Les Parques

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

résumé : SG1 arrive sur une magnifique planète et fait la connaissance de…

genre : romance S/J (humour)

disclaimer : pas à moi

pas de sous

juste pour le fun

note de l’auteur : ce fanfic est un peu court mais je voyais pas l’intérêt de l’allonger tant que ça ! je m’excuse quand même ! BONNE LECTURE

Les Parques

Salle d’embarquement

H : soyez de retour dans 24 h SG1, passé ce délais, vos codes ne serons plus attribués !

J : mais vous savez que je suis toujours en retard général !

D : on vous traînera s’il le faut !

J : pas la peine, je ne compte pas m’attarder de toute façon !

? : chevron 7 enclenché !

SG1 passa la porte, et se retrouva sur une planète très étrange, qui n’avait aucun rapport avec un quelconque paysage de la Terre, il y avait des chutes d’eau qui sortaient de trous creusés dans une pierre blanche, des arbres gigantesques de toutes les couleurs, et un parfum de caramel dans l’air. Il y avait aussi deux soleils, et trois lunes dans le ciel, ce qui créait une chaleur étouffante.

D :ce paysage ne ressemble à rien que l’on connaisse…

J : moi je trouve ça charmant !

T : aucune trace de technologie Goa’Uld O’Neill !

J : je m’en doute, la déco c’est pas leur point fort !

S : je ne détecte rien sur un rayon de 100 Km à la ronde mon colonel !

J : parfait, ça veux dire qu’on ne se fera pas ennuyés, en tout cas je l’espère ça je compte bien me reposer un peu !

T : nous sommes là pour étudier cette planète O’Neill, afin de voir si elle est habitable…

J : je sais, mais ce n’est pas mon domaine, je laisse ce travail à notre astrophysicienne et à notre archéologue !

S (souriant) : mon colonel, je pourrais donc vous solliciter pour creuser la terre ?

J (à Teal’c) : bon… allons voir si il n’y a pas un danger qui nous menace !

Jack s’éloigna avec Teal’c, Sam resta avec Daniel pour continuer les observations

D : bien joué !

S : comment ??

D : vous avez réussi à le faire partir ! et je ne sais pas si j’aurais pu continuer à travailler en écoutant ses sarcasmes !

S : tout le plaisir est pour moi !

D : vous pensez qu’ils sont réellement partis faire un tour d’horizon ??

Non loin de là, sur un tronc d’arbre

J : Teal’c, je vous ai dit que nous n’avions pas de soucis à nous aire, on se pose quelques instant et on retourne là bas !

T : mais vous avez dis….

J : laissez tombé !

Une heure plus tard, le vaillant colonel Jack O’Neill se réveilla et décida qu’il était temps de retourner vers la porte.

J : alors ???vous avez trouver quelque chose ??

S : j’ai réussi à prélever des échantillons de cet arbre, nous n’en avons pas chez nous…

J : ça je le sait.. ;vous avez déjà vu un truc de trente mètre de haut avec des feuilles violettes et des espèces de pommes turquoise ????

D : en ce qui me concerne, j’hésite encore …dire si ces aménagements sont le fruit de travail humain ou de la nature, je suis perplexe…

J : bon, on a trouvé un petit endroit ou on pourra aménager le camp, c’est à quelques centaines de mètres d’ici !

S : mon colonel, j’aimerais encore faire quelques tests…

J : nous sommes ici pour encore presque…20 h major ! vous aurez tout le temps nécessaire de faire ça demain.

T : le colonel à raison major carter, de plus, les soleils sembles être de plus en plus chaud, et il faut se mettre à l’abris maintenant.

Le petit groupe se dirigea vers un petit coin un peut retirer qui était distant de 50m de l’étant dans lequel venais s’effondrer les chutes d’eau.

S : vous avez raison, c’est un coin parfait pour le camp.

D : c’est très…

Daniel s’abstient de dire le mot qui lui venait en tête, c’était " romantique " mais il savait que Jack risquait de s’énerver, et il ne voulais pas mettre Sam mal à l’aise !

T : nous allons mettre nos provisions à l’ombre.

J : bien, … on ne sait pas encore quel temps il va faire cette nuit, alors on monte la tente quand même !

Ils se mirent à trois à la taches, Sam les regardait à demie amusée tout en rangeant ses affaires, c’était un peu un concours : " à celui qui ferait le mieux ", et Jack ne put pas s’empêche de paraître le plus fort !

J : voyez vous Daniel… vous n’êtes pas entraîné à ce genre de truc ! ça s’apprend à l’armée !

D : je préfère m’enrichir intellectuellement ! MOI !

S (voulant éviter toute tensions) : il est temps de faire à mangé…

J : Teal’c vous allez chercher du bois, Daniel vous allez faire le repas, et on verra de quoi vous êtes capable…

T : avec tout le respect que j’ai pour vous O’Neill, je ne pense pas que confier la tache du repas à Daniel Jackson soit une bonne idée…

Sam éclata de rire en entendant cette phrase, et se retourna quand elle s’aperçue que les trois autres la dévisageaient

J : bon, on est ici pour travailler non ? on est pas en camps de vacance sur les bord du Mississipi alors un peu de professionnalisme ! …. C’est moi qui ferait à manger !

