Titre : La pire des tortures

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

résumé : SG1 vient en aide à un peuple qui semble avoir subit une attaque d’origine inconnue

disclaimer : pas à moi (il faut vraiment le préciser à chaque fois ??? c’est frustrant !!)

note : ben, comme d’ha… un petit mail… c’est bienvenu à chaque fois !

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La pire des tortures

Janet : alors Sam, comment allez vous ?

S : très bien merci, depuis longtemps je n’arrivait plus à me concentrer, mais ces quelques jours de vacances m’ont fait du bien.

Jack était dans l’encadrement de la porte de l’infirmerie

J : j’ai bien entendu le mot " vacances " sortir de votre bouche major ?

S : mon colonel ??… et bien oui…je suis partie en vacances

J : et vous avez fait quoi ?

S : j’ai rendue visite à mon frère en Californie

J : ça fait loin ça !

S : trois jours de route exactement

Janet : pardon ?

S : je suis partie à moto.

J : vous avez une moto ?

S : vous ne le saviez pas mon colonel ?

J : non, et j’aimerais bien voir ça un jour !

Micro : SG1 est appelé en salle de briefing, je répète, SG1 est appelé en salle de briefing

Janet : bon, à tout à l’heure !

S : je repasse vous voir Janet !

Les deux militaires sortirent de l’infirmerie pour ce rendre à leur briefing

Salle de briefing

Daniel et Teal’c étaient déjà présent, ainsi que le général, qui était assit sur son fauteuil, l’air préoccupé

H : assaillez vous.

J : que ce passe-t-il général ?

H : l’heure est grave, nous avons reçu un appel à l’aide de P4X457

S : que c’est-il passé mon général ?

J : c’est qui déjà P4…. ???

S : ce sont ceux que nous avons été rencontrer en décembre mon colonel, avec Khiva !

J : merci

H : et bien, j’ai le regret de vous annoncer que leur population a été anéantie hier soir.

D : pardon ?

S : c’est une erreur ?

H : malheureusement non, ils semblent avoir été attaqués par un puissant ennemis, c’est un des très rares survivant qui nous a prévenu, il se cache, et sa planète est sous contrôle

T : des goa’uld ?

H : non, apparemment, ils ne savent pas non plus à qui ils ont à faire, on suppose qu’une partie de la population est retenue prisonnière dans leur vaisseau.

J : quand part-on ?

H : dès que possible, pour une mission de sauvetage, si tout le monde est d’accord ?

S : je part mon général !

D : moi aussi !

T : j’accompagnerait SG1 jusqu'à ma mort, et même au delà.

H : merci à tous, pour cette mission, vous prendrez plus de munitions et plus d’armes, même vous docteur jackson.

D : bien !

J : combien de temps ?

H : je veux des nouvelle régulièrement, nous enclencherons la porte après 5h de mission pour prendre contact avec vous, allez vous préparer, je vous attend à la porte

Une demie heure plus tard, devant le stargate

H : inutile de vous préciser que c’est une mission à très haut risque, faites très attention à vous, … bonne chance SG1

Sergent : chevron 7 enclenché

La masse bleuté apparue

J : ne vous en faites pas général, nous reviendrons tous bien vivant

Ils franchirent le cercles, et se retrouvèrent vite de l’autre côté

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Sur P4X457

J : faites bien attention, et restez prudent !

D : j’ai pas totalement confiance Jack ….

J : on fait avec, on a pas le choix

S : mon colonel que voyez vous ?

Ils étaient derrière un bosquet et observaient au loin

J : ben, je vois un grand vaisseau tout gris, avec des lumières rouges dessus, c’est pas le dernier cri, mais c’est pas mal du tout

D : ils ont une drôle de tête

J : en fait, on dirait qu’il leur manque un truc !

T : le nez !

J : ha ouais… étrange

S : que faisons nous mon colonel ?

J : on retrouve les rares survivants, et on attend un peu pour voir

SG1 se dirigea vers le sud, suite à un signe de la main de Jack. Ils marchèrent un peu afin d’arriver en bordure du village, ils s’arrêtèrent un peu, avant de s’apercevoir que le village était vide, et encore fumant, des cadavres gisaient à même le sol, des membres traînaient un peu partout faisant se sentir mal les membres de SG1, mis à par Teal’c qui restait de marbre

J : c’est pas possible !!!

S : qu’a-t-il bien pu arriver ici ???

D : il …. il faut partir

J : pas avant d’avoir vu s’il reste des survivants ou des prisonniers sur cette planète

SG1 progressait maintenant dans le village en chair et en cendre, vérifiant toutes les habitations, une par une. La vision de ces enfants mort les anéantissaient peu à peu, en plus de cela, ils en connaissaient beaucoup, car ils avaient fait de cette planètes des alliers.

SG1 se regroupa ensuite de l’autre côté du village, tous très émus et encore sous le choc.

J : bon… on attend un peu et on retourne près du vaisseau

Il s’assis contre un arbre en se laissant tomber, et fut rapidement imité par les autres.

Mais un bruit vint troubler leur recueillement

J : vous avez entendu ?

S : affirmatif

D : non, quoi ?

T : ça vient de la foret

Ils se levèrent et avancèrent doucement dans les feuillages encombrant, et finirent par tomber nez à nez avec une connaissance

S : Hetda !

Hetda : S… Sam… vous… entendu nous…

J : nous avons bien reçu votre message, je suis désolé pour votre village

Hetda : c’est pareil pour toute la planète…tous morts…

S : mon colonel, il est en état de choc

Hetda : ma femme… ma fille…

J : nous allons venger votre village !

Hetda : ils sont trop forts !

T : nous y arriverons

D : savez vous qui ils sont ?

Hetda : ils disent obéir à Jeava, ils ont capturer deux couples, ils les ont amener avec eux dans le vaisseau, je n’ai rien pu faire

Il se mit à pleurer

S : nous le savons, vous n’avez rien à vous reprocher

Ils attendent un peu qu’il se calme

J : bon, Teal’c va vous accompagner sur terre, vous y resterez le temps que tout ce calme ici (à Teal’c) vous demanderez du renfort à Hammond, et vous lui expliquez la situation.

T : oui colonel O’Neil.

Teal’c partit avec l’homme encore abattu par sa perte, et disparurent dans les bois

J : dans quel pétrin on s’est encore fourré ?

D : encore un nouvel ennemi ?

S : j’espère plus pour longtemps !

J : cette mission est compliquée, … Daniel, je comprendrait si vous voulez partir

D : non, ma place est avec mon équipe, et puis de l’autre côté je me ferait trop de mauvais sang pour vous

J : c’est gentil ça !

S : que va-t-on faire mon colonel ?

J : on attend Teal’c et on y va, on évalue la situation, et on trouve un moyen d’entrer pour libérer les prisonniers, ils sont peut-être déjà morts…

S : peut-être pas…

Il regarda Sam, et elle lui fit un sourire lui redonnant espoir, et elle savait qu’il en avait besoin dans un moment pareil, comment ferai-t-il si elle n’était pas ses cotés ?

