Une rencontre étrange
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
résumé : SG1 est en vacance, mais Sam fait une rencontre intéressante (cross over)
genre : romance , et CROSS OVER avec le CAMELEON, il est recommander de connaître ces deux séries pour lire le fic… ;sinon, vous comprendrez pas.
Disclaimer : pas à moi, les deux sériez sont à leur responsables respectifs… bla bla bla
Note de l’auteur : voilà, je voulais surtout dire que j’ai un méga bug sur mon ordi, alors tous ceux qui ce demandent si j’existe encore peuvent être rassurer (même si vous vous en tapez complètement !) bref : voilà 2 semaines que je n’ai pas lut un seul fic je peut à peine envoyer des messages et les lire, alors si vous êtes gentil, envoyez moi un petit message pour me dire ce que vous pensez de mon fic…parce que je me sent coupée du monde…snif… je vous embrasse tous... vous me manquez !
Ps : j’ai pas vérifier les fautes d’orthographe à la fin…désolé, mais je peut pas corriger sans que ça re-bug…
H : je vous donne une permission de trois jours !
J : en quel honneur ?
H : colonel si vous n’êtes pas content, dites le !
J : oh non au contraire, mais qui a eu cette excellente idée ?
H : moi
J : vous venez de faire un bon dans mon estime général
H : ravi de le savoir… donc vous devez être de retour mardi à 9h pour un briefing… et bien entendu major, vous n’avez pas l’autorisation de rester à la base, ni d’emporter de travail avec vous.
S : mais mon général…
J : HA ! une très bonne nouvelle !!!!
H : désolé major, mais je pense que vous vous êtes trop surmenée ces temps-ci !
S : mon général…
H : c’est sans appel !
S : bien mon général
H : et ne faites pas le coup de venir en douce, j’ai donner l’ordre qu’on vous expulse dans ce cas ! on ne veux pas vous voir avant mardi !
J : pourquoi ? vous voulez vous débarrasser de nous en fait ?
H : bon, à mardi tout le monde. Rompez !
Sam sembla un peu triste à l’idée de s’éloigner de son labo, alors elle s’y précipita mais arrivé devant, elle y trouva un garde qui l’empêcha de passer
J : je savais bien que se serait votre première réaction !
S (surprise) : mon colonel ??
J : désolé, je ne voulais pas vous faire peur… alors ? pas trop dur le sevrage ?
S : je ne sais pas si je tiendrais
J : je suis sur que si ! qu’avez vous prévue alors ?
S : ben… rentrer me reposer…
J : vous voulez venir dans le Minnesota ?
S : …
J : Daniel et Teal’c y vont aussi !
S : ok… comme ça je pourrais enfin voir cette cabane humide et faire connaissance avec les moustiques.
J : ne soyez pas si optimiste, je ne vous ai pas parlé de la douche défectueuse et de la cafetière en panne !
S : à ce point ?
J : vous n’êtes pas au bout de vos ennuis !
S : ça rappellera les missions.
Ils s’en allèrent peu à peu vers leurs cartiers pour prendre leurs affaires et rejoindre les autres
D : vous venez Sam ?????
S : surpris ?
D : ben…oui !
T : vous allez le regretter major carter
J : ne mettez pas d’ondes négatives tous les deux !
T : sauf votre respect O’Neilll, ça ne m’enchante guère de remettre les pieds là bas.
D : vous verrez, on se fera tout livrer, on va boire beaucoup et on va dormir… je trouve ça chouette
Ils s’en allèrent rejoindre la voiture de jack, car s’était la plus grande
** J : ça a des avantages d’être le chef !**
arrivées dans le Minnesota, tous mirent pied à terre
S : c’est charmant comme coin.
T : méfiez vous de l’eau qui dort major carter
J : c’est votre objectif de nous gâcher les vacances Teal’c ?
