut être plus là à la prochaine

J : c’est sur que pour vous, passer une semaine dans les mains de...

H : colonel s’il vous plais !

J : mais mon général on passe déjà la moitié de notre temps terrestre dans cette infirmerie !

H : je veux un check up complet, et même plus que ça encore, mise à jour de vos dossiers médicaux, des vaccins, des tests de capacité de toute sorte, mais le docteur Frasier vous expliquera ça mieux que moi

J : y aura des piqûres ?

H : apparemment oui, on vous fait aussi une ponction de moelle osseuse pour les tests de compatibilité

J : avec la grande aiguille ?

H : exacte

J : ohhh mon général mais qu’est ce qu’on a fait pour méritez ça ? on viens de sauver la terre et voilà comment on est remerciés !

H : c’est sans appel colonel

D : ça lui fait plaisir de se plaindre

J : vous rigolerez moins quand une aiguille de vingt centimètre vous rentrera dans le dos !

Daniel devient alors un peu blanc

D : c’est... c’est vrai ?

S : oui Daniel, mais ne vous en faites pas, ce n’est que quelques secondes, ça va très vite

J : c’est pas tout, après on glisse une toute petite caméra dans le...Rmmmm vous voyez quoi ! un tuyau de deux mètres de long pour remonter jusqu'à l’estomac

D : oh...ça doit faire mal ça...

S : il exagère, ne l’écoutez pas... (souriant) pas jusqu'à l’estomac en tout cas !

Daniel devin alors plus blanc encore

J : mon général on ne peut pas l’emmener maintenant ? on dirait qu’il va tomber dans les pommes

S (à Daniel) : vous ne sentirez rien, ils font inhaler un gaz hilarant

H : vous verrez ça avec le docteur, je suis sur que cette semaine va bien se passer

J : j’ai mes doutes mon général

En sortant de la salle

J : on dirait qu’on est partit pour jouer aux rats de laboratoires

S : ça m’arrange en fait, je vais avoir le reste du temps pour travailler un peu

D : je préférerais partir en mission et traverser des déserts sur les mains pour ma part

J : ne vous en faites pas, les doc. va adorer voir vos petites fesses

D : il est hors de question que quiconque voit mes fesses !

J : dites ça à ce tortionnaire de docteur !

D : je n’irais pas

S : ils peuvent vous forcer !

D : alors j’irais le faire ailleurs, pas ici !

J : je leurs demanderais des photos, je suis sur que doc. à un polaroïd

Ils se dispersement tous peut à peu dans les couloirs de la base...

*********

Janet et Sam s’étaient retrouvée pour manger au mess

Janet : alors quoi de neuf ?

S : Daniel à peur de subir une endoscopie

Janet : je confirais cette tache à Martin

S : le nouveau ?

Janet : il va tellement lui faire peur qu’il s’évanouira avant même que ça ne commence

S (souriant) : ça ne m’étonne pas de toi

Janet : et ton mystérieux admirateur ?

S : shuuut !

Janet : mais personne ne m’entend ! alors ?

S : j’ai voulu l’ignorer.... Mais j’ai pas réussit, Janet j’ai honte de moi !

Janet : comment ça ?

S : j’ai lut son mail, j’ai rendez vous ce soir

Janet : en vrai ?

S : ben non, il ne sais pas que nous sommes dans la même base... enfin je pense

Janet : sur le net alors ?

S : oui... mais je n’irais pas, je me suis promis de ne pas y aller, je vais aller voir un film car je sais que je n’arriverais pas à me concentrer avec l’ordinateur dans le même pièce... je prendrais une douche froide pour me calmer et dodo à 11h ce soir

Janet : tu te donne bien du mal pour quelqu’un qui ne t’intéresse pas

S : que veux tu que je lui dise " tien au fait, on est collègues ! " ???

Janet : c’est sur que c’est pas ce qu’il y a de mieux, mais tu peut lui donner deux ou trois explications quand même

S : je n’y arriverait pas

Janet : fait comme tu veux, mais tu va briser ce cœur de ce pauvre homme

S : mais non, on étaient justes amis

Janet : à quelle heure à tu rendez vous ?

S : à 8 H

Janet : il est déjà 8H30 Sam !

S ; je sais, mais le film commence à 8h50 alors j’ai le temps

Janet : je te parle de lui ! va le voir

S : hors de question !

Janet : tu risque de le regretter

S : je ne pense pas, ça ne m’aurais apporter que des soucis

Janet : et si c’était l’homme de ta vie ?

S : ça ne risque pas

Janet : tu me l’a dit toi même ce matin, il n’y a pas que Jack sur cette terre

S : mais... c’est trop compliquer

Janet : ce que je vois c’est que tu as peur que ce type te plaise car tu ne veux pas à avoir à affronter ton colonel car tu sais ce que tu ressent pour lui et ce qu’il ressent pour toi

S : c’est faut

Janet : c’est vrai

S : bonne nuit Janet !

