Une promesse est une promesse

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

genre : petite action marrante + Romance Sam/Jack (pourquoi changer les bonnes habitudes)

résumé : arrivé sur une planète, SG1 vient en aide à la population, au cour d’une recherche d’éventuels survivant, Sam et Jack tombent sur… lol !

note de l’auteur : voilà mon retour avec ce ff que j’ai pondu en 4h donc m’en veuillez pas si c’est pas génial, en plus, il faut le temps de s’y remettre, bonne lecture à vous et à bientôt

disclaimer (ça m’avais pas manquer ça par contre) : bla bla bla pas à moi pas d’argent dessus juste pour le fun !

saison : peu importe… mais dès que possible si possible !

une promesse est une promesse

SG1 était en mission depuis presque trois heures, ils menaient le combat contre les Goa’ulds, et la lutte était sanglante pour les deux camps.

SG1 se battait aux cotés des villageois de P1X728 qu’ils avaient connus lors d’une précédente mission, et ces habitants leurs avaient demandés de l’aide lorsque leur planète fut attaquée.

J (criant) : repliez-vous ! ils arrivent !

S : mon colonel, ils sont trop nombreux !

J : je le sais bien major… mais a-t-on vraiment le choix ?

D : venez, nous allons avec les habitant dans les grottes !

J : allez-y vous ! moi je vais voir s’il ne reste personne dans le village

S : je viens avec vous mon colonel.

J : c’est hors de question !

S : et comment ferez-vous s’il reste plusieurs personnes qui ne peuvent se déplacer ?

Jack réfléchit un instant

J : bon d’accord, mais vous restez en retrait.

Jack et Sam partirent donc de derrière leur cachette pour se rendre à couvert vers un autre chemin qui menait au village, ils couraient le plus rapidement possible, essayant de ne pas se faire repérer par les Jaffa. Quand à Daniel, il aida les autres à regagner les grottes, qui seraient une cachette plus sur pour eux.

De leur coté, Sam et Jack regardaient partout dans les maisons en ruine, les Jaffas étaient tous partis à leur recherche, et ils ne craignaient pas grand chose, il fallait tout de même se méfier.

J : il n’y a personne, dépêchons nous de rejoindre les autres.

Mais des plaintes se firent entendre dans une des cabanes qui s’était affaissée

S : il y a quelqu’un la dedans mon colonel

J : vite, venez m’aider !

Ils enlevèrent le plus vite possible les branches qui les gênaient pour pouvoir atteindre la personne qui semblait mal en point

S : nous sommes là ! ne vous inquiétez pas.

J : comment vous sentez vous ?

Voix : AILLE !

J : désolé, mais il fait pousser cette planche pour que vous sortiez !

Après un effort partagé des deux militaires, la planche qui obstruait l’entrée fut poussée sur le coté, Jack et Sam purent faire face au blessé, ou plutôt… à la blessée.

S : mon colonel, cette femme est enceinte !

J : je vois bien oui !

Femme (faiblement) : aidez-moi…

S : oui, bien sur

Ils la sortir de là avec une immense délicatesse, et quelques plaintes douloureuses de la part de la victime. Jack la pris dans ses bras.

J : bon, il faut partir maintenant !

Femme : où sont les autres ?

S : nous les avons conduits dans les grottes de frusca.

Femme : comment cela ce fait-il ? les grottes de frusca sont bien trop loin !

S : mais le peuple survivant avait été conduit vers le nord, non loin des grottes, alors elles nous étaient plus faciles d’accès.

Femmes : mais vous n’arriverez jamais à me porter jusque là bas !

J : il faudra bien pourtant… on ne compte pas vous laisser là !

Femme : dans ce cas, allons vers le lac, il y a une cavité protégée tout juste assez grande pour nous quatre.

J : mais on n’est que trois !

Femme : pas pour longtemps !

J : hey !!!! ça veux dire quoi ça ?

S : depuis combien de temps le travail a commencé ?

J : quel travail ?

Femme : à peu près dix minutes.

S : mon colonel, il ne faut pas perdre de temps.

J : attendez un peu mesdames, il est hors de question qu’il y est un invité de plus à cette petite fête, car MOI je ne suis pas d’accord !

