On auraient tous fait pareil

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

genre : cross over JAG- stargate (encore, je sait, mais la prochaine fois, ce sera avec une autre série) et ROMANCE

résumé : petit cross over entre JAG et stargate, cette fois, victime d’une agression, Sam se fait venir en aide par Jack, mais cette vengeance va beaucoup trop loin…

disclaimer : pas à moi, séries respective…… pas de sous……

note de l’auteur : comme je l’ai dit, je ferait un autre cross over, mais avec d’autres séries, et oui, il y en a d’autres qui peuvent s’adapter !

on auraient tous fait pareil

SG1 était dans un bar, proche de la mer, afin de mettre un terme à leurs vacances, ils avaient décider de ce réunir là, afin de profiter une dernière fois de leur bonne vielle terre avant da partir pour un bon moment.

Jack, Sam, Daniel et Teal’c étaient assis dans cet ordre sur des transats sur la plage, face à l’océan. La nuit était tombée, et ils avaient tous une bière à la main.

J : on est pas bien là ?

D : oh que si, et je doit dire que je suis pas super motivé pour rentrer !

T : la terre à besoin de notre aide docteur Jackson.

S : pour ma part, j’ai bien profité de mes vacances.

J : ah ouais, et vous avez fait quoi ? travailler ?

S : pas du tout…

D : vous mentez !

S : je vous dit que non, …j’ai été faire du bateau avec Cassi, et la deuxième semaine, je me suis occupées de mes neveux, les enfants de mon frère.

J : moi, j’ai été pêcher, histoire de changer…

D : vous m’avez ôté les mots de la bouche Jack !

J : et j’a réussi à pêcher le monstre du Loch Ness ! enfin presque, il était tout pas beau, mais dans l’assiette, c’était un régal !

S : et vous Daniel ?

D : et bien Teal’c et moi avons pas mal bosser, et je lui ait montrer la vie sur terre, pour qu’il en sache un peu plus.

J : qu’avez vous retenus Teal’c ?

T : que le peuple de la Tori est très complexe.

S : comment ça ?

T : les Tori ne veulent pas dire se qu’ils pensent réellement, certains n’osent pas…

D (l’interrompant) : oui enfin, je lui ait appris à avoir plus de tact.

J : bonne idée ça !

S : i commence à faire froid, si on allait à l’intérieur.

J : allons y alors.

D : si c’est ce que madame désire..

S : merci, c’est gentil.

Sam souriait à ses amis, qui mettaient plus de temps qu’elle à se lever, et elle se retourna pour prendre les devant, puis marcha en direction du bar.

J : elle à l’air motivée.

D : je pense qu’elle doit avoir hâte de retourner travailler.

J : son réacteur lui manque déjà ?

D : je ne sait pas… au fait, elle a encore refuser de partir avec vous à la pêche ?

J : je ne lui ait pas demandé…

T : pour quelle raison O’Neill ?

J : ben…elle allait encore me sortir une excuse qui ne tien pas debout, et elle aurait refusé.

D : je n’en suis pas si sur.

J : qu’est ce qui vous fait dire ça ?

D : depuis quelques temps, vous semblez vous rapprocher tous les deux…

J : de toute façon, je suis trop vieux pour elle…

D : depuis le temps que vous me dites ça Jack, ça va finir par être vrai…

J : peu importe, elle à l’air heureuse, c’est tout ce qui compte.

T : je pense que e major Carter nous attend.

D : on y va.

Ils se dirigèrent tous les trois vers le bar, et cherchèrent Sam des yeux.

D : ou est-elle ?

J : je ne sait pas…

T : je sent sa présence…

J : elle sent pas si fort que ça pourtant !

T : non, je sent la présence de Jolinar O’Neill.

J : et ou sont-il ?

D : Teal’c n’est pas encore équipé d’un radar Jack !

J : bon, ou elle est ?

Daniel se dirigea vers un homme habillé en uniforme de marin, attablé avec un autre homme.

D : excusez moi, vous n’avez pas vu une jeune femme, blonde aux cheveux court ?

Homme : celle qui as un joli petit cul ?

D : euh…disons que…. En fait….

J : oui, c’est elle qu’on cherche !

Homme : elle est partie !

T : non monsieur.

Homme : t’es qui toit ?

T : je suis T…

J (le coupant) : on veux savoir ou elle est !

Homme : partie je vous dit.

J : partie ou ?

L’homme regarda son copain et se mit à rire, ce qu énervait jack au plus haut point.

Jack pris l’homme par son col, et le souleva.

J (en colère) : dites moi tout de suite ou elle est sinon, je vous fracasse votre crâne en deux, j’ai été assez clair ?

Homme : vous croyez qu’un papy comme vous ça me fait peur ?

D : vous n’auriez jamais du dire ça, vous êtes en train de parler de son major !

T : colonel O’Neill, je pense qu’il serait plus sage si vous le laissiez tranquille, il n’en vaux pas la peine.

D : il a raison Jack.

Homme : ou ça s’est vu ça que le colonel y s’en fait autant pour son major ?

J : tu vas me dire ou elle est !

Homme : attendez, je réfléchit une seconde…

Il regarda encore l’autre homme qui pouffait de rire, et lorsqu’il tourna la tête pour revenir vers Jack, il ne vit pas son poing qui arrivait dans le même sens, et se le pris de plein fouet.

J : alors, ou elle est ?

Homme (en sang) : dehors, là bas, mais vous me le paierez !

J : désolé, j’ai oublier ma carte Visa !

Les trois membres de SG1 se dirigèrent vers dehors, ils cherchaient un instant des yeux pour savoir ou se trouvait Sam, mais ils ne la virent pas.

J : ou elle est partie ?

D : ça ne lui ressemble pas !

T : elle est encore proche, je peu la sentir.

J : alors il faut la trouver !

HHHHAAAAAA

J : c’est quoi ça ?

D : c’est Sam !

J : ça viens d’ou ?

D : de là bas, je crois !

Daniel désignait un gros camion, ils se mirent alors à courir pour aller voir ce qui se passe derrière.

La sang de Jack ne fit qu’un tour, il avait devant les yeux, sa Sam, se faisant martelé de coups, et attacher par un drôle de type, lui aussi habillé en marin.

Type : alors ma jolie…t’es pas contente…

J : sale con !

Type : t’es qui ?

Jack lui fit son meilleur crochet du gauche, et le gamin s’étala sur le sol, laissant tomber Sam à terre, elle paraissait inconsciente.

Jack se dirigea encore vers le jeune marin, et lui enchaîna encore quelques coups très durs, puis, il se releva, et lui donna des coups de pieds dans le ventre

D : Jack, c’est bon, je pense qu’il à eu son compte.

J : NON !

T : O’Neill, vous allez le tuer !

J : m’en fout, il avait cas pas…

S (très faiblement) : nonnnnnnnn………

Il s’arrêta en voyant Sam sur le sol, qui ouvrait à peine les yeux, et qui lui demandait d’arrêter. Il se dirigea alors vers elle et la pris dans ses bras.

J : ça va aller ???

S : j’ai juste mal mon colonel…

J : ce type va regretter ce qu’il à fait.

D : je crois qu’il a déjà payer.

J : Teal’c, allez appeler une ambulance !

Jack resta là, tenant Sam dans ses bras, elle pleurait un peu, et lui, il essuyait ses larmes, d’un geste plus qu’amical, il lui remis sa mèche de cheveux derrière l’oreille pour dégager son beau visage.

D : l’ambulance les ambulances sont là Jack !

