Histoire de rêver un peu...

Auteur : marge

E mail : marjo987@hotmail.com

Genre : Sam/jack romance

Saison : après la 3... ou quelque chose comme ça...

Résumé : sur une planète, SG1 découvre une tradition ayant un rapport avec la lune...

Attention : les personnages ne m’appartiennent pas, je ne touche rien avec...

Histoire de rêver un peu

SG1 est sur une nouvelle planète, P9X321, ils ont rencontrer un peuple de paysans qui survivent dans les vallées, leur chef se nomme Gruity, et tous semblent être très heureux. Après avoir passé six heures avec eux, jack ordonna de lever le camp pour être à l’heure à la porte des étoiles, en plus, Daniel avait attrapé un méchant rhume des foins.

G : mais non, restez, ce soir nous célébrons la nuit !

J : nous devons donner de nos nouvelles d’ici une heure Gruity, c’est très gentil à vous, mais nous devons partir.

T : O’Neill, je pourrais aller prévenir la terre que notre arrivée est repoussée !

S (enthousiaste) : c’est une bonne idée... (se reprenant) qu’en dites-vous mon colonel ?

J : ravi de voir qu’on n’oublie pas de me demander mon avis dans cette histoire major !

S (vraiment désolée) : excusez-moi mon colonel

J : mais non, ce n’est rien... et que fait-on pour Daniel ?

D : je vais super bien jack, pas de problèmes Hatchiiiii !

J : mais oui, c’est ça ! Vous partez avec Teal’c, il vous dépose à la porte et il revient !

D : ai je le choix ?

J : non

D : même pas un petit peu ?

J : non !

D : s’il vous plaît jack...

J : Daniel, votre nez ressemble à un légume vos yeux sont sur le point de sortir de leurs orbites, et nous ne sommes là que depuis six heures !

D : c’est juste que j’aie oublié de prendre mes médicaments...

J : raison de plus, vous irez voir Frasier ! (à Teal’c) allez-y, comme ça vous serez à l’heure pour la petite fête de ce soir !

Teal’c partit avec Daniel qui continuait à éternuer comme pas possible, et par-dessus ça, il râlait, mais après tout, c’était pour son bien !

Sam resta avec un groupe d’enfant, qui préparaient les décorations, elle avait eu le temps, ces six dernières heures de faire connaissance avec une des petites filles.

S : alors Uniony, que représente cette fête ?

Uniony : c’est la fête pour célébrer la nuit.

S (en s’asseyant près de l’enfant) : et que se passe-t-il ?

Uniony : les grands célèbres la nuit et les rêves qu’ils nous apportent, ils disent que nous ne comprendrons que plus tard, cette fête à lieu tous les mois à peu près, tout dépend de la lune.

S : pourquoi ?

Uniony : il faut qu’elle soit pleine, c’est à ce moment là que les rêves sont les plus vulnérables, enfin, qu’ils peuvent représenter quelque chose.

S : tu en connais beaucoup de chose pour ton âge.

Uniony (fière) : merci !

La petite partit aider les autres enfants, laissant Sam finir son espèce de guirlande en feuillage, quelle avait commencer.

J : vous vous amusez bien Carter ?

S (surprise) : ha ! mon colonel, excusez-moi, mais je voulais aider...

J : Allez-y, on a tout notre temps, moi je vais aider à mettre les tables, et tant que vous y êtes, faites-moi un truc avec ces branches ! Ca rendrait super dans ma chambre !

S (souriante) : bien mon colonel !

Il partit avec les autres hommes et il installèrent de grosses tables de bois, et comme il faisait chaud, tous avaient enlevé leur Tee-shirt et leurs chemises des champs, même jack ! de loin, les jeunes femmes faisaient semblant de préparer le repas, ou, comme Sam, d’aider les enfants !

Uniony : il est très beau !

S : de qui parle-tu ?

Uniony : de ton ami.

S (souriant) : c’est mon chef !

Uniony : alors quand je serais grande, je me marierais avec lui !

S (riant à moitié) : tu es un peu jeune pour penser au mariage !

Uniony : j’ai presque sept ans maintenant !

S : oh...alors ça change tout...

Pendant toute la petite conversation, Sam ne pouvait s’empêcher de jeter des petits coups d’œil à son colonel, qui commençait à transpirer sous l’effort, avec ses plaques de l’armée qui rebondissaient cotre son torse, elle se mis à divaguer, et n’entendait même plus ce que la petite Uniony lui disait.

Uniony : alors je lui ai dit que nous allions chercher du bois !

S (l’air absente) : pardon ?

Uniony : ce n’est pas grave... de toute façon je dois aller aider ma mère à finir le repas.

Tout fut installé, il ne restait que les guirlandes à accrocher, ainsi que les couronnes de fleurs, le travail de l’installation était accordé aux enfants, qui étaient fiers de leurs oeuvres, et leurs pères qui n’avaient pas vue leurs travaux les félicitaient.

L’ambiance était merveilleuse, sur fond de musique locale, jack regardait Sam aider les petits à accrocher leurs décorations, et il se dit qu’elle ferait une merveilleuse mère pour ses enfants, enfin... ceux de Sam, pas les siens... c’est ce dont il se disputait tout seul dans sa tête, quand une voix vint le troubler

Gruity : votre ami est revenu de la porte bleue, nous allons passer à table !

J : génial, je meurs de faim !

Pour le repas, les trois membres de SG1 étaient les invités d’honneur, et pour cela, ils furent placés au centre de la table en U, jack était entouré de Teal’c à sa droite, et de Sam à sa gauche, ils portaient tous des draps blancs qui se nouaient derrière le coup, soi-disant pour accueillir la lune, c’était une coutume, alors SG1 accepta de s’y plier.

S : tenez mon colonel.

J : qu’es ce que c’est ?

