Une pièce à part
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
diclaimer : ils sont pas à moi (sauf dans mes rêves…) donc je vous les sert à ma sauce ! car le chef cuistot c’est la MGM
résumé : pendant l’exploration d’une nouvelle planète, SG1 se retrouve pris au piège dans une grotte, mais seul deux d’entre eux sont retenus prisonniers.
Genre : un touche de Romance S / J, avec un soupçon de mystère… le tout pimenté par un petit brin d’humour…et mijoté à feu doux, juste pour le goût !
Vous pouvez passer à table !!!
UNE PIECE A PART
Quelque part dans l’univers, dans une région très rocheuse et très déserte
J : vous avez trouvés quelque chose ?
D : rien du tout, c’est désert !
T : pas de présence Goa’Uld !
S : je détecte une forte énergie vers le Nord mon colonel !
J : comme part hasard c’est vous qui gâchez tout major !
S (souriante) : désolé mon colonel
J : et je présume que vous voudriez qu’on aille voir ce que c’est ?
S : en effet mon colonel !
J : et bien allons y !
L’équipe se dirigeai vers le Nord, chacun était à sa place habituelle. Il arrivèrent devant une grotte.
S : le signal vient de là mon colonel
J : j’aime pas les grottes…c’est sombres et on étouffe !
D : allons voir, peut être y a-t-il une civilisation….
J : c’est bon, n’allez pas plus loin, de toute façon vous savez qu’on finira par y rentrer !
Daniel et Sam s’échangèrent un regard de triomphe pendant que Jack enlevait ses lunette de soleil et s’engagea dans le tunnel.
J : j’y vois rien !
D : nous avons des torches !
J : même !
S : mon colonel, le signal se fait de plus en plus présent, je pense qu’on approche !
J : dites nous quand on y est !
S : ça y est !
SG1 regardait autour d’eux, mais ils étaient encore dans le tunnel, et rien n’était là. Puis, tout d’un coup, le sol s’affaissa sous leurs pieds, et ils firent une chute de trois mètres de haut à peu près, pour ce retrouver dans une salle.
J : tout le monde va bien ?
D : c’est bon…
S : ça va !
T : rien à signaler O’Neil !
J : et bien moi j’ai mal !
S : ou ça mon colonel ? laissez moi voir..
J : le pied !
Sam regarda le pied de jack et le toucha.
J : aille !
S : je vous ai à peine touché mon colonel…
J : c’est déjà trop !
S : je suis désolée, mais je crois que vous vous êtes fait une belle entorse.
J : rien que ça ! et moi qui croyait que je n’avais même plus de pied !
S : je vais vous faire une attelle.
Sam pris dans son sac une bande, et regarda autour d’elle pour trouver deux plaque de bois, elle fit une attelle vite fait, mais avec toute la délicatesse du monde
D : je me demande ou on est !
T : cette pièce est vide !
S : pourtant je l’ai capter sur mon radar, il se dégage de cet endroit une forte énergie…
J : et bien vous vous êtes trompée !
S : ça m’étonnerai, sinon nous n’aurions pas trouver cette pièce creusée dans la roche mon colonel.
D : venez voir, il y a des inscriptions !
T : que disent-elles docteur Jackson ?
D : laissez moi un instant…je ne connais pas ce langage, je suis désolé !
J : quelle honte pour vous !
Un gaz verdâtre vin emplir la pièce ou ils se trouvaient
J : c’est quoi ça ???
S : je n’en sait rien !!
D : je…
Il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il s’évanouit, au même titre sue les autres
Un jour…quelque part…
J : ma tête !!!!!
Jack était adossé à un mur, mais il ne pouvait pas voir ou il était, la pièce était sombre et semblai très petite. Il essaya de se lever, mais il trébucha sur quelque chose, ou plutôt sur quelqu’un, il cherchait avec ses main ce que c’était, et il pu discerner un corps humain.
J : vous êtes qui ?
S : mmmm…
J : carter ????
S : mmm.... mon colonel ???
J: oui, c’est moi, comment allez vous?
S : bien… je pense… ou sommes nous ?
J : aucune idée !
Sam se levait mais sa tête ne rentrait pas dans la hauteur de la pièce, elle était baissée et cherchait des mains ou était les murs.
S : c’est très petit ici, je peu faire d’un mur à l’autre avec mes deux mains !
J : les autres ne sont pas là !
S : et votre pied ?
J : je ne sent plus rien !
S : vous vous êtes foulés la cheville !
J : je sais, mais je n’ai pas mal, comme si je ne me l’était jamais foulée !