Jack laissa Sam aux mains des ambulanciers, et monta avec elle dans l’ambulance pour qu’elle ait moins peur. L’autre homme, toujours sur le sol, gisait encore, jusqu'à ce qu’une équipe s’occupe de lui.

J : on se retrouve là bas Daniel !

Les portes de l’ambulance se refermèrent, et la sirène stridente se fit entendre.

D (regardant s’éloigner le véhicule) : aller Teal’c, il faut arriver là bas rapidement.

T : docteur Jackson, je me demande si il ne faut as aussi prévenir le docteur Frasier, après tout, la Major Carter à des restes de Jolinar en elle, et il se peut que ces individus s’en aperçoivent !

D : vous avez raison, je les appelles tout de suite

Daniel sortit son portable et réussit à parler directement au général, celui ci, qui justement, appela les autorités responsables pour ne pas faire de prise de sang au major, jusqu'à l’arrivée d’une équipe médicale de la base.

A l’hôpital, Sam reçue les premiers soins, puis, elle fut placée dans un lit en attendant l’arrivée du docteur Frasier. Le médecin qu’y l’avait ausculté vint voir jack, pour le tenir au courant.

Docteur : bonjour, vous êtes de la famille ?

J : non, je suis un amis. Est ce qu’elle va bien ?

Docteur : il y a eu plus de peur que de mal.

J : ce qui veut dire ?

Docteur : je suis désolé, mais ce sera à elle de vous en parler, je suis tenu par le secret médical.

J : ça veux dire que je peu aller là voir ?

Docteur : oui, mais un certain docteur Frasier devrai arriver dans dix minutes, alors il ne faudra pas le déranger dans son travail.

J : je la connais, ne vous en faites pas.

Jack entra dans le chambre de Sam, il la trouva tournée sur un côté, regroupée sur elle même.

J : comment allez vous ?

S : ça va.

J : le médecin dit que c’est moi grave que ça n’aurait pu l’être.

S : en effet, vous êtes arrivé à temps.

Elle ne se tournait toujours pas, alors Jack vit s’assoire face à elle, sur une chaise.

J : écoutez, je conçoit que vous ne vouliez pas m’en dire plus, je comprend, si vous voulez Janet ne va pas tarder, vous pourrez parler avec elle.

S : je n’ai rien à raconter de particulier, merci mon colonel.

J : vous êtes sure que tout va bien ?

S : il n’a pas été jusqu’au bout si c’est ce que vous voulez savoir.

Sam ferma les yeux en disant ça, elle ne voulais pas croiser le regard de Jack. Elle répondait avec une certaine distances aux question, comme si elle ne ressentait rein de particulier, mais une larme coula sur son visage, et jack lui la ôta.

J : tout ce qui compte, c’est que désormais vous alliez bien… n’est ce pas ?

S : oui, vous avez raison mon colonel.

Quelqu’un frappa à la porte

J : vous voulez que j’aille ouvrir ?

S : c’es sûrement Daniel et Teal’c, faites les entrer.

Jack alla ouvrir la prote, et fit entrer ses amis.

D (à jack tout bas) : comment va-t-elle ?

J : pas super.

T : major carter, est ce que vous allez mieux ?

S : oui, merci Teal’c.

D : on n’a pas le droit de rester à trois, alors on vous laisse avec Jack.

S : comme vous voulez.

D (à jack tout doucement) : prenez soin d’elle.

Une fois les deux hommes partis, Jack revins à sa place, et la porte s’ouvra, mais sans frapper.

Frasier : colonel O’Neill, comment va le major Carter ?

S : je suis réveillée Janet.

Frasier : colonel, vous pouvez nous laisser !

Jack sortir après s’être effectivement sentit de trop.

Frasier : comment vous sentez vous Sam ?

S : je ne suis pas morte

Frasier : vous venez de vivre quelque chose de terrible, vous pouvez m’en parler si vous voulez…

Sam sourie malgré elle.

Fraser : qu’y a-t-il ?

S : c’est juste que le colonel venait à peu près de me dire la même chose

Frasier : on s’inquiète tous pour vous Sam…

S : merci.

Frasier : vous voulez me raconter se qui s’est passé ?

S : de toute façon, je ne pense qu’a ça, alors à l’oral ou dans ma tête… y a pas de changement.

Frasier : je vous écoute.

Sam pris une profonde respiration.

S : j’allais vers le bar ; pour prendre des places, je me suis arrêter au comptoir pour reprendre une bière, et j’ai regarder si les autre allaient arriver, mais ils étaient tous les trois sur la plage à discuter, alors je suis aller voir ce qu’il y avait sur les murs du bar, de vielles photo noir et blanc… j’aime bien les photos noir et blanc…

Frasier : prenez votre temps Sam…

Sam avala un sanglot avant de continuer

S : j’ai sentit un mais sur mon dos, je ne ma suis pas retournée, puis, quelqu’un m’a saisit les épaules doucement, et on m’a conduit dehors

Frasier : saviez vous qui c’était ?

S :non, je pensait que c’était…

Frasier : le colonel ?

Sam hocha la tête en signe d’affirmation

S : et quand j’ai sentit mes mains serrées très fortement, je me suis retournée, et je l’ai vu.

Frasier : que c’est-il passé ensuite ?

S : il m’a frapper d’abord au visage, puis, il m’a traîner jusque derrière un camion…puis, il a continuer à me frapper, à m’appeler par des nom bizarres, et c’est là que sont arrivés les autres.

Frasier : est ce qu’il vous a…

S : non, le colonel est arrivé à temps.

Frasier : je vais vous laisser vous reposer, on fera les examens nécessaires à la base.

S : à plus tard.

Frasier : essayer de ne plus penser à ça, tout va bien se passer !

S : merci.

Janet sortie, et alla à la rencontre des autres.

J : alors ?

Frasier : j’en saurait plus à la base messieurs.

D : comment supporte-t-elle le choc ?

Frasier : elle est solide, mais j’ai peur que ce ne soit encore un événement, qui vienne s’ajouter aux autres qu’elle a vécu, et qu’elle ne finisse par craquer.

Le silence était à son comble, puis, le docteur qui avait été le premier à ausculter Sam, revins vers eux.

D : que ce passe-t-il ?

Docteur : c’est l’autre homme…

J : et alors ?

Docteur : il vient de décéder sur la table d’opération.

Daniel ne pu retenir son " mon dieux " : jack n’en croyait pas ses oreilles, il venait de tuer un homme, ce n’était pas le premier, certes, d’ailleurs, il était obliger de tuer pas mal de Goa’uld, ou d’ennemis en cours de mission, mais là, il l’avait fait par rage, et il se fit peur à lui même.

La nuit se passa très mal pour tout le monde, Jack revoyait la scène ou Sam était mal au point, et le moment ou il s’acharnait sur cet homme, dans un sens, il regrettait de l’avoir frappe si fort, mais dans un autre, il avait le visage de Carter en mémoire, et ça, il le supportait encore moins.

Sam faisait des cauchemars à répétition, et se demandait pourquoi elle avait été aussi stupide de suivre cet homme, sans s’assurer que s’était bien Jack, et quand bien même s’était Jack, comment se fait-il qu’elle ait accepter de le suivre comme ça ?

Quand à Janet, Daniel et Teal’c, il se demandaient si ils n’avaient rien pu faire de plus pour leurs amis, et leur éviter de tel malheurs.

Le lendemain tout le mondé était de retour près de Sam qui était reste en observation pour la nuit, elle n’avait pas l’air très en forme et semblait avoir passé une très mauvaise nuit.

S : quand rentrons nous ?

Frasier : dès cet après midi.

S : tan mieux, je n’en peu plus d’être là.

J : ne vous en faites pas, dès que vous retrouverez votre labo, je suis sur que tout ira bien.

