Mission survie

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

résumé : SG1 doit partir sur une île afin de subir un test d’aptitude

genre : comme d’hab.

disclaimer : pas à moi

note de l’auteur : ben…enjoy !

MISSION SURVIE

Salle de briefing

H : SG1 bonjour

J et S : mon général

D : salut

T : général Hammond

H : bien, je vous ai réunis pour une nouvelle mission

S : mais mon général, nous n’avons envoyer aucune sonde dernièrement

H : c’est normale major carter

J : vous aller nous projeter dans le vide ?

D : sur une planète que l’on connais déjà ?

J : ne dite pas que ce sont les Tok’Ra mon général, sinon je ne répond plus de mes actes !

H : c’est une mission terrestre colonel

J : … terrestre ?

H : exactement

D : quelqu’un a découvert la porte ?

H : non, c’est un stage qui vous est offert

J : trop aimable… mais quoi ?

H : on vous envoie dans une île déserte pour une mission de survie

J : mon général on a fait des missions de survie en quantité suffisante il me semble non ?

H : pas au goût de tout le monde colonel

J : qui ça " tout le monde " ?

H : en premier lieu le président en personne, puis tous ceux qui se trouvent entre lui et moi… ça vous suffit ?

J : ..ben… faudra bien

S : et quelle est cette mission mon général ?

H : on vous envois donc sur une île déserte, sans provisions ni matériel autre que vos uniformes et un M16 chacun, on lance à vos trousse une vingtaines de soldat surentraîner et on vous évaluent

J : rien que ça ? 20 contre 4 !

S : mais monsieur c’est dangereux…

H : les armes sont des fausses major, c’est comme du paint-ball, une fois touchée, et vous êtes mort

J : mais c’est ridicule … on a déjà survécu à des tas de balles mon général, on pourrait chacun en faire un collier si on voulais

H : ce sont les ordres colonel

J : pfff….

S : quand cette mission aura telle lieu ?

H : vous partez demain

J : et on peut savoir au moins quel en est le but ?

H : finir vivant, et les autres non

J : chasse à l’homme quoi ?

H ; en effet

J : c’est pas de la tarte

H : mais j’ai confiance en vous, je sais que vous y arriverez

S : quel cota a-t-on ?

H : avant que vous ne soyez tous descendu, on veux qu’il y ait minimum 15 adversaires de morts

J : whoua ! et en cas contraire

H : si vous n’en avez que dix, vous partez en retraite colonel

J : QUOI ?

H : c’est une évaluation

J : mais ils sont fou ? j’aimerais bien les voir sur le terrain moi !

H : je sais que c’est injuste mais vous êtes l’équipe principale, et on vous envois sur toutes les missions alors il est préférable de connaître vos compétences

D : mais et moi… je ne suis pas de l’armée…

H : mais vous faites partit de SG1

J : avec un peut de chance vous survivrez deux bonnes heures.

D : très drôle !

J : mon général ; carter ne peut pas envoyer une petite bombe à naquada par hasard ?

H : faites comme vous voulez, mais vous n’aurez le droit que d’utiliser les moyens trouver sur place…

J : donc, pas de naquada c’est ça ?

H : exacte

J : mais si on prétend qu’elle en a toujours sur elle, comme un pendentif ou un truc comme ça…

H : colonel O’Neil vous commencer à…

J : oui je sais… mais on pale de ma carrière là !

H : je suis désolé mais ce sont les ordres

S : ne vous en faites pas mon colonel, on va réussir

J : j’espère…

T : vous pouvez conter sur moi colonel

J : je sais Teal’c, merci

S : et puis de toute façon, il ne suffit pas d’avoir du naquada pour faire une bombe !

Les autres la regardèrent étrangement

S : avec des composants naturels on peut en faire aussi

H : major, tachez de ne pas faire exploser l’île non plus, et faites en sorte qu’il n’y ait aucune perte humaine réelle

S : je ne compte pas le faire dans ce cas général

H : le départ est donc pour demain matin sur l’île militaire de Norhtgard

J : à quelle heure ?

H : 5H, afin d’être sur place à 8H

J : en plus de ça on nous fait nous lever à l’aube

H : je vous signal que là bas il ne fait que 10 degré la nuit, et vous n’aurez pas votre matériel

J : … en clair c’est une VRAI mission de survie ?

H : exacte

J : ça faisait longtemps…

S : depuis les classes.

D : vous en avez déjà fait ?

J : on passe tous par là dans l’armée, je n’en ai pas que des bons souvenir d’ailleurs, mais je vous raconterait ça au coin du feu la nuit

S : mon général les autres soldats connaissent-ils le site ?

H : non, ils y vont également pour la première fois

J : alors c’est çà notre avantage

D : pourquoi ?

J : on est sur qu’ils ne vont pas directement se mettre aux points stratégiques et aux bonne cachettes comme ça

D : ok…

J : je vous expliquerait tout ça en route Danny

H : je suis content de voir que vous prenez cette affaire au sérieux colonel

J : j’y joue gros mon général

H : je le sais, mais je sais aussi que vous y arriverez, j’ai confiance en vous

************

le lendemain, base militaire de Norhtgard

tout le monde était au garde à vous devant un général qui était là pour l’évaluation

Général : bonjour à tous, vous êtes ici pour un exercice de survie aux frais de l’armée des Etats Unis d’Amérique, alors nous attendons le meilleur de vous même, cet exercice opposera l’équipe alpha composée de quatre membres avec à sa tête le colonel O’Neil, et de l’équipe bêta sous les ordres du major Henry. Je vous rappelle les règles, une fois touché, vous êtes mort, et les morts ne parlent pas mais reviennent ici. On n’a pas le droit de blesser un membre de l’équipe adverse volontairement sous peine de cour martiale, si on a possibilité d’avoir une personne en joue, on lui demande s’il préfère se faire tirer dessus à bout portant ou de se déclarer mort pour éviter de se faire trop mal. On ne quitte pas l’île. Les groupe bêta part pour l’opposer de l’île et le signal sera donné une fois tout le monde en place. Le but est simple, l’équipe alpha doit éliminer le plus de monde possible vue qu’ils sont en infériorité numérique. Est ce clair ?

tous : oui mon général !

général : vous serez prévenu par hélicoptère de la fin de la mission, parfait, le groupe bêta se prépare à embarquer dans le camion ! exécution !

les 20 soldat montèrent dans le camion qui démarra et emporta tout le monde de l’autre coté de l’île. Le général était resté avec SG1 et attendait pour donner le signal

au bout de dix minutes, ce fut chose faite, un coup de feu retentit au loin et le général fit de même pour faire comprendre que c’était compris

le jeu commença…

********

J : on court !