Elle se leva et porta son plateau sur les étagères de rangement puis sortie du mess

***********

Sam était devant la télé elle regardait la Re-Re-Re diffusion de l’intégrale d’X-Files, la collection personnelle de Teal’c, rien de tel que des petits hommes verts pour se sortit tout ça de la tête pensa t-elle.

Mulder : j’ai des contactes sur Internet Sculy, et ils...

S : c’est pas vrai ça continu ! pourquoi ça me poursuit ???

Scu : tes contactes il ne vaux mieux pas trop les fréquenter Mulder

S : bien dit !

Mul: mais ils peuvent changer le cours de notre vie...

S : de toute façon elle perd tout le temps celle là !

Elle éteignit la télé et respira un grand coup

S : la prochaine fois je lui demanderait sa collection de Friends

Elle alla regagner ses cartiers, il était presque 11H quand elle regarda sa montre, elle ne pu se dire que " j’ai encore le temps " mais elle se dit que de toute façon elle n’irait pas, elle tenta même d’avancer sa montre à minuit et demi, mais se trouva soudain très ridicule à cette idée, elle avait juste envi de ce taper la tête contre les murs, mais rien de bien méchant en fait...

Après une bonne douche, elle s’assit sur son lit

S : et si Janet avait raison...et si Mulder avait raison... arrête de délirer ma petite ! tu es en train de parler d’un feuilleton télé !

Elle tourna en rond un instant, regarda encore une fois sa montre

S : mais que va t-on penser de moi après ? ... personne ne saura de toute façon...

Il était 11H45

S : j’y vais ! il faut que je m’explique

Elle attrapa une tenue de corvée et partie en courant à travers les couloirs, elle entra dans le labo et attendis un instant avant de presser le boutons

Il s’alluma

PC : vous avez deux nouveaux messages, vous avez deux nouveaux messages

S : ... voyons voir...

Elle commença à pianoter rapidement

Message 1 : je le savais !!!!! tu es quand même venu voir hein ??? bisous, Janet !

S : je vais la tuer !!!

Elle effaça et lut le deuxième

Message 2 : salut, c’est moi, je suis là depuis un moment alors je me demandait si tu allais venir, j’attend jusqu'à minuit, je t’embrasse signé : SOS

Elle se connecta alors, et vit qu’il était encore là, elle sourit et alla lui parler

NQD (c’est Sam) : salut

SOS : salut, je me demandait si tu allais venir

NQD : désolée.

SOS : quelque chose ne va pas ?

NQD : non, tout va bien

SOS : on ne dirait pas, tu met du temps à répondre, c’est moi qui suit lent d’habitude

NQD : excuse moi, j’ai eu une dure journée... écoute, je pense que je ne vais pas pouvoir revenir

SOS : comment ça ?

NQD : je suis désolée, mais je ne peut pas t’expliquer

SOS : mais non ! tu ne peut pas, dit moi ce qui ce passe

NQD : c’est impossible, mais je tien à te remercier

SOS : pourquoi ?

NQD : pour m’avoir fait prendre conscience que je pouvais trouver ce que je cherchait ailleurs, tu es tellement différent

SOS : toi aussi, grâce à toi j’ai pu oublier un instant que je ne prouvait pas avoir ce que je désirait.

NQD : tu m’en veux ?

SOS : je ne peut pas t’en vouloir... il y a quelqu’un d’autre c’est ça ?

NQD : non

SOS : le problème viens de moi ?

Sam ne répondis pas tout de suite, ne sachant pas comment annoncer ça sans qu’il soufre

SOS : répond moi ! c’est ça ?

NQD : tu es parfait, tu n’a rien à te reprocher

SOS : alors dit moi

NQD : je ne peut pas

SOS : pourquoi ?

NQD : parce que

SOS : c’est pas une réponse ça !

NQD : ça risquerait d’avoir des conséquences

SOS : de quel genre ?

NQD : grave

SOS : mais non...

NQD : je ne pourrais jamais te rencontrer.

SOS : pourquoi ? même si tu fait 1m20 sur 1m20 c’est pas un problème

NQD : c’est pas ça ..., je t’en pris, ne complique pas les choses, s’il te plais, fait le pour moi

SOS : on peut rester en contacte quand même ?

NQD : ce serait trop dur

SOS : mais j’ai besoin de te parler...

Sam pleurait maintenant

NQD : peut être un autre jour... je te contacterait...bye

SOS : non ! attend !

Sam se déconnecta et fondis en larme, jamais elle n’aurait cru ça si dur, mais il fallais qu’elle le fasse, pour elle et pour le bien de l’autre personne qui risquait gros également, elle n’avait pas la droit de se laisser aller, pour elle, pour l’armée, pour ses collègues... tous ceux qui espéraient tant d’elle.