Frasier : modérément, sinon, je devrait vous confisquez les clés pour que vus vous reposiez !

TOC TOC TOC

Jack qui était tout près de la porte alla ouvrir

Homme : colonel Jack O’Neill ?

J : oui, c’est moi.

Homme : je suis le capitaine de corvette Harmon Rabb, j’aimerais que vous me suiviez !

J : je…j’arrive… (à ceux dans la salle) : je revient tout de suite.

H : je ne crois pas, vous allez devoir nous suivre jusqu’au cartier général du JAG pour répondre à un interrogatoire.

J : QUOI ?

Daniel sortit pour voir ce qui ce passait

D : Jack que ce passe-t-il ?

J : rien du tout Daniel, je crois que c’est un malentendu.

Un officier ; vous avez le droit de garder le silence…tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous…

J ;: mais lâchez moi !

D : arrêtez, il n’a rien fait !

Officier : vous avez le droit à un avocat, si vous n’en avez pas, nous vous en nommerons un d’office.

J : c’est ridicule.

H : Colonel Jonathan O’Neill vous êtes accuser de coup et blessure volontaires sur la personne du matelot 1ere classe Criss Ruden, et d’homicide sur la personne du second maître Tompson, de la NAVY.

J : vus n’avez pas le droit de faire ça !

H : nous en avons tous les droits !

J : ou m’emmenez vous ?

H : au cartier général du JAG

Jack se faisait emmener au loin déjà, et il se retourna vers Daniel

J : faites en sorte qu’elle ne s’inquiète pas surtout !

D : on va vous sortir de là jack, ne vous en faites pas !

Daniel retourna dans la chambre après un moment de réflexion, il devait annoncer ça en douceur.

Il se décida à rentrer

Janet : que ce passe-t-il Daniel, vous en faites une tête !

D : c’est que… il y a des militaires qui sont venus, et qui ont…disons… emmener Jack avec eux, pour qu’il réponde à quelques question les intéressant.

S (inquiète) : quels militaires ?

D : je ne sait pas, ils disent qu’ils sont du JAG ou quelque chose comme ça…

S : la NAVY ???

D : oui, c’est ça !

S : c’est atroce, il faut le sortir de là !

D : qu sont-ils au juste ?

Frasier : le JAG est le bureau des Juges Avocats Général, il sont spécialisés dans les problèmes juridiques concernant la flotte américaine.

D : en quoi cela a-t-il un rapport avec Jack ?

S : l’homme qui m’a agressé était de la marine, donc, si il y a un jugement, il revient au bureau de la marine.

D : jack m’a dit de vous dire de ne pas s’inquiéter Sam !

S : mais bien sur que je m’inquiète, cet homme est mort, et l’autre blessé, il risque très gros !

D : on va aller voir ce qui ce passe, on vous tient au courant !

S : certainement pas, je vains avec vous !

Frasier : Sam, ce n’est pas raisonnable…

S : ce sera pire si je reste ici à me poser des questions

Quelques temps plus tard, au JAG

Jack est dans une cellule très sombre depuis plusieurs heures, il n’a aucune idée de la suite des événement, et à vrai dire, il s’en fiche, il ne regrette rien, ce qui compte après tout, c’est que Sam aille bien, le reste n’avait aucune importance à ses yeux.

Des pas se firent entendre en dehors, il ne se leva même pas de sa chaise.

Une femme fit son apparition.

Femme : bonjour, je suis le lieutenant colonel Sarah Mackenzie, j’ai été désignée pour vous défendre par l’amiral Chegwidden.

J : écoutez moi jeune fille, vous n’avez pas le droit de me retenir ici, je n’ai fait que mon devoir !

M : parce que pour vous, tuer un homme, c’est un acte normal ?

J : il est décédé suite à ses blessures, mais je n’ai pas pu faire autrement !

M : vous a-t-il menacé ?

J : il à menacer mon major, c’est pareil !

M : et pour l’autre Criss Ruden ?

J : c’est fou ce que les jeunes manquent de respect de nos jours !

M : écoutez colonel O’Neill, ceci n’est pas une mascarade, vous allez être jugé, et je suis là pour vous aider !

J : alors vous aussi vous allez m’écouter, mon major à faillit mourir, et elle a été gravement battu par cette brute, de plus, dans mon travail, on m’apprend à ne pas avoir d’état d’âme, je ma contente de ramener mon équipe entière.

M : je crains malheureusement que ce soit insuffisant pour le tribunal !

J : il s’en contentera !

M : vous n’êtes pas très coopératif.

J : pourtant je fait mon maximum.

Un homme arriva derrière Mac

Homme : madame, des individus souhaitent s’entretenir avec le prévenu.

M : faites les entrer !

Homme : bien madame.

Sam fit son apparition la première tant elle avait eu peur pour Jack, et jans son élan, elle le pris dans ses bras, il fait de même, une fois redevenus lucides, ils se séparèrent, et Daniel serra la mai, de Jack, Teal’c restait dans son coin, couvert de son chapeau.

J : carter, pourquoi êtes vous venue, vous êtes encore très faible !

S : et vous, pourquoi être venu ici ?

J : parce que vous pensez que j’y suis de mon plein gré ? si j’avait le choix, je serait en Floride.

Sam souriait malgré elle.

J (parlant du sourire de Sam) : c’est bien mieux comme ça…

D : est ce que tout va bien Jack ?

J : merveilleusement bien Dany, j’ai une superbe cellule avec vue sur…Rien… et j’ai un avocat en jupette qui promet de me défendre jusqu’a la mort !

Mac était encore là, dans le coin de la cellule

M : vous pouvez demander à changer d’avocat si vous voulez, mais personne de notre bureau ne fait le poids contre l’avocats de l’accusation

J : et je présume que vous OUI ?

M : je me défend, et je connaît ses points faibles.

J : finalement, vous me plaisez bien !

D : vous tiendrez le coup Jack ?

J : je suis solide, et puis je sais que je ne moisirait pas en prison !

M : ça ce n’est pas si sur, le tribunal peu vous condamner à perpétuité !

Sam se trouva mal, elle avait la tête qui tournait

J (s’apercevant du malaise de Sam) : tout va bien Carter ? assaillez vous !

S : non merci colonel, tout va bien…

J : c’est un ordre major !

Sam le regarda un instant et vit qu’il ne plaisantait pas

S : bien mon colonel.

Janet : nous allons devoir partir, le garde ne nous as donné que quelques minutes…

D : faites attention à vous, e éviter de vous mettre toute la prison à dos comme vous savez si bien le faire !

J : je suis pas encore condamné Daniel, et vous allez m’entendre quand je sortirais !

T : à très bientôt O’Neill !

J : à plus tard, et faite attention à ne pas vous faire trop manipuler par Daniel en mon absence !

Teal’c et Daniel sortirent de la cellule

Janet : bon, ben, à très bientôt colonel, vous avez tout le soutient du général Hammond, et celui de vos collègues

J : dites lui qu’il ne se débarrassera pas comme ça de moi, il a déjà bien tenté, mais il n’a pas réussit !

Mac était encore là, dans un coin retiré de la pièce, elle se faisait discrète pour ne pas déranger les " au revoir " après tout, ils ne se reverraient pas jusqu’au procès désormais.

Jamais il ne perdrait son sens de l’humour pensa Sam à demie amusé, mais son sourire retomba lorsqu’elle croisa le regard de Jack, elle se leva, et marcha vers lui…

J : reposez vous, et essayez de guérir…

S : mon colonel…

J : c’est un ordre major !

