En moi

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

résumer : un incident surviens au cour d’une mission, compliquant quelque peut la communication...

disclaimer : pas à moi (mais j’acceptes les règlements par chèques, liquide et carte bancaire !

note de l’auteur : un tout petit fic juste histoire de lire quelque chose...

En moi

H : bonne chance SG1

J : merci général, mais vous savez qu’à chaque fois que vous dites ça on a des problèmes après ?

H : colonel O’Neill dépêchez vous de passer cette porte !!!

Jack s’enfonça alors dans le vortex sous l’œil amusé de son major

***********

Sergent : c’est le code de SG1 mon général

H : bien, enfin à l’heure, ouvrez l’iris sergent

SG1 passa la porte et atterrit sur la passerelle, le colonel O’Neill n’avait pas la tête des bon jours, et se contenta du minimum

J : c’est bon Général

H : tout va bien colonel ?

J : ouais, on va à l’infirmerie et on arrive

H : ... bien...

Sam baissait la tête et Daniel essayait de comprendre ce qui pouvait bien arriver a jack, jamais il ne l’avait encore vu comme ça

Salle de briefing

H : cette mission est donc encore un échec ?

J : exact

H : aucun d’entre vous n’a rien a signaler ?

S D et T : non général

H : très bien, alors vous avez un briefing lundi à 9h ; ne soyez pas en retard, colonel, je vous veux dans mon bureau

J : quoi ?

H : immédiatement !

J : bien mon général.

Il jeta un coup d’œil à Sam et se leva doucement, ils entrèrent alors dans le bureau

D : que ce passe-t-il ? ....Houou....Sam ?

S : ha... heu... je ne sais pas Daniel, mais je crois que ça ne nous concerne pas !

Elle sortit de la salle sur un pas rapide, laissant perplexe ses deux amis

H : colonel, puis-je savoir ce qui vous arrive ?

J : il n’y a rien mon général.

H : je vous connais colonel, et je sais qu’il se passe quelque chose, et je veux en être averti

J : avec tout le respect que je vous doit, j’ai le droit a une vie privée mon général

H : effectivement, mais j’aimerais que celle-ci n’empiète pas sur le travail

J : que voulez vous dire ?

H : que si votre humeur ne retrouve pas son... j’hésite pour le mot " professionnalisme " et bien je me chargerait de vous faire consulter un psychiatre

J : ... mais je rendrais fou même un psychiatre mon général

H : je le sais bien... c’est pour ça que je vous demande de revoir votre attitude colonel, comprenez moi, je préfère m’occuper de ça tant qu’il est tôt plutôt que de laisser courir et de risquer voir la situation se détériorer davantage

J : j’ai bien saisi le message

H : je l’espère... rompez

J (saluant) : mon général !

Et il sortit du bureau en passant devant Daniel et Teal’c qui étaient toujours assis à leur place, le visage soucieux. Le général sortit de son bureau quelques secondes plus tard

H : et vous ne savez pas non plus ce qu’il a ?

D : il est comme ça depuis ce matin

H : rien d’autre d’étrange à me signaler ?

D : pas à ma connaissance général

H : bien.... Retournez donc au travail messieurs

*******

deux semaines plus tard....

L’ambiance était redevenue la même au sein du SGC, le colonel avait retrouver son état normal après quelques jours de calvaire, il semblait a nouveau serein, et cherchait encore la bagarre avec Daniel, donc tout était normal (ne pensez pas que cette première partie ne servait à rien...)

H : voilà votre prochaine mission SG1 , un champ de force à été signalé à deux kilomètres de la porte des étoiles

S : sait-on d’où il provient ?

J : on viens de le dire Carter ! à deux kilomètre... pour une fois que c’est moi qui suit !

H : il provient d’un rayonnement et d’une source de chaleur major

S : merci général

D : ce n’était pas vraiment la réponse espérée n’est ce pas Jack ?

J : je ne suis pas un " non scientifique "pour rien Daniel !

H : vous partez dans dix minutes !