D : pourquoi?

J : prendre un maximum d’avance et qu’ils ne s’attendent pas à nous voir si tôt

S : mais si ils font pareil ?

J : … on court quand même mais en passant par les bord de l’île sans être non plus sur la plage, et on fait un silence total c’est compris ?

D : ouais

S : a vos ordres

T : j’ai compris O’Neil

Ils commencèrent leur progression rapide et silencieuse à travers les bois, mais s’arrêtèrent au bout d’une demie heure

J : on ne vas pas trader à les voir arriver… on va se séparer. Daniel vous allez avec Teal’c

D : pourquoi ?

J : parce que si vous mourez il sera apte à se débrouiller seul ! carter et moi avons la même façon de fonctionner à moins que vous ayez fait secrètement l’armée ?

D : … non…

J : en plus, si on se classe par ordre, Teal’c vaux 1 et demis, vous un demie, carter et moi un entier, faites les comptes !

D : …bref

J : ok, alors vous allez vers l’est et vous remontez au nord, nous on passe de l’autre coté, on ne va sûrement pas se revoir avant un moment, alors bonne chance

T : bonne chance à vous

S : à plus tard

J : Daniel, essayez au moins de survivre à la nuit

D : j’y compte bien quand même !

J : c’est partit !

Ils se séparèrent ainsi en avançant plus lentement, Jack et Sam étendaient derrière chaque arbre pour ne pas se faire prendre, de leur côté, Teal’c et Daniel avançaient au pas de loup sous les ordres du jaffa. L’île était très riche en arbres et en reliefs, une végétation extrêmement dense qui faisait un excellent moyen de camouflage

S : mon colonel !

J : quoi ?

S : j’aperçois une cavité à deux heures mon colonel

Jack se redressa un peut pour voir

J : en effet, mais c’est trop exposé

S : on peut faire diversion

J : comment ça ?

S : je peut faire un dispositif pour les y conduire et nous attendons dans les arbres qu’ils se manifestent

J : pas mal…on va essayer ça !

Sam alla placer quelques branches de façon à ce qu’elle se brisent facilement sous l’impacte de pierres de petites tailles qu’ils emportèrent avec eux dans les arbres

J : pas mal votre plan

S : merci

J : mais vous auriez pu trouver un arbre moins agressif

S : pardon,

J : j’ai une blanche mal placée figurez vous !

S : désolé mon colonel, mais c’est le seul qui soir si bien situé

J : en attendant il est en train de me creuser un autre orifice naturel et c’est pas des plus agréable.

S : mon colonel évitez de me faire rire s’il vous plais

J : pourquoi ? c’est le but pourtant

S : si vous tenez à votre Job, je ne crois pas

J : ok, je vais faire un effort

S : shutttt

Elle lui montra du doit une direction par laquelle venait le bruit, ils virent deux hommes arriver vers eux très prudemment et en avançant silencieusement

J : carter… allez y !

S : ils sont trop loin

J : vous êtes sure ?

S : certaine

Les soldats se rapprochèrent un peu plus, Sam fit un coup d’œil rapide à Jack et il acquiesça, elle jeta la pierre dans les branches qui se mirent à craquer, attirant les soldat qui firent le tour du bosquet pensant les prendre par surprise

J : feu !

Ils tirèrent sur eux, sans gâcher inutilement leurs munitions, ils n’en dépensèrent que quatre pour être sur de les avoir bien visés

Les deux soldat au sol baissèrent leurs armes vaincus et retournèrent silencieusement au camp en passant par la plage.

J : on est les meilleurs !

S : pas si vite mon colonel, on en est qu’a deux sur 15

J : mouais.

S :je suis sur que Teal’c s’en sort bien

J : moi aussi, j’ai plus de doutes pour Daniel

S : il a déjà survécu à pas mal de chose en 5 ans

J : oui, mais il reste " Daniel "!

Sam lui sourit

********

D : heu…Teal’c, vous êtes sur que c’est par là ?

T : certain docteur Jackson

D : ok…je vous suit

T : il faudrait essayer de faire moins de bruit docteur Jackson

D : … en clair je me tait ?

T : exacte

Teal’c avançait très concentré

T : des hommes approchent

D : je n’entend personne…

T : ils arrivent, cachez vous !

D : ok…

Daniel se mis derrière un rocher qui était près d’un arbre tandis que Teal’c essayait de repérer la provenance des bruits.

Soldat 1 : tu pense qu’ils sont par là ?

Sold 2 : aucune idée, mais reste sur tes garde, il parait que ce sont des pros

Sold 1 : même le gringalet ?

Sold 2 : ne jamais sous-estimer l’ennemis

Sold 1 : on fait une pause !

Il s’arrêta quelques secondes en s’appuyant contre un arbre, quand Teal’c en sortit l’attrapant par le cou et visant son copain

T : vous déclarez vous morts ?

Les deux soldat savaient qu’ils n’avaient aucune chance, et plutôt que de risquer le méga hématome dans la figure, ils baissèrent leurs armes

Sold 1 : ok, ok… c’est le jeu…

Sold 2 : on s’est fait avoir comme des bleus, la honte

T : on garde ça pour nous si vous voulez, mais partez maintenant sans faire de bruit

Sold 1 et 2 : ok

Teal’c les lâcha, ils prirent leurs armes par les deux mains et les mirent au dessus de leurs tête pour signaler qu’ils avaient perdu la partie, puis rejoignirent la plage

T (retournant voir Daniel) : deux en moins docteur Jackson

D : j’aurais pu vous aider vous savez !

T : je n’ai pas besoin de votre aide…il nous faut trouver un endroit pour passer la nuit

D : déjà ?

T : voilà des heures que nous marchons, il va faire nuit dans quelques temps, il faut trouver de la nourriture.