S : vous m’aviez demandé une décoration...

Elle lui tenait une branche assez légère qui se divisait en une dizaine de toutes petites branches, et dans celles ci, s’entremêlaient des fleurs et des rubans de toutes les couleurs

S : Uniony m’a aidé...

J: eh... c’est gentil à vous... merci carter ! ou est Uniony pour que je la remercie...

S : je ne sait pas... (désignant le fond de l’assemblée) la voici...

Uniony les aperçus au loin, elle se dirigeât vers eux, en arrivant à la hauteur de jack, elle se tien droite devant lui.

J : je voulais te remercier d’avoir aidé Carter à me confectionné ça, c’est très joli.

U : de rien, ça m’a fait plaisir (elle regarda Sam, puis s’en alla avec un grand sourire)

J (à Sam) : Pourquoi souri-t-elle ?

S (souriante) : elle conte vous épouser quand elle sera grande...

J : ha... il faudra qu’elle fasse une réservation alors !

T : je ne connais personne qui souhaite vous épouser O’Neil !

J (gêné) : merci teal’c !

Sam éclata de rire, et jack la regardait du coin de l’œil, il venait de se faire un peu ridiculiser pas son ami, et il n’en était pas fier !

Gruity arriva avec des coupes contenant un breuvage orangé.

G : c’est pour vous mes amis !

J : qu’est ce que c’est ?

G : le jus de la lune, celui que nous buvons tous pour célébrer la nouvelle lune !

S : et qu’y a-t-il dedans au juste ?

G : des fruits de nos récoltes, de l’eau et des herbes, avec un soupçon d’alcool très faible !

Jack trempa ses lèvre, et goûta un peu, il était méfiant, mais il vit que d’autres, au loin, buvaient abondamment le breuvage, il eu alors confiance en leurs amis, et il but, puis, il fit signe à carter et à tel’c d’y aller, mais le jaffa refusa aimablement

T (en s’inclinant) : je vous remercie de l’honneur que vous me faites, mais je ne boit pas.

Carter but à pleine gorgée, et finit son verre d’une traire, jack la regardait un peu fasciné

J : ouahhh Carter ! vous faites toujours comme ça ou vous avez vraiment soif ?

S : excusez moi mon colonel, j’avais très soif en effet !

G : bon, venez avec nous, nous allons faire la célébration de la nouvelle lune !

J : on vous suit !

T : je vais aller me coucher si vous le permettez O’Neil !

J : bien sur, si vous voulez !

G : je vais demander à un des enfants de vous conduire Teal’c.

T : merci Gruity.

Teal’c partit donc accompagné d’un enfant, tandis que jack et Sam suivirent Gruity et les autres adultes, car tous les enfants rentraient d’eux même pour aller se coucher.

J : ou va-t-on ?

G : dans la foret !

S : pour quelle raison ?

G : je vous l’ai déjà dis, c’est pour la lune, et les rêves qu’elle prodigue.

Jack et Sam se regardèrent dans la plus complète incompréhension.

Ils arrivèrent près d’un clairière, et tous les habitants se mirent à s’allonger sur le sol, et se lièrent les points par couples.

J : c’est quoi ça ?

G : c’est notre rituel pour la lune, venez, vous allez y participer !

S : je ne suis pas sure...

G : venez je vous dit, c’est une expérience formidable, nous la répétons tous les mois !

J ( méfiant) : et que va-t-il se passer au juste ?

G : vous allez vous endormir et vous vous réveillerez demain matin en pleine forme, en ayant l’impression d’avoir dormis cent ans.

S : comment cela se fait-il ?

G : grâce à la boisson que vous avez but tout à l’heure, vous allez faire de beaux rêves !

J : bon, allons y vu que vous avez réponse à tout !

Jack et Sam s’avancèrent vers les autres qui étaient déjà allongés

G : nous allons vous liés ensembles si vous le permettez ?

Sam et jack regardèrent autour d’eux et virent que tous étaient poing liés à deux.

J : ok, mais doucement !

Gruity les attacha et leur fit signe de s’allongés, ils étaient désormais côte à côte, près à vivre cette expérience extraordinaire de la lune ! puis Gruity alla s’attacher à son tour à sa femme.

J : bon ben... bonne nuit Carter

S : bonne nuit mon colonel.

J : c’est encore nouveau pour moi de me faire attacher à une femme, alors allez y doucement !

S (souriant) : bien mon colonel

Sam tourna sa tête pour ne pas qu’il le remarque, mais il l’a connaissait trop bien, et il devinait la couleur rouge dans laquelle elle devait se trouver par sa faute.

J : je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise Carter...

S : je le sait mon colonel, je ne le suis pas !

J : vous mentez...

La tête commença à leur tourner quand la lune apparue de derrière une montagne, et ils tombèrent dans un profond sommeil.

Dans un rêve...

On pouvait voir Sam et jack se réveiller côte à côte, dans une cellule goa’uld, jack avait la tête sur les genoux de Sam, et on pouvait entendre des pas s’approcher d’eux

S : jack ?

J: moui Sam... ?

S : je pense que c’est le moment !

J (se réveillant) : allons y alors...

S (en criant) : DE L’AIDE... VITE !! IL VA MOURIR !!!

Les jaffas se précipitèrent vers jack, qui faisait semblant d’avoir une attaque.

S (aux goa’uld) : aidez le, je vous en pris...

Lorsque l’un des goa’uld s’approcha, jack lui mis un coup sur la tête avec sa jambe, et Sam s’occupa du second, puis, ils purent retourner vers la porte des étoiles après que Sam ai enclenché un système de bombe à retardement

J : un cadeau pour toi Apophis !

Sur ce, les deux compagnons traversèrent le cercle bleu !

J : Apophis est mot !

H : vous en êtes certains ?