S : je peu voir… ?
J : voir je sait pas, l’éclairage est foutu, mais attendez…
Sam sentie que quelque chose l’attrapait par le bras
S : c’est moi ça !
J : bon, passez moi votre main !
Elle lui la passa, et il la guida jusqu'à sa cheville
J : vous voyez, je n’ai même pas mal !
S : c’est curieux…
J : je ne m’en plaint pas !
S : ou sont les autres ?
J : aucune idée, je viens de me réveiller, juste avant vous !
S : nos armes ne sont plus là, quelqu’un à du nous enfermer ici !
J : c’est aussi ce que je pense ! et il fait atrocement froid ici !
S : il doit faire dans les 10 degrés.
J : on est mal barré !
Sur terre
H : alors, ou sont le colonel et le major ?
D : je n’en ai aucune idée…
T : moi non plus général…
H : comment avez vous fait pour rentrer ?
D : je ne sait pas non plus…
H : bon, on vous laisse mètre vos idées au clair, mais après ça, vous nous racontez tout !
La porte de la cellule de jack et de Sam s’ouvrit, laissant le temps à leurs yeux de s’habituer à la lumière, ils purent distinguer une forme, mais pas le visage. Il y avait une grille en plus de la porte, ce qui empêchait toute action
J : vous êtes qui ?
Voix : je suis votre propriétaire !
J : quoi ?? mais nous n’appartenons à personne !
Voix : je vous ai acheté, vous êtes à moi désormais !
S : que voulez vous faire de nous ?
Voix : vous étudier !
J : comment ça ??? je suis pas d’accort moi !
Voix : vous n’avez pas le choix !
S : que voulez vous étudier ?
Voix : les humains !
J : vous êtes quoi vous ???
Voix : un Gravsu !
J : connaît pas ! mais nous vous rembourserons pour notre achat si vous voulez !
Voix : hors de question, j’ai des expériences à faire !
J : c’est peut-être de là que vient mon problème avec les scientifiques !
Voix : de quoi avez vous besoin pour survivre ?
J : de sortir !
Voix : si vous ne voulez pas mourir, faites ce que je vous dit, une fois mes expériences terminées, je vous laisserait repartir.
J : vous allez vous disséquer ??
Voix : je vais vous laisser vivre et étudier vos besoins et vos comportement !
J : ça vous sert à quoi ?
Voix : à parfaire mes connaissances ! alors, dites moi de quoi vous avez besoin !
S (hésitante) : de l’eau pour commencer…et à manger…
Voix : quelle sorte de nourriture ?
J : des trucs cuits…j’aime bien un bon hamburger pour ma part !
Voix : je ne connaît pas, mais je me réfèrerait aux livres des anciens !
J : cherchez à la page Fast-food !
S (à jack) : mon colonel, je pense qu’il faudrait être sérieux, il ne nous laissera pas sortir…
J : je veux pas être un rat de laboratoire !
S (à l’homme) : ou sont nos amis ?
Voix : je les aient renvoyer sur terre.
J : pourquoi ?
Voix : parce que l’un d’eux n’est pas comme vous, et parce que j’ai lut dans les livres, qu’il nous fallait deux être de la même espèce, mais de nature différente !
J : en clair ; un homme et une femme ??
Voix : exactement !
J : ça ne présage rien de bon…
Voix : avez vous besoin d’autre chose que de nourriture et d’eau ?
J : du chauffage !
Voix : pardon ???
S : avez vous quelque chose nous permettant d’avoir moi froid ?
Voix : je regarderait.
S : une autre chose… c’est vous qui avez soigner sa blessure ?
Voix : oui.
S : comment avez vous fait ?
Voix : ça ne vous regarde pas !
L’homme ferma la porte, et les laissa seul dans le noir.
J : pas super coopératif !
S : je me demande ce qu’il veux de nous…
J : on verra bien ! mais il n’y a aucun moyen de sortir d’ici !
S : on est perdus ?
J : je ne pense pas, les autres vont nous sortir de là !
Sur Terre
D : il faut y retourner !
H : hors de question docteur Jackson, ils sont sûrement mort à l’heure qu’il est, et nous ne savons toujours pas ce qui vous ait arrivé.
T : ce sont nos amis Général Hammond !
H : je le sais Teal’c, et ça me fait autant de peine qu’a vous deux… mais il s’agit de la sécurité de la planète, et nous ne prendrons pas le risque d’y retourner sans savoir ce qui leur est arrivé.
D : mais on ne saura pas si on n’y retourna pas !
H : ce sont les ordres !
