La preuve par trois.

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

genre : Sam Jack romance

résumé : SG1 arrive sur une planète, et, pendant une pause, une surprise bien étrange les attend derrière un arbre…enfin, pas vraiment qu’une seule…

disclaimer : pas à moi, pas de sous, pas de célébrité, bref, une vie de chien !

note de l’auteur : voilà, j’ai réussit à le finir, et ça à mis du temps croyez moi, celui là je l’avais en préparation depuis un moment… alors bonne lecture !!!

La preuve par trois

SG1 était en mission sur P9X745, afin de repérer tout signe de vie présent sur la planète, ils progressaient dans la vallée, et s’arrêtèrent un instant pour ce reposer.

D : je suis crevé !

J : il faudra pourtant refaire le même chemin en sens inverse pour rentrer !

D : vous avez décider de m’achever ?

J : mmm…. OUI !

D : dans ce cas, allez y franchement, prenez votre arme !

T : je ne pense pas que ce soit une bonne idée docteur Jackson.

J : moi je la trouve excellente.

S : mon colonel, je vais faire quelques test là bas… je n’en ai pas pour longtemps.

J : prenez tout votre temps major !

D : vous êtes sûr Jack ?

J : …euh, non, réflexion faite, vous avez dix minutes.

S : je ne contais pas m’éterniser mon colonel.

J : oh avec vous les scientifiques, on se demande si vous êtes au moins capable de lire l’heure…

S : c’est parce que je trouve mon travail passionnant mon colonel.

J : bon, allez y, comme ça on sera plus vite repartis.

Sam s’enfonça dans la foret en souriant.

J : bon, ou en étions nous Daniel ?

D : je vous demandais une balle en pleine tête !

J : ha oui,… ne bougez pas…

D : avant ça, je voudrait une dernière volonté du condamné !

J : dites toujours !

D : je voudrais un grand coca avec un peu de citron dedans, et un hamburger super gras

J : dans ce cas, la sentence est reportée, et vous venez voir le match avec moi ce week-end, on mangera des tas de truc gras !

D : quel sport ?

J : vous occupez pas, prenez un bon bouquin, ça fera l’affaire.

HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J : c’est quoi ça ?

T : ça ressemble à un cris O’Neil !

J : qui ça qui cris ?

D : Sam…

J : CARTER !!!!!!

Il courait déjà vers la destination de Sam, il ne pouvait plus s’arrêter, il était suivi de près pas Teal’c, et plus loin, Daniel essayait de venir le plus vite possible.

Jack continua jusqu'à ce qu’il arrive dans une clairière, il vit le sac de Sam posé près d’un arbre, il allait avancer, mais Teal’c lui pris le bras.

T : faites attention O’Neil

Il se dégagea, et avança prudemment pour contourner l’arbre, son arme dans la main.

Quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu’il vue sur le sol, allongé, non pas une Sam, mais Trois Sam, les unes à côté des autres, le visage contre le sol.

Daniel arrivait à ce moment là

D : qu’est ce que ça veux dire ?

J : alors là ….

T : je ne comprend pas moi même docteur Jackson .

Soudain, une des trois Sam semblait se réveiller, elle passa sa main sur ses yeux, et tenta de se relever. Une fois debout, elle regarda les trois hommes dresser devant elle

S 1 : mon colonel, que ce passe-t-il ?

Il lui fit signe avec son arme, de se retourner, il n’arrivait pas à parler.

S 1 : ça alors… que m’est-il arrivé ?

Une autre Sam semblais se réveiller et fit les même gestes

S 2 : que…

J : on sait pas !

Puis, au tour de l’autre Sam…

T : que fait-on O’Neil ?

J : euh… (aux Sam) vous êtes qui ?

S 1 2 3 : c’est moi mon colonel !

J : laquelle ?

S 1 : moi !

S 2 : mais non, c’est moi !

S 3 : elles mentent, je suis le major Carter !

J : il faut trouver laquelle ment !

D : à moins qu’elles disent toutes vrai…

J : expliquez !

D : peu-être qu’elles sont toutes Sam, et qu’elle sont copiées…

S 1 2 et 3 : c’est possible !

S 1 : comme si le transfère…

S 2 : …de pensée c’était répartit…

S 3 : …grâce à des molécules, dans trois cops tridimensionnels.

J : pourquoi a-t-il fallut que ça tombe sur Carter ?