S : bien… je voulais aussi vous dire que…

J : je sais, ce n’est pas la peine…

S : si, j’y tien, je suis désolée de ce qu’y vous arrive, c’est de ma faute, et je ne peu pas m’empêcher de me sentir responsable…

J : ce n’est pas vous qui l’avez frapper, alors vous n’avez rien à vous reprocher !

S : oh que si…

J : ne pensons plus à ça !

Sam avait une larme qui coula le long de sa joue, et pendant un instant, ils oublièrent tous les deux qu’ils n’étaient pas seuls dans la cellule. Il s’approcha d’elle et la pris dans ces bras, puis, il la berça doucement.

Des pas se firent entendre dans le couloir

Homme : les visites sont terminées !

J (à Sam) : ne t’en fait pas pour moi…

S (émue par le tutoiement) : je reviendrais Jack….je te le jure…

Elle se dégagea des bras de son colonel quand elle vit que le gardien était de plus en plus impatient.

Elle sortie de la cellule, et regarda par la petite fenêtre, puis du partir, à regret.

Jack resta les yeux tournes vers la porte, il n’avait pas envi de bouger, il s’était sentit si bien…

M (sortant de l’ombre de la cellule) : alors vous êtes près à m’aider maintenant ?

J : quoi ?

M : vous avez une raison de vous battre, alors saisissez là !

J : je ne comprend pas ce que vous dites !

M : vous aimez cette femme, et ça m’a l’air réciproque.

J : c’est vous l’avocate en droit militaire et vous me dites ça ????

M : il y a souvent des moyens de s’arranger…

Dans le bureau de Harm

H : alors, qu’avez vous appris sur cette affaire

M : c’est complexe…

H : développez !

M : Harm, vous représentez l’accusation, je ne vais pas vous dire ce que je sais !

H : dites moi ce qui cloche alors ?

M : et bien, il se trouve que cet homme à agit sous le coup de la colère, on s’en est pris à un membre de son équipe

H : oui, jusque là, je suis au courant !

M : le hic, c’est que j’ai la très nette impression qu’entre eux, il se passe quelque chose de fort !

H : nous n’avons pas à débattre sur ce sujet, il s’agit d’un procès pour meurtre.

M : oui, mais un homme qui vois la femme qu’il aime se faire violenter n’a pas le droit de réagir selon vous ?

H : je pense qu’il faut savoir se contrôler.

M : qu’auriez vous fait à sa place ?

H : je ne sais pas…

M : alors essayez d’y réfléchir mon capitaine.

Deux jours plus tard, Daniel eu la permission d’aller voir Jack en cellule, il était civil et pouvait ainsi rester un peu plus longtemps.

D : alors, magnifiques ces murs ?

J : oui, je trouve aussi ça manque de couleurs tout ça !

Daniel et Jack se prirent dans les bras l’un de l’autre, ils étaient contents de se retrouver.

J : alors, comment ça va à l’extérieur ?

D : le moral est en baisse, on attend vos mauvaises blagues, à vrai dire, ça nous manque.

J : je savais bien que je servais à quelque chose, mais j’arrivait pas à mettre la main dessus !

D : je suis là pour ça !

Ils s’essayèrent à la table et leur visage devin plus sérieux

J : alors….

D : alors….

J : comment vont les autres ?

D : ils vont bien, dans l’ensemble, mais vous manquez beaucoup à Sam

Jack pris sa tête dans ses mains, les coudes sur la table

J : comment je peu faire ?

D : je ne sais pas, mais elle s’en fait beaucoup pour vous, elle n’arrête pas de chercher à vous contacter…

J : j’ai demandé à ne pas recevoir ses appels…

D : je comprend

J : ne lui dites pas.

D : bien sur que non

J : je ne veux pas qu’elle soufre inutilement

D : mais vous ne pourrez pas l’empêcher de ressentir ce qu’elle ressent pour vous Jack

J : quand je pense qu’avant, je n’étais même pas sur qu’elle ait des sentiments pour moi…

D : et bien cette fois, il serait dur de ne pas les voir.

J : faites en sorte quelle m’oublie…

D : c’est facile à dire…

J : Daniel écoutez moi, j’en ait peu être pour tout le restant de ma vie dans cette prison, je ne veux pas qu’elle passe une partie de sa vie à se lamenter

D : je ne pourrais pas choisir pour elle .

J : je vous en pris, c’est à un amis que je demande ça.

D : je vais essayer…

J : merci… c’est pas que ça me fasse plaisir, mais comprenez qu’il n’y a pas d’autres solutions.

D : c’est d’accord.

J : sinon, que disent les autres ?

D : j’hésite entre dire si Hammond pense que vous avez trouver une nouvelles excuse pour prolonger vos vacances ou la version officielle qui dit que vous nous manquez à tous.

J : vous serez là au procès ?

D : on y sera tous…même Sam…

J : je suppose qu’on a rien pour l’en dissuader.

D : elle est témoin à charge.

J : oui, en effet, ce sera dur de ne pas la voir dans ces cas là !

D : je doit vous laisser, le garde ne m’a pas donné beaucoup de temps

J : il est super gentil pourtant !

D : un nouvel ami ?

J : il faut bien s’habituer au changement, mais il n’a pas comme vous le dont de m’énerver, c’est très frustrant !

D : ne vous en faites pas, on vous sortira de là !

La base

Sergent : activation extérieure de la porte.

H : qui est-ce ?

Sergent : je ne…si, ce sont les Tok’Ra mon général !

H : ouvrez l’iris sergent !

Hammond se dirigea vers la salle d’embarquement, et Jacod apparu.

H : Jacob, comme je suis content de te voir !

Jacob : moi aussi, mais ou est ma fille ?

H : en virginie…il y a eu accident…

Jacob : rien de grave j’espère ?

H : viens, nous allons en parler là haut, dans mon bureau

Hammond lui raconta toute l’histoire…

Jacod : que peut-on faire ?

H : rien justement !

Jacob : et si il est condamné ?

H : pareil.

Jacob : mais il est le porte parole de nombreuses planètes, dont celle de Thor…

H : je sais, mais nous aviserons à ce moment, le procès aura lieux dans deux jours.

Jacob : pense tu que je pourrais aller voir ma fille ?

H : je ne sait pas, tu sais, elle viens de vivre des épreuves terribles, il ne faut pas qu’elle soit encore désorienté.

Jacob : tu as raison, et elle a beau être ma fille, je ne saurais pas quoi lui dire…

Appartement de mac

TOC TOC TOC

M : qui est-ce ?

H : c’est moi !

M : entrez mon capitaine !

H (en entrant) : merci…

Mac était entrain de faire à manger

M : vous voulez rester dîner ?

H : vous faites quoi ?

M : un rôti !

H : vus attendez quelqu’un ?

M : non, mais j’aime bien me faire des bons repas.

H : je ne vous contredirait pas dans ce cas !

M : alors, vous êtes venu là pour parler cuisine Harm ?

H : non, en fait, je suis là pour vous poser des questions.

M : allez y !

H : savez vous ce que font nos clients dans la vie ?

M (goûtant la sauce de son rôti) : non

H : et bien moi non plus !

M : et alors…il sont de l’armée de l’air je vous rappelle !

H : j’ai jeter un coup d’œil sur les fichiers généraux, et je n’ai rien trouver d’autre que leurs nom, prénom, matricule.

M : étrange en effet… pas d’états de services ?

H : si, mais ceux du major et du colonel n’excèdent pas les 5ans.

M : les deux ?

H : oui ; à peu près à la même date.

M : qu’en déduisez vous ?

H : secret défense !

M : c’est probable, …même plus que probable !

H : j’aimerais bien savoir ce qu’ils fonts.