T : je vous avait prévenu O’Neill
D : il me semble que Teal’c s’essaie à l’humour terrien
J : j’en ai bien peur… bon, venez, je vais vous montrer les chambres, et vous faire faire le tour du proprio
Il y avait trois chambres en haut, et une en bas, jack la laissa à Daniel, car elle était pleine de vieux bouquins de son ex femme
A la fin de leur petite excursion autour du lac, les trois hommes allèrent à la pêche, et Sam alla en ville pour faire quelques courses, tout était plus ou moins périmé chez Jack.
Elle gara la voiture de Jack sur le bas côté et entra dans la supérette de village, juste assez complète pour prendre tout le nécessaire afin de tenir trois jours avec des militaires et extraterrestre pensa-t-elle en souriant sans même s’en rendre compte
?: on vous a déjà dit que vous aviez un très joli sourire mademoiselle ?
S : … heu… merci…
?: bonjour, je me présente, je m’appelle Jarod
S : moi c’est Sam Carter
J : vous êtes en vacance dans le coin ?
S : on peu dire ça…
J : pourquoi ?
S : je doit m’occuper de trois hommes incapable de se débrouiller tout seul pour faire les courses.
J : vous n’êtes pas mariée pourtant !
S : …
J : excusez moi, c’est juste qu’il n’y a pas d’alliance à votre doigt…
S : c’est pas grave… et vous aussi vous êtes en vacance ?
J : non pas vraiment… je viens d’être muté ici en tant que représentant écologique, je pense que certaines organisations dans la région ne tiennent aucun compte de la nature
S : noble cause.
J : la votre aussi
S (surprise): pardon ?
J : vous êtes dans l’armée… vous portez la chaîne qui est la même pour les plaques militaires
S : comment le savez vous ?
J : j’ai été militaire… plusieurs fois
S : et que comptez-vous faire pour cette cause que vous défendez ?
J : je cherche le moyen de mettre en évidence un produit toxique de la région, mais je dois sûrement vous ennuyer avec mon discours, c’est qu’une petite fille est morte il y a deux semaines tout juste, et je pense qu’il faut trouver les coupables.
S : vous ne m’ennuyez pas monsieur…
J : Jarod…juste Jarod pour les gens qui me sont sympathiques
S : merci… je suis moi même chercheur dans le biologique, alors si je peux vous aider…
J : merci beaucoup, en effet, je risque d’avoir besoin d’aide
S : vous pouvez me trouver dans le chalet des O’Neill, en sortant par la nationale du côté de Vermont.
J : je n’oublierais pas, et merci pour tout.
S : le plaisir est pour moi.
Elle avait fini ses courses pendant la discutions, chacun repartit de son côté avec un dernier sourire, Sam le trouvait plutôt beau, assez grand, brun, et l’air un peu mystérieux… elle ne sait pas pourquoi, mais il y avait quelque chose de sympathique chez cette personne.
Elle rentra au chalet et surpris les trois homme en pleine…discution
J : je vous ai dit de ne jamais lâcher votre canne à pêche Daniel !
D : mais c’était super lourd !
T : ce n’est pas si grave, je n’ai qu’à lui passer la mienne !
J : oh non, Teal’c !!! vous n’y échapperez pas !
T : mais…
J : pas de mais ! Daniel va aller la chercher au fond de l’eau !
D : quoi ????
S : me revoilà !!!
J : ha ! enfin quelqu’un qui ne va pas me faire tourner en bourrique !
S : ne vous en faites pas, j’ai acheté à manger et à boire pour au moins une semaine mon colonel
D : mais comme jack doit surveiller son régime…
J : Daniel ! plongez chercher votre canne à pêche au lieu de dire des sottises !
D : ne vous en faites pas Sam, il a été détestable pendant tout le temps que vous êtes partie
Sam se sentie rougir un peu
J : alors, vous avez réussi à trouver la vielle épicerie ?
S : oui, ne vous en faites pas, je ne suis pas militaire et astrophysicienne pour rien mon colonel.
D : vous en avez mis du temps
S : j’ai rencontrer quelqu’un en chemin.
D : qui ça ?
