Titre : La voie de l’intérieur
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
Genre : romance et un peu d’humour (mais alors un tout petit peu)
Résumé : SG1 est envoyé sur une planète déjà exploré par SG5 afin de signer le traité de paix, mais il se retrouvent prisonnier d’une pièce qui a un effet très étrange et gênant sur eux
Disclaimer : pas à moi
Saison : la série et le film (logique quoi … si je parle de stargate…)
Note de l’auteur : alors, voilà un fic que j’ai mis du temps à écrire (je l’ai laissé en suspend bien longtemps)
autre note : les pensées sont en italique, mais ça vous auriez pu le trouver tous seuls…lol
bonne lecture
***************************************************
La voie de l’intérieur
Salle de briefing
H : SG1, une nouvelle mission pour vous…
J (faussement heureux) : ouais !
H : colonel si vous ne voulez plus partir en mission, vous pouvez toujours me donner votre démission
J : j’y penserais général
D : si seulement
J : alors rien que pour vous Daniel, je reste !
D : trop d’honneur
H : je disais donc, que vous aviez une mission de prévu pour cette après midi, départ à 14h00, major carter s’il vous plais…
S : merci mon général, alors cette planète émet des ondes radio et autres, que nous ne connaissons pas, mais qui sont inoffensives sur notre santé
J : si on les connais pas, comment on sait que c’est inoffensif ?
S : parce qu’il y a des habitants sur cette planète, et qu’ils vont bien mon colonel.
D : c’est peut-être du à leur métabolisme, il est peut être différent du notre ?
H : messieurs, le major carter a déjà effectuer tous les tests car SG5 est déjà aller là bas sans problème, alors arrêtez de chercher un prétexte pour ne pas y aller
S : merci mon général
H : de rien major, continuer
S : il s’agit donc d’étudier ces ondes, et d’entrer en contact avec les habitants de cette planète, ils sont déjà avertis de notre venue, et nous attendront.
H : bien ! merci major. Encore des questions ?
J : juste une… combien de temps on reste ?
H : le temps qu’il faudra colonel, ces individus ont l’air de posséder une technologie en avance sur nous
J : c’est bien ma veine !
H : rompez ! à 14h00 devant le stargate
Tout le monde se leva et sortit de la salle
Salle d’embarquement
J : bon, c’est partit pour un temps indéterminé de réjouissance et de gaieté…
D : ne soyez pas si optimiste …
J : Daniel, vous savez que je peu vous empêcher de faire des fouilles si je veux, c’est moi le chef après tout !
D : mais vous ne le ferez pas, sinon ça veux dire que je passe tout mon temps avec vous, et je sais que ça vous donne de l’urticaire !
H : SG1, contact radio toutes les 8h, si vous manquez le rendez vous, vos codes seront annulés
J : mon général, vous savez que je suis toujours en retard !
H : je compte sur Teal’c pour ça.
T : votre confiance me fait honneur général Hammond
H : allez-y, et bonne chance SG1
SG1 disparut derrière la masse bleuté
Sur P5H5852
J : Teal’c, renvoyez la sonde s’il vous plais, que pouvez vous m’apprendre major ?
S : rien de très intéressant
D : elle essaye de vous dire discrètement que vous ne comprendriez pas de toute façon
J : c’est vrai ?
S : non mon colonel… enfin…
J : dite ce que vous avez à dire major !
S : ces rayonnements semblent être de type êta –74 d’après mes relevés, ils conduisent à un maintien tridimensionnelle de la végétation de cette planète, mais semble aussi avoir des rayonnements interstitiels avec…
J : vous aviez raison, j’ai rien compris !
S : désolée mon colonel
J : vous n’avez pas à vous excuser d’être intelligente major
D : alors Jack, quelque chose à rajouter ?
J : en avant messieurs dame !
Ils marchèrent un long moment sans s’arrêter, et arrivèrent bientôt devant une petite clairière qui regroupait une espèce de chapelle ou de temple
D : c’est merveilleux !!
T : ce n’est pas d’origine goa’uld
J : tant mieux pour leurs fesses
S : c’est de cet endroit que proviennent les rayonnements mon colonel
J : alors allons voir ça de plus près
Ils arrivèrent au pied du bâtiment
D (lisant à voix haute) : il s’agit un lieu qui sert apparemment d’initiation
J : ce qui veux dire ?…
Ils entrèrent donc tous un à un dans cette pièce ronde et sans autre issue, puis une fois qu’ils furent tous à regarder les murs, la porte se referma derrière eux
J (se jetant sur la porte) : c’est quoi ce bordel ???