D : mais quoi ?

T : des végétaux, on ne peut pas allumer de feu sous peine d’être repéré

Ils partirent cueillir des fruit et des racines

***********

J : on a pas grand chose à se mettre sous la dent

S : nous n’avons pas d’eau non plus mon colonel, mais ces fruits devraient nous suffire

Il lui tendis une part

J : avalez ça vite fait !

S : mais mon colonel vous n’avez presque rien

J : je suis nourrit de vieux ! vous en faites pas pour moi

S : j’en mangerait autant que vous

J : hors de question, vous avalez jusqu'à la dernière bouchée

S : je n’ai pas envi de devoir vous porter parce que vous souffrirez de déshydratation mon colonel

J : ça n’arrivera pas

S : qu’en savez vous ? vous tomberez dans les pommes avant même de vous en rendre compte

J : ok ça va ! je vais en prendre un de plus, mais je suis pas un fan des racines moi !

S : shut !

J : quoi ?

S : écoutez !

J : mais quoi ?

S : de l’eau …pas loin…

J : bien sur ! puisqu’on est au bord de la mer

S : non, on dirait une source mon colonel, ça ruisselle

J : ok, on va chercher…

Ils avançaient à petit pas pour trouver la source

S : on est pas loin

J : mais ou ?

S : regardez !

Ils virent un tout petit écoulement sortir de la terre pour aller plus loin dans un fin filet d’eau

J : c’est pas de la salée ?

S : il faut goûter pour ça

Jack goûta

J : c’est bon, vous pouvez boire

S : attendez, on va aller chercher des bambous sur la plage pour nous faire des gourdes

J : pas mal comme idée

S :merci mon colonel

Après avoir manger leur maigre repas, et fabriquer des gourdes précaires, ils allèrent vers un grand arbre qui présentait une souche assez volumineuse aux pieds de laquelle se trouvaient beaucoup de fougères et de feuillages

J : ça fera l’affaire pour la nuit

S ; je pense aussi, mais il n’y a pas beaucoup de place

J : ben on va se serrer

Il avait dit ça sur un ton si évident qu’il n’y avait aucun sous entendu, ce qui ne l’empêcha pas de dévier le regard de Sam juste après.

Ils s’installèrent comme ils purent pour être bien cachés, recouverts par toutes les feuilles qu’ils avaient à disposition. Ils étaient " emboîtés " afin de prendre la moins de place possible et de se tenir un peu au chaud, jack avais passé son bras sur celui de Sam, ils commençaient à essayer de s’endormir quand Jack se mis alors à rire

S : qu’y a-t-il de drôle mon colonel ?

J : vous pensez que Daniel et Teal’c se tiennent chaud ?

Sam rit à son tour

S : je pense que Teal’c lui a fait un de ses regards refroidissant si Daniel le lui a proposer

J : je donnerais tout ce que j’ai pour assister à ça

S : en effet, ça doit valoir le détour

J : seulement si Daniel n’est pas déjà mort

S : Teal’c a du le protéger pour le moment, je suis sur qu’ils vont bien, ils sont pleins de ressources

J : le petit scarabée est parfois capable de nous étonner

S : laissons lui la bénéfice du doute

J : vous avez raison

S : bonne nuit mon colonel

J : bonne ? le matelas est un peut raide, le radiateur en panne, mon ventre crie encore famine et on se lève à 5H demain matin… mais je suis peut être un peut trop pessimiste, vous avez raison, peut être que nous allons passer une bonne nuit quand même

S : à demain.

J : à demain

Ils trouvèrent assez rapidement le sommeil, Jack attendis que Sam s’endorme pour pouvoir mieux se rapprocher d’elle afin qu’elle n’ai pas froid, il préférait attendre pour ne pas a avoir à subir une ambiance tendue entre eux et qu’elle ne se sente pas gênée.

*********

le lendemain

T : debout docteur Jackson !

D : ….mmmmm

T : et rendez moi ma veste !

D : quoi ?? ha oui… merci au fait…

T : j’ai pu me mettre en kelnourim, je n’en avais pas besoin

D : il est encore tôt, le soleil n’est pas encore là

T : il faut partir maintenant, on va aller à leur recherche en espérant qu’ils dorment toujours

Ils commencèrent à marcher très silencieusement, tout d’un coup, un bruit se fit entendre

D : c’est quoi ?

T : un animal à quatre pattes et avec deux longues oreilles

D : un lapin quoi ?

T : certainement

D : on peut le manger ?

T : seulement si vous voulez lui courir après et que vous acceptez de la viande crue car il est impossible de faire un feu

D : je m’en passerait dans ce cas… merci bien

T : …continuons notre route

************


S : ….mon colonel ?

J : shuutttt!

S : que...

J (chuchotant) : deux hommes derrières l’arbres !

Sam compris qu’ils ne devaient pas faire un geste

Homme 1 : mais par ou sont-il passé bon sang ?

Homme 2 : l’île est grande, patience

1 : le pire c’est qu’ils pensent vraiment réussir contre nous.

2 : ça me fait bien rire, en comptant un vieux, une femme et un manchot dans leurs équipe ! hahaha

Sam eu une réaction que Jack ressentit en la sentant se crisper

J (chuchotant) : shuut…

Il plaça son bras plus sur le sien pour la calmer

1 : ils n’on pas l’air dans le périmètre

2 : ils ont du abandonner la partie

1 : on aurait été prévenus…

2 : on fait une pause ?

1 : pourquoi pas…

ils s’assirent juste sur la racine qui couvrait les visage de Sam et de jack, ils essayèrent de contrôler leurs respirations, ils savaient que s’ils bougeait, les deux autres iraient bien plus vite qu’eux pour tirer.

1 : elle est pas mal la nana !

2 : le major ?

1 : ouais, je comprend pas ce qu’une femme comme ça fait dans ce genre d’endroit

2 : elle s’est perdue peut être

1 : ou alors c’est un homme…qui sait ?