************

le lendemain matin, couloir de la base

Janet : salut Sam !

S : ...

Janet : Sam ?

S : salut

Janet : tout va bien ?

S : ... non !

Janet : viens à l’infirmerie, on va discuter si tu veux

Elles entrèrent

Janet : alors ?

S : j’ai du lui dire que je ne reviendrait pas

Janet : comment ça c’est passé ?

S : pas très bien, il ne comprend pas, mais si je lui dit il va être dans le même état que moi et je ne veux pas que ça lui arrive

Janet : et le laisser sans réponses c’est mieux ?

S : mais...

Janet : met toi à sa place... on te dis " bye " sans raison, alors que tu sais qu’il y en a une, et tu ne veux pas la savoir ?

S : si mais... de mon coté je pense que c’est préférable qu’il ne sache pas

Janet : peut être que vous pourriez trouver une solution à deux ?

S : mais aucun de nous ne sera plus comme avant, on se demandera qui est l’autre sans arrêt !

Janet : crevez l’abcès

S : encore moins

Janet : vous n’avez cas...

Toc toc toc

Janet : .. entrez !

Le sergent Mathias passa la porte

Sergent : docteur Frasier, souhaitez vous faire appeler le reste de SG1 maintenant ?

Janet : oui, faites le merci (à Sam) on va commencer les tests... fait toi un peu plus présentable ok ?

S : merci Janet

Sam se passa la main sur les yeux et coiffa un peu mieux ses cheveux quand retentit l’appel réservé à SG1

Teal’c arriva assez rapidement, Jack suivait mais de plus loin, et Daniel arriva à reculons, ils ne semblaient pas être les individus les plus heureux du monde

Janet : ne vous en faite pas, aujourd’hui c’est tranquille, rien de sérieux, juste le nécessaire, la vue, l’ouie, réflexes, effort et imagerie médicale complète

J : rien que ça ! mais je vous préviens que je suis pas d’humeur

D : vous ne l’êtes jamais !

J : oh vous la ferme !

Janet les fit passer un par un au test visuel

J : Z E R D G H I Y H C S E .... J’arrive plus là.... Mais ça ressemble à ...à rien

Janet : pas mal colonel

D : la vue baisse Jack ?

J : c’est pas moi qui porte des lunette pour le moment !

Tout le monde passa plus ou moins bien, Janet les fit écouter des signaux sonores, ils prirent ça pour un jeu sous l’initiative du colonel, après tout, autant profiter de ne pas avoir tout de suite de piqûres. Le test suivant était le souffle après un effort, mais SG1 était relativement en forme, alors tout ce passait pour le mieux point de vue médicale

Mais Sam n’avait pas le cœur à rire, elle faisait bonne figure et Jack le remarqua aussitôt à son sourire forcé, il alla lui parler quand Daniel était entre les doigts agiles de Janet qui cherchait un semblant de virus au fond de sa gorge

J : carter ? quelque chose ne va pas ?

S : si si, tout va bien mon colonel (sourire forcé)

J : on dirait pas, je sais quand vous faites bonne figure, et c’est le cas !

S : excusez moi, mais j’ai travailler très tard hier

J : oui, moi aussi, mais c’est pas une raison, si vous êtes fatiguée dites le, on ne vous en voudra pas

S ; tout va bien mon colonel

J : vous me le diriez si ça n’allais pas major ?

S : je ne pense pas mon colonel.

J : ha...

S : j’en parlerais plus à Janet sans vouloir vous offenser

J : ha ouais, truc de fille, j’ai jamais été doué pour ça

Elle lui fit un vrai sourire

J : et ben je préfère ça !

S : merci mon colonel

J : même si je ne peut pas vous aider à résoudre votre problème au moins il disparaît un peut

Elle lui refit un sourire mais plus timide et se leva pour passer elle aussi les tests

**********

le soir

Sam était à son labo, il fallait vraiment qu’elle travaille, elle avait pris trop de retard, elle arriva à ne penser à rien pendant les deux premières heures, elle travaillait d’arrache pied pour remettre son rapport à temps. Mais une fois qu’elle eu finit, quand il était déjà tard, elle voulu sortir de son labo. Elle regarda son ordinateur posé au loin, elle hésita, mais elle se connaissait par cœur, elle savait qu’elle irait voir quoi qu’il arrive...

Elle se dirigea vers celui ci et l’alluma

Pc : vous avez six messages, vous avez six messages.

Message1 : salut c’est moi, je voulais te dire que je ne pourrait pas ne plus parler avec toi, ne m’en veux pas, mais tant que je ne saurait pas ce qui ce passe, je resterais là... je t’embrasse SOS

Message 2 : c’est encore moi, je serais un peut occupé ces prochains jour, mais je reste là, tu me dis quand et je viendrais... je pense à toi SOS

Message 3 : Sam, c’est Daniel, je t’envois les fichiers que tu m’a demander tout à l’heure, à lus tard

S : au moins c’est sur que c’est pas Daniel...