J : il fait beaux là bas ?

H : 28 degrés à l’ombre colonel.

J : alors laissez moi 20 minutes, il faut que je me passe de la crème solaire...

H (souriant) : vous le ferez sur place, à tout à l’heure en salle d’embarquement

SG1 avait franchit la porte et se trouvait maintenant devant une petite colline de terre, l’herbe s’étendait tout autour d’eux.

J : je vais le tuer !

D : mais ce n’est pas si méchant...

J : j’ai prévu de la crème solaire mais pas de bonnet !

S : on a déjà vu des températures inférieures à celle-ci mon colonel

J : mais il fait à peine 10 degrés !

D : on l’avait dit au briefing, mais apparemment vous n’avez pas écouter

J : ça devait être pendant une théorie de Carter alors !

D : aller, ne vous en faites pas, ce n’est que le matin, d’ici là, il fera un peu plus chaud

J : alors en route, ça va nous réchauffer

L’équipe s’engagea sur le petit sentier qui contournait la colline, Carter avait les yeux rivés sur son écran et souriait en pensant que malgré ce qui était arrivé, SG1 serait toujours SG1 et que rien de ce qui ai pu ou pourra ce passer changerait ça...

J : nous y voilà !

Ils y avaient devant eux des lumières qui semblaient sortir du sol et se diriger vers le ciel

S : ne touchez à rien mon colonel, il faut que je les analyses avant

J : alors dépêchez vous parce que ces trucs peuvent me servir de chauffage !

S : il semblerait que ce ne soit que des signaux lumineux, mais je ne sais pas ce qu’ils peuvent bien faire là.

J : c’est comme pour appeler Batman à la rescousse ! on place un panneau devant, et il arrive en moins de deux secondes

D : je pense que c’est un peut plus fin que ça Jack... Jack ????

S (en regardant ces instruments) : mon colonel ne vous en approchez pas

D : Jack ???

Sam leva la tête

D : où est-il ?

S : je ne sait pas !

D : JACK !

T : il aurait déjà répondu docteur Jackson.

D : mais que s’est-il passé ??? je n’ai rien vu

S : j’espère qu’il ne c’est pas trop approcher du rayon...

J : HHHAAAAAAAA !!!!!!

S : HHHAAAAAAAAA !!!!!!

D : quoi ?

S : c’est le colonel !

D : ou ça ?

S : aucune idée... vous ne l’avez pas entendu ??... il m’a fait peur...

D : non, rien entendu...

J : au secours !!!!

S : mon colonel ???

D : il est où ?

S : je l’entend !

J : moi aussi je vous entend carter !

S : où êtes vous ?

J : aucune idée.

S : essayez de voir alors !

J : vous êtes marrante vous !

D : Sam tout va bien ?

S : j’entend le colonel Daniel !

D : mais pas nous...

T : et que dit-il ?

S : il ne sait pas où il est... mon colonel, décrivez ce que vous voyez.

J : ben... c’est rouge partout, et...

S : et quoi ?

J : je crois que j’ai compris...

S : dites !

J : je crois que je suis accroché à une de vos hématies major !

S : quoi ????

D : quoi quoi ???

S : il dit qu’il est accroché à une de mes hématies

D : il sait ce que c’est au moins ?

J : j’ai fait de la science humaine au lycée Daniel !!!

S : il dit qu’il a fait de la science au lycée

J : je crois que je vais mourir...

S : pardon ?

J : je crois que je vais être sacrement secouer

S : expliquez vous mon colonel

J : j’arrive au cœur major

S : hein ????

J : HAAAAAAAAA

S: HAAAAA mais arrêtez de crier !!!!

D : dites !

S : ils est au cœur, et il a été secoué par la pression... il a crier ... du coup moi aussi...

J : je m’en suis sortit si ça vous intéresse !

S : ouf !

J : je vais essayer de partir d’ici !

Jack s’accrocha à une paroi et traversa la membrane

J : on rentre à la maison major !