T (l’aidant à ouvrir) : nous n’y arriverons pas O’Neil
S : mon colonel, mon indicateur d’onde m’indique une forte hausse des radiations
J : et alors ???
D : les habitants semblaient certainement curieux de savoir la force de leurs adversaires, ou leurs capacité à fonctionner, c’est un peu confus
J : allons voir si on trouve quelque chose à l’intérieur
S : et bien il peu y avoir des effets secondaires
J : vous disiez que c’était sans danger pour nous
S : à vrai dire, maintenant je n’en suis plus si sure…
Jack et Teal’c arrêtèrent de forcer sur la porte, et Jack donna un coup de pied dans le mur
D : ça ne sert à rien de s’énerver, restons calme !
J : je m’énerve si je veux, c’est encore un des rares privilèges qu’il me reste !
D : mais nous n’arriverons à rien comme ça
J : ok, ok… alors dites moi ce qu’on peu faire ?
D : j’aimerais traduire tout ça, peut être y a-t-il la solution sur ces murs.
J : dépêchez vous, je veux pas moisir ici
D : pour qui il me prend, pour superman ?
J : je ne vous prend que pour ce que vous êtes, un archéologue qui nous a mis dans un beau pétrin !
D : mais je n’ai rien dit !
J : alors vous l’avez penser très fort
Daniel retourna perplexe à sa traduction
S : si je commence avec le réacteur à écraser les ondes néfaste de cet endroit, je pourrait peut être faire un endroit isolé de la surcharge d’ions envoyés pas la source émettrice, pour cela il me faudrait un double circuit qui me permettrai ensuite ….
J : carter, épargnez nous ça !
S : je n’ai rien dit mon colonel ….
J : ne me dites pas que vous commencer à délirer comme Daniel
S ; je vous jure que je n’ai pas prononcer un mot !
D : attendez, si je comprends bien, ces murs indiquent un transfert d’esprits, ou plutôt… de pensées, c’est pour cela que moi aussi je pensait ne pas avoir parler tout à l’heure, or, vous m‘avez entendu !
S : vous voulez dire qu’on entend nos pensées ?
D : oui, à peu près….
Tout le monde se retourna vers Teal’c
J : vous faites dans l’humour maintenant ?
T : pardon colonel O’Neill ?
D : j’ai raison, on s’entend les un les autres…
D : trop tard Jack !
Sam souriait un peu et se tourna pour ne pas le montrer faisant semblant de regarder le mur
J : je n’aime pas cette situation, je vous jure que je n’apprécie pas !
D : vous avez peur que l’on ne découvre à quoi vous pensez ?
J : peu importe, on se tire de là !
Il regarda la porte et commerça à tirer dessus, vidant complètement son chargeur, mais cela n’eut aucun effet, la porte resta intacte.
S : ne nous énervons pas mon colonel, il faut être patient
J et S : DANIEL !
J (se reprenant) : travaillez au lieu de penser !
Jack lui jeta encore un regard glacé, et celui ci retourna au travail
S : mon colonel, je comprend d’ou venaient ces ondes, du moins, à quoi elles servaient, ce sont elles qui nous font entendre les pensées des autres, mais pas toutes, juste celles que nous formulons clairement dans nos têtes, pas, les petites pensées, sinon, nous entendrions trop de choses, et cela pourrait détruire le cortex cérébral.
S : excusez moi mon colonel
Sam commençait à devenir toute rouge et Jack ne savait pas trop ou se mettre.
T : je pense que nous somme ici pour un test
D : je pense aussi, c’est ce que prétendent ces murs en tout cas
J : génial, et quelqu’un va venir nous ouvrir ou on reste là indéfiniment ?
D : aucune idée
Tout le monde redeviens calme
S : vous aurez d’autres occasions mon colonel
J : il faut que j’arrête de penser !
J (chantonant) : bababidouba…. Bababidouba….. bimbobabidouba ! il faut que je ne pense à rien, je ne pense à rien, à rien du tout….
D : JACK ! taisez vous !
J : et pourquoi je me tairais ?
D : parce que j’arrive pas à travailler !
J : mais moi je veux pas qu’on entende ce que je pense
D : vous avez tant de truc à vous reprocher ?
J : …non pas du tout…
D : vous avez peur que l’on sache ce que vous pensez réellement de nous ?