M : nous ne le saurons jamais….

H : oui…alors, qu’avez vous réussi à apprendre de plus sur le sujet que vous m’aviez présenter la dernière fois ?

M : il ne veux pas la voir, il a refuser ses appelles…

H : vous m’aviez pourtant dit qu’il avait l’air de ce passer quelque chose de fort entre eux…

M : oui, justement…

H : cet homme est étrange, le peu que j’en ai vu m’a donner envi de commettre moi même un meurtre, il a une telle arrogance…

M : oui, je trouve aussi, mais apparemment, selon un de ses amis, Le Docteur Daniel Jackson, il trouve un échappatoire à beaucoup de question par l’humour, et il a sa vision des choses bien à lui… personnellement, j’ai toutes les raisons de lui en vouloir, il a tuer un de nos hommes, mais je le trouve attendrissant…

H : faites attention à votre jugement Mac !

M : comment ça ?

H : je dis que vous pourriez être déçue, si il se révèle que c’est un assassin…

M : bien évidemment que je serais déçue, c’est mon client !

Mac apporta les plats

M : on peu passer à table

H : je meurt de faim !

M : allez y, mais faites attention à vous, je l’ai peut-être empoisonné pour gagner le procès… pour avoir à me battre contre un autre avocats que vous !

Harm lui sourit avant de prendre une pleine bouchée

H : je suis si dur à battre que ça ?

M : disons que…ça ne doit pas être impossible…

H : désolée dans ce cas !

M : vous ne me donner pas la tache facile

H : c’est pour que vous appreniez mieux !

M : je n’arriverait jamais à votre hauteur…

H : l’élève dépassera le maître un jour !

M : calmez vous Harm, vous n’êtes pas mon maître, juste mon supérieur !

Leur regard en disait long de déception, encore cette loi qui emmerdait vraiment tout le monde.

Jour du procès, début d’après midi.

Tout le mondé était dans le salle du tribunal, bien entendu, SG1 et Frasier attendaient Jack, c’est alors qu’il fit son apparition, en tenue d’officier, on lui enleva les menottes, et il regarda longtemps ses amis, tout particulièrement Sam qui avait les yeux rouge, comme si elle n’avait jamais cesser de pleurer.

Il se retourna ensuite et fit face à Mac, il ne voulais pas que Sam lui poses des questions sur sa conduite avec elle, il n’aurait pas su quoi répondre, parce qu’après tout, ils n’étaient pas vraiment ensemble, ils ne s’étaient jamais déclarer leurs sentiments, alors il ne pouvait que supposer.

Greffier : veuillez vous lever

Le juge entra, suivi des membres du jury

Juge : vous pouvez vous asseoir (ce qu’ils firent) donc, cette affaire oppose le ministère de la défense contre le colonel Jonathan O’Neill, accusé d’homicide sur la personne du second maître Thompson, et de coup et blessure, sur la personne du matelot 1ere classe Criss Ruden. Bien , le procès peut commencer, l’accusation veut-elle bien commencer ?

Harm se leva

H : merci votre honneur, messieurs dames les jurys, bonjour. Tout d’abord, laissez moi vous présentez les faits qui parlent d’eux mêmes, le colonel O’Neill, est un vieil homme qui, le soir du 27 avril, avait trop bu, comme nous le prouverons au cours du procès, nous n’essayerons pas non plus de défendre Criss Thompson car lui aussi allait commettre un crime ignoble envers sa patrie, mais nous allons seulement juger, un homme, qui, n’a pas su se contrôler, et que la rage à rebut dangereux jusqu’au point de tuer un homme….d’ôter la vie…cet homme messieurs dames les jury, est un individu dangereux, pour les autres, et pour lui même.

Juge : merci , nous allons passer à la défense. Maître Mackenzie ?

Mac se lève après avoir fait un regard rassurant à Jack

M : bonjour à tous, monsieur le juge, messieurs dames les jurys. Nous somme ici réunis, non pas pour juger un homme haineux, comme à si bien pu le dire l’accusation, mais pour faire le procès d’un soldat, qui à vu un membre de son équipe se faire agresser, et, qui, par réflexe, l’à défendue, quoi de plus normal ? merci.

Elle retourna s’assoire.

Juge : bien, que plaidez vous maître Mackenzie ?

M : nous plaidons la légitime défense votre honneur !

Juge : vous êtes sur ?

M : lorsqu’on s’en prend à un membre d’une équipe, c’est comme si on s’en prenait à l’équipe entière, et le colonel O’Neill a beaucoup souffert.

Juge : très bien, dans ce cas, l’audience est reportée à cet après midi trois heure ! ça vous va ?

H & M : parfait monsieur le juge.

Jack fut re-menotté, et pendant ce temps, Sam essayait de lui parler

S : mon colonel, je veux venir vous voir, j’ai besoin de savoir, je vous en pris !

Jack essayait de ne pas faire attention à ce qu’elle disait.

S : mon colonel, je vous parle !

Il tourna sa tête vers elle, et ne pu s’empêcher de hocher la tête en signe d’accord.

Elle le laissa ensuite partir malgré elle, avec les garde.

Jack était dans sa cellule, et avait fini de manger son maigre repas, il regrettait déjà d’avoir dit oui à Sam pour qu’elle vienne, mais lorsqu’il avait vu ses yeux mouillés de larme, il ne put s’en empêcher.

Il entendit des pas dans le couloir, le gardien arriva, et à ses côtés, il vit Sam. Lorsque le gardien eu ouvert la porte, Sam se jeta dans le bras de Jack, il n’eut pas le temps de réagir, et fut tellement surpris, qu’il n’essaya pas de la repousser, il se sentait même très bien contre elle. Mais au bout d’un moment la lucidité pris place, et il la détacha de lui progressivement.

S : pourquoi ?

J : pourquoi quoi ?

S : pourquoi je n’ai pas pu venir vous voir avant ?

J : ben… vous savez, les hommes d’ici n’ont pas vu de femme depuis longtemps alors….

S : la vérité mon colonel !

J : j’en sait rien.

S : moi j’ai ma petite idée, Daniel n’arrêtant pas de me dire de tourner la page, et vous refusant de me voir, j’en conclut que vous essayez de m’éloigner.

J : c’est un peu ça l’idée…

Sam le gifla de toute ses force

J : Aille !!!!!

S : vous l’avez mériter, moi je me suis fait du soucis !

J : major qu’est ce qui vous prend ?

S : vous n’avez pas à me dire de tourner la page, je veux être ici moi !

J : vous savez, la prison c’est pas génial.

S : on vous fera sortir de là mon colonel.

J : j’ai bien peur que non.

Mac arriva à ce moment, et le gardien lui ouvrit la porte.

J : j’ai plein de visite aujourd’hui !

M : assaillez vous tous les deux s’il vous plais.

S : que ce passe-t-il ?

M : je ne vous cacherait pas que nous sommes mal partis, mais nous avons peut-être encore une chance.

J : laquelle ??

M : le truc, c’est que votre carrière est finie après ça.

J : c’est mieux que de moisir ici.

M : on peu mettre en relation les sentiments que vous éprouvez pour le major Carter.

S : quoi ?

J : hors de question !

S : (à mac) et ça pourrait le faire sortir ?

J : n’y pensez même pas Carter !

S : mais mon colonel, ce qui conte c’est que vous soyez libre.

J : pas au risque de vous mettre dans de sals draps !

S :(à mac) vous pouvez nous laisser un instant ?

M : non, je regrette, mais je doit être présente.

