Procédure de décontamination

Auteur : marge

Résumé : un gaz toxique prend possession de la base…

Disclaimer : les personnages ne sont pas à moi, donc c’est pas la peine de me faire un procès… je ne gagne rien pour ça (le pire c’est que ça fait plus d’audience après pour eux et on ne gagne rien : REVOLTONS NOUS !!!!)

Note de l’auteur : ben… donner vos impressions ! et je vous remercie d’avance de vous en donner la peine !

SG1 est sur P2X841, et essaye de s’allier avec une nouvelle race extraterrestre, les Faxois, ils se trouve que ces derniers sont remarquablement fort en technologie, et qu’ils se proposent d’aider la terre dans leurs recherches

J : pourquoi ils ne nous donnent pas tout de suite la solution ???

S : nous ne possédons pas ce genre de molécules chez nous, ils veulent que nous trouvions nous même ses propriétés.

D : c’est assez juste je trouve…

S : oui, mais c’est vrai que ça faciliterais le travail en sachant déjà ce que ça produit…je l’étudierait une fois que nous serons rentrés.

Sam plaça l’éprouvette que leur avait confié le Faxois dans un caisson isotherme, puis, SG1 passa la porte des étoiles.

Salle d’embarquement

H : ravie de vous revoir SG1, vous passez à l’infirmerie immédiatement ! Briefing dans une demie heure !

J : ravi de vous revoir aussi général !

D : vous êtes doués pour mentir Jack !

J : je sais, je suis assez fière de moi !

Salle de Briefing

S : si vous le permettez Général, j’aimerais commencer le plus tôt possible l’examen de cette substance.

J : vous ne perdez pas le nord vous !

H : bien sur major ! allez y !

Sam alla dans son labo et pris l’éprouvette, elle l’ouvrit, mais il se produit un nuage de fumée qui envahi la pièce. Comprenant que ce n’était pas normal, elle alla tout de suite enclencher l’alarme, et pris le téléphone

S : mon général, il faut évacuer la Base au plus vite ! donnez l’ordre immédiatement !

H : bien !

Le signal retenti dans toute la base

Micro : évacuation immédiate de la base ! tout le personnel doit rejoindre la sortie immédiatement !

Sam était paniquée, elle ne savait pas quoi faire, cette substance n’aurait jamais du s’évaporer, il n’en restait que très peu dans l’éprouvette.

Dans la base

J : général ! que ce passe-t-il ?

H : c’est la major Carter qui m’a demander d’enclencher ce système, je n’en sait pas plus que vous !

Jack Teal’c et Hammond coururent vers le labo, la base était déjà vide, et en arrivant, ils ouvrirent la porte du labo

S : NON !

H : que ce passe-t-il major ?

S : je ne sait pas encore, mais ce liquide n’aurait jamais du se libérer dans l’air, l’évacuation semblais indispensable, maintenant que vous avez ouvert la porte, il s’en répandu dans tout l’étage !

T : que voulez vous dire major Carter ?

S (sérieuse) : je pense que nous devons déclencher une mise en quarantaine jusqu'à ce que ce produit soit analyser !

H : vous êtes sure ?

S : non, mais il ne faut pas prendre de risques !

H : bien ! je vais en informer le président !

Tout d’un coup la porte des étoile s’enclencha, il n’y avait plus personne pour déclencher l’iris, et en courant dans la salle de contrôle, SG1 vit qu’il s’agissait des Tok’Ra, qui étaient déjà sur place. Il y avait Anise et Jacob.

Jacob : que ce passe-t-il ici ?

H : Jacob, tu n’aurais pas du venir, nous sommes en quarantaine à partir de maintenant !

A : que s’est-il passé ?

J : apparemment c’est un gaz bizarre qui c’est dit qu’il allait nous gâcher notre Noël !

S : une substance c’est libérée, mais nous ne savons pas ce que c’est encore, je doit aller l’étudier !