Cellule
Jack et Sam étaient adossées au mur, sans dire un mot, tout d’un coups, la porte s’ouvrit, et l’homme laissa passer une couverture, de la nouriture et de l’eau.
Voix : j’ai trouver ceci dans vos sacs, je présume que c’est ce dont vous avez besoin !
J : exact, mais on a aussi besoin de liberté, on meurt si on reste enfermer dans une cage, il faut qu’on aille à l’air libre !
Voix : je n’ai trouver aucun passage sur cette close dans mes livres !
S : bien tenté mon colonel !
Voix : je vous laisse, je repasserais vous voir dans quelques temps !
Il referma la porte
J : bon, ben…on va pouvoir passer à table !
S : je meurt de faim…
J : allez y, servez vous…
S : attendez, j’essaye de savoir ce qu’il y a… une pomme…un sachet de gâteaux sec… des… c’est quoi ça ???
J : montez !
Elle tendis le paquet dans sa direction.
J : c’est mon sachet de bonbons !
S : quoi ??
J : ben quoi ! j’ai pas le droit d’en emporter ?
S : si…bien sur mon colonel !
J : bon, allez y, manger la pomme et les biscuits, je vous passerez des bonbons si vous êtes sage !
S : mais il vous faut des vitamines ! on fait moitié-moitié mon colonel !
J : je suis résistant !
S : que voulez vous dire par là ?
J : vous aussi…mais je n’ai pas besoin de vitamines pour l’instant !
S : mon colonel, on a partager notre petit déjeuné, et vous n’avez pas manger depuis, vous avez aussi faim que moi !
J : bon, et comment fait-on ?
S : on partage !
J : commencez par la pomme, je prend d’abord les biscuits !
Sam croqua dans la pomme, faute de couteau… et s’arrêta à la moitié, puis elle la lui tendue, lui, fit de même avec le paquet de gâteau, mais en en laissant un peut plus, pour faire des resserves, à la fin de leur maigre repas, ils prirent la couverture et se placèrent côte à côté contre le mur, tout en mangeant quelque bonbon acidulés.
S : mon colonel…
J : oui...
S: vous emportez souvent des bonbons avec vous?
J : à chaque mission !
S : vous nous l’aviez caché !
J : vous auriez tout mangé !
Sam sourie, mais dans le noir, il pouvait s’en douter quand même, et il sourie lui aussi en pensant qu’il était là, à côté d’elle, dans le noir…P4X875 à Jack vous m’entendez ????
S : je vois qu’on a encore des tas de truc à apprendre de vous…
J : je suis un livre ouvert ! …enfin…pas tant que ça !
S : je ne voulais pas vous embarrassez…
J : non, ça va… nous sommes amis, nous pouvons bien nous parler d’autre chose que de travail ! en plus on est coincé ici pendant un moment !
S : vous voulez qu’on parle de quoi mon colonel
J : alors pour commencer vous laisser tomber le " mon colonel " à la fin de toutes vos phrase…ça met trop de temps…
S : comment je vous appelle alors ?
J : j’ai un prénom que je sache…bon OK il est pas parfait, mas il existe !
S : très bien…
J : alors SAM, vous faites quoi en ce moment ?
S : je suis coincée ici !
J : je voulais dire à part la base…
S : ben… je vois souvent Cassi, puis, je travail beaucoup !
J : c’est tout ???
S : ben oui.. et vous?
J : moi, je sort, j’ai vu un match de OK dernièrement !
Ils discutèrent pendant un moment de tout et de rien, sans se rendre compte que la fatigue tombait, ils étaient plutôt souriants et de bonne humeur malgré la situation dans laquelle ils se trouvaient.
Sur terre
D : Teal’c, il faut faire quelque chose !
T : oui, mais quoi docteur Jackson ?
D : je ne sait pas encore, en fait, il faudrait qu’on puisse y retourner pour voir ce qui ce passe là bas.
T : le général Hammond nous empêche d’emprunter la porte !
D : aidons nous de quelqu’un alors !
T : de qui ?
D : SG3 ! pourquoi pas ??? le major Elsinki est un bon amis de jack, il ne refusera pas j’en suis sur, en plus il part en mission dans deux jours !
T : vous voulez qu’il parte en mission et qu’il emprunte la porte de là bas pour se rendre sur P2X875, si j’ai bien compris !
D : exact, ça va marcher, j’en suis sur !
Sur P2X875
Sam et jack essayaient de dormir, tous deux sous la couverture, mais le température continuait à baisser.
J : ce froid…
S : c’est dur de réussir à dormir, j’ai l’impression que je vais geler sur place !