S : bien mon colonel

Elle fit signe aux autres de rebrousser le chemin, et ils repartirent

J : le doc. va pouvoir m’aider

S : certainement... j’espère

J : moi aussi... c’est pas que ça me dérange, mais je crois que je vais vomir si vous bouger encore comme ça !

S : ne faite surtout pas ça !

J : ce serait si grave ?

S : a votre avis ?

J : ok ok ....

S: vous êtes où là?

J : je sais pas... je voyage un peu

S : ne touchez à rien surtout

J : vous en faites pas, je n’irait pas trafiquer votre cerveau, de toute façon, il me faudrait une notice pour le comprendre ne

SG1 passa la prote et se retrouva devant Hammond

H : où est le colonel O’Neill?

S : il est là !

H : pardon ?

D : il semble qu’il soit dans le corps de Sam

H : excusez moi docteur Jackson ?

J : je donnerait tout pour voir sa tête

Sam ria

H : qu’y a-t-il de drôle major ?

S : rien monsieur, c’est juste que je peux entendre le colonel O’Neill

H : alors je ne veux même pas savoir ce qu’il a dit ! en salle de Briefing immédiatement

H : j’attend des explications !

S : le colonel O’Neill semble avoir touché à une technologie aliène pendant que je manipulait des instruments pour comprendre le phénomène, puis nous nous sommes aperçu de sa disparition...

J : vous en avez mis du temps quand même !

S (ne prêtant pas attention) : ... et je me suis aperçu que je l’entendait... puis il m’a décrit ou il était, il est catégorique, c’est bien un corps humain, et comme je l’entend, ce doit être le mien

H : comment cela est-ce possible ?

S : colonel, puis-je savoir sous quelle forme vous êtes ?

J : ...ben... je suis moi... je vois mes mains, je me ballade, mais bien que ce soit liquide, je peut respirer et agir normalement

S : tout va bien

H : où est-il exactement ?

J : je dirait.... Quelque part entre un vaisseau sanguin et un muscle...

S : vous ne savez pas ?

J : j’ai dit que j’avais des notions de base ! pas que j’étais un pro en sciences

H : major ?

S : il ne sait pas mon général

H : bien, allez chez le docteur Frasier pour des examens, on en saura plus après ça.

J : du moment que je ne me retrouve pas dans la piqûre !

S : tout va comme vous voulez ?

J : j’ai du chauffage... un coin douillet ou m’allonger... et si je trouve votre estomac j’aurait à manger

S : je vous interdit de vous promener !

J : vous me donnez des ordres major ?

S : excusez moi mon colonel... disons qu’il est préférable que vous restiez ou vous êtes

H : major, allez y !

Sam se dirigea alors à l’infirmerie et subit tous les examens nécessaires, mais Janet restait perplexe devant les résultats qui n’annonçaient rien de spécial dans l’état du major Carter si bien qu’elle décida d’aller analyser les résultats de ses relevés dans son labos... voilà quatre heures qu’elle y était...

J : carter ????

S : oui mon colonel ?

J : j’ai faim !

S : je suis désolée mais je ne sais pas comment....

J : allez manger !

S : pardon ?

J : je suis sur que si vous manger je n’aurait plus faim !

S : je ne sais pas si sa marche de cette manière....

J : de toute façon vous allez vous abîmer la santé si vous n’allez pas manger tout de suite ! et c’est un ordre

S : bien mon colonel !

Elle alla au mess et s’installa seule à une table, tous les regard étaient tournés vers elle car sous l’ordre de son colonel, elle avait pris trois desserts et deux plats de résistance

S : mon colonel je pense que ça fait beaucoup !

J : vous devez manger pour deux alors estimez vous heureuse que je ne reprenne pas encore du désert

S : mais vous êtes sur que...

J : MANGEZ !

Sous l’œil amusé de toute la salle, Sam engouffra sans peine tous les aliments qu’elle trouvait, en effet elle avait vraiment très faim et ne pouvait plus s’arrêter

J : carter, je crois que c’est bon... allô ???

S : mon colonel ?

J : vous pouvez vous arrêter.

