Les liens du sang
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
résumé : Jack apprend un fait important dans le vie de sa mère qui remet beaucoup de chose en cause
genre : romance, et j’espère un peu drôle quand même !!!!
disclaimer : bla bla bla
note de l’auteur : ben... un petit commentaire ça fait pas de mal… enfin c’est comme vus voulez après, mais bon…
ha ouais ! j’espère que y a pas d’autre fic qui s’appelle comme ça…le titre est plutôt vague donc ça pourrait être le cas, si c’est le cas, je m’excuse auprès de l’auteur qui avait utiliser ce titre avant… biz
les liens du sang
SG1 était revenu de mission depuis presque deux heures, le debriefing s’étant bien passé, ils vaguèrent tous à leurs occupations respectives lorsque le voix du micro se fit entendre
Micro : le colonel O’Neill est attendu dans le bureau du général Hammond, je répète, le colonel O’Neill est attendu dans le bureau du général Hammond
Dans les couloirs on pu entendre un cris qui ressemblait à : HAAAAAAAAAAA !!!!!
Il se rendit alors à destination
Toc … toc…
H : entrez colonel !
Jack se mis au garde à vous
H : repos
J : que me voulez vous général ?
H : c’est à propos de votre mère colonel.
J : elle va bien ???? que ce passe-t-il ????
H : elle va très bien, ne vous en faites pas
J : ouf… mais depuis quand vous vous interressez à ma mère ?
H : depuis que j’ai découvert qu’elle faisait partie des premières à avoir entendu parler de la porte des étoiles colonel
J : ma mère n’a aucun rapport avec la porte !
H : apparemment c’était une amie de Catherine lors des premiers essais, elle a travailler dans cette base pendant 3 ans avant votre naissance
J : whoua… ça fait un bout de temps !
H : colonel comprenez vous ce que je suis en train de vous dire ?
J : ben… je pense que vous faites erreur général, ma mère était infirmière toute sa vie avant de prendre sa retraite
H : elle fut aussi infirmière dans ce complexe
J : c’est pas vrai ??? n’est ce pas ? c’est une blague ?
H : et bien non !
J : elle ne m’en aurait même pas parler !
H : vous ne lui en parlez pas non plus…enfin j’espère pour vous car ce projet est tout de même très secret.
J : ça alors….
H : … j’aimerais que votre mère viennent quelques jours à la base colonel
J : pas question !
H : mais elle doit en savoir beaucoup sur les conditions de travail de l’époque, elle doit avoir des choses à dire
J : ma mère à 70 ans général !
H : et moi 60 colonel ! et alors ? elle est encore en forme d’après ses tests médicaux !
J : comment les avez vous eu ?
H : j’ai demander une enquête il y a deux semaines après avoir découvert cette information
J : je n’y crois pas…
H : j’aimerais que ce soit vous qui lui en parliez.
J : moi ?
H : vous êtes son fil.
J : justement ! elle a le droit de me gifler si elle le veux ! vous ne la connaissez pas général, elle est comme toutes les personnes de son age, elle commence à délirer parfois et je ne pense pas qu’elle devrait venir ici… le manque de soleil est cruel à cet age ! et c’est mauvais pour son dos !!!
H : colonel, je vous laisse deux jours, sinon je la fait venir ici quand même, elle peut nous être précieuse pour le projet
J : mais…
H : c’est comme ça colonel, ... deux jours !
J : bien mon général !
H : rompez !
J : mais mon général je vous en pris ne me faites pas ça !!!!!
H (avec un sourire amusé) : désolé colonel… vraiment désolé…
Jack sortit du bureau, il n’en revenait pas, sa mère…sa maman… avait fait partit du projet à l’époque… et elle ne lui avait rien dit !!
Il se dirigea vers la salle d’entraînement pour quelques heures avant de partir faire son sac et de ce diriger vers l’ascenseur
D : ha jack ! … ou vous allez ?
J : ….
D : oh oh ??? Jack ??
J : je vous avait entendu Danny!
D : alors ? ou vous allez ?
J : je vais chercher ma mère !
D : quoi ?
J : il se trouve que ma sainte mère était sur ce projet du diable quand elle était jeune !! et devinez quoi ?
D : quoi ?
J : c’était une amie de Catherine !
D : Ha !
J : c’est tout ?? " ha " ! c’est ma mère Daniel !!!!
D : et alors… je reconnais que ça fait un choc, mais c’est plutôt sympas ! vous au moins vous pouvez partager ça avec un membre de votre famille…
J : mouais… ben je m’en serait bien passer !
D : pourquoi ?
J : vous ne connaissez pas MA mère Daniel !
Puis il s’engouffra dans l’ascenseur qui se referma
Daniel s’empressa de raconter cette affaire à Sam et à Teal’c qui allèrent voir le général et qui les mis au courant du retour de Jack d’ici deux jours, le temps qu’il explique tout à sa mère
********
Etat de l’Ohio, le lendemain
toc…toc…
? : Qui c’est ??? faites gaffe ! je suis armée !
J : c’est moi maman !
Mère : qui ça toi ?
J : tu as combien de fils au nom du ciel ?
M : un seul, et ça fait 5 ans que je ne l’ai pas vu !
J : et ben je suis là alors ouvre cette porte ou je la défonce !
Il entendis le petit loquet se mettre en place, laissant la chaîne de sécurité, elle ouvrit et regarda Jack
M : c’est vraiment toi mon fils ?
J : oui maman c’est moi !
M (ouvrant la porte) : j’ai cru à une mauvaise farce…excuse moi
J : pas grave !
Elle pris Jack dans ces bras
M : alors que viens tu faire ici ?
J : je viens parler un peu avec toi…
M ; tu va te remarier ?
J : …non !
M : tu as rencontrer quelqu’un ?
J : non plus…
M : alors pourquoi tu viens me déranger ?
J : si tu veux que je m’en aille je peut le faire !
M : mais non ! maintenant que tu es là et ben reste !
J : trop aimable à toi
M : mais tu ne viens pas assez voir ta vielle mère, alors ne t’étonne pas que je devienne un peu sénile avec le temps !
J : c’est de ma faute c’est ça ?
M : en partie… ta sœur est l’autre responsable, ce n’est pas agréable de vieillir seule tu sais !
Ils étaient maintenant dans la maison
M : alors que deviens tu ?
J : je travail beaucoup…
M : et tu fait quoi ?
J : ben… justement, je suis venu t’en parler…
M : rien d’illégal au moins ? je ne veux pas que mon fil aille en prison !
J : ne t’en fait pas pour ça…
M : alors raconte moi !
J : je travaille dans un endroit que tu connais bien… mais je l’ai découvert hier
M : …ou ça ? à l’hôpital de l’espérance ?
J : non, avant que tu ne travail là bas.
M : je ne travaillait pas avant cet hôpital
J : j’ai su de source sur que ça remonte à avant ma naissance
M : ça fait un moment dis moi… tu n’es pas tout jeune !
Jack voyait bien que sa mère ne voulais pas tout dire, elle commençait même à se lever difficilement de son fauteuil pour aller dans la cuisine
J : maman, attend ! tu sais très bien de quoi je parle !
M : non !
J : si !
M : non !
J : moi je te dit que si !
M : et comment saurais tu cela ?
J : j’y travaille
M : …
J : je sais que tu étais l’infirmière qui s’occupait de la base, faute de médecin à l’époque
M : … on a tout arrêter du jour au lendemain…
La mère de jack regardait dans le vide en se rappeler ses vieux souvenirs
M : cet homme est mort… Catherine en a été très affectée jack…
J : on a retrouver cet homme, après toutes ces année, et il vit avec Catherine maintenant
M : c’est vrai ?