Au bout d’un moment silencieux qui avait sembler durer des heures, Teal’c réapparu avec SG7

T : SG7 était la seule équipe disponible O’Neil

Major : colonel, nous somme passé par le village, et nous ferons notre possible pour les faire payer ce qu’ils ont fait.

J : merci major

Jack donna l’ordre de retourner près du vaisseau, en restant à l’abris. Jack mis tout le monde autour de lui afin d’expliquer son plan, chacun très attentif, mais ils savaient déjà à quoi s’attendre, car Jack O’Neil tel qu’ils le connaissaient tous n’avait jamais de plan particulier.

J : on va attendre la nuit, on y va, on attaque au Zat et ensuite lorsque ça dégénère, je veux que ça tire dans tous les sens sur eux.

D : c’est un peu risquer

J : SG7 vous resterez ici avec le docteur Jackson pour tirer sur tout ce qui bouge pendant que nous ferons le tour du vaisseau par la foret, la nuit tombera dans…

S : …dans deux heures mon colonel !

J : merci.. alors dans deux heure piles, on commence !

SG7 : a vos ordres mon colonel

Sam, Jack et Teal’c partirent donc vers la foret, et ne s’arrêtèrent pas jusqu'à leur destination finale

S : il nous reste vingt minutes mon colonel

J : alors on fait une pause pour être près quand ça commencera

Sam s’assit, l’air grave

J : qu’y a-t-il major ?

S : rien mon colonel

J : parlez !

S : je me disais juste que… c’était une mission…

T : perdue d’avance pour nous

J : presque exacte, le truc c’est qu’on ne va pas mourir !

Sam regarda Jack et lui refit un beau sourire, cette fois, c’était elle qui avait eu besoin d’être consolée

Au bout de 15 minute, SG1 et SG7 était prêts à intervenir, et à heure pile, on pouvait voir un rayon lumineux toucher un des gardes dans la presque obscurité

Major : c’est le signal, on commence !

Et SG7 aussi se mit à tirer, abatant un maximum de gardes qui se trouvaient à l’extérieur. SG1 sortie de sa cachette pour s’avancer prudemment, et arriver à la hauteur du vaisseau.

J : je passe devant, Teal’c vous me couvrez, carter, faites attention à vous.

Sam passait la dernière, arme en main, ils tiraient sur les " hommes " qui s’approchaient d’eux, mais leur nombre devenait de plus en plus important, et ils se trouvèrent encercler à l’entrée du vaisseau, pas de possibilité de repartir, ni même de continuer, jack comprenait qu’ils étaient pris au piège, il pris alors sa radio

J : major ?

Major : mon colonel ?

J : partez vers la porte, et retournez sur terre

Major : mais mon colonel… ??

J : C’EST UN ORDRE !

Silence radio

S : mon colonel ?

J : major...

S : c’est fini...

J: je pense aussi...

Un éclair les frappa, et puis le trou noir…

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sur terre

H : ou sont le reste de SG1 ?

D : ils sont … restés là bas… (Daniel était encore sous le choc)

Major : nous n’en savons pas plus général

H : briefing immédiat !

Le docteur Frasier les avaient rejoins

D : ils … ils sont partis, et ont réussit à rentrer dans le vaisseau… puis ils nous ont dit de partir… je suis sur qu’ils sont vivants !

Major : nous ne savons pas ce qui leur est arrivé mon général, mais il reste un espoir.

H : le risque est trop grand, en plus, si ils sont fait prisonniers, leurs codes devrons êtres effacés par mesure de sécurité…

D : mais ils ne dirons rien…

H : docteur Jackson, nous avons appris avec le temps, que les extra terrestres que nous croisions avaient des moyens de faire parler, jusque là toutes les équipes SG ont résister, mais nous ne sommes pas à l’abris, en plus, si ce que vous m’avez raconter est vrai sur ce village, ça m’étonnerait qu’ils soit encore en vie

D (s’énervant) : vous n’avez pas le droit de parler comme ça ! vous les connaissez, ils reviennent toujours !

H : docteur Jackson…

Il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il était déjà partit, Janet se leva aussi, déçue par l’attitude du général

H : je déclare le colonel Jack O’Neil, le major Carter, et Teal’c, disparus en mission, ce jour…. Je suis désolé.

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sur P4X457

SG1 restreint était dans une grande salle blanche, qui longeait un couloir très éclairé constituer de cellules les unes à côté des autres et face à face, Jack se réveilla et se trouva seul, il regarda autour de lui mais ne vit rien, c’est alors qu’il tenta de sortir car il ne voyait pas de pote, mais à la place, il y avait un champ de protection qui murait la sortie. En face de lui, il y avait Sam, allongée encore sur le sol, et en diagonale il reconnue Teal’c.

J : CARTER !!! TEAl’C !!!!

Sam et Teal’c se réveillèrent doucement ayant un peu mal à la tête.

S : mon colonel ?

Elle voulu s’approcher de lui mais entra en contact avec son champ de protestions

J : on est fait prisonnier !

T : qu’avez vous appris ?

J : rien pour le moment, je viens de me réveiller

Une voie : nous sommes là aussi !

J : qui est-ce ?

S : c’est Ygu et sa femme, je les vois, ils sont dans la cellule à côté de vous.(à eux) est-ce que tout va bien ?

Ygu : oui, mais nous avons très peur… ils ne veulent pas de nous, ils disent que l’on est trop faible pour eux, nous devons sortir et rejoindre le village

T : il n’y a plus de village

Ygu : pardon ?

J : je suis désolé, mais le village a été détruit… et ses habitants aussi…

Ygu et sa femmes se mirent à pleurer toutes leurs larmes, Jack Sam et Teal’c ne savaient pas quoi dire pour les réconforter

S : on nous a dit qu’il y avait un autre couple de prisonniers…

Ygu (se reprenant) : oui, mais ils ont été sacrifiés… nous les avons vus…

J : on va tout faire pour sortir de là !

Ygu : vous n’y arriverez pas, sauf si vous êtes fort et que vous résistez.

J : que font-ils ?

Ygu : ils veulent les codes d’autres planètes…

Sam : leurs avez vous donner ?

Ygu : nous n’avons pas ces informations nous sommes inutiles pour eux

Jack commençait à réfléchir

J : comment on fait pour sortir

Ygu : ils vont venir d’eux même

La porte se fit entendre à ce moment, quelqu’un pénétra dans le couloir, on pouvait entendre de nombreux bruits de pas, mais on ne pouvait pas voir

J : que ce passe-t-il ?

Ygu : NON, ne nous faites pas de mal !!!

Sam (qui les voyaient) lâchez les !!! ils n’ont rien fait !!!

Mais personne ne leurs répondait, et Ygu et sa femmes furent emmener. Un silence pesant errait dans le couloir, jusqu'à se qu’un cris très aiguë viennent à leurs oreilles, s’était la fin, Ygu et sa femme étaient morts, il ne restait qu’eux trois.

