Quand le passé refait surface
Auteur : marge
e-mail : marjo87@hotmail.com
résumé : Sam part précipitamment de la base, jack sent qu’il se passe quelque chose…
genre : Sam / Jack romance
disclaimer : les personnages sont pas à moi à part ceux que j’invente (on les reconnaît tout de suite vous en faites pas !!!) et voilà…… bla bla…
note de l’auteur : n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires pour donner vos impressions…
autre note de l’auteur : je tiens à vous dire que ce fic est une copie de l’original (il est partit de ma disquette…) donc j’ai fait ce que j’ai pu pour faire comme le premier…mais j’ai sans doute oublier des trucs…en plus j'ai été un peu plus vite...donc c'est une fic rapide...
QUAND LE PASSE REFAIT SURFACE
Bureau du général Hammond
Toc Toc
H : entrez !
Le major Carter fit son entrée et se mis au garde à vous
S : mon général !
H : repos ! que voulez vous major Carter ?
S : j’ai une requête mon général.
H : je vous écoute…
S : j’aimerais avoir quatre jours de permission…si c’est possible…
H : pour quel motif ?
S : c’est…personnel mon général…
H : rien de grave j’espère ?
S : non, ne vous inquiétez pas.
H : bon… accordé, après tout, vous passez toutes vos vacances ici alors je ne peu pas vous faire ça !
S : merci mon général… je doit être cependant partie dans une heure et…
H : ne vous en faites pas, je me charge de prévenir SG1 !
S : merci mon général
H : rompez !
Sam fit son sac et partie le plus tôt possible
Micro : SG1 est demandé en salle de briefing, je répète…SG1 est demandé en salle de briefing !
Salle de briefing
H: bien, messieurs, je vous ai réunis…
J : on attend pas Carter ? pour une fois que je ne suis pas le dernier !
H : désolé de vous décevoir mais vous étiez encore le dernier, je vous ai donc réunit pour vous dire que le major Carter à du partir précipitamment ce matin, elle sera absente quatre jours !
D : il s’est passé quelque chose de grave ?
H : pas à ma connaissance, mais le major avait l’air préoccupé en partant.
J : moi je dis que c’est louche ! carter ne prend jamais de vacances !
T : elle avait certainement à faire à l’extérieur de la base !
H : bon, en attendant, vous n’aurez pas de mission, on reprend dans quatre jour, à 17h00
J : on est en vacances ????
H : sans le major Carter on ne peu pas faire grand chose
J : c’est gentil pour nous ça !
H : vous m’avez parfaitement compris colonel, Rompez !
Une fois le général sortit, SG1 (moins Sam) resta dans la salle.
J : moi je dit que c’est bizarre
D : de quoi ?? que ce ne soit pas vous l’élément irremplaçable de l’équipe ??
J : non, le départ de Carter !
T : je ne pense pas qu’il faille s’inquiéter, le major Carter est un bon soldat, elle sait ce qu’elle fait !
D : moi je lui fait confiance aussi !
J : je passerais la voir ce soir, pour savoir si tout va bien…
D : si vous le dites…
Jack lança un regard qui en disait long à Daniel, et l’archéologue décida de partir en vitesse.
Devant la maison de Sam, 20h00
Jack gara sa voiture non loin de l’allée, puis marcha jusqu’au seuil de la porte, la voiture de Sam n’était pas là, et il n’y avait pas de lumière non plus. Il fit vite fait le tour de la maison, puis, en arrivant devant le cave, il vit que l’entrée était restée ouverte, et que sur le sol, il y avait quelques traces de sang séché.
Il décida d’essayer encore de l’appeler sur son portable, mais il ne semblais pas fonctionner. Il appela alors la base.
J : allô ici le colonel O’Neil !
Sergent : mon colonel ! que puis je faire pour vous ?
J : j’ai besoin du numéros de téléphone du frère du major Carter,… il doit être dans son dossier !
Sergent : une seconde, je consulte le fichier informatique…ça y est ! c’est le 555 4876 !
J : merci !
Il raccrocha, puis appela le frère de Sam
J : allô, je suis le colonel Jack O’Neil ! je voudrais savoir si votre sœur le major Carter est avec vous ?
Frère : non, je suis désolé… mais son amies est peu être au courant !