J : oui, j’ai moi même éventrer ce serpent avant qu’on aille aux cachots, et Sam à fait attention à ne rien laisser, et elle a enclencher la bombe !

Sur ce, Jack et Sam se rapprochèrent et s’embrassèrent devant tout le monde.

Mais personne se semblais prêter attention à ce geste, les autres ce contentaient de venir les féliciter pour leur réussite, et tous furent une grande fête en leur honneur, et surtout en l’honneur de la fin d’une grande guerre, qui libérait les terriens une bonne fois pour tout de la présence d’Apophis.

Une petite fille blonde d’a peine trois ans qui étaient dans les bras de Janet couru vers Sam, et se jeta dans ses bras.

S : comme tu as manqué à maman ma chérie, mais c’est fini maintenant, c’est bien fini !

J (arrivant par derrière) : coucou ma puce, est-ce que la petite Maya veux bien faire un gros bisou à son papa ?

Maya (heureuse) : papa !

Tous les membres de la base faisaient la fête, Sam et Jack semblaient être les plus heureux du monde, leur enfant ne se rendait pas compte de ce qui venait de ce produit, mais la terre était enfin libre

H (à tout SG1) : vous allez être des héros !

D : que va-t-on devenir si il n’y a plus d’Apophis pour nous pourrir la vie, étant donné qu’on a déjà réussi à vaincre tous nos autres ennemis grâce aux alliés ?

J : des missions de routines, ou des visites amicale à nos amis sur les autre planètes !

H : possible colonel, le président ne pourra rien vous refuser maintenant

S (à jack) : nous pourrions aller voir les Tok’Ra un moment, mon père aimerait voir Maya un peu... en plus il me reste des expériences à faire.

J : tout ce que tu voudra ma chérie !

Jack pris l’enfant des bras de sam.

J : alors ma puce, il est temps que tu ailles faire un bon dodo.

S : je viens avec toi...

Les trois membres de la petite famille O’Neil se dirigeaient vers leur quartier, Sam et Jack mirent Maya au lit, puis allèrent à part, pour rester un peu seul.

S : tu as été formidable pendant la mission

J (s’asseyant dans un fauteuil) : pourquoi, il y a des fois ou je ne suis pas formidable ? je croyait être le plus merveilleux dans toutes les circonstances...

S (souriant) : ne fait la l’idiot...(elle l’embrassa)

J : il en faudra plus pour que je te pardonne...

Sam le regarda droit dans les yeux, et se pencha délicatement sur lui, en s’appuyant sur le fauteuil puis, elle l’embrassa encore... il l’a tirait progressivement vers lui, la forçant à s’assoire sur lui... elle commençait alors à lui enlevé son Tee-shirt

J : je pense que les autres vont nous attendre encore un moment...

S (entre deux baisers) : ils sont compréhensifs...

J : s’est fou comme je t’aime...

Il la pris dans ses bras, puis se leva du fauteuil en la portant, et la mis sur leur lit. Il commençait à l’embrasser autour du cou...

J : je n’ai jamais été aussi heureux, notre fille sera libre !

S : et nous vivrons heureux tous les quatre !

J (se reculant) : comment ça quatre ??????

Sam se caressa le ventre, et le regard de jack s’illumina aussitôt

J : tu veux dire que...

S : j’attendait le bon moment pour t’en parler !

Jack l’embrassa encore plus fort, et lui exprima toute sa reconnaissance pendant le reste de la nuit, puis, ils s’endormirent...

Jack et Sam se réveillèrent difficilement, la terre était dure, et ils avaient un peu mal au dos, mais néanmoins, on pouvait lire un sourire sur leur deux visage, bien qu’ils n’avaient pas osés se regarder en se levant, ni même après, ils venaient de faire chacun un rêve merveilleux et ils avaient aimer ça.

J : euh...bonjour major...

S: bonjour colonel...

J: vous ...avez bien dormis?

S : très bien... et vous ?

J : je dirait que ça ressemble à une autre...réalité...

Gruity arriva et les interrompis

Gruity : alors mes amis, comment c’est passé votre lune ?

J : c’est...surprenant !

S (hésitante) : oui, c’est surprenant !

G : avez vous appris quelque chose ?

J (regardant le sol) : euh...non, rien de spécial

Sam se contenta de faire une moue avec sa bouche pour dire que non, puis, ils allèrent tous deux ranger leurs affaires pour repartir.

Leur regard ne se croisa qu’a peine, chacun se dit qu’il avaient fait un rêve merveilleux, mais ils se sentaient gênés, tout était presque réel.

Soudain Uniony sortie de chez elle, et se dirigea vers jack en courant...

Uniony : alors jack à tu rêvé de moi ?

J : pourquoi cela ?

Uniony : parce que les rêves de la lune représentes nos envies... et je veux me marier avec toit plus tard, alors ??

J (ne voulant pas faire de peine, ni dire de quoi il avait rêvé): j’ai rêvé d’un gros gâteau au chocolat !

Uniony était un peu déçue, mais courue chez elle pour prendre du gâteau, qu’elle remis à jack.

J : merci, tu viens d’exhausser mon souhait !

La petite s’en contenta, et repartie chez elle. Sam était en train de réfléchir à ce que la petite avait dit, si ce rêve avait eu lieu, c’est qu’elle désirait cette situation... c’était son plus grand rêve, de son côté, jack se dis la même chose, mais ce n’était pas possible, et ça ne sera jamais qu’un rêve de plus à ajouter à leur multiples fantasmes et frustrations.

Teal’c les rejoint alors, et ils purent repartir pour la terre, mais c’était le moment des dernières salutations.

J : on vous remercie tous, ça a été un plaisir de faire connaissance avec vous et...vos coutumes (dans sa tête) c’est Daniel qui aurait du dire ça, c’est fou comme ça raisonne mal dans ma bouche !