Sam s’effondra sur le sol, incapable de pleurer tant sa douleur était grande, elle devait être forte, Teal’c inclina la tête en signe de respect, et Jack passa ses mains sur son visage.

Au bout d’un long moment, des pas se firent à nouveau entendre, ils se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à arriver à la hauteur de Jack et Sam qui avaient leurs cellules face à face.

J : vous êtes qui ?

? (montrant Sam) : vous allez venir avec nous.

J : elle n’ira nulle part !

L’homme sans nez regarda derrière lui pour faire signe à un de ses gardes, d’aller désenclencher le système de sécurité, puis il se saisit de Sam si fort sur son bras, qu’elle en tomba sur les genoux, et ils la traînèrent ainsi sur tout le chemin

J : revenez !!!! prenez moi à la place !!!!

S : ça va aller mon colonel, ne vous en faites pas….

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Sur terre

Janet : n’y aurait-ils pas un moyen ?

D : je ne sais pas, j’y réfléchit depuis tout à l’heure

Janet : et nos alliers ?

D : il y aurait bien Thor, mais il faut pouvoir le contacter

Janet : nous savons comment faire, et en dernier recourt, il y a la Tok’Ra

D : oui, c’est vrai, je vais en parler au général

Janet : je viens avec vous.

Bureau du général

H : très bien, alors contactez Thor, mais je ne suis pas certain qu’il puisse nous aider, la lutte contre les réplicateurs n’est pas finie

D : merci général

Daniel se leva très vite et fit le nécessaire pour entrer en contact avec Thor

Janet : vous pensez qu’il a entendu ?

D : j’espère…

?: ouverture de la porte non programmée

H : qui est-ce ?

?: pas de codes d’identification

H : fermez l’iris

?: l’iris ne répond pas

D : c’est peut-être Thor ?

Les soldats se mirent tout de même en position de défense, mais un petit homme gris fit sont apparition

Daniel Janet et le général Hammond descendirent très vite dans la salle d’embarquement pour rejoindre leur ami

T : vous m’avez appeler il me semble ?

D : oui, c’est nous

T : alors bonjour à vous… que ce passe-t-il ?

Janet : c’est à propos du colonel, du major et de Teal’c

D : ils ont étés fait capturer par un ennemi que nous ne connaissons pas, et qui semble redoutable

T : un nouveau Goa’Uld ?

D : non, ces gent sont une autre espèce, ils… ils n’ont pas de nez…

T : …

Janet : les connaissez vous ?

T : oh oui…. Malheureusement

D : comment ça ?

T : ce sont des ennemis très importants, nous avons réussit il y a 500 de vos années à peut près à les éviter, mais nous les fuyons, ils sont très forts…je ne crains que nos amis soit…

D : vous ne pouvez pas dire ça !

T : j’ai le regret de vous dire que…

D : après tout ce qu’ils ont fait pour vous ?????

T : je ne peut pas m’approcher de leur vaisseau plus de 5 secondes, sinon, je suis remarquer, et ils me chasserons, c’est la perte des Hasgards assurée… ils ont fait beaucoup de progrès…

D : mais 5 secondes, ça suffit pour un transfère

T : je ne sais pas si mon vaisseau aura le temps de repartir

Janet : mais ils vont mourir !

Thor regarda le sol, et resta calme, comme à son habitude, il resta comme ça de longues secondes, puis, releva la tête

T : s’il y a encore un espoir, alors il faut agir immédiatement, sinon, ils mourrons.

D : vous acceptez ?

T : je leurs doit la vie, alors j’accepte docteur Jackson

H : nous sommes conscient que c’est un grand risque pour vous, merci.

T : ce n’est pas encore fini. Il faut que je retourne sur mon vaisseau, je me prépare immédiatement.

D : ils sont sur P4X457.

T : merci, à bientôt mes amis.

Le petit gris fit apparaître le flux bleu de la porte et disparue devant celle ci.

Janet : on a encore un espoir

D : espérons qu’ils aillent bien

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sur P4X457

T : calmez vous O’Neil

J : comment voulez vous que je me calme ???

T : je suis sur que le major s’en sortira

J : j’espère… mais que peuvent-ils bien lui faire bon sang ???

T : ils cherches des informations

J : ça ne me rassure pas !

T : j’ignorait que vous aviez besoin d’être rassuré.

J : laissez tomber…

Des cris de femmes se firent entendre dans les couloir, ils raisonnaient très forts, de façon à glacer le sang de n’importe quel homme normalement constituer

J : ARRETEZ !!!! CARTER…. SAM !!!!!

T : il ne sert à rien de crier O’Neil

J : mais que font-ils ????… non ne me le dites pas sinon je vais devenir fou…

Les cris reprirent de plus belle, et de plus en plus fort, on pouvait reconnaître ceux de Sam avec une certitude effroyable, Jack n’en tenait plus, il avait envi de mourir, il tapait de son poing contre le mur, et y faisait aussi rebondir sa tête, il marchait dans tous les sens à une vitesse grand V

On entendait à nouveau des bruits de pas dans le couloir, Jack se mis tout contre le champs de protection pour voir qui arrivait. Les hommes portaient carter, elle était hystérique et criait dans tous les sens, elle essayait de ce recroqueviller mais n’y arriva pas, car ils la tenaient fermement

J : carter ????

T : major ???

Elle ne répondait pas, elle était en larme, et s’effondra au fond de sa cellule, mise en position fœtale, tournée contre le mur pour ne pas croiser le regard du colonel.

J : carter… Sam… regardez moi !!! parlez !! que vous on-t-ils fait ???

S (très difficilement) : rien… rien dit

J : je sais carter que vous ne parleriez pas… mais que vous ont-ils fait ces salauds ?

S : … moi..mal….

J : je vais les tuer !

Les hommes étaient encore là et regardaient la scène, complètement impassibles, ils allèrent cette fois vers Teal’c, et ouvrirent la porte, mais Teal’c se débattu, et réussit à les mettre au sol, il sembleraient qu’ils aient négligés la puissance d’un jaffa

J : bien joué, sortez nous de là !

Teal’c pris une arme d’un des gardes à terre, et tira sur ceux qui voulaient s’approcher, il referma après la porte du couloir.

S : Teal’c…

T : oui major carter ?

S : code : bleu 1 rouge7 et vert 9…. aille…

J : que dit elle ?

T : je pense que c’est le code des cellules

Teal’c se dirigea vers le tableau qui permettait d’ouvrir les cellules, il regarda un instant, et composa le code. La cellule de Jack s’ouvrit, lui permettant de ce retrouver dans le couloir, il alla droit vers carter, mais fut arrêter par la barrière de protection, elle était encore tournée vers le mur, tremblante, pleurant et faisant des petits cris de douleur

J : carter, ça n’a pas marcher pour vous !

S : connais pas… code

J : comment on fait alors pour vous sortir de là ?

S : partir… vous…

J : hors de question pas sans vous.

S : déjà vu… mais partir.. colonel… pitié…

Jack ne voulais pas l’abandonner ici, pas dans cet état, et encore moi avec des individus tel qu’eux.