S : mon colonel, nous n’avons pas le choix…

J : je le sais bien ça ! et… on peu pas mettre un sens interdit histoire de le ou la retenir un peu

Sam esquissa un sourire de désolation, et le colonel compris bien que la discussion prenait fin, il était temps de partir

Ils arrivèrent un bon quart d’heure plus tard à l’endroit indiqué par le jeune femme, c’était en faite à peine assez grand, comme une cavité creusée qui ne faisait pas plus d’un mettre cinquante de haut, composé de terre et d’argile.

J : nous y voilà

Jack posa la femme à terre qui poussa un hurlement.

J : c’est quoi ça ?

S : une contraction mon colonel !

J : je vois bien… mais je parlais de CA !

Il montrait ses mains tachée de sang

S : oh mon dieu, c’est beaucoup trop de sang…

La contraction fini par se calmer un peu

Femme : je vais mourir c’est ça ?

S : non, personne ne va mourir vous m’entendez !

Femme : je m’y attendait, c’était écrit de toute façon.

J : comment ça ?

Femme : on m’avait prédit que je décéderais en couche…

Plus personne n’osa parler

Femme : je vous en pris, sauvez mon enfant !

S : bien sur, et on va tout faire pour vous aider vous aussi.

Femme : concentrez vous sur l’enfant !

On pouvait voir que cette femme était désespérée, et l’instinct maternel reprenait le dessus

J : calmez vous,… on vous le promet…

Femme : merci, je me sens mieux, et je n’ai pas peur de la mort, croyez moi !

J : bon… comment on fait ?

S : je vais pratiquer l’accouchement mon colonel.

J : c’est pas de refus !

S : mais j’aurait besoin de vous !

J : ben…

S : il me faut de l’eau et du linge

J : l’eau c’est facile, on est près d’un lac, mais pour le linge…

S : donnez moi votre veste !

J : pardon ?

S : c’est pour qu’elle s’en serve comme oreiller pour s’adosser, se sera plus facile pour elle

J (résigné, il enleva sa veste) : au fait, quel est votre nom ?

Femme : je me nome Aïja

J : moi c’est jack et elle c’est carter

S : Sam !

Aïja : ravi de vous connaître.

S : bon, je vais commencer par regarder ou vous en êtes.

J : vous savez faire ça vous ?

S : ben… oui… enfin, je l’ai vu faire, et j’ai la partie théorique au même titre qu’un médecin…

J : et le pratique ?

S : disons que ce sera ma première expérience

J : bon… en tout cas, vous en savez plus que moi sur ce sujet, alors je vous laisse faire.

Jack se tourna

S : c’est votre premier enfant ?

A : oui

S : alors ça risque d’être un peu long, les contractions sont encore assez éloignées les unes des autres, et le bébé n’est pas encore près à sortir

J : je peu me retourner ?

S : oui mon colonel, c’est bon, mais il me faudrait de l’eau et du linge

J : encore du linge ?? avouez, c’est un de vos stratagèmes pour que je me retrouve en caleçon !

Sam sourit à cette image…

Il enleva son tee-shirt noir, le même qu’ils avaient à chaque fois pour partir en mission (enfin… le même genre car ils les lavent de temps en temps)

S : merci, et pour l’eau, prenez mon sac et videz-le s’il vous plaitd, il y a dedans un caisson isotherme pour mes expériences, si vous pouviez aller le remplir.

J : j’y vais, mais pas de bébé en mon absence OK !

S : OK mon colonel.

Jack laissa les deux femmes ensembles

A : il est toujours aussi drôle votre amis ?

S : oui, mais le but est de ne pas toujours le lui montrer, sinon il a vite la grosse tête.

A : il me fait penser un peu à mon mari, il était aussi grand et aussi beau… il me faisait tant rire…

S : que lui est-il arrivé ?

A : il a succombé à une maladie il y a environ deux mois…

S : je suis désolée…

A : moi aussi…

Jack refit son entrée

J : me voilà !

Les deux femme essayèrent de cacher leur mine triste

S : ha ! mon colonel… maintenant il faut mettre le caisson en route, il est programmé pour être à 30° pour mes expériences, ce sera déjà ça pour l’arrivée du bébé.

Aïja eu une autre contraction, elle se tenait le ventre et criait de douleur. Sam alla pris un autre bout de tissu de la rode, et en fit un bâillon qu’elle laça dans la bouche de la jeune femme

S : allez y ! mordez bien fort !