D : on a trois scientifiques pour le prix d’une.

J : la galère !

T : je pense qu’il faut rentrer sur terre pour prévenir le général Hammond.

J : OK, on y va !

D : je présume Jack, que je peu m’assoire sur ma dernière volonté ?

J : on remet ça Daniel !

Aucun d’entre eux n’avaient encore lâché les trois Sam des yeux, elles étaient vraiment identique, mais Daniel remarque que l’une souriait, une était énervé, et qu’une autre semblait…absente !

Sur terre

SG1 fit son apparition dans la salle d’embarquement. Hammond voyait le scène d’en haut, et quelle ne fut pas sa surprise en voyant arriver trois Sam

H : qu’est ce que cela veu dire ?

J : ben… on a en trois pour le pris d’une !

S 1 : on ne sait pas ce qu’y c’est passé général !

H : briefing dans deux heures, passez à l’infirmerie

S 3 : et merd…

J : pardon major ?

S 3: non, rien mon colonel!

J : allons y

Lorsqu’ils apparurent tous dans l’infirmerie, Janet écarquillât les yeux

Janet : qu’est…

J : on s ait pas, et vos pourrez peut-être nous aider !

S1 : bonjour Janet, nous allons trouver ce qui ce passe, j’en suis persuader, et j’ai pleine confiance en vous

Janet : merci Sam… euh…les autres aussi s’appelles Sam ?

D : apparemment elles sont toutes SAM !

Janet : je vais commencer par un scanne cérébral, allez toutes vous allonger !

Elles se mirent chacune sur un lit, et Janet leur mis des appareils autour de la tête.

Janet : regardez sur le moniteur, cette Sam là (S1) à des ondes cérébrales inférieure à la normale. Celle si (S2) est exactement à la normale, et celle ci, (S3) est bien au dessus du plafond.

D : c’est dangereux ?

Janet : non, mais c’est complexe.

S2 : c’est que nous sommes toutes la même personne, mais avec des personnalités différente peut-être ?

Janet : vous voulez dire que vous avez des caractères opposés ?

S1 : non, nous avons notre caractère, mais répartit inégalement sur nous trois, personnellement, je me sent plus heureuse que d’habitude par exemple.

S2 : et moi, je ne pense qu’a des expériences scientifique

La troisième ne disait rien.

J : et vous ?

S3 : j’ai pas envi de répondre !

D : je crois que c’est son mauvais caractère qui ressort !

J : génial !

T : pas tant que cela O’Neil !

J : sinon, elles vont bien ?

Janet : oui, parfaitement.

J : si on leur mettait des couleurs différentes pour les reconnaître ?

D : des brassards ?

T : non, une marque sur la peau.

J : pourquoi ça ?

T : elles risque de s’échanger les couleurs, nous ne sommes pas certains de ce que nous avons sous les yeux, il faut mieux être prudent.

J : on peu leurs faire des peintures de guerre apache !

D : ou tout simplement une marque sur la main…

Salle de Briefing

H : donc, si j’ai bien compris, ces … majors…sont notre major, sans être exactement pareille…

J : oui, moi aussi je suis largué !

D : disons qu’on pense qu’elles représentes les différentes personnalités de Sam

J : je dis qu’il faut retourner là bas pour en être sur !

S3 : hors de question…

H : pardon Major ?

S2 : excusez moi mon général, mais je pense comme elle, qu’il vau mieux faire préalablement les expériences ici.

H : pour quelles raisons ?

S2 : je pense qu’elle a raison, nous avons tout le matériel ici.

J : vous n’alliez tout de même pas être en désaccord avec vous même, ce serait bête !

H : bon, major carter, au pluriel j’entend bien, vous allez effectuer les tests nécessaires pour que tout redevienne comme avant.

Le général se leva, et sortit, après un garde à vous militaire en règle.

S2 : c’est partit, on y vas !

S3 : moi j’ai faims, je passe d’abord au mess

S1 : moi aussi !

J : je vais avec vous dans ce cas.. au fait, vous permettez que je vous appelle N°1 N°2 et N°3 ?

S2 partit donc travailler tandis que jack et les deux autres Sam accompagnés de Daniel et de Teal’c allèrent manger.

J : bon, j’espère que ça ne va pas durer trop longtemps cette histoire

S3 : moi si !

D : pardon ?

S1 : moi aussi.

T : pour quelles raison majors Carter ?