T : bien colonel O’Neill !

D : oui, je vais allez aider Teal’c, on revient dans une petite heure…

J : à tout de suite ! (à Sam) et vous major ??que faites vous ???

S : je vais aller prendre un bain si vous me le permettez…avec ses soleil…

J : allez y, vous me direz comment est l’eau !

S : bien mon colonel.

Jack la regarda s’en aller vers les arbres, et la vit disparaître, il souriait à l’idée qu ‘elle pouvait être là, tout proche d’elle, dans un magnifique étang…

Daniel et Teal’c étaient de retour au bout d’une demie heure, ils avaient déjà les bras chargés.

D : ça y est ! nous revoil…

HHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAA

J : c’est quoi ça ??????

D : ça vient de par là !

T : on dirait la major Carter !

J : allons y !

Ils allèrent vers l’étang et virent Sam au milieu de l’eau, avec juste la tête et les épaules qui dépassaient. Autour d’elle, il y avait trois formes qui flottaient, c’était des formes de femmes, habillées de tuniques et de draps.

Jack et Daniel étaient un peu resté bloqués sur Sam, Teal’c, lui, analysait la situation (enfin je pense…)

D (reprenant ses esprits) : qu’est ce que c’est que ça ????

J : je pense que c’est carter !

D : je parle de ces trois formes…

J : ou ça ??? ah oui, excusez moi !!! c’est quoi ???

T (élevant la voix pour parler à Sam) : major carter, que ce passe-t-il ?

S (criant) : justement je n’en sait rien !!!!!!!!

D : ne bougez pas, on va essayer de savoir !

S : vous croyez peut être que j’allais sortir de l’eau !

Une des trois formes s’avança vers Sam

Femme : nous ne te voulons aucun mal, ne t’en fait pas…

S : qui…qui êtes vous ???

Femme : nous sommes les gardiennes de ce monde !

S : que me voulez vous ?

Autre femme : voilà longtemps que nous n’avons pas eu de visite, et vous nous avez réveiller.

J (au loin) : CARTER !!! que ce passe-t-il ???

S : je pense que ça va aller mon colonel !

Femme (à jack) : laissez votre amie sortir de l’eau !

Les trois hommes repartirent vers le camp avec des tas de questions en tête

Sam sortie de l’eau et, accompagnés des trois femme, arriva vers le camps.

J : alors ??? c’est quoi cette histoire

Femme ; je me nome Clotho, voici ma sœur, Atropos, et mon autre sœur, Lachésis…

D : vous êtes … le destin !

Clotho : c’est exact !

J : ce qui veux dire ?????

D : ces femmes sont les divinités du destin, filles de Thémis et de Zeus, elles sont chargées de tisser, de dériver ou de couper la trame de la destinée de tout être humain…Clotho représente la naissance, Atropos le mariage, et Lachésis…la mort.

J : je connaît pas !

D : elle sortent de la mythologie grecque on les appelle les trois parques, et on s’y réfère énormément dans la littérature européenne du moyen age…

J : passionnant Daniel, mais en quoi cela peu nous aider…

Clotho: votre ami à raison, et nous sommes honoré de votre culture…

D : en fait, mon domaine c’est l’Égypte, mais la Grèce antique est tout aussi passionnante…

S : que voulez vous au juste ??

Atropos : nous voulons apprendre à vous connaître

D : ce n’est donc pas une légende ???

Atropos : non, mais notre vie à été bien modifiée au cour du temps par les dires et les légendes…

D : c’est peut être pour ça que je vous imaginait comme des sorcières immondes…

J : vous êtes sensé être diplomate Daniel !

Lachésis : ne vous en faites pas… nous avons été punie par la puissance supérieur qui nous voyait comme une menace dans sa lutte pour le pouvoir, et nous sommes coincés ici…pour toujours.

J : ça va…le décor est plutôt agréable !

S : mon colonel, je ne pense pas que nous ayons la même vision des choses, ces femmes sont coincées ici depuis très longtemps apparemment !

D : que peut-on faire pour vous ?

Clotho : rien, nous vous remercions, mais nous sommes bien ici finalement, vous ne savez pas ce que c’est que de décider qui doit vivre ou mourir…

J : facile ! on coupe tout ce qui touche aux Goa’Uld !

Lachésis : ce n’est pas si simple…

J : pour moi ça le serait !

Clotho : nous allons vous laisser réfléchir à ce que vous venez de dire ! et pendant que vous y êtes, faites le point sur vos vie… nous reviendrons demain. Bonne nuit à tous !

D : attendez….

Les trois femmes avaient disparues, et la lumière devin plus sombre autour d’eux car les soleils s’étaient couchés sans même qu’ils ne s’en rendent comptes.