J : mes oreilles vous en seront éternellement reconnaissantes carter !

S ( à Aïja) : ça va mieux ?

Elle fit oui de la tête, mais elle reprenait son souffle doucement

J : bon, je pense que je vais vous laisser pour cette petite… affaire… si vous avez encore besoin de fringues major, vous n’avez qu’à crier, mais pas trop fort sinon vous allez ameuter tous les jaffas de la planète.

S : désolée mon colonel, mais vous devrez rester.

J : je suis un soldat carter, je suis habitué a voir du sang et toutes les tueries habituelles, mais là ! c’est trop pour moi, je sens mon estomac se retourner…

S : je suis moi aussi un soldat mon colonel, et c’est notre devoir d’aider cette femme à accoucher

J : vous savez à quel point vous êtes exaspérante carter ?

S (souriante) : non désolée mon colonel

J : bon, si je m’évanouis… vous ne le direz à personne ?

S : promis !

J : vous êtes sure ?

S : mon colonel, j’ai besoin de vous ici alors je suis capable de vous promettre n’importe quoi pour que vous restiez.

J (intéressé) : ha oui ???

S : disons… presque tout.

J : alors la prochaines fois qu’on peu prendre des vacances, vous venez chez moi ! et hors de question de refuser.

S : vous tenez à les gagner vos 200 dollars !

J : comment vous êtes au courant ?

S : pour les paris ?

J : oui.

S : à votre avis…

J : daniel ?

S : non.

J : janet ?

S : non

J : teal’c?

S : non plus… et je ne pense pas que vous trouviez un jour

J : alors dites le moi !

S : le général !

J : Hammond ?

S : exact !

J: ça alors....

Ils furent interrompus par une autre contraction qui commençais, Aïja mordait encore très fort le bâillon, elle transpirait énormément, et ses cheveux lui collait au visage.

J : depuis quand Hammond est au courant pour les paris ?

S : mon colonel ce n’est pas le moment, le bébé va sortir d’ici peu… sûrement aux prochaines contractions.

J : mince alors !

S : aidez là en la soutenant un peu derrière le dos, le mieux serait que vous mettiez une de vos jambes en appuis derrière elle, et tenez lui la main !

J : c’est moi qui donne les ordres d’habitude !

S : parce que vous vous y connaissez maintenant en procédure d’accouchement ?

J : le cynisme aussi c’est à moi !

S : désolé mon colonel

Jack exécuta quand même les ordres donnés par son subalterne, et au bout de quelques secondes, les contractions se calmèrent

S : très bien Aïja, vous avez entendus, le bébé va sortir très bientôt, il va falloir être forte.

A : je serait à la hauteur, ne vous en faites pas…

J : oui ! … moi aussi j’essaierait d’être à la hauteur…

Jack avait dit ça d’une façon peu convaincante, si bien que les deux femmes se mirent à rire, bien que la douleur fut forte pour Aïja, elle y réussissait très bien.

S : bien, d’après mes calculs, la contraction suivante est la bonne pour le début de l’accouchement proprement dit, et elle va commencer… vous êtes près ?

A : oui…

J : ben… il faudra bien…

A : j’ai toute confiance en vous Sam.

J : moi aussi, et on va y arriver

S (dans sa tête) : on dirait que c’est lui qui accouche, il le prend vraiment au sérieux, c’est beau à voir, en tout cas, on peut sentir qu’il a une trouille bleu.

La contraction suivante était là…

S : POUSSEZ !

A : c’est ce que je fait !

J : elle est pas sensé souffler là ?

S : si !

J (à Aïja) : il faut que vous souffliez bien fort…

S : non, il faut de petit souffles courts, comme les chiens

A (dans la douleur) : C’EST QUOI UN CHIEN ??????

J : il faut faire comme ça !

Il lui montre

S : il faut pousser dès le prochain élan OK

A : OK

J : OK

S : vous comptez pousser aussi mon colonel?

J : je fais ce que je peux pour ne pas perdre le contrôle major ! alors ne me stressez pas !

A : comment faites vous pour supporter un mari pareil ?