Gruity : de rien, c’est tout naturel, nous combattons le même ennemis, alors il faut savoir s’entraider tous ensemble pour devenir plus forts !

La petite Uniony sauta dans les bras de Sam, et lui fit un grand câlin, ce qui fit sourire un peu jack, et, il y eu droit à son tour, ainsi que Teal’c qui ne savait pas trop quoi dire, ce genre d’effusion de sentiments, c’était pas son truc !

Uniony : vous reviendrez me voir ?

J : c’est promis !

La petite partit rejoindre ses parents, Sam enclencha le DHD, et, en un dernier signe d’au revoir, SG1 passa la porte des étoiles.

SGC, salle d’embarquement

H : ravi de vous revoir SG1, vous passerez au briefing dans 30 min, pour l’instant, vous allez à l’infirmerie.

J (revenant à la dure réalité) : vous savez qu’on était mieux traité juste derrière cette porte mon général !

H : vous y ferez votre retraite si vous le voulez colonel, pour l’instant ce n’est pas le cas !

Teal’c jack et Sam se rendirent donc à l’infirmerie, et firent toutes sortes d’examens comme d’habitude, puis, ils purent rejoindre Daniel qui était dans son bureau (ou plutôt dans son bordel d’archéologue)

J : Daniel ! comment allez vous ??

D (sursautant) : oh...jack, vous m’avez fait peur !

J (regardant le visage de Daniel) : ça n’a pas encore tout à fait dégonflé, vous allez finir par vous y habituer peut-être !

D : parce que vous croyez que je vais vivre avec ça toute la vie ?

S : comment allez vous ?

D : merci Sam de vous inquiéter réellement de mon sort, je vais bien

S : tant mieux car je voulais vous annoncer que nous avons appris beaucoup sur leurs coutumes !

D : QUOI ! autant me planter un couteau dans le cœur !!

Jack souriait à la remarque de Sam, il faut dire que cette fois, elle l’avait surpris sur son propre terrain !

J : si vous continuer comme ça carter, vous allez me piquer mon job !

D : bon, et qu’y avez vous appris ?

S : nous avons fait une cérémonie pour la ..lune je crois...

J : ouais, ils nous ont fait boire un truc, et on a fait la sieste !

D : je doit avoir un truc là dessus dans mes livres...un instant...

J : on vous laisse chercher, nous, on a un briefing qui nous attend ! (tout bas à Sam) je préfère un bon briefing que de potasser dans ses bouquins !

Sam rit un peu mais se retient lorsqu’elle se trouva yeux dans les yeux avec jack, ça lui rappelais étrangement son rêve, et lui aussi, cette complicité avait l’air de les poursuivres.

Daniel les regardaient en leur montrant à quel point il avait envi de les tuer sur place, il n’aimait pas qu’on critique son travail !

J : bon, on va pas s’attarder !

Salle de briefing

H : bien ! je suis heureux de voir que votre mission c’est bien passé, tout m’a l’air normal...

Daniel arriva à se moment sans frapper, en tenant un livre à la main.

D : j’ai trouvé ! ha...bonjour général !

H : qu’avez vous trouvé Docteur Jackson ?

D (regardant Sam et jack) : votre cérémonie sur la lune, et en fait, elle est apparenté aux rêves et aux mouvements de la lune, qui dans un déplacement...

J : en abrégeant ça donne quoi ?

D ( ne faisant pas attention) : il est dit dans ce livre, que les anciens préparaient une mixture pour accompagner le rituel...

S : nous en avons bu...

J : d’ailleurs en réfléchissant c’était pas si mauvais comme truc...

D : ... et ils disent une phrase : " baces fruisz oubju-freoic "... ce qui veut dire... " attendre que la dame sorte de son lit ! "

S : ça doit être le moment ou la lune est apparue de derrière les montagnes.

D : après ça, il y a ...un trou...(perplexe)

J : quand on a la tête qui tourne... ça fait bizarre ce truc d’ailleurs, il faudra que j’en reparle à Gruity...

D : la traduction se termine par " ...

J (l’interrompant) : dites le nous tout de suite dans notre langue, on sait que vous êtes intelligent, pas besoin de nous le prouver !

H : colonel, laisser le docteur Jackson terminer sa phrase !

Jack avait en fait hâte de connaître la raison de son rêve, mais il avait peur de devoir s’avouer la vérité, et surtout de devoir avouer ses sentiments à Sam

D (reprenant) : donc... " liés à la vie, liés à la nuit, deux esprits n’en font qu’un pour vivre un désir commun ! " ça doit être ça... non, en fait j’en suis sur, c’est une ancienne langue parlée pas les...

Il s’arrêtât lorsqu’il vit le visage de Sam et de jack s’assombrir (et oui, même si jack est un peu moins intelligent que les autres, il n’en fallut pas plus pour qu’il comprenne très bien la phrase de Daniel.)

H (le voyant aussi) : tout va bien colonel ?...major ?....

J (peu convainquant) : ...euh...oui mon général...

Sam se contenta de hocher la tête.

D (continuant son travail de chercheur) : nous avons un dessin qui représente un couple lié, avec une ...je dirait une Aura autour d’eux...c’est à peu près tout !

H : bon, quelqu’un à quelque chose à ajouter ?

J (faiblement) : non mon général...

S (pareil) : non mon général...

T : non général Hammond !

D : je...

H : très bien, le briefing est terminé, à demain à 9h00, rompez !

Tous se levèrent à part Daniel qui continua de potasser son bouquin.

Jack commençait à partir en se passant la main sur les yeux, et Sam prenait l’autre chemin.

Aucun des deux ne tenait à voir l’autre pour l’instant, il y avait comme un froid...suite à la traduction de daniel.

