Rattrapé par le passé

Auteur : marge

Genre : Sam jack romance

Résumé : au cours d’un briefing, jack reçois un coup de téléphone qui va plutôt le déstabiliser, mais son épreuve à venir…reste un mystère !!! (jusqu'à ce que vous lisiez les vingt premières lignes)

Disclaimer : pas à moi…pas d’argent… à la MGM…. Bla bla bla…

Note de l’auteur : ben, c’est un ff tout ce qu’il y a de plus normal…à vous de le lire pour me dire ce que vous en pensez !

Rattrapé par le passé

SG1 était en salle de Briefing, et étudiait les données sur leur prochaines missions.

S : tous les relevés atmosphériques sont normaux mon général.

D : on peu apercevoir des ruines sur les images renvoyées par la sonde, j’aimerais assez les étudiées !

H : bien sur, je ne vois pas ce qui vous empêcherais d’aller visiter une nouvelle planète, vous partez dès que vous êtes près.

Le sergent fit son entrée.

Sergent : mon général, le colonel O’Neil est demandé au téléphone.

J : c’est qui ?

Sergent : je ne sais pas mon colonel, mais on m’a dis que c’était urgent !

J : mon général…

H : allez y !

Jack se leva et se dirigea vers le combiné qui se trouvait dans une autre salle.

J : allô !

Voix : bonjour Jack.

J : Sarah ??

Sarah : oui, c’est moi.

J : comment vas tu ?

Sarah : très bien, je te remercie et toi ?

J : comme d’habitude… pourquoi m’appelles tu ?

Sarah : je voulais te parler de quelque chose d’important.

J : je t’écoutes…

Sarah : voilà, je… je vais me remarier Jack.

Il avait du mal à garder son calme, il venait de recevoir un sacré coup dans le ventre et se demandait si il allait se relever.

J : comment ?

Sarah : je vais me remarier, et je tenais à t’en informer.

J : pourquoi ?

Sarah : ne soit pas aussi agressif s’il te plais !

J : je ne le suis pas !

Sarah : je tenais à te le dire parce que tu as tout de même été mon mari au cas ou tu ne te rappelles pas !

J : je m’en souviens très bien merci.

Sarah : je pensais que tu aurais pu être heureux pour moi…

J (sincère) : je le suis…c’est juste que ça fait un choc !

Sarah : merci…

J : je veux que tu sois heureuse, tu le mérites, toi plus que quiconque.

Sarah : ça me touche beaucoup.

J : et c’est tout ce que tu avais à me dire ?

Sarah : non, je voulais savoir si tu…aurais aimé venir au mariage… je sais que ça te semble ridicule, mais tu représentes une partie de ma vie, et notre fils…j’aurai aimé qu’il soit là…mais…

J (voyant que Sarah avais du mal) : je viendrais si ça peu te faire plaisir, mais ne t’attend pas trop à ce que je fasse la fête.

Sarah : je veux que tu connaisses Tom, et lui aussi veut te connaître.

J : ne m’en demande pas trop non plus !

Sarah : excuse moi !

J : je viendrais… c’est prévu pour quand ?

Sarah : la semaine prochaine… samedi à 13H résidence de mes parents.

J : j’y serais.

Sarah : merci, tu n’a pas idée à quel point ça à de l’importance pour moi.

J : à samedi…

Il raccrocha et resta un moment sans rien dire, il ne pouvais pas bouger, il avais du mal à croire qu’il venais d’accepter d’être présent au mariage de son Ex-femmes, il y aurais sûrement toute son Ex-belle famille, avec qui il s’entendais plutôt bien, mais qu’il n’avait pas revue depuis le divorce.

Il retourna alors dans la salle de Briefing, et se rassis sans dire un mot.

H : rien de grave colonel ?

J : non, c’est rien…bon, alors, on y va sur cette planète oui ou non ?

H : vous partez dans une demie heure. Rompez !

Jack sortit le premier et Daniel le rattrapa très vite.

D : jack ?

J : quoi ?

D : que ce passe-t-il ?

J : rien !

D : vous avez l’air pas très bien !

J : je vous dis que je vais bien !

D : je suis votre amis…vous pouvez me parler !

J : ça ne vous concerne pas.

D : dans ce cas, en tant que personne extérieure, je peu avoir un avis objectif sur la question.

J : vous êtes vraiment pas possible vous !

D : alors, c’est quoi ce qui vous arrive ?

J : c’est Sarah !

D : votre première femme ?

J : j’en ai pas de deuxième !

D : bon, que voulait-elle ?

J : que je vienne à son deuxième mariage !

D : en effet…

J : j’ai accepté !

D : QUOI ?

J : ben quoi, elle me l’a demandé… et je voulais pas être celui qui se lamente sur son sort !

D : vous êtes jaloux ?

J : de quoi ?

D : qu’elle soit la première à se remarier !

Daniel le regardait comme s’il connaissait déjà la réponse

J : un peu…bon OK, je le suis complètement !

D : mais vous allez tout de même y aller ?

J : je veux pas me défiler !

D : vous allez y arriver ?

J : il va bien falloir ! mais attention, pas un mot à personne !

D : OK.