Message 4 : C’est Janet, je sais qu’on viens de se voir, mais j’ai un moyen pour trouver qui est cet homme mystérieux... donne moi juste son pseudo et je m’y met

S : hors de question ma chère

Message 5 : note d’information pour le personnel, les... bla bla bla

Message 6 : c’est encore moi, je ne suis pas près de m’arrêter, j’aimerait qu’on se rencontre pour s’expliquer, mais en vrai... répond moi s’il te plais SOS

S : il veux qu’on se rencontre... alors là je ne pense pas... de toute façon je ne peut pas

Elle lui envoya un message

NQD : bonjour, je suis désolée, mais il vaux mieux pour nous deux que l’on entre plus en contact...Jamais. Je suis désolée, mais tu comprendra peut être un jour, excuse moi encore... avec tout mon respect NQD

Elle envoya le fichier, mais à ce moment, il se connecta

SOS : tu es là ???

NQD : je suis désolée, j’allais partir, je viens de t’envoyer un message

SOS : reste s’il te plais

NQD : c’est trop dangereux ; je ferais mieux de partir

SOS : tant que je n’aurais pas de réponse je ne partirais pas

NQD : c’est trop compliqué

SOS : je sais que je ne suis pas le plus brillant des esprits, mais je suis capable de comprendre quand même

NQD : ... lol

SOS : alors ?

NQD : j’hésite

SOS : crois moi, je veux vraiment savoir, j’en prend la responsabilité

NQD : tu ne le regrettera pas ?

SOS : non

Sam hésitait encore

SOS : allô ?

NQD : oui...

SOS : dis moi s’il te plais

NQD : il se trouve qu’il se peut que nous nous connaissions déjà...

SOS : ça m’étonnerais beaucoup

NQD : je me suis rendue compte hier que nous étions sur un réseau interne

SOS : pardon ?

NQD : nous somme dans le même complexe

SOS : vous êtes ici ?

NQD : et vous aussi

SOS : si je m’attendait à ça ! ... wow...

NQD : c’est pour cela que ça peut avoir des conséquences, je ne peut pas me le permettre

SOS : en effet, le problème c’est que je vais pas arrêter de me demander QUI ?

NQD : c’est ce qui m’arrive depuis hier aussi....c’est pour ça que je ne voulais rien dire

SOS : il vaux mieux savoir et regretter de le savoir, plutôt que de ne jamais rien savoir du tout

NQD : je ne suis pas sure, j’aurais préférer ne jamais savoir

SOS : dans un sens j’ai vraiment envi de savoir qui vous êtes, mais de l’autre, ce n’est pas possible... vous allez assembler toutes les pièces du puzzle de ce que je vous ai raconter, et je serais un homme finit... pas que moi d’ailleurs

NQD : à propos de cette femme ?

SOS : oui, il vaux mieux que vous ne sachiez jamais de qui je parlais, ça pourrait entraîner trop de complications

NQD : je pense aussi

SOS : ... si je m’attendais à ça...

NQD : et moi alors

SOS : comment allons nous faire ?

NQD : je ne sais pas

SOS : j’ai envi de continuer à vous voir pourtant

NQD : moi aussi, mais... il y a cet homme dont je vous ai parler, je ne veux pas qu’il sache... et ici tout ce sait

SOS : je suis bien placé pour le savoir

NQD : il ne manquerait plus qu’on se connaisse déjà

SOS : j’avais pas penser à ça

NQD : on ne s’en sortira pas

SOS : je pense qu’il faut crever l’abcès dès maintenant, mais j’ai la trouille

NQD : je suis d’accord

SOS : mais vu ma position vous me connaissez certainement

NQD : pareil pour moi... je peut juste vous poser une question ?

SOS : allez y

NQD : vous êtes un des membres militaire ?

SOS : oui... je présume que vous aussi

NQD : j’ai vraiment pas de chance

SOS : et moi alors ?

NQD : lol

SOS : on dirait qu’on est coincés

NQD : effectivement

SOS : il vaux mieux qu’on se dise qui on est

NQD : aucun de nous ne le dira à l’autre en premier

SOS : pas faux... on a cas se voir...

NQD : vous êtes sur que c’est ce que vous voulez ?

SOS : j’ai jamais été aussi peu sur de toute ma vie

NQD : on m’a conseiller de le faire

SOS : vous en avez parler ?

NQD : oui, je n’ai pas eu le choix, cette personne me connais mieux que quiconque

SOS : et que vous a dit cette personne ?

NQD : de vous rencontrer, elle veux même mener une enquête pour savoir qui vous êtes

SOS : et ?

NQD : je ne lui ai donner aucune information vous concernant, vous êtes tranquille

SOS : ha.