J : oui
M : mais…comment ?
J : on t’expliquera tout sur place
M : comment ça ?
J : il faut que tu vienne avec moi
M : faire quoi ?
J : a ton avis ?
M : rencontrer une nouvelle fiancé ?
J : maman !
M : quoi ? j’ai le droit d’espérer que mon fil ne finira pas comme moi !
J : et bien évite ce genre de remarque à l’avenir !
M : et pourquoi je retournerais là bas…j’ai ma vie ici !
J : je te dis pas d’y vivre ! ils veulent juste te parler, ça devrai prendre une semaine tout au plus
M : mais je vais louper les feux de l’amour !
J : on a la télé là bas, on est civiliser !
M : oh mon chéris… tu les regardera avec moi ?????
Elle disait ça en suppliant
J : maman je travail là bas…
M : mon œil !
J : je te jure que c’est vrai !
M : mais sais tu que maintenant Victor à encore divorcé !
J : il fait ça chaque année, je regarderait l’année prochaine ! bon on y va ?
M : hey !! arrête de brusquer ta vielle mère s’il te plais !
J : excuse moi… je vais préparer tes sacs
M : n’oublis pas mes médicaments, et mes bas à varice surtout !
J : … mais oui maman…
Après tous les préparatifs pour le départ, ils fermèrent la petite maison et commencèrent leur route
**********
le lendemain, au SGC
le reste de SG1 était en salle de briefing et attendaient l’arrivée de jack et de sa mère
D : je suis sure que c’est une femme adorable !
H : je n’en doute pas moi même, mais si elle est comme sont fils…
D : c’est la fin des goa’uld !
T : pardon ?
D : c’est une nouvelle expression … comme… c’est la fin des haricots !
T : ha…
S : mon général ils devraient être arrivés depuis presque une demie heure…
H : le colonel est tout le temps en retard, et sa mère à 70 ans alors laissez lui e temps d’arriver
Dans les couloirs on pouvaient entendre des cris
M : mais arrête de me traiter comme un bébé !
J : je ne te traite pas comme un bébé
M : je peut marcher toute seule, je n’ai pas besoin de ton aide !
J : un conseil maman, si tu ne veux pas te faire perforer avec de tas de piqûres à cause d’une mauvaise chute, et ben laisse moi t’aider à marcher.
M : des piqûres tu dis ?
J : oui, et des grosses !
M : mon chéri tu sais que ça tien de ton père ça ! moi je suis infirmière donc tu me fera pas peur avec ça !
J : ok…calme toi… on va arriver et je veux que tu te calme !
M : tu n’as pas d’ordres à me donner, je suis encore ta mère non ? et j’ai connu cette base avant toi !
J : oui mais moi plus longtemps que toi !
Ils arrivèrent à l’angle qui les séparait du couloir de la salle de briefing, et Jack vit toutes les têtes tournées vers eux en souriant
Daniel arriva à leur encontre
D : bonjour madame, je suis un ami de votre fil, comment allez vous ?
M : bonjour mon petit, vous êtes bien aimable vous au moins…pas comme mon fil que j’ai mis 25 ans à l’élever !!!!
D : oh ! quel ingrat ! … puis-je vous conduire en salle de briefing ?
M : merci bien mon petit, il ne vaux mieux pas que je tombe à mon age !
Daniel s’en alla en lançant un regard et un sourire satisfait à jack qui restait les mains dans les poches à les regarder !
H : colonel ? on a un briefing si vous vous rappeler ?
Jack entra à son tour dans la salle, la mère de Daniel était contre la fenêtre et regardait le stargate
M : il n’a pas pris une ride !
J : bien sur que non maman, c’est du naquada !
M : ne me dit pas que tu sais ce que c’est je ne te croirais pas !
J : moi non, mais elle oui !
S : c’est un métal qui permet de produire de l’énergie et ainsi nous aide dans la construction de certains moment ou réacteurs…
M : taratata ma jolie, je ne comprend pas un mot de ce que vous me dite là !
La mère de jack lui sourie néanmoins, et elle lui répondis, elle put tout de suite voir la ressemblance frappante entre les deux individus
H : bonjour madame O’Neill !
M : appelez moi Anita, ça me rajeunira un peut, et c’est valable pour vous tous… à part toi mon fils !
J : …bien maman…
H : alors bonjour Anita, je suis le général Hammond, commandant de cette base militaire
A : bonjour à vous… comment faites vous pour supporter mon fils monsieur ?
J : maman !
A : quoi ?? j’ai pas le droit de faire attention à toi ?
H : votre fils est un bon soldat… voici je docteur Jackson
D : bonjour madame
A : ANITA, mais vous êtes un ange alors je vous pardonne mon cher
D : appelez moi Daniel…
A : quel gentleman !
Jack se passait les mains sur le front pour savoir s’il ne rêvait pas ! mais non ! Daniel essayait bien de se mettre sa mère dans sa poche pour l’avoir de son coté, et c’était fichu pour lui maintenant
H : voici le major samantha carter
S : bonjour
A : bonjour ma jolie
Sam ne put s’empêcher un joli sourire
A (à jack) : tu as vu son beau sourire ?
D : il ne voit que ç…
Il reçu un coup sous la table de la part de … je sais pas qui ??? un des deux en tout cas… je dirait même les deux !
H : et voici Teal’c
T : bonjour à vous
A : bonjour à vous aussi… vous êtes costaux de nature ou c’est de l’entraînement ?… non, moi je vous dit ça parce que quand Jack était petit on a essayer de le mettre à la musculation et il n’a jamais voulut, et voilà le résultat !
Elle montrait jack de la main
Daniel Sam et le général n’en pouvaient plus, ils explosèrent littéralement de rire
J : hey !!!!
H : pardon colonel…. Rmmm Rmmm... Anita, nous sommes ici car vous avez travailler sur ce projet il y a longtemps maintenant, et nous voulions savoir ce qui ce passait ici à l’époque
A : je n’étais qu ‘infirmière
H : mais à notre connaissance vous étiez l’amie de Catherine
A : oui, c’était une grande amie, elle était fiancée à cet homme, mais il a disparut… elle était abattue, mais John m’a dit que vous l’aviez retrouver alors tout va bien
D : john ?
A : Jonathan…mon fils...
D : ha… parce que pour nous c’est jack !
A : il en a toujours fait qu’a sa tête ! on lui donne un prénom et il est pas content !
J : je pense que ce n’est pas le moment….
A : tu as raison mon chéris, mais tu n’y échappera pas… alors, qu’est devenue Catherine ?
D : elle est actuellement en voyage en Europe avec son mari
A : tan mieux, elle mérite ce bonheur
H : en fait Anita, nous aimerions que vous restiez une semaine à la base pour nous dire en gros ce qui a changer, ce qui est pareil qu’avant.
A : je pense en être capable
H : parfait, mais ne vous fatiguez pas trop
D : je pourrais vous aider sur mon temps libre si vous voulez ?
J : RRRRRR
A : avec plaisir jeune homme
H : parfait, donc nous allons vous faire visiter la base si vous voulez bien
A : comme vous voulez, mais j’ai les feux de l’amour à 14 H alors… et jack m’a promis de regarder avec moi, en plus c’est épisode ou victoria dis la vérité à son mari…
Pour jack, cette semaine s’annonçait comme un… cauchemar
Mais la sirène retentit à ce moment, étant proche de la salle de contrôle, Sam Daniel et la général partirent, laissant Jack sa mère et Teal’c en salle de briefing
J : tu veux voir la porte fonctionner maman ?