Sam se sentait sur le point d’exploser, jack aussi, il ne supportait pas que l’on s’attaque à Sam de cette manière, mais il savaient qu’ils ne devaient pas bouger, jack saisit la main de Sam et la serra à plusieurs reprises pour lui faire comprendre ce qu’il en pensait et pour la rassurer

1 : faut dire que le nabot avec sa tête de teckel est pas mal non plus

2 : je lui ferait bien passer trois mois dans un camps d’entraînement

1 : il se ferait taper dessus par tous les autres gars de la base

2 : c’est sur, il aurait été le troufions de service

après que les deux homme eurent écraser leurs cigarette

1 : aller, on repart vers le nord, on ne sait jamais

ils se lèvent et commencèrent à partir

Jack et Sam saisirent leurs armes discrètement, et quand les deux homme étaient à distance raisonnable ils sortirent rapidement de leurs cachettes et Sam tira en plein dans la tête

1 : que…quoi ?

2 : aille !

S : allez vous faire foutre !!!!

J : vous allez le regretter messieurs, fallais pas nous énerver dès le matin !

Ils étaient touchés tous les deux dans les cheveux, derrière leurs cranes

1 : et merde !

S : un petit conseil, quand vous serez face à moi sergent lors de la fin de cette simulation, faites profil bas surtout !

1 : mouais…

S : on dit " à vos ordres major ! "

1 : à vos ordres major !

J : allez cassez vous vite fait et qu’on ait plus jamais à faire à vous

2 : à vos ordre mon Colonel

J : … autre chose…vous ne voulez pas que ça se sache n’est ce pas ?

2 : non mon colonel

J : enlevez vos fringues et retournez au camps en sous-vêtements !

1 : pardon ?

J : on dit " pardon mon colonel ! " et il n’y a pas de mais ! ça vous fera les pieds

1 et 2 : a vos ordres mon colonel

Ils se mirent en caleçon et partirent vers la plage pour rejoindre le camp

J : la punition n’est peut être pas assez lourde major ?

S : c’est parfait mon colonel, je n’ai pas envi d’avoir à m’expliquer avec les supérieurs, et ils ne dirons rien, j’en suis convaincue

J : alors on reprend notre route, vous venez ?

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6 sur 15… bon début

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Daniel et Teal’c marchaient en silence, quand ils passèrent derrière un grand rocher et qu’ils tombèrent nez à nez avec des soldats, Teal’c tira Daniel derrière le rocher avant que ce dernier ne soit touché, une fusillade commença entre les deux groupes

D : combien sont-ils ?

T : j’en compte trois

Teal’c passa sa tête au dessus du rocher et tira plusieurs balles de bille de couleurs

T : ils ne sont plus que deux, vous sentez vous près docteur Jackson ?

D : ben… il faudra bien !

Synchronisés, ils firent apparition de derrière le rocher et tirèrent, mais les deux soldats restant firent feu également, le rocher pris des couleurs, mais personne ne s’arrêta

D : aille !

T : vous êtes touché !

D : et merde !

T : c’est finit pour vous

D : il n’en reste qu’un !

T : je l’aurais, partez maintenant, mais laissez moi vos billes de couleurs

Daniel vida son chargeur sur le sol et partit en levant son arme, Teal’c pris une grande respiration et refit surface, puis réussit à toucher le dernier soldat.

Daniel repartit avec eux

Soldat : plutôt balèze votre copain

D : oui, il ne faut pas se frotter à lui

Soldat : on vous a eu vous, c’est déjà pas mal

En arrivant au camp, Daniel eu la joie de voir que ni jack ni Sam n’étaient présent

D : si je compte bien, ça fait trois contre onze pour le moment

Mais deux autres soldat arrivèrent

Général : que c’est-il passé ?

Soldat : ils étaient dans les arbre mon colonel, on ne les avaient pas vus.

Général (vers Daniel) : vous avez peut être une explication au fait que deux de mes soldats soit revenus en sous-vêtement ?

D : en sous-vêtements ?

Général : ce n’est pas vous ? … ils n’ont rien voulu me dire…

D : ils ont du énerver jack, c’est la seule possibilité !

Général : je lui demanderait plus tard

D : maintenant ça fait 3 contre 9 ?

Général : encore 4 et vos amis ont gagner la partie

D : je suis sur que c’est dans leurs capacités

Général : on verra ça…

**********

sur le front

J : vous avez entendu ?

S : oui, c’est tout près

J : ça ressemble à une fusillade

S : allons voir

Ils marchèrent silencieusement jusqu'à voir de dos un soldat qui tirait contre Teal’c qui était allongé derrière un arbre mort

J : c’est notre jour de chance

Jack et Sam tirèrent et atteignirent l’homme sans vraiment de difficultés, il leva son arme et partit tête baissée

T : je suis content de vous voir

J : nous aussi… je vois que Daniel n’est plus de la partie

T : effectivement, le docteur Jackson s’est fait tirer dessus

J : quand ?

T : en début d’après midi

J : il a quand même tenu la nuit… pas mal

T : il a même abattu un des hommes

J : c’est déjà ça

T : et vous en êtes à combien de votre côté ?

S : sept avec celui là et vous ?

T : cinq

J : pas mal du tout… ça fait…

S : douze mon colonel

J : je sais encore conter major

S : excusez moi mon colonel

J : … sur mes doigts…mais j’y serais arriver quand même

Elle lui sourit

T : comment fait-on O’Neil ?

J : on se re-sépare, il nous en reste trois

T : à vos ordres O’Neil

J : je doit avouer que je suis plutôt fier de vous, vous faites du bon boulot

T : dites vous cela parce que Daniel Jackson n’est pas la ?

J : non, il a fait du bon boulot en se faisant toucher… où au juste ?

T : au bras

J : alors en temps réel il ne serait même pas mort ! c’est plutôt bon, je le féliciterait aussi, ne vous en faites pas

S : mon colonel il vaux mieux se mettre à couvert, nous sommes trop exposés ici

J : vous avez raison… à plus tard Teal’c

T : la nuit va tomber…à demain O’Neil, major Carter

J : j’aurais aimer que ce satané jeu se finisse avant…

Teal’c allait partir

S : attendez, prenez au moins cette gourde… il reste le nécessaire pour vous ce soir

T : merci major Carter

Puis il s’en alla

J : on continu par l’est carter

S : il nous faut trouver à manger mon colonel

J : je sais, moi aussi je commence à avoir faim

S : notre dernier repas remonte à presque 24 H maintenant, et il était assez maigre

J : mission de survie en milieux hostile… c’est le but !