NQD : il ne manquerait plus que vous soyez le commandant de cette base

SOS : lol, le général ?

NQD : rassurez moi, vous n’êtes pas lui ?

SOS : ho que non !

NQD : si je le voulais vraiment je pourrait savoir qui vous êtes, mais je ne peut pas, je ne veux pas savoir et que vous vous ne sachiez pas, si je vous croisait plus tard je ne saurait pas ou me mettre

SOS : cet homme dont vous m’avez parler est également à la base ?

NQD : oui

SOS : c’est peut être un collègue en plus...

NQD : on tourne en rond là

SOS : vous avez raison...il faut que je sache

NQD : comment ?

SOS : venez me retrouver, dès demain

NQD : vous êtes sur ?

SOS ; je prend le risque, mais qui que vous soyez, je ne pense pas pouvoir vous revoir par la suite...

NQD : moi non plus, on restera amis

SOS : bien sur !

NQD : mais personne ne doit savoir

SOS : on garde ça pour nous

NQD : ou ? et Quand ?

SOS : sous sol 24, dans la salle 12, il n’y a que très peu de caméras... à 22H je serais libre

NQD : moi aussi normalement

SOS : alors c’est d’accord ?

NQD : on verra... je vais essayer... je ne vous cache pas que je suis un peu perdue

SOS : je comprend, moi aussi

NQD : quoi qu’il arrive, je veux que vous sachiez que vous ne pourrez rien attendre de moi

SOS : pareil pour moi

NQD : alors à demain

SOS : à demain

NQD : bye

SOS : bye

Sam se déconnecta, elle n’en croyais pas ses yeux, elle avait promis de le voir le lendemain... il pouvait s’agir de n’importe qui... et elle était tout de même célèbre dans le complexe. Elle risquait gros sur ce coup.

Elle ne pouvait pas vivre quoi que ce soit avec lui, déjà parce qu’il est militaire, mais aussi parce que même si elle n’était pas avec son colonel, elle ne pouvais pas lui faire ça... pas devant lui... alors il ne fallait pas se brûler à ce jeu dangereux

Elle éteignit son labo et se décida à partir ce coucher

********

Janet : QUOI ?

S : arrête de crier !

Janet : mais c’est fou quand même

S : je sais, mais je n’exorciserait pas cette histoire sans savoir de qui il s’agit

Janet : imagine que tu te retrouve nez à nez avec Simmons !

S : ho mon dieux, ne parle pas de malheur... en tout cas, ce n’est pas le général

Janet ; tu lui a demander

S : oui, mais sous forme de supposition

Janet : tu me dira de qui il s’agit ?

S : on verra

Janet : mon dieu on dirait que c’est moi qui vit cette histoire, je suis encore plus impatiente que toi de savoir qui c’est.

S : oh que non, le truc c’est que j’y ai tellement penser la nuit dernière que je n’ai dormie que 3 H, alors je suis un peu fatiguée

Janet : tu vas faire une sieste cet après midi, ordre du médecin ! tu as les yeux tous cernés, c’est moche pour un premier rendrez vous

S ; il n’y en aura pas d’autre

Janet :on ne sais jamais

S : je ne pense pas... on va se voir, mais on a promis de rien attendre l’un de l’autre, on restera amis

Janet : ok, mais tu me tien au courant

S : promis

Janet : allez, on va finir ces tests, le reste de ton équipe va pas tarder à arriver

S : c’est quoi au programme aujourd’hui ?

Janet : tests de capacité et de logique, et cet après midi c’est le prélèvement de moelle osseuse

S : je ne peut pas le faire ce matin... sinon pour ce soir je vais peut être avoir encore un peut mal

Janet : si tu veux...

***********

Janet : colonel essayez de rester tranquille

J : hors de question que ce truc me rentre dans le dos

Janet : ce n’est qu’une piqûre

J : mais elle fait mal votre piqûre

Janet : colonel allongez vous

J : non !

Janet : allô, la sécurité ?... oui... à l’infirmerie s’il vous plais

J :que faites vous ?

Janet : ils arrivent

J : quoi ?

Janet : ils vont vous tenir

Jack sortit de l’infirmerie en courant, il tait vêtu de sa chemise d’hospitalisation qui ressemblai plus à une robe courte

La sécurité arriva

Janet : le colonel O’Neil s’est enfuit d’ici... il doit subir une ponction, ramenez le ici de gré ou de force... mais vivant si possible

La sécurité cherchait dans tous les recoins

H : mais que ce passe-t-il ici ?

Sécurité :nous avons ordre de chercher le colonel O’Neil mon général !

H : pourquoi ?

Sécurité ; il s’est enfuit de l’infirmerie mon général

Hammond souffla fort

H : ok, attendez une seconde

Quelque secondes plus tard,on put entendre

Micro (Hammond) : colonel si vous n’allez pas tout de suite à l’infirmerie, ça va mal se passer pour vous !