J : j’ai une idée !
S : allez y…
J : venez par là…
Il la guidait pour qu’elle vienne s’assoire entre ses jambes.
J : on va faire comme sur terre… vous vous rappelez ?
S (gênée) : oui…
Il l’a fit s’adosser à lui, permettant se mieux s’asseoir et de mieux conserver la chaleur qui était en même temps retenue par la faible couverture. Sam était donc appuyée contre le torse de jack, et pouvait sentir la chaleur qui se dégageait de lui. Elle replia ses jambe pour se tenir en appui sans difficulté, et lui, il les avaient fléchit également pour mieux s’assoire.
Aucun d’entre eux n’osait dire un mot, mais il était temps de dormir, et il fallait briser ce silence un peu trop pesant
J : bonne nuit…
S : bonne nuit…
Jack n’arrivait pas à dormir, même au bout de plusieurs heures, il sentait Sam tout contre lui, et ça le perturbait un peu, il ne fit aucun mouvement pour ne pas la réveiller, il écoutait son souffle qui signifiait qu’elle était en vie…
Il avait les mains sur son ventre, car il n’avait pas su ou les mettre…. Il fallait bien mettre les bras sous la couverture ! et, pensant qu’elle dormais, il faisait jouer son pouce sur la main de Sam, comme pour la caresser délicatement.
Sam dormais effectivement, mais d’un léger sommeil, se qui fait qu’en sentant cette caresse, elle se réveilla à moitié, mais ne comprenait pas, elle n’y fit qu’a peine attention, et changea de place, elle se mit en position fœtus, sur le côté, sa joue contre le torse de jack, et sa main sur le ventre de son colonel, puis elle sembla se rendormir
Jack continuait ses petite caresses, et là, il sentait désormais Sam faire la même chose avec sa main qu’elle avait posée sur son ventre. En fait, il se rendis compte qu’elle semblait le faire machinalement, elle était dans un état entre le sommeil et le réveil.
S (très faiblement) : mon colonel ????
J (stoppant ses caresses) : sssshut…. Il faut dormir….
S : qu’est ce que vous faites ?
J (gêné) : euh…. je vérifiais si vous dormiez….
S : je ne vous crois pas….
J : vous avez raison, mais ce n’est pas le moment…. Il faut se reposer…
S : ce n’est jamais le moment…
J : il faut se reposer carter…
S : vous m’appelez plus Sam ??
J : faites de beau rêves Sam…
Elle ne dit plus rien et se rendormis, jack mis sa tête contre le mur, et se dit qu’il avait eu chaud, il donnerait tout pour que ça arrive, mais il ne voulais pas lui faire de mal, et il ne savait pas ce qu’elle ressentait, en fait, il le savait, mais ne voulait pas l’admettre pour ne pas gâcher leurs carrières et pour ne pas risquer de gâcher leur complicité de plus en plus intense chaque jours.
Sur terre
D : j’ai presque fini de traduire ce dont je me souvient avoir vu sur les murs de la grotte.
T : et qu’avez vous appris docteur Jackson ?
D : il s’agit d’un peuple à part, qui vit en exil, et qui n’a pas le même mode de vie que nous apparemment, je ne sait pas quoi dire d’autre !
T : il faudra donner ces informations aux Major Elsinki .
D : je ne lui en ai pas encore parlé, j’attend d’être sur de moi !
Sur P2X875, le matin
Sam venait de se réveiller, et s’était relevée aussitôt s’être aperçu de la position dans laquelle elle se trouvait, elle était très gênée
J : vous avez bien dormie ?
S : oui, je vous remercie, et vous ?
J : comme un loir !
La porte s’ouvrit
Voix : le jour c’est levé, vous pouvez sortir.
J : on repart chez nous ?
Voix : non, vous avez le droit à quelques heures d’extérieur .
Sam et jack se levèrent et purent enfin voir à qui ils avaient à faire, cette…chose… était de couleur bleue, et possédait de nombreux replis sur sa peau, il avait les yeux très enfoncés et les mains de la taille d’une tête.
La créature les emmena dehors, dans le creux de la montagne, sur un fond plat, mais avec une seule issue, les parois étaient raides et semblaient avoir été aménagées.
J : bon, vous pouvez nous dire qui vous êtes ?
Créature : je me nome Sharbuk.
S : que voulez vous de nous ?
Sharbuk : je vous l’ai déjà dit, je veux vous étudier.
S : pourquoi ?
Sharbuk : ça ne vous regarde pas !
J : au contraire, je crois que ça nous regarde complètement !