Ils partirent à couverts et réussirent à trouver un arbuste avec des baies

J : le repas est servi !

S : bon appétit mon colonel

**********

la nuit arrivait, Teal’c essaya de se remettre en Kelnourim, mais la fraîcheur était plus intense que la nuit dernière, il se mit dans un trou, à l’abris du vent. Il avait vraiment sommeil car la nuit passée, sa méditation avait été intense, mais il ouvrit les yeux après avoir entendu un bruit

soldat : tu préfère te déclarer mort ou tu veux quand même que je tire ?

le soldat le tenait à bout portant

T : je préfère mourir que de me déclarer mort

Soldat : quoi ???

T : …

Soldat : alors je tire ?

T : oui, je ne suis pas un traite

Le soldat acquiesça et tira sur Teal’c, ce dernier n’avait de toute façon aucun moyen de se défendre

T : je suppose que je doit retourner au camps maintenant ?

Soldat : exacte

T : je vais juste vous dire une chose… vous avez peut être gagner une bataille, mais vous n’avez pas gagner la guerre… j’ai entendu ça à la télévision

Soldat : je connais cette phrase, mais va-t-en vite, les morts ne parlent pas !

Teal’c s’en alla rejoindre le camps

********

D : Teal’c ???

T : j’ai échouer Daniel Jackson

D : si je m’attendait à ça…

T : le colonel et la major vont bien par contre

D : vous les avez vu ?

T : oui, le major m’a même passé une gourde

D : … ingénieux

T : ou en sont les contes ?

D : encore trois et on a gagner

T : nous y parviendrons

D : j’en suis sur… mais la nuit est rude ce soir

T : elle est bien plus fraîche qu’hier docteur Jackson

*******

Jack et Sam étaient maintenant près de la plage, toujours sous des feuillages épais, abrités du vent par un roché

J : qui aurais cru qu’il fasse si froid sur une île

S : toutes les îles ne sont pas paradisiaques mon colonel

J : je crois que maintenant c’est bien encré dans mon cerveau

S : rapprochez vous de moi !

J : restez polie major…

S (gênée) : désolée mon colonel mais…

J : je sais major, c’était pour vous taquiner un peut

Jack s’approcha alors de Sam, elle était allongée sur le dos, lui, était légèrement dessus, sans l’être totalement

J : ça va pour vous ?

S : il faudra bien mon colonel…

J : il fait quand même moins froid que dans une caverne de glace au pôle nord non ?

S : si monsieur

J : et pour une fois j’ai pas de côtes cassées

S : tant mieux monsieur

Un moment passa

GRrrrWWWwww

J : c’est quoi ça ?

S : excusez moi …

J : votre ventre ?

S : c’est ce qui ce passe quand on a faim non ?

J : je vous avait dit de manger ces racines !

S : vous aviez manger moins que moi hier mon colonel

J : c’est pas une raison !

Jack mis sa main dans la poche du côté de son treillis

J : mangez ça !

S : qu’est ce que… ?

J : j’en ai garder au cas ou

S : gardez le pour demain

J : carter, je me sert de vous comme oreiller, alors si j’en voulais un qui vibre je l’aurais commander dans une brochure

Sam attrapa le fruit et le mangea

S : monsieur ?

J : quoi ?

S : c’est…

J (se dégageant) : excusez moi, j’ai oublier de retirer mon arme de ma main… il vaut mieux être prudent non ?

S : .. oui oui

Le silence se réinstalla, mais Sam avait de plus en plus de mal à respirer

J : quoi ?

S : c’est que…

J : dites !

S : vous êtes un peu plus lourd que moi mon colonel et vous appuyez sur ma cage thoracique…

Jack se sentit atrocement gêné

J : on va faire l’inverse alors…

Jack se redressa un peu pour permettre à Sam de se pousser, puis il s’allongea sur le dos

J : allez y

Sam hésitait, mais elle sentait le froid reprendre le dessus depuis qu’elle s’était relevée

J : major !

S : oui, excusez moi mon colonel…

Elle se mis sur lui, la tête reposant sur la poitrine de jack

S : je ne suis pas trop lourde mon colonel ?

J : tout va bien carter, j’arrive à respirer

Jack plaça ses mains sur les bras de Sam puis les frotta assez fort pour la réchauffer, Sam ne put retenir un " mmm " quand elle sentit la chaleur. Jack souriait comme elle commença à s’endormir, il pouvait alors la prendre totalement dans ses bras pour mieux la protéger et s’endormir à son tour la tête dans les cheveux de Sam

Au cours de la nuit, le froid les avaient rattraper, Sam grelottait et Jack préféra la réveiller sachant que le sommeil était le pire des ennemis de la perte de connaissance

J : Carter… carter…ohoh…

Sam tremblais encore

J : carter réveillez vous !

S : … mon … mon co… colonel….

J : réveillez vous carter, vous tremblez !

S : je… je vais allez faire un … un jogging si vous voulez ?

J : ne dites pas de bêtises !

Jack se remis à frotter énergiquement les bras de Sam, ainsi que son dos

S : vous n’avez pas froid vous ?

J : si, mais moins que vous vu que c’est vous qui êtes sur moi. Vous voulez qu’on réessaye l’inverse ?

S : sans vouloir vous vexé mon colonel…

J : je sais que je suis trop lourd… je vous promet de me mettre au régime, mais si je me tient sur mes coudes ça devrait aller.

S : je… je ne sais pas

J : on va essayer sinon vous serez une " Carter freez " d’ici demain

Jack reposa Sam à terre, elle fermait les yeux pour ne plus penser au froid, ses mains étaient toutes recroquevillés. Il glissa un bras sous l’épaule de Sam, se reposant sur son coude pour ne pas faire trop lourd, il se plaça sur elle en ouvrant sa veste, car il est connu que la chaleur passe mieux.

J : vos mains…placez les sous la veste

S : quoi ?

J : entrez vos bras sous ma veste

Sam s’exécuta, elle enlaça jack qui frissonna au contacte de ses mains glacée

S : désolée

J : mais non, ne le soyez pas… ça va mieux ?