J : bon…ben…qu’est ce qu’on fait ???

D : mon dieu, c’est merveilleux…vous savez ce que ça représente…trouver un semblant de vérité dans la mythologie grecques c’est une découverte absolument…

S : je pense qu’on devrait faire comme elles disent mon colonel…attendons demain !

J : bien ! on mange et on se couche !

Le repas fut très animé, Daniel ne pouvait s’empêcher de sortir sa sciences sur les légendes et le reste… jack ne l’écoutait pas mais il faisait tout pour qu’il se taise, Sam riait en regardant ces deux hommes continuer à ce disputer, et Teal’c intervenait de temps autre pour dire quelque chose qui n’avait rien à voir avec le contexte

Pour dormir, SG1 se mis dans par dessus les sacs de couchages dans la tente, il faisait assez chaud, mais c’était plus agréable que pendant la journée. La tente était assez grande, alors on, pouvait avoir dans l’ordre de gauche à droite : Teal’c, Daniel, Jack…et un petit mètre plus loin, Sam.

Dans leurs rêves, Daniel revit sa rencontre avec Sha’re, ainsi que sa mort, Teal’c rêva de sa femme, et de sa vie. Quand à Jack et Sam, ils rêvèrent l’un de l’autre toute la nuit, voyant parfois la mort de l’un, ce qui agitait leur sommeil, et parfois d’une nuit entre eux…ce qui agitait aussi leur sommeil…

Au petit matin, les quatre membres de SG1 se réveillèrent petit à petit.

Jack fut le premier debout, et prépara le petit déjeuné, à sa surprise, il trouva comme des fruit posés devant la tente, et il en déduit que c’était ces trois femmes qui les avaient posées là, ils les servirent donc à ses amis.

Vers 10h, Sam repris ses recherches près de l’étang, et sondait les alentours, Daniel essayait de se rappeler des informations qu’il aurait pu oublier, et se décida d’aller visiter le coin au cas ou il n’y aurait pas de trace de civilisation.

Teal’c fit une séance de méditation pour repartir d’un bon pied.

Jack tournait autour du camp sans savoir trop quoi faire, il se décida alors d’aller à la rencontre de Carter histoire de voir s’il pouvait se rendre utile.

J : je peux vous aider ??

S : ha… mon colonel ? euh…oui si vous voulez !

J : je peu faire quoi ?

S : justement…vous voyez cet endroit ?

Elle désignait un trou dans la roche à a peu près 3 mètres du sol.

J : oui, et alors ????

S : regardez cette plante, elle pousse à même la roche, sans terre ! et j’en aimerais un échantillons pour l’étudier !

J : vous voulez que je grimpe là haut ?

S : si vous voulez… j’allais le faire mais vous venez de me proposer votre aide

J : très bien…vous saviez de toute façon que je finirais par venir vous demander si vous aviez besoin d’aide ! vous en profitez !

S : je doit avouer que oui mon colonel !

J : bon, attentez, je vais vous la chercher votre plante !

S : merci !

Jack grimpa difficilement sur la roche, mais il ne voulais pas lui montrer que c’était trop dur, alors il fit un bel effort !

S : merci !

J : oh…c’était un jeu d’enfant !

S (souriant) : je n’en doute pas !

J (changeant de sujet) : à votre avis, elles vont revenir ces trois femmes ?

S : oui, je pense…il nous suffit d’attendre…

J : nous repartons à 18h je vous rappelle !

S : on verra bien !

Une voix qu’ils connaissaient les appela au loin

D : JAAAAACK……SAAAAAAM !!!!!!

J: ON ARRIVE ! (à Sam) le devoir nous appelle!

Ils arrivèrent au camp et reconnurent immédiatement les trois femmes.

Atropos : alors, avez vous réfléchit à ce que vous aviez dit ?

J : oui,… et je pense que ça ne doit effectivement pas être facile pour vous d’avoir un tel pouvoir sur la vie et sur la mort des gent…je m’excuse !

Lachésis : merci ! et… à propos de vos vies ??

D : je pense que nous n’avons pas bien saisit cette partie de votre requête.

Clotho : nous connaissons vos vies et vos attentes, nous voudrions savoir s’il en est de même pour vous…

J : si c’est ce que l’on attend…bien sur qu’on le sait !

Atropos : alors pourquoi tant de souffrance ?

J : personne ne soufre ici OK !

Clotho : vous soufrer au fond de vous même, et avancer est une chose qui vous fait peur !

J : j’ai pas peur de vous en attendant…

D : Jack s’il vous plais…

J : non Daniel, je ne ma laisserais pas manipuler pas des …pseudo déesses…

Lachésis : votre esprit est étroit, mais il est bon, ne vous êtes vous jamais dit qu’il pouvait être partagé ?

J : je comprend rien à tout ce charabias, et je ne vois pas pourquoi je partagerais quoi que ce soit !

D (aux femme) : excusez le, il a du mal à se contrôler parfois…

Lachésis : nous le savons.