S : j’ai encore faim !

J : mais vous allez prendre dix kilos si vous continuez !

S : je ne sais pas pourquoi mais je ne peux plus m’arrêter !

Sam continuait a tout engouffrer mais due se stopper lorsque son assiette fut vide et que le cuisinier refusa de la re-re-reservire résignée elle s’en alla à son travail

J : CARTER !

S (sans ce rendre compte qu’elle criait toute seule dans le couloir) : QUOI ???

J : arrêtez de respirer !

Elle bloqua sa respiration

J : je suis dans vos poumons... et je suis accrocher à un des fils qui dépasse

Sam ne parlait pas, elle se contentait de ne plus respirer

J : c’est bon, je suis passer par en bas... je suis sur un gros truc mous

S : ça doit être mon estomac

J : alors je vais pas m’éterniser parce qu’avec tout ce que vous avez mangé ça va travailler dur là dedans !

Il tomba dans un grand gouffre en glissant, et se retrouva parmi de nombreux tuyaux

J : c’est bon, je suis en sûreté

S : bien, alors je vais tacher de finir mon travail colonel

J : ok, je vais faire une sieste en attendant

Le briefing était prévu pour la fin de la journée afin de mettre au point une méthode de ramener le colonel parmi eux.

H : alors major carter ?

S : je suppose que tout est du à ces rayonnement mon général, le colonel m’a affirmer en avoir toucher un pendant que je manipulait les appareils à détection d’onde, d’ailleurs, ceux-ci ont fait un bon lorsqu’il se pourrait que le colonel soit entrer... dans mon corps

J : j’aurait préféré que ce soit dans d’autres circons...

Il n’eu pas le temps de finir sa phrase que Sam se donna un coup de point dans le ventre, ne voulant pas entendre la suite de sa phrase

J : mais vous êtes folle ?

S : mon colonel j’essaye de me concentrer !

J : dites que je vous déconcentre !

S : excusez moi mon colonel...

Le reste de la salle regardait d’un œil amusé le spectacle qui s’offrait à eux

H : et vous docteur Frasier ?

Janet : et bien rien d’anormal pour le major Carter, mis à part un taux d’hormone supérieur à la normal

H : et ça jouerait un rôle ?

Janet : non aucun... enfin pas dans son cas.

H : alors il faut continuer les recherches

D : moi j’ai trouver quelque chose, c’est un vieux texte qui parle des lumières du savoir... mais je n’ai pas finit la traduction...

H : alors tous au travail !

S : bien monsieur

J : hey là haut ?

S : oui mon colonel ?

J : moi je suis fatigué !

S : vous pouvez vous reposer mon colonel

J : très drôle... pas quand vous bouger dans tous les sens major

H : que veut-il ?

S : il est épuisé mon général

H : très bien, alors allez dormir major, vous reprendrez demain.

J : merci général !

S : nous vous remercions mon général

Sam sortie alors, c’est vrai qu’elle aussi se sentait épuisée par tous ce qui lui était arrivée dans la journée, alors elle rejoignait ses cartiers, se mis dans son lit, et essaya de trouver le sommeil

S : bonne nuit mon colonel

J : bonne nuit major...

Mais elle avait tendance à bouger pour trouver le moyen de s’endormir, elle avait la sensation que quelque chose n’allait pas

J : vous pouvez arrêter de bouger carter... j’arrête pas de tomber

S : excusez moi mon colonel

J : c’est pas grave, disons seulement que vos intestins sont un peu glissants

Sam posa sa main sur son ventre en se disant qu’il était là

J : Carter ?

S : oui ?

J: c’est quoi ça?

S : quoi ?

J : ça !

S : expliquez vous ?

J : je... je ne suis pas sur de comprendre ...

S : pardon ??? ça ne peut pas être un peu plus clair ?

J : je... c’est que....

S : mon colonel ?

J: depuis quand vous êtes enceinte carter ?

S : pardon ?

J : vous m’avez bien entendu

S : mais...

J : vous ne le saviez pas ?