J : vous partez avec nous ou personne ne part

S : partez… je vais mourir…déjà morte…

J : ne dites pas de conneries, on va vous aider

S : non.

Jack était toujours là, il s’agenouilla près de l’entrée de la cellule et attendait

J : vous savez que je suis incapable de partir sans vous carter

S : sais… mais moi morte… vous vivre

J : ça peu encore s’arranger…

S : trop mal…

Les gardes à l’extérieur du couloir commençaient à devenir violent, et essayaient de forcer l’entrée

T : colonel O’Neil, je ne vais pas pouvoir les retenir, il faut partir

J : pas sans carter !

S : Teal’c… prenez le… au revoir…

Teal’c arriva en courant devant la cellule, pris le colonel par le col et l’emmena de l’autre côté, laissant Sam, seule

J : NONNNNNNNNNN……

Mais il fut interrompu par un halo de lumière blanche qui les enveloppa…

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J : NONNNNNN….
T : ou sommes nous ?

J (encore perdu) :… sam…

Jack ne pouvait pas se relever, il était abattu d’avoir laisser Sam comme ça… mais Thor apparue

Thor : nous somme loin maintenant, nous avons éviter de justesse qu’ils ne nous repèrent.

T : ou est le major carter ?

Thor : elle n’est pas avec vous ?

J : non… elle est là bas…

Thor : alors je suis désolé pour votre amie

J : il faut aller la chercher

T : malheureusement cela nous est impossible, ils ont déjà dut avoir l’alerte mais pas le temps de réagir, si nous y retournons, c’est notre mort à tous

J : mais on ne peu pas …

Thor : je suis désolé colonel O’Neil, ne m’en veuillez pas.

Après plusieurs minutes

Thor : nous sommes arrivés, je vais vous renvoyer sur votre planète. Je ne peut pas rester trop longtemps, votre système est trop près du leur, il vaux mieux que je parte

T : merci Thor

Thor : O’Neil, j’espère que vous trouverez la force que comprendre qu’il nous était impossible de retourner là bas.

Jack ne disait rien et se contentait de serrer les dent, il ne voulais pas avoir à regretter ses paroles. Puis, un halos blanc les pris à nouveau, et ils se retrouvèrent en salle de Briefing

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salle de Briefing

D : Jack ! Teal’c !

H: je vois que Thor à réussit!

Janet : ou est le major carter ?

Jack les regardaient toujours sans desserrer les dents, il n’était même pas heureux d’être de retour. Comment aurait-il pu l’être d’ailleurs, en ayant laisser Sam là bas. Les autres comprirent vites le malaise, et devinrent tous pale

D : oh mon dieu…

Janet : ne me dites pas qu’elle…non…

T : elle n’a pas été téléportée pas le rayon Hasgard, elle a due rester là bas

J : elle…elle n’avait pas le code de sa cellule, et elle a ordonné à…

T : elle m’a ordonner d’emmener le colonel avec moi, elle n’avait plus de chance

H : vous voulez dire qu’elle est toujours là bas ?

J (sèchement) : oui, je demande la permission d’y retourner mon général

H : je doit refuser colonel, et je suis sur que vous savez pourquoi.

J : mais elle est là bas !!!! et elle a déjà été torturée, elle ne va pas bien du tout.

T : lorsque nous l’avons vue, elle était en effet très mal au point.

H : je suis désolé que ce soit à moi de vous annoncer ça, mais c’est comme ça, et on ne peut rien faire, Thor ne pourra plus venir vous chercher, et ces individus sont trop dangereux

Le général sortit de la pièce, et se mis dans son bureau, il avait besoin de respirer et surtout de faire le point, lui aussi avait perdu un bon élément, et aussi une amie sur qui il pouvait compter, mais il avait du faire ce choix, pour la survie des autres.

Les autres étaient très tristes pour leur amie, mais ne voulaient pas imaginer une seule seconde qu’elle puisse être morte, ils ne pouvaient plus penser à rien d’autre, ils ne savaient pas quoi faire pour lui venir en aide.

Le colonel O’Neil était le plus touché, la dernière fois qu’il était séparé par un flux de protection avec Sam, elle s’en était tirée sans problème, il s’en voulais de ne pas être resté là bas, avec elle pour l’aider à surmonter tout ça. Il n’avait même pas vu son visage en partant, il avait encore cette image d’elle, faible et fragile, mais forte en même temps, qui n’avait rien dit, et qui ne dirait jamais rien.

Plusieurs jours passèrent ainsi, Jacob était à la base pour ce recueillir, il était aidé du général Hammond, et discutait parfois avec le docteur Frasier, car Jack refusait toute communication ressemblant à de la pitié pour lui ou pour elle, il ne voulais pas croire à sa disparition.

Une cérémonie eu lieu en l’honneur du major carter, on fit le salut traditionnel et chacun pris la parole, plus émus les uns que les autres. Le drapeau des états unis d’Amérique fut remis au père de Sam, mais celui ci ce plaça devant Jack, et devant tout le monde, il le lui tendis

J : je… je ne peut pas l’accepter, il vous revient…

Jacob : nous savons tous deux que c’est faux, elle aurait aimer que ce soit vous… si il n’y avait pas eu l’armée qui vous séparait, vous seriez actuellement mariés… ou tout comme… alors je veux que vous le preniez, faites le pour ma fille…

Jack pris alors le drapeau et Jacob le serra dans ses bras

Jacob : il faut être fort mon fils

J : c’est trop dur…

Le silence régnait dans la salle d’embarquement, personne n’osait troubler ce moment, et personne ne fit de remarque sur ce que venait de dire Jacob, car tous connaissaient les sentiments qu’avaient l’un pour l’autre, Sam et son colonel.

On en était maintenant à deux semaines de sa disparition, SG1 avait été mise au arrêt mais il était temps pour eux de reprendre. C’est ce que pensait le général en tout cas, car ils leurs fallais penser à autre chose, il n’avait peur que d’une chose c’est que le colonel ne retourne sur P4X57 pendant sa mission, il confia alors à Teal’c le soin de surveiller la porte de l’autre côté, pour ne pas le laisser partir droit à sa mort probable.

Micro : ouverture de la porte non programmée, ouverture de la porte non programmée.

H : fermez l’iris !

J (arrivé en courant) : c’est peut-être elle !

H : colonel…

J : ouvrez l’iris !

H : non, il en est hors de question

Sergent : mon général personne ne passe par le porte des étoiles

H : comment ça ?

Sergent : personne n’est passé.

Le vortex se rompis

H : une explication ?

Sergent : non mon colonel

H : à-t-on repérer la planète motrice ?

Sergent : bientôt mon général

La porte se remis à tourner

Sergent : mon général, je ne comprend rien, la prote s’ouvre à nouveau…

H : c’est la même planète ?

Sergent (regarde ses écrans)… affirmatif mon général

H : maintenez l’iris fermer, nous enverrons une sonde pour voir ce qu’il y a derrière.