Au cour de la journée, Sam pris un couloir pour ce rendre jusqu'à l’infirmerie, mais dans l’angle de celui ci, elle se trouva nez à nez avec jack.

S : mon colonel !

J: major ! ou allez vous si vite...

S : à l’infirmerie, j’ai des résultats de tests à aller chercher pour savoir si le réacteur est mauvais pour le métabolisme des...

J (coupant court) : je peu aller avec vous ?

S (hésitante mais ne pouvant pas refuser) : bien sur mon colonel.

Ils prirent alors le même chemin...

J : je pense que nous devrions parler...

S : je le pense aussi...

J : vous la première !

S : pourquoi cela ?

J (cherchant une excuse à sa lâcheté) : je vous l’ordonne...

S (déçue et suppliante) : mon colonel...

J : allez, je suis sur que vous êtes douée pour ça...

S : bien.......... Alors....mon colonel.... Je me posais des questions sur les traductions de daniel.

J : moui, moi aussi...

S : je trouve cela très surprenant, et je ne veux pas réellement savoir si tout ce dont j’ai rêvé reflète bien notre pensée commune comme il le prétend...

J : moi aussi... mais pour ça, il faudrait que l’on sache de quoi on a rêvé mutuellement....

S : cette fois c’est vous en premier !

J (hésitant) : en fait... je m’en rappelle comme si j’avait vécu moi même la situation, ce qui rend les choses encore très présentes dans mon esprits... et je pense que nous devrions attendre un peu...

S : à quoi bon ?

J : je sait pas non plus si je veux réellement connaître la vérité, bien que cette question m’obsède !

S : on peu toujours tenter !

J : que voulez vous que je vous dise... je sait pas...et si on n’avait pas rêvé de la même chose, ce serait un peu embarrassant pour moi !

S (baissant le tête en parlant doucement) : ça le serait pour moi aussi, c’est déjà un point commun...

J : bon... par ou commencer... Ha oui ! il y avait des Goa’uld...au début seulement, après y en avait plus !

S : moi aussi...

J : à vous maintenant, dites un truc !

S : euh... la terre était en paix....plus d’ennemis.

J : oui, aussi !

S : ben voilà !

J: voila quoi?

S : on a trouvé !

J : quoi ??????

S : notre désir commun, LA FIN DES GOA’ULD !!!

J (peu convaincu) : Ha ...mais oui ...

S (voulant fuir) : bon, il faut que j’aille faire des tests...

Elle commença à partir, mais elle fut retenue par la main du colonel qui l’arrêta, et se retourna alors

S : mon colonel ?

J (lâchant prise): non...rien...excusez moi carter...vous pouvez y aller!

Elle se retourna et continua son chemin, déçue et blessée en même temps, elle comprenait qu’ils avaient fait le même rêve, mais que la réalité les avaient rattrapé, que ici, ils ne pourraient pas être ensembles, et qu’ils ne pourraient jamais être heureux ailleurs que dans leurs rêves, c’est alors qu’elle compris réellement la signification de ce mot, " rêve " !

Daniel continuait sa traduction, se penchant toujours plus sur la signification des paroles, mais il ne comprenait plus rien, il nageait complètement !

Teal’c faisait sa séance de Kelnu’rim et se relaxait complètement, tandis que, de son côté, Sam n’arrivait pas à se concentrer sur son expérience, et que jack triturait son crayon qu’il avait entre les mains, si bien qu’il fini par le casser en deux.

Le lendemain, salle de briefing

H : bonjour à tous, nous allons pouvoir parler du programme pour les prochains jour...

D : on n’attend pas jack ?

H : comme vous le savez, il est tout le temps en retard et je n’ai...

J (pas très en forme) : bonjour à tous .

Il pris place auprès de Sam sans même le regarder, ni même tenter de la faire rire, ce qui intrigua quelque peu Hammond et Daniel.

H : bonjour colonel, nous en étions donc au programme...

D : en fait, général, si vous me le permettez, j’ai encore besoin de détails concernant les rêves que vous avez fait, ils pourraient m’aider dans ma traduction...

H : vous avez ma permission, ( à jack et à Sam) vous n’y voyez aucun inconvénient ?

S et J ( très peu motivés) : aucun mon général...

D : bien voilà, en fait, j’aimerais comprendre mieux la traduction, et pour cela, j’aimerais que vous nous racontiez vos rêves...

J (réfléchissant) : on tuaient tous les goa’uld, et le monde était sauvé !

S (mentant très mal) : oui, c’est ça !

D : si je comprend bien, vous avez fait le même ?

S : oui...

D : il est écrit dans mon livre, que plusieurs éléments se réunissent, permettant aux deux individus de s’exprimer en toute conscience...

J : j’avais l’impression de réellement tuer ses Goa’Uld si c’est ce que vous voulez savoir !

D : parfait !... et... étiez vous maîtres de vos actes ? parce que ce dessin représente la déesse de la volonté et du désir, alors vous deviez avoir une influence sur vos rêves ?

S : nous étions dans la situation comme s’il s’agissait de notre vie...comme au moment ou je vous parle !

D : merci ... je continuerais sur cette voix... nous pouvons continuer général !

Après le briefing, jack pris Sam à part pour lui parler de ces rêves

J : Major ?

S : Mon colonel !

J: je peu vous voir un instant?

S : bien sur ...

J : voilà...je pensait à ce rêve...encore..., et je me disait qu’il vaudrait mieux oublier la seconde partie...

S (baissant la tête) : je suis d’accort avec vous...

J : nous ne pouvons pas croire que ce genre de chose... (cherchant ses mots) puisse nous arrivé...

Décidément il choisissait mal ses phrase !

S : c’est ce que je pensait aussi mon colonel

J : bien... alors l’affaire est close !

S (déçue, en le regardant dans les yeux) : bien mon colonel !