A : elle marche ?
T : venez voir madame
A : je vous ait dit que je m’appelait Anita !
J : il n’y arrivera pas c’est un Jaffa !
Ils se dirigèrent vers la fenêtre et Anita avait les yeux grand ouvert lorsque l’iris s’ouvrit, laissant apparaître la masse bleu, et une personne en sortit
J : ha ! on dirait qu’on va avoir une semaine bien remplie !
T : je ne pense pas O’Neill, si la Tok’ra voulais nous faire part d’un combat ils seraient venus à deux
A : c’est quoi ? c’est qui ? comment ?
J : tu demanderas ça à Daniel… cet homme est le père du major carter
A : ha…
Ils virent Sam aller en salle d’embarquement et saluer son père, puis ils montèrent dans da salle de briefing
J : c’est une réunion de parent d’élève ou quoi ?
Jacob : pardon ?
J : bonjour général, je vous présente ma mère
Jacob : bonjour madame…
J : il se trouve que ma mère à travailler sur le projet il y a longtemps
H : prenez place mesdames et messieurs
Jacob : pas la peine, je vient à titre personnel, je passe deux jours ici si vous voulez bien de moi
S : c’est vrai ?
Jacob : oui, je revient de mission et je me suis dit que ça faisait un moment que je ne t’avait pas vu
H : accordé Jacob ! tout le monde peut aller faire ce qu’il a à faire désormais, rompez
J et S : a vos ordre mon général
A : comme il est beau mon fils quand il fait ça !!!!
Jacob : et ma fille ?
J : MAMAN !
S : PAPA !
*******
après avoir visiter la base, Anita alla se coucher dans les cartiers qui lui furent attribuer pour la semaine de son coté, Jacob parlait avec Sam dans la labo de ses dernières missions, jack était en train de tenter de se saouler pour oublier l’humiliation que sa mère lui faisait subir quand Daniel vint le perturber
D : coucou
J : sortez d’ici !
D : ben quoi ? j’ai pas le droit de vous embêter maintenant ?
J : mère s’en charge assez bien comme ça !
D : ohhh arrêtez, elle est pas si méchante ! je la trouve même adorable
J : oui, avec vous !
D : c’est le problème de toutes les mères, au moins la votre elle est vivante !
J : désolé Daniel
D : y a pas de mal
J : je sais que je doit m’estimer heureux de l’avoir encore avec moi…mais elle m’en veux parce que depuis 5 ans je ne l’ai pas vue, même pas pour noël et elle n’a pas apprécier
D : il faut faire des efforts parfois
J : comment voulez vous que je lui dise qu’a cette période de l’année je me fait généralement torturé par deux ou trois serpents !
D : en effet…. Mais maintenant elle sait tout, en fait, elle l’a toujours su !
J : et ça ne me plais pas du tout ! c’est bien de trop dangereux pour elle
D : elle est grande Jack
J : mais… mais c’est ma maman !
Daniel lui sourit avant de faire un signe en partant
D : courage !
J : y m’en faudra
********
le lendemain après midi
tout le monde ce faisait petit à petit à la mère de jack, c’est Daniel qui avait passé la matinée avec elle, et ce n’était pas pour déplaire à cette vielle dame. Le père de Sam l’avait un peu aider dans son réacteur à naquada (enfin surtout selmac). Le général Hammond leurs avaient donnés du temps libre pour la semaine, mis à part une mission qui était prévue pour le lendemain sur une planète inhabitée pour ne pas que jack devienne fou.
Anita se baladait maintenant seule dans la base à la recherche de quelqu’un qu’elle connaissait pour parler et passer le temps, elle se retrouva devant une porte entrouverte et vit Sam travailler à l’intérieur
A : rmm rmmm
S : mon colonel ?
A : raté !
S (levant enfin la tête): oh excusez moi je vous ait pris pour le colonel
A : j’ai l’habitude…47 ans que ça dure vous savez !
S : excusez moi encore
Anita s’approchait du bureau
S : je peut faire quelque chose pour vous ?
A : je passais juste quand je vous ait aperçue, vous êtes une des rares femmes de la base il me semble ?
S : nous sommes 25 sur 164 membres du personnel
A : oui, je sais ce que c’est… et vous vivez comment ici au juste ? Mon fil ne m’a rien dit.
S : et bien… nous passons la plupart de notre temps ici ou en mission, mais nous avons des permissions de temps en temps
A : pas assez à mon gout !
S : en fait tout dépend de si on veux prendre des vacances ou pas.
A : dans ce cas il a encore moins d’excuse, je le connais, et il ne raterait pas une occasion de prendre du bon temps avec ces foutus poissons !
Sam sourit en regardant cette femme qui s’exprimait à peut près pareil que son fils
A : qu’est ce qui vous fait rire ma belle ?
S : rien du tout Anita
A : je ne vous crois pas mon enfant !
S : c’est juste que…ça se voit que vous êtes sa mère…
A : je ne suis pas si vieille ! je l’ai eu très jeune c’est pas pareil
S : je parlais de votre comportement
A : ha… ben ça on y peut rien… mais on me l’a souvent fait remarquer
S : c’est relativement frappant
A : dites moi une chose… est ce que mon fils voit quelqu’un en ce moments ?
S (gênée) : comment ça ?
A : vous savez… il se fait vieux et je me demandait si il voyait une femme de temps en temps, je vais sur mes 71 ans et j’aimerais bien ne plus avoir à m’en faire pour lui !
S : c’est impossible que vous ne vous en fassiez plus pour lui, vous êtes sa mère
A : je sais, mais je voudrais être sure qu’il ait une situation… alors ?
S : et bien…je n’en sais rien, c’est avec lui que vous devriez en parler
Sam se sentait affreusement gênée et se remis à manipuler ses expériences maladroitement
A : personne ?? même pas une petite étincelle avec quelqu’un ?
S : je ne sais pas… je ne suis pas votre fils
A : mais ça fait 5 ans que vous travaillez ensemble et vous ne savez pas ?
S : désolé
A : je vais mener mon enquête alors !
S : heu…vous savez il est assez grand je pense pour se débrouillez seul…
A : un petit conseil ma belle : ne dire jamais ça à une mère, son enfant restera toujours son enfant même s’il a dépassé la centaine !
Sur ce elle sortit du labo de Sam, elle commençait à avoir des soupçons sur Sam depuis la vielle, mais il fallait qu’elle en ait le cœur net
A : ha ! Daniel
D : bonjours Anita… comment allez vous ?
A : assez mal en fait ! je peut vous parler un instant ?
D : oui... c’est à propos de Jack ?
A : oui.
Ils entrèrent dans un bureau vide
D : je vous écoute
A : je voudrais savoir… lui et son major…
D : HA !
A : quoi HA ?
D : rien, juste HA !
A : il n’y a pas de juste HA ici !
D : j’ai le droit de dire HA !
A : non !
D : si !
A : je vous l’interdis !
D : je ne suis pas milit…
Daniel arrêta la conversation
D : ça me rappelle trop quelqu’un mais je n’arrive pas à mettre la main dessus…
A : alors ?
D : alors vous avez raison, mais c’est interdis alors…
A : comment ça ?
D : il y a le règlement militaire qui les empêchent d’avoir un quelconque rapprochement
A : mais c’est ridicule !