S3 : pace qu’au moins je peu m’exprimer

S1 : pareille pour moi !

D : je ne comprend pas.

S3 (désignant S1) : toutes les deux, nous ne nous exprimons pas dans notre même corps, en fait, je pense que nous sommes deux branches parallèles radicalement opposées, et nous sommes en perpétuelle contradiction.

D : je me renseignerait dans le mythologie pour avoir plus d’infos sur des phénomènes identiques.

J : alors, comment êtes vous si différente ?

S3 : pour ma part, j’a perpétuellement envi de frapper ce qui ce trouve sur mon passage, et faire en sorte que tout fonctionne bien.

D : ça c’est le côté militaire !

J (à l’autre) : et vous ?

S1 : rien de spécial…

S3 : si tu parle t’es morte !

S1 : pourquoi ?

S3 : parce que je suis sure qu’il y aura un moyen pour que nous ne refassions qu’un, et qu’a ce moment là, il sera trop tard !

S1 baissa la tête et approuva

D : c’est de cette manière que Sam à toujours une dominance pour le respect du code militaire, (à S3) vous êtes bien plus forte, et vous faites en sorte qu’elle se taise perpétuellement.

S1 : non, il y a des fois ou je peu moi aussi m’exprimer…

S3 : nous travaillons comme tout le monde en temps normal, nous ne faisons qu’un, mais lorsque par exemple, vous n’êtes pas d’accord avec vous même, et bien c’est nous qui argumentons… et vous qui tranchez !

J : complexe tout ça !

D : heureusement qu’elle n’a pas encore d’autre facettes de sa personnalité.

S3 se leva, et sortie du mess, sans rien dire à personne.

J : quel caractère

S1 : je suis là pour l’adoucir…

D : comment ça ?

S1 : je pense que je suis celle qui vois tout du bon côté, et qui pense à ma…notre vie.

D : vous voulez dire le côté sentimental ?

S1 : je pense oui, en fait, je suis moi ! j’ai tout en mémoire, mais j’ai l’impression de me sentir plus confiante, et plus moi même, pourtant, la science devrait m’intéresser vous êtes d’accord ?

J : on ne peu plus d’accord

S1 : et bien là ce n’est pas le cas, il m’arrive de le haïr.

D : intéressant.

J : bon, c’est pas tout ça, mais il faut tout de même les faire redevenir…carter !

S1 bissa un peu la tête et semblais déçue

D : Teal’c, vous venez avec moi, on va faire des recherches !

T : j’en serait ravi docteur Jackson.

Daniel et Teal’c sortirent donc, il ne restait que S2 et jack dans le mess

J : bon, vous contez faire quoi ?

S2 : à vrai dire je ne sait pas….

J : ou sont les…autres major carter ?

S2 : une doit être au labo, et l’autre à la salle de sport ou au stand de tirs.

J : je savais pas que vous étiez passionnés par le tir.

S2 : je ne le suis pas, c’est l’autre qui l’est.

J : et vous c’est quoi ?

S2 : j’ai promis de ne rien dire

J : pourquoi ?

S2 : je suis la partie de moi la plus dure à assumer, je n’ai que très peut de pouvoir de décision dans moi même.

J : et bien, c’est le moment d’en profiter !

S2 : malheureusement, comme l’as dit l’autre moi, il arrivera un moment ou nous ne referons plus qu’un, et ou, je m’en voudrais…

J : alors donnez moi juste un aperçu, j’aimerait bien savoir quels genre de personnalités à mon major, moi qui pensai bien vous connaître !

S2 ne dit rien, et se pencha sur Jack pour l’embrasser…

Jack ne pouvait plus bouger, il ne s’attendait pas du tout à ça !

J : que … ????

S : c’est moi…

J : vous voulez dire…VOUS

S : je suis désolée mon colonel

J : non, ne le soyez pas…c’est pas grave…enfin, je veux dire…vous n’êtes pas dans vôtre état normal, donc ça explique beaucoup de choses !

Sam n’en revenait pas, il venait de prononcer les mots qui blessent, elle qui pouvait enfin s’exprimer, elle venait alors de se faire remettre à sa place.

Elle se leva et partit sans rien dire, Jack la regardait sortir, et ne bougeait pas

****tête de jack****

quel con, mais quel CON ! je te jure, elle te dis ce qu’elle ressent, et toi… tu fais quoi ??? tu l’envoi promener ! non mais quel con !

mais en même tan, je n’ai pas le droit de profiter de la situation, je ne peu pas aller non plus contre le règlement. Je suis coincé.