D : il va être bientôt l’heure pour nous de rentrer, nous n’avons plus beaucoup de temps…

Clotho : alors vous passez tous, chacun votre tour, à un petit entretien avec nous.

D : pourquoi ça ?

Atropos : parce qu’il y a bien longtemps que nous n’avons vu personne, et que notre savoir peu vous être bénéfique.

D : c’est un honneur que vous nous faites.

J : moi ça me tente pas trop !

S : mon colonel, je pense que nous ne devrions pas refuser…

T : pour ma part, je ne crois plus aux dieux !

Clotho : nous le savons, et nous comprenons votre point de vue, nous ne vous demandons pas de nous croire, mais juste de regarder dans une direction afin de l’analyser pas vous même, pour que vous soyez enfin maître de vos destins !

D : je peu commencer ???

Lachésis : suivez nous !

Entretien de Daniel

Il était dans une grotte toute blanche, et il s’assit sur un trône en marbre creusé dans la pierre.

Atropos : vous êtes peut-être le plus malheureux des quatre !

D : pourquoi ça ?

Lachésis : votre femme…

D : oui, possible…

Lachésis : vous ne lui avez pas dit au revoir, et vous vous en voulez de l’avoir laisser partir

D : je…

Lachésis : vous avez une profonde douleur en vous Daniel

D : que puis-je faire ?

Clotho : nous ne savons pas nous même, mais votre avenir continu, et c’est à vous de le construire…pour vous même, et…pour l’enfant.

Atropos : je sait aussi que votre douleur remonte à la perte de votre parenté… vous vous posez des questions…

D : je ne les ait pas beaucoup connus…

Atropos : vous vous demandez s’ils on eu le temps de vous aimer ?

D : en effet, c’est une question qui m’est parfois venue à l’esprit…

Atropos : pensez vous que vos parent se soit mariés et vus ait conçu sans amour l’un pour l’autre et pour vous même ?

D (perplexe) : je ne sait pas…

Clotho : c’est à vous de continuer votre chemin, de garder le plus enrichissant du passé et de vivre le futur, votre vie est complète dans bien des domaines, mais c’est à vous de le réaliser

D : merci…j’y réfléchirais

Clotho (avec un tendre sourire) : nous la savons aussi…au revoir Daniel !

Entretient de Teal’c

T : je ne sait pas si c’est une bonne idée…

Atropos : vous avez une réticence pour tout ce qui relève de la croyance…

T : c’est exact madame

Atropos : croyez vous en l’amour ?

T : bien sur…

Clotho : vous êtes vous même marié… mais portant l’amour n’est pas quelque chose de démontrable , on ne peu pas le toucher, ni le…en fait , on ne peu que le ressentir !

T : l’amour n’a aucun rapport avec les croyances.

Clotho : c’est à vous de réfléchir à ceci.

Lachésis : vous aussi avez été confronté à la mort, et vous avez un regret… celui de ne pas avoir dit à votre père que vous l’aimiez… et que ceux qui vous gouvernaient étaient des faux dieu…

T : c’est exact, j’aurais aimé que mon père sache pourquoi je me bas désormais au côté de la Tauri !

Atropos : pensez vous qu’il aurait été fier de vous !

T : je l’espère madame

Clotho : c’est à vous de trouver ce que votre père voulais pour vous, ce qu’il voulais vous offrir… nous ne pouvons pas faire plus…

Teal’c était très ému d’entendre tout ça, il n’avait jamais réellement repensé à tout ça, et il avait un nouveau point de vue à exploiter, il ne savais pas combien de temps ça allais mettre, mais il contait bien résoudre un jour ce problème : accepter la mort de son père.

Entretien de Sam

Clotho : Sam, vous avez tout pour vous, nous nous posons juste une question

S : laquelle ?

Clotho : pourquoi refuser le bonheur ?

S : pardon ??

Atropos : nous savons que votre vie à été troublée par de nombreuses embûches, depuis votre plus jeune age…

S (le regard triste) : la mort de ma mère…

Atropos : c’est exact, mais vous avez ensuite pu accepter de partagé du bonheur que vous vous refusiez

Lachésis : la mort peut faire que deux personnes se rapproches

S : mon père… on…on s’est rapprocher depuis peu de temps…

Clotho : ce fut un réel effort pour vous… mais quand serez vous prête à en faire un deuxième ?

S : pardon ?

Clotho : l’amour au terme HOMME / FEMME et pas ENFANT / PARENT, c’est différent mais vous avez réussit à faire disparaître vos blessures, vous avez donné la mort par amour…

S : pour Martouf ??? non…ce n’était pas de l’amour…c’était une autre partie de moi…

Clotho : vous avez cicatrisé depuis, mais il y a quelqu’un d’autre…

S : qui ??

Clotho : vous le savez très bien… mais vous vous cachez… et vous ne voulez pas l’admettre

S : vous parlez de…

Clotho : de votre amis.

S : c’est compliqué…

Lachésis : la mort peu vous séparer sans avoir connu la vie.