S : un homme qui pourrais peut-être avoir besoin de mes connaissances en chimie
J : vous êtes en vacance… ne me dites pas que vous croyez au baratin du premier venu tout de même ?
S : il s’agit de la sécurité nationale mon colonel.
J : oh… rien que ça…
Et sans vraiment y croire, il retourna à l’attaque de Daniel qui en avait profiter pour s’allonger un peu.
Le repas était près pour huit heure, le temps de tout manger, de ranger et de s’installer au salon, il était déjà presque minuit quand ils décidèrent d’ouvrir la bouteille de vodka.
J : je ne savais pas que vous vous y connaissiez en alcool !
S : j’ai été en Russie pendant trois mois, alors pour la vodka…je suis la pro mon colonel
D : je sais que je suis celui qui tient le moins la boissons, alors je préfère être prudent !
Un bruit à l’extérieur du chalet fit sursauter l’oreille de Teal’c qui était encore dans la cuisine, il sortit par la porte de derrière en prenant soin de réajuster son bandana, et fit le tour de la maison. Il avançait prudemment, en prenant soin de ne faire aucun bruit, il était sur et certain qu’il se passait quelque chose, alors il devait être vigilant.
C’est en arrivant au niveau de la voiture qu’il vit une faible lueur blanche et bleutée sortir de derrière un arbre, il le contourna et vit qu’il s’agissait d’un ordinateur portable, allumé, et avec un homme qui pianotait dessus très rapidement, sur l’écran, on pouvait voir des images en noir et blanc d’un petit garçon et d’une petite fille
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?: Jarod, que fais-tu ?
Jarod : Mlle Parker, je ne vous avais pas entendue entrer…
Parker : qu’est ce que c’est ?
Jarod : c’est un cadeau pour vous
Parker : pour moi ? … c’est… très gentil… mais si mon père ou Mr Raines l’apprend…
Jarod : ils n’en sauront rien… ouvrez le… s’il vous plait
La petite fille défit le ruban du petit cadeau, et on pouvait voir apparaître quelque chose de brillant dans les doigt de la petite fille
Jarod : Sydney m’a dit que c’était de cette manière que l’on faisait pour que la personne à qui on l’offre reste pour toujours avec nous
Parker : c’est… c’est magnifique Jarod
C’était une bague composé d’une boucle de porte clé et d’un papier d’aluminium plier de telle sorte à ce que l’on croit voir une rose en guise de diamant, mais aussitôt après ce moment merveilleux, leur sourire s’effaça comme s’ils étaient synchronisés, la petite cacha la bague dans son doit et partit avec un vieux monsieur qui la tirait par le bras, tout en regardant par dessus son épaule, le petit garçon qui était tiré d’un autre côté.
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l’image s’arrêta, et il se trouva nez à nez avec un homme de presque 30 ans, qui se trouvait derrière lui, mais tellement pris par cette vidéo, Teal’c ne s’en était pas aperçu.
T : qui êtes vous ?
Jarod : et vous ?
T : on me nomme Murray
Jarod : et bien moi on m’appelle Jarod, je viens voir une femme, elle s’appelle sam.
T : je la connais. Mais le major Carter n’attend pas de visite.
Jarod : major ?… wouah ! ... écoutez, je l’ai rencontrer cette après midi au magasin, et elle m’a dit que je pouvais passer la voir si c’était nécessaire, je sais qu’il est tard…
T : attendez ici. Je vais la chercher
Teal’c partit donc en direction de la maison
T : major carter, il y a quelqu’un qui veux vous voir, il est dehors.
J : qui est-ce ?
T : l’homme que le major a rencontré aujourd’hui
D : c’est un rapide lui au moins !
(regard meurtrier)**
J : que veut-il ?
T : je l’ignore
S ; je ne serais pas longue…
Elle sortit donc de la maison et trouva Jarod sur le banc qui était sous le porche.
S : bonsoir
Jarod : je suis désolé de vous déranger en pleine nuit mais j’ai besoin de vous !