J : quelle amie ?
Frère : celle qui a appeler hier pour parler à Sam
J : vous avez son numéro ?
Frère : c’est le 555 2135
J : merci
Frère : y a-t-il un problème avec Sam ???
J : non, rassurez vous, c’est juste pour pouvoir la joindre…merci.
Il regarda le numéro et se dit qu’il n’avait pas vraiment le droit d’enquêter sur Sam de cette façon, elle lui mettrait certainement son poing dans la figure si elle le savait ! mais son sourire s’estompa lorsqu’il revit la tache de sang sur le sol.
Il fit des recherches pendant la nuit pour savoir avant tout à qui était ce téléphone, et vers 3h du matin, il obtient les coordonnées suivante :
" Naïma Robinson, 457 de la 41 avenue, New York "
le lendemain, en se réveillant (à 12h25…) il décida de téléphoner à ce numéro, pour avoir le cœur net, il revoyait la cave ouverte et le sang sur le sol dans sa tête, mais aussi un détail qui le frappa, c’est que Sam était partie sans même dire au revoir à ses collègues, il en était sur, il se passait quelque chose !
J : allô… madame Robinson ?
N : oui, c’est moi !
J : je suis le colonel Jack O’Neil… je voudrais savoir, ou se trouve le Major Carter ? vous n’auriez pas une idée ?
N (sèchement) : non !
J : vous êtes bien sur ??
N : parfaitement !
J : c’est étrange mais je ne vous crois pas ! écoutez…si vous savez quelque chose…
Biiiiip Biiiiip Biiiip
Elle avait raccrocher, cette fois c’était sur dans son esprits, il se passait quelque chose, et il n’aimais pas ça du tout !
Il pris alors un vol allé pour New York, et arriva là bas vers 22h, puis, il pris un taxi qui l’emmena jusqu'à l’adresse indiquée.
C’était un vieil immeuble pas très rassurant, avec au moins dix étages, il regarda sur les boites aux lettres pour trouver l’appartement de cette Naïma Robinson. Elle habitait au quatrième (sans ascenseur !) arrivé là haut, il frappa
La porte s’ouvrit, mais elle était retenue par une chaînette de sécurité.
J : vous êtes madame Robinson ?
N : vous voulez quoi ?
J : je sui le colonel jac…
Elle ferma le porte, mais jack mis son pied pour ne pas être bloqué dehors.
J : ouvrez cette porte ! je veux juste parler avec vous !
N : je n’ai rien à vous dire !
J : ouvrez je vous dit !
N : je vais appeler la police !
J : et moi j’appellerais le FBI alors ouvrez maintenant ou vous aurez droit à un interrogatoire !
Naïma le regarda et hocha la tête, elle referma la porte pour enlever la sécurité, puis la rouvrit.
N : entrez !
J : trop d’honneur !
N : Sam n’est pas là !
Jack fit un tour d’horizon de l’appartement, il était assez glauque et petit, il n’y avait qu’une petite cuisine, avec une petite salle de bain, et deux chambres en bordel. Par une porte entre-ouverte, il vit sur un lit, le manteau que Sam avait porter un jour, et pas de doute, c’était le même !
J : ne vous moquez pas de moi, c’est à elle ça !
N : ma parole elle a raison de dire que vous êtes la personne la plus entêté qu’elle connaisse !
J : elle a dit ça ?
N : elle dit beaucoup de choses !
J : comme quoi ?
N : que certaines personnes fourrent leur nez là ou ça ne les regarde pas !
J : je m’inquiète pour elle ! j’ai trouvé du sang dans sa cave, et elle était restée ouverte !
N : elle s’est blessée au bras en allant chercher quelques affaires à elle, elle est guérie !
J : ou je peu la trouver ? je trouve son départ trop louche pour être crédible !
N : vous pouvez toujours espérez !
J : vous savez que je peu faire pression !
N : mais oui, c’est ça !
J : si je veux, en moins de dix minutes, je peu faire rappliquer ici tous les agents du gouvernement ! ainsi que les commandos ! les marines ! et l’aviation ! alors dites moi ou elle est !
N (hésitante) : vous pouvez faire tout ça ???
J : disparition d’un officier de l’armée américaine ça peu aller loin !