SG1 partit donc en mission, Jack n’avais pas le cœur à rire et laissa un peu de répits à ses équipiez. Sam s’inquiétait un peu de son état, mais ne voulais pas risquer qu’il ne lui en veuille de s’immiscer dans sa vie privée, alors elle ne disait rien et se contenta d’effectuer ses tests sur la pression atmosphérique ou quelque chose comme ça…

Jack était assit sur un rocher, il n’arrivait pas à réfléchir, et de se triturer l’esprit, il se demandait quelle attitude il devait avoir pour le mariage : décontracté et heureux (pour de faux…) ou froid et distant, restant en retrait de tous les autres invités… il fini par ce convaincre d’attendre le moment venu pour improviser.

S : mon colonel ?

Jack ne répondait pas.

S : mon colonel ????

J : ha??... oui, quoi???

S : j’ai terminé, nous pouvons aller visiter les environs comme vous l’aviez souhaité tout à l’heure !

J : oui, j’ai dit ça ??? et bien allons y alors !

Il partit devant et marchait sans se retourner.

S : mon colonel !

J : quoi encore ???

S : il faudrait prévenir Teal’c et Daniel que nous partons !

Jack se trouva un peu bête

J : je pensait que vous étiez assez intelligente pour les appeler !

S : désolé mon colonel

Sam l’avait vraiment mal pris et partit derrière une falaise pour rejoindre ses amis. Jack s’en voulais un peu, mais n’avais pas envi de se prendre la tête.

S (sèchement) : on y va !

D : y a un problème ?

S : qu’est ce qui vous fait croire qu’y a un problème Daniel ??? y a pas de problème ici !!

D : vous êtes sure Sam ??

S : à part si il s’appelle Colonel O’Neil, il n’y a pas l’ombre d’un problème !

D :qu’est ce qu’y c’est passé ?

S : j’en sais rien, je sais pas ce que je lui ait fait !

D : il a quelques soucis, mais ne vous inquiétez pas, ça n’a aucun rapport avec vous !

S : alors vous savez ce qu’il a ?

D : il ira mieux dans quelque temps !

S : Daniel !!! dites moi !

D : désolé Sam…j’ai promis, et ce n’est pas à moi de parler de ce genre de trucs !

Il partit dans la direction qui menait à Jack, suivit de Teal’c. Sam resta perplexe et frustrée en même temps, mais elle se contentera de suivre les ordres et de continuer la mission.

Le chemin était on ne peu plus normal, il y avait des arbres, des fleurs ; et des rochers à perte de vue…

J : bon, on rentre à la maison !

Personne ne discuta ses ordres, tous avaient compris qu’il ne fallais mieux pas se frotter à lui quand il était dans cet état, Daniel se disait qu’il essaierait de le raisonner à la base.

Sur terre

Sergent : ouverture de la porte mon général.

H : on attend quelqu’un ?

Sergent : SG1 mon général !

H : laissez l’iris ouverte

Sergent : je reçois leur code d’identification mon général !

SG1 passa la flasque bleue

H : tout va bien SG1 ?

J : des arbres, pas de gent, en bref, mission inutile mon général !

H : passez à l’infirmerie, briefing dans dix minutes.

Salle de briefing

H : donc, cette planète ne nous a rien apportée. Je vous remercie, Rompez !

J : général, j’aimerais savoir si c’est possible d’avoir une petite semaine de vacances ?

H : pour quelles raisons colonel ?

J : ben… voilà presque huit mois qu’on est ici, sans interruption, et vous savez que la routine et l’ennuis sont les pires ennemis de la surprise, on ne sera peut être pas vigilent à la prochaine attaque !

D : on dirait que vous l’avez préparer votre discours !

H : bon, c’est accordé, mais soyez de retour lundi à 10h sans exception !

J : merci général !

Hammond se leva et sortit de la sale de briefing avec des papiers plein les bras, laissant SG1 seul.

D : Teal’c vous venez chez moi ?

T : ce serait un honneur docteur Jackson. Je vous remercie.

J : parlez pas trop vite Teal’c, il va se servir de vous pour travailler.

T : ce sera un honneur de travailler avec le docteur Jackson O’Neil !

D : enfin jack, laissez le, lui au mois, il aime ce que je fait !

J : bon… sur ces bonnes parole de maître Daniel, à lundi tout le monde !

Il dit cela en évitant le regard de Sam, il ne pouvait pas croire qu’il avait été si dur avec elle pendant la mission, et, se reprochait d’avoir crier sur elle alors qu’elle n’avait rien fait, mais le silence de Sam depuis leur retour ne lui disait rien qui vaille, et préférait attendre son retour pour s’expliquer avec elle.

En effet, Sam n’avait pas dit un mot, elle ne lui pardonnerait pas de si tôt.

D : et vous Sam, vous allez faire quoi ? rester à la base comme d’habitude ?

S : j’ai une vie sociale en dehors de cette base Daniel !

Elle passa devant jack qui était encore là, et sortie de la salle.

Daniel fit un regard accusateur à jack, et il finissent tous par préparer leurs affaires, et enfin, partir en vacances.

Le fameux samedi arriva…

Jack était en voiture et arriva dans une grande résidence ou se déroulait la cérémonie, il se gara un peu à l’écart, puis hésita un moment avant de sortir.

J (dans sa tête) : il est encore temps de partir…mais non, tu ne peu pas ! tu as promis à Sarah !!! qu’est ce qu’y m’a pris d’accepter ?? j’aurais jamais du !

Au bout de dix minute, il ouvrit la portière, et descendis de la voiture. Il y avait de l’agitation dans le parc, et il se dirigea prudemment, les mains dans les poches.

Voix : jack ??

Il se retourna.