Clotho : pensez vous vraiment que votre vie est pleinement satisfaite de la situation, ne regrettez vous rien ?

S : apparemment vous en savez plus que moi sur le sujet !

Atropos : nous connaissons tous les êtres vivants, et nous voulons vous aider

S : mais je vais très bien…

Clotho : je suis la Parque du mariage, et je sait que l’amour peu nous laisser des chance, votre parcours vous à mené à un but précis… c’est à vous de voir par la suite.

S : vous pensez que…

Lachésis : c’est à vous de pensez, nous nous contentons d’analyser !

S : merci… au revoir…

Sam venais de mettre sa vie sur un autre plan, pas seulement au jour le jour, avec l’armée, son travail…mais plutôt à long terme, et ce qu’elle voulais par dessus tout, c’était bien Jack

Entretien de jack

J : bon… j’espère que ça dure as trop longtemps car j’ai une porte à passer dans moins d’une heure !

Clotho : nous tacherons de dire l’essentiel…

J : merci !

Lachésis : pensez vous que la mort soit une punition

J : comment ça ???

Lachésis : vous vous punissez…

J (comprenant l’allusion) : je ne veux pas parler de ça !

Lachésis : votre fils vous manque, mais ne vous ne voulez pas admettre sa mort

J : et bien si figurez-vous, je sait qu’il est partit !

Clotho : alors pour quelle raison ne voulez vous pas continuer votre vie ?

J : et je fait quoi là à votre avis ????

Clotho : je parlais de votre bonheur…avec elle !

J : qui ça ELLE ??

Clotho : celle pour qui vous survivez !

J : je ne vois pas de quoi vous parlez !

Lachésis : pensez vous que l’on ai le droit à une seconde chance ?

J : bien sur !

Lachésis : alors pourquoi pas vous ?

J : c’est bon, je me tire !

Il se leva et pris la direction de la sortie, il ne voulais pas rester une minute de plus avec des gent qui arrivaient aussi bien à lire dans sa tête, il était trop fière pour ce laisser aller à de quelconques effusions sentimentales.

A l’extérieur, près de la porte des étoiles

D : alors Jack ?

J : on fout le camps !

D : vous n’avez pas été impoli tout de même…

J : j’ai fait ce que j’ai pu, mais vos trois copines ont le don de m’agacer !

S : mon colonel, il va être l’heure dans dix minutes.

T : je trouve que ces trois femmes disent ce qu’il faut !

J : vous trouvez vous ?

T : elles ont répondues à plusieurs de mes questions O’Neill !

S : mon colonel, regardez !

Les trois femmes étaient réapparues face à eux

J : vous revoilà vous !

Clotho : nous venons vous dire au revoir

D : on vous remercie pour tout, vous êtes ce qu’on dirait chez nous…de bon psy !

Atropos : c’est un honneur d’avoir pu vous aider

Les trois déesses s’approchèrent de Daniel et l’embrassèrent sur le front, puis ce fut au tour de Teal’c , puis de jack, et pour finir, avec Sam

Clotho : nous vous avons à tous laisser un cadeau, vous le découvrirez en temps et en heure !

J (cyniquement) : c’est trop d’honneur que vous nous faites !

D : merci à toutes, mais nous devons partir…

J : Carter ! enclenchez les symboles s’il vous plais !

S : oui mon colonel !

La porte s’activa, et SG1 (mis à part Jack) fit un signe d’au revoir aux trois Parques.

Sur Terre

H : ravi de vous voir SG1, passez à l’infirmerie, et briefing dans une heure !

J (peu motivé) : les réjouissances quoi !

Le passage à l’infirmerie ne dévoila rien de spécial.

Sam était déjà dans son laboratoire en attendant la Briefing, Daniel sortait ses livres de mythologie, Teal’c était en état de Kelnurim, et jack faisait le tour du SGC jusqu'à ce qu’il arrive devant le labo de Sam

S : mon colonel ?

J: major!

S: que désirez vous?

J : je faisait que passer…

S (suspicieuse) : avez vous quelque chose à me demander mon colonel ?

J : … en fait oui… je voulais savoir…que vous ont-elles dit ?

S : je suis désolé mais ça ne regarde que moi mon colonel !

J : moui… évidemment !

S : de votre côté, je présume que vous n’avez pas cru ce qu’elle vous ont raconté !

J : en effet, mais je reste perplexe sur certains points…. Bon ! il est temps d’aller à ce briefing !

S : je vous suit !

Salle de briefing

H : … bon, donc tout c’est bien passé, mais cette planète n’est pas habitable!

D : en effet, c’est un site déjà occupé par …les déesses !

H : je vous laisse le bénéfice du doute… ROMPEZ !

Quelques jours plus tard…

J : qu’y a-t-il Teal’c ??? vous n’avez pas l’air bien !!!

T : j’ai fait un rêve étrange…

J : et … c’était quoi ??

T : je disait au revoir à mon père, et il me prenait dans c’est bras !