N : elle va me tuer…
J : c’est moi qui vous tuerais si vous ne parlez pas
N (hésitante) : …elle est au 1450 de la 13eme avenue
J : merci ! c’est pas trop tôt… vous en avez mis du temps !
N : ne lui faites pas de mal…
J : jamais je ne lui ferais de mal !
Sur ce, il parti chercher un autre taxi, qui le conduisit à destination. Une avenue bruyante, avec beaucoup de monde, des lumières partout et de la musique jusque dans la rue.
Jack descendis et regarda partout autour de lui, il vit le numéros 1450 écrit sur le mur d’un immeuble, et, en s’approchant, vit qu’il menait dans un sous sol.
En entrant, il était un peu perdu, c’était un bar, avec des types pas très nets un peu partout.
Il alla jusqu’au bar
J : excusez moi ! vous ne savez pas ou je peu trouver Samantha Carter ?
Barman : je ne sait pas si Carter c’est son nom, mais tout le monde st là pour la même chose
Client : depuis qu’la p’tite est revenue en ville, c’est plus pareil !
Barman : regardez là bas !
La barman montrait la scène, ou on pouvait voir une jeune femme effectuer une …danse, quelque peu sensuelle, autour d’une chaise et d’une barre. Il refusait de croire qu’il pouvait s’agir de Sam, il s’attendait à la voir débarquer, et le forcer à avoir une sévère discussion sur sa présence ici, mais il ne pouvait pas détacher son regard de cette femme…
Il avait enchaîner au moins 5 verres d’alcool sans s’en rendre compte, il ne voyait qu’elle, mais cette inconnue portait un masque donc il ne pouvait pas voir son visage, mais juste avant la fin, elle se retourna et l’enleva, puis, elle fit face au public, et …c’était bien elle…. Sur scène… il n’en revenait pas et avait même faillit s’étouffer dans sa boisson qu’il recracha aussitôt tellement il était surpris.
Sam disparue derrière la scène, elle ne l’avait pas vue, mais lui, n’avait vu qu’elle, il se décida alors d’aller la chercher, car après tout, son amies lui dirait qu’il était passé, alors il ne pourrais pas avoir d’alibi…de plus, comment pourra-t-il se sortir cette image de la tête ???
Il arriva près des vestiaires mais vit un vigil qui faisait la sécurité
J (dans sa tête) : j’arrive bien à fausser compagnie aux Goa’Uld… pourquoi pas à un petit gars dans son genre !
Une fois rentré, il trouva une loge et rentra, puis, pendant qu’il regardait autour de lui, la porte s’ouvrit…
S : mon colonel ???
J: major !!!
Sam compris vite la situation et enfila un peignoir
S : mon dieu !!!! mais que faites vous là ????
J : on s’inquiétait pour vous…
S : les autres sont là aussi ???
J : non…
S : alors ne les mêlez pas à cette histoire ! vous êtes le seul responsable !
Elle mis sa main sur son front comme pour mieux réfléchir
S : depuis quand êtes vous là ?
J : assez longtemps pour…
S : c’est bon, j’ai compris !
J : je vous laisse vous habiller, je vous attend dehors !
Il sorti sans lui laisser le temps de répondre, cette dernière phrase sonnait plus comme un ordre. Il alla payer le barman, et en regardant la scène, il ne peu s’empêcher de se souvenir de ce qui c’est passé, et un sourire se dessina sur son visage
Barman : alors, vous l’avez vue ? elle vous a pris en " extra " ??
Il eu pour seule réponse un crochet du droit dans sa mâchoire, et s’en suit une bagarre de bistro habituelle.
Sam arriva et tenta de les séparer
S : Rodrigue arrête ! tu vas le tuer !
J : et pourquoi ce serait pas moi qui le tuerait ?
S : parce qu’il est champion de boxe !!!
J : ah !
Mais un autre coup atterrit dans le ventre de jack
S : Rodrigue !!!
Barman (Rodrigue) : partez d’ici ! sinon ça va pas aller !
Sam pris le bras de jack et le traîna dehors pour aller plus vite.
J : j’aurait pu l’avoir si vous n’étiez pas intervenue !
S : mais oui…
J : je vous le jure !