Chacun partit après un petit moment de tension entre eux.

Sam savait maintenant à quel point elle l’aimait, mais elle lui en voulait de la faire souffrir à ce point, comme tout le monde, elle pensait avoir le droit au bonheur, avec l’homme qu’elle aime, et vivre sa vie, mais NON, elle ne pouvait pas, et tout ça à cause d’un stupide règlement militaire... devait-elle partir, voir d’autres personnes, voir le monde extérieur sur sa propre planète d’origine ? elle s’interrogeait beaucoup sur ce sujet.

Jack, de son côté se tapait la tête contre les murs, il ne pouvait s’en prendre qu’a lui se disait-il, il ne pouvait pas non plus se permettre de tout gâcher entre eux, et aussi la vie de Sam, et de sa place au sein du SGC, il ne voyait pas de solutions possibles, et il se dit qu’elle devait le détester maintenant qu’il lui avait parler de la sorte.

Le lendemain, bureau du général Hammond

On frappe à la porte

H : enter !

Sam fit son apparition dans le bureau et fit un salut militaire

H : repos major ! que venez vous faire ici?

S : j’ai une requête mon général.

H (lui faisant signe de s’assoire) : allez y, je vous écoute...

S : j’aimerais démissionner du programme SG mon général

H (se redressant et écarquillant les yeux) : COMMENT ?????

S : je voudrait démissionner ...mon général

Hammond reprenait peu à peu ses esprits, mais ne comprenait toujours pas

H : et pour quel motif major ?

S : pour motif personnel mon général...

H : je ne peu pas vous y autoriser major, ce serait de la folie de renoncer...

S : mon général...avec tout le respect que je vous doit, vous ne pouvez pas m’ordonner de rester...

H : oui bien sur, mais...et vos recherches...votre vie ici ???

S : justement, je vais prendre du congé et me reposer, après j’aviserais...

H : ... (soupir) ... le colonel O’Neil est-il au courant de votre décision ?

S : ni lui ni le reste de SG1, je reste jusqu’au retour de la prochaine mission...

H : vous allez le leur annoncer ?

S : je comptait sur vous ... mon général...

H : refusé ! vous assumerez vos actes major Carter... et votre père ?

S : il n’en sait rien... mais je ne veux pas qu’il soit au courant... en tout cas pas pour l’instant...

H : comment va-t-on, faire sans vous major...avec vos déductions scientifiques vous...

S : c’est ma décision général, vous saurez me remplacer j’en suis sure.

H : je vois qu’il n’y a rien à faire...

S : non mon général, il n’y a rien à faire...

H : bien... nous en parlerons au reste de SG1 à votre retour de mission ce soir, peut-être aurez vous changer d’avis...

S : je ne pense pas mon général.

H : allez vous préparer major, vous partez en mission dans dix minutes.

S : bien mon général !

Sam sortie de la salle et le général semblait perplexe, il n’en revenait pas, il ne pouvait pas la laisser partir... mais il n’avait pas le choix, il ne pouvait pas la garder contre son gré !

Salle d’embarquement

H : bonne chance SG1.... Vous serez de retour dans une heure, juste le temps pour observer...

J : on revient tout de suite général, c’est promis !

Sam faisait une triste mine, mais jack ne voulu pas la faire parler de peur de remettre au goût du jour les souffrance qu’ils avaient vécues juste la veille, c’était trop tôt, mais une petite voie qu’il n’écouta pas lui disait qu’il n’aurait pas toujours sa chance.

Sur une planète quelconque sans trace de vie

J : Carter, faites vos relevés scientifiques, Teal’c, vous ne quittez pas l’horizon d’un oeil, et vous Daniel, vous ...regardez ce joli paysage qui ne représente rien d’archaïque !

D : je me demande ce que l’on fait ici ?

T : il s’agit d’une mission de routine Daniel Jackson !

S (dans sa tête) : j’aurait quand même aimé avoir un peu d’action pour ma dernière mission...)

J : bon très bien, on revient vers la porte et on attend un peu pour voir !

Tous retournèrent à l’anneau de fer, et Daniel vint se placer tout près de Sam qui était un peu à la traîne contrairement à d’habitude.

D : tout va bien Sam ? vous n’avez pas l’air dans votre assiette !

S : tout va bien Daniel, merci !

D : allez dites moi ce qui ne va pas !

S : nous sommes en mission Daniel, et je tiens à rester vigilante au cas ou il y aurait lieux.

D : bon...je vous laisse...

L’attitude de Sam trahissait un certain malaise, jamais elle ne l’ait envoyer sur les roses auparavant, et il commençait à ce poser des questions.

J : c’est l’heure, on rentre !

Daniel enclencha les symboles, les trois hommes passèrent la porte et Sam resta un instant à la regarder, comme pour faire son dernier voyage, puis, elle engagea le pas.

Sur terre

H : vous êtes à l’heure SG1, (en regardant Sam) briefing immédiat !

J (surpris) : bien mon général...

En entrant dans la salle, le général semblait de triste humeur

J : que ce passe-t-il ?

D : on dirait qu’il est arrivé quelque chose...

H : je croit...que le major Carter à une déclaration à faire à toute l’équipe...

Tous les yeux étaient tournés sur elle, elle acquiesça et se mis à parler à voie tremblante.

S : je voulais vous annoncer que ce matin, j’ai ... donné ma démission au général Hammond, et que celle ci prend effet immédiatement !

D : QUOI ????

J : Vous ne pouvez pas faire ça !

H : si, elle le peut, et nous en avons parler tout à l’heure...

J : vous ne pouvez pas la laisser partir !

S : c’est moi qui l’ai décider ...

D : mais Sam, c’est ridicule... on a besoin de vous...

S : vous ferez sans... je suis désolé Daniel...