Sergent : mon général, nous connaissons déjà cette planète, c’est P6G185 !

D : c’est impossible !

Sergent : le signal vient bien de là.

J : que ce passe-t-il ?

D : P6G185 est une planète inhabitée, personne depuis des millénaires apparemment.

Le vortex se rompis à nouveau

H : envois immédiat d’une sonde pour contrôler cette planète sergent

Micro : nous demandons une sonde de contrôle immédiatement en salle d’embarquement !

D : nous sommes allés sur cette planètes il y a deux mois à peu près… vus ne vous rappelez pas ?

J : c’est là bas que vous aviez essayer de cueillir des noix de coco ?

T : c’est exact !

Les symboles s’enclenchaient dans un grand bruit habituel

Sergent : chevron 7 enclenché ! envoie de la sonde !

La sonde avançait toute seule jusqu'à traverser le vortex

Sergent : image dans 5…4…3….2…1…. maintenant !

L’écran s’éclaircit soudain, et la camera se mis à tourner

D : LA !!!!

H : qu’y a-t-il ?

D : regardez là… sur le DHD

J : zoomez !

Le sergent agrandit l’image

J : oh mon dieux… c’est elle

D : c’est Sam, elle est à moitié allongée sur le DHD

H : allez la cherchez immédiatement avec le docteur Frasier, on ne sait jamais

Deux minute plus tard, ils étaient évidemment près à y aller, et embarquèrent instantanément avec un nécessaire médical.

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Sur P6G185

Jack couru immédiatement vers Sam

J : carter !!!! Sam !!!

Arrivant à sa hauteur, il voulu la prendre dans ses bras, il vit qu’elle était inconsciente, et elle tomba sur le sol. Il la souleva et la posa très vite sur le brancard.

J : carter… carter répondez moi… !! carter ????

Janet : elle est trop faible colonel

J : il faut vite la ramener alors.

Janet : pas avant d’avoir fait un test sur elle, on ne sait pas si elle n’a pas de virus ou de processus de contamination

J : c’est ridicule, il faut la soigner

D : c’est ce que nous allons faire… du moins c’est ce que le docteur va faire, laissez la s’occuper de Sam

J : mais..

T : c’est elle le docteur O’Neil

D : en tout cas, je suis content que l’on ai retrouver Sam !

J : oui, moi aussi… mais dans quel état…

Il la regardait sur son brancard, se faire examiner sous toutes les coutures par le docteur t deux de ces infirmiers, elle avait vraiment l’air à bout, le visage creusé, des cernes plus que visible, et des marques de brûlure sur le visage et les bras. Elle portait comme unique vêtement sur elle, un " sac à patate " coupé à la tête et aux bras, qui lui arrivait à mi-cuisse, on pouvait voir aussi de nombreux bleus sur ses jambes, mais rien de plus profond

Janet : c’est bon, on peut la ramener !

J : alors on y va ! Daniel !

D : j’y vais (il alla composer les coordonnées de la terre)

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Sur terre

H : alors docteur ?

Janet : c’est bon, on va l’amener à l’infirmerie et attendre qu’elle se réveille !

Tout le monde suivit le brancard, mais Janet ne laissa entrer personne d’autre que le corps médical.

J : elle est vivante…

D : c’est merveilleux

H : je vais en informer son père

T : le major Carter est un grand soldat, elle a résister à tout

Quelques temps plus tard, Janet vint à leur rencontre

Janet : je suis désolée mais vous ne pourrez pas la voir aujourd’hui, je vous conseil d’aller vous coucher pour être en forme demain

J : comment voulez vous que je dorme ???

Janet : prenez ce somnifère, il faut que je fasse encore de nombreux examens, et je veux qu’elle vous trouvent en pleine santé pour son réveil

H : que pouvez vous déjà nous apprendre sur sa santé ?

Janet : elle est très anémiée, et désydratée, elle a de nombreuses trace de violence sur elle, et elle semble très faible. Nous l’avons branchée à des perfusions pouvant la nourrir et la remettre à peut près à la normale, mais il me semble qu’il lui faudra du temps. Ce que je crains le plus pour le moment, c’est son état psychologique, nous ne serons fixés que demain

H : merci docteur.

J : on ne peu pas la voir ?

Janet : non colonel, c’est impossible, je m’apprête à effectuer un autre test.. (au général) je peut vous parler un instant ?

H : venez dans mon bureau.

Janet et le général partir, mais les deux gardes placés là par le docteur empêchaient l’entrée à l’infirmerie

D : faisons ce qu’elle nous a dit

J : mouais… mais j’aurais aimer la voir

D : je comprend… soyez raisonnable, c’est pour Sam que nous faisons ça.

Ils partirent dans leurs cartiers, se disant que plus vite ils dormiraient, plus vite ils se réveilleraient .

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bureau du général Hammond

H : alors docteur ?

Janet : mon général, il semble aussi que le major carter soufre…enfin… qu’elle ait été victime de viol.

H : mon dieu…

Janet : je n’en suis pas sure car elle semble plus avoir des traces de brûlures… si vus voyez ce que je veux dire… je préfère attendre son réveil pour le signaler dans le rapport

H : il ne faut pas le signaler, vous savez que les autres ont aussi accès aux rapports, et je ne veux pas que notre Major soit…

Janet : je comprend, merci mon général

H : n’en parlez pas à SG1

Janet : je n’y comptait pas

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le lendemain, infirmerie

Janet : Sam ?? Sam.. ouvrez les yeux…c’est moi, Janet

Sam ouvrit peut à peut les yeux, mais ne regarda pas son amie, elle avait les yeux droit au plafond, et commençait à se crisper

Janet : c’est moi Sam… c’est Janet détendez vous…

Mais Sam ne répondait pas, elle semblait vouloir crier, elle serrait les points mais était incapable de bouger ses bras ou ses jambes.

S : laisse moi…… laissez moi….

Janet : Sam vous êtes libre, vous n’êtes plus dans leur vaisseau…

La colère de Sam montait de plus en plus, et tout d’un coup, elle se cambra de douleur dans son lit, faisant reculer Janet. Les infirmiers arrivèrent et l’attachèrent avec des sangles

Janet : calmez vous Sam… je vous en pris !

S : HHAAAAA…. Laissez moi… LAISSEZ MOI !

Janet fit alors une piqûre de calmant dans la perfusion de Sam, et attendis qu’elle se calme pour aller parler aux autres qui étaient derrière la porte

J : que ce passe-t-il ? on l’a entendue crier !!

Janet : elle ne semble pas me reconnaître, je pense qu’elle a l’impression d’être encore là bas, mais je luis ai administrer un sédatif, elle c’est calmer.

D : peut-on la voir ?

Janet : une seule personne alors.

Tous se regardèrent et tous étaient d’accord pour que ce soit Jack qui y aille

J (à son chevet) : carter ?

S : colonel…

Janet : vous vous souvenez ?

S : Janet

Janet : oui, c’est bien.. ; vous êtes sauvée maintenant !