Sam s’arrêta de marcher une fois qu’elle était dehors, elle regardait jack parler tout seul
J : bon…. Qu’est ce que vous faisiez dans un endroit comme celui là ?
S : ça ne vous regarde pas !
J : dites le moi !
S : vous n’avez aucun ordre à me donner, je suis en permission !
J : je peu vous faire juger pour ça !
S : et moi je peu vous faire enfermer pour harcèlement sexuel d’un supérieur ! comment expliquerez vous votre présence ici ????
J : bon…mais aucun de nous ne veux en arriver là…n’est ce pas ???
S : …non, bien sur mon colonel !
J : maintenant on rentre, il y a un avion dans trois heures !
S : non ! vous vous rentrez ! moi je reste…
J : hors de question ! vous rentrez avec moi !
S : je suis désolé mon colonel !
Elle partit et monta dans une voiture, puis la démarra, à ce moment, jack monta à côté d’elle.
J : bon…expliquez moi alors !
S : je regrette…
J : je ne partirais pas d’ici avant de savoir…ne me dites pas que vous faites ça pour arrondir vos fin de mois ! je ne vous croirait pas…avec ce que vous gagnez à la base !
S : je fais ça pour Naïma, une amie à moi…
J : je la connaît…
Sam le regarda
J : c’est elle qui m’a dit que je vous trouverait là…mais ne soyez pas trop dure avec elle…je lui ait forcer a main ! bon…et qu’est ce que Naïma à a voir la dedans ?
S : elle est en arrêt, car elle est très malade, elle reprend dans quatre jours, et si elle n’allait pas travailler, ils allaient la remplacer pas une autre fille qui aurait un contra permanent, et Naïma n’aurait plus de travail… comme je lui doit la vie, elle m’a demander de l’aider …
J : pourquoi VOUS ?
S : parce que je suis la seule personne en qui elle ait confiance, et parce que je lui suit redevable…
J : pourquoi ?
S : cette partie de l’histoire ne regarde que moi !
J : comment je peu vous aider si je ne le sait pas !
S : vous ne pouvez pas m’aider de toute façon, et je ne vous demande rien !
J : dites moi toujours, de toute façon je pourrais vous l’ordonner !
S (après un long silence) : … ça remonte à loin… je devais avoir 19 ans, j’était partie de chez mon père parce que la mort de ma mère semblais nous avoir séparer, on ne se parlais plus, je ne le voyais que très rarement, et j’ai rencontrer un type qui m’a présenter à des gent…puis j’ai commencer à travailler pour eux…
J : vous voulez dire…ce genre de travail ?
S : oui… j’en suis pas fière…et c’est là que j’ai rencontré Naïma, elle m’a fait sortir de là… sans elle je serais morte et enterrée dans un fossé à l’heure qu’il est !
J : je suis désolé…
S : ce n’est pas votre faute ! vous n’y êtes pour rien !
J : oui mais je suis désolé que vous aillé vécu ça…
S : c’est du passé…
J : pas tant que ça…
S (changeant de sujet) : on est arrivé chez Naïma…
J : on devait pas aller à l’aéroport ?
S : mon colonel je vous ai dit que je devais rester ! et puis vous vous avez une blessure au bras… Rodrigue n’y a pas été de main morte avec vous…
J : je suis sur qu’a l’heure qu’il est il doit être en train de compter ses côtes cassées !
Ils montèrent tous les deux dans les escaliers sombres, puis entrèrent dans l’appartement.
S : shutt… Naïma est couchée…
Elle le conduit dans la chambre
S : je n’ai pas d’autre endroit à vous proposer
En disant cela elle tira la couverture et la mis sur le sol
J : mais vous allez avoir froid !
S : colonel…il fait presque 25 degrés !!!
J : ah !
Elle sortie pour se rendre dans la salle de bain, en revenant, jack remarqua qu’elle avait ôté sa jupe et son haut moulant contre une short et un débardeur noir en coton. Quand à jack, il s’était directement couché en caleçon. Elle lui désinfecta le bras avec du coton et de l’alcool, ce qui lui arracha plusieurs grimaces, mais il était assez bon patient, une fois terminé, ils se couchèrent
S : bonne nuit colonel
J : bonne nuit Carter
Dans le silence de la pièce, on pouvait entendre la respiration de l’autre, et ils étaient tous deux parfaitement synchronisés, mais jack ne pouvait pas penser à autre chose qu’a Sam à moitié nue sur l’estrade, et il ne put retenir un petit soupir qui ressemblais à un rire.