S : quel est le problème ?
Jarod : apparemment des gens savent que je suis ici, et ils veulent me nuire, mais il faut encore que je trouve l’atome responsable de la maladie qu’a contracter la petite fille, et pour ça, je pense que vous êtes meilleur que moi
S : comment le savez vous ?
Jarod : je me suis renseigné, et bien que je connaisse beaucoup de choses sur de nombreux métiers, je ne suis pas astrophysicien…ou alors ça me prendrait au moins trois jours… et je n’ai pas autant de temps
S : il m’a fallut presque 15 ans !
Jarod : je sais que ça vous semble fou, je suis désolé de vous perturber, mais il se peut que nous sauvions de nombreuses vies grâce à cette molécule… vous aurez le privilège de penser qu’au moins une fois vous aurez sauver des gens
Sam eu un sourire en coin… s’il savait le nombre de fois qu’elle avait à elle seule sauvé la terre entière…
S : ok, venez à l’intérieur… je vais vous présenter
Jarod : j’a fait la connaissance de Murray… pas très communicatif…
S : à qui le dites vous… mais on peut lui faire confiance
Ils entrèrent dans le salon, et jack était en train de se tordre les doigts dans tous les sens pour ne pas penser que Sam était juste à côté avec un autre homme qu’elle avait à peine rencontré… et en plus, sous son propre toit !
S : je voudrais vous présenter Jarod…
Jarod : en fait, je suis le Docteur Jarod Fryon
J : comme si on avait pas assez de deux scientifiques !
Jarod contempla la scène un instant de ses yeux noirs, il croisa le regard de Teal’c qui semblai très intrigué par lui, mais il n’était pas bavard…
D : bonjour, je suis le docteur Daniel Jackson
Jarod : docteur en quoi ?
D :… en pas mal de choses…
J : et moi c’est O’Neill
Jarod : tous des militaires à ce que je vois…
D : comment …
Jack (l’air pas impressionné par le sens d’observation de Jarod) : nos plaques Daniel, nos plaques…
Jack avait un ton excédé, et Sam le sentait bien, elle essaya de détendre l’atmosphère
S : le docteur Fryon est venu demander notre aide… enfin… il voudrait que j’analyse une molécule qui a tué une petite fille il y a quelques temps dans la région, il cherche les coupables.
J : le vaillant justicier quoi !
D : je pense que vous n’avez pas dit non ?
S : effectivement
J : major, on vous a ordonné de vous mettre au repos
S : mon colonel, mon temps libre m’appartient, et après tout, ce n’est pas …pareille…
J : major, dois-je vous rappeler que nous partons dans deux jours ?
S : j’aurais fini à temps, sinon je pourrait poursuivre en rentrant
J :…oh et puis faites comme bon vous semble…après tout je n’arrive jamais à vous raisonner… et ça m’ennuierait d’être le méchant petit vieux
D : voyons jack, vous n’avez que 69 ans !!!!
J : la ferme !
Pendant ce temps, Jarod s’amusait de la situation, il pouvait lire en eux comme dans un livre ouvert, et il su à cet instant qu’il pouvait leur faire confiance
Jarod : je vois que l’armée a progressé… on peut donner des ordres à ces supérieurs maintenant (dit-il en souriant à Sam)
J : c’est seulement parce que je le veux bien !
D : mais oui !
S : mais je n’abuse jamais de la situation
J : vous croyez ça ????
Après quelques rires, Jarod fut invité à s’installer sur le sofa et à raconter son histoire… enfin… celle de sa venue ici…
Jarod : et bien j’ai trouver un article parlant de cette petite fille qui vivait pas loin, Lucy Ranner, elle est morte à la suite d’une intoxication selon mes sources, mais on ne connaîtrait pas cette molécule, puis, en fouinant un peut, je me suis aperçu que ce n’était pas le seul cas dans la région, d’autres en sont mort… mais le plus surprenant, c’est que c’était à l’époque des aztèques…
D : pardon ???