S : mal… partout

J : on va s’occuper de vous, ne vous en faites pas

S : Tyhde… sont… mauvais…. Veulent les Hasgards…

J : ces " Tyhde " ce sont eux qui vous ont fait ça ?

S : oui, … mais pas dis… rien dit

J : je le sais carter… je sais que vous n’avez rien dit

Jack passa sa main dans les cheveux de Sam pour la calmer car elle semblait s’énerver en même temps qu’elle continuait à parler. Mais sa colère s’intensifiait, elle resserra les points violemment, et hurla

S : HHHHAAAAAAA…..

J : que… que ce passe-t-il ? carter, calmez vous !!

Janet : sortez colonel !

J : mais…

Janet : je vous dit de sortir !!!!

Il sortit de la pièce

Janet : calmez vous Sam… je vous en pris…

Sam commençait à se calmer, elle avait les yeux en larme et semblait vouloir encore crier

S : mes… mes doigts… Janet… mes doigts et mes mains… j’ai mal

Janet : vos mains n’on rien Sam…

S : je n’ai plus de… doigts…. J’ai mal…

Janet : vos doits sont là Sam… regardez !

Elle montra sa mains à Sam qui la regarda étrangement

S : c’est pas possible… ils… mes doigts…coupés ! un par un…

Janet : non Sam, c’est faut, il vous l’ont sûrement fait croire, mais vos mains vont bien

S : quand même mal

Janet : reposez vous, vous en avez besoin

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salle de briefing, le lendemain

H : alors, du nouveau docteur Frasier ?

Janet : la torture à laquelle semble avoir été exposée le major Carter est plus de type mental à mon avis, elle me dit qu’on lui as couper les doit un par un, mais aussi les mains et les orteils, elle semble en ressentir la douleur, à mon avis, elle l’a vraiment vécu pour que ce soit aussi fort

D : c’est atroce

Janet : malheureusement ce n’est pas tout, elle a été plusieurs fois battue physiquement et mentalement.

H : sait-on comment elle s’est enfuit ?

Janet : elle m’a parler d’un certain… Bsaz… mais aussi je jolinar et de soccar… je pense qu’elle divaguait…

J : non, elle ne divaguait pas !

H : colonel O’neil ?

Jack se leva et mis ses mains sur se tête

D : je pense que Sam a essayer de vous dire qu’elle s’est débarrassée d’eux de la même façon que Jolinar c’est débarrassée de l’emprise de soccar.

H : c’est a dire ?

D : ben…

T : il me semble aussi que c’est la même technique que vous avez utiliser le major et vous docteur Frasier, pour sortir de la cellule dans laquelle vous avait enfermer Hathor.

D : exacte

Il y eu un vide, tout le monde savait à quoi faisait allusion Teal’c et Daniel, malheureusement, Jack s’en voulais encore de ne pas l’avoir sortie de là

H : bon… et… sait-on comment elle s’est retrouvée sur P6G185 ?

Janet : elle m’a fait comprendre il me semble, qu’elle pensait être suivie par eux, avec un émetteur ou un virus comme nous l’avons soupçonné nous même, elle n’a pas voulu faire courir le risque à notre planète, alors elle s’est réfugier là bas presque une semaine avant de sentir ses forces l’abandonner, elle a alors enclencher la porte pour que nous allions voir ce qui ce passe… c’est ce que je pense être la meilleur hypothèse de re-formulation de ce qu’elle a voulu me dire.

H : merci docteur… autre chose : pensez vous que l’on doivent prévenir un psychiatre pour son état ?

Janet : non je ne pense pas, il suffit qu’elle prenne conscience qu’elle n’a plus rien à craindre, le major est forte, et elle a déjà vue de grande tortures

D : mais jamais aussi fortes que celle là !

Janet : c’est vrai, mais je pense que ce n’est pas une solution

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infirmerie, le lendemain

Janet : Sam, bonjour, comment allez vous ?

S : je… pense allez bien

Janet : voulez vous voir le colonel O’Neil ou votre père aujourd’hui ?

S : NON !

Janet : ok… calmez vous, je voulais juste vous le proposer…

S : Janet ?

Janet : oui ?

S : vous pensez qu’ils m’en veulent ?

Janet : mais de quoi ?

S : d’avoir utiliser ce moyen pour partir, je sais que ça avait fait de la peine à Martouf que Jolinar s’en soit pris de la sorte

Janet : bien sur que non, ils ne vous en veulent pas, ils s’en veulent à eux de n’avoir rien pu faire c’est différent

S : dites leur de ne pas s’inquiéter, bientôt je pourrais revenir, mais je ne veux pas…

Janet : ils ne sont pas au courant de tout, rassurez vous…

S : vous voulez parlez de…

Janet : je peut vous demander ce qui s’est passé ?

Sam commençait à pleurer, elle n’allais pas bien du tout, voilà quatre jour qu’elle était là, et ses progrès était présents. Bien sur, elle avait voulu des chiffons pour se les enrouler autour de ses mains, pour sentir ses doigts protégés, elle n’avait voulu voir personne, et se réveillait toutes les nuit plusieurs fois en pleur et en criant de toutes ses force. Mais elle allait mieux, et pouvait déjà dialoguer avec Janet

S : il s’est passé que j’ai été torturée Janet !

Janet : je parlais… de votre examens gynécologique Sam, vous avez été brûlée…

S (difficilement) : c’est l’électricité

Janet : pardon ?

S : vous savez aussi bien que moi que certains matériaux conduisent l’électricité.

Janet ne savaient pas quoi répondre, jamais elle n’aurait put imaginer ce genre de chose

S : ne vous en faites pas, je n’ai déjà presque plus mal, ce n’est pas comme si…

Janet : Sam… ce que je doit vous dire est important… mais il faut que vous le sachiez…

S : quoi ????

Janet : à cause de ça… vous ne pourrez pas…avoir d’enfants…

S : QUOI ???

Janet : je suis désolé…
S : c’est pas vrai… dites moi que c’est pas vrai Janet, dites le moi !!!!!

Janet : ne vous en faites pas, calmez vous, nous sommes tous là avec vous…

S : oh mon dieu… ils m’on…

Sam commençait à pleurer de plus belle commençant à hurler presque

Janet : shutt… shutt

Elle finit par lui administrer un autre sédatif, et la laissa dormir. Elle savait qu’en sortant de la pièce, elle tomberait nez à nez avec le colonel O’Neil, il était là de nuit comme de jour, attendant le moment ou Janet lui dira qu’il peut entrer pour la voir, mais cette fois, il vit à la tête du docteur que ce n’était pas pour maintenant, et elle, elle vit qu’il s’inquiétait toujours plus.

J : doc. ? que ce passe-t-il ?

Janet : je suis désolé colonel, mais ça ne vous regarde pas.

J : vous ne pouvez pas me faire ça, je m’inquiète pour elle

Janet : je sais, et croyez moi, le mieux que vous avez à faire, c’est d’attendre

J : j’en ai marre d’attendre

Janet : soyez patients !

Elle s’en alla, le laissant jurer sur les gardes de l’entrée qui étaient désormais habituer à lui, alors ils le laissait dire.