J : Sophia ! bonjour à vous.

Sophia : vous êtes venu pour le mariage ?

J : ben…oui… Sarah m’a demandé d’être présent…

Sophia : vous savez que mon nouveau gendre n’est pas aussi beau que vous !

J : et vous vous étiez ma belle mère préféré !

Sophia était la mère de Sarah, elle s’entendait à merveille avec Jack, et avais toujours regretter leur séparation.

Ils continuèrent à discuter tout en marchant.

Sophia : alors, que devenez vous ?

J : rien de spécial… je travaille beaucoup.

Sophia : je présume que ça doit être dur pour vous d’être ici.

J : je n’ai jamais pu rien vous cacher…

Sophia : je suis vraiment heureuse de vous voir, et j’apprécie ce que vous faite pour ma fille.

J : c’est normal.

Sophia : bon, j’ai encore des détails à régler pour la cérémonie, je vous abandonne, mais promettez moi de me réserver une danse !

J : je ne peu rien vous refuser, vous le savez très bien et vous en profitez !

Elle lui sourie et partie vers la maison.

Un autre personne vint le trouver

Voix : elle t’as toujours beaucoup estimer !

J : Sarah !

Sarah : bonjour jack !

J : comment va tu ?

Sarah : très bien, et c’est en partie grâce à ta présence ici, je n’aurai jamais pu me remarier sans que tu soit là, tu as fait partie d’une grande partie de ma vie…

J : je comprend

Sarah : je voudrais te présenter Tom…

J : bien sur, …allons y.

Ils ne dirent pas un mot jusqu'à ce qu’il soit devant un homme dur quarantaine d’année, vêtu d’un smoking noir.

Sarah : Tom, je te présente Jack, jack, voici Tom !

Tom : vous êtes venu ! c’est vraiment gentil à vous.

Sarah : je vous laisse, j’ai une robe à enfiler !

Ils regardèrent la jeune femme s’en aller vers la maison.

T : c’est important pour elle.

J : oui, elle me l’a dit… il paraît que vous voudriez me connaître aussi !

T : c’est exact, je veux épouser Sarah dans sa totalité, et son passé en fait partit.

J : alors…que voudriez vous savoir ?

T : je ne sait pas, et je ne vous cache pas que je suis mal à l’aise en ce moment.

J : pareil ! commençons par les trucs normaux… vous faites quoi dans la vie ?

T : je suis assureur.

*** jack : la barbe, comme ç’est un type ennuyeux !***

T : et vous ?

J : je… suis dans l’armée de l’air, rien de très intéressant !

T : Mme Rogers (mère de Sophia) m’a dit que vous étiez très pris par vos activités.

J : oui, Sophia m’a toujours vu très occupé.

Il y avait un froid, le gendre l’appelais MADAME, alors que jack l’appelai par son prénom, ça les mis un peu mal à l’aise.

Voie féminine : bonjour Tom !

Tom se retourna et fit face à une jeune femme, jack écarquilla les yeux lorsqu’il vit SAM ! elle était là ! et elle aussi avait du mal à se détourner du regard de son supérieur.

J : carter ???!!!!

Tom : vous vous connaissez ?

S : mon colonel ????

J : qu’est ce que vous faites là ?

S : je pourrais vous poser la même question !

Tom : vous vous connaissez ????

J : c’est mon major…

S : c’est mon colonel…

Tom: expliquez vous !

J : on travaille ensemble !

S : tom, peu tu m’expliques ?

Tom : c’est le premier mari de Sarah, c’est elle que je vais épouser !

S : quoi ????

J : et vous deux ?

Tom : Sam est celle avec qui j’aurais du me marier il y a bien…6 ans de cela !

J : c’est quoi cette blague ???

S : Tom voulais que je soit présente à son mariage pour me présenter sa femme.

J (à tom) :vous le faites souvent le coup d’inviter vos Ex respectif à vos mariages ??

T : je vous ai dit tout à l’heure que nous attachons une grande importance au passé, et Sam fait partie du mien !

S : si je m’attendait à ça !

J : et moi donc !

T : Sam, Sarah doit t’attendre, elle est avec les autres femmes dans la maison pour finir de se préparer, elle voudrait te voir avant la cérémonie.

Sam regarda Jack, après tout, il avait toujours refuser de parler avec elle de son ex-femme.

J : ben allez y, j’ai bien parler avec Tom !

Sam se dirigea alors vers la maison, entra et chercha Sarah, elle la trouva sur un tabouret, avec deux jeunes femmes autour d’elle qui réajustaient sa robe de mariée.

S : je présume que vous êtes Sarah…

Sarah : oui, vous êtes ?

S : Samantha carter…

Sarah : mais oui, bien sur, comment allez vous ?

S : euh…ça fait bizarre…

Sarah : je vous comprend, mais tout va bien ce passer.

S : je voulais dire que, je viens de m’apercevoir que vous êtes l’ex femme de mon colonel, et que vous allez vous marier avec mon ex…

Sarah : vous connaissez Jack ?

S : c’est mon supérieur…

Sarah : c’est étrange, il ne m’avait jamais parler de vous !

S : il ne parle pas de vous non plus.

Sarah : en fait, c’est plutôt une bonne chose non ? vous allez pouvoir connaître quelqu’un à part la famille de Tom.

S : je ne sais pas si le colonel O’Neil voudra vraiment de ma compagnie, il a du mal à se tenir normalement quand la situation lui échappe, je suis sur qu’a l’heure qu’il est, il doit chercher une mauvaise blague.