******************

Jack marchait dans la base, il était encore tout perturbé par ce qu’il venait de faire, il allait dans le direction du bureau de Daniel

J : salut.

D : comment ça va ?

J : mouais….ça va !

D : je suis pas très convaincu de votre franchise.

J : c’est parce que moi non plus !

D : que ce passe-t-il ?

J : non… je peu pas…

D : si vous êtes venu ici, c’est que vous voulez me raconter, alors allez y, je ne mord pas !

J :vous êtes sur ?

D : oui !

J : alors promettez que ça restera secret !

D : promis

J : c’est le major…

D : oui…

J : celle qui est rester avec moi après que vous soyez partie.

D : et bien quoi ?

J : elle…m’a embrasser…

D : QUOI ?

J : arrêtez de tire tout le temps " quoi " !

D : désolé… comment ça elle vous a embrasser ?

J : je lui ai demandé de me montrer sa personnalité, et elle m’a embrassé !

D : mince alors, c’est trop fort ça !

J : pardon ????

D : non, je voulais dire… c’est vraiment invraisemblable ! (ouf) et qu’avez vous fait ?

J : je lui ait dit qu’elle n’était pas responsable, et un truc du genre…qu’elle ne savait as ce qu’elle faisait !

D : vous êtes fou ?

J : pourquoi ?

D : d’après ce que j’en ai vu, et ce que vous venez de me dire, c’est son côté sentimental !

J : vous voulez dire que…

D : Sam aurait des sentiments pour vous, mais ça, ça n’a rien d’une surprise, à part pour vous !

J : comment ça ?

D : tout le monde sait qu’elle vous aime, et ça ne date pas d’hier !

J : c’est ridicule Daniel

D : pas tant que ça, regardez ce qui viens de se passer…. Jack je crois que vous lui avez briser le cœur !

J : c’est un bien grand mot ça !

D : mais de forts sentiments.

J : que dois-je faire ?

D : c’est à vous de voir, mais je pense que c’est le moment idéal pour que vous lui dites ce que vus ressentez vous aussi…

J : mais…

D (coupant Jack) : écoutez moi, c’est pas la peine de me dire que mon raisonnent est ridicule et que je fait fausse route parce que je sais ce que je dit, j’ai un avis objectif moi

J : mais moi aussi !

D : oh ça non…. vous ne voyez rien de ce qui se passe devant vos yeux !

J : bon, peut-être, et je dit bien PEUT-ETRE que vous avez raison, que dois-je faire ?

D : j’en sais rien

J : alors ça servait à quoi que je vienne vous parler ?

D : c’est à vous de voir ce que vous voulez faire jack !

J : c’est pas sympas !

D : c’est comme ça ! bon, j’ai quand même du travaille à faire MOI !

Jack le regarda un peu méchamment, et Daniel lui sourit innocemment, puis jack sortit.

Jack se dirigeait un peu partout dans la base, il passa devant le labo, et regarda à travers la porte, il vit une des Sam s’activer à faire tout un tas d’expérience qui avaient l’air de la passionner, jack aimait la voir comme ça, même si il disait le contraire quand il voulais l’amener à la pêche, mais elle semblait heureuse et épanouie, et pour rien au monde, il ne lui ferait arrêter ses expériences contre son gré.

Il continua sa route et arriva devant la salle de sport, l’autre Sam avait raison de dire qu’elle se trouvait sûrement là, il entendis du bruit et se décida d’aller voir ce qui se passait. Sam était en train de taper de toutes ses forces sur un punching-balls, et ne semblais pas vouloir s’arrêter. Jack sourie quand il la regardait faire, il se dit qu’il n’avait même pas intérêt de se trouver sur son chemin, il aurait un magnifique œil au beur noir, et sûrement quelques dents en moins.

Cette agressivités qui ressortait, faisait transpirer Sam le long de son corps ferme et musclé, Jack ne pu que sourire encore en se disant qu’il n’avait jamais vu Carter dans cette tenue atrocement sexy, et qu’en plus de ça, elle n’avait rien d’une femme fragile, et il respectait son côté militaire pour ça.

Il fait un pas en direction de la sortie, mais apparemment, cette Sam militaire est entraîner à surveiller ses arrières, elle se retourna vers lui.

S : mon colonel ?