S : je vous préviens… si vous parlez de cette histoire à quiconque, je vous tue !
J : ne vous en faites pas, ça restera entre nous !
Les deux s’endormirent enfin, car il était déjà tard le soir…enfin…tôt le matin si on peu dire c’est vers midi le lendemain que Sam se réveilla, le soleil venait taper dans son œil et elle fit surface, mais lorsqu’elle vu son colonel sur le sol à côté d’elle, elle se mis la main sur les yeux comme pour être sur qu’elle n’avait pas fait un cauchemar cette nuit…non, c’était bien réel…
Elle se leva et vit Naïma qui semblais vouloir l’éviter en partant dans la salle de bain…
S : attend un instant !
N : je te jure qu’il m’a forcer…je ne voulais pas lui dire…
S : je le sais, il est un peu trop persuasif…
N : comment ça va toi ?
S : bien…il l’a bien pris…enfin je pense… il est à côté, il dort.
N : il repart quand ?
S : aujourd’hui.
J : et vous aussi Carter !
S (après avoir sursauté) : non ! je vous l’ai déjà dit !
J : je ne vous laisserait sûrement pas retourner là bas !
S : vous n’avez pas le choix, même si ma carrière en dépend, je n’abandonnerais pas une amie !
N : écoute Sam… je suis désolé d’être la source de tout ça…
S : tu n’as pas à l’être, je t’avais dit que tu pourrais conter sur moi en cas de problème !
N : pas au détriment de TOI !
S : c’est pourtant ce que tu as fait TOI… je n’ai qu’une parole…je reste
Sur ce, elle rentra dans la chambre, s’habilla en moins de deux minutes et sortie en trombe de l’appartement.
N : elle ne restera pas fâcher très longtemps !
J : vous la connaissez bien ?
N : assez oui, elle a vécu des moments difficiles…
J : elle ne m’a pas tout dis à propos de ça…
N : c’est à elle de vous en parler…
J : mais elle ne le fera pas ! et je veux l’aider du mieux que je peu ! je veux savoir ce qui c’est passé, elle m’a dit qu’elle avait faillit se faire tué…
Naïma avait un peu plus confiance en cet homme qu’elle ne connaissait pas, mais c’était pour le bien de son amie…
N (hésitante) : c’était le patron de la boite, Tony, inutile de vous dire que Sam était la meilleure des Girls, et bien sur, elle s’attira sa protection …mais il était un peu trop protecteur…il ne voulais pas qu’elle pale avec les autres hommes de la boite… alors que Sam est de nature à faire connaissance… alors il la tapais…
J : quoi ????
N : il la tapais de plus en plus fort chaque soir, mais elle ne disait rien, elle soufrait en silence, elle se relevait à chaque fois, néanmoins sa rage décuplais à chaque fois qu’il la touchait
J (dans sa tête) : ça c’est la Carter que je connaît, elle est capable d’endurer les pires souffrances sans ce plaindre…
Bip bip bip bip bip (le portable de jack)
J : qu’est ce qu’il me veulent eux ??? Excusez moi…
J : allô ?
D : salut, c’est moi !
J : Daniel !
D ; dites, je vous appelle pour une urgence, …
J (ironique) : c’est bien le moment tien !
D : on n’arrive pas à joindre Sam…on a besoin d’elle pour l’ordinateur, il est en train de planter…
J : qu’est ce que je peu bien m’en foutre !
D : vous devrez retaper tous vos rapports qui remontes à deux ans !
J : bon, je vais essayer de la joindre !
D : merci jack…dépêchez vous !
Il raccrocha et regarda Naïma
J : vous savez ou je peu la trouver, c’est important, pour le travail !
N : allez voir sur le quai 42 près des barges…c’est pas loin à pied !
J : merci !
Il arriva près d’un entrepôts maritime et en longeant le mur, vit Sam assise sur le rebord du quai, regardant l’horizon !
J : Carter !
S : décidément, Naïma ne peu pas tenir sa langue…
J : c’ est la base, Daniel m’a appelé et ça a l’air urgent.