Sharbuk : je n’ai pas à vous le dire.
Il disparue derrière la seules sortie possible, et referma la porte.
S : aucun moyen de sortir d’ici mon colonel !
J : vous ne m’appelez plus Jack ?
S : comme vous voulez…
J : bon, on fait quoi ?
S : aucune idée !
Elle le regardait et vit qu’il avait une blessure au front
S : que vous est-il arrivé ?
J : aucune idée !
S : pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ?
J : je ne voulais pas vous affoler.
S : j’aurais pu vous soigner.
J : et comment ???
Sam se retourna et regarda encore les paroi de la montagne.
Sur terre
D : bon, nous ne savons pas ou ils sont, mais nous sommes passés pas cette grotte
Major Elsinki : je le retrouverais !
D : nous ne voulons pas que vous y alliez de force, vous devez être sur…
Major : c’est aussi mon amis, et je le ramènerait, soyez en sur !
D : merci, mais pas un mot au général.
Major : je préviendrait mes hommes une fois que nous aurons passés la porte.
D : merci encore.
Sur P2X875
Sam et Jack se faisaient ramener dans leur cellule pour passer la nuit, Sharbuk leur déposa des fruits qu’il s’était procuré, et ils les laissa.
S : il nous observe…
J : je pense aussi. Et je me demande pourquoi il nous garde ?
S : il a dit qu’il avait besoin d’un homme et d’une femme…
J : ce qui veux dire ???
S : je n’en suis pas sure…
J : vous avez toujours solution à tout, alors dites, on ne sait jamais…
S : je préfèrerais avoir tord
J : vous allez m’expliquer oui ou non ??
S : ben…
J : oui ???
S: laissez moi parler!
J : je vous écoutes !
S : non, vous me coupez la parole !
J : non !
S : si !
J : … bon, excusez moi, allez y !
S : il a sûrement besoin d’un homme et d’une femme pour étudier… vous savez…
J : non !
S : ben… la reproduction…
J : QUOI ????
S : c’est la seule logique que j’ai trouver !
J : et bien cherchez encore !
S : comment expliquez vous qu’il nous ait garder tous les deux ?
J : parce qu’on est les plus intelligent !
S : dans ce cas il aurait garder Daniel !
J : je vous en pris !
S : excusez moi…
J : non, c’est vrai que mon explication ne tien pas debout… je le reconnais, mais la votre non plus.
S : j’espère…
J : pourquoi ?
S : ben… vous savez ce qu’est la reproduction tout de même, inutile que je vous face un dessin !
J : en effet, ils auraient du garder Daniel !
S : QUOI ?? ça va pas ?
J : ben…c’est juste une suggestion…
S : désolé mais je refuse de servir de projet d’expérience !
J : c’est l’idée que ce soit MOI qui vous dérange ?
S : c’est l’idée tout court qui me dérange !
J : donc le problème ne vient pas de moi !
S : ne me mettez pas tout sur le dos non plus !
Le silence s’installa, il était très lourd et assez désagréable pour les deux.
J : vous êtes sure que c’est CA la solution ? …que vous et moi… pour sortir d’ici…
S : je n’en suis pas sure, mais c’est ce qu’il y a de plus logique.
J : et vous pensez que ça nous permettrait de sortir ?
S : ne me dites pas que vous y songez ?
J : ben…
S : hors de question !
J : je suis si repoussant ?
S : vous savez de quoi je veux parler !
J : le règlement ?
S : oui.
J : c’est pour sauver notre peau que je dit ça !
S : mais oui…
J : vous croyez que je suis en train de profiter de la situation ?
S : je n’ai pas dit ça !
J : mais c’est ce que vous pensez !
S : non, pas du tout…
J : bon, que fait-on ?
S : rien !
J : il faut bien qu’on sorte !
S : je ne coucherais pas avec vous pour sortir !
J : je peu vous l’ordonner !
S : vous ne feriez pas ça !
J : qu’est ce que vous en savez ?
S : ne dites pas que …
J : mais bien sur que non, je ne suis pas fou non plus…
S : merci…
J : mais non, c’est pas la peine…
La discutions c’était calmée.
J : bon, on mange ?
S : je n’ai plus très faim
J : ça je vous l’ordonne cette fois !
Sam se résigna et ils firent comme la veille, ils mangèrent chacun la moitié de chaque fruit, car il était en exemplaire unique, puis, ils s’adossèrent au mur.
S : le froid commence à revenir, il va faire nuit à l’extérieur je pense
J : il faut dormir… venez là !