Jack pris un air sérieux pour parler avec son amis, jamais il ne l’avais vu aussi abattu.

J : et… ?

T : je pense qu’il y a un rapport avec les déesses que nous avons rencontrés il y a 8 jours…

J : vous en êtes sur ?

T : c’est très probable O’Neill, c’était mon souhaits le plus cher !

J : dans ce cas tant mieux pour vous,…si ça peu vous aider…

Jack n’y croyais pas trop, mais en même temps cette idée lui plaisait, il aurait peu être le droit à quelque chose lui aussi !

Trois jours plus tard , salle de briefing

H : docteur Jackson ! nous avons reçu un message très étrange aujourd’hui, c’est pour cela que je vous ai réuni !

D : qu’est ce que c’est ?

H : aucune idée, il n’y a que vous qui puissiez traduire !

Hammond lui tendis un objet sphérique

D : c’est une écriture cunéiforme… c’est…Harsyésis !!!!!

J : quoi… ce truc c’est Harsyésis ????

D : non,…. C’est comme…un message de lui !

S : ce n’est pas possible !

D : je le croyais aussi !

T : comment ce fait-il alors que cet objet soit ici Daniel Jackson ?

D : je n’en ai pas la moindre idée… mais à vrai dire, je dois avouer que c’est ce que j’attendait !

H : expliquez vous ???

D : voilà presque un ans que j’espère avoir des nouvelles de lui, c’est certainement cette femme qui s’en occupe qui m’a fait parvenir ça !

S : qu’y a-t-il d’écris ?

D : il y a écris que tout va bien… et il site mon nom !

J : comment ça se fait !

Daniel ferma les yeux et s’adossa au siège

D : c’est peut être grâce aux trois parques ! souvenez vous ! elle nous avaient laisser un cadeau à tous !

J : c’est ridicule…

T : pas tan que cela…rappelez vous O’Neill, de mon rêve ! c’est également ce que j’espérait depuis longtemps !

J : bon… et il est ou mon cadeau à moi !!!!!!!

D : jack !

J : mais c’est vrai quoi !! et vous Carter ?? vous n’avez pas eu de petit cadeau ???

S : non mon colonel…

J : bon, ben voilà, c’est le fruit du hasard !

D : vous ne m’enlèverez pas de la tête que ce sont les déesses qui en sont la cause !

J : comme vous voulez…mais on verra bien !

Quelques semaines plus tard… sur une autre planète

J : Carter ! il faut partir d’ici MAINTENANT !

T : O’Neill, des soldat arrivent de l’autre côté aussi !

J : et merde ! bon… on évacue tout de suite !

D : Sam est touchée à la jambe !

J : je vais la chercher, vous vous rentrez !

Jack était partit derrière le bosquet ou se trouvait Sam, et la pris dans ces bras.

S : partez mon colonel, je vais vous ralentir !

J : hors de question ! et vous n’avez pas d’ordres à me donner que je sache !

Il arrivèrent devant la porte ou l’attendait Teal’c qui jetait un dernier coup d’œil derrière eux, puis ils passèrent tous la porte.

Sur terre

J : une équipe médicale ! vite !

S : ça va aller mon colonel….

J : vous pissez le sang Carter ! alors ne me dites pas que ça va aller !

Sam fut installée sur un brancard et conduite à l’infirmerie ou Janet l’opéra.

Le lendemain, tous les membres de SG1 se présentèrent à son chevet pour voir comment elle allais, mais elle avait une tête blanche et les yeux rouges

J : Carter ???? tout va bien ???

S (faiblement) : oui mon colonel !

D : Sam…vous êtes sure…vous pouvez nous parlez …nous sommes vos amis !

S : merci Daniel, de toute façon il faudra bien que je vous le dise un jour ou l’autre alors pourquoi pas maintenant…

T : nous vous écoutons major Carter, prenez votre temps…

S (prenant une grande respiration) : … en fait, Janet viens de m’apprendre que…

J : que quoi ??

D : Jack !!!

S : que… j’étais enceinte !

Personne n’osa parler

S : je viens de l’apprendre, et je ne sait pas comment c’est possible…

D : ben…la méthode traditionnelle veux que…

S : je sait Daniel, mais je suis enceinte de trois semaines…je vous dis que ce n’est pas possible !

T : comment pouvons nous l’expliquer Major Carter ?

S : justement je n’en sait rien ! je doit avouer que je suis contente d’attendre un enfant…mais je ne sait même pas qui est le père…ni même comment j’ai fait !!!!

D : il y a de quoi être perplexe…

Jack n’avais pas dit un mot, il était un peu désorienté, même pas une petite blague ne venait à son esprits.

D (essayant à tout hasard) : vous dites que ça fait à peu près trois semaines…. Ça correspond grosso modo à la période des trois parques…

S : ça n’a aucun rapport avec ce dont j’ai pu parler avec elles… j’y avais penser aussi !

D : mais vous venez de dire que vous étiez contente de porter un enfant… peut être que ça vient de là n’oubliez pas que Clotho représente la naissance… !!!