Jarod : on a retrouver leur cadavre, et on a relever la même trace de cette substance sur eux… alors je pense qu’il y a des gens assez haut placés qui essayent d’introduire un virus sur la planète, et pour ça, ils en ont asperger les Aztèques, car ils ont commis une erreur, c’est que ce poison ne se présente que dans le sang, et on en a retrouver sur les ossements… ce qui est impossible…
D : … heu… jarod ? vous pouvez nous laisser une seconde ?
Jarod : vous ne me croyez pas ?
J : si… mais on aimerais parler entre nous.
Il sortit de la pièce, accompagné de Teal’c qui avait été invité à cela d’un geste de la tête de jack, permettant de faire en sorte qu’il n’écoute pas aux portes
J : vous en pensez quoi ?
S : en premier lieu j’avais penser à du Naquada… mais c’est fort improbable
J : pourquoi ?
S : il n’y en a pas sur terre
D : et si quelqu’un en avait ramener d’une autre planète… sous la domination de Meybourn ?
S : le meilleur moyen c’est d’autopsier le corps de la petite… je vais appeler le général pour qu’il ordonne son transfère au SGC
D : il faut que vous voyez cette molécule Sam… on ne sait jamais… et ce type n’a pas l’air décider de lâcher le morceau
J : il a l’air tenace
S : il veut aider, c’est tout…mon colonel
J : vous voulez me faire croire qu’un type aide son prochain comme ça… sans arrière pensée ?
S : pourquoi pas… nous le faisons bien nous !
D : non, Jack le fait pour la gloire !
J : si seulement…
S : je pense qu’on peut lui faire confiance
J :… ok…
S : merci mon colonel.
Jarod fut invité à rejoindre la conversation, et aussi à dormir sur le canapé, car il était selon lui en danger, mais il semblait préoccuper par autre chose
Allongé sur son sofa, il regardais le plafond, quand il entendis une respiration dans la pièce, il se redressa bien vite et vu Teal’c face à lui, dans l’ombre
T : le petit garçon… c’était vous n’est ce pas ?
Jarod : … comment pouvez vous le savoir ?
T : vous vous appelez pareil
Jarod : bonne réponse
T : vous étiez acteur ?
Jarod : pas vraiment…c’était ma vie… d’avant…
T : désirez vous en parler ?
Jarod : non pas vraiment, et puis vous seriez en danger après ça !
T : je ne vois pas qui pourrait me faire du mal ?
Jarod : croyez moi, ils sont tenaces…(il regarda Teal’c intensément) vous n’êtes pas d’ici…
T : effectivement, je suis du Canada
Jarod : non, votre accent ne vient pas de là bas….
T : peut importe, vous avez votre passé, et j’ai le mien…
Jarod : mais dans le présent… vous êtes seul
T : ce sont des avances ?
Jarod (riant à la remarque idiote) : elle est bien bonne celle là !!!!
T : je fait des efforts…
Jarod : peu importe…et vos amis, que font-ils ?
T : ils cherchent.
Jarod : quoi ?
T : ça dépend de qui.
Jarod : il faut vraiment poser des questions précises avec vous
T : je ne pense pas que ce soit à moi de vous parler d’eux, d’autant que je ne vous connais pas
Jarod : je ne vous connais pas non plus, mais vous me semblez être quelqu’un de très bien, je me suis aperçu ce soir que vos amis vous estiment beaucoup.
T : je leur doit tout…. Bonne nuit docteur.
Jarod : vous pouvez m’appeler Jarod
T : je ne pense pas y arriver, mais merci quand même.
*************
Le lendemain
Sam se leva assez tôt, en passant devant la cuisine, elle trouva Jack en train de préparer le petit déjeuné
S : bonjour mon colonel
J : carter ! bien dormi ?
S : parfait, et vous ?
J : pas tant que ça… en fait, je m’en voulais de vous avoir mal parlé hier soir…
S : c’est oublié… et puis je n’ai pas été très tendre non plus
J : je me suis dit " ça y est, encore des vacances à la Carter ! "
S : ce qui veut dire ?