Sarah : vous le connaissez bien on dirait !

S : euh… ben, c’est que ça fait presque cinq ans qu’on travaille ensemble…

Sarah : alors en cinq années, il n’a pas lâché ses mauvaises réparties ?

S : elles ne sont pas si mauvaise que ça !

Sarah : je sais, mais le truc c’est de ne pas lui le montrer, sinon il s’arrête pas !

Les deux femmes se regardèrent en pouffant de rire, finalement, la journée risque d’être moins tendue que prévue…en tout cas avec les mariés pensa sam, il reste encore jack, avec qui elle ne c’est toujours pas réconciliée.

Dans le parc, au même moment…

T : alors comme ça vous connaissez Sam… ça fait bizarre tout de même.

J : oui, un peu.

T : vous travaillez ensemble et elle ne savait pas que vous seriez là aujourd’hui ?

J : non, je n’ai prévenu personne, et je m’était un peu brouiller avec Carter avant cela.

T : rien de grave j’espère ?

J : non, tout va bien… je suis sur qu’a l’heure qu’il est, elle doit chercher une solution scientifique à tout ça, et se retourner le cerveaux !

T : dans ce cas c’est rassurant ça veux dire qu’elle n’a pas changer !

La cérémonie allait commencer, jack se dirigea vers le lieu ou allais commencer la messe

Homme : vous êtes avec le marié ou la mariée ?

J : euh… c’est difficile à dire, mais je dirait que c’est plutôt " la mariée "

Il se plaça tout au fond, près du cousin de Sarah ; et lui fit un sourire très forcé, il ne l’avait jamais aimer, et c’est réciproque.

Sam arriva

Homme : vous êtes du côté du marié ou de la mariée ?

S : le marié… enfin…je pense…

Elle se plaça tout au fond elle aussi à côté d’un vieil oncle de Tom qu’elle connaissait peu, en regardant sur le côté, elle vit qu’elle était à la même hauteur que Jack, et, lorsque leurs regard se croisa, ils ne purent s’empêcher le regarder ailleurs en vitesse.

La cérémonie commença, Sarah était magnifique en robe de mariée, et jack la regardait en repensant au jour ou elle lui avait dit OUI. Sam, elle, se disait qu’elle aurait sûrement connue ce genre de mariage si elle avait dit OUI. *** ironie du sort***

Une fois ce rituel fini, chacun vagua à ses occupation, mais jack ne savait pas trop quoi faire, il se mis alors en retrait et regardait la foule.

Il vit, que plus loin, Sam discutait avec une femme assez âgée, mais il ne pouvait pas entendre ce qu’elles se disaient.

S : alors Joanne, vous faite toujours de ce superbe gâteau au chocolat ?

Joanne : évidemment ma fille, j’en ai fait un pour le mariage lorsque j’ai su que tu allais venir… mais dit moi, que deviens tu ?

S ; je passe beaucoup de temps à travailler…

Joanne : mais ce que je veux savoir, c’est si tu as enfin trouver quelqu’un avec qui passer le reste de ta vie ! j’ai toujours regrettée que tu ne te soit pas mariée avec mon fiston, mais je présume que désormais, tu as de nombreux prétendants…

Sam jeta un coup d’œil discret vers jack, leur regard se croisa, mais il se détacha presque aussitôt.

S : non, je n’ai personne dans ma vie.

Joanne : une belle plante comme toi, ne demande qu’a être arrosée ma puce, alors je suis sure que tu trouvera quelqu’un !

S : j’espère aussi !

Joanne : Hector (le père de Tom) veut que tu lui resserve une danse, il y tien beaucoup tu sais !

S (souriant) : c’est promis !

Joanne : je doit aller voir comment va mon fils, je te laisses

S : à plus tard.

Sam resta seule un moment, et, ne sachant pas trop quoi faire, elle se dirigea vers la maison, pour ne pas croiser partout, les regards de ceux qui se demandent ce qu’elle peu bien faire là… il y en avait dans la famille qui n’étaient pas aussi compréhensif.

Elle alla s’assoire dans une salle qui donnait sur l’autre côté du parc, à l’opposé de la fête, et elle se demandait si finalement, elle avait bien fait de venir, son Ex venait de se remarier, et elle, elle était là, seule, elle n’avait même pas refait sa vie, personne ne l’avait pris dans ses bras depuis déjà bien longtemps, elle avait le sentiment que la vie continuait à l’extérieur de la base, et que le monde bougeait sans elle, qu’un jour elle se réveillerait âgée de 70 ans, sans personne à ses cotés, sans enfants qui viendraient pour les fêtes de noël, personne dans sa vie, personne ne la regretterait le jour ou…

J : tout va bien ?

S : mon colonel ?

J : pourquoi, vous attendiez quelqu’un ?

S : non non, c’est juste que je ne m’attendait pas à vous voir là… que ce passe-t-il ?

J : ben, comme on va bientôt passer à table, je me suis dit que vous auriez un peu faim quand même, et je vous ai vue venir ici, alors je me suis demander si vous alliez bien…

S : oui, ça va… dites, je peu vous poser une question ?

J : sauf si je connais pas la réponse !

S : c’est à cause de ce mariage que vous étiez … détestable l’autre jour ?

J : je vous en pris ! c’est un mot un peu fort quand même !

S : excusez moi mon colonel !