Sam semblait plutôt réticente à se remettre dans la même position que la veille, après la discussion assez animée qu’ils avaient eu
J : méthode de survie ! vous avez oublier ???
S : non…
Elle s’assit de nouveau entre les jambe de son colonel, et il l’a fit s’adosser à lui.
J : ne soyez pas timide ! écoutez, je suis désolé pour tout à l’heure, je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise.
S : je m’excuse aussi…
J : le truc s’est que j’ai peur de rester encore coincé ici pour un moment.
S : mais nous ne pouvons pas…
J : je sais… vous nous voyez mettre ça dans nos rapports ?
Sam rigolait à cette image, et surtout à imaginer la tête du général Hammond.
S : le général Hammond en ferait une attaque.
J : Daniel aussi !
S : je doit vous avouer que je ne sait pas quoi penser.
J : moi, non plus… c’est étrange, mais on arrive à se sortir des bombes, des réplicateurs, des Goa’Uld… et tout le reste, mais on arrive pas à…
S (ayant une idée) : on peut faire semblant !
J : comment ça ???
S : vous m’avez très bien compris !
J : simuler ???
S : je sais que ça semble débile…
J : c’est une idée !
S : le problème c’est qu’il faut être douer à ça…
J : je pense pas être mauvais !
S : je peu essayer d’être crédible.
J : de toute façon il ne pourra pas comparer avec d’autre, on est les seuls !
S : donc vous pensez que c’est ce que nous devons faire ?
J : ne me mettez pas tout sur le dos non plus, c’es votre idée !
S : vous êtes mon supérieur, et c’est vous qui donnez les ordre !
J : c’est quand ça vous arrange pour vous !
S (souriant) : alors ?
J : bon… mais on trouvera une idée pour détourner la vérité une fois qu’on sera dehors !
S : nous ne savons même pas si c’est ça la solution ?
J : mais c’est ce qu’il y a de plus vraisemblable selon vous !
S : … on fait quoi ?
J : ben… je pense qu’on le sait !
Sam se retourna vers lui, et attendis quelques instants, elle n’osait pas trop être aussi proche de lui, la situation est des plus ambiguë.
J : bon, il faut y aller !
S : je suis prête !
J : alors c’est partit !
Il pris la tête de Sam et l’embrassa, il était un peu hésitant, elle aussi, mais au bout d’un moment, la pression était vite retombée, et ils commençaient à déshabiller l’autre, sans faire de gestes déplacés, car le but était tout de même de simuler.
***tête de jack***
comme c’est dommage tout de même…
***************
***tête de Sam***
pourquoi ça n’arrive qu’a moi ce genre de trucs…obligée de simuler avec LUI !!!!
***************
il faut dire qu’ils se donnaient vraiment les moyens de sortir de leur cellule tellement ça semblai crédible…sans pour autant aller jusqu’au bout, car ils étaient tout de même conscients de ce qui arrivait, et surtout, de ce qui ne devait pas ce produire.
Ils étaient tous deux, nus, dans les bras l’un de l’autres, allongés à même le sol avec juste la couverture sur eux, puis, dans un dernier baisé (afin de paraître crédible) jack se détacha de Sam, mais toujours penché sur elle, ils arrivèrent malgré l’obscurité, à voir les yeux de l’autre, et ils entendaient leur respiration qui commençait à retrouver un rythme régulier.
Jack commençait à revenir à la raison et roula sur le côté aucun ne voulait dire quoi que ce soit, essayant de se remettre de ce qu’il venaient de partager, car bien qu’ils n’aient pas réellement fait l’amour, leurs baisés n’en était pas moins intense, et sensuels en même temps.
S : (toujours essoufflée) : vous pensez que ça a marché ?
J : on a plutôt bien fait ce que nous avions à faire !
S : j’espère.
J : vous en doutez ?
S : euh…non !
J : bon, il serait temps de dormir !
S : j’aimerait me rhabiller avant.
J : oui, bien sur !
S : on n’y voit rien ici…ou sont mes affaires ?
J : tout est mélangé !
S : on va faire ce qu’on pourra.
Ils enfilèrent peu à peu les vêtements qu’ils trouvèrent sur leur passage, mais leur esprits était encore bloqué là ou ils en étaient il y a à peine quelques minutes.
J : allez, il n’y en a plus il faut dormir !
S : oui…
Ils se rassirent comme d’habitude et s’endormirent assez difficilement, mais la fatigue les avaient rattraper, et il ne se réveillèrent que le lendemain matin.
Sur terre
H : revenez dans 24h SG3
Major : on ne fait qu’observer mon général !