S : je ne sait pas Daniel…je doit avouer que je suis perdue.

J : on va vous laissez vous reposer !

S : merci mon colonel…

Les trois hommes sortirent et au même moment, Janet entra

Janet : alors Sam ?? vous arrivez a encaisser la nouvelle ??

S : je viens de l’annoncer aux autres…

Janet : commet-on-t-ils réagis ??

S : ils ne comprennent pas non plus…

Janet : qu’a dit le colonel ?

S : rien… pourquoi ??

Janet : écoutez Sam, je viens d’avoir vos résultats de vos tests, et selon eux, c’est …jack le père de l’enfant !

S : …. Comment… ????…. ce n’est pas possible ??!!!!!!

Janet : j’ai refait les tests moi même, trois fois, et c’est toujours les mêmes résultats…

S : je vous dis que ce n’est pas possible !!!!!!

Janet : je ne comprend pas moi même…

S : il vaut mieux ne rien dire…. On garde ça pour nous ,…je ne veux pas qu’il le sache !

Janet : je ne pense pas que ce soit la solution…il a le droit de savoir…

S : c’est moi qui porte l’enfant… et pour l’instant je ne vois pas l’intérêt de lui dire…

Janet : très bien, mais nous devrons le lui dire un jour ou l’autre…

S : laissez moi le temps…

Sam repris ses activités normales quelques temps plus tard, jack était très prévenant avec elle, et faisait attention à ce qu’elle ne se fatigue pas, il allait l’aider dans son labo, il prenais tous ses repas avec elle et les autre. Il faisait attention à elle avec une grande délicatesse, et il la faisait toujours autant rire pour la faire penser à autre chose. Il savais qu’elle ne mentait pas en disant qu’elle ne savait pas de qui était le bébé, mais il ne voulais pas la faire souffrir en la repoussant.

Daniel, lui, essayait toujours de convaincre Sam qu’il y avait un rapport avec les trois parques, mais sans aucun résultat ! Teal’c regardait la télé, il avait des cassettes vidéo médicales qui expliques la venue d’un bébé, car il faut dire que la biologie humaine n’était pas vraiment l’enseignement des jaffas, il voulais savoir ce qui arrivait réellement à son amie bien qu’il ait déjà vue des femmes enceintes !

Salle de briefing

D: mais pourquoi????

J : parce qu’on a pas le temps ! et parce que ça ne mènerais à rien !!!!

D : qu’est ce que vous en savez vous ??? vous êtes archéologue ????

J : pas besoin d’être archéologue pour savoir que ce n’est pas la solution !

H : messieurs s’il vous plais calmez vous !

D : je dis qu’il faut retourner là bas !

H : je pense qu’il faudrait demander l’avis de la personne concernée !

S : merci mon colonel…mais à vrai dire je ne sait pas… j’ai envi de connaître la vérité mais je ne sait pas si nous devons retourner là bas…

D : le fait que vous soyez enceinte miraculeusement relève pour moi d’une technologie aliène.

S : c’est ce que je pense également.

H : bon, c’est moi qui vous l’ordonne ! vous passerez la porte dans une demie heure !

J : mais mon général…

H : c’est un ordre colonel, je veux en finir avec cette histoire au plus vite ! et ça ne vous tuera pas d’aller là bas !

Jack savait que la réponse se trouvait sûrement là bas, mais il n’avouera jamais qu’il a eu peur d’y découvrir quelque chose qui le contrarie, en plus, ces trois femmes auraient découvert son sentiment face à la venue du bébé, et ça, il n’en avait pas besoin !

Sam savais qui était le père biologique d’après les résultat de Janet, et elle craignait que les parques ne le dévoile, c’est pour cela qu’elle se montrait moitié réticente à cette idée, mais en même temps, ça permettrait de régler la situation !

Passerelle d’embarquement

H : c’est partit SG1, et essayer de tirer cette histoire au clair !

J : on va essayer général !

Ils passèrent la porte

J :… bon….on les appelle comment ? on passe un coup de fil ?

Une voix : nous sommes ici !

D : ha ! nous vous cherchions !

Atropos : nous le savons.

D : alors pouvez vous nous aider ?

Lachésis : je ne pense pas, car la première partie n’est pas de notre ressort !

J : je vous l’avais dit Daniel que ça ne servait à rien !!!

S : pas tant que ça mon colonel…

Sam regardait Clotho droit dans les yeux, en effet, il y a quelque chose qu’elle n’avait pas prévu, c’était que les déesses savais que Sam connaissaient l’identité du père.

J : comment ça ???

S : en fait, je … je sait qui est le père, mais je ne sait pas comment c’est possible…

J : QUOI ???? vous le saviez depuis le début ???

S : oui…c’est Janet qui me l’a dit…

J : alors… vous allez nous faire l’honneur de nous le dire ou c’est nous qui devinons ???

S : c’est…

J : OUI….

S : c’est vous mon colonel…

D : QUOI ?????????