J : major Carter !

S (au garde à vous) : que désirez vous mon colonel ?

J : repos major, je passait juste par là, c’est tout. Continuer à vous entraîner…

S : voulez vous vous joindre à moi mon colonel ?

J : euh…voyant votre crochet du droit, je répondrait NON, sans hésiter ! excusez moi, mais je tien à ma vie.

Sam ne fit même pas un sourire, et ça le déçue un peu, il espérait en voir un à chaque fois qu’il faisait une blague, mais là, visiblement, c’était pas le bon moment, ou pas la bonne personnalité.

Il repartit faire un tour, plus perdu dans ses pensées que jamais.

Micros : SG1 est demandé au complet dans le salle de Briefing, SG1 es demandé au complet dans la salle de briefing !

Salle de briefing

H : bien, nous allons faire le point sur la situation, quelqu’un commence ?

D : je veux bien, tout d’abord, (regardant les 3 Sam) vous êtes toutes Sam, mais vous avez des personnalités réparties.

H : comment ça docteur Jackson ?

D : une représente la militaire, l’autre la scientifique, et pour finir, la femme.

H : comment fait-on pour remédier à ça ?

D : je ne sais pas, je n’ai rien trouver à ce sujet, juste un passage qui dit " il faut que les différentes lunes s’alignent sur un même plan " le truc, c’est que ça n’a aucun rapport avec l’astrologie, il faut encore que je travaille dessus.

H : très bien, faites !

Depuis le début du briefing, Jack regardait ses mains, il était encore perturbé par ce qu’il avait appris il y a encore quelques temps. S1, regardait le mur, elle ne voulait pas parler, et avait trop honte d’elle, se faire repousser par l’homme qu’on aime, c’est dur.

H : quelqu’un à autre chose à ajouter ?

Tous : non général.

H : très bien, alors chercher comment on peu faire pour que tout redevienne à la normale !

Tout le monde repartit à ses activités une fois le briefing terminé, il fallait vraiment se dépêcher, car la situation devenait assez embarrassante.

Jack voulais s’expliquer avec S1, car il ne vouais pas rester sur un tel malentendus, qui aurait pu gâcher leur relation, une fois que tout sera redevenus comme avant, ils faudra également qu’il ait une autre conversation avec Sam (entière).

J : sergent : avec vous vu passer le major carter ?

Sergent : je suis désolé mon colonel, mais le major Carter ne fait que passer dans tous les sens…

J : non, c’est parce qu’il y en a plusieurs, moi, je veux celle qui à un " 1 " sur la main.

Sergent : vous devriez demander au permanencier, il me semble qu’elle s’est dirigée vers les ascenseurs.

J : merci…

Jack alla donc voir ce type.

J : bonjour, vous avez vous quelqu’un sortir de la base ?

Homme : oui, il y a de nombreuses personnes qui sont sorties mon colonel.

J : et le major Carter ?

Le type faisait une drôle de tête

J : alors, c’est oui, ou c’est non ?

Homme : écoutez mon colonel, le major carter m’a demander de ne rien dire…

J : je suis votre supérieur, et plus gradé que le major, alors dites moi ou elle est !

Homme : allez voir vers la foret.

J : mais il fait nuit !

Homme : elle avait une torche avec elle.

J : merci…

Jack pris lui aussi l’ascenseur, et se retrouva en dehors de la base, après avoir fait les contrôles d’identités nécessaire. Il se dirigeait vers la foret, et plus particulièrement, vers l’endroit ou carter l’avait trouve une fois, pour le chercher pour un briefing, en tout cas, il sentait qu’elle était là bas.

En arrivant, il vit une faible lumière à travers les arbres, il continua à avancer, et la vit enfin, elle était là, allongée sur le sol.

J : vous êtes là ! je vous ait chercher partout !

S (se relevant) : mon colonel ?

J : que faites vous ici en pleine nuit?

S : je…je n’ai pas grand chose à faire à la base, les autres sont dans leur territoire…

J : je peu m’assoire avec vous ?

S : …oui, bien sur…

J : en fait, je suis venu pour m’excuser de ma conduite de tout à l’heure…

S : non, c’est de ma faute…

J : vous au moins vous avez été honnête.

S : vous aussi…

J : non, je ne voulais pas vous dire tout ça, c’est sortit tout seul.

S : donc, c’est ce que vous ressentiez vraiment.