S (à jack) : très bien on colonel, essayez de me suivre, si vous sortez d’ici de cette manière, nous serons tous les deux mis à pieds, mais on ne pourra pas nous empêcher de travailler… et encore mois si il y a des problèmes…vous voyez ou je veux en venir ?

J : c’est très clair Carter.

M : excusez moi, mais je n’ai pas tout compris.

J : c’est classé secret défense.

M : ha.

S : alors mon colonel ?

Jack ne répondait pas, il avait les yeux dans le vague…

J : carter ???

S : oui.

J : vous vous rappeler du jour ou… avec le copine de votre père…

S : ani…a ania ? (anise)

J: oui, c’est ça, et bien vous vous rappelez du jour ou.… elle nous as fait dire des trucs ?

S : oui, je m’en souvient.

J : et bien c’est pour ça que je ne veux pas vous impliquer dans cette histoire.

S : je ne vois pas le rapport !

J : moi je le vois, et c’est suffisant !

S : oh que non !

J : oh que si !

S : je vous en pris, je suis concernée, alors dites moi ce qu’il en est !

Jack s’approcha d’elle, et l’embrassa, il avait envi de faire ça depuis qu’il la connaissait, mais là, il voulais faire partir ses larme, et faire place à autre chose, comme un sourire pas exemple, et il n’avait pas mieux pour explique la situation à sam.

J : voilà ce qu’il en est.

S : je… je comprend mieux…

Elle l’embrassa à son tour.

M : Rrrmmmm

Sam et Jack se détachèrent à regret, et se tournèrent vers Mac.

M : je pense que la situation est claire pour tout le monde !

S : je pense aussi.

J :(à Sam) : tu est sure de vouloir faire ça ?

S : maintenant, oui, plus que jamais !

M : il va falloir y aller dans une petite demie heure, je repasserai vous chercher, Major Carter, il faut que vous sortiez aussi, la visite est terminée !

J : laissez la moi juste un instant….

Mac fit un petit sourire

M : juste une seconde alors…

Elle sortie et les laissa seuls, Sam était tournée vers le mur, et elle sentie des mains posée sur ses hanches

J : j’espère que tu ne jouait pas la comédie parce que sinon, je suis en train de me ridiculiser.

Sam se retourna et l’embrassa encore, il ne furent interrompu que par le gardien deux minutes après, pour que Sam sorte.

Couloir du tribunal.

H : alors mac, tout va comme vous voulez ?

M : ça va, oui, en effet, nous allons jouer sur les sentiments.

H : pourquoi ?

M : parce que je sais que vous n’êtes pas doué dans ce domaine, alors il me restera une chance !

H : comment ça je suis pas doué, je m’y connaît figurez vous !

M : excusez moi si je vous ai offensé mon capitaine !

Harm la regarda d’un air provocateur, avant de poursuivre.

H : alors, comment ferez vous ?

M : surprise !

H : allez, dites moi un peut de ce que vous avancerez au procès

M : pour que vous ayez le temps de préparer une défense…ça non, jamais !

H : vous êtes pas très sympa.

M : si vous voulez un avant goût, j’ai laisser mon client en pleine conversation profonde, vous en saurez plus tout à l’heure

Salle du tribunal

Juge : vous pouvez appeler votre premier témoin maître Rabb

H : j’appelle à la barre le matelot Criss Ruden monsieur le juge.

Un homme avec le nez cassez entra dans la salle du tribunal, et pris place, après avoir fait le traditionnel " je le jure ", l’interrogatoire commença.

H : vous vous trouviez ce soir là dans le bar près de la plage, êtes exact ?

Criss : oui, notre bateau avait accosté au port juste à côté monsieur.

H : racontez moi ce qu’il s’est passé pendant la soirée…

Cris : j’était tranquillement assis quand une belle femme est arrivé…

H : est-elle dans le tribunal ?

Criss : oui.

H : pouvez vous la désigner s’il vous plais.

Criss montra Sam du doit

H : que ceci soit pris en note par le greffier. Continuez

Criss : et elle est partie avec le second maître Thompson… puis cet homme est arrivé et a voulu savoir ou elle était.

H : que lui avez vous dit ?

Criss : sur le coup, rien, mais après, il m’a agressé, et je lui est dit qu’elle était dehors.

H : savez vous ce qu’il s’est passé après

M : OBJECTION, le témoin ne peu que spéculer !

Juge : accordé, vous avez d’autres question maître ?

H : non votre honneur, merci.

Harm alla s’assoire, et mac pris place devant le témoin

M : pourquoi avez vous fait attention au faits du major Carter, j’ai noté, que c’est une des victime dans cette affaire…

Criss : il faut dire qu’on la remarque dans un bar comme celui ci !

M : pardon ?

Criss : elle est pas mal, et elle donne envi qu’on la connaisse mieux…

M : quand le colonel O’Neill vous a demandé ou la trouver, vous n’avez pas répondu immédiatement, pourquoi ?

Criss : je sais pas moi, il aurait pu être son mari et la battre, elle aurait peut-être voulu lui fuir.

M : n’est ce pas plutôt parce qu’elle est partie avec un ami à vous ?

Criss : non madame.

M : merci.

La " victime " sortit du bloque des témoins, et alla dans le salle.

Juge : maître Mackenzie, voulez vous appeler un témoin ?

M : oui votre honneur, j’appelle le major Carter de l’US air force.

Sam s’approcha et pris place, elle regarda Jack un instant, décidée à le sortir d’affaire.

M : pouvez vous nous dire depuis combien de temps vous connaissez le colonel O’Neill ?

S : depuis bientôt 5 ans.

M : et que faisiez vous sur la plage à quatre personnes ?

S : Il y avait le colonel, Le docteur Jackson, et T…Tim Jaffa , nous buvions une dernière bière avant de rentrer de nos vacances.

M : pourquoi êtes vous partie devant, sans attendre les autres ?

S : je fait souvent ça, car je sais que le colonel O’Neill a toujours de mauvaises plaisanterie à sortir, alors je préfère souvent partir devant.

Jack lui souriait…et de nombreux autres dans le salle

M : arrivé dans ce bar, que faisiez vous ?

S : je cherchait une table, et il y avait des vielles photos sur le mur du fond, alors je suis aller les regarder.

M : à quel moment tout à basculer ?

S : je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite, j’ai été attirée dehors par quelqu’un, et c’est là que tout à commencer.

M : qu’avez vous vu exactement ?

S : il me frappait au visage tout en me tenant les mains, il avait bien plus de force que moi, et là, je ne pouvait pas me défendre. Après, le colonel est arrivé, et c’est lui qui c’est battu contre cet homme.

M : merci, j’ai terminé votre honneur.

Mac savais sur quel terrain jouerait Harm, elle préféra lui laisser ce privilège, qui ne ferait que paraître plus crédible l’interrogatoire.

H : pouvez vous nous dire pourquoi vous avez suivie délibérément cet home ?

M : je ne savait pas que c’était lui…

H : vous pensiez à qui ?

Sam regarda jack, il lui fit un hochement de tête pour acquiescer

S : je pensait que c’était le colonel O’Neill.

H : comment auriez pu vous en être si sure ?

S : je croyait reconnaître sa présence, mais ce n’était pas le cas, et puis j’avais bu…

H : si je comprend bien, vous vous permettez certaines libertés avec votre colonel, qu’y n’ont pas lieu d’être…

S : heu…

H : quels sont les sentiments que vous avez pour lui ?

S : je le respecte, je l’admire, mais je doit aussi dire, que malgré nos grade et nos fonctions, nous somme devenus des amis sur qui nous pouvons compter, et je donnerait ma vie pour lui si on me le demandait.

H : pensez vous qu’il ferait de même ?