D : bien sur que c’est ridicule, surtout que tout le monde sait ici que votre fils et Sam sont attirés l’un par l’autre depuis longtemps
A : alors si ce n’est un secret pour personne ou est le problème ?
D : et ben ils se trouve qu’en plus de ça ils sont tous les deux plus peureux l’un que l’autre, et qu’ils n’osent pas s’avouer leurs sentiments, à cause de leurs carrières et du fait qu’ils aient peur de la réaction de l’autre, ils préfèrent faire l’autruche
A : mon fils se cache de ses sentiments ? …ça ne m’étonne même pas en fait !
D : bref, voilà 5 ans maximum que ça dure et ça va en s’intensifiant, même s’ils connaissent leurs sentiments réciproques maintenant
A : je n’aurais jamais cru pouvoir enfanter un être aussi bête !
D : vous ne pourriez pas le redire devant lui ??? non ??… c’est juste comme ça !
A : je vais me charger de cette affaire !
D : on est déjà pas mal sur le coup, mais on n’arrive à rien
A : qui ?
D : moi, le docteur Frasier qui est le médecin de la base, et Teal’c, sans compter sur les nombreux techniciens et autres…
A : et toujours aucun résultat ?
D : nada
A : mama mia
D : comme vous dites !
********
le lendemain…
jack était aux anges, il allait pouvoir quitter la terre quelques heures et essayer de ne plus penser à rien, il avait vraiment supplier pour avoir cette mission, et il comptait bien l’apprécier à sa juste valeur. Le général Hammond et Anita étaient en haut dans la sale de contrôle
H : revenez dans 4 H SG1
J : on peut pas y rester 6 ou 7 H mon général ? je suis sur que Daniel et Carter vont trouver pleins à étudier !
H : négatif colonel, bonne mission
Mais avant de passer le vortex, Anita pris le micro des mains de Hammond
A : et surtout fait attention à toi mon bébé… et fait attention à tes amis… quand à vous Daniel, essayez de me l’éduquer un peut pendant ce temps!
J : MAMAN !!!!
Puis SG1 passa le vortex
D : c’est un être exquis votre mère Jack !
J : la ferme Daniel
S : mon colonel aucune signe d’activité
J : je sais, c’est fait exprès… on passe quelques heures loin de la base et ça me suffit
D : ce qui veut dire qu’il n’y a rien à étudier ?
J : au cas ou vous ne vous rappellerez pas, on est déjà venu sur cette planète l’an dernier, et on a rien trouver
S : alors que fait-on pendant ces 4 H ou j’aurais pu finir une expérience mon colonel ?
Elle avait dit ça sur un ton qui n’était pas des plus enjoués
J : on se repose major ! et c’est un ordre
T : je vais aller voir si il n’y a pas de danger à tout hasard
J : faites comme bon vous semble, mais soyez là à l’heure
S : je vous accompagne Teal’c, je n’ai aucune envie de rester là à ne rien faire
Jack la regarda durement, mais la laissa partir
J : et vous Daniel si je vous entend prononcer un mot je vous tue !
Deux heure trente cinq minutes plus tard., la radio de Jack se mit à grésiller
Radio : o… Neil… colo…. Neil ???
J : allo ??? Teal’c ??? c’est vous teal’c???
Il se leva pour mieux entendre
T : O Neil… êtes là ? ….
J : je suis là Teal’c !
T : C..arter…
J : quoi carter ? … elle va bien ?
Il trouva enfin un endroit ou il pouvait bien recevoir les ondes
T : le major carter… blessée… 2 kilomètre Nord-est
J : j’arrive !
Le sang de Jack ne fit qu’un tour, il attrapa son arme et appela Daniel
J : appelez une équipe médical, à deux kilomètres au nord-est !
D : quoi ?
J : carter est blessée !
Jack partit en courant laissant le temps à Daniel de prévenir le SGC, il courait à travers la foret sans prendre le temps de s’arrêter, il arriva 10 minutes plus tard ne sentant plus aucun des muscles de ses jambes
T : O’Neill par ici !
J : j’arrive… ou est-elle ?
T : dans ce trou !
Il désigna un trou au fond duquel était Sam, c’était à peut près à 3 mètre en dessus de lui
J : ça va carter ?
S : oui mon colonel, mais je pense avoir la cheville foulée
J : teal’c aidez moi, je vais descendre la chercher
T : je vous attendait pour ça O’Neill, je ne pouvais pas le faire seul
J (à Sam) : on va venir vous chercher, et une équipe médicale va arriver, essayez de vous tenir debout sur une jambe !
Sam se leva
J : Teal’c tenez moi par les pieds !
Jack commença alors sa descente la tête en avant et tendis ses mains
J : attrapez les !
S : c’est encore un peu trop haut mon colonel
J : Teal’c ! encore un peut
Sam attrapa enfin les deux poignets de Jack
J : c’est bon !!! on remonte !!!
Teal’c les hissa alors de leur trou
J : tout va bien carter ?
S : ou mon colonel… mais je ne pet plus me poser sur mon pied gauche
J : alors on va avancer un peut quand même pour être sur qu’ils nous retrouvent, appuyez vous sur moi !
Elle plaça un bras au dessus de l’épaule de jack et ils avancèrent un peut
T : je pense que se serait plus efficace si je portait le major carter O’Neill
En effet, ils n’avaient pas fait beaucoup de route…
J : ok…
Il se libéra du bras de Sam et teal’c la porta
S : vous êtes sur que ça ne vous ennuis pas teal’c ?
T : absolument pas Major carter
En chemins ils rencontrèrent l’équipe médicale apportant un brancard, ils la placèrent dessus et répartirent pour le SGC
***********
SGC – infirmerie
Janet était en train de faire un bandage serré à Sam et les autres se trouvaient dans la pièce
J : ça va mieux ?
S : oui, merci mon colonel
J : je suis vraiment désolé…
S : ce n’est pas votre faute, vous ne m’avez pas pousser dans ce trou que je sache
J : mais c’est à cause de moi que vous y êtes aller !
S : je n’avais pas à vous en vouloir
Anita et Hammond arrivèrent à ce moment
A : en vouloir pourquoi ?
S : pour rien Anita, tout va bien
H : peut-on savoir ce qui c’est passé sur cette mission de routine colonel ?
J : et bien carter et teal’c sont aller faire un tour parce que je…
S : en fait je suis bêtement tomber dans un trou, c’est de ma faute, j’aurait du regarder ou je marche
J : mais…
S : excusez moi colonel
J : …
Elle lui fit comprendre dans un sourire qu’elle ne voulais pas que jack porte la faute de son accident
Janet : dix jours de béquilles et une semaine de calme, c’est à dire pas de mission !
S : tant que ça ?
D : comme si ça vous dérangeait de passer 17 jours dans votre labo !
S : c’est vrai que j’ai du travail à faire
H : très bien alors les missions sont suspendue pour tout SG1
J (faussement convaincu) : hourra ! (à Sam) j’ai eu ce que je méritais !
Janet : bon, j’aimerait que tout le monde quitte l’infirmerie pendant que je finit ce bandage !
Tout le monde s’exécuta
Janet : alors dis moi tout !
S : dire quoi ?
Janet : j’ai bien vu que tu ne voulais pas laisser jack parler !
S : … ça n’est rien Janet !
Janet : allez… dis moi !!!
S : … et bien une fois sur place il nous a dit que c’était une mission qui ne comptait pas et que le but était qu’il évite sa mère pendant 4 h, alors ça ne m’a pas plus et je suis aller faire un tour avec teal’c, c’est là que je suis tombée… il s’en voulais qu’on se soit disputer et je pense que c’est pour ça qu’il s’en veux
Janet : c’est réconcilié ?