S : ce n’est pas mon mari…

A : désolé, mais vous vous disputez comme un vieux couple

S : concentrons nous sur l’accouchement

A : je sens que ça arrive… AAAAAHHHHHHH !!!!!!!!!!

S : POUSSEZ BIEN FORT

A : je sais !

S : allez, encore un petit effort !

A : ça ait MAAL !

S : je sais, mais il faut être forte.

A : vous avez des enFANTS ?

S : non…

A : alors vous ne savez PAS !!!!!!!!

S : je vois la tête, elle est là !

J : encore heureux !

S : ce n’est pas le moment mon colonel !

J : j’étais sérieux !

S : bon, au prochain coup, vous poussez encore plus fort, reposez vous un peu pour le moment

A (à jack) : le jour ou vous lui faites un enfant, rappelez lui ce que j’ai souffert et demandez lui si c’est si simple que ça !

Une gêne s’installa entre les deux militaires

A : j’ai dit quelque chose qui ne fallait pas ?

J : non, rassurez vous, c’est juste que carter et moi, on n’est pas… ensemble.

A : ha… j’aurait cru…

S : on vous a dit tout à l’heure qu’on était pas mariés.

A : vous auriez pu être ensemble sans être mariés !

Une autre contraction arriva

S : c’est la fin, il faut y arriver cette fois…

A : AHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!

S : la tête est sortie, il reste les épaules et c’est fini !

J : il a pas de jambes ?

A (en criant) : le cerveau chez vous c’était en option ???????

S : ça va être bon, encore un effort !

J : je fais ce que je peux !

S : je parlais à Aïja !

A : moi aussi je… fait… ce….que….je….peut !

S : ça y est !

Un cri d’enfant ce fit entendre dans toute la cavité

S : c’est une jolie petite fille

A : ho mon dieu…

J : une belle princesse…

Sam essuya un peu l’enfant à l’aide du Tee-shirt mouillé du colonel, et l’enveloppa dans sa propre veste, puis déposa l’enfant sur le ventre de sa mère

A : ma chérie…c’est maman qui te dis bienvenu parmis nous…

Sam regarda la mère, puis s’aperçut qu’elle perdait vraiment trop de sang

J : un problème carter ?

S : je n’arrive pas a arrêter l’hémorragie mon colonel…

A : je vous avait prévenu, je suis destinée à ne pas survivre à cet accouchement

S : on va vous sauver !

A : vous savez bien que c’est impossible, alors arrêtez, et profiter de ce moment

Aïja disait tout cela sans quitter son enfant des yeux

A (au bébé) maman doit partir ma chérie, mais elle veut que tu saches qu’elle et ton papa s’aimaient plus que jamais.

S : quel est le nom de cette petite fille ?

A : avec son père nous lui avons trouver le nom de Duléa ce qui signifie pour nous " enfant d’autre monde "

J : c’est très joli.

Aïja sentait que sa fin était proche, elle était déjà terriblement affaiblie, alors elle pris une mine plus grave

A : puis-je me permettre de vous demander un service…
S : lequel ?

A : prenez mon enfant avec vous, et emmenez le sur votre planète.

J : je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

A : au contraire, elle n’a plus de famille ici, et notre famille n’est pas très apprécié, ni même cette petite fille, car son père et moi l’avons conçue avant notre union…

S : personne ne peut s’en occuper sur cette planète ?

A : malheureusement non, en plus, avec les dégâts qu’on fait les Goa’ulds, personne ne prendra une telle charge dans le village… je veux ce qu’il y a de mieux pour mon enfant… qu’elle puisse grandir en ayant une famille et des personnes qui l’aimerons, et qui l’aide dans sa vie… c’est pourquoi je vous demande de vous en occuper, je sait que je n’en ai pas le droit, mais je n’ai que vous deux pour être les parent de cet enfant…

S : je ne sait pas si nous pouvons…

A : je vous en pris… je sais qu’avec vous elle sera heureuse, vous l’élèverez comme votre propre enfant…

Aïja pris les mains de Sam et de Jack et les plaça sur l’enfant qui dormais. Les deux militaires se regardaient, mais n’osaient pas dire un mot.

A : je vais mourir à présent, je me sens faible, et j’aimerait savoir si vous accepter, ou si le sort de mon enfant est remis en cause… soyez honnêtes, je ne vous en voudrait pas si vous refusez.