T : avons nous fait quelque chose qui vous ait offenser major Carter ?

S : non Teal’c, cette décision vient de moi et de moi seule.

J : j’espère que vous avez une bonne raison !

S : cette raison ne regarde que moi colonel

J : et vous croyez que c’est suffisant !

S : pour moi : oui !

H : le major Carter partira dès ce soir, le temps de réunir ses affaires.

S : merci mon général...

D : je ne comprend plus rien !

S : il n’y a rien à comprendre Daniel !

H : vous règlerez cette histoire dehors, (vers Sam en se levant) : major Carter, j’ai été très heureux de votre présence au sein du SGC ces dernières années

Sam se leva et fit son salut militaire

S : ce fut un honneur pour moi de faire partie de SG1

D (qui la ramène toujours) : alors pourquoi partir ?????

H : rompez !

Sam essaya de sortir vite de la salle de briefing ne voulant pas affronter ses amis.

Daniel essaya encore de la dissuader, mais elle lui demanda de ne pas gâcher leur amitié en la forçant à rester, quand à jack, il restait à se morfondre, il savait très bien quelle était la raison de ce départ prématuré, il en était la cause. Il ne savait vraiment pas quoi faire...cette histoire de rêves avait ouvert une brèche dans son cœur, qui ne semblais pas vouloir cicatriser, et il ne pouvait pas revenir à la réalité.

Sam pris son sac et partit le soir même, c’est Janet qui la déposa devant chez elle.

Janet : vous pouvez venir chez moi si ça ne va pas...

S : merci, mais tout va très bien, j’ai besoin d’être un peu seule.

Janet : je vous téléphone demains alors, cassandra voudra sûrement vous voir !

S : embrassez la de ma part, et à demain...

Elle entra dans son grand appartement vide et propre, " pas même à s’occuper du ménage pour se défouler "pensa-t-elle.

Elle pris une bouteille de whisky et alla sur le canapé pour boire un petit verre en attendant la fin d’un film, histoire de se changer les idées et éviter de pleurer. Mais ce fut plus fort qu’elle, et elle versa toutes les larmes de son corps tellement elle avait mal, elle revoyait les images de cette petite fille, elle ressentait encore le présence d’un enfant dans son corps, et elle revivait sans cesse nuit magique qu’elle avait passer avec jack, mais rien n’y faisait, pas même les autres verres qu’elle bu sans s’en rendre compte.

Le lendemain matin, elle avait un mal de crane atroce, elle pris sa douche sortie prendre l’air dans le cartier, elle s’arrêta près d’un petit magasin et entra, elle se mis alors à essayer des tas de robes et de beaux vêtements. Il faut dire qu’au SGC, il n’y avait pas beaucoup de changements vestimentaires, et elle aimait assez ça, elle y pris goût et s’acheta pas moins de cinq robes, trois jupes et une dizaine de hauts de toutes sorte.

Au retour à son appartement, elle décida de ce changer, et mis une de ses nouvelles robes pour sortir, il fallait qu’elle ne s’arrête jamais de faire quoi que ce soit sinon elle repensait obligatoirement à la base, et il faut dire que les journée sont longues à combler.

La nuit était tombée, et, au moment de franchir la porte, elle vit avec surprise, que jack se tenait juste derrière

J : ha ! ...bonjour carter...

S : mon colonel ?

J: je ne suis plus votre colonel au cas ou vous l’auriez oubliez!

S : monsieur... que venez vous faire ici ?

J : je préfère qu’on m’appelle Jack, le mot " monsieur " ça me vieillit un peu, et je viens pour voir comment vous allez...

S : je... je vais bien...je m’apprêtait à sortir !

J (la regardant de haut en bas) : je vois ça en effet... vous allez ou...si ce n’est pas trop indiscret ?

S : marcher un peu... vous voulez venir avec moi ?

J : si vous voulez...

Comment aurai-t-il pu dire non ! il avait fait tout ce chemin pour la voir, il se sentait mal à l’aise et si responsable qu’a la base, il avait été invivable toute la nuit et toute la journée, alors il avait besoin de se rassurer un peu et de voir que tout allait bien.

S : alors...vous voyez, je vais très bien !

J : et c’est quoi ces bouteilles que j’ai vue sur la table du salon tout à l’heure ?

S : vous m’espionnez ?

J : non, je constate...

S : pourquoi n’irais-je pas bien ?...il n’y a pas que le SGC dans la vie !

Le ton de la conversation montait

J : Carter, calmez vous !

S : non, je ne me calmerais mas ! vous n’êtes plus mon supérieur, alors vous n’avez plus d’ordre à me donner !

J : je suis juste venu pour essayer de comprendre !

S : comprendre quoi ?

J : votre départ !

S : ça ne vous regarde pas je vous l’ai déjà dit il me semble !

J (avouant) : je voulais savoir si j’en était la cause...

S (sarcastiquement) : vous vous donner trop d’importance... à moins que vous ne soyez la pour vous donner bonne confiance !

J (essayant de la calmer en parlant doucement) : ça n’a aucun rapport Carter ...

S : alors dites moi !

J : je me disait qu’après cette histoire de rêves, vous...

S : dites !

J : vous n’ayez réagit comme moi !

S ( comprenant plus rien) : comme vous ???

A présent, la conversation c’était calmée, ils discutaient tous les deux au milieu de nulle part.

J : je m’en suis voulu de ce qui est arrivé, vous comprenez, je ne voulais pas vous faire de mal, ni vous forcer à quoi que ce soit, alors j’ai décidé de mettre un terme à tout cela...

S : vous rappelez vous précisément du rêve ?

J : bien sur, il ne me quitte pas !

S : avais-je l’air malheureuse ?

J : pas que je sache...

S : et que je sache, vous non plus ! tout était simple...