S : oui…

H : comment pouvez vous e être aussi sur ?

S : on s’est déjà retrouver dans ce genre de situation, et il a faillit se sacrifier avec moi, alors que j’était perdue.

H : êtes vous en trains de me dire qu‘il existe des sentiment plus fort que de l’amitié entre vous ?

S : nous tenons l’un à l’autre beaucoup plus qu’on ne le devrai.

H : merci

Sam sortie de la salle, et retourna s’assoire, juste derrière Jack.

Juge : avez vous d’autres témoins maître Rabb ?

H : oui votre honneur, j’appelle à la barre, le docteur Jason Roca

Le docteur qui avait soigner Sam et le second maître Thompson arriva.

H : vous avez réceptionner le corps de la victime le second maître Thompson ?

Doc : exact.

H : pouvez vous nous décrire son état ?

Doc : plusieurs côtés et le nez cassées, le crâne fracturé, commotion cérébrale, et inactivité encéphalique.

H : comment décrieriez vous les coups qu’il a du recevoir ?

M : OBJECTION, le docteur n’est pas un expert en sports de combats !

H : mais il voit ce genre de blessé tous les jours, il est habitué.

Juge : rejeté, veuillez continuer maître Rabb.

H : merci votre honneur. Donc, que pouvez vous dire sur les coups infligés à la victime ?

Doc : ils étaient d’une grande violence.

H : imaginons qu’un homme comme le colonel veuille frapper une telle brute, parce qu’il faut le dire, il faisait 1m90 au mois, donc, si le colonel O’Neill voulait infliger de pareilles blessures, utiliserait-il toute sa force ?

Doc : oh que oui, il se serait vraiment défoulé

M : OBJECTION !

Juge : accordé, maître Rabb, avez vous terminé ?

H : oui votre honneur ?

Juge : le témoins est à vous maître Mackenzie !

M : docteur Roca, pouvez vous aussi me décrire les blessures du major Carter ?

Doc : elle n’avait pas de membres cassé ou fracturé, juste des bleus, et des marques de frottement sur ses poignets par exemple.

M : y a-t-il eu viol ?

Doc : non.

M : donc, on peu dire, que si le colonel O’Neill n’était pas intervenus, il y aurait sûrement eu viol, est-ce exact ?

Doc : c’est très probable

M : comment dériveriez vous l’état émotionnel du major Carter ?

Doc : en arrivant, elle était assez faible, mais elle semblai loin de tout ça, de tout ce qu’y l’entourait.

M : vous a-t-elle dit quelque chose ?

Doc : elle a murmurer des mots incompréhensible, comme… serpent…ou vipère…voir même crabe… je n’ai pas très bien compris.

M : donc, vous confirmez que le major carter est une victime, et qu’elle a été très traumatisés par cet événement elle aussi.

Doc : oui.

M : merci !

Juge : maître Mackenzie, un autre témoins ?

M : oui votre honneur, le dernier, j’appelle à la barre, le colonel Jack O’Neill.

Jack se plaça, et pareil que Sam, il la regarda longtemps pour être sur de ne pas risquer de lui faire de la peine.

M : colonel O’Neill, pouvez vous nous raconter votre version des faits.

J : ben, j’était sur la plage, et on allait rentrer dans le bar parce que le major Carter avait froid, après, on l’a rejoint là bas, et on ne la voyait plus.

M : et c’est là que vous avez demander à Criss Ruden ?

J : oui, mais il se moquait bien de moi, il se contentait de se marrer et ça me rendait fou !

M : pourquoi ?

J : parce que j’avais peur de ce qu’il aurait pu se passer, de ce qu’il s’est passé d’ailleurs !

M : pourquoi avoir frappé cet homme au visage ?

J : il ne voulais pas me dire ou était le major carter, et on pouvait très bien voir qu’il le savait.

M : une fois qu’il vous l’a dit, qu’avez vous fait ?

J : je me suis précipité dehors, et on a entendu un cris, c’était le major, alors on y est aller, et quand on a vu la scènes, on ne peut pas rester sans rien faire devant ce qu’il se passe, quant une personne se fait agresser, si on passe à côté, c’est qu’on a rien compris à la vie selon moi !

M : merci colonel.

Harm se leva…

H : colonel O’Neill, à votre tour de nous décrire ce que vous ressentez pour le major Carter !

J : c’est une femme très intelligente, voir même trop intelligente pour moi la plupart du temps, vous devriez l’écouter dans un théorie, elle est capable de mettre n’importe qui sur les fesses, sinon,… c’est un très bon soldat même si je ne lui dit pas assez souvent, et une femme exceptionnelle.

H : développez cette dernière partie…

J : elle est souvent de bonne humeur, et rigole à mes blagues, elle a toujours de la compassion envers ceux en qui on doit venir en aide, et elle a un don avec les enfants.

H : êtes vous d’accord avec ce qu’elle nous as dit tout à l’heure, que vous pourriez donner votre vie pour elle.

J : si elle l’a dit, il faut la croire, et comme elle l’a préciser, ça s’est déjà produit, mais aussi dans son sens…

H : vous l’aimer ?

J : je…oui, je l’aime…

H : quels sentiment avez vous eu en la voyant ainsi se faire malmener ?

J : j’était horrifié, et j’ai agit en tant que tel !

H : n’avez vous pas tenté de le raisonner avant d’en venir au poings ?

J : il ne m’aurait pas écouté.

H : qu’est ce qui vous fait dire ça ?

J : je le sais, et c’est tout !

H : non ce n’est pas tout colonel, vous avez tué un homme il me semble !

J : et je le regrette profondément croyez moi, je trouve qu’il s’es=n ai tiré à trop bon compte, c’est la prison à vie qu’il lui aurait fallut ! maintenant qu’il est mort, qui sait vraiment si il n’est pas plus libre en ce moment ?

H : votre acte à conduit à la perte d’un homme pour la Navy !

J : et il a faillit coûté la vie à un major dans l’air force, celle sans qui vous n’existeriez même plus à l’heure qu’il est !

Juge : messieurs, calmez vous, vous ne pouvez pas aborder ce sujet je vous le rappelle !

H : j’ai fini monsieur le juge.

Juge : parfait, alors c’est fini pour l’instant, plus de témoins à écouter ?

M et H : non monsieur le juge.

Juge : parfait, il vous reste à faire votre plaidoirie et l’inquisitoire. Maître Rabb si vous voulez bien ?

H : merci monsieur le juge, messieurs dame les jury, comme je vous l’ai déjà dit, nous n’allons pas faire le procès de Thompson, mais celui d’un homme dont la colère à dépassé ce que tous regrettons maintenant, cet homme, a frapper sans relâche le second maître, et à blesser le matelot Ruden. Le colonel O’Neill est dangereux, et il a tuer un homme ! il n’a pas à se prendre pour Dieu, il n’est que soldat, et la vie d’un homme n’a pas à lui être prise comme ça ! c’est à vous maintenant, de décider de laisser un criminel en liberté, ou de l’enfermer. L’accusation demande à ce que le colonel Jack O’Neill soit jugé pour : coup et blessure au premier degré, homicide volontaire, et manquement au règlement de non fraternisation.

Harm salua les jury, puis, retourna s’assoire.

M : monsieur le juge, messieurs dame les jury, c’est une histoire très… politiquement correcte que vous a raconter maître Rabb, il n’en reste pas moins que deux personnes peuvent être attirée l’une vers l’autre, qu’elle soit dans l’armée ou non, mon client ne refuse pas l’acte d’accusation concernant la lois de non fraternisation, il aime le major Carter, et lorsque on aime quelqu’un, et qu’on le voit se faire malmener, on se sent forcément intimement concerné, et blessé, alors, quand un de ces deux être se voit mourir, ils ne peuvent s’empêcher de regretter de ne jamais avoir vécu leur amour, c’est tout ce qu’il leur reste à présent, alors ne leur enlevez pas ça ! le défense demande que le colonel soit jugé pour homicide involontaire et légitima défense. Merci de votre attention.