H : heureusement qu’il n’y a pas d’autres équipes SG à revenir à la base avant un moment !

Jacob : tu veux dire que l’on est coincé ici ?

H : je suis désolé !

J : comme nous tous !

T : ou est le docteur Jackson ?

J : il à du réussir à partir ! je pense qu’il a été suffisamment intelligent pour ne pas rester !

S : je suis désolée…

H : major, ce n’est pas le moment d’être désolé ! allez immédiatement commencer vos analyses !

S : bien mon général !

Sam sortie de la pièce.

Il ne restait dans la base que Sam, Jack, Teal’c, Hammond, Jacob et Anise, tout le reste du personnel avait suivi les consignes, l’étage était bouclé, on ne pouvait ni entré ni sortir.

Jacob : alors, est ce que c’est grave ?

H : nous n’en savons rien

T : tout c’est passé très vite monsieur Carter !

H : et vous, que faites vous là ?

Jacob : j’étais passé pour les fêtes de fin d’années, je voulais les passer sur Terre avec ma fille…

Anise : Jacob à accepter que je participe aux traditions terriennes, c’est un honneur pour moi !

J : un honneur qui vous coûte une mise aux arrêt ! c’est charmant !

H : colonel ! il se peut que nous soyons bloqués ici pour un moment, alors essayez de faire un effort !

J : je vais aller voir ou en est ma fille, peut-être que je pourrais l’aider…

H : je t’accompagne !

Labo

H : alors major Carter ?

S: cette molécule se répand très vite... elle semble être invasive, mais je ne sais pas encore si elle agit de façon nocive ou non !

Jacob : il faut encore étudier !

S : c’est ce que je fait papa !

Jacob : oui…excuse moi… quand en saurons nous plus ?

S : je ne sait pas !

H : prévenez nous dès qu’il y a du changement !

Salle de briefing

H : je viens de parler au docteur Jackson, il a téléphoné il y a dix minutes, il nous fait part de la décision du gouvernement, et j’ai le regret de vous annoncer que nous n’aurons pas de possibilités de sortir avec ce gaz dans notre étage ! nous sommes donc bloqués ici jusqu'à ce que l’on trouve une solution.

J : génial !

T : je ne pense pas que ce soit si génial que cela O’Neill !

J : expression terrienne Teal’c !

H : bon, Jacob, je propose que tu t’occupe de la porte des étoile, envois des message radios aux équipes SG et prévient les de ne pas rentrer ! tu t’occuperas aussi de l’iris, on ne sait jamais !

Jacob : je leur dirait qu’il pourrons trouver refuge chez la Tok’Ra s’ils le veulent

H : merci !

Anise : je m’y connaît un peu en études des composants, je pourrais aider le major Carter !

H : c’est gentil à vous, toute aide est la bienvenue !

J : on est tous dans la même galère !

H : Teal’c, vous vous chargerez de la relation avec l’extérieur, voyez ou en sont nos hommes là haut, et restez en contact avec le docteur Jackson !

J : et moi je fait quoi ?

H : … vous… vous allez nous chercher à manger !

J : y a rien d’autre à faire ?

H : c’est ce que vous savez faire de mieux à la base, déambuler dans les couloir, alors vous serez l’intermédiaire entre nous tous !

J : ça me vas !

H : quand à moi, je vais aller m’occuper du président et de ses conseillers pour faire en sorte qu’ils n’enclenchent pas la procédure d’autodestruction !

J : ils ont le droit de faire ça ???

H : bien sur… et c’est ce qui m’inquiète !

Jacob : que d’organisation, chacun à son poste…c’est plutôt bien partit !

J : c’est comme chez les shtroumphes !

H : pardon ???

J : ben oui… chacun fait son travail et tout ce passe pour le mieux !

Jacob : je n’avais pas vu ça comme ça !

T : je ne connais pas ce peuple O’Neill !

J : je vous les présenterait !

H : bon ! tous à vos postes !