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quelques jours plus tard, quartiers de Jack

jack était encore là, comme un fantôme, il regardait dans le vague et ne comprenait pas pourquoi Sam refusait de le voir, il se dirigea alors vers son armoire et pris le drapeau militaire qui était encore posé là… au début, il avait dormis avez, pressé contre sa poitrine, il disait que c’était ce qu’il lui restait de Sam. Il pris donc ce drapeau, et le dépliât entièrement, il n’avait plus de raison d’être, puisque Sam était en vie, et pour le moment c’est tout ce qui importait.

Il posa ensuite ce symbole sur se chaise et le regarda encore longtemps, il se disait que sa place était dans la chambre de Sam, pour l’aider à aller mieux, savoir ce qu’on lui cachait et imaginait le pire… son " pire " ne l’était jamais assez…

Toc toc toc

J : partez !

La porte s’ouvrit et Daniel entra

J : vous n’avez pas entendu ou quoi ?

D : oh si… mais à vrai dire je m’en fiche !

J : ne commencez pas à…

D : du calme, je viens juste pour voir comment vous allez

J : je vais bien

D : on ne dirait pas…

Daniel aperçu le drapeau, il s’en approcha

D : il faudrait peut-être le rendre à Hammond

J : non, il reste là tant que tout n’est pas fini

D : ok… alors… que faites vous ?

J : rien

D : mais à part ça ?

J : Daniel !!!

D : oui Jack ?

J : arrêtez ça !

D : arrêter quoi ?

J : ça !

D : je ne vois pas…

J : vous êtes exaspérant

D : et c’est comme ça que vous m’aimer !

J : j’ai une idée, vous voulez pas me poignarder ?

D : pourquoi ?

J : pour que je puisse avoir accès à l’infirmerie !

D : et que moi après je me fasse tuer… non merci, Janet nous tuera tous les deux…à elle seule elle est pire que tous les grands maître Goa’Uld si elle veux !

Jack regarda alors son ami, et se rendis compte qu’il faisait tout pour le sortir de sa mauvaise passe, il ne lui en voulais pas, il était même content d’avoir un amis tel que lui.

D : allez, venez, on va manger un truc !

J : ok, je vous rejoint

D : pas en retard hein… j’ai faim moi !

J : j’arrive dans deux secondes, laissez moi au moins mettre mes chaussures

Daniel sortit de la pièce. Jack se retourna, saisit le drapeau et le rangea dans son armoire, puis partit.

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infirmerie

S : alors ?

Janet : vous allez de mieux en mieux, je pense qu’il serait bien pour vous de voir d’autres personnes que moi

S : je ne veux pas…

Janet : au moins votre père…

S : non

Janet : cassi…

S : … elle je veux bien…

Janet : je vais la faire appeler alors, elle sera là ce soir

S : merci…

Janet : le colonel se fait de plus en plus de soucis pour vous sam.

S : je ne suis pas prête encore

Janet : je suis sur qu’il comprendra

S : j’ai appris hier que je ne pouvait pas avoir d’enfants… moi qui voulais une famille, vivre heureuse…

Janet : vous pouvez être heureuse Sam

S : pas sans enfants… et…

Janet : et quoi ?

S : j’ai peur qu’il…

Janet : il vous aime Sam, quoi qu’il vous soit arriver il vous aimera toujours croyez moi… et pour les enfants vous savez… je suis heureuses avec cassi… mais ce n’est pas ma fille

S : je sais, mais ce n’est pas pareil…

Janet : je sais… soyez forte Sam

S : j’en ai marre d’être forte

Janet : que comptez vous faire ? partir du programme SG ?

S : certainement

Janet : et vous seriez heureuse ?

S : je ne serait pas torturée minimum deux fois par ans ! et c’est déjà un grand pas vers le bonheur

Janet : et Jack ?

S : quand je pourrais, je le verrait avec les autres

Janet : comme vous voulez.

Le soir venu Cassandra était venue voir Sam, Jack l’avait vue entrer et lui avait demander discrètement de lui dire après comment elle trouvait Sam. La petite ne resta que dix minutes à peine, et rassura Jack par un petit sourire, mais ne lui en dit pas plus.

Les jours semblaient être des semaines pour lui, seul Daniel arrivait à lui faire )penser à autre chose. Toutes les mission de SG1 avaient étés annulés jusqu'à récupération complète du major, mais voilà un mois qu’elle était revenue, et elle n’avait vue encore personne

Janet : Sam…c’est important ce que je vais vous dire, il faut que vous les voyez, on ne peut pas vous gardez éternellement ici, il faut faire avancer les choses, vous comprendrez qu’on ne veux pas vous mettre en hôpital déjà parce que vous n’êtes pas folle, mais aussi à cause des protéines de Jolinar.

S : vous pensez que je peu ?

Janet : je pense qu’il est plus que temps

S : …ok, alors tout les monde…je ne veux pas parler seulement au colonel

Janet alla au téléphone et prévint le général Hammond

Au micro : SG1 et le général carter sont demandés à l’infirmerie, je répète, SG1 et le général carter sont demandés à l’infirmerie !

Janet sortit pour les recevoir

Janet : bon, elle accepte de vous voir tous ensemble, ne luis posez pas trop de questions, et évitez encore de toucher ses mains, elles sont encore sensibles. Ne vous affolez pas quand vous la verrez, voilà plus d’un moi que vous ne l’avez vu, et le changement est un peut… vous verrez bien !

Ils entrèrent et regardèrent partout autour d’eux, c’était une vrai chambre ou presque, ils avaient amener toutes ses affaires pour qu’elle se sente à l’aise. Elle, elle était habillée en civile, ses cheveux avaient pousser et étaient bien dégradés et balayez vers l’arrière. Elle portait encore ses chiffons usés dans ses mains, et attendait patiemment assise sur son lit

S : bonjour

Tous la regardaient, Jack se sentit revivre mais en même temps il percevait le mal-être qu’avait Sam, elle n’était pas encore remise

Jacob : ma chérie, comment te sent tu ?

S : bien papa, je te remercie

Jacob s’approcha de sa fille et l’embrassa sur le front, puis il s’assit sur le côté

D ; on est content de vous revoir Sam !

S : merci Daniel, moi aussi

H : major Carter, dépêchez vous de revenir car ces trois là sont impossible sans vous !

Sam ne répondit pas et regarda Janet, elle n’en avait pas encore parler du fait qu’elle puisse partir du SGC.

T : major Carter, nous sommes heureux que vous alliez mieux

S : merci

Tout le monde avait fait son petit commentaire, mis à part jack

J (la regardant et parlant doucement) : vous… tout va comme vous voulez carter ?

S : oui mon colonel

Silence dans la salle

H : le docteur Frasier nous as dit ce qui vous était arrivé, nous en sommes navrés.

S : ce n’est de la faute de personne général

H : vous avez sauver de nombreuses planètes dont la notre major, vous serez récompensée pour ça.