Il lui tendit son portable
S : merci
S : allô Daniel ?
D : Sam ! on a un gros problème et on a pas réussit à vous joindre !
S : allez y dites moi ce qui ce passe !
D : l’ordinateur central ne répond plus aux commandes, on perd tous les fichiers dans dix minutes selon le conte à rebours…
S : très bien, allez dans le menu de sauvegarde
D : ouais…
S : entrez le code d’accès D47L5 c’est le mien…
D : c’est bon…
S : vous passez sur la mémoire centrale et vous effacez le fichier contenant le virus
D : c’est lequel ??
S : celui avec en premier chiffre 5 !
D : c’est bon je l’ai !
S : effacez le !
D : c’est bon !
S : alors tout est rentré dans l’ordre, bravo Daniel !
D : non, c’est vous le cerveaux !
S : à bientôt !
D : attendez… vous êtes où… comment ça ce fait qu’on ai pas pu vous joindre et que jack il a réussit ???
S : il est persévérant…un peu trop parfois…
Elle regardait jack en souriant, mais il ne pouvait pas répondre, puis elle raccrochât
J : trop persévérant ???ça veux dire quoi ça ???
S : il fallait bien que ça fasse crédible… qu’auraient-ils dits s’ils avaient su que vous étiez avec moi pendant les vacances…
J (redevenant sérieux) : vous contez vraiment y aller cette nuit ??
S : j’ai des principes, et j’aiderais toujours mes amis s’ils ont des problèmes
J : j’ai les mêmes principes, c’est pourquoi je suis là en ce moment.
S : il faut que j’aille me préparer…
J : je viens avec vous.
S : comment ça ?
J : ce soir…je viens avec vous !
S : hors de question !
J : après ce qui c’est passé hier, je ne vous laisserais pas y aller seule, alors si vous m’en empêchez, j’y serais quand même.
S : vous ne comprenez pas, …je ne sait pas si je pourrais retravailler à vos cotés maintenant que…
J : dites pas de connerie !
S : je n’ose déjà pas vous regarder en face…
J : j’occulterais tout de mon esprits si vous voulez
S : si seulement c’était si simple…
Sam se leva, il la suivit, en arrivant chez Naïma, elle se changea et mis une petite jupe avec un haut bleu marine, lui, portait un jean comme à son habitude lorsqu’il était hors de a base. Arrivé à 23h, ils sortirent pour rejoindre la boite.
S : je préfèrerait que vous ne restiez pas à l’intérieur…
J : pourquoi ?
S : je suis de salle avant d’être de scène…
J : je me ferais petit…et maintenant que je suis là, je ne compte pas partir !
S : alors laissez moi parler à Rodrigue…je ne tien pas à ce qu’il vous mette en pièce !
Elle entra et parla au barman, il dévisagea Jack et lui fit signe de rentrer.
S : je doit aller voir le patron… je reviens tout de suite
J : je vous attend !
Elle revins quelques instants plus tard
S : bon, j’aimerais que vous alliez dans le petit coin là bas, je ne voudrais pas que vous me… voyez.
J : vous allez ou ?
S : avec les types là bas ! (montrant la direction)
J : restez avec moi…ça vous évitera de vous faire tripoter par tout le monde !
S : mon colonel ! je doit rendre des comptes à la fin de la soirée, c’est la place de Naïma qui est en jeu !
J (spontanément) : je vous paye !
S : ne dites pas de bêtises !
J : je préfère ça plutôt que de vous voir avec des " pas nets "
S : non…je doit vraiment y…
J : vous préférez quoi… passez le soirée avec des types bourrés, ou la passer assise ici à faire semblant ?
S : je …
J : restez ici !
S : … très bien, mais la moindre réflexion de votre part et je vais voir les ivrognes !
J : mais oui !
S : je doit me mettre de l’autre côté pour attendre les instructions de Rodrigue !
J : faites donc !
Sam s’assit tout près de jack, et mis son bras autour de ses épaules pour faire crédible, puis ils passèrent une bonne heure à discuter de tout et de rien, évoquant leurs anciennes missions, les moments passés à sauver le monde, et les amis qu’ils avaient pu rencontrés avec qui désormais ils avaient des relations fortes.