J : OK grand stroumphe... euh...mon général !

H : je ne pense pas que le temps soit à la blague colonel

J : mais vous savez que je ne peu m’en empêcher !

H : je vous paierait les séances de psy en sortant d’ici !

J : je vais aller voir Carter pour commencer !

Anise : je viens avec vous jack !

Anise et jack arrivèrent dans le labo, ou ils trouvèrent Carter penché sur son microscope

J : alors, vous vous amusez bien stroumphette ?

S : pardon ???

J : non, rien…alors dites nous si nous allons bientôt sortir d’ici…

S : je ne pense pas avoir de bonnes nouvelles… mais il faudrait que je fasse des prises de sang sur vous tous.

J : je vais aller les chercher… continuer à travailler !

S : bien mon colonel !

Jack sortie et Sam le regarda passer la porte

Anise : bon, si vous commenciez par me la faire à moi cette prise de sang ?

S : …euh…oui, bien sur !

Jack emmenait les autres un à un pour faire la piqûre, et ce fut à son tour

J : allez y doucement !

S : ce n’est pas mon domaine, c’est celui du docteur Frasier !

J : alors faites de votre mieux !

S : j’essaierais…

J : aille !!!!!!!!!!!!!

S : je vous ai à peine touché mon colonel !

J : c’est déjà trop !

S : je n’ai même pas encore mis l’aiguilles!

J : laissez moi faire…

S : hors de question !

J : c’est moi qui donne les ordres !

S : vous allez vous ouvrir le bras jusqu'à l’os si vous continuez !

J : bon, mais faites vite !

S : je ne sait pas comment fait Janet pour vous en faire toutes les semaine ou presque !

J : avec elle y a pas moyen de discuter !

S : alors avec moi non plus ! … ça y est !

J : c’est pas trop tôt !

S : je vais analyser tous les échantillons.

J : dépêchez vous, je n’aime pas l’idée de savoir que je risque de finir ici !

S : moi non plus…

J : je vous fait confiance…on s’en sortira !

S : merci mon colonel !

J : bon… je vais aller vous chercher un peu à manger !

S : merci…

Anise (qui était au fond du labo) : il est serviable !

S : c’est vrai qu’il peut être gentil…

Anise : et il embrasse bien avec ça !

Sam fit tomber sa plaquette d’observation

Anise : je ne voulais pas vous perturber !

S : non… c’est de ma faute, je n’ai pas fait attention…

Anise : il m’a fait ce qu’aucun homme ne m’avait jamais fait…

S (très troublée) : … euh…tan mieux pour vous…

Anise : il m’a repousser !

Sam refit tombé un objet à terre.

J : voilà le repas !

S (très troublée) : m…merci…

J : ça ne va pas ???

S : si…très bien !

J : bon, je vais aller voir ce qui se passe à côté…je reviens plus tard…

S : oui…à plus tard…

Sam était encore sou le choc, d’abord Anise qui lui annonce qu’elle a embrassé jack, et après, qu’elle l’a repoussé… elle ne savait pas si elle devait être joyeuse ou pas.

Le reste de la journée se fit dans les études des échantillons, chacun vaguait à son occupation, et faisait du mieux qu’il pouvait, puis, le lendemain, il furent une petite mise au point tous ensemble dans la salle de briefing

H : alors, major Carter ?? ou en sommes nous ?

S : je ne sait pas comment dire…

J : soyez honète !

S : il se trouve que nous sommes tous infectés par ce gaz, j’en ai retrouvé dans vos échantillons sanguin…

J : on est condamnées ??

S : je n’en sait rien, mais ça ressemble à un virus… ce que je sait c’est que les Tok’Ra et Teal’c ont développer une défense immunitaire, on pourra s’en servir, enfin, je pense…

T : pourquoi n’irions nous pas sur P2X841 pour leur demander de nous venir en aide ?

S : il se peut que ce soit volontaire de leur part, il nous tueraient certainement en arrivant là bas !