S : oui, il m’a sortit d’affaire et en échange je n’ai rien dit
Janet finit son bandage
Janet : c’est bon, je te libère, et sert toi de ces béquilles !
S : promis, je vais allez dire au revoir à mon père maintenant…
Janet : salue le de ma part
***********
Sam était maintenant à son labo quand elle entendis quelqu’un frapper
S : entrez !
J : salut… ça va ?
S : mon colonel ! oui ça va !
J : tant mieux, je suis venu pour m’excuser et vous remercier…
S : maintenant au moins j’ai tout mon temps pour mes expériences
J : ça veux dire que vous allez devenir aussi blanche qu’un cachet d’aspirine, que vous aurez des cernes de dix kilomètres et que vous n’arriverez plus à dormir sans avoir tester un nouveau truc !
S : à peut près…
J : pourquoi n’avoir rien dit ?
S : parce que c’est ma faute mon colonel, et que je ne voulais pas que votre mère entende ce que vous alliez dire
J : dire quoi ?
S : que cette mission était pour la fuir… ça lui aurait fait de la peine
J : merci
S : de rien
J : je peut me rendre outil à quelque chose ?
Sam leva enfin les yeux de son microscope
S : pardon ?
J : ben oui, j’aimerait vous aider pendant que vous ne pouvez pas partir en mission… je vous doit bien ça !
S : vous ne me devez rien mais j’accepte votre aide
J : je vais commencer par nous chercher du café !
Il revins un peut plus tard
J : c’est bon ! je fait quoi maintenant ?
S : ben…
J : dites !
S : ça me serait utile si vous pourriez trier mes dossiers par ordre de dattes mais je sais que ça vous ennuie profondément alors…
J : non ! je vais le faire !
Il se mit alors à la tache, et il découvrit que la samantha carter qu’il connaissait était plus borderlique qu’elle voulais bien le laisser croire.
La soirée arriva vite…
J : finit !
S : merci beaucoup
J : il est déjà 23H, il est l’heure d’aller se coucher !
S : je n’ai pas tout à fait terminer, mais bonne nuit mon colonel
Il se pencha au dessus de son épaule
J : vous faites quoi au juste ?
S : vous voulez vraiment le savoir ?
J : non… mais dites le moi quand même, on fait un test !
S : et bien je suis en train d’étudier la mise en équation à 4 inconnues du système de représentation graphique et holographique d’une image par rapport à son origine
J : en effet, je n’ai pas compris… mais je vus répète qu’il est l’heure et que vous avez tout le temps pour ça !
S : laissez moi juste finir cette équation qui…
Mais il lui enleva le papier des mains
S : mon colonel !
J : non c’est non!
S : s’il vous plais !!!
J : mais vous êtes accros ou quoi ?
S : non ! pas du tout !
J : alors laissez cette équation tranquille, je suis sur qu’elle est fatiguée d’avoir été manipuler toute la journée
S : mais…
J : c’est un ordre major !
S : ok…
Il lui rendit sa feuille
J : allez, maintenant on s’en va !
Elle pris ses béquilles et commença à sortir
J : HO QUE NON !
S : quoi ?
J : rendez moi les papiers !
S : de quoi parlez vous ?
J : ne m’obligez pas à vous fouillez carter !
Elle pris des feuilles derrière son dos et les tendis à Jack
J : vous devriez avoir honte !
S : oui monsieur…
J : allez dormir maintenant, je vous raccompagne !
Il la laissa entrer dans sa chambre après avoir souhaiter bonne nuit, mais au bout de 2 minutes, elle rouvrit la prote
J : allez vous coucher !!!!
Elle claqua la prote en vitesse sans rein lui dire, elle avait été trop surprise… lui, il regagna ses quartiers en souriant
************
J : maman je te dit que ce sont mes cartiers !
A : et alors ? tu ne sais pas plier tes affaires correctement alors il faut bien que quelqu’un s’y colle puisque tu n’es pas marié !
J : tu sais que de nos jours les femme sont aussi bordéliques que les hommes !
A : et bien pas à mon époque mon garçon !
J : je t’en pris ne touche pas à tout !
A : je me demande comment il font pour t’autoriser à vitre dans un taudis pareil ?
J : et ben je suis encore en vie alors c’est que c’est pas si grave
A : comment compte tu recevoir une dame dans des conditions telles que celles ci ?
J : je ne reçois pas de dames !
A : .. des hommes ????!!????
J : maman !
A : ben quoi ? t’es beau comme un cœur et t’es pas encore casé alors je m’ouvre à toutes les possibilités…
J : tu n’es pas possible !
A : et toi alors ?? tu crois que tu es possible ?
J : quoi moi ?
A : pourquoi tu ne l’invite pas à manger dehors un de ces jours ? tu attend d’avoir mon age ?
J : de qui tu parle ?
A : a ton avis ? je suis ta mère John !
J : et ben je suis désolé mais je ne vois vraiment pas de qui tu veux bien parler !
A : je te parle de ton major !
J : … tu fais bien de le dire " mon major " !
A : jack je vois bien qu’entre vous c’est réciproque et c’est fort, alors ne gâche pas tout
J : … il n’y a rien entre carter et moi
Anita le griffa
A : Jonathan Charles O’Neill junior ! Je t’ai toujours interdis de mentir à ta mère !
J : maman tu ne comprendrais pas…
A : je comprend que mon fils et cette femmes sont malheureux, alors s’il le faut et ben j’irais voir le président !
J : arrête de dire n’importe quoi…
A : ok… peut être pas le président, mais je connais Hammond !
J : je t’interdis de faire quoi que ce soit qui pourrait nuire à sa carrière
A : alors va la trouver et invite la tel un homme qui invite une dame à sortir
J : mais…
A : c’est un ordre fiston !
J : a vos ordres dictateur !
A : lààààà c’est bien mon fiston à moi ça !!!!
Jack se dirigeait vers le bureau de Sam, les mains dans les poches et une peur atroce dans l’estomac, il croisa Daniel en chemin
D : salut jack
Mais il ne lui répondis pas, il était trop concentré a aller vers le lado, il attendis dix bonnes secondes devant la porte avant d’oser se montrer
J : carter ?
S : mon colonel ?
J : ... tout va bien?
S : vous comptez me le demander à chacune de vos entrées dans cette pièces mon colonel ?
J : non… excusez moi…
Sam remarque l’air soucieux de jack
S : tout va bien pour vous monsieur ?
C’était un bon début, elle avait dit " monsieur " et pas " mon colonel "
J : ben… je me demandais si ça vous ferait plaisir de venir manger avec moi ce soir ?
S : pourquoi pas ! c’est des boulettes avec spaghettis au mess…
J : ça vous tente pas de manger dehors pour une fois ?
S : dehors ?
J : ben oui… ça nous changerait un peut
S : mais… et le Général Hammond ?
J : je m’en occupe !
S : ben…
J : vous ne voulez pas ?
S : je n’ai pas dit ça.
J : ce n’est pas à cause de vos expériences aux moins ?
S : …
J : alors aucune excuse carter ! vous venez !
S : mais où au juste ?
J : chez Tony, une pizzeria pas loin de la ville
S : … ok…
J : bon… ben, je vais y aller alors….
S : à plus tard mon colonel.