J : qu’on va devoir travailler !
S : vous n’y êtes pas obligé
J : et vous croyez que je vais vous laisser faire ça toute seule peut-être ?
S : c’est gentil à vous
J : mais je le sens pas ce type, il a un truc qui cloche
Jarod : on parle de moi ?
S (surprise) ha …heu… Bonjour !
Jarod : et vous voudriez savoir quoi sur moi colonel O’Neill, je vous rappel que je ne sais rien sur vous non plus
J : mais c’est chez moi ici, et c’est mon major que vous allez emprunter pour vos affaires tordues !
Jarod : je sais que vous êtes très soudés, mais je vous promet que je ferais très attention
J : je serais là pour y veiller
S : je ne vois pas ce qu’on risque, si c’est juste un cas de contamination… personne n’est au courant de vos recherches
Jarod : il n’y a pas que ça… on doit… enfin…JE doit être prudent.
S : pourquoi ?
Jarod : … désolé
J : attendez, si je dois vous aider sur ce coup avec mon équipe, j’aimerais autant savoir à qui on s’attaque !
Jarod : tout ce que vous devez savoir, c’est qu’il ne faut pas raconter cette histoire à une belle brune.
J : une ex ?
Jarod : non, une amie d’enfance
J : amie ?
Jarod : c’est devenu compliquer en grandissant… ils se promènent par deux ou trois, un ancien, un plouc et une belle brune… et s’il y en a en costume noir, il faut mieux pas traîner… ils sont là pour faire le ménage
J : nous aussi on les fuit ceux là… enfin… si on parle des même
S : quel est cette organisation ?
Jarod : vous ne connaissez pas !
J : qu’en savez vous ?
Jarod : … il faut mieux qu’on aille travailler dès maintenant, le labo est ouvert que jusqu'à 15h.
S : comment fait-on pour y rentrer ?
Jarod :donnez moi dix minutes!
Ils partirent donc tous les trois vers le centre biologique qui était à 50 bornes de chez jack. Ils avaient pris la voiture de Jarod, et laissé l’autre à Daniel et Teal’c en leur laissant un petit mot pour leur réveil
********
Petit mot…
Danny, je vous laisse ma caisse, si il y a une égratignure dessus je la repeint avec votre sang… Jack
Ps : le petit dej est dans le placard de droite, à tout à l’heure… Sam
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D : charmant !
Bref, pendant ce temps, Sam et Jarod travaillaient d’arrache pied. Jack avait été envoyé sur le toit pour surveiller toute intrusion de personne suspecte dans l’immeuble, il avait eu tout le malheur du monde en laissant Sam avec ce type, mais il devait guetter. Au moment ou il pensait à ce qu’il aurait pu faire avec Sam chez lui en vacances, une voiture noire vint se garer à toute vitesse, et trois personnes en sortirent, dont une femme brune. Jack courut alors à travers les locaux de tous ces labos, et finit par trouver le bon.
J : ils arrivent…je crois…
Jarod s’approcha de la porte et regarda dans les baies vitrées, son visage se décomposa
Jarod : miss parker…
J : qui ?
Jarod: il ne faut pas qu’elle me trouve!
J : je peut m’en charger si vous voulez…
Jarod : essayez si vous voulez, mais il ne faut pas traîner ici
S : encore deux minutes et les résultats du test serons confirmés.
Jarod : elle sera là dans moins de deux minutes !
J : dites donc, elle est sacrement bien fou…Rmmm Rmmm
Jarod : je suis assez d’accord avec vous
J : j’y vais !
Jack sortit de la salle et se dirigea droit vers les trois personnages
J : bonjour, je suis le directeur de cet établissement, que puis-je faire pour vous ?
Parker : rien, écarte toi de mon chemin !
J : pardon ?