J : ce n’était pas l’avenir que l’on nous a fait voir, c’était un désir commun...

S : il n’aurait tenu qu’a nous de faire en sorte que tout ce passe de la même façon...

J : nous avons le règlement, et il est bien réel...

S (regardant le ciel) : mais... je ne suis plus militaire...

Après avoir dit cette phrase, elle le regarda dans les yeux, et ne pu y voir que de l’amour, et lui aussi se sentait bien dans ces yeux qu’il avait l’impression de redécouvrir à chaque fois.

Il la regardait intensément, était-ce une invitation ?

J : je le sait... et j’avoue qu’égoïstement, je ne le regrette pas...

Il la pris par la taille d’une main, et la colla contre lui... elle senti un léger frisson qui la parcourue lorsqu’elle se trouva tout contre lui, la tension au maximum, le cœur près à lâcher... il se regardaient, sans se quitter un instant, puis, il se pencha sur elle, et l’embrassa doucement, à peine en l’effleurant, tout doucement...elle se tenait droite, et arrivait à hauteur de sa bouche, la main de jack était entre le bas du dos et le haut de la fesse droite, posé délicatement, dans toute sa pudeur.

Elle s’éloigna et passa sa langue sur ses lèvres machinalement, les yeux fermés comme pour que cela dure toujours, puis, en ouvrant le yeux, elle le vit, tout vulnérable, elle lui mis une mais derrière la tête, et le rapprocha un peu plus.

Elle voulais se donner entièrement à lui dans ce baiser passionné, elle l’avait invité à le rejoindre en ouvrant délicatement la bouche, ils partageaient le même enthousiasme... mais, arrivés à court de souffle, il se séparèrent à contre cœur, respirant irrégulièrement.

J : un de nous aurait du démissionner avant

S : c’est ce que je pense aussi !

J : je ne veux pas te quitter...

S (malicieusement) : je n’habite pas loin...

Ils passèrent la nuit ensemble, se liant ainsi l’un à l’autre, c’était encore mieux que ce dont ils avaient REVER pendant toutes ces dernières années, ils avaient enfin la possibilité de s’aimer.

Le lendemain matin, chez Sam

Ils étaient encore enlacés, et commençaient à se réveiller

J : comment vas tu ?

S : mmmmm

J : je vais devoir retourner à la base... tu viens avec moi ?

S : comment vont-ils réagir à ton avis...

J : ils t’adorent tous, il ne vont pas te mettre dehors !

S : je pensait à ... nous deux...

J : ils n’on rien à dire, tu n’es plus militaire ! et c’est Daniel qui sera heureux

S (l’embrassant) : pas autant que moi... c’est OK, je viens avec toi...

Salle de briefing, 10h00

H: mais ou est le colonel O’Neil ?

Jack fit irruption dans la salle

J : bonjour, vous m’attendiez je suppose

D : histoire de changer !

J : Daniel écoutez bien, je suis pas d’humeur à me battre car je suis le plus chanceux du monde aujourd’hui, et c’est pas un avorton dans votre genre...

Une voie : calme toi !

D : SAM ???!!!!????

J : et oui !

Sam entra dans la salle à son tour.

H : ravie de vous revoir major ! vous revenez parmis nous, nous vous manquions peut-être ?

Jack donna la main à Sam, ce qui n’échappa à personne

J : je crois que c’est un peu plus compliqué que ça !

H : je ne crois pas colonel... major, pouvez vous m’expliquer ?

S : je ne suis plus major, je suis civil désormais !

H : je n’ai pas encore posté la lettre de démission Major Carter !

J : oups !

S ( à jack) : tu étais au courant ?

D : " tu " ???

H : non, il ne savait rien, mais c’était le seul moyen pour que vous puissiez revenir un jour !

S : je crois que cette fois c’est loupé général, je ne pense pas être réintégré dans l’armée maintenant que jack et moi...

H : bien sur que non, vous ne le pouvez plus, néanmoins, vous savez que lorsque l’on a une décoration, on l’a jusqu'à la fin de sa vie, alors vous êtes toujours le Major Carter ! et vous pouvez toujours faire partie de SG1 mais en tant que civil !

D : comme Teal’c et moi !

J : ça on savait, merci !

S (à jack) : ça voudra dire que je n’aurait plus à obéir à tous tes ordres sans protester avant !

J : essaye un peu qu’on aille réglé ça !

H : bon, ben je crois que ça me donne encore un peu de paperasse à faire tout ce remue-ménage, mais je tient à vous féliciter !

J : merci général !

S : merci, ça nous touche réellement que vous puissiez approuver

H : je n’est pas le choix ! SG1 n’existerait pas sans vous !

D : merci général !

Hammond sortit le sourire aux lèvres

D : alors, c’est génial, il faut fêter ça !

J : je suis d’accord avec vous pour une fois Daniel !

T : je suis très heureux pour vous deux O’Neil

J : merci !

D : je ne comprend toujours rien, c’est allé un peu vite tout ça... quatre années c’est un peu rapide non ?

J : vous avez de la chance que ce soit en partie grâce à vous que nous en soyons là, sinon, je me réservait le droit de demander à Teal’c de vous démembrer vivant !

D : comment ça grâce à moi ?

S : on a dit EN PARTIE grâce à vous ! grâce à votre traduction des rêves... ça nous a un peu pousser.

D : allez y, racontez...

J : en fait, dans notre rêve, on était marié, et on avait une petite fille qui s’appelait Maya

S : le deuxième était en route...

Tous marchèrent ainsi, jack serrant Sam dans ses bras en lui faisant des petits regard complices devant les questions de Daniel, maintenant ils pouvaient être heureux comme ils l’avaient mérité, rien n’aurait pu perturber cette journée de fin de semaine, une semaine qui avait d’ailleurs été bien mouvementé !

The end...