J : à 7h devant l’ascenseur
Il sortit rapidement du labo, se sentant étouffer de seconde en second, il respira alors un grand coup… ce n’était pas si dur que ça se dit-il ….mais encore fallait-il que tout ce passe bien pour la soirée
********
7h, devant l’ascenseur
J : toujours à l’heure ma parole !
S : pour une fois vous aussi mon colonel !
Ils se sourirent un moment avant d’examiner l’autre, tous les deux en jean et chemise, après tout, ce n’était qu’une pizzeria et pas un dîner aux chandelles, et aucun d’eux ne voulu donner une impression romantique de peur d’en faire " trop ", Sam portait un petit manteau par dessus qu’elle ne mettait que pour l’extérieur.
J : on prend ma voiture vu que vous ne pouvez pas conduire dans votre état
S : comme vous voulez
Ils arrivèrent à la voiture et partirent vers la ville
S : puis-je parler librement monsieur ?
J : non ! vous venez avec moi mais vous ne parlez qu’en militaire Carter ! … je vous écoute !
S : c’est pour vous faire pardonner que vous faites ça ?
J : faire quoi ?
S : ça !
J : quoi ça ?
S : que vous m’emmenez manger ailleurs… c’est parce que vous culpabilisez encore n’est ce pas ?
J : je culpabiliserait toujours lorsqu’il arrive quelque chose çà l’un d’entre vous
*aille ! un aller et retour ça me calmera pensa Jack*
J : si je vous fait sortir de votre trou c’est pour que vous passiez une bonne soirée
S : mais à cause de vous mon colonel voilà 2 jours que je ne travaille pas assez tard
J : je suis sur que vous avez de l’avance dans vos rapports !
S : en effet…
J : alors oubliez les le temps d’une soirée… s’il vous plais…
S : … promis
J : je préfère ça !
Arrivée au restaurant
J : bonjour, une table pour deux s’il vous plais
Serveuse : suivez moi monsieur, puis-je prendre le manteau de votre femme ?
J : …heu…
S : je ne suis pas sa femme… mais merci pour le manteau
La serveuse s’en alla confuse, laissant les deux militaires gênés
S : alors ? comment ça se passe pur vous avec votre mère à la base ?
J : c’est dur ! elle est toujours dans le coin à me surveiller ou à me rabaisser devant tout le monde
S : au moins vous savez ce que ressent Daniel à chaque fois que vous lui lancez un pic !
J : je ne suis pas aussi méchant que ma mère !
S : … je ne dirait pas ça comme ça…
J : comment alors ?
S : vous attaquez là ou ça fait mal et Daniel ne peut plus rien pour se défendre, ce n’est pas très loyal, mais ça fait partit de SG1
J : je pense aussi
La soirée continua tranquillement, heureusement pour eux à chaque fois qu’ils ne savaient plus quoi se raconter pour ne pas aller en terrain miné, la serveuse leurs apportaient des plats ou venait leur remplir la carafe, tout se passait très bien mis à part ce sentiment de mal à l’aise qui traînait dans l’air, se retrouver seul autour d’un dîner c’est… délicat, et tous les deux étaient morts de frousse quand à la suite des événements qui les attendaient dans la soirée, comme lors d’un premiers rendez vous d’adolescent.
La conversation continuait autours des ragots de la base…
J : et vous savez qu’Hammond à deux bonne bouteilles de cachée dans son bureau ?
S : non ! c’est pour ça que mon père passe tout son temps avec lui alors …
J : je l’ai surpris un jour ou je voulais me plaindre du manque de vacances, il ne savait plus ou se mettre
S : le pauvre, il avait ses petits secrets…
J : d’après les rumeurs que j’ai entendu, le capitaine Fracy est enceinte !
S : et d’après mes sources le père est aliène !
J : non ???
S : P4X587 !
J : ça me dit rien…
S : moi non plus, ce n’était pas dans nos missions, mais le père est de là bas !
J : une des plus grande rumeur c’ "est quand même Daniel et Janet !
S : ce n’est pas qu’une rumeur !
J : racontez moi ça !!!!
S : ils se vois depuis presque 3 mois maintenant, c’est cassi qui m’a dit que Daniel venait réparer l’évier la machine à laver, l’électricité et parfois la douche !
J : mais Daniel ne sait pas faire tout ça !
S : justement….
J : …HAAAA !!!!!! ben dites donc ! il m’en cache des trucs ! … mais je suppose que vous connaissez aussi le potin qui fait le plus parler ….
S : comment passer à coté… dès que je passe quelque part on m’examine de haut en bas pour voir si je ne change pas
J : et moi dès que je me mêle aux conversations ils changent de sujet !
S : tant que ça les amuses…
J : ben ils devraient trouver autre chose ! l’autre jour j’ai passer la journée à inventer des rumeurs pour qu’ils parlent d’autre chose, selon moi, le caporal Mercy à une obsession pour les mangas ! le sergent Javert à tendance à se travestir et le docteur Kim à une jambe de bois
S : ils y ont crus ?
J : à part la jambe de bois…y faut dire que c’est pas convainquant quand elle débarque à la base en jupe !
S : on en est arrivé là quand même….à faire porter aux autre ce que nous ne voulons pas porter nous même
J : je n’aime pas être le sujet de discussion, et je suppose que ça doit vous embarrasser aussi… ;alors c’est tout ce que j’ai trouver.
S : mais on ne peut pas y échapper mon colonel, c’est uniquement parce que nous sommes la première équipe
J : qui en plus regroupe les plus intelligents ! on est la meilleure équipe et ils sont jaloux
S : moi je sais pourquoi certaines sont jalouses
J : dites !
S : parce qu’elle auraient aimer êtres sous vos ordre
J : faites attention à ce que vous dites ou je vous donne les nom de ceux qui aimeraient bien vous donner des ordres !
S : qui ?
J : les sergents Vasner, Kovack, les capitaine Merfu et Hady, le…
S : stop ! .. s’il vous plais…
J : je ne coulais pas vous mettre mal à l’aise
S : j’essai d’éviter tous ces types à longueur de journée alors…
J : pourquoi ?
S : pour rien…
J : dites le moi !
S : c’est sans importance…
J : carter !
S : ben… je me sent mal à l’aise en leur présence… c’est une impression bizarre
J : comme quoi ?
S : je ne peut pas vous le dire ! c’est trop… étrange
J : je suis capable de comprendre vous savez.
S : je n’ai pas dit le contraire, mais vous êtes un homme que je sache, ce n’est pas pareil pour vous
J : carter dites moi ce qui vous met mal à l’aise ou je le fait devant eux.
S : vous n’oseriez pas !
J : non… mais si quelque chose ne vas pas je veux en être informé
S : ben… c’est délicat… c’est comme si lorsqu’il me regardaient…
J : oui…
S : et ben comme si j’était entièrement nue…
Jack faillit s’étouffer en buvant son verre de vin en même temps qu’elle disait ça
J : pardon…excusez moi… vous dites qu’ils vous regardent salement ?
S : j’ai cette impression en tout cas
J : je sait que vous les faites baver mais de là à vous mettre mal à l’aise je n’aime pas ça !
S : ce n’est pas si grave…
J : si c’est grave carter !
S : mon colonel je vous en pris ne faites rien
J : pourquoi pas ?
S : parce que l’armée est dure pour les femmes, et que je ne veux pas à avoir à me lamenter sur mon sort, j’ai une bonne situation que j’ai obtenu par la force de mon travail et pas parce que je couche avec le premier venu, je ne veux pas qu’on prenne ma défense parce que je doit le faire seule pour mériter le respect et pas aller pleurnicher sur l’épaule de quelqu’un. Si vous étiez à ma place vous diriez pareil monsieur
J : je vous crois sur parole carter
S : excusez moi, je me suis un peut emporter
J : y a pas de mal… et puis c’est plutôt sympas de se défouler !