D (qui arrivait) : il a déserté ?

H : oui, on dirait (reprenant le micro) : et je ne plaisante pas, la sécurité est actuellement à votre recherche, si vous n’êtes pas là bas dans deux minutes vous pouvez dire adieux à toutes vos futures vacances

D : je doute que ça marche

H : vous volez essayer ?

D (au micro) : allô ? Jack ? c’est moi, Daniel, je vais parler de votre vie dans ce micro et tout le monde sera au courant de tout, alors venez me rejoindre très vite si vous ne voulez pas que je parle de P4X115, vous vous rappelez ? ... mais si... le jour ou vous avez fait ce truc qui n’a pas été cité dans un rapport et que nous tenons tous secret... je peut aussi parler de mon sujet préféré quand je décide de vous embêter... vous le connaissez ? non ? vous voulez que je vous rafraîchisse la mémoire ?... alors voila, tout à commencer quand...

J : je suis là Daniel ! arrêtez ça tout de suite !

H : colonel, vous devez subir cet opération que vous le veuillez ou non

J :si il s’arrête j’y vais

H : alors allez y maintenant !

Jack partit en lançant un regard meurtrier à Daniel

H : c’est quoi cette histoire avec P4X115 ?

D : rien du tout, mais je me dit qu’il a toujours un truc à se reprocher et que de toute façon il ne retiens pas le nom des planètes...j’avais une chance sur deux

H : bien jouer docteur Jackson

D : ce fut un plaisir

H : espérons qu’il ne fasse pas comme vous pour l’examen de demain

D : ooops

*********

Sam était anxieuse, elle ne savait pas si elle devait renoncer ou pas...mais elle avait donner sa parole et elle ne pouvait pas faire autrement. Son cœur battait si fort qu’elle n’entendait que lui quand elle fermais les yeux

Toc toc toc

S : entre Janet

J : désolé, ce n’est pas elle

S : mon colonel ?

J : déçue?

S: non... c’est que je m’attendais à voir Janet arriver d’un moment à l’autre, c’est tout.. que désirez vous mon colonel

*S : mon dieux pourquoi veniat-il ici maintenant ? il fallais que ce soit maintenant*

J : je passait juste voir si vous alliez mieux...

S : oui, tout va bien, je vous remercie de vous inquiéter. Il parait que vous avez eu quelques problèmes avec la piqûre ?

J : en effet... vous n’étiez pas là ?

S : je dormais, désolée

J : non, au contraire, ça m’évitera d’être aussi ridicule que ça en a l’air

Sam lui sourit

J : bon... ben j’étais juste passer comme ça... je vais y aller...

S : tout va bien mon colonel ?

J : oui... tout va bien si on ne compte pas que j’ai souffert horriblement cet après midi

S (souriant) : j’espère que ça ira mieux

J : j’en suis sur... bon, ben plus tard carter

S : plus tard mon colonel

Il s’en alla et referma la porte derrière lui

S : il fallait vraiment qu’il vienne à ce moment précis ! ho mon dieux... qu’est ce que je vais faire ???

********

elle était devant l’ascenseur... elle hésitait encore, mais elle devait entrer dedans. Elle aurait tout donner pour ne jamais avoir fait la rencontre de cet homme... elle aurait même passé la soirée en tête à tête avec Apophis, mis là elle avait envi d’être une toute petite sourie pour se glisser sous son lit et ne jamais en ressortir.

Sous sol 20...21...22, ça se rapprochait cruellement

L’assesseur s’ouvrit enfin, elle fit mine de regarder ses tonnes de papiers qu’elle avait pris avec elle pour faire comme si elle avait quelque chose à faire ici, et se dirigea vers la salle en question, elle poussa le porte timidement, il n’y avait personne aux alentour, elle entra et ne trouva personne. Elle se mit contre a porte pour s’adosser, il était encore temps de partir pensa t-elle... non ! elle entendait des pas à l’extérieur, des pas lourds et lents qui approchaient.

Elle commençait à paniquer.. on frappa à la porte, elle se plaça derrière celle ci et attendis, serrant ses papiers contre elle, elle avait beau se sentir ridicule, elle ne savait pas quoi faire

La porte s’ouvre, quelqu’un entre, elle ne peut pas le voir car elle est derrière la porte il entre et...

S : HO MON DIEU !

J : c’est pas possible !

S : oh mon dieu ho mon dieu ho on dieu

J : ne me dites pas que...

S : et vous ne dites rien non plus

J : c’est une coïncidence

S : oui !

J : je... mais c’est pas vrai !