S : non... ce n’est pas poss....OH NON !!!!!

J : vous pensez que .... ?

S : je ne veux pas penser !

J : alors vous supposer que.... ?

S : mais ce n’est pas possible !

J : techniquement SI !

Elle se leva précipitamment et tourna en rond

S : mais ça n’a eu lieu qu’un fois

J : une fois de trop

S : ça ne devait avoir aucune incidence sur nos vie....

J : on avait omis un détail

Jack était plus impressionner par le fœtus qui se trouvait face à lui, il le regardait intensément

S : déjà vous allez commencer par sortir de mon utérus !

J : qui aurait cru que vous me diriez ça un jour !

S : ce n’est pas drôle

J : vous avez raison... on a un problème

S : après cette mission on avait promis de laisser ça derrière nous

J : mais on ne peu pas revenir en arrière....

S : oui, ce qui est fait est fait.... Mais comment on va s’en sortir ?

J : je ne sais pas... mais laisse moi te dire que notre bébé est merveilleux...

Sam n’en croyait pas ses oreille, la voix de jack semblais si sincère et si douce, elle en fut si surprise qu’elle se surpris même à repenser à cette fameuse mission, celle d’il y a un peu plus de deux semaines.... Ils avaient passer la nuit ensemble sans vraiment s’en rendre compte, au réveil, ils se sont séparer en reprenant leur esprit militaire, c’est pour cela que les deux militaires étaient de mauvaise humeur... mais alors que comme d’habitude ils arrivaient à faire le deuil de ce qui s’était passé... voilà qu’un imprévu venait bouleverser leurs vies

Sam s’assit à nouveau sur le lit, et s’allongea

S : vous savez ce que signifie tout cela ?

J : Sam, je suis face à notre bébé à l’heure qu’il est.... Il est petit certes, mais moi aussi...et je peut te dire que bien qu’il ne ressemble à rien pour le moment.... Je suis sur que nous aurons un superbe bébé

Sam sentait les larmes monter en elles, elle pensait que Jack délirait sur le moment, mais qu’elle n’aurait pas le droit d’avoir ce bébé

J : Sam ?

S : ...

J : Sam ??? répond moi !

S : oui, je suis là

J : tu vas bien ?

S : oui...

J : on ne dirait pas... ça ne te rend pas heureuse ?

S : ça me fait peur...

J : tu n’a rien à craindre, dès que je serait là, je prendrait soin de toi...

S : non.

J : quoi ?

S : parce que.

J : pardon ?

S : je... ce bébé, vous ne l’avez pas voulu... enfin....

J : ce n’es pas de la pitié ni de la responsabilité si tu veux savoir... tu sais ce que nous ressentons l’un pour l’autre...

S : mais tout ne doit pas changer à cause d’un bébé, si ça doit être le cas, c’est par rapport à nous... et à nous seuls

J : cette nuit là... tu te rappelles ?

S : oui

J : je pensait ce que je t’ai dit

S : mais ce n’est pas possible...

J : plus maintenant, on peut être ensemble, et je ferais tout pour que ce soit le cas...

S : mon col... Jack... tu sais que c’est dangereux... j’ai toujours redouté cet instant...

J : d’aller voir le général ?

S : non, d’avoir un bébé... tu sais, avec les protéines de Jolinar, j’ai peur qu’il ne soit... différent, et qu’il soit le projet d’étude de quelques scientifiques malhonnêtes... j’y ai souvent penser...

J : il n’arrivera rien à cet enfant, je peu te le certifier

S : tu es sur ?

J : oui Sam... je t’aime.

S (passant la main sur son ventre) : je t’aime aussi.

Jack continuait de baigner dans cet univers magique, il se sentait bien

J : je pense qu’il est temps de dormir ma puce

S : tu penses que c’est facile ?

J : essaye... il ne faut pas que tu sois trop surmenée

S : très bien... toi aussi alors

J : je vais veiller sur lui avant... ne t’inquiète pas

S : c’est un garçon ?