H : dans combien de temps devrions nous être fixé ?

S : si des symptômes apparaissent dans les 48h mon général, alors nous serons fixés !

J : joyeux noël !!!

H : colonel !

J : ben quoi, noël c’est dans trois jours… et on sera peut-être plus là alors je vous le souhaite avant !

S : je ferait tout ce que je peu pour que ça n’arrive pas !

H : je n’en doute pas major ! tout le monde retourne à ses activités !

Les tests continuaient, mais ne progressaient pas beaucoup, Sam ne dormais pratiquement pas, et elle était à bout de force.

Le lendemain matin, Jack vint servir le repas à Anise et à Sam

J : bonjour, le petit’dej est servit !

S : merci…

J : vous n’avez pas l’air très bien vous !

S : non, ça va…

Sam se mit à tousser un peu

Anise : samantha, je pense que vous développez le virus en se moment !

S : mais non, c’est juste un petit rhume…

Jacob et Hammond entrèrent à ce moment là.

Jacob : que ce passe-t-il ?

Anise : samantha à tousser, il se peu que ce soit un des symptômes du virus…

Sam ne disait rien maintenant, elle en était elle aussi convaincue.

Jacob : ma chérie, est-ce que ça va aller ?

S : il faut vraiment terminer ces expériences, sinon il n’y a plus d’espoir…

H : vous êtes la seule à pouvoir nous aider dans ce domaine…

Jacob : fait ce que tu peux…

J : je vais rester ici pour les aider, j’obéirais aux ordre pendant que Carter se reposera…

S : je vais vous donner des ordres mon colonel ???

J : calmez vous… non ! appelons plutôt ça des directives !

H : bien, continuez donc, et tenez nous informés !

Jacob embrassa sa fille, mais avant de partir il eu une idée

Jacob : Sam, tu as dis que Anise Teal’c et moi combattions la maladie ?

S : oui, grâce à votre symbiote…

Jacob : je suis ton père, et nous avons le même groupe sanguin… ne pense tu pas que nous pourrions faire quelque chose avec ça ?

S : mais si !! et ça peu certainement marcher…

Jacob : alors essaye !

S : oui, j’y vais !!

J : hors de question ! vous restez assise et vous me dites comment on fait !

S : bon, prenez l’échantillon de sang avec écrit dessus JC

J : jésus christ ?

S : Jacob Carter !

J : bon, et après???

S : mettez le dans la machine à votre droite… vers le haut…

J : c’est bon…et après ?

S : mettez le en route !

J : on attend combien de temps ?

S : une minute…

Jacob : si ça marche ma chérie…tout sera fini !

S : non, il reste le général et le colonel !

Anise : quels sont leurs groupe sanguins ?

S : je ne sait pas, il faut regarder dans les fichiers ?

J : moi je sait, je suis A négatif !

S : et vous général ?

H : A positif.

Anise : je suis également A positif !

S : alors ça pourrais aussi marcher pour vous général… (à jack) mettez aussi l’échantillon A dans la centrifugeuse !

H : il ne nous reste qu’a attendre…

S : et vous colonel ??? comment va-t-on faire ???

J : on verra bien, pour l’instant je n’ai pas de symptômes…

Après quelques secondes, la machine s’arrêta

S : très bien… (quinte de toux) passez moi le A ! et apportez moi une seringue !

H : votre cas semble le plus préoccupant major, essayez en première !

S : alors passez moi le JC

Elle pris le sérum contenus dans l’éprouvette avec une seringue, et se l’injecta

J : comment on sait si ça marche ?

S : on attend…

Sam commençait à avoir la vue qui baissait, elle transpirait beaucoup et frissonna par moment

H : mettons là à l’infirmerie !

T : je vais la porter !

Jacob : faites attention à elle…

T : ne vous en faites pas monsieur Carter !

Tous le monde alla avec eux, ils l’installèrent calmement, elle pouvait encore marmonner un peu, et la fatigue se faisait sentir.