J : peut importe, vous n’avez pas à le savoir, mais je suppose que c’est pareil pour vous !
D : c’est vrai qu’il vaux mieux éviter, car c’est quand on veux pas penser à un truc, qu’on fini par ce concentrer dessus et c’est foutu… Janet en tenue légère Mmm…merde !
J : pris à votre propre piège !
Jack se pencha pour prendre son sac qui était à terre
S : MMmmm…quelle paire de… oups !
Il se releva très vite et tout le monde regarda dans la direction de Sam, elle ne savait plus ou se mettre
J et S : DANIEL !
Jack ne pouvais pas décoller son regard de carter
J : il faut que j’arrête de la regarder comme ça sinon je vais me mettre à penser à des trucs !
S : c’est si embarrassant mon dieu
D : hahahahahaha…c’est trop drôle
Toute l’équipe essayait de penser à autre chose, ils commençaient à se fatiguer, car cela faisait un moment qu’ils étaient enfermés
J : on a louper le rendez vous avec Hammond, il va nous tuer
S : nos codes sont désormais effacer
D : on pourra passer par Tollana
S : que lui reprochez vous mon colonel
J : moi ??? rien !!!
D : on vous a entendu !
J : c’est juste que ce type est très… étrange c’est tout
J : pas du tout, je fais juste gaffe à mon équipe
S : mon colonel, Narim est un homme très gentil, et ne veux que notre bien
J : alors pourquoi leur planète refuse de nous aider technologiquement ?
S : c’est leur mode de vie, et leur façon de voir les choses, on ne peut pas aller contre ça mon colonel.
D : ils sont près à nous aider contre une attaque, mais nous n’avons pas accès aux cannons à ions, c’est tout
J : vous y connaissez quelque chose en armement ?
T : c’est dingue comme dès fois on peut être une équipe soudée et d’autres fois…
J : mais on est soudés là !
D : moi j’aime bien me battre avec jack
J : merci Dany
S : moi je m’amuse bien avec eux
J : vous voyez, tout le monde y trouve son compte
Daniel Sam et Teal’c le regardèrent, avec un sourire au bout des lèvres…
Tout d’un coup, semblant vouloir rompre ce moment, un éclair apparu dans toute la pièce
J : qu’est ce que c’est ?
S : je ne sait pas mon colonel, apparemment, c’est une décharge conduisant à un surplus d’énergie, mais je ne sais rien d’autre
L’éclair était passé et tout redeviens comme avant, chacun repris peu à peu son calme
D : alors ???
T : il semble que ce soit un éclair Daniel Jackson
J : ça on a vu Teal’c ! ce qu’on veut c’est un peu plus d’explication
T : je n’en ai pas colonel O’Neill
S : moi non plus mon colonel
Un moment passa
S : merci Daniel
J : mais il n’a rien dit
T : je n’ai rien entendu
S : moi si !
D : elle a raison, je pensais qu’elle trouverait, logique qu’elle me réponde merci
J : moi je n’entend plus personne.
S : je n’entend que Daniel
D : et moi vous sam.
T : rien du tout pour ma part
Il n’y avait plus que Daniel et Sam de " connectés "
S : oui !
J : pardon ?
S : je répondait à Daniel mon colonel
J : vous parlez en secret tous les deux ?
D : ce serait pas con !
S : oui, même amusant
S : non mon colonel
J : bon, alors on se repose, et on attend demain il est très tard, et on est tous fatigués !
S : bonne nuit mon colonel
D : bonne nuit à tous
J : a demain, et on ne ronfle pas Teal’c !
T : j’essayerait colonel O’Neil
Ils s’allongèrent à même le sol, se servant de leur veste comme oreiller, car l’air était très doux, une fois que tous les bruits se turent…
D : sam…
S : oui !
D : c’est plutôt sympas de pouvoir parler comme ça!
S : c’est vrai, j’avoue
D : vous vous êtes trahie en beauté tout à l’heure en matant les fesses de jack !
S : et vous alors, avec Janet ! je ne savait pas que…
D : c’est vrai que je me suis pas loupé non plus…
Tous les deux commencèrent à rire, ce qui fit sortir jack de son pseudo sommeil (il n’arrivait pas à trouver le sommeil lorsqu’il n’était pas loin de Sam) il se retourna vers eux
J : bon, on a compris, mais empêchez pas les autres de dormir
S : désolé mon colonel, ça n’arrivera plus
D : vous voulez pas lui lécher les pieds non plus !