Ils ne savaient plus ou se mettre, Jack tenta de ressortir, mais des pas de plusieurs soldat s’approchèrent, il referma vite la porte

J : on est coincés ici ! si on nous voit sortir de là tous les deux on est mal

Il se retourna pour voir Sam assise sur le sol, les bras tenant des genoux, il s’approcha en se passant la main dans les cheveux sans savoir comment réagir ; il s’assit près d’elle

S : on est maudis ou quoi ?

J : pardon ?

S : quoi qu’on fasse pour se détourner, tout nous rapproche

J : c’est une malédiction que de ce rapprocher de moi ?

S : mon colonel soyez sérieux s’il vous plais, on est dans de sales draps

J : vous devez être contente que je ne soit pas Hammond quand même !

S : mon colonel...

J : je sais... mais...je sais pas comment dire

S : y a rien à dire, on est mal !

J : mais personne ne le sait

S : mais nous si !

J : ... je ne savait pas que vous aviez l’habitude d’aller sur le net

S ; si j’en avait eu l’habitude je saurais que c’est un réseau interne et je ne l’aurais pas fait, et pour vous ?

J : par hasard aussi...je ne voulais pas finir mes rapports

S : mon dieu j’ai encore plus honte que tout ce que je pouvait imaginer

J : et moi alors !

S : je n’arrive même pas à croire que ce soit vous !

J : je suis pas votre type ?

S : avec tout ce qu’on c’est dis ces derniers jours...

J : je garderais le silence

S : moi aussi

J : je peut vous poser une question ?

S : ça dépend laquelle...

J : c’est qui... ???

S : et vous c’est qui ... ?

J : je crois qu’on a un réel problème en face de nous

S (ironique) : j’avais pas remarquer

J : vous pensez qu’il faut...qu’on parle de tout ça ?

S : il faudra bien un jour ou l’autre, ça commence à nous ronger

J : mais c’est pas facile à faire

S : commencez vous !

J : pourquoi ?

S : vous êtes le patron, vous montrez l’exemple

J : je peut vous l’ordonner

S : et que ferez vous si je refuse ?

J : ...

S : c’est aussi dur pour vous que pour moi

J : je sais

S : pourquoi le sort s’acharne t-il sur nous ?

J : d’habitude le sort porte un nom : Daniel

S : oui mais là c’est le hasard

J : peut êtres le destin ?

S : peut être

...

J : votre pseudo...Pourquoi ?

S : NQD ? ... Naquada...

J : j’aurais du m’en douter...

S : et vous ?

J : j’avais pas d’idée et je faisait un rapport sur le SOS envoyer de P5X quelque chose

...

Sam commença a avoir l’air de plus en plus triste

J : qu’est ce qui vous tracasse ?

S : rien

J : je vois bien que quelque chose ne va pas alors je pense que vu notre contexte vous pouvez m’en parler

S ; c’est personnel

J : parce qu’on est là à titre professionnel peut être ?

S : vous ne pourriez pas comprendre

J : les maths oui, mes je suis pas mal doué en rapports humains

S : c’est que...ne vous moquez pas de moi !

J : promis

S : j’avais pensez que pour une fois quelqu’un s’intéressait à moi et que je pourrais avoir un semblant de vie normale

J : je comprend... mais je m’intéresse à vous, Daniel aussi et Teal’c et le général !

S : alors non, vous ne comprenez pas

J : ... excusez moi... vous savez à quel point je tien à vous carter.

S : ...mais vous êtes mon colonel.

J : oui, et vous ne savez pas à quel point je le regrette

S : moi aussi

Une voix se fit entendre dans le couloir

Soldat : attend une seconde, Jerry a du encore oublier d’éteindre la lumière là bas

La porte s’ouvrit, Sam et jack pas très rassurés, mais l’homme éteignit la lumière directement sans prendre la peine de regarder s’il y avait des gent dedans, puis referma la porte

J : on a eu chaud ! si on nous avait vus ensemble ici

Il s’arrêta de parler pour constater que Sam était silencieuse à coté de lui

S (difficilement) : encore le sort qui s’abat sur nous on dirait

J : on dirait, effectivement

S : on ferait mieux de partir d’ici

Elle se leva rapidement, il la suivi dans son action

J : Sam...

S : ... mon colonel...

J: Sam attend... je...

Elle se retourna pour l’écouter parler, espérant qu’il dirait ce qu’elle a toujours voulu entendre

S : vous quoi ?

J : je...

Il n’arrivait pas à dire ce qu’y le dévorait de l’intérieur, il se contenta de baisser la tête à la sienne et de l’embrasser tendrement. Il se redressa ensuite, attendant une réaction de sa part, ne sachant pas si il avait fait ce qu’il fallait faire

Il ouvrit les yeux et se plongea droit dans les siens par la petite lumière rouge de sécurité qui baignait la pièce

S : je...

J : vous n’êtes pas obligée à quoi que ce soit...