Arrivé à terme, elle se leva.
S : je doit y aller…
J : sur scène ???
S : oui…
J : je vous attend ici !
S : c’est ca !
Arrivé le moment fatidique, elle monta sur scène, elle avait cette fois sur le dos, un short très cour, et un haut à lanière rouge, elle dansa pendant près de dix minutes, enfin…pour Jack ça semblais toujours trop cour, il aimait la voir là, comme ça, il découvrait une deuxième facette d’elle, et il doit dire que celle là n’avait aucun rapport avec l’astrophysicienne qu’il connaissait depuis déjà quatre ans.
Elle sortie de scène et revins près de lui.
S : on peu partir maintenant !
J : déjà ???
S : mon colonel s’il vous plais !
J : je plaisantais, bien sur qu’on part d’ici !
S : merci !
Ils prirent la voiture et arrivèrent très tard chez Naïma, ils passèrent directement dans la chambre.
J : j’ai réservé les triquets pour demain, on part à 11h
S : parfait …
J : bon, ben… bonne nuit !
S : bonne nuit mon colonel.
Pendant la nuit, Sam n’arrivait pas à dormir, elle décida de se lever en prenant soin de ne pas réveiller jack, elle tourna la poignée de la porte, mais celle si coinça.
J : major ??
S : excusez moi colonel…je ne voulais pas vous réveiller…
J : je ne dormais pas… quelque chose ne va pas ?
S : non, c’est bon…
J : venez voir…
Elle hésita
J : venez je vous dis !
Elle s’avança.
J : asseyez vous !
Elle se plaça sur le sol, un peu sur la couverture
J : dites moi ce qui ne va pas !
S : je me pose des tas de questions…
J : oui…moi aussi…
S : est ce que vous pensez réellement que l’on arrivera à travailler comme avant ?
La question de Sam le surpris un peu, mais il doit bien avouer qu’il se la posait aussi
J : on est des pro, on fait notre travail !
S : je pense qu’il faudrait garder ça pour nous…
J : bien sur, de toute façon je n’allais pas le crier sur les toits !
Sam soupira et regarda par la fenêtre sans bouger de sa place
J : je vous respecte Carter… et ce qui c’est passé ces derniers jours ne changera rien à ce que je pense de vous.
S : et…vous pensez quoi de moi ?
J : vous êtes …une jeune femme brillante, douée, exaspérante…
Sa dernière réplique lui arracha un sourire
S : comment ça exaspérante ???
J : vous êtes trop intelligente pour moi !
Sam fit un air triste au lieu de sourire comme à son habitude
J : qu’y a-t-il ?
S (triste) : c’est un peu à cause de ça que j’ai fini par travailler dans ce genre d’endroit… j’en avais marre qu’on ne me voit que comme une sage étudiante…
J : mais vous êtes aussi une très belle femme…
S : c’est l’alcool qui vous fait parler mon colonel
J : bon d’accord, mais sans alcool je n’aurais pas dit ce que je pense réellement de vous !
S : c’est gentil de votre part…vous ne m’avez pas habituer à ça !
J : je cache bien mon jeu
S : c’est dommage…
J : pourquoi ?
S : parce que vous aussi vous êtes quelqu’un de bien…
J ; dites moi quelque chose que j’ignore !
S : …vous m’êtes très cher…
Sam baissa les yeux, et n’osait même plus le regarder… il lui releva la tête délicatement et lui déposa un baiser sur les lèvres, un tout petit baisé qui dura plusieurs secondes, très doux et très pudique, mais plein d’émotion. Ils étaient tous les deux les yeux encore fermés, distant de quelques centimètres l’un de l’autre, personne n’osait déranger ce silence si agréable et si pesant en même temps, mais il fallait réagir
J : ça résume un peu ce que je pense…
S : un peu ???
J : à vrai dire ça ressemblais plus à ça…
Il l’embrassa une seconde fois sans détour, plus passionnément que ce qu’elle avait pu imaginer
S (entre deux baisers) : c’est un peu mon avis également…
J : ça ressemble à une discussion approfondie…
Le reste de la conversation se perdit dans la nuit fraîche et agréable que nos deux amants partagèrent jusqu’au petit jour, lorsqu’ils se réveillèrent enlacés.