Un moment de silence vint remplir la cavité.

S : j’accepte… même si vous ne voulez pas colonel, ce n’est pas grave, moi j’en prend la responsabilité.

A : merci

J : c’est hors de question.

S : pardon ?

J : je ne vous laisserait pas profiter seule de l’enfant, je serait là aussi pour elle.

A : c’est vrai…. vous acceptez ?

J : oui, ne vous en faites pas, elle sera heureuse.

A : merci, vous ne savez pas le bonheur que vous me faites.

Aïja pris l’enfant l’embrassa entre deux sanglots, et le passa à Sam, qui le pris dans ses bras.

A : (à Sam) vous serez une bonne mère, j’en suis sur, prenez soin d’elle et aimez là autant que possible, dites lui que sa maman l’aime…(à Jack) sachez la protéger, et l’aider quand elle en aura besoin, mon mari doit être aussi heureux que moi d’apprendre que c’est vous qui vous en occuperez (au bébé) : Duléa, ma chérie, on ne se connaît pas beaucoup, mais je serais toujours avec toi, je te confis à ton nouveau papa et à ta nouvelle maman, ils prendront soins de toi j’en suis sur, il est temps de te dire au revoir… je t’aime…

Les yeux de Aïja se fermèrent progressivement, et sa respiration s’atténua jusqu'à s’éteindre complètement

J : paix à son âme…

S : au revoir Aïja…

Après un moment de silence

J : je peu la tenir dans mes bras un instant…

S : bien sur…

Elle lui tendis l’enfant qu’il tenu avec toute la délicatesse du monde

J : coucou princesse, je suis … ton nouveau papa…. Enfin… si tu veux bien de moi, c’est comme tu le sens !

S : je suis sur qu’elle est ravie

J : je l’espère… vous vous rendez compte qu’on a fait un enfant en à peine une heure ! c’est un peu rapide…

S : le général va en faire une tête !

J : mais lorsqu’il verra le sourire magnifique de ce petit ange, il sera tout baba.

S : je pense qu’il faut y aller mon colonel.

J : nous avons quelque chose à faire avant.

Il regarda Aïja, et tendis le bébé à Sam, puis, il allongea correctement Aïja, et la recouvrit de sa veste qui était restée derrière son dos.

J : nous pouvons y aller désormais.

Ils sortirent prudemment de leur cachette, et firent le chemin retour jusqu’au village, puis, ils se dirigèrent vers les grottes en espérant ne pas tomber sur des Jaffas, mais ils n’en croisèrent aucun. En arrivant vers les grottes, ils virent les survivant sortirent, et s’avancer vers eux.

D : où étiez vous ?

J : et que s’est-il passé ici ?

D : les Goa’uld on fichu le camps, le vaisseau mère est partit il y a presque une heure déjà, mais nous étions rester un moment à l’abris… c’est quoi ça ? (désignant ce que tenait Sam dans ses bras.

S : je vous présente Duléa…

D : enfant d’autre monde

J : exacte, et c’est… notre fille

D : pardon ?

T : il est impossible que vous ayez pu concevoir cet enfant O’Neill.

J : ça je sais merci de la précision quand même. Cette petite fille vient de naître, et sa mère est décédée en couche… elle nous a demandé d’en être les parents et on a accepté.

D : et vous n’avez pas l’impression d’avoir sauté une étape là ?

J : Daniel !

D : la logique aurait quand même voulu qu’il se passe quelque chose en…

J : DANIEL !

S : je pense qu’il serait sage de rentrer maintenant que la menace est écartée, il faudrait que cette princesse aille faire connaissance avec Janet.

J : hey ! c’est moi qui l’appelle princesse ! et c’est hors de question que Janet se mette à la torturer avec ses seringues.

S : il faudra bien qu’elle y aille pourtant.

D : et Hammond ?

J : il n’aura pas son mot à dire, nous avons fait une promesse, et pour ma part je compte bien la respecter

S : moi aussi.

Après quelques au revoir avec le peuple de P1X728, SG1 se dirigea vers la porte des étoiles

J : c’est pas un peu dangereux à son âge de passer la porte

S : non, il n’y a aucun risque, et elle pourra être fière de l’avoir passé le jour de sa naissance.