S : j’espère que vous comprenez mon point de vue
J : oui… je comprend que vous fassiez tout pour être un individus à part entière, et c’est honorable
S : je n’ai pas le droit au faux pas, car l’armée est moins tolérante qu’elle ne veux bien le laisser paraître
J : l’égalité est encore en option, j’espère que ça ne vous handicape pas trop quand même
S : bien sur que ça m’handicape !
J : comment ça ?
S : par exemple… je ne peut pas me saouler même si je suis de repos alors que la plupart d’entre vous le faites presque toutes les semaines !
J : mais…
S : je suis au courant colonel, c’est pas la peine de me le cacher. … je ne peut pas me permettre d’être en retard car vous avez déjà ce rôle, je ne peut pas tomber malade car Daniel l’est constamment et je ne peut pas dire que je ne sait pas, alors que je suis sensé tout savoir sur le programme
J : je… je suis désolé
S : de quoi ?
J : de tout ça…
S : vous n’avez pas à l’être monsieur, je suis quand même bien à la base,… j’ai des amis sur qui je peut compter, et une famille
J : mais tout ce que vous m’avez dit c’est…ça ne vous rend pas heureuse !
S : je suis heureuse mon colonel…je le suis quand je travail ou quand nous sommes en mission et que vous vous disputez avec Daniel, ou même quand je suis ici avec vous !
J : c’est vrai ?
S : je n’aurais pas accepter de venir sinon
J : bonne réponse… alors je suis content de participer à votre bonheur !
S : merci à vous
Le sourire de Sam réapparu enfin
S : et vous mon colonel ?
J : quoi moi ?
S : qu’est ce qui vous permet de tenir le coup ?
J : ho… pas mal de trucs ! on mange pas si mal là bas… et ça m’évite d’être tout seul en retraite, je peut bouger, voir du monde, et quand même participer au plus grand projet de cette planète et ce n’est pas rien…. Et puis il y a SG1… je sais que quand cette équipe n’existera plus je m’en irait et ce sera pas plus mal comme ça
S : pourquoi ?
J : parce que ce que nous avons construit tos les quatre… je n’ai jamais connu ça et je ne veux pas rester là à voir partir les belles années en me disant : voilà, c’est finit
S : mais il n’y a pas de raison de faire partir SG1, n’est ce pas ?
J : non aucune, mais on ne sait jamais, si l’un de nous disparaît en mission ou… je ne pense pas pouvoir continuer, pas à ce stade
S : je comprend, c’est un peut pareil pour moi, et j’ai peur qu’un jour ça nous arrive…
J : moi je ne supporte pas les changements, et faire comme Hammond à attendre désespérément le retour des troupe c’est pas mon truc !
S : e fait ce serait bien si le temps pouvait ce figer…. Ou que ça dure comme ça encore longtemps
J : jusqu'à ce que j’ai définitivement les cheveux tout blancs ?
Sam esquissa un petit sourire
S : je me disait aussi que ce n’était pas normal que vous soyez aussi sérieux pendant une discussion !
J : je suis très sérieux !… enfin j’essaye de l’être en tout cas
S : alors si on changeait de conversation ? parce que c’est mauvais pour notre moral mon colonel
J : vous avez raison, on ne parle plus de la base du tout !
Ils continuèrent à parler de tout et de rien, se découvrant plein de points communs, ils aiment les mêmes choses simples dans la vie, et ça suffisait à leur bonheur, ils n’étaient pas exigeants. Ils rirent bien en racontant leurs anecdotes de jeunesses, et jack battait tout le monde avec les bêtises qu’il avait pu faire étant jeune
A la fin de la soirée, ils rentrèrent à la base tranquillement
Dans l’ascenseur…
J : merci
S : de quoi ?
J : d’avoir accepter de venir
S : merci à vous de m’avoir inviter
J : c’était une très bonne soirée
S : je trouve aussi
J : vous savez quoi ?
S : non…
J : on va faire ça toutes les semaines si vous êtes ok ! on sort de cette base et on pense à autre chose ! … à moins que vous ne prefereriez occuper vos temps libres autrement bien sur…je comprendrait
La porte s’ouvrit mais aucun ne descendit
S (se tournant vers lui) : avec plaisir
Elle se pencha vers lui et l’embrassa sur la joue, mais vraiment près de sa bouche, elle le regarda plus sure d’elle qu’elle ne l’a été dans sa vie entière et sortie de l’ascenseur le laissant perplexe, elle avançait tranquillement dans le couloir avec ses béquilles et pendant ce temps, Jack avait oublier de descendre et les portes se refermèrent l’emmenant au dernier sous sol
********
le lendemain
Sam s’était mise à travailler assez tôt, elle avait passer une nuit merveilleuse après la superbe soirée et le vin qu’elle avait bu, elle n’en revenait pas d’avoir embrasser son colonel, même si ce n’était pas un baiser directe sur la bouche, mais elle savait qu’elle ne le regrattait pas, et puis de toute façon, elle avait accepter de passer une soirée par semaine avec lui à partir de maintenant.
Jack allait aider sa mère à faire ses bagages, elle devait partir le lendemain et n’avait pas encore rendu de rapport à Hammond
J : maman que compte tu raconter au juste ?
A : tu verra bien ! comme les autres tu le saura avant mon départ !
J : je voulais juste un aperçu…
A : et ta soirée ??? dis moi que tu as été un gentleman et que je t’ai élever correctement !
J : ça c’est très bien passer, ne t’en fait pas
A : en plus de ça elle serait vraiment très belle une fois enceinte !
J : tu ne vas pas recommencer…
A : bien sur que si ! jusqu'à ce que ce soit fait !
J : bon, je te laisse, je vais parler à quelqu’un de moins entêter que toi !
Automatiquement il se dirigea vers les quartiers de Teal’c, ben oui, car Daniel est pas mal entêté comme mec !
Le soir venu, le général réunit tout le monde en salle de briefing, le départ d’Anita se faisant le lendemain matin, ils voulait avoir son rapport avant
H : alors Anita, comment c’est passé votre séjour parmis nous ?
A : épuisant ! je suis bien tranquille chez moi à faire mon ménage !
J : mais encore ???
A : laisse moi parler, occupe toi de toi ! … et bien je voulais vous montrer ceci…
Elle sortit un macaron le l’armée un peu usé par les années
A : il appartenait au Général Chidee, un grand homme…
D : c’est le premier à avoir couvert le projet ?
A : exacte… je l’ai retrouver intacte dans le 30emme sous sol cette nuit, je l’avait cacher là le jour ou il me l’a offert, deux merci cette base na pas été reconstruite depuis !
J : ou veux tu en venir maman ?
A : cet homme était tout ce que j’aimait chez un homme jack, je l’ai connu avant ton père, il était si gentil, si prévenant avec moi… mais il était général… et à l’époque je n’était qu’une petite infirmière un peut trop jeune pour être vu en sa compagnie. Nous sommes rester 2 mois ensembles, avant qu’il ne se fasse tuer par un homme que je ne connaissait pas… c’est pour ça que l’on m’a renvoyer de ce complexe… j’avait vu l’assassin…
D : qu’avez vous fait après ?