S : Daniel !
D : allons Sam, vous lui mangez presque dans la main!
S : c’est mon supérieur, je lui doit le respect !
D : mais oui…
S : arrêtez de croire n’importe quoi !
D : je constate, … ils s’aiment mais bon sang… en plus ils ont tellement envi l’un de l’autre…
S : hey !!!! (elle ne s’était pas rendue compte qu’elle parlais)
J : BON CA SUFFIT !
D : il est jaloux !
S : jaloux ?
D : de moi, car c’est avec moi que vous parlez, et il sait très bien quel est le sujet de discutions !
S : pourquoi ?
D : il sait que je ne peu pas résister ! dès qu’on est tous les deux, je lui en parle
S : et que dit-il ? Oops… non, ça ne m’intéresse pas !
D : encore trahie !
S : je vous jure que non… je l’aime comme une folle !
D : Sam… je le savais !!!
S : mais c’est dur de pas devoir penser à quelque chose, on y pense forcément ! même si on veux pas !
D : je sais… ne me mettez pas l’idée dans la tête sinon ça va pas aller…Janet embrasse comme une déesse !
S : ouah !
D : je l’ai dit ?
S : oui
D : merde !
S : je ferais comme si je savais pas… c’est elle qui vous a fait les avances ?… excusez moi… je me posais juste le question…
D : pas grave… c’est moi !
S : elle m’en cache des choses…
D : ça n’est qu’occasionnel… disons que c’est pour ça que je passe plus de temps a l’infirmerie avant le débriefing …
S : je ne veux pas en savoir plus
D : mon dieu ce qu’elle peu être doué pour…
S : DANIEL !!!!! pas de détail s’il vous plais…
D : désolé mais…
S : oui, je sais.. on ne s’en sortira pas…
En effet, le lendemain matin, leurs têtes à tous les deux était épouvantable, il avaient tellement luter pour s’endormir, ils avaient à chaque fois des pensées bizarres qui leurs venaient en tête, empêchant de faire dormir l’autre.
J : alors, bien dormi ?
D (vraiment pas bien) : Sam vous êtes une horreur
J : que s’est-il passé ?
S : et vous Daniel ?? je vous avait dit que je voulais pas les détails !
D : vous ne raisonnez qu’en mathématique dans la vie ??? on dirait que votre tête est un ordinateur !
S : et vous une chaîne porno !
Daniel commença à ne plus avoir d’argument, et à ce sentir mal devant la remarque de Sam
J : (souriant) : je vois que oui, tous le monde à bien dormis, heureux de l’entendre !
S : désolé mon colonel…
D : cette nuit a été un calvaire
J : vous aviez l’air de plutôt vous amuser tous les deux
Daniel et Sam avaient leurs têtes dans leurs mains, complètement désespérés.
Soudain, un autre éclair atterrit dans la salle, faisant trembler les murs, ils avaient aussi peur que la première fois, et se trouvaient à terre, incapable de bouger. Une fois passé, chacun repris ses esprits.
J : alors, c’est quoi la surprise cette fois ?
S : je ne sais pas mais je n’entend plus rien !
D : du moment que je n’ai plus droit à des maths !
J : ils ont dus se dire plein de trucs cette nuit !
Jack et Daniel de regardèrent
J et D : C’EST PAS VRAI !!!!
S : quoi ?
D : maintenant c’est avec Jack que je suis coincé !
S (souriante) : Je suis libre ???
J : apparemment
S : mon colonel, étant donné qu’il n’y a pas de point scientifique, mais plus historique, puis je me reposer ?
J : bien sur…
Sam se coucha encore sur le côté et s’endormit en moins de trois secondes tant sa fatigue était importante
J : je sais pas moi !
T : pourquoi je ne suis jamais impliqué docteur Jackson ?
J : ils ont du vous trouver peu communicatif Teal’c
D : en tout cas moi j’aurait bien voulu dormir un peu
J : vous avez parler de quoi cette nuit ?
D : à votre avis ? … non, il faut pas que je parle, je l’ai promis… de vous !
D : non, de Zorro !
J : qu’a-t-elle dit ?
D : j’ai pas le droit !
J : et vous avez penser à quoi pour la faire réagir comme ça hier soir ?
D : juste de mes rapports intimes avec Janet… merde ! encore trahi !
J : je le savais déjà !
D : comment ?
J : je ne vous le dirais pas !
J : je suis entré un jour ou la porte était ouverte dans les vestiaires, et…
D : et merde !!