J : non, je… vous savez, moi aussi j’ai une grande partie de moi qui…qui pense beaucoup à vous…

S : la différence, pour moi, c’est que c’est mon seul côté désormais…

J : j’imagine à quel point ce que j’ai dit à pu être dur à entendre, je m’en excuse.

S : je vous pardonne toujours tout de toute façon ?

J : c’est vrai ?

S : non.

J : quoi par exemple ?

S : je ne sais pas moi… c’est délicat.

J : dites, puisqu’on en est aux confidences !

S : très bien, ça me permettra de vous dire ce que je ressent vraiment, parce que ça risque de me bloquer lorsqu’on sera redevenue qu’une.

J : je vous écoutes…

S : et bien…quand vous étiez sur Edora…j’ai passé nuit et jour à vous sortir de là bas…

J : je…ne savait pas…

S : je ne voulais pas que vous le sachiez, parce que j’avais peur de votre réaction.

J : pourquoi ?

S : vous aviez l’air triste de repartir, et j’ai eu peur que vus m’en vouliez…

J : carter, comment aurai-je pu vous en vouloir de m’avoir ramener ici ?

S : Laira…

J : quoi Laira ???

S : quand j’ai enfin réussi à trouver comment on fait pour vous sortir de cette planète, vous l’avez embrassez, et je n’ai même pas eu le droit à un merci.

J : je ne savais pas que ça vous avait marquer à ce point…

S : vous n’y pouvez rien…

J : faite moi une promesse..

S : laquelle ?

J : je veux vous parler à vous quand vous serez redevenue Une, je ne veux pas que votre côté militaire prenne le dessus, promettez moi de vous battre, de toute façon, elle n’aura rien à dire, sinon, je fait passer ça pour un ordre !

S (sourient) : c’est promis…

Ils se regardèrent un long moment, puis, les deux visages se rapprochèrent l ‘un de l’autre, jusqu'à s’embrasser. Mais Jack se détacha un instant après, il baissa ma tête

J : pardon…

S : pourquoi ?

J : je …je ne peu pas…

S : bien sur que si…

J : je veux dire…vous faire ça, à vous…

S : je ne m’en plaint pas.

J : je ne veux pas que vous m’en veuillez une fois que tout sera revenu dans l’ordre, et puis…

S : et puis quoi ?

J : je ne sais pas comment dire ça, mais vous n’êtes qu’une partie de Carter, et moi, j’ai besoin d’elle, entière… avec tous ses côtés, toutes ses manies, et toutes ses idées…

S : je comprend…

J : mais ce n’est que partie remise, n’oubliez jamais ce qui vient de ce passer, et promettez moi de vous exprimer un peu plus la prochaine fois.

S : ce n’est pas si facile

J : je veux bien le croire, j’ai vu les coup qu’est capable de donner ton côté militaire, et c’est un peu brutal.

S (souriante) : pas de problème mon colonel… mais je voudrait vous remercier… c’est très gentil à vous de me dire ça.

J : je doit avoir un don pour parler aux femmes !

S : je ne pense pas, mais des fois, vous assurez assez bien…

Ils se regardèrent un long moment

J : allez, il faut rentrer et trouver une solution, sinon, je ne vais pas pouvoir attendre longtemps !

Ils rentrèrent à la base et allèrent se coucher, le lendemain serait certainement encore plus dur, il faudra trouver un moyen pour faire en sorte que tout redevienne comme avant.

Le lendemain, salle d’embarquement

H : bon, vous partez tous ensemble, mais attention à vous, et faite en sorte de revenir dans votre état normal major !

J : vous en faites pas, on y arrivera !

Sergent : chevron 7 enclenché !

La porte s’ouvrit.

J : c’est partit !

SG1 passa le vortex bleu, et se retrouva sur la même planète que la dernière fois

J : bon, on y vas, on retourne au même endroit et on cherche ce qui à pu déclencher tout ce truc !

S2 : je ne détecte rien d’anormal !

S3 : je pense qu’il faut rester sur nos gardes mon colonel !

S1 : alors, on y vas ?

J : euh… oui, allons y !

Les trois hommes semblaient amusés parce petit manège. Ils progressaient maintenant dans la même vallée, et partirent en direction de là ou Sam avait effectuer des tests.

J : très bien, Teal’c, vous prenez Daniel avec vous et vous vérifier qu’il n’y a pas de problème vers le Nord ; nous, on va au sud, on se retrouver dans une heure !