J : mais bien sur, … et OUI, c’était pour ça que j’étais aussi mauvais !

S : vous auriez pu nous en parler…aux autres aussi… on est une équipe, et je pensais qu’on étaient amis depuis le temps.

J : j’en ai parler à Daniel !

S : ah…

Elle était un peu déçue de ne pas avoir été dans la confidence elle aussi.

J (voyant l’état de Sam) : il m’a forcé !

S : moi je ne pouvait pas vous obliger à parler, je serais à l’heure qu’il est en train d’assister en première loge à ma cour martiale !

J : Carter, vous savez très bien que même si un jour vous me tapez dessus ou que vous m’injuriez de tous le nom, je ne ferait pas le moindre rapport sur vous !

S (souriante) : c’est vrai ça ?

J : c’est pas une raison pour en profiter non plus !

S : promis mon colonel !

J : maintenant qu’on s’est expliquez, je vous ordonne de m’appeler Jack…pour le reste de la journée… et d’aller manger !

S : allons y alors…jack !

J : ça fait bizarre quand même… je suis pas encore habitué !

S : de toute manière, tout est étrange aujourd’hui !

J : un détail de plus ou de moins…

Il sortirent en riant et se rendirent aux tables, ils étaient regarder par tout la monde, et ils se sentaient très mal à l’aise.

J : je pense que notre présence n’est pas appréciée de tout le monde !

S : nous ne sommes pas là pour eux… allons voir ou nous sommes assis…

Ils cherchaient leur nom sur les petites étiquettes posée dans chaque assiettes, et les trouvèrent enfin, ils étaient placés l’un à côté de l’autre, et ils ne s’en plaindraient pas, ils se sentaient tous deux plus en sécurité comme ça.

Le repas commença, il y avait cinq autres personne à table avec eux, mais que des amis des mariés, pas de famille, c’était déjà bien.

Une femme : alors, vous avez connus comment les mariées ?

J (sur le ton de la plaisanterie, car il avait déjà commencer à boire) : on est au rayons des Ex !

Femme : pardon ?

J : je suis le premier maris de Sarah, et elle, c’est l’ex fiancée de Tom !

Ça jeta un froid chez les cinq autres qui se dévisageaient tous, mais jack et Sam semblaient bien s’amuser, ils avaient comme décider de ne pas se lamenter sur leur sort.

Le repas se prolongea indéfiniment, comme tous les repas de mariage ! jack et Sam discutaient avec les autres de leur table car en fait, ils étaient tous vraiment gentil, et étaient les rares à ne pas leur en vouloir d’être venus.

La musique commençait à se faire entendre, et la nuit était tombée assez rapidement, l’orchestre jouait des mélodies bien connues, et les maries commençaient à danser, puis, peu à peu, d’autres personnes venaient sur la piste de danse, pour les rejoindre.

Sophia : vient danser avec moi jack, tu m’a promis !

A ce moment, arriva Hector, le père de Tom

Hector : Sam, vient toi aussi, Joanne m’a dit que tu me resservait une valse !

Les deux collègue se levèrent donc, et commençaient à danser avec leurs Ex Beau parents respectif.

Jack regarder Sam, elle était vraiment belle, elle portait une magnifique robe bleu marine, longue et délicate, elle avait des chaussures de la même couleur, et portait un collier très fin ce qui lui faisait de magnifiques épaules et un superbe cou dégagé avec ses cheveux tout cours. Elle dansait vraiment bien, et laissait ce vieil homme guider la danse pour lui rappeler son jeune temps ; elle semblait bien s’entendre avec lui, et lorsque ce Hector la rapprocha de lui et la fit tourner sur le même, elle ne pouvait pas s’empêcher de rire et de lui sourire. Lui, il la regardait, et ne pouvait que ce dire que cette femme était ce qu’il y avait de plus beau sur terre (et sur les autres planètes), qu’elle était gentille comme personne, et intelligente en plus de ça… peut être un peu trop même !

Cette dernière pensée le fit sourire, mais il se détourna de ses idées, car Sophia commençait à lui parler.

Sophia : alors, dit moi ce que tu penses de tout ça !

J : c’est peu être un peu ridicule de ma part, mais ça me rappelle un peu mon mariage…

Sophia : je comprend bien, je ne comprendrait jamais pourquoi vous en êtes arrivés là…

J ; vous le savez aussi bien que moi Sophia, lorsque Charlie est mort, elle ne pouvait que m’en vouloir, et je ne pouvait pas la contredire, car je m’en voulais aussi.

Sophia : vous auriez pu traverser cette épreuve ensemble !

J : c’est fini tout ça, elle est mariée désormais, et moi j’ai changé !

Sophia : y-a-t-il une femme derrière tout ça ?

J : qu’est ce qui vous fait penser ça ?

Sophia : vous l’avez dévisagée pendant toute la première partie de la danse, et elle vous regarde actuellement…je peu la voir d’ici !

J : c’est ridicule…

Sophia : je vous connais comme si vous étiez mon fils, et je sais que vous ressentez quelque chose pour cette femme, je vous ait observé au cour de la soirée !

J : c’est compliqué…

Sophia : il n’y a rien de compliquer quand on ressent ce qu’y peu nous arriver de mieux dans la vie..