H : retournons travailler !

J : je reste, après tout je n’est pas de taches précise !

H : tenez nous au courant de son état au moindre changement !

Chacun retourna à son poste, essayant d’oublier que Sam pouvait mourir d’un moment à l’autre, mais jack n’arrivait pas à penser à autre chose

S : papa…

J : non, il n’est pas là…

S (faiblement) : colonel ?

J : oui, c’est moi !

S : je vais m’en sortir ?

J : bien sur, vous êtes la meilleur !

Sam esquissa un sourire difficile

J : reposez vous !

S : c’est un ordre ?

J : oui !

S : mais vus n’avez pas à me donner d’ordre, vous êtes parti…

J : je crois que la fièvre vous fait dire des truc bizarre…

S : les étoiles…ça fait mal aux yeux…

J : c’est la lumière…je vais l’éteindre.

Il revins près d’elle

S : vous savez…je vous aime…

J : heu…

S : et j’aime mon papa aussi…. Et la naquada !

J : quoi ??

S : j’aime le naquada ! je veux du naquada

Anise arriva derrière elle

A : c’est la fièvre ?

J : apparemment !

A : c’est bon signe

S : Anise… je vous aime pas !

J : faites pas attention…elle divague !

A : la fièvre est un moyen de défense de l’organisme, si il réagit, c’est que son corps veux se battre.

J : qu’est ce qu’on peu faire ?

A : attendre comme elle l’a dis avant de faire parler la fièvre

Sam s’endormis peu à peu, jack et Anise sortirent pour continuer leurs activités.

Bureau du général

Jacob : George, il faut que toi aussi tu prennes de sérum, celui d’Anise est près.

H : bien ! allons y !

Ils lui firent également une piqûre, et comme Sam, il commençait à délirer, et on l’emmena à l’infirmerie, c’est jack qui resta veiller sur eux deux

S (réveillée mais pas très nette) : vous revoilà !!! général ! vous venez à la fête ?

J : non Carter, il viens pour guérir, comme vous !

S : et vous ? vous allez pas prendre de piqûre ?

J : on va attendre que vous alliez mieux…

H : jack…vous êtes mon ami !

J : oui… général…je suis votre ami !

S : et moi je l’aime !

J : et aussi le naquada !

S : mais non ! le naquada c’est pour rendre jaloux !

H : je savais déjà !!!

J : quoi ?

(Jack dans sa tête) : c’est génial, je peu lui tirer des infos !

H : j’ai déjà un accord du monsieur chef

J : du président ?

H : ouiiiiiiii

J : bon, je crois que je vais vous laisser dormir…on se revois demain !

Il ne savait pas trop comment il devait prendre ces paroles, elles ne sont pas censée, mais il se dit qu’après cette histoire terminée, il n’en auraient tous deux certainement aucun souvenir, alors il partit à regret.

Après avoir franchi la porte, il eu une énorme quinte de toux, mais il continua son chemin jusqu'à ses cartiers, il comptait prendre des nouvelles de l’extérieur en appelant daniel.

J : allô ?

D : jack ?? vous allez bien?

J : mouais, ça va ! mais je doit dire que je suis assez pressé que toute cette histoire ce termine.

D : et le virus ?

J : on vient de soigner Carter et le général, on leur à donné du sang des Tok’Ra

D : et vous ?

J : c’est pas compatible.

D : comment allez vous faire ?

J : on va attendre que Carter sorte du cirage pour qu’elle se remette au boulot !

D : elle ne va pas bien ?

J : elle dit des trucs bizarres… mais il faut attendre.

D : bon, je vais informer le docteur Droige, c’est lui qui s’occupe de tout ça !

J non ! ne faites pas ça ! si ils décident de détruire la base, on aura aucune chance de s’en sortir ! laisser nous du temps !

D : d’accord, faites attention à vous jack !

J : à plus tard Daniel !