Pendant ce temps
Jarod : je vais faire diversion, essayez de finir ce test
S : on se retrouve à la voiture
Jarod passa par le fenêtre, et descendit d’un étage, il traversa la salle, et se retrouva dans le ventre du centre biologique, avec ses grandes baies vitrées, il passa de l’autre côté, et repéra ou était ses chers amis, lorsqu’il les vus, il fit passer sa tête.
Parker : Il est là !
Elle se mis à sortir son arme, mais en partant en sens inverse, elle tomba sur le coup, ainsi que ces deux amis
S : mon colonel, c’est bon !
J : pas tout à fait
S : comment … ?
J : j’ai pris un Zat avec moi… on est jamais trop prudent… venez, on prend la femme, c’est elle la plus dangereuse.
S : vous pensez que c’est une bonne idée ?
J : je veux savoir si elle est du NID ou pas.
Heureusement, ils étaient au dernier étage, et 15 h étaient passé, du coup, ils purent sortir sans vraiment de problèmes, ils arrivèrent devant la voiture de jarod, et ouvrirent la portière, il le trouvèrent assit par terre, caché sous des couvertures.
Jarod : vous voil…
J : surprise !
Jarod : qu’avez vous fait ???
J : on a des questions à poser à cette gentille personne
Jarod : non, il ne faut pas, laissez la partir
J : attendez un peu… vous voulez qu’on relâche celle qui veut votre peau dans la nature ?
Jarod : oui
J : c’est hors de question, on la ramène avec nous, et assurez vous qu’elle ne se réveille pas !
Jack jeta Miss Parker dans la voiture, et jarod la réceptionna aussi bien qu’il put, et l’installa confortablement
J : vous prenez toujours autant soin de vos ennemis ?
Jarod : c’est compliqué…
La voiture démarra en trombe, et partit vers le chalet
********
chalet O’Neill
D : vous voilà enfin !
J : on a eu un contre temps
Ils sortirent la femme de la voiture, encore sous le choc du coup reçus en plein dos
D : j’appelle ça une superbe femme pour ma part
Jarod : c’est aussi une entêtée de premier ordre.
Il mit miss Parker sur le capo de la voiture et commença à la toucher
S : Hey !!!!
Jarod sortit une arme minuscule, un 5 mm
Jarod : elle en a toujours un caché sur elle
J : pas mal !
S : elle va pas tarder à se réveiller, il vaux mieux la rentrer à l’intérieur
Ils l’attachèrent au fauteuil qui avait des accoudoirs en bois sans issue pour des liens bien serrés. Puis ils allèrent dans la cuisine
Jarod : alors, la substance ?
S :… je… je n’ai pas pu l’identifier, mais je le remettrait à ceux qui pourrons en faire quelque chose, ne vous en faites pas.
Jarod : comment ça ?
S : je ne peut pas vous en parler
Jarod : mais cette petite fille est morte à cause de ça.
S : je ne pense pas…
Jarod : comment en êtes vous si sure ?
S : c’est classé secret défense, navré, mais sachez qu’on fera tout pour que ça s’arrête.
Jarod était énerver, il ne comprenait pas ce qui pouvait lui être interdit, il se disait qu’avec tout ce qu’il savait déjà de la vie… il n’en était plus à ce niveau.
T : la femme se réveille
Ils allèrent tous dans le salon
Parker : ….aille…. Jarod ?
Jarod : Parker !
Parker: qu’est ce que tu m’as fait bon sang ?
Jarod : ne t’en occupe pas!
Parker : ils vont me retrouver et te ramener à la maison
Jarod : tu sais aussi bien que moi que ce n’est pas chez moi là bas.
Parker : mais tu dois répondre de tes actes
Jarod : je ne suis pas responsable, c’est eux
Parker : et ton père ?
Jarod : il n’a rien fait.
Parker : que compte tu faire de moi ?
Jarod ; j’hésite encore…
Parker : alors tue moi maintenant ! de toute façon, je doit être en train de me vider de mon sang
Jarod : tu n’as pas été touchée par une balle, c’est une décharge électrique.