S : oui… merci

J : je pense que demain tout sera fini

S : je pense aussi, on a déjà pas mal réussit

J : ouais, je vais peut-être conserver mon poste finalement

S : j’en suis convaincu

J : merci

S : que deviendraient les couloirs de la base sans vous ?

J : je vous interdit de vous moquez de moi !

S : désolée, mais il ne faut pas que je m’endorme avant que je n’ai plus froid

J : ok… on va faire la conversation alors

S : parlez de ce que vous voulez, je vous écoute… mais ne vous arrêtez pas

J : je parle tout seul ?

S : commencez, je vous répondrait si vous posez une question

J : ok… alors… il fait beau… non, pas tant que ça… on recommence : sympas la foret ! on dirait la même que sur P4X machin chouette… ça manque de serpents, j’en aurait bien démolie un ou deux…

Jack sentait que Sam ne l’écoutait pas du tout

J : carter ne dormez pas ! pas maintenant en tout cas ! il va faire jour d’ici une heure, on aura le temps de dormir après ça, quitte à ce qu’on ne se réveille que très tard dans la journée

S : je… j’écoute

J : je ne crois pas… si je veux avoir une chance de vous intéresser, il faudrait que je parle " le scientifique "

Sam sourit difficilement

J : ben tien, faites moi un cours tant qu’on y est !

S : pardon ?

J : ouais, faites moi un cour de physique ou autre chose comme ça ! ça nous tiendra éveillés !

Sam chercha de quoi elle pourrait bien parler, ce n’était pas chose facile

S : si … je vous parle de votre pire ennemis ça ne vous ennui pas ?

J : ce cher réacteur… allez y, je vous écoute !

S : je suis en train de chercher comment le rendre utile, …le problème c’est que les deux composants ne sont pas de la même densité, je n’arrive pas à les faire tenir au même niveau, le plus dure est de comprendre pourquoi le Naquada réagit seulement à ces deux là

J : c’est quoi les composants ?

S : l’Hélium et le Carbone 14

J : l’hélium ? j’espère que vous n’en respirez pas trop…

S : c’est en liquide mon colonel

J : c’est pas un gaz et un matériaux ?

S : pas avec le défragmenteur je les ai rendu liquides

J : la grande Sam carter bouleverse la science et refait le monde !

S : je ne fait qu’utiliser les technologies aliènes

J : et vos composants ne sont pas copains apparemment !

S : ils ont tous pour l’être, je ne comprend pas pourquoi ils ne veulent pas se mélanger…

J : ils n’on peut être pas le droit, les lois de la physiques ne sont pas encore connues de tous non ?

S : en effet… c’est le but de mon travail

J : et vous pensez arriver à les faire fusionner même si le grand manitou ne veux pas ?

S : j’y arriverais

J : alors je vous crois

Sam bougea ses mains qui s’étaient un peu réchauffés, ce qui fit frissonner Jack

S : excusez moi

J : c’est rien, je vous l’ai déjà dit

S : j’ai sommeil…

J : tenez encore une petite heure

S : j’y arriverais

J : je sais… on parle de quoi maintenant ?

S : le naquada ne vous intéresse pas ?

J : c’est pas ça, mais je préfère un bon vieux compte de fée !

S : je n’en connais aucun

J : c’est vrai ?

S : mes parents trouvaient ça cruel

J : les comptes de fée ?

S : vous poserez la question à mon père !

J : j’y manquerais pas…

S : vous m’en racontez un ?

J : si vous voulez… lequel ?

S : aucune idée… choisissez

J : … mon préféré alors… " la belle aux bois dormant " !

S : je vous écoute

J : ne vous endormez pas alors !

S : promis

J : c’est partit … il était une fois une chouette nana qui était plutôt jolie, certains disent que c’est un vrai canon ! mais quand ses parents ont fait une super fête pour se saouler, une méchante sorcière qui n’avait pas été invitée arriva quand même, elle se croyais chez elle ! mais elle lui prédit qu’elle allais mourir…pas top du tout ! puis…

Il continua son histoire, la faisant plus rire qu’autre chose, mais au moins ça les maintenaient éveillés en attendant le jour qui les réchaufferais un peut

J : et enfin, après s’être donné du mal à traversé la foret, le prince trouva la belle aux bois dormant endormie… logique c’est le titre de l’histoire ! …alors il la regarda et la trouva superbe, ses cheveux blond et ses lèvres roses l’envoûtèrent complètement, elle était pas mal conservée pour quelqu’un de plus de 100 ans se dit-il… puis il se pencha vers elle, et déposa un tendre baiser sur ses lèvre

Jack regardait Sam, elle était entre le sommeil et le rêve, depuis le début de son histoire elle souriait et riait doucement parfois, il se pencha vers elle et déposa un baiser sur ces lèvre, elle ne réagit pas tout de suite, pensant que c’était le produit de son imagination, jack se redressa et la regarda encore

J : puis la princesse ouvrit les yeux… et tout le château se réveilla avec elle, le maléfice était rompu.

Le soleil se leva à ce moment précis, dégageant toute la lumière qu’il fallait à Sam pour comprendre ce qui se passait, elle ouvrit alors les yeux et trouva les yeux de jack plongés dans les siens

S : et ?

J : … et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.

Ils se regardaient dans les yeux à demis clos par la fatigue, la main de Jack monta jusqu’au visage de Sam, il se rapprocha à nouveau de son visage et l’embrassa à nouveau, un baiser très tendre et très léger

J : je crois qu’il est temps pour ma belle aux bois dormant de fermer ses yeux après cette longue histoire

Sam serra plus fort Jack dans ses bras, et tous les deux, fermèrent les yeux pour s’endormire enfin, sous le léger soleil qui commençait un peut à les réchauffer.

Leur petit camps provisoire semblait tout d’un coup le plus agréable des lits qu’ils n’aient jamais occupés de leurs vies

***********

au petit matin

Il devait être 11H du matin quand Sam ouvrit les yeux la première, elle était encore fatiguée de la nuit très longue, mais elle n’avait plus froid du tout. Elles entait jack très proche d’elle, elle se demanda un instant si elle avait rêver. Le réveil de Jack la conforta, il la serra un peut plus dans ses bras

S : bonjour

J : … bonjour…

S : bien dormi ?