J : je n’en sait rien... il n’a que deux semaines... c’est un haricot pour le moment !

S : alors on aura la surprise plus tard

J : fait de beaux rêve

S : toi aussi

Et elle s’endormie, heureuse et rassurée, Jack et elle feraient tout pour êtres heureux tous les trois, et elle savait que s’est ce dont elle avait envie au fond d’elle même depuis longtemps

*******

le lendemain

H : alors major ?

S : je pense que nous devrions retourner là bas mon général.

H : et qu’en pense le colonel ?

S : il dort mon général

D : même quand il est accompagné il trouver le moyen d’être en retard

H : il n’a pas dormis cette nuit ?

S : pas beaucoup monsieur

H : réveillez le major.

Sam posa sa main sur le ventre et fit une légère pression

S (très doucement) : mon colonel.... Mon colonel il est temps de ce lever....

J : mmmmm

S : mon colonel nous somme au briefing...

J : s’est pour ça que tu me vouvoies ?

S : en effet

J : alors bonjour à toi ... ils ne m’entendent pas alors je suis tranquille... et junior va bien ! il a passé une bonne nuit

S (souriante): tant mieux...

D : sam ?

S : oui?

D: que dit-il?

S : il n’est pas de très bonne humeur le matin

J : c’est faux , j’ai passé la plus belle nuit de ma vie... enfin... jusqu'à celle que je passerait à mon retour...

S (souriante) : j’y compte bien !

D : vous dites ?

S : rien d’important, si nous poursuivions le briefing mon général ?

H : très bonne idée major, alors du nouveau ?

D : oui, j’ai traduit le texte et il correspond à notre histoire, mais en y retournant, je pourrait voir ce qu’il y a peut-être d’écrit à côté des lumières...

H : mais de quoi parle cette histoire ?

D : on dit que les sages voulaient connaître ce corps humain, on dit que c’est grâce à ce dispositif qu’ils ont créer les premiers plants de notre anatomie... ou la leur...bref, ils s’en servaient à des fins technologiques, donc il doit y avoir un moyen de revenir

J : merci Danny !

S : il vous dit merci.

J : fallait pas le dire ça ! il va se sentir important après

S : excusez moi mon colonel

D (tout content) : de rien jack !

J : pas grave, je te pardonne tout de toute façon...

H : bon, SG1 vous partez d’ici une demie heure, allez vous préparer

J : tu penses que c’est bon dans ton état ?

S : mais oui.

H : major, vous poursuivrez cette discutions plus tard je vous pris !

S : a vos ordres mon général

J : si tu penches la tête vers la droite en le regardant, tu peut t’apercevoir qu’il a une petite cicatrice sur le coin de l’œil qui est en forme de ...

H (a voyant sourire): major ce que je viens de vous dire s’adresse aussi au colonel

L’équipe était prête à franchir le vortex à nouveau

H : en cas de problème, je tiens une équipe médicale prête à intervenir

S : merci général

H : major carter, faites tout pour ramener le colonel O’Neill

J : moi je commençais à m’habituer à être ici !

S : allez, on y va !

Ils franchirent la même colline et traversèrent les même prairies que la fois passée jusqu'à arriver au rayons de lumières qui sortaient du sol, Daniel regarda partout autour de lui, mais ne trouva qu’un ancien dispositif en métal qui semblait marcher avec un levier

D : c’est comme sur les voies de chemin de fer, on tire ou on pousse le levier apparemment

S : vous pensez qu’on devrait essayer ?

D : Teal’c en aurait la force...

T : je vais faire de mon mieux Daniel Jackson.

D : je n’en doute pas.

Teal’c actionna le levier non sans peine, le mécanisme semblait rouillé et s’enclencha difficilement, mais les lampes se mirent à changer de couleur

D : c’est stupéfiant

S : comment on fait maintenant ?

J : j’avais touché un rayon !

S : je vais essayer de refaire pareil... on verra bien

J : soit prudente

S : ne t’en fait pas.

D : " ne t’en fait pas " ???