T : qu’y a-t-il docteur Jackson ?
J : rien, on parle dans nos têtes !
D : désolé, vous devez vous sentir exclu Teal’c
J : alors retourner à ces traductions Daniel, il faut qu’on trouve une solution !
Daniel acquiesça, pensant que cela lui ferait penser à autre chose, mais Jack en eu vite marre d’entendre toutes ces théories archéologiques, il se tenait la tête pour ne pas exploser
J : j’en peu plus !!!!
Jack voulais se vider l’esprits, et commença à regarder autour de lui, il vit carter allongée sur le sol, la tête tenue par son bras replié
J : mon dieu qu’elle est belle…
D : attention à ce à quoi vous pensez…
J : je l’aime tant, inutile que j’essaye de vous le cacher… puisque de toute façon, toutes les pensées qui me traversent l’esprits arrivent à vous…
Jack regardait toujours Sam allongé, et Daniel vint faire une pause auprès de lui, s’essayant tout près
D : je me repose un peu, je continuerais plus tard
T : bien docteur Jackson, si vous voulez, je peux préparer un repas avec les vivres que nous avons.
J : merci Teal’c, c’est gentil à vous
J : elle est belle n’est ce pas ?
D : oui, très…
J : je n’ai qu’une envi c’est de lui caresser sa peau jour et nuit, qu’elle me sourie, qu’elle m’embrasse, que nous…
D : je crois que j’ai compris…
J : désolé mais je peu pas censurer mes pensées !
D : vous savez, avec Janet, c’était d’abord purement attractif…
J : vous voulez dire sexuel ?
Daniel redressa ses lunettes
J : DANIEL !
D : et après on a besoin d’un temps pour parler, pas comme avant… on est de plus en plus proche
J : vous l’aimer
D : oui… ça fait bizarre de l’admettre !
J : ça c’est clair !
J : jamais
D : elle vous aime
J : vous êtes sur ?
D : ho que oui !
J : mais il y a…
D : elle est prête à tout renoncer pour vous
J : comment le savez vous ?…ha oui… cette nuit…
D : dans sa tête, 1+1=2, voir 3 ou 4… si vous voyez ce que je veux dire… pour le reste de ce qu’elle pense, je penche pour l’hypothèse qu’elle a du sniffer un peu trop de naquada, je comprends pas… comme si elle parlait une autre langue…
J : bref… je ne sais pas, mais j’ai tant besoin d’elle…
D : et vous l’aurez, faites moi confiance, je vous souhaite d’être aussi heureux que je le suis avec Janet
J : merci danny, vous êtes un véritable ami, même si vous me tapez sur les nerfs parfois
D : vous aussi, et je pense que nous le resterons encore longtemps !
Les deux hommes échangèrent un sourire et une tape sur l’épaule, heureux de voir qu’ils était aussi liés par leur cœur, et de savoir, qu’ils auraient tout le temps de soutien de l’autre.
T : le repas est près, dois-je réveiller le major carter ?
J : non, laissez la dormir, elle le mérite, on lui laissera sa part… Daniel…
D : oui ! je retourne aux traductions dès que j’aurais avaler un truc !
Quelques heures plus tard, Sam se réveilla, elle mangea et se tenu informée des progrès que faisaient Daniel, voyant qu’il n’avançait pas, elle s’assit tranquillement avec ses joujoux technologiques. Jack vint s’assoire près d’elle
J : alors ? bien reposée ?
S : oui, et ça fait du bien de ne pas avoir à entendre Daniel
J : je sais, moi aussi il m’agace
D : j’entend tout ! comme vous pensez à ce que vous parlez !!!!
J : désolé
D : pas grave, je peu vous aidez !
S : de quoi vous a-t-il parler au juste
J : de truc égyptiens !
S: moi j’ai eu droit à…des truc que j’aurait jamais voulu entendre…
J : éclaircissez…
S : je peu parlez librement ?
D : attention…
J : la ferme !
J : oui.
S : les hommes sont tous aussi primitifs ?
J : pardon ?
S : disons que j’ai l’impression qu’il ne pense qu’a une chose… si vous voyez ce que je veux dire…
J : je vois très bien ce que vous voulez dire, mais Daniel est une espèce à part on dira… !
D : c’est pas vrai !
J : oh que si !
S : bon, je vais aller vérifier comment vont mes instruments, à plus tard mon colonel…
J : j’ai tellement envi d’elle !