D : on joue déjà les papa poule Jack ?

J : non, pas du tout, je veux juste être sur, c’est tout.

T : nous pouvons y aller.

SG1 passa la porte et se retrouva au SGC

H : bon retour parmis nous SG1, briefing dans une heure, passez à l’infirmerie en attendant.

OOOOUUUUUUIIIIINNNNNNNNNNNNNNNN

H : qu’est ce que c’est ?????

J : euh… ben en fait on allait vous en parler…. Disons que c’est…. Un bébé !

H : un quoi ?

J : bébé… bambino….baby…

H: que me racontez vous là ?

S : c’est un peu long à expliquer mon général !

J : non pas tant que ça…on a fait un accouchement, mais la mère naturelle est morte, elle nous l’a confiée et Carter et moi sommes les parents de la plus belle des princesse, j’ai nommé : Duléa.

H : en salle de briefing tout de suite, et confiez cet enfant au docteur Frasier.

S (à Janet) : faites attention à elle…

Salle de briefing

Après avoir ré-expliqué

H : et vous pensiez que je serais d’accord avec CA ?

J : on ne vous demande pas général, on pensait que vous accepteriez que cet enfant reste à la base avec nous, si vous ne voulez pas, je part

S : moi aussi mon général.

H : mais vous êtes devenus fous tous les deux !

J : non, mon général, on a fait une promesse, et on n’abandonnera pas cet enfant.

H : en clair vous ne me laissez pas le choix, c’est vous trois ou personne !

S : exacte mon général.

H : vous ne vous êtes pas marier pendant qu’on y est ! ce serait la totale !

J : pas besoin d’être ensemble pour élever un enfant, on vit tous les deux ici.

S : on peu s’en sortir facilement, en plus, Janet nous aidera sûrement

D : moi aussi

T : moi également

J : merci les gars !

H : j’espère que vous savez dans quoi vous vous engagez tous les deux, parce qu’un enfant c’est pour la vie.

J : on s’en sortira, on s’en ai toujours sortit !

H : bon, je vais tout faire pour que vous restiez, mais je ne vous promet rien.

S : c’est déjà beaucoup mon général.

J : merci George.

Tout le monde sortit de la salle de briefing pour aller à l’infirmerie voir la petite dernière

S : alors Janet ?

Janet : cet enfant est en parfaite santé Sam, alors, qu’a dit le général ?

J : il va voir !

D : c’est encore en suspend

Janet : je vous souhaite bonne chance

S : merci

D : je peux la prendre dans mes bras ?

J : seulement si vous ne la faites pas tomber

D : mais je sais aussi ne pas être maladroit parfois

J : c’est juste un air que vous vous donnez alors ?

D : j’espère que cet enfant n’aura pas votre sens de l’humour !

J : très drôle Daniel !

D : en tout cas, elle est magnifique cette petite fille

S : vous voulez la prendre Teal’c ?

T : j’en serais honoré major carter.

Teal’c pris cet enfant dans ses bras, ils étaient très touchants, et apparemment Duléa y trouva un coin bien douillet, Teal’c souriait à pleine dent.

H : alors ! voilà toute la famille ?

J : entrez mon colonel.

H : encore heureux que je rentre, je suis dans ma base ! passez-la moi une seconde…

Il pris l’enfant

H (au bébé) : alors écoute moi bien toi…je suis George, mais il n’y a que toi qui ait le droit de m’appeler comme ça, si tu veux vivre ici, il y a des règles à respecter :

1erement : tu ne réveilles pas tout le monde la nuit !

2emement : je ne veux pas que toi aussi tu te mette à contredire mes ordres, on a assez de tes parents pour ça.

Et pour finir : j’aimerait assez que tu ne me baves pas dessus comme tu es en train de le faire !

J : ça veux dire qu’elle peut rester ?

H : exacte colonel, nous avons désormais à bort un bébé SG

D : on peu peut-être faire un commando d’élite s’il y en a d’autres d’ici là !

H : autre chose j’ai réussi à négocier autre chose, cela concerne vos quartiers, vous aurez droit d’avoirs chacun vos quartiers comme avant, mais entre les deux sera la chambre du bébé si vous voulez.