Après avoir raccrocher, jack toussa tellement qu’il avait l’impression de recracher ses boyaux, il s’allongea alors sur le lit pour ce reposer un peu.

Le lendemain, infirmerie.

A : vous allez mieux major Carter ?

S : oui, beaucoup mieux… comment va le général ?

A : il n’est pas encore réveillé.

S : bon, apparemment ça a marché !

A : c’est une réussite.

S : et ou est le colonel ?

A : il est probablement partit se reposer…

S : il n’a pas été traité ! peut-être que sont état à empiré !

Elle se leva et partie avec anise dans toute la base pour trouver jack, c’est en arrivant devant ses cartiers qu’il l’entendirent pousser des cris.

Il était là, étendu sur son lit, tremblant et couvert de sueur.

S : il convulse !

A : amenons le à l’infirmerie.

Sam attrapa le téléphone de la chambre

S : allô… Teal’c est là ? on a besoin de lui très vite dans les cartiers du colonel !

(à Anise) ils arrivent.

Teal’c porta donc jack sur un brancard, et le plaça près du général.

S : comment pouvons nous faire ?

A : il faut trouver du sérum !

S : pour cela il faudrait quelqu’un du même groupe sanguin que lui, et qui ait résisté au virus !

Jacob : un autre Tok’Ra ?

S : oui, ce serait la solution… mais il faudrait qu’il soit rentré en contact avec le virus.

A : nous allons partir sur la base des Tok’Ra, et nous chercherons quelqu’un de compatible, puis nous le ramènerons…

Jacob : oui, mais les molécules du virus sont encore dans l’air, et elle risquent de passer le vortex !

S : non, le virus ne vit que trois à quatre heure dans l’air, il lui faut un milieu de culture pour survivre !

Jacob : pourquoi on ne sort pas alors ??

S : l’armée ne nous crois pas, elle pense que ça pourrait être une tentative désespéré de notre part pour sortir

A : alors allons y !

S : tenez, c’est un appareil qui détermine le groupe sanguin de la personne, une fois que vous l’aurez trouvé, amenez là ici, il me reste un échantillon de la substance, nous lui ferons respirer.

Anise et Jacob partirent donc vers la porte, et disparurent derrière le vortex.

Dans l’infirmerie, le général Hammond refaisait surface.

S : mon général ! tous va bien ?

H : ça va aller major, il semble que votre technique ai marché… (voyant jack dans un sal état) que s’est-il passé ?

S : anise et mon père s’occupe de lui trouver un Tok’Ra compatible, sa fière augment, mais il n’a pas de défense approprié pour ce genre de virus !

H : il va survivre ?

S : je l’espère…

Sam se tourna vers jack et le regarda intensément.

H : il va s’en sortir major ! j’en suis sur !

Hammond sorti de l’infirmerie et les laissa seuls.

Sam s’approcha de jack et lui pris la main.

S (croyant qu’il dormais) : on va te sortir de là…jack

J (très difficilement) : …je… confiance…toi…

S : mon colonel ??

J: ...ou..i

S: tenez bon! On va vous sortir de là!

J : je…su..i… sur…

S : je ne vous laisserait pas partir aussi facilement !

J : je…t’ai…me…Sam…

S : mon colonel…

J : je … t’ai…me…

S : moi aussi je vous aime…

J : com… le Naqua…

S (souriant un peu à travers des larmes) : non, bien plus que le Naquada !, bien plus que tout…

J : j… ret…ien….

S: je suis sur que vous n’aller pas oubliez…

J : je…fatigu…

S : reposez vous…

J : moi…ordre…

S : c’est moi le docteur, alors tachez de vous reposer…

Sam se pencha vers lui, et l’embrassa tendrement.

J : en…cor…

S : quand vous irez mieux…autant que vous voudrez !

J : …vite…

Teal’c apparue derrière eux

T : major Carter, votre père est de retour avec un Tok’Ra !