D : ha non, vous allez pas commencer !
J : taisez vous un peu !
D : allez, lui reparler, ne la laissez pas partir dans ce cas !
J : le jour ou j’aurais besoin d’un conseil je vous ferais signe OK ?
Le temps passa encore un peu, et Daniel les appela tous pour leurs dire ou en sont ses avancées.
D : alors il se trouve que cette pièce est conçue pour effectuer des tests ou des expériences, mais pas dans le but de nous étudier, plus dans celui de voir notre capacité à l’honnêteté, on y a trouvé un grand nombre de coupable de meurtres, qui ne pouvaient pas cacher leurs crime dans leurs têtes, ainsi que des révélations de toutes sortes… des anecdotes…
S : comment on sort d’ici ?
J : on ne peut pas… pas avant que le processus soit fini…
Sam le regarda étrangement
D : c’est parce que je l’ai penser qu’il le sait !
J : j’aurais pu le trouver seul
D : mais oui…
J : et bien oui justement !
Tout d’un coup, un autre grand éclair vint frapper la salle en son centre, laissant passer un flux d’énergie immense, ils s’accroupirent, craignant à chaque fois la tombée des murs, mais rien ne bougea, et tout redevient calme
J : encore !
D : je pense que c’est la dernière étape…
T : expliquez vous docteur Jackson….
D : cette fois, c’est Sam et Jack…
J : mais non…
Les deux se regardèrent…
J (l’air grave) : vous avez raison…
S : comment l’avez vous su ?
D : Teal’c est hors coures pour une raison toute autre, c’est qu’il peut se parler à lui même en goa’uld, donc, aucun intérêt… et nous avons été une première fois en contacts tous ensemble, puis, Sam et moi, Jack et moi, maintenant, vous deux, c’est le triangle qui veux ça !
J : moi et Sam…
S : mince alors…
Les deux officiers se regardèrent encore une fois…
D : pour ma part, je suis enfin libéré, je peu me reposer tranquillement enfin ! puisque de toute façon, le dispositif s’arrêtera de lui même !
J : bonne nuit Daniel
S : bonne nuit
T : bonne nuit docteur Jackson, je vais faire comme vous, la nuit étant tombée, je tient à être opérationnel demain
S : pourquoi ça ?
J : parce que je ne sais pas ce qui peu me passer par le tête ! … des trucs que vous ne devriez pas enten… non, il ne faut pas que je pense ! il ne faut pas que je pense !
S : comme notre relation par exemple
Jack s’arrêta net
J : ce n’est pas que ça… c’est aussi que dès fois on pense à des truc pas très catholique, et qu’on ne dit pas exprès, alors c’est pour que vous le les entendiez pas… quel corps elle a mon dieu…
J : (agitant sa tête) : non, rien…
S : vous êtes gonflé !
J : hey ! je peu faire un rapport !
S : on ne peu pas m’empêcher de penser mon colonel
S : je déteste quand il parle comme ça !
J : quand je parle comment ?
S : il ne s’en rend pas compte ou quoi ????
J : si ! mais c’est mon rôle !
S : d’être parfois détestable ?
J : non, d’être votre supérieur…
S (à elle même) : je préfère l’autre rôle…
J : lequel….
S : je ne doit pas y penser…. Je ne doit pas… s’il savait…
J : savoir quoi ?
S : que je vous aime… Oups !
J : quoi ?
S : rien ! …. Comme une folle en plus !
J : et moi donc…
S : pardon ?
J : Daniel me l’avait dit mais je ne le croyait pas…
S : il a vendu la mèche ?
J : il a pas fait exprès…
S : je veux vous sentir près de moi…mon dieu Samantha reprend toi…
Jack s’approcha plus près de son major, ils se regardaient droits dans les yeux, allongés l’un à côté de l’autre dans la presque obscurité
J : je pense que…
S : non, ce n’est pas une si mauvaise idée, et nous le savons
J : je n’aurais jamais pu imaginer que…
J : … que tu m’aimais….
S : et moi donc
Ils se regardèrent encore un moment, et Jack commerçait à prendre Sam dans ses bras, bien sur, chacune des ses actions étaient pensées, donc, c’était comme si on la prévenait de ce qui allait ce passer… chacun pouvait savoir aussi ce que ressentait l’autre à ce doux contact, et ainsi, mieux satisfaire son partenaire…. Mais ils n’étaient pas seul dans la pièce, les autres dormaient pas loin, ce qui limitait fortement….