J : je vous assure que c’est très compliqué…

De son coté, Sam dansait plus tranquillement avec cet homme, il était un peu fatigué à son age, et elle regardait dans le direction de jack, il était des lus élégant, un smoking sans plis et propre, il souriait de temps en temps à cette femme avec qui il parlai, ou alors devenait plus sérieux et sombre. Elle le voyait grand, fort, et son esprit commençait à divaguer, et elle imaginait qu’il la serrait dans ses bras, juste ça, et elle aurait été heureuse, elle n’en demandait pas trop, elle voulais juste se sentir bien quelques instant dans les bras de cet homme qu’elle n’avait pas le droit d’approcher de trop près…

La danse s’acheva, et ils retournèrent tous deux s’assoire à leur place, sans se dire un mot, au bout de quelque instants Sarah et Tom se dirigèrent vers eux deux

Sarah : j’espère que vous vous amusez bien !

J (ironiquement) : on s’éclate, t’en, fait pas pour nous !

Tom : en fait, on appréhendait un peu vos réactions… mais comme vous vous connaissez, ça doit être plus facile pour vous.

S : la surpris était de taille !

J : on a du bon champagne… de bon gâteaux…comment ça pourrait aller mieux ?

Sam souriait à cette remarque, jack faisait vraiment des effort pour ne pas montrer son malaise, et elle savait que l’humour trahissait ses pensées.

Sarah : Samatha, je vous ai dit tout à l’heure que c’était dangereux de rire à ces blagues !

J : elle ri tout le temps à mes blagues, c’est une des rares qui les apprécie ! (se tournant vers Sam) pas comme un grand costaux que nous connaissons !

Sam riait de bon cœur cette fois, et les vers qu’elle avait bu devaient y être pour quelque chose.

Sarah (se sentant de trop, tout comme Tom) : bon, on va vous laisser, on doit aller voir les autres invités.

J : à plus tard !

S : a bientôt !

J : alors, vous pensez que Teal’c apprécie mes histoires ?

S : autant que Thor !

J : je vous promet qu’il finira par en comprendre une un jour !

S : j’aimerais être là quand ça se produira !

J : le truc c’est que je me demande si c’est dans ses capacités, peut être qu’il n’a pas de muscle de visage !

S : c’est pas la peine de chercher une excuse.

J : vous verrez bien… vous verrez bien !

Le silence se réinstalla, ils venaient tout d’un coup de se rappeler ce qu’ils étaient l’un pour l’autre : le colonel Jack O’Neil , et le major Samantha Carter, de US air force.

S : je pense que je vais rentrer, il est déjà tard…

J : moi aussi, je ne veux pas m’attarder…

S : je vais saluer ceux que je connaît et qui ne veulent pas ma peau !

J : on se retrouve ici et on part ?

S : oui, si vous voulez…

Ils allèrent donc faire une bise à ceux qu’il connaissaient.

Sophia (à jack) : tu ne l’a même pas faite danser … un n’aura peut-être pas d’autres chances…

J : au revoir Sophia, à la prochaine fois !

Joanne (à Sam) : soit heureuse ma chérie, et tache de trouver ce que tu cherche !

S : merci, à bientôt !

J (à Sarah) : je suis sure que tu sera heureuse, tu le mérite tant !

Sarah : autant que toi jack, tu as le droit au bonheur… merci encore d’être venu…

S (à Tom) : tu as bien changé, tu est devenu plus responsable…c’est bien…

Tom : et toi tu est magnifique, je te souhaite d’être heureuse…

Après ces petits mots doux, chacun, jack et Sam se retrouvèrent près de la table qu’ils avaient occupé pendant le repas, ils saluèrent vite ceux avec qui ils avaient fait connaissance, et partir vers les voitures.

C’était assez loin, et il y avait tout le parc à traverser, la nuit fraîche était tombée depuis longtemps, et Sam avait un peu froid, elle ne voulait rien dire, mais un petit vent la fit frémir.

Jack enleva sa veste et lui la posa sur les épaules.

S : merci…

J : comment je ferais sans vous si vous tombez malade ?

Sam lui souriait, elle tourna sa tête en direction de la fête qui continuait de plus belle, on pouvait encore entendre les rires et la musique.

Ils continuèrent à avancer, plus lentement. Tout d’un coup, un musique recommença, et jack s’arrêtât net, sur place

S : que ce passe-t-il ?

J : vous… vous voulez dansez ?

S : pardon ?

J : c’est… votre chanson préférée, et j’ai pensé que vous aimeriez danser… mais c’est pas grave…oubliez ça !

S : mais… comment savez vous que c’est ma chans…

J (la coupant) : vous l’aviez dit un jour…

Elle n’en croyait pas ses oreilles, elle ne se rappelait même pas l’avoir dit, alors ça devait vraiment remonter à loin… et il s’en rappelait !

Jack commençait à partir.

S : j’en serait ravie !

Il se retourna

S (gênée) : si votre proposition tien toujours …

J : bien sur…

Il s’approcha d’elle, et très gêné, il présenta sa main pour qu’elle dépose la sienne, ce qu’elle fit… puis, il se rapprocha et lui mis une main sur la hanche pendant qu’elle glissait un bras sur une de ses épaules. Ils se regardaient droit dans les yeux, aucun ne voulait faire un geste trop brusque, pour ne pas gâcher la magie du moment.

Lentement, ils suivirent le rythme de la musique, et, tout en dansant, jack rapprochait Sam de lui, doucement, il l’attirait toujours plus proche jusqu'à ce qu’ils soit enfin collés l’un à l’autre. Cette chanson semblait ne jamais s’arrêter, et même si ça avait été le cas, il ne se seraient pas séparer…

J : merci.