S : je ne veux pas de récompense pour avoir été torturée mon général, merci quand même…

Un froid ce glissa dans la conversation

S : écoutez, si je vous ai fait tous venir, c’est parce que vous comptez tous pour moi, je voulais vous voir. J’ai changer en un mois et demi, je ne veux pas faire semblant d’ignorer ce qui m’est arriver. Le docteur Frasier m’a beaucoup aider et je sais que le sujet est délicat, mais je suis toujours SAM, ou le major, c’est comme vous voulez, et je veux que vous soyez les même qu’avant avec moi…
D : c’est évident Sam

S : merci

Jacod : ma chérie, tu doit aussi comprendre que nous nous faisons beaucoup de soucis, nous t’avons crue morte, nous avons ensuite appris ce qui t’était arriver… et nous ne voulons que ton bonheur…

S : je le sais papa, mais beaucoup de choses ont changer…

J : rien n’a changer

S : si mon colonel… je…je veux rester ici et continuer, mais je n’en ai plus la force… vous me manquerez

H : que voulez vous dire ?

S : que je démissionne Général

Jacob : tu as bien réfléchit ?

S : ça fait longtemps que j’y réfléchit.

H : nous pouvons vous gardez en temps que scientifique

S : non, je m’inquiéterait trop pour vous tous en mission… je préfère partir.

Janet : messieurs, il est temps de laisser la major ce reposer, je vous demanderait de sortir…

S : mon colonel ?

Tout le reste sortirent, Janet demanda de la tête à Sam si elle était sure de savoir ce qu’elle faisait, elle lui répondit affirmativement. Jack était heureux, il s’approcha d’elle, et la regarda dans les yeux.

Janet : je vous laisse, si vous avez besoin je suis juste là bas.

S : merci

S : mon colonel, je suis désolé…

J : mais de quoi ??? vous n’avez rien fait de mal…

Sam avait les larmes qui lui montait aux yeux, il s’assit alors sur le lit et la pris dans ses bras en prenant soin de ne pas toucher ses mains

J : c’est moi qui suis désolé

S : mais non…

J : je n’aurait pas du vous laisser

S : j’étais retenue par le champs de protection, il y en avait aussi au plafond c’est pour cela que je n’ai pas été téléportée.

J : mais j’aurais du rester, je m’en veux beaucoup

S : et bien arrêtez… c’est pour cela que je voulais vous parler, Janet m’a dit que vous culpabilisiez beaucoup…

J : je ne peut pas…

S : faites un effort, de toute façon, je vais partir… ce sera plus facile pour tout le monde

J : parce que vous croyez que je vais rester si vous partez ?

S : comment ça ?

J : si je suis resté toutes ces années, c’est pour vous…pour vous Sam…

S : je… n’ai pas le droit de vous faire renoncer à la porte des étoiles

J : si c’est pour vous je m’en contrefous, je veux veillez sur vous…

S : ce… ce n’est pas possible…

J : Sam…

S : je suis votre major !

J : Sam laisse moi parler… tu sais à quel point je tien à toi, et ce mois ci, j’ai pu appeler ça de l’amour, je veux être avec toi pour toujours Sam

S : je… je ne peut pas…

J : pourquoi ?

S : parce que !

J : arrêtez on dirait Dany !

Sam souriait malgré elle, elle reconnaissait son colonel

J : voilà un mois et demi que je n’avait pas vu ce sourire là

S : c’est.. plus compliqué que ça…

J : je ne vois rien de compliquer, ce qui pourrait être gênant par contre, c’est que je viens de vous dire ce que je ressent pour vous et que vous vous n’éprouviez pas ça pour moi.

Elle souriait à nouveau

S : colonel… ce serait vous mentir de dire que je ne ressent rien, car nous le savons depuis longtemps… depuis le test…mais je ne pense pas pouvoir vous apporter ce que vous chercher

J : tout ce que je veux c’est vous

S : mon colonel, c’est compliquer… je…

J : vous quoi ?

S : je ne peut pas avoir d’enfants… je ne pourrais jamais vous donner une famille…

J (un peu choqué quand même) : ils… c’est eux qui ont ???

S : oui

J : je suis désolé…je suis vraiment désolé, vous demande pardon encore…

Il commençait à avoir les larmes aux yeux

S : mon colonel, je m’y suis habituer, et je sais que je n’aurait pas de famille, je préférais vous le dire pour ne pas que…
J : mais ce n’est pas ci grave

S : mais si !

J : oui, le fait que tu n’auras pas d’enfant est très déstabilisant pour une femme, mais je ne recherche pas que ça chez toi… je veux juste être avec toi

S : vous…tu… c’est vrai ?

J : mais bien sur…

Jack était face à elle qui était toujours sur le lit, il lui caressait le visage doucement, et il regarda ses mains

S (parlant de ses doigts): c’est que… parfois j’ai encore l’impression de…ne plus les avoir

J : par contre il faudra les enlever si je veux vous passer un anneau un jour

Elle le regarda et ils s’approchèrent peu à peu l’un de l’autre, trop heureux de s’être trouver après tant de souffrance, après avoir eu tant envi de l’autre, mais en étant séparé d’une porte…

Ils ne pensaient qu’a s’embrasser à nouveau lorsqu’ils ouvrirent les yeux

J : THOR !!!!! toujours au mauvais moment lui, je suis sur qu’il est de mèche avec Daniel !

S : que nous veux-t-il ?

T : bonjour mes amis, je suis heureux de vous savoir en vie major Carter

S : merci Thor

T : j’espère que vous ne m’en voulez pas de vous avoir laisser là bas.

S : non, rassurez vous

T : je n’ai pu revenir dans cette partie de l’univers qu’il y a trois de vos jours, car ces ennemis auraient pu repérer ma trace

S : vous avez sauver la vie de jack et de Teal’c, ça compte beaucoup pour moi

Thor la regarda bizarrement

S : quoi ?

T : vous êtes unis il me semble.

J : exacte ! vous avez trouvez ça tout seul ??? … on était juste en train de s’embrasser quand vous avez cru bon de nous interrompre

T : je m’en excuse… cela veut-il dire que vous allez nous faire des descendants O’Neil ?

Sam baissa le tête

S : non, malheureusement, je ne peut pas procréer

T : j’en suis navré, mais en êtes vous sure ?

S : oh que oui

T : à votre avis, qu’y avait-il de plus extrême, rencontrer un " petit grisé " comme je vous entend m’appeler de là haut, ou procréer à nouveau ?

S : c’est comme ça Thor, on y peut rien, notre espèce est ainsi faite.

T : alors à bientôt mes amis, et soyez heureux ensemble.

S et J : merci

J : et la prochaine fois, évitez de nous faire venir en pleine… discutions…

Sam et Jack rentrèrent alors sur terre couvés par un halo de lumière blanche.

FIN…

Et non, je rigole, j’ai oublier de préciser qu’ils vécurent heureux… et…. Et… ET eurent beaucoup d’enfants…. Et oui !!!! je vous précise que Thor fut le premier parrain intergalactique * bisous à tous