S : toi… tu as peur ?
J : j’ai dit ça ?
S : oui… de quoi as tu peur ?
J :de rien…
J : de refaire ma vie
S : je suis là…
J : je sais, mais mon passé aussi est présent, et jamais je n’ai penser à ce que j’ai… à ce que nous… ayons un réel avenir ensemble…
S : je serais toujours là…
J : j’en ai de la chance !
S : et moi donc !
J : j’ai envi de toi depuis bientôt trois ans
S : moi depuis le jour ou je t’ai vu !
J : je t’ai détestée au début
S : moi ???
J : oui toi, tu m’a remis à ma place devant tout le monde et j’ai pas aimé !
S : tu as trouver quelqu’un avec qui rivaliser…
J : et après y a eu Daniel !
S : et moi je devais me taire… je n’avait que le droit de rire à tes blagues…
J : je me demande si Hammond est OK pour que tu t’y mette alors…
S : George ne veux pas avoir à me faire de reproches…
J : George ?
S : c’est mon parrain, et un second père… il m’a presque élevé… et je suis sortie avec son fil au collège…
J : il me l’avait caché !
S : on ne voulais pas que ça se sache.
J : sympas…
S (pleine de sous entendus) : si on pensaient à autre chose…
Ils échangèrent un sourire avant d’entreprendre à s’embrasser encore longtemps, s’arrêtant à chaque fois pour parler un peu de ce qu’ils avaient sur le cœur, évoquant de nombreux sujets, tel qu’Edora, martouf, daniel et Janet, même allant jusqu'à Charlie et la mère de Sam, ils en apprirent plus sur eux que jamais ils n’en surent en cinq ans, ils ne voulaient plus rien se cacher après s’être avouer leur amour, le jour commençait à ce lever, et ils ne dormaient pas… toujours enlacés l’un avec l’autre, plongés dans une discutions muette qui leurs permettaient de ne pas faire vraiment d’effort de parole
J : a ton avis, on en, parle à Hammond en rentrant ?
S : je vais donner ma démission
J : non, c’est moi !
S : hors de question, si tu n’est pas à la tête de SG1, tu ne feras rien, si je ne suis pas militaire, je peut être attachée au département d’astrophysique en tant que militaire
J : et que dirais-tu de partir de temps en temps, ça fait un moment que j’y pense
S : tous les deux ?
J : et Teal’c et Daniel aussi, tu te rappelle de la petite planète sympathique et déserte ?
S : P2W475
J : oui… peu être, je pensait y construire un truc avec les autres, et nous faire un petit village d’amis
S : tu penses que le président nous donnerait une planète ?
J : qui sait…
S : on peu essayer…ce serait bien…
Teal’c bougea au fond de la pièce, et réveilla le docteur Jackson, Jack et Sam l’entendirent, mais n’avaient pas la force de ce lever tant ils étaient fatigués…
D : et bien… ils n’ont pas perdu leur nuit !
J : il va m’entendre lui !
S : hahaha, tu compte lui faire quoi ?
J : je pense avoir une petite conversation avec les éprouvettes de sang de SG5 qu’il a renversé la dernière fois dans le labo du doc.… surtout à SG5, qui a du refaire la piqûre…
S : tu n’est pas très sympas… mais j’aime ça !
T : il faut les réveiller
J (très faiblement) : inutile….
D : vous êtes réveillés ?
J : non, je parle en dormant ! bien sur qu’on est réveillés, on est juste super fatigués !
D : levez vous quand même car je pense que le processus est bientôt terminé.
S : qu’est ce qui vous fait dire ça ?
D : il y a un compte à rebours qui vient de démarrer sur le mur…
Daniel regarda le mur face à lui, Sam et jack se levèrent difficilement, et Sam commença à examiner le phénomène, c’était un cadrant qui affichait des lueurs rouges, et qui disparaissent peu à peu, après la disparition de quatre d’entre elle…
S : il reste 1min et 14 seconde
J : ouha… tu calcules vite !
D : je vous avait dit que sa tête était un ordinateur !
J : je confirme.
T : il semble colonel O’Neill et major Carter, que vous soyez différents…
D : on appelle ça l’amour Teal’c !
T : alors ça y est ?
D : et oui !
Jack passa son bras derrière les hanches de Sam, ils regardaient maintenant tous le compte à rebours, jusqu'à la dernière lueur, il d’écartent juste à temps pour pouvoir ne pas prendre l’éclair sur eux, et tout fut sombre.