Sam ne fit pas attention à la remarque de Daniel et approcha sa main lentement de la lumière, un décharge électrique l’envahit aussitôt, et elle tomba à même le sol

J : SAM !

D : JACK !

J : DANIEL!

T : on a un problème...

J : Teal’c, portez la, vite !

D : que s’est-il passé ?

J : je n’en ai aucune idée !

Toute l’équipe se dépêcha de regagner la Terre, Sam semblait inconsciente et il fallait sans doute des soins urgents

******

J : vite, le brancard !

Janet : que s’est-il passé colonel ?

Pendant qu’il lui expliquait la petite histoire, il accompagnait le brancard en se tenant tout près de Sam

Janet : restez là, je vais l’examiner

J : attendez !

Janet : quoi ?

J : ...

Janet : je n’ai pas le temps colonel !

J : elle est enceinte de deux semaines...

Janet (surprise) : ça va s’en doute m’aider... merci colonel

Elle s’engouffra dans la porte sans vraiment analyser la situation

H : vous venez de dire quoi ?

D : c’est génial !!!!

H : Docteur Jackson !

D : mais c’est vrai que c’est une bonne nouvelle !

J (redevenant sérieux) : peut être pas au sein de l’armée Danny...

D : oups

H : vous voulez peut-être m’en parler colonel ?

J : il n’y a pas grand chose dire, j’élèverais cet enfant avec Sam, que ça plaise à l’armée ou pas... s’il le faut je partirais

H : j’espère ne pas avoir a en arriver là...

J : faites comme vous voulez... tout ce que j’espère c’est qu’elle va bien...

Au bout d’une bonne demie heure Janet sortit de l’infirmerie avec un grand sourire

Janet : elle vous réclame colonel

J : elle va bien ?

Janet : a merveille

J : et le bébé ?

Janet : vous n’avez rien à craindre, tout va pour le mieux

Jack entra rapidement dans la chambre et trouva Sam allongée sur un lit

J : salut toi

S : hey !!!

J : on ne peut pas se passer de moi longtemps apparemment

S : quand je me suis aperçue que je n’entendais plus ta voie j’ai compris que ça avait marcher

J : tu es la meilleure

S : comment te sens-tu ?

J : très bien, mais c’est toi qui m’inquiète le plus

S : tout va bien

J : j’ai eu si peur

S : moi aussi

J : ... je t’aime

Comme seule réponse elle rapprocha Jack d’elle et l’embrassa doucement, en se reculant, ils échangèrent un sourire puis se mirent front contre front. Jack plaça sa mains sur le ventre de Sam

J : ce sera le bébé le plus heureux du monde, je te le promet

S : je te fais confiance... avec un père tel que toi, il ne pourra pas s’ennuyer

J : je suis sur que tu vas le réquisitionner pour tes expériences, je te préviens tout de suite que s’il connais ces tables de multiplications avant l’âge cinq ans je divorce !

S : mais on est pas marié.

J : j’était en train de te le demander.

S : en me proposant de divorcer ?

J : c’est une demande à la O’Neill!

S : ça explique tout en effet.

J : alors,

S : alors c’est oui !

J : pour le divorce ?

S : embrasse moi idiot !

J : à vos ordres.

Pendant ce temps là...

D : alors que comptez vous faire ?

H : les faire paniquer un peu... je suppose qu’il n’a pas été tendre avec moi lorsqu’il était dans son corps... alors vengeance !

D : vous savez quoi général ? je vous aime bien !

H : je savais que vous approuviez !

Janet : ça va être sympathique un bébé à la base !

H : on va peut être subir un Baby boom !

D : heu... bon... j’ai du travail... à plus tard...

Janet : moi aussi... à plus tard mon général

Les deux partirent dans des directions opposées

T : pouvez vous me dire pourquoi les habitants le la Tau’ri sont si étranges ??

H : la vie est ainsi faite Teal’c, mais ne désespérez pas... vous comprendrez bien un jour !

FIN

J’espère que cette petite histoire vous aura plue... bisous marge