J : salut toi.
S : salut…
J : tu vas bien ?
S : comment ça pourrait être mieux ?
J (sérieux) : j’ai eu peur de ne pas te trouver à coté de moi en me réveillant…
S : tu me serres si fort que je ne peu pas bouger
J (souriant) : ah parce que tu contait partir ?
S : je doit t’avouer que j’ai hésité…
J : je te retrouverais ou que tu soit….alors ça sert à rien !
S : ne t’en fait pas, je me sent bien ici…
J : Chez Naïma ou dans mes bras ?
S (pour le taquiner) : je sait pas….. j’hésite….
Il l’attrapa et l’attira tout contre lui, et l’embrassa passionnément
J : et là ???
Elle lui fit son plus beau sourire, puis il lui caressa le visage en la regardant, il fallait désormais partir, il allais être l’heure, mais aucun des deux ne voulaient se séparer
S : tu penses que la base trouverait suspect si on ne rentre pas
J : si on est tous les deux à pas rentrer : OUI c’est suspect !
S : on ne leur dit rien…je ne veux pas que certains poses trop de questions…comment on leur expliquerait ??
J : je leur dirais que tu es génial en danseuse étoile !
S : allez… il faut se lever….
Après de rapides au revoir avec Naïma, Sam et Jack prirent leur avion. Le vol se passa bien, et fut plus rapide que l’aller…ou peut-être est ce le fait d’avoir trouver une occupation qui leur donne l’impression d’aller trop vite pour rentrer ?
Salle de briefing
D : je suis sur qu’ils ne vont pas tarder général…
H : je l’espère !
J & S : bonjour. Mon général !
H : vous voilà enfin…on vous attend depuis dix minutes…
J : j’ai croisé le major Carter dans les couloirs, et je lui ai raconté mes vacances !
H : ne vous moquez pas de moi en plus de ça !
S : pardon mon général ?
H : on sait que vous étiez ensemble !
J : mon général je ne pense……(coupé)
D : jack ! nous le savons parce que le téléphone avec lequel Sam nous a appelé était à vous !
Sam baissa la tête dans un soupir
J (à Sam) : quoi ??
S : ils ont l’affichage de numéros !
J (ironique) : magnifique !!
H : alors ne nous mentez pas !
D : on veux tout savoir !
S & J : DANIEL !!!!
D: quoi?
J: quoi quoi ! Arrêter ça !
D : arrêter quoi ?
J : CA !
H: moi j’attend des explication!
S : ben…on s’est croisé…
J : on a discuter…
S : c’est là que vous avez téléphoner !
J : et on est repartis chacun de notre côté !
H : à d’autres colonel !
D : on trouvera bien de toute façon !
J : je pense déjà, que ça ne vous regarde pas !
H : au contraire colonel, je vous rappel qu’il existe un règlement de non fraternisation entre officiers !
J : qui vous dit qu’il y a eu fraternisation ? j’ai pas le droit de voir un collègue pendant mes vacances ?
S : mon général, je pense que nous devrions reporter cette discussion…il y a un briefing à faire…
H : c’est moi qui décide du sujet de la discussion du briefing major, vous n’y échapperez pas !
J : puisque c’est comme ça, autant en finir au plus vite !
Il regarde Sam, et après un accord passé entre leur deux regards pour savoir si l’autre était OK de tout risquer ici même, ils s’embrassèrent devant tout le monde
H : et vous trouvez que CA c’est pas de la fraternisation ????
J : il faut que l’on revois notre définition…
S : que comptez vous faire général ?
H : vous féliciter pour commencer !
J (surpris) : ça c’est gentil à vous !
H : mais vous aurez le droit à un sermon tout de même !
D : c’est génial !
S : merci Daniel…
T : je suis ravi pour vous deux
J : sympas Teal’c !
H : bon, je vous rappelle tout de même que le monde ne tourne pas qu’autour de vous, si nous pouvons continuer, nous allions donc parler de la nouvelle mission sur P2X….
Voilà, tout est rentré dans l’ordre à la base, SG1 va continuer ses missions et avoir encore une très longue vie devant elle, et deux tourtereaux qui viennent de se trouvée, vont passé le reste de leur vie ensemble !
Fin !