S : merci beaucoup général, c’est une très bonne idée

H : bon, maintenant, il faudrait retourner au travail peut-être

Chacun se dispersa, Sam et Jack partirent dans la même direction avec le bébé, mais Daniel les rattrapa

D : si vous voulez je vais lui faire faire le tour du quartier !

S : merci, c’est gentil (elle lui confia l’enfant

J : ramenez le pas trop tard !

Jack et Sam étaient seuls dans le couloir et se faisaient face

J : c’est marrant, mais nous n’avons même pas parler de tout ça tous les deux… et je pense qu’il le faudrait… pas vous ?

S : vous avez raison … entrons dans mon labo, on sera plus tranquilles

Ils entrèrent timidement

J : bon, ben… nous voilà parents… ça fait drôle quand même.

S : qui aurait pu imaginer ?

J : ça ne vous fait pas peur ?

S : je suis morte de trouille… et vous ?

J : non… enfin si….

S : comme l’a dit le général, c’est pour la vie désormais que nous avons cet enfant.

J : en clair, nous serons en contact toutes notre vie

S : exacte

J : vous pensez que ça marchera… je veux dire… élever séparément et en même temps communément notre fille ?

S : nous n’avons pas le choix

J : nous ne sommes pas un couple…et vous pensez que c’est bon pour l’enfant ?

Il s’était rapprocher d’elle et lui faisait face, la tension montait vite entre eux, et c’était pareil à chaque fois.

S : nous…

J : quoi ???

S : rien…

J : vous pouvez parler librement avec moi maintenant, on est deux au même titre pour cette mission là !

S : nous ne pourrons jamais être un couple

J : pourquoi ?

S : parce qu’il y a Duléa maintenant

J : et alors ? vous savez aussi bien que moi qu’avant même que tout ça n’arrive… il y avait déjà quelque chose, enfin je pense…

S : moi aussi…

J : alors ou est le problème ? vous savez de toute façon ce que j’ai toujours pensé vis à vis de vous.

S : le problème c’est que désormais se sera pour de mauvaises raisons… et non parce que l’aurons décidé.

Ils étaient toujours de plus en plus proche l’un de l’autre

J : avec ou sans cet enfant, j’ai toujours envi de faire ce que je m’apprête à faire…

S : quoi ?…

Elle fut coupée par les lèvres du colonel contre les siennes, un doux baiser plein de tendresse et d’amour

S : mon colonel ???

J : quoi ?

S : vous pensez ce que vous avez dit ?

J : Je n’ai jamais été aussi sérieux Sam… je n’ai envi que d’être avec toi depuis tellement longtemps…

S : je croyais que je n’entendrais jamais ces mots là…

J : je peux redevenir le méchant colonel si tu veux !

S : oh non… je te préfère comme ça !

J : mais mon image de marque va en prendre un coup !

S : bon, alors quand on est seuls seulement !

J : c’est déjà mieux. Qu’y a-t-il ?

S : j’ai une cruelle envie de t’embrasser !

J : vais-je faire durer la torture ???

S : t’as pas intérêt !

Elle mis ses bras autours de son cou et l’embrassa passionnément, il plaça ses mains sur ses hanches et la fit s’assoire sur le bureau du labo. Ils ne s’étaient jamais sentis aussi bien, dans les bras l’un de l’autre, à s’avouer enfin leur amour, et à s’apprêter à commencer une nouvelle vie en compagnie de leur enfant.

D : regarde ma chérie dans ce bureau il y a ton papa et ta maman… tonton Daniel t’expliquerait peut-être un jour ce qu’ils font, mais il va falloir devenir une grande fille. A part ça, ne t’en fait pas, ton papa à l’air un peut méchant comme ça, mais je suis sur que tu le remettras à sa place dès que tu sauras parler… en tout cas je t’y aiderais. Ha oui, tu as aussi un papi Jacob et papi Selmac… c’est un peu compliqué mais je t’expliquerait…

Le reste de la conversation était aussi (peu) intéressante, et tout le monde pu redémarrer sa vie normale quoique modifiée…

Fin…..

Et voilà, un petit ff qui m’a trotter dans le tête pendant les vacances, c’était histoire de m’y remettre, maintenant c’est foutu pour moi, je pourrais plus m’arrêter…. Lol

Envoyez moi quand même un petit message pour me dire ce que vous en pensez.. merci !