Daniel se tenait lui aussi dans la salle des commande, pour voir si tout se passait comme prévu.
SG3 passa la porte.
Sur P3X831
Major Elsinki : bon, attendez les gars, nous avons une autre mission de prévue !
Sergent : pardon ?
Major : je ne vous y obligerait pas, mais je vais aller sur P2X875 pour chercher le colonel O’Neil et le Major Carter !
Sergent : mais le général…
Major : je sait ce qu’a dit le général, mais ce sont mes amis, et je ne les laisseraient pas ! j’en prend toute la responsabilité, si vous ne voulez pas venir, vous m’attendez ici 24 h, si je ne reviens pas, rentrez à la maison et expliquez au général ce qui c’est passé.
Autre soldat : je viens !
Autre : moi aussi !
Sergent : je vous suit !
Major : alors c’est partit !
SG3 passa la porte des étoiles pour ce rendre sur P2X875, ils suivirent les instructions de Daniel et se dirigèrent vers l’entrée de la grotte.
Dans la grotte
Jack et Sam dormaient encore, et la porte s’ouvrit laissant voir Sharbuk dans l’ouverture
Sharbuk : vous pouvez sortir !
S : mmm
J : quoi ???
Sharbuk : vous pouvez partir, j’ai fini mes analyses.
Sam et Jack réalisèrent qu’ils étaient libres, et commençaient à se lever. Sharbuk les conduits jusqu'à la sortie, et les laissa s’en aller.
J : je pense que vous aviez raison, c’était ça la solution !
S : qu’allons nous faire maintenant ?
J : on va improviser ! voyons déjà comment ce passe notre retour sur terre.
En contournant un rocher, ils reconnurent SG3 de loin
J : major !!!!!
Major E : colonel O’Neil !
J: que faites vous là?
Major : on était partit à votre recherche…
J : c’est sympas, mais on s’est sortis d’affaire ! on remerciera ce bon vieux général de ne pas nous avoir oubliés !
Major : en fait, le général n’est pas au courant, il à interdis que nous nous rendions là bas.
J : et bien comment ce fait-il que…
Major : c’est le docteur Jackson et Teal’c qui nous ont demandés de venir, ils n’ont pas le droit de franchir la porte
J : c’est vraiment gentil à vous… ce cher George va m’entendre en rentrant.
Major : nous devons retourné sur notre planète d’exploration…
J : je comprend, nous allons passer pas chez les Tok’Ra pour rentrer.
Ils allèrent tous à la porte qui n’était pas bien loin, et ils laissèrent le soin à SG3 de passer en premier, pis, quand ce fut leur tour, Sam et jack se regardèrent un instant, puis elle se dirigea ver le DHD pour composer les codes de la Tok’Ra.
Terre
Sergent : activation non programmée de la porte !
H : qui est-ce ?
Sergent : pas de signal…
H : fermez l’iris sergent
Sergent : si, ça y est, ce sont les Tok’Ra mon général !
H : ouvrez l’iris !
Daniel et Teal’c étaient désormais dans la salle des commandes pour surveiller un peu tout ce qui se passait.
Jack et Sam sortirent du vortex à la surprise de tout le monde, et Daniel couru vers eux, suivi bien sur de Teal’c et du général !
Daniel vient faire une accolade à jack et à Sam
J (dans l’oreille de Daniel) : c’est sympas d’avoir demandé à SG3 de venir, je n’oublierais pas !
D : c’est normal, vous êtes mon ami !
T : heureux de vous revoir colonel, major !
J : nous aussi Teal’c !
H : que c’est-il passé ?
J : ben…on s’est sortis d’affaire !
H : passez à l’infirmerie et Briefing dans une heure !
J : en fait, j’aimerais passer à table aussi !
H : bien sur… briefing dans deux heure !
Sam et jack, accompagnés des autres, allèrent à leur visite chez Janet, et elle ne trouva rien d’anormal, mis à part une carence en nourriture, mais ils allèrent se rattraper au mess.
Salle de Briefing
H : alors ?
J : on a été retenu par un gars tout bizarre mais il nous a pas fait de mal !
D : il est différent de nous selon les inscriptions que j’ai déchiffré.
S : exact, il est assez différent.
J : il est pas beau du tout en tout cas !
H : au fait, vous ne vous êtes toujours pas changés ?
J : comment ?
H : comment ce fait-t-il que sur votre veste vous ayez les galons du major ?
Sam et Jack étaient tout d’un coup très gênés, il fallait sortir une explication très rapidement.
J : nous avions posés nos vestes un instant.