S : pour quelle raison ?

J : pour être là… je ne sais pas ce qui ce serait passé aujourd’hui si vous n’aviez pas été avec moi…

S : vous auriez peu être improvisé, comme à votre habitude quand la situation est désespérée.

J : est ce que je suis si prévisible que ça ?

S : parfois, oui… (elle lui fit son plus beau sourire)

J ; c’est toujours comme ça quand quelque chose ne va pas comme je veux…

S : il faut mettre le passé derrière soi, maintenant c’est fait !

J : et se tourner vers l’avenir…

S : exactement…

Sam baissa les yeux car elle sentait la main de jack dans son dos, qui commençait à la caresser. Hésitante, elle finie tout de même par mettre sa tête sur le torse de jack, et continua de se laisser bercer par la mélodie.

Jack avait resserrer son étreinte, il embrassait légèrement les cheveux de Sam, et lâcha sa main pour venir placer son deuxième bras autour du corps de cette femme.

Sam mis sa main près de son visage, contre le torse de jack également, elle sentait ses mains sur elle, à travers sa robe, elle frissonnait sous cette agréable torture…

J : tu as froid ?

Elle ne réagissait pas à son tutoiement, mais en était très touchée au fond d’elle même.

S : non… c’est parfait…

J : tu frissonnes…

S : ce n’est pas le climat…

J (chuchotant): c’est moi qui te fait cet effet ?

S : si je te dis que oui, que ce passera-t-il ?

J : je ne sais pas, j’improviserais…

Sam sourit à cette remarque, et il le savait bien qu’il ne pouvait pas voir son visage.

S : j’aime ton sens de l’organisation…

Elle passa son bras sur celui de jack et le lui caressa.

S : tu penses que c’est à quel moment qu’il faut qu’on s’arrête pour ne pas aller contre le règlement ?

J : je pense que pour l’instant c’est plus qu’acceptable comme situation, nous ne faisons rien de mal…

S (ironiquement) : comme l’armé est tolérante !

J : c’est ce que je me disait aussi !

Sam releva le tête et le regarda droit dans les yeux.

S : ou est la limite ?

J : je te le dirais quand on y sera…

Sam se pencha vers lui et l’embrassa timidement, puis s’écarta très peu de lui, sans ouvrir les yeux

J : jusque là, rien à signaler…

Elle l’embrassa alors plus passionnément, plus longtemps… c’est à bout de souffle qu’ils se séparèrent.

J : tout est encore sous contrôle, il n’y a pas de quoi nous accuser de quoi que ce soit…

S : depuis quand connaît tu le règlement, je suis sur que tu ne l’a même pas lut…

J : oh que si, et ce passage, je l’ai brûler il me semble, si bien qu’il n’est plus dans mon règlement à moi !

Elle l’embrassa encore, cette fois, tout était différent, ils n’entendaient pas le bruit de la musique au loin, ils n’étaient plus que seuls au monde, et n’existaient plus que l’un pour l’autre.

Ils se séparèrent encore une fois…

J : alors, on fait quoi maintenant ?

S : lequel de nous deux habite le plus près ?

J : c’est toi…

S : tu as envi de visiter ma maison ?

J : avec plaisir…

S : on se retrouve là bas…

Il l’attrape et l’embrassa encore une fois avant qu’ils ne se sauvent tous les deux pour chercher leurs voitures respectives, ils partirent et se retrouvèrent comme prévu à l’appartement de Sam, elle voulais lui faire visiter, mais n’eurent pas le temps d’arriver jusqu’a la chambre…

Le lendemain… appartement de Sam

Elle se réveilla la première, dans les bras se jack. La première pensée qu’elle eu, étrangement, était pour son canapé ! elles se disait qu’elle avait bien choisit dans le magasin…

Ils n’avaient qu’une couverture posée vite fait sur eux, celle qui justement recouvrait le canapé habituellement, et ils étaient enlacés et collé l’un contre l’autre. Lorsqu’elle essaya de bouger, il fit un petit bruit de grognement.

S (chuchotant) : tu compte grogner alors que je me réveille dans tes bras ?

J : Sam …

Elle l’embrassa sans répondre.

J : ha oui, c’est bien toi !

S : comment vas tu ?

J : WAHOUUUUU !

S : tant que ça ?

J : je suis surtout content de voir que tu ne me dis pas que ce que nous avons fait était une grosse gourde, je ne l’aurait pas supporté avant d’avoir bu un bon café !

S (malicieusement) : alors je vais aller en préparer…

J : t’as pas intérêt !

Elle se leva sur la côté du canapé se emporta la couverture avec elle, laissant jack sans réaction car il était encore endormis.

J (s’apercevant) : hey… !!!!

S : je reviens tout de suite !

J : mais j’ai froid maintenant…

Elle lui lança la couverture de la porte entre ouverte de sa chambre ou elle se trouvait.

J : merci…

Il se leva et se rendis dans la cuisine pour faire du café. Sam arriva quelque instant plus tard, vêtue d’un débardeur et d’un short.

S : alors, que fait-on ?

J : pour l’immédiat j’ai quelque projets…

S : oui, je crois que j’ai les même, mais je parlais de… du général…

J : c’est vrai… on reprend le travail demain…

S : comment doit-on faire ?