S : j’arrive

Elle caressa la main de jack, et lui passa son autre main sur son front pour qu’il sente qu’elle était là, puis elle partie à la rencontre des arrivants.

S : papa !

Jacob : ma chérie…je te présente Daez, et il accepte !

S : merci beaucoup Daez !

Daez : c’est un honneur de pouvoir vous aider !

S : allons y vite !

Les échantillons étaient près, il ne restait plus qu’a l’implanter en jack, ce dernier ne dormais toujours pas, il était torturé par la douleur, et ne pouvait rester en place malgré la faiblesse dans laquelle il se trouvait.

S : jack…on a trouvé !

Jacob: jack???

Hammond pris le bras de George pour lui dire de ne pas insister, ils avaient tous deux compris ce qui se passait.

J : s…am !

S : on a trouvé! Ça y est!

J : mer…ci…

S : attend…je ne t’es pas encore fait la piqûre !

Jack fit une drôle de grimace à Sam en entendant ce mot, puis, Sam glissa l’aiguille dans son bras.

S : ça y est ! il ne reste qu’a attendre.

A : son mal était plus fort que les vôtres, il va certainement mettre plus de temps à guérir.

S : j’espère que tout va bien se passer…

Jack venait de tomber dans une semis inconscience, il semblais dormir.

H : bien, laissons le se reposer !

S : je reste ici…

H (regardant Jacob) : si vous voulez major.

Tout le monde partait de l’infirmerie, laissant Sam et Jack seul, attendant patiemment que tout s’arrange.

Au cour de la nuit, il s’était réveillé une fois, puis s’était rendormie aussitôt, Sam n’avait pas bougée, elle lui parlais de temps en temps, mais au petit matin elle finie par s’endormir sur Jack, la tête posée sur son torse.

Jack se réveilla le soir, Sam dormais encore, elle avait du sommeil à rattraper. En s’apercevant que son amie était sur lui, Jack sourie faiblement, il était de nouveau lucide.

Il lui caressa les cheveux et le visage délicatement, en la regardant dormir, son autre main était toujours prisonnière de celle de Sam, et, il s’en rendis compte en la sentant remuer sa main.

J : bonjour…

S : mmm...

J : tu peu continuer à dormir si tu veux... je t’en empêche pas !

S : mon col… ???

J : Jack !

S : Jack ? est ce que ça va mieux ?

J : bien mieux, je te remercie, c’est grâce à toi !

S : j’ai eu si peu…qu’il soit trop tard…

Jack pris le visage de Sam dans ses mains

J : je part pas sans dire au revoir !

S : alors ne me le dit jamais

Elle se pencha sur lui et l’embrassa

RRRMMMmm RRRRMMMmm

H : flagrant délit !

J : mon général ! je suis vivant et tout ce que vous trouvez à dire c’est CA !

H : vous préférez que je mette une pancarte devant l’infirmerie avec écrit dessus " défense d’entrer " ?

J : ce serait sympas de votre part !

Sam ne disait rien, elle était toute rouge d’avoir été ainsi surprise.

H : quelque chose ne va pas major ?

S : non…ça va…

H : bon, je vous laisse, mais pensez à déconnecter les caméras, je veux pas passer en cour martiale à cause de vous !

Le général Hammond sortit, laissant seul Sam et jack.

S : y lui arrive quoi ?

J : une crise de bonté

S : si il pouvait en avoir plus souvent…

J : à vrai dire, ce n’est pas sa réaction à lui qui me fait peur…

S : de qui ???

J : ton père…je sais pas si il me porte vraiment dans son cœur…

S : je t’assure que si !

J : il va me dire que je suis trop vieux pour toi.

S : mais non, tu te fais des idées….

J : je pourrais être presque ton père…

S : n’en rajoute pas s’il te plais tu n’es pas si vieux…

Jacob : on parle de moi ???

J : monsieur carter !

S : papa…

Jacob : depuis quand vous m’appelez " monsieur carter " ??