S : pour faire un travail de force.. il fallait soulever un rocher…
H : bon, j’attend vos rapport pour demain matin ! rompez !
La nuit fut assez courte, jack et Sam regrettaient un peu leur complicités qu’il avaient là bas, et bien sur, ils se revoyaient en train de s’embrasser passionnément dans l’obscurité…et ce regard… qu’ils avaient échangés…était si…passionné !
Le lendemain, salle de briefing.
H : très bien, j’ai trouver dans vos rapports une petite incohérence…
La tension montait…
H : le major Carter dit que c’est en soulevant une trappe du sol que vous avez réussit à sortir, et vous colonel, vous dites que c’est une fenêtre qui était restée ouverte !!!
J : euh…
H : j’attend la version officielle !
J : c’est que…
H : oui ???
J (simultanément) : c’est une trappe
S (en même temps) : c’était une fenêtre !
H : QUOI ???
J : les deux mon général !
H : vous me cachez quelque chose, et je veux savoir quoi ?
J : désolé mon général !
Hammond se tourna vers Sam
S : désolé mon général !
H : bon, et bien, si c’est comme ça, vous aurez une sanction qu’y sera conséquente !
J : comment ça ?
H : vous êtes congédié pour deux semaines !
J : c’est des vacances ?
H : certainement pas colonel !
S : et…c’est tout ?
H : vous en voulez plus major ?
S : non, non, c’est bon !
H : rompez !
Le général sortit, laissant SG1 seuls dans la salle.
D : alors, que c’est-il passé ?
J : ça ne vous regarde pas !
D : c’était juste pour être poli !
Tous le monde partit dans des directions différente.
Appartement de Sam
Toc Toc Toc !
S : entrez, c’est ouvert !
Elle était dans la cuisine et faisait une recette bien à elle, Jack passa l’encadrement de la porte.
S : mon colonel ??
J: vous attendiez quelqu’un?
S : non, mais je suis surprise que vous ne soyez pas aller pêcher !
J : j’ai pas la tête à ça !
S : vous voulez rester manger ?
J : pourquoi pas !
S : ce sera bientôt près !
Elle sortie des assiettes et les plaça sur la table, elle était encore étonnée de le trouver là ! mais elle n’allais pas s’en plaindre. Bien sur, ils avaient tous les deux un peu de mal à se regarder dans les yeux, mais ils voulaient être ensemble un peu, ça faisait presque une semaine qu’ils ne s’étaient pas vus ni même téléphoner, et ils s’ennuyaient l’un de l’autre.
En se retournant pour aller chercher des verres, elle eu la surprise de le trouver tout contre elle.
S (troublée) : mon colonel ??
J : oui Sam …
S : que … voulez vous pour manger ??
J : j’ai pas encore réfléchit…
S : ça va être cuit bientôt…
J : je l’espère…
Que de sous entendus…et ils étaient désormais très proche l’un de l’autre.
S : qu’est ce que vous êtes venus faire ici ?
J : j’avais envi de vous voir…
S : et pourquoi ?
J : y a un truc qui me chiffonne…
S : quoi ?
J : c’est…
S : oui ??
J : d’avoir été sanctionner pour quelque chose que je n’ai pas fait !
S : ça me met hors de moi également !
J : je ne vois qu’un seul moyen pour nous guérir et nous empêcher d’aller voir un psy demain…
S : et c’est quoi ?
J : curieuse ?
S : oui, assez !
Il se pencha encore plus sur elle et l’embrassa longuement et passionnément, tout en lui mettant sa main dans le dos, et la faisant descendre sur ses hanches, elle, elle passait ses long doigts dans ses cheveux et semblai appuyer toujours plus sur sa tête pour qu’il se rapproche au maximum, et qu’il ne fassent plus qu’un.
A cours de souffle, leurs lèvres se séparèrent malgré elles.
J : je crois que ça va déjà mieux !
S : pour moi aussi…
J : que fait-on maintenant ?
S : j’ai ma petite idée…
J : dis toujours…
S (sourire malicieux) : on passe à table…
Il l’a pris dans ses bras et la conduisit jusqu’au canapé, là ou ils purent enfin combattre leur frustration mutuelle, qui commençait à devenir trop pesante.
Ils restèrent ainsi presque toute la semaine, sur ce canapé, se levant juste pour manger ou pour partager une douche, ce fut sans aucun doute la plus belle semaine de leur vie, qui restera à jamais gravée dans leur cœur.
Fin !!!!!!
Ps : envoyez vos commentaires s’il vous plais, ça met pas longtemps et ça coûte rien…. LOL !