J : jamais aussi bien…

Après un moment de réveil

S : je… je pense qu’il est temps de finir notre mission

J : les plants ont provisoirement changer

S : comment ça ?

Jack se pencha vers elle et l’embrassa

J : mission accomplie

Sam lui sourie

S : si on veux pouvoir faire un débriefings vivant il faut peut être se lever ?

J : ok, on y va, mais tu n’y échappera pas major

S : a tes ordres mon colonel

Après un bref sourire et un autre long, mais alors long baiser…, ils sortirent de leurs grandes herbes en prenant garde à ne pas se faire voir.

J : j’ai envi de casser du soldat aujourd’hui !

S : motivé ?

J : je dirait plutôt : pressé de rentrer à la maison !

S : 100% d’accord avec toi…

J : alors on y vas, plus vite ce sera fait, plus vite je te raconterais la suite de mon histoire

S : il y a une suite ?

J : bien sur, c’est un compte " spécial jack "

Ils partirent donc vers la foret plus profonde, cherchant un indice pour ne pas à avoir à parcourir toute l’île inutilement, car le terrain restait la même mais les ennemis se faisaient plus rares.

J : tu entend quelque chose ?

S : vaguement, je pense que ça viens de l’ouest mon colonel

J : on y va

Ils s’approchèrent

J : c’est risqué, on a plus le droit à l’erreur, je veux que tu ailles dans cet arbre, restes y, je vais les déterrer, ils ne penserons pas te trouver là

S : tu les prend de l’autre côté ?

J : ouais, je vais faire le tour

S : donc d’ici un quart d’heure c’est ça ?

J : … possible… disons que ce sera quand je serais en opposition et seulement si il y a effectivement des ennemis ici

S : logique !

J : bonne chance

S : toi aussi

Il la surpris en l’embrassant rapidement avant de s’écarter dans un clin d’œil puis de disparaître derrière les broussailles

Perchées sur son arbre, Sam attendait le signal, si toutefois il y en avait un, mais elle n’entendis rien du tout. Au bout d’une demie heure, elle entendis des pas, elle se retourna et vit un homme arriver en face d’elle, elle arma son fusil et attendis le moment propice pour ne pas le louper, mais elle fut arrêtée par un autre soldat qui appela le premier

Sold 1 : hey ! vient par là ! Marco a trouver de l’eau !

Sold : 2 : c’est vrai ?

Sold1 : allez viens !

Sold 2 : je n’ai croiser un groupe de 3 autres vers l’est tout à l’heure !

Sold 1 : on les a vu aussit !

Sam ne pouvait rien faire pour le moment, les deux individus était trop loin, et à cause des branchages, elle ne pouvait pas tirer sur eux, mais ils disparurent derrière les rochers et changèrent de chemins

Sam descendis alors de l’arbre, n’ayant aucune nouvelle de Jack, une chose est sure, il n’avait pas été touché, elle aurait entendu les tirs et cet homme n’aurais pas prétendus n’avoir trouver personne, elle les suivis de loin

Ils se regroupèrent autour de la même source à laquelle jack et Sam avaient trouver l’eau la première fois, elle alla se raperché sur un arbre pour examiner la situation

Sold 1 : on se repose un peut ici et on repart vers le nord

Sold 2 : je vais aller vers le sud alors

Sold 3 : sait-on combien il en reste ?

Sold2 : aucune idée

Sam fit rapidement le conte, les trois derniers soldats dont ils avaient besoins se trouvaient là, mais ou était jack ??

Elle leva la tête pour examiner les alentour, et le vit enfin, perché dans un arbre également, lui l’avait déjà vu depuis un moment, mais ne pouvais pas la prévenir, il lui fit les signes nécessaires, il fallait attaquer maintenant !

Jack fit un signe en faisant un décompte de trois à zéro, à zéro, Sam et lui ouvrirent le feu, ils arrivèrent assez rapidement à en maîtriser deux, mais le troisième se fit plus coriace, il commençait à s’acharner sur jack, comme s’il n’avais pas vu la présence de Sam, elle descendis rapidement de l’arbre et essaya d’avoir un meilleur angle de vue

J : Aille !

Sold : je vous ai eu !

J : je sais !

Sam se fit la plus discrète possible, jack descendit de son arbre

Sold : allez, va-t-en le vieux !

S : tu parle un peu vite à mon goût !

Et Sam lui tira une rafale de balle

Sold : AILLLLLLLLEEEEEEEE mais arrêtez !!!!

J : calme toi Sam

S : désolé mon colonel, mais les morts ne parlent pas

J : tu vois bien qu’il est mort !

S : on ne traite personne de vieux ici !

Les trois soldats se relevèrent et commencèrent à partir armes levées vers le ciel.

J (s’approchant) : tu as survécue !

S : on dirait bien oui

J : bravo

S : merci mon colonel

J : je pense que je devrais aller rejoindre le camps

S : si mon compte est bon le jeu est finit

J : on va pas prendre de risque, je sais que tu sais compter, mais on va attendre un peu, en plus il y a 20 soldat en tout, alors je ne veux pas qu’ils puissent te tirer dessus quand même.

S : ok, on se retrouve là bas

J : n’hésite pas à tirer encore au cas ou

S : promis

Slod 1 : vous venez ou vous faites la route tout seul ?

J : j’arrive !

Il fit un charmant sourire et partit avec les autres

J (au soldat sur lequel Sam s’est défoulée) : elle vous a pas louper !

Sold : coup de chance, c’est tout

J : un conseil, taisez vous si vous voulez pas qu’elle revienne à la charge

Sold : c’est une folle ?

J : non, le truc c’est qu’y faut pas l’énerver, à part ça c’est un ange

Sam continuait sa route, voilà presque une demie heure que jack était partit, elle ne savait pas trop quoi faire, mais il fallais bien continuer et rester sur ces gardes, elle repassa le film de cette nuit dans sa tête, elle n’en revenait toujours pas, à côté du froid, du sommeil et de la faim, elle avait passé la plus belle nuit de sa vie, sans doute la plus romantique qu’elle n’ai jamais passer, et maintenant, elle était enfin avec jack. Bien sur le futur lui faisait peur, mais elle avait ce sourire sur le visage qui ne voulais pas s’effacer…

Un grand bruit se fit entendre… un hélicoptère… le jeu était bel et bien finit, ils avaient gagner ! Jack devait être arrive au cap et elle devait le rejoindre à son tour. Sur le chemin, elle croisa quelques un des soldats qui restaient dans la partie.