J : euh….

Jacob : Jack voyons…nous sommes de la même génération…appelez moi Jacob !

Jack et Sam se regardèrent un peu inquiets

Jacob : mais ne faites pas cette tête tous le deux…je vais pas vous manger !

S : papa, j’aimerais te dire que…

J : en fait Jacob…

Jacob : oui ????

S : le colonel et moi…

Jacob : tu ne l’appelle plus Jack ?

S : heu…si…

Jacob : ma chérie, je suis ton père, et je te connais mieux que quiconque ici, tu pense vraiment que je n’était pas au courant depuis un certain temps déjà ?

J : vous voulez dire que…

Jacob : je n’est pas mon mot à dire de toute façon, mais je suis heureux qu’il s’agisse de vous !

Sam (enlaçant son père) : merci papa !

J : merci Jacob !

Jacob : attendez avant de me remercier…si vous faites du mal à ma fille, c’est Selmac qui s’occupe de votre cas !

S : tout se passera bien…j’en suis sur !

Jacob : soit heureuse ma chérie.

Jacob enlaça sa fille et fit une poignée de main à jack, puis il sortit.

S : ça c’est pas si mal passé.

J : je dirait même très bien… mais c’est qui le prochain à passer ???

S : je vais verrouiller la porte si tu veux ?

J : ça c’est une idée brillante comme je les aimes !

Elle ferma la porte et revins auprès de lui…

Quelques heures plus tard…. Salle de briefing.

H: j’ai appelé le Président, il dit que nous n’ouvrirons la base que demain matin, ils viendrons avec des combinaisons pour être sur qu’il ne reste rien ici !

S : nous n’avons plus de soucis à nous faire, le virus ne résiste pas dans l’air.

H : parfait, donc je vous dis à tous bonne nuit car il est tard et la journée de demain va être chargée !

J : et…mais c’est Noël demain !

H : j’avais presque oublier !

J : on pourra quand même faire la fête ?

H : je pense que oui !

J : je vais appeler Daniel pour qu’il pense à ramener le nécessaire avec lui.

Jacob : très bien, donc je vous dit à demain !

S : bonne nuit papa !

T : je vais me mettre en Kelnurim, j’ai beaucoup à rattraper de ces derniers jours !

J : à demain Teal’c !

Tout le monde rentra dans sa chambre, mis à part Jack et Sam qui décidèrent de partager la leur !

Le lendemain

J : ravi de vous revoir mon cher !

D : moi aussi ! comment ça va ?

J : très très bien !

D : qu’est ce qui vous met dans un état pareil ?

J : je ne sait pas…peut être Noël !

D : non, il y a autre chose…

Sam arriva à ce moment

S : Daniel !!! j’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne vous a pas vu !

D : je suis ravi que tout soit rentré dans l’ordre ;

Sam et Daniel firent une accolade.

S (à jack) : Jack, Janet veux te voir pour un bilan.

D : Jack ???

J : on vous expliquera…peut être… ou peut être pas!

Noël se passa très bien et chacun pu se changer les idées, la fête semblait avoir pris le dessus dans toute la base, car après tant de soucis, il faut faire retomber la pression.

H : Colonel…Major !

S & J : mon général !

H : j’ai un cadeau de Noël pour vous deux !

J : c’est sympas de votre part…

Hammond leur tendis un papier

J : qu’est ce que c’est ????

S : ça ressemble à un plan…

H : pour vos futurs cartiers…si vous le souhaitez, sinon j’annule tout !

J : c’est génial…merci pour tout général !

S : merci….

Hammond eu droit à une bise de la part de Sam, et à une bonne poignée de main !

J : qu’a dit le président ?

H : il vous félicite !

S : remerciez le pour nous s’il vous plais !

Tout le monde repartit ensuite à ses activités dans le SGC, mis à part deux individus, qui en ont trouvés une nouvelle, car après tout, quatre ans ça ce rattrape pas comme ça !