Sam répondis alors à son baiser, d’abord doucement, il mit sa main à sa joue et la regarda à nouveau. Elle lui souriait, ils purent alors s’embrasser à cœur perdus... ils restèrent là pendant un temps indéterminé, sans un mot, juste à partager ce qu’ils avaient tant désirer depuis si longtemps

J (soupirant) : wow

Sam rit dans son cou comme elle essayait de se tenir fort dans ses bras

J : qu’est ce qu’il y a de drôle ?

S : le réel est souvent plus attrayant que le virtuel

J : je trouve aussi

S : et si j’avais su j’aurais pas attendu aussi longtemps

J : ça valais le coup je trouve

S : ho que oui

Il l’embrassa à nouveau

J : et dire que dès le premier jour j’ai eu envi de ça... c’est le souvenir le plus marquant que j’ai eu de cette journée

Ils continuèrent leurs discussion toute la nuit dans cette petite pièce, appréciant chaque seconde qu’ils vivaient l’un avec l’autre

**********

le lendemain, au mess

Janet : salut Sam !

S (sursautant) : Janet !

Janet : qu’est ce que tu as ? je t’es fait peur ?

S : non, excuse moi... comment vas tu ?

Janet : c’est à moi de te le demander... alors ????

S : alors quoi ?

Janet : tu l’a rencontrer ?

S : oui.

Janet : c’est qui ?

S : tu n’en saura rien

Janet : dis le moi !

S : non

Janet : je croyais être ton amie

S : tu l’est, justement c’est pour ça que je ne te dit rien... sinon je serais obligée de t’éliminée

Janet : s’il te plais, un indice

S : rien du tout, j’ai promis, et lui aussi

Janet : alors déjà c’est un homme !

S : tu crois ?

Janet : si tu ne me dit rien c’est que c’est un militaire

S : je ne sais pas

Janet : si tu affiche un si grand sourire c’est que tu as passer la nuit avec lui

S : Janet !

Janet : et si tu as fait ça il fallais que ce soit un homme que tu apprécie particulièrement

S : qui te dit que nous avons ...

Janet : militaire que tu apprécie... mon premier avis serait ton colonel, mais je ne sais pas s’il sais ce servir d’un ordinateur...

S (souriant): il sais

Janet : c’est lui !!!!

S : je n’ai rien dit de tel

Janet : mais tu le sous-entend ?

S : je ne sais pas...

Janet :tu n’as pas le droit de me dire mais je peut le deviner c’est ça ? c’est jack !

Sam ne répondis rien et se contenta de sourire

Janet : je ne suis pas au courant et tu ne m’a rien dit ! ... je suis si heureuse pour toi !!!!

S : merci... même si je ne t’ai pas dit de sui il s’agit bien entendu !

Janet : bien entendu !

Janet pris son amie dans ses bras

Jane : je présume que pour le test d’endurance physique il sera à plat tout à l’heure ?

S : JANET !

Janet : ne prend pas cet air outrée Sam !

S : va t-en vite avant que je ne décide que tu en sais trop sur cette affaire

Janet : je doit aller chercher certains de vos résultat de toute façon

S : à plus tard

Elle resta assise seule un instant avant d’entendre cette voix

J : bonjour major, je peut m’assoire ?

S : bien sur mon colonel

Il était convenu de garder ça secret pour le moment, ils pensaient qu’ils devaient déjà s’y habituer eux même

J : comment allez vous ?

S : très bien et vous ?

J parfait, rien à redire !

S : alors tant mieux

D : salut tout le monde

J : Daniel vous êtes encore vivant depuis le temps ?

D : très drôle...vous savez que je vous ai chercher partout hier Jack !

J : pourquoi ?

D : vous montrer l’artéfact de la bêtise humaine, très joli d’ailleurs, j’ai penser que vous l’auriez aimer dans votre salon

J : gardez le, ça à l’air bien encré chez vous

D ; Sam comment vous faites pour le supporter ?

S (sans que Daniel comprenne) : ... je prend sur moi...

Jack lui lança un regard qui en disait long

J (se levant) : allez campeurs, on va finir par être en retard !

D (suivant): bizarre, vous avez un truc à vous reprocher vous, vous n’êtes jamais à l’heure d’habitude !

J : qu’allez vous chercher par là ?

D : moi ? rien du tout

S : mon colonel laissez le tranquille un peut...

D : merci Sam

S : ... c’est vrai quoi ? il va subir une coloscopie dans une demie heure alors il a bien le droit d’être anxieux !

D : une... une quoi ???? NON !

Il se mit à regarder autour de lui

D : c’est hors de question !

Puis il partit précipitamment les laissant tous les deux

J : je vais avoir ma revanche.... Je vais faire mon petit speech dans le micro moi aussi

Il la regarda

J : à tout à l’heure major

S : à tout à l’heure colonel

FIN

Voilà, c’est finit pour aujourd’hui, dites moi ce que vous en pensez (hésitez pas sur la critique constructive) biz à tous

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