Ils ouvrirent les yeux peu à peu, ils avaient encore tous mal à la tête, ils se trouvaient tous les quatre dans une maison, allongés sur des lits
J : ou sommes nous ?
D : aucune idée.
J : que s’est-il passé ?
S : je ne sais pas…
Jack regarda ses coéquipiers un instant
J : dites moi que je ne suis pas le seul à avoir fait ce rêve ?
Voix : vous n’avez pas rêvé
Ils se retournèrent, et virent un homme dans le prote
D : qui êtes vous ?
Fruac : je suis fruac, l’homme qui vous attendait.
J : et on peu savoir ce qui s’est passé ?
Fruac : vous êtes aller en isolement pour que l’on puisse savoir si nous pouvions vous faire confiance.
D : quel est le résultat ?
Fruac : nous serions honorés que de partager la lutte à vos côtés.
S : je pourrais avoir plus d’explication sur ces ondes…
Fruac : malheureusement non, mais vous pourrez utiliser la pièce à votre gré…. Si vous voulez vous en servir comme tribunal je veux dire… est-ce le mot ?
D : oui… merci pour tout !
J : on peu signer ou alors ?
Fruac : nous enverrons un correspondant sur votre planète, nous nous servirons du code allié…
S comment le connaissez vous ?
Fruac : un de vous y a pensé pendant l’isolement.
J : en tout cas, je suis content de ne plus avoir de voix dans ma tête.
D : pas même celle de Sam ?
Jack regarda Sam tendrement
J : j’espère avoir toujours celle de Sam en moi.
Ils étaient de retour sur terre depuis deux jours, et avaient raconter leurs aventures à Hammond et à Janet, Jack ne pu s’empêcher de taquiner Janet en lui disant deux ou trois trucs, par si par là, mais il se trouve qu’il avait oublier sa piqûre qui arrivait, elle en profita pour le louper un peu.
Jack et Sam s’apprêtaient a aller tout dire à Hammond, ils étaient devant le bureau de celui ci
J : bon, on y va ?
S : ben… il faut bien…
Toc toc toc
H : entrez !
Jack et Sam passèrent la porte.
H : colonel, major ?
J : mon général, nous aimerions nous entretenir avec vous un instant
H : je suis tout ouie !
Il leurs fit signe de s’assoire
J : et bien voilà…
S : mon général… ce que nous voudrions vous dire va peut-être vous paraître soudain, voir même totalement imprévu… mais le colonel et moi…
J : nous sommes ensemble général.
Le général fit une grande inspiration en s’adossant à son siège, sans dire un mot
J : mon général…(il se tut, il savais qu’il ne devais pas en rajouter)
Après une attente pénible
H : et vous vous trouvez ça imprévu et soudain ????? non honnêtement ???
Sam et Jack faisaient une tête qui en disait long, le général affichait alors un immense sourire et prenait un malin plaisir à les avoir fait jubiler un peu
J : mon général ???
H : vous avez tous les droits légaux d’être ensemble depuis au moins deux ans… on avait tout prévu ton père Sam !
S : mon général… je ne sait plus quoi dire
H : déjà, tu vas commencer par embrasser ton vieil oncle !
Sam se leva et vient embrasser Hammond sur le front
J : vous êtes si proche que ça tous les deux ?
H : c’est comme ma fille, alors si vous la toucher, je vous tue !
S : je ne pense pas qu’on en arrivera là Jack… ne t’en fait pas…
H : tout ce que je veux c’est que vous soyez heureux !
J : merci mon général
H : autre chose colonel, quand on est entre nous, c’est George, vous êtes presque de ma famille par lien du cœur, mais en publique je reste votre général pour tous les deux
S : ne t’en fait pas, on a l’habitude !
Elle l’embrassa encore et se tourna vers jack, ils partirent en remerciant Hammond, puis le laissèrent seul
H : ha ces jeunes… enfin… plus tant que ça quand même… il était temps…
Toc toc toc
H : entrez !
J : tonton George... j’ai repéré une petite planète sympa ou on pourrait faire un petit village de vacance avec les autres... vous pensez qu’il y aurait moyen de…
H : COLONEL O’NEIL !!!!
**...The end...**
voila j’espère que ça vous a plus... envoyez moi un petit commentaire pour me le dire, à bientôt et bisous à tous (si vous êtes arrivés jusque là, c’est que vous l’avez lut alors c’est sympas) lol
a bientôt
marge