Sold 1 : alors comme ça vous avez gagner ?

S : oui

Sold 1 : félicitation…comment vous avez fait ?

S : on s’est battus

Sold 2 : vous ?

S : qu’est ce qui vous étonne messieurs ?

Sold 1 : vous êtes…

S : une femme ?

Sold 2 : jusqu'à preuve du contraire oui

S : un conseil messieurs, si vous ne voulez pas qu’il vous arrive la même chose qu’a vos petits copains suite à cette réflexion, fermez là !

Sold 1 : ohhh… on a peur !!!!

Sam arma son chargeur et leurs tira dessus alors qu’elle n’était qu’a quelques mètres, ce qui fait très mal.

S : on ne parle pas sur ce ton à un supérieur messieurs, et encore moins à une dame pour votre gouverne, à moins que vous ne n’acceptiez qu’on parle de cette manière à vos mamans !

Sold : ok ok… on s’exuse…

Ils continuèrent leurs routes jusqu’au camp

*********

arrivés à destination…

D : la voilà !

J : ou ça ?

D : droit devant… on dirait qu’elle est bien entourée

J : c’est qui ceux là ?

D : … jaloux ?

J : non… mais c’est qui ?

T : le major carter semble les avoir bien amochés

J : ça ne m’étonne pas tout à fait…

Sam arriva à leur hauteur

S : alors ?

D (la prenant dans ses bras) : vous avez été fantastique Sam !

S : merci

T (saluant) : Daniel Jackson a raison Major Carter, vous avez gagner !

S : merci Teal’c…

D: vous ne dites rien Jack?

J : j’ai déjà féliciter Carter, et je recommencerais, mais pour le moment, je suis sur que la princesse meurt de faim, n’est ce pas ?

S : en effet mon colonel

J : alors venez, on a un super pain rassit à vous proposer, et de l’eau du robinet

S : ça fera parfaitement l’affaire mon colonel

J : juste une question … qu’avez vous fait à ces type ?

S : je dirais plus… qu’est ce qu’ils m’on fait ?

J : et quoi ?

S : les mêmes genres de remarques que les deux autres

J : je leurs avaient dit qu’ils fallais pas vous énerver pourtant !

S : ils n’ont pas bien reçus le message apparemment

D : c’est quoi cette histoire ?

J : on vous expliquera ça quand vous serez plus grand !

Le Général s’approcha d’eux

G : le regroupement des troupes est prévu pour dans dix minutes

J : on y sera général

G : félicitation, je n’aurait jamais cru que vous y arriveriez

J : pourquoi tout le monde nous sous estime tout le temps ?

D : c’est peut être ce qui fait notre force …

S : possible en effet

Le général s’en alla, il fallais qu’il prenne note de tous les évènement qui pouvaient avoir eu lieu pendant cette mission. Pendant ce temps, Jack trouva de la nourriture à donner à Sam

S : merci

J : tu le mérite

Sourire*

S : on ne leurs dit rien ?

J : j’ai penser qu’il fallais mieux attendre, et puis ce général on ne le connais pas…

S : tu as eu raison

J : comme toujours voyons !

D (qui arrivait) : à propos de quoi ?

J : de rien… si on allais écouter ce que ce brave général a à nous dire ?

S : bonne idée mon colonel

Ils passèrent devant Daniel et allèrent avec les autres soldats

Général : garde a vous ! … très bien messieurs… et madame, vous venez d’effectuer une mission de trois jours dont deux nuit sur cette île. Je tient à saluer l’équipe du colonel O’Neil, qui, même en infériorité numérique à su remporter haut la main ce combat. … il me reste certains points à éclaircir cependant… sergent Tonnes ?

Sergent T : mon général ?

Général : puis je enfin avoir la raison de l’absence de vos vêtement ?

Sergent T : je suis désolé mon général

Général : peut être que le colonel O’Neil à une explication à nous fournir ?

J : moi ? qu’est ce qui vous fait dire ça ?

Général : c’est juste pour m’en assurer… bien, je vois que notre commando surentraîné ne l’est pas tant que ça… messieurs, vous reprenez l’entraînement dès demain à la première heure, quand à vous colonel, major, docteur et… Murray…je pense que l’hélicoptère qui est là vous ramènera à bon port. Autre chose… major carter ?

S : mon général !

Général : vous êtes un sacré bout de femme vous savez ça ?

Sam lui souriait tandis que quelques soldat essayaient de se la faire discrète.

S : je prend ça comme un compliment général

Général : c’en est un major carter, l’armée américaine peut être fière de vous

S : merci général

J (peu fort) : attendez de la voire en colère… wow !

Général : pardon colonel ?

J : moi ? … non, j’ai rien dit…

Général : parfait, alors je pense que j’ai fait le tour de la question, soldats repos !

SG1 fit ses adieux au autres soldats, tout du moins ceux avec qui ils étaient en bon terme, mais même ceux qui en avaient à se faire reprocher, vinrent présenter leurs excuses que jack eu du mal à accorder.

S : au fait mon colonel vous n’avez pas oublier quelque chose ?

J : quoi ? non, je ne vois pas…

S : vous aviez promis de le faire !

T : je confirme

J : ha… ce truc…

D : quoi ?

S : mon colonel !!!!!

J : ok…. Rmm…. Bon, Daniel! Je doit vous dire que je suis fière que vous ayez tenus une nuit, c’est très bien !

D : c’est vrai ? un compliment ?

J : et oui…. Mais ne vous y habituez pas trop surtout

D : ho je m’en doute…. Je vous demanderaient juste de le répéter devant un dictaphone

J : ne commencez pas à me… !!!

Et voilà, SG1 pu enfin retourner à ma base, profitant à Sam et Jack de pourvoir être seuls et au chaud pendant qu’ils vivaient secrètement leur nouvelle vie l’un avec l’autre…

FIN

J’espère que ça vous a plut ! dites moi si c’est le cas

(ou même si ça l’est pas…je suis preneuse de conseils)

Biz à tous

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