D : pourquoi des équipes si peu équitables ?

J : parce qu’il faut un militaire et un scientifique ! les Carter content pour une !

D : mais oui, c’est ça

Daniel partit dons avec Teal’c vers le Nord.

S2 : je ne détectes rien mon colonel.

S3 : restons sur nos gardes !

J : c’est exactement ce que j’allais dire !

S3 : je le sais mon colonel !

S1 : c’est ravissant ici…

S3 : mais très dangereux.

S1 : tu vois le mal partout !

S3 : et toi tu ne le vois pas même s’il est en face de toi avec des enseignes lumineuses !

J : ça suffit maintenant !!!!

S3 et 1 : excusez moi mon colonel

S2 : les relevés indiquent qu’un présence arrive droit sur nous mon colonel…

J : pouvez vous me dire ce que c’est major ?

S2 : je ne sais pas, mais cette force dégage beaucoup d’énergie.

J : tous en position de tir, dans combien de temps sera-t-elle là votre force ?

S2 : je dirais une minute…

Jack et les trois Sam, étaient en position de tir, car bien qu’il n’y en ait qu’une militaire, elles avaient toutes le même savoir, et connaissaient la maîtrise des armes, après, c’était une question de goût.

S2 : mon colonel…10 secondes et je ne vois toujours rien !

J : on attend !

S2 : 9...8...7...6...5...4...3...

S3: regardez !

Une force jaune arrivait droit sur eux, et à peine avait-elle dit cela, que la force frappa Jack à l’épaule, et elle disparue.

S1 : mon colonel, ça va ???

J : pourrait aller mieux…

S2 commença à lui faire des sois, pendant que S3 faisait le guet avec sa mitraillette, et que S1 prenait la main de Jack

J : si j’avait su qu’un jour, j’aurait 3 carter autour de moi à essayer de me sauver… aille !

S2 : excusez moi mon colonel.

J : pas grave.

S3 : on va vous sortir de là !

S1 : oui Jack, ne t’en fait pas…

J : on verra bien les carter !

Mais tout d’un coup, les trois femmes se mirent à tomber sur les genoux, et à hurler de douleur, elles avait des faisceaux de lumière orange qui leurs sortaient des yeux, et elle se tenaient la tête fermement.

J : qu’est ce qu’y ce passe ????? CARTER !!!!

Daniel et Teal’c arrivèrent à ce moment là.

D : que ce passe-t-il ?

J : je n’en sait rien…

T : O’Neil, vous êtes blessé !

J : on s’en fout, je veux savoir ce qui arrive à Carter.

Une espèce de bulle de protection les entouraient, et elle essayaient de se rapprocher les unes des autres, jusqu'à se que leurs mains se touchent.

D : je pense qu’elles ne redeviennent qu’une…

J : comment elles ont fait ?

D : j’en ai pas la moindre idée.

Soudain, au bout de deux minutes, la bulle se rompis, laissant apparaître, une Sam, couchée sur le sol, qui paraissait endormie

J : on rentre à la maison…

Teal’c pris Sam dans ses bras, et Daniel aida jack à passer ses nerfs sur lui tant sa douleur à l’épaule était grande

J : Daniel entrez donc les coordonnées bon sang !!!

Daniel s’exécuta, et en deux secondes ils étaient sur terre.

J : une équipe médicale vite ! le major à besoin de soins !

D : non, deux équipes !

Jack lança un regard à Daniel qui disait " un jour, c’est toi qu’on retrouvera sur un brancard, et bien plus tôt que tu ne l’imagine "

Jack et Sam firent emmenées à l’infirmeries, et reçurent les soins adéquats

Salle de Briefing :

H: alors, quelqu’un peu m’expliquer ce qu’il s’est passé?

D : je ,’en sait rien, les seuls présents étaient Jack et Sam général !

H : bien, dans combien de temps se réveilleront-ils Docteur ?

Frasier : ils le sont déjà général, mais pas assez solide pour venir au briefing

D : jack inventerait n’importe quoi pour ne pas venir à un briefing !

H : je suis moi même désolé de devoir confirmer les dires du Docteur Jackson !

D : pouvons nous aller les voir Janet ?

Frasier : oui, mais pas trop longtemps, il sont très faibles…

Ils arrivèrent à l’infirmerie, et entrèrent…

D : bonjour à vous !