J : j’en sais rien, j’ai jamais été dans cette situation …

S : on peu attendre un peu…

J : je pense que c’est préférable mais on pourra mettre Daniel et Teal’c au courant.

S : pourquoi ?

J : si on veux pouvoir faire un câlin quand il ne se passe rien en mission…

S : ce n’est pas très professionnel tout ça…

J : mais ça va me motiver sérieusement !

Le lendemain, salle de briefing

H : ravis de vous revoir tous, je vous ai prévue une mission de routine pour vous remettre dans le bain, vous partez pour P2X325 dans deux heures. Soyez près.

J : c’est trop gentil à vous mon général, il ne fallait pas vous donner cette peine !

H : votre enthousiasme me ravi, c’est déjà plus agréable qu’avant vos vacances ! Rompez !

Tous se levèrent, et jack échangea un rapide coup d’œil avec Sam, ils savaient qu’ils en profiteraient pour parler à leurs amis.

Salle d’embarquement

H : soyez de retour à l’heure SG1 !

J : on est ponctuels quand on est tous ensemble, y a que moi qui suis en retard !

Ils passèrent la porte

J : Daniel, vous pouvez renvoyer la sonde s’il vous plais !

Daniel s’exécuta. Jack ne voulais pas que la conversation soit filmée et vue pas toute la base.

D : c’est bon, on peu commencer à explorer les alentours.

J : pas tout à fait…

D : quoi ?

T : que ce passe-t-il O’Neil ?

J : j’ai…on a un truc à vous dire avec Sam…

D : " Sam " ??

J : oui…

S : nous… je veut dire, jack et moi, nous sommes ensemble…

D : c’est génial !

T : mes félicitations à tous les deux.

J : on ne veux pas que ça se sache à la base, alors on vous le dit à vous pour ne pas que vous soyez surpris si jamais…

D (l’interrompant) : oui, c’est bon, pas la peine de faire un dessin…

T : pardon ??

D : je vous expliquerait Teal’c !

J : je suis content que vous réagissiez comme ça !

S : oui, moi aussi !

D : on est amis, et je m’en fout pas mal du règlement militaire !

T : je présume qu’en rentrant, il ne faudra pas parler de cette conversation dans nos rapports.

J : c’est bien Teal’c !

Jack regardait Sam qui souriait tant elle était heureuse de la tournure des choses, et il l’embrassa devant les autres.

Quelques temps plus tard…

H : colonel, major, je peu vous voir un instant !

J : désolé mon général mais…

H : ce n’était pas une question mais un ordre colonel !

S : on arrive mon général !

Ils entrèrent dans le bureau

J : alors mon général, pour quelles raison sommes nous ici ?

H : vous le savez aussi bien que moi colonel ! je vous ai fait venir pour que vous m’expliquiez un détail !

S : lequel mon général ?

Hammond sortit un gros livre de son bureau

H : je suppose que vous savez ce que c’est ?

S : un manuel militaire, nous en possédons tous un mon général !

H : et bien celui ci n’est pas à moi et je me suis dit que vous pourriez m’aider à retrouver son proriétaire.

J : pardon ?

H : en le feuilletant, je me suis arrêter sur un passage…

S : lequel mon général ?

H : en fait, je n’ai pas pu le trouver, car il avait disparue du manuel ! c’est étrange non ?

S : je ne comprend pas ou vous voulez en venir…

H : connaissez vous l’article L214. alinéa 2 ?

Jack et Sam se regardèrent un moment, bien sur qu’ils le connaissaient ce passage, c’était celui qu’il ne respectaient pas depuis bientôt trois semaines.

J : dites nous directement ou vous voulez en venir général !

H : et bien il se trouve que dans cet exemplaire, l’article correspondant est été brûlé !

Jack reconnu aussitôt son ouvrage, il en avait parler à Sam également.

J : mon général, je vais vous expliquer…

H : je vous ai fait venir pour ça justement…

J : je suis l’unique responsable de ce qui est arrivé…

S : non, nous sommes deux dans cette histoire, et je suis autant responsable que le colonel.

H : vous avouez donc ?

J : vous êtes apparemment déjà au courant, à quoi cela nous servirait de mentir ?

H : bon raisonnement !

J : comment avez vous su ?

H : vous croyez peu être que je suis devenu général parce que le siège de ce bureau était à ma taille ? j’ai mais sources.

S : Daniel ? Teal’c ?

H : il ne veulent que votre bien à tous les deux.

J : comment ça ?

H : je ne m’opposerais pas à votre… aventure…

J : c’est plus que ça mon général !

Sam le regarda étonnée et heureuse.

J : sauf le respect que je vous doit, je tien à Sam bien plus qu’a tout !

S : et moi de même.

H ; bon, alors je dirais : votre " grande histoire "

J : c’est déjà mieux !

S : attendez, vous venez de dire que vous ne vous opposerez pas ? j’ai bien entendue ?

H : exact major carter !

J : merci beaucoup général!

H : il reste encore une personne à mettre au courant…

S : qui ça ?

H : votre père Major Carter !

S : je suis sure qu’il sera heureux pour moi… pour nous !

Ils rejoignirent le reste de l’équipe à l’infirmerie, ils en profitèrent pour annoncer à Janet la bonne nouvelle, et ils fêtèrent dignement ce nouveau départ dans la vie, pour Sam et Jack, ils pouvaient être désormais ensemble, et sans avoir à ce préoccuper du passé, il vivraient heureux comme ils l’avaient toujours souhaiter

FIN