Le juge tapa avec son marteau

Juge : le jugement sera rendu après délibération du jury, vous pouvez disposez.

Tout le monde se leva, et attendis que le juge et les membres du jury soit partit, puis, Jack fut ramener en cellule, il eu le temps de regarder Sam une dernière fois.

D : ça va aller Jack ?

J : si on enlève le fait que dans la cellule il n’y a pas de chauffage, oui, tout va bien, mais maintenant mon sort est entre les mains de quelques types, qui vont décider de mon avenir…ça fait bizarre !

Jack fut emmené, et les autres attendirent dans le couloirs, il ne restait plus que Harm et Mac dans le tribunal

H : bonne défense !

M : merci, vous n’étiez pas mal non plus…

H : vous savez, j’ai réfléchit à ce que vous m’aviez dit…vous savez, de me mettre à sa place… et, de ce que j’aurais fait…si j’avais été à sa place !

M : et ???

H : j’aurait agit de la même manière, je ne sais pas si j’aurais eu la force de la tuer, mais je l’aurais au moins espéré.

M : vous êtes humain Harm, et pas un super héros qui doit voir le bien partout dans ses actes, je conçoit que la mort de cet homme aurait pu être éviter, mais le colonel à agit par amour.

Quelques temps plus tard, le juge fit rappeler tout le monde, Sam paniquait tellement, de Daniel avait demander à Teal’c de la surveiller de près, au cas ou elle fasse une bêtise. Ils avaient appelé le général Hammond entre temps, pour le tenir au courant.

Tribunal

Greffier : veuillez vous lever !

Le juge entra, ainsi que les membres du jury

Juge : vous pouvez vous assoire

Jack allait se rassoire mais Mac lui dit que ça ne le concernait pas, les deux avocats, debout, se regardaient , tendis que l’enveloppe passait des mains du jury à celle du juge, puis, revins vers le jury.

Juge : allez y.

Jury : pour le chef d’accusation de coups et blessure sur la personne du matelot première classe, nous déclarons l’accusé…. Coupable

J : et m….

M : ce n’est pas fini, essayer de rester calme…

Jury : pour le chef d’accusation, du règlement de non fraternisation, nous déclarons l’accusé, … coupable !

J (tout bas) : ils veulent ma peau ???

M : shutt

Jury : pour l’accusation d’homicide volontaire, nous déclarons l’accusé…

Attente interminable…

Jury : …non coupable !

J : ouf…

Jury : et pour l’accusation d’homicide par légitime défense, nous déclarons l’accusé….coupable !

J : ça veux dire quoi ça ???

M : ça veux déjà dire que vous n’irez peut-être pas en prison à vie !

J : et c’est bien alors ?

M : évidemment, il nous reste à connaître la sentence…

Juge : donc, je déclare solennellement, que le colonel Jack O’Neill, est placé sous l’autorité directe du Président, et pas conséquent, il doit réintégré l’armée, mais nous lui donnons tout de même, dix ans d’emprisonnement avec sursis !

J : j’ai rien compris !

M : vous êtes libre !

Jack se tourna immédiatement vers Sam et l’embrassa devant tout le monde. SG1 était heureux, et tout le monde voulait prendre Jack dans ses bras, mais lui, il n’avait de place que pour une personne : Sam.

Harm se tourna vers Mac

H : alors, finalement, vous avez réussi à me battre.

M : pas tant que ça, vous aviez les chefs d’accusation, et j’ai eu la clémence du juge et du président !

H : on fête ça ce soir, alors, c’est une multi-victoire pour nous deux !

M : si vous voulez ! vous m’invitez au resto, c’est trop gentil !!!!!

Il n’eut pas le temps de répondre car Mac s’en allait déjà avec un grand sourire aux lèvre, et quand elle se tourna pour le lui montrer, il compris que c’était tout de même fait exprès, il devra la sortir à dîner ce soir, et à vrai dire, l’idée lui plaisait assez. Alors il la rattrapa en courant, et ils partirent ensemble vers le parking

Arrivé sur le parking, il y avait non loin, l’équipe SG1, et Jack vint à l’encontre de son avocate, accompagné de sa tribu.

J : maître !!! je voulais vous remercier pour tout !

M : c’est naturel…

Le sourire de Jack tomba quand il vu l’autre avocat qui s’était énervé sur lui au procès, et qui était venu au moment de lui passer les menottes alors qu’il était à l’hôpital.

M : ne vous inquiétez pas, il n’est pas si méchant dans la vie !

H : je ne fait que mon travail !

J : alors souhaitons que vous le fassiez mal !

M : je suis contente que vous soyez libre !

J : vous n’avez jamais douté de mon innocence !

M : bien sur que si, mais vous êtes si mignon tous les deux, et puis, je sait que ça à du être dur à vivre pour vous, tout ce temps, depuis tant d’années, mais maintenant, la fin est plutôt bonne !

S : je ne m’en plain pas trop…

J : on va se calmer major ! il faut qu’on rentre à la maison !

D : voyons Jack, est-ce une façon de parler à une dame ?

J : de quoi je me mêle Daniel ?

D : juste que nous on a du la surveiller nuit et jour pour pas qu’elle tente de vous faire évader de prison, et on n’est même pas remercié !

J : oh, le pauvre de vous… venez dans mes bras tous les deux !!!!

D : sans façon, merci !

T : je n’ai rien contre vos bras O’Neill, mais je ne pense pas que ce soit un coutume obligatoire de la Ta…

Daniel fit un grand bruit, comme s’il toussait, en donnait un grand coup de coude à Teal’c.

H : nous devons y aller…

J : à un de ces jour, ravi de vous avoir connu !

S : au revoir, et merci pour tout.

M : soyez heureux tous les deux !

Ils montèrent dans la même voiture, et démarrèrent, puis, ils ont disparus au coin d’une rue

H : au fait, je devais avoir des raison de me sentir visé tout à l’heure… quand vous parliez de…

M : c’est à vous de voir…

Harm lui souriait malicieusement, et posa sa mais sur la cuisse de Mac, il en avais marre de la faire autant souffrir, parce qu’ils savaient tous les deux ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre, et il avait envi de lui donner ce qu’elle attendait temps, mais ce qu’il se refusait en même temps depuis tant d’années.

J : ils sont vraiment mignon tout plein…

S : je trouve aussi !

D : moi je vous propose un truc, c’est de rentrer, parce que j’ai un tas de travail en retard avec cette histoire !

J : il faut toujours que vous vous plaignez !

D : je me plain aussi de votre libération, vous allez encore me faire mener une vie de malade !

J : c’est pou votre bien ! je vous trouve tout ramolli d’ailleurs sur la prochaine planète, on y va au pas de course !

SG1 continua sa grande discutions, mais la meilleur partie de la soirée, fut, celle qui se passa à l’hôtel, et que deus d’entre eux, avaient attendu patiemment pendant plus de quatre longues années…

Nos deux charmant couples s’étaient croisé par hasard dans leur vie, et avaient en quelque sorte, mener le même combat, maintenant, ils étaient tous plus ou mois libre, mais la vie ne s’arrêterait pas là…au contraire, elle en faisait que commencer !

Fin

Ps : envoyez moi un petit mot pour me dire ce que vous en pensez… merci d’avance !