Janet tira le rideau qui les séparait, permettant d’avoir une vue d’ensemble.

T : comment allez vous ?

J : moi c’est la forme !

S : je me sent bien…

D : au fait, pouvez vous nous dire comment c’est arrivé ?

S : une force de grade source d’énergie, certainement des rayonnement gamma, est arrivé vers nous et à toucher le colonel.

J : alors elles m’ont aider, et une fois le danger écarté, elle sont redevenues, Une !

D : ça pourrait être logique…

J : c’est pas une question de logique Daniel, c’est vraiment comme ça que ça s’est produit !

D : je voulais parler de la phrase qui n’avait aucun sens… rappelez vous… "il faut que les différentes lunes s’alignent sur un même plan "

S : excusez moi Daniel, mais je ne vois pas le rapport !

J : tien c’est nouveau ça, carter qui ne comprend pas plus que moi !

D : et bien, en fait, il ne doit pas s’agir de lune, au sens propre, on dit d’ailleurs " la face cachée de la lune " il s’agirait donc, de ces trois personnalités.

S : comment expliquez vous " s’alignent sur un même plan " ?

D : et bien vous aviez pour la première fois depuis votre … division… fait quelque chose ensemble, et vous y avez mis tout votre cœur !

J : et c’est quoi ce truc qu’elles ont fait ?

D : vous sauver la vie jack, chacune à son poste…

T : le résonnement du docteur Jackson me semble être le bon.

Janet, bon, tout le monde dehors, vous leur avez assez poser de questions pour aujourd’hui, ils doivent se reposer, il est déjà tard

Janet jeta tout le monde dehors.

Janet : ça va aller ?

S : oui, merci Janet.

J : merci doc. !

Janet, bon, je vous laisse, tachez de dormir, en cas de besoin…

J : on sait, on appuis sur le petit bouton, je le connaît pas cœur ce bouton, c’est presque devenu mon meilleur amis avec le temps !

Janet (souriant) : allez, bonne nuit…

Elle éteignit la lumière, laissant Jack et Sam dans un très faible éclairage, qui venait de l’extérieur.

J : carter ?

S : mon colonel ?

J : non rien…

S : je vous écoute, de toute façon, j’ai tout mon temps…

J : est-ce que vous vous rappelez de trucs…

S : oui…

J : je voulais savoir…vous vous rappelez de…

S : oui.

J : et de la promesse… ?

S : …oui, d’ailleurs, je suis en train de la tenir…

Jack se leva difficilement

S : restez allongé mon colonel, vous allez vous faire mal !

J : m’en fiche !

S : que faites vous ?

J : je veux vérifier un truc…

Il arriva près de Sam, la regarda, et l’embrassa…. Sam répondit volontiers à ses baisers.

Jack s’allongea sur le lit pour être mieux installer, elle lui fit de la place, et posa sa tête sur sa poitrine

J : je me demandait si tu allait tenir ta promesse, car je sais que ta volonté militaire est forte

S : je ne suis q’UN ! et c’est à moi de prendre les décisions, c’est comme si j’avais vécu trois vie qui auraient pu être les miennes, c’est tout…

J : Sam…

Elle sourit

J : quoi ?

S : quoi quoi ?

J : pourquoi tu sourit ?

S : tu m’a appeler Sam… ça fait bizarre…

J : et vous major carter, vous êtes en train de me tutoyer !

S : ohhh… excusez moi mon colonel !

J : excuses non valable, il va falloir faire mieux pour vous faire pardonner !

S : je demande la permission d’agir librement.

J : accordé !

Elle l’embrassa passionnément, pendant un très long moment, évitant soigneusement de se pencher trop sur sa blessure.

J : il va falloir que je sois trois fois plus présent…

S : pourquoi ?

J : pour vous rendre heureuses toutes les trois…

S : alors dé-triple toi… j’en aurait trois pour le prix d’un !

J : du moment que je t’ai TOI, entière, ça me suffit !

S : alors qu’est ce que tu attends pour m’embrasser ?

J : c’est juste histoire de te faire patienter, comme ça c’est encore mieux après…

S : ça fait plus de quatre longues années que j’attend… !

J : dans ce cas, il y a prescription !

Et il l’embrassa à nouveau, ils s’endormirent quelques temps plus tard, et restèrent enlacés toute la nuit, et ils firent les plus beaux rêves qu’ils n’avaient jamais fait de leurs vies…

fin