A : j’ai voulu crier haut et fort…mais personne ne m’a entendu, c’est comme si on m’avait endormie toutes ces année et que je me réveillait aujourd’hui en me rendant compte que ce n’était pas un rêve, que cet homme m’avait réellement aimer et pas que ce fut le produit de mon imagination…
D : comment à finit cette histoire ?
A : il est mort et l’assassin n’a pas été punis pour son crime.. ;dieux sait que j’ai essayer pourtant !
H : vous n’avez rien à vous reprocher.
A : j’aurait put l’aider… mais il était trop tard, je le revois très bien, allongé dans son sang sans que je n’ai pu lui dire tout ce que je ressentait pour lui…j’essayait depuis des mois de l’éloigner de moi pour ne pas que nous nous fassions trop d’illusion, mais c’était en vain…et il est mort sans savoir
La mère de Jack pleurait à chaude larmes, jack la regardait sans vraiment comprendre ce qui se passait autour de lui.
A : jack…mon fils… j’ai aimer ton père aussi, peut être pas de la même manière, mais j’ai tout fait pour que toi et ta sœur soyez heureux
J : … je le sais maman…
A : tu…tu ne m’en veux pas ?
J : … bien sur que non
Il serra la main de sa mère sous la table comme il était à coté de lui
A : c’est tout ce que j’ai à dire de ce complexe général Hammond
H : merci Anita…
A : je suis désolé de ne pas vous avoir apporter plus
H : c’est amplement suffisant, je suis conscient que ça a été dur pour vous
Anita commençait à ce calmer
D : on dirait que c’était inévitable le retour d’un O’Neill en ces terres !
A : le monde est petit
D : mais l’univers est vaste
A : bien dit !
H : bon… vous pouvez y aller si vous voulez
Anita se leva ainsi que le reste de la salle
D : au revoir Anita ce fut un plaisir de rencontrer un membre de la famille de jack qui ne soit pas comme lui
Elle l’embrassa
T : au revoir madame, et n’oubliez jamais le passer, même s’il est dur à assumer
A : vous êtes plus vieux que moi donc plus sage ! je vous suivrait à la lettre
H : à bientôt j’espère
A : pas de si tôt général ! je me fait vielle maintenant !
H : alors portez vous bien
A : merci vous aussi
Sam s’avança aussi près d’Anita
S : au revoir et faites attention à vous
A (dans son oreille) : faites attention à mon fils, je vous le confit, prenez en soin surtout
Sam se recula et la regarda droit dans les yeux en lui souriant, quand elle sentie quelque chose dans sa main. La mère de Jack y avait glisser l’écusson de ce fameux général sans que jack ne le voit comme il était derrière elles, Sam la regarda étonnée et allait refuser ce cadeau qui représentait tant pour cette vielle dame, mais Anita se contenta de refermer la main de Sam sur ce bout de tissus
A : c’est à votre tour
Sam embrassa une dernière fois Anita avant de la laisser seule avec son fils
J : tu va me manquer maman
A : passe me voir un peut plus souvent ! d’ailleurs en parlant de ça je t’ai négocier des vacances pour noël ! tu n’a aucune excuse !
J : … je viendrais, promis
A : amène la avec toi, ça fera du bien de la jeunesse dans ma bicoque qui me sert de maison
J : on verra
A : tien moi au courant de l’évolution des choses
J : non ! c’est ma vie privée que je sache ! tu ne connaîtra que les grandes lignes !
A : ces tout ce qu’il me faut pour vivre, ne t’en fait pas…
Elle embrassa son fils et commença à partir à son bras vers ses quartiers pour sa dernière nuit.
Elle partit tôt le lendemain, elle avait un avion dans la matinée pour ne pas être chez elle après la nuit, ça faisait un grand vide tout de même, mais les choses revenait dans l’ordre, mis à part la suspension de mission pour SG1 à cause de la cheville de Sam, mais personne ne s’en plaignit…
Dans les semaines qui suivirent, Jack et Sam avaient tenus leurs promesses et allaient u restaurant ou dans un bars toutes les semaines, le vendredi était devenu leur soirée à eux seuls, ce qui ne faisait que raviver les rumeurs de la base…
D’ailleurs en parlant de ça, jack ne pu s’empêcher de passer son bras autour de la taille de Sam devant cette bande de porc qui la reluquaient du matin au soir, les remettant à leur place bien gentiment.
Leurs sentiments commençaient à devenir de plus en plus étroits, s’apercevant tous les jours que l’autre à quelque chose à apporter dont ils ne soupçonnaient même pas l’existence auparavant.
Voilà deux mois que tout était redevenu comme avant, mais une agréable soirée les attendait, en effet c’était l’anniversaire du projet, et celui ci aurait lieu au mess
D : alors que faites vous pour ce soir ?
J : on verra bien
D : dommage que ça ne tombe pas un vendredi, vous auriez été seul avec Sam
J : je ne vois pas ou vous voulez en venir !
D : comme si votre relation n’avait pas évoluer en deux mois ! vous savez que l’autre jour je suis entrer dans le labo et… ET SAM NE TRAVAILLAIT PAS !!!!!!!
J : et alors ?
D : vous avez déjà vu Sam ne pas travailler ? je suis sur que c’est solide entre vous !
J : mais vous semblez oubliez que nous sommes deux militaires Daniel
D : arrêtez un peut avec ça ! comme si le général vous laissait sortir toutes les semaines sans ce poser des questions ? vous le prenez pour un demeuré ?
J : quoi ?
D : le général sait que vous ne faite pas que discuter quand vous sortez
J : mais si !!! on ne fait que ça !!!
D : mon œil ! n’en pêche qu’il ferme les yeux !
Et Daniel continua son chemin
J : mais c’est vrai quoi !!! on ne fait que discuter !!!
Mais d’après Daniel, le général était au courant… même s’il n’y avait rien à être au courant, mais c’est pas si grave se dit-il ! il continua lui aussi son chemin pour ce préparer pour la soirée, car tenue correcte exigée !
********
la soirée….
Tout le monde avait l’air de bien s’amuser, jack n’avait pas lâcher l’œil de Sam depuis le début, mais elle faisait pareil, ils parlaient avec de nombreuses personnes, mais jamais sans se lâcher du regard, leur relation était maintenant si forte qu’elle en devenait étouffante si ça n’éclatait pas… peu à peut ils se rapprochaient dans la foule et se retrouvèrent bientôt tout proche
D : et là je lui dit : hey ! pourquoi se montrer aussi agressif ? … Sam ???
Mais Sam était déjà partie vers Jack, elle était debout devant lui dans une grande robe noire
J : ça va ?
S : bien et vous ?
J : pas mal… si… si on sortait d’ici un instant ?
S : je vous suit…
Ils arrivèrent à traverser la foule et à gagner la porte de service
J : je me disait que…
Mais il n’eu pas le temps de finir se phrase que les lèvres de Sam se placèrent délicatement sur les siennes
J : … oui… je me disait à peut près ça…
Elle lui fit son plus beau rire doux et son plus beau sourire
J : mais je ne l’aurait pas formuler de cette manière…
puis il se pencha vers elle et l’embrassa également, mais bien plus passionnément, la plaquant contre la porte, mais…
S et J : Aille !
La porte s’était ouverte et ils s’étaient retrouver l’un sur l’autre en plein milieux de la salle sous les regards amusés
J : ben quoi ???? ça vous arrive jamais à vous ?????
FIN
Voilà j’espère que ça vous a plus, envoyez un petit message si c’est le cas… même si c’est pas le cas d’ailleurs, car toute critique est bonne à prendre…
Merci la compagnie !