J : PARDON ????

S : vous m’avez très bien comprise… les tests de Janet le confirme…

J : mais….c’est pas possible…

S : c’est ce que je pense aussi figurez vous !

J : je pense que je m’en souviendrais si….

S : vous n’êtes pas le seul !

Clotho : c’est pour vous !

J : pardon ???

Clotho : c’est notre cadeau…

Atropos : c’est ce que vous vouliez tous les deux.

D (se retenant de rire) : jack, vous vouliez mettre Sam en cloque ??

J : DANIEL !!!

Atropos : cet enfant vous uni de la façon dont vous le désiriez, (à jack) vous, vous aviez du mal à accepter la mort de votre fils, c’est une seconde chance qui s’offre à vous.

S : attendez, on aurait quand même notre mot à dire tout de même !

Clotho : vous vouliez donner la vie, et vous aimer cet homme, alors j’ai fait une combinaison des deux.

J (à Sam) : vous m’aimez ??

S : mais non…

J : mais si ! elles le disent !

S : depuis quand vous les écoutez ?

J : je…

Lachésis : mais vous aussi !

S : QUOI ???

J : mais…

D : félicitation à tous les deux !!!

S & J : DANIEL !!!!

D: c’est bon, je disait ça comme ça !

T : il est l’heure de rentrer sur Terre colonel O’Neill !

J : ouais je sait ! on va partir, mais j’ai encore un mot à dire à ces…

Les trois divinités disparurent

D : apparemment elle ont compris que vous alliez les insulter !

J : je ne voit pas pourquoi vous dites ça !

Sam s’était dirigée vers la porte sans que personne ne s’en aperçoive.

D : ou est Sam ???

J : aucune idée !

T : elle est la bas O’Neill !

D : elle n’a pas l’air bien…vous devriez aller lui parler jack

J : vous croyez vraiment qu’elle ait envi de me voir après ce qui vient de ce passer ???

T : c’est à vous deux de régler ce problème O’Neill !

J : bon…j’y vais…

Sam s’était assise sur des blocs de pierre, jack arriva près d’elle.

S : mon colonel ?

J: je pense que conte tenu des évènements, ...je veux dire le fait que nous ayons fait un bébé par je ne sait quel miracle divin, vous pouvez m’appeler Jack maintenant!

S : que voulez vous ?

J : apparemment il faudrait qu’on s’explique…

S : je ne vois pas ce qu’il y a à expliquer Jack !

J : ben…pour la suite des évènements…

S : non ! il n’y a pas de suite, vous ne pouvez pas parler de suite !

J : et pour cet enfant ???

S : vous vous sentez responsable…ce n’est pas de ça qu’un enfant à besoin !

J : et pour nous ??

S : c’est pareil… c’est la présence de votre enfant dans mon ventre qui vous oblige à venir me parler…

J : non, c’est ridicule !

S : pas tant que ça… vous n’êtes pas responsable de tout ça…je ne vous demande rien… vous n’avez pas à assumer !

J : et si j’avais envi d’assumer ?

S : vous n’êtes pas sérieux !

J : je n’est jamais été aussi sérieux !

Elle le regarde droit dans les yeux pour savoir s’il ment ou pas, car elle connaît chacune des expression de son visage, et il était on ne peu plus sérieux.

S : je serait un boulet…

J : non, bien sur que non, tu seras SAM, la femme que j’aime depuis déjà longtemps, et la mère de mon fils…

S : ta fille !

J : c’est une fille ??

S : pourquoi pas !

J : c’est vrai qu’une petite Sam se serais le paradis !

S : un petit jack c’est pas de tout repos !

Tout en discutant Sam commençait à sourire, et jack la regardait toujours

J : il n’y a qu’une chose que je regrette

S : quoi ?

J : c’est de ne pas t’avoir montré avant à quel point je t’aime, et on aurais conçu cet enfant par nos même…

S (en plaisantant) : oui, et ça aurait mis encore quatre ans !

J : si tu commence à faire des blagues douteuses, c’est que c’est un petit garçon qui se cache là dedans !

Sam lui pris le visage dans sa main

S : je t’aime

J : moi aussi…

S : je crois que je vais vomir…

J : c’est l’émotion ???

S : non, c’est le bébé !

J : ah …moi qui croyais te faire de l’effet

S : idiot

Elle l’embrassa passionnément, et ils se laissèrent aller à leur instinct, devenant de plus en plus proche l’un de l’autre, oubliant tous les soucis et tous ce qui les empêchait d’être ensemble.

Non loin de là…

D : ils sont mignons tout plein…

T : ce n’est pas trop tôt Daniel Jackson !

D : à qui le dites vous !

T : pensez vous que l’enfant sera heureux ?

D : je n’en doute pas… mais à vrai dire, ce n’est pas ça que je redoute…

T : qu’est ce donc ?

D : c’est le fait d’avoir un nouveau O’Neill parmis nous à la base !

T (esquissant un sourire) : je vous comprend Daniel Jackson !

Fin !