Parker (petit sourire fatigué) : tu te perfectionnes dit moi… mais ça fait un mal de chien… en plus il doit bien faire 50 degrés ici.
Jarod : et tu en profiteras pour filer quand je vous aurait libérer !
Parker : trouve un moyen, j’étouffe !
S : elle doit avoir chaud dans ses vêtements sombres
J : je peut aller chercher des ciseaux si vous voulez !
Jarod : pourquoi pas.
Jack revins avec une paire de tenaille
Jarod : détende toi, je risque de te couper
Parker (ironique) : j’ai connu plus délicat…
Il lui enleva sa veste comme ça, ainsi que son pull d’hivers, alors qu’on est en plein été
Parker : ça va mieux !
Jarod : le problème c’est que je ne sais pas quoi faire de toi
Parker : pourquoi m’as-tu emmener ici alors ?
J : c’est moi !
Parker : de quoi je me mêle vous ? vous auriez pu me laisser là bas !
J : en principe mes propres ennemis je les laissent pas courir dans la nature, alors j’ai penser que ça ferait plaisir à Jarod…
Parker : vous comptez me tuer ?
Jarod : sûrement pas !
D : réglons ça par diplomatie
J : moi ce que j’en dit s’est qu’elle, elle aurait pas hésiter à tirer !
Jarod : ce sont les risques…
J : vous êtes quoi au juste l’un pour l’autre ?
T : ils sont mariés.
Tous : pardon ?????
Tous les visages se retournèrent sur Teal’c, et visiblement, deux jeunes gent étaient très gênés
T : ben oui, c’était elle sur la vidéo… avec vous…
Parker : de quoi il parle le géant ?
J : hey !
Jarod : il a vu un film…
Parker : lequel ?
Jarod : ton anniversaire à tes 13 ans.
Parker : ha…
Elle échangea un regard avec Jarod, puis ce cœur de marbre sembla éviter de fondre
Parker : et bien sachez cher monsieur muscle, que nous ne sommes pas mariés, on avais à peins 13 ans, et c’était un cadeau d’enfant qui apprend à vivre.
Jarod : vous pouvez nous laissez une seconde ?
Parker : j’aimerais bien mais je suis attachée !
Jarod : pas toi !
Les autres sortirent, jarod s’installa devant Parker, pendant ce temps, dans la cuisine…
D : comment vous savez ça Teal’c ?
T : j’ai vu un extrait de ce film
S : au fait pour l’échantillon, c’est bien du naquada, mais sous forme combinée au sang.
J : traduction ?
S : cette petite fille était l’hôte d’un goa’uld… maintenant, on ne sait pas ce qu’est devenu le symbiote, mais la petite est morte des suites de son manque de défense immunitaire.
D : en clair, on a un sérieux problème !
J : je ne serais pas étonné si c’était elle le goa’uld.
S : qui mon colonel ?
J : cette Parker… je la trouve bizarre
T : ils sont très attachés l’un à l’autre, mais apparemment, les années ont fait changer les choses, tout ce que je sais, c’est que sur la vidéo, c’est les yeux de deux enfants amoureux qui m’ont frapper plus que les instruments de torture qui les entouraient.
S : quels instruments ?
T : je ne sais pas major carter, des caissons… peut-être des attaches pour les membres… et d’autres que je ne sauraient décrire.
J : c’est quoi ce merdier dans lequel on a encore trouver le moyen de se fourrer !
Sam le regarda droit dans les yeux et quitta la pièce pour ce rendre dehors
D : je crois qu’elle à compris que vous le lui reprochiez
J : mais…
D : c’est ce que ELLE a compris…
Jack sortit à la recherche de Sam
J : ce n’est pas ce que je voulais dire
S : je suis désolée mon colonel d’avoir été à l’origine de ce problème
J : quel problème ?
S : ben…Ca !
J: mais non, y a pas de problème… de toute façon, il nous arrive toujours des trucs qui fait qu’on ne peut pas être tranquilles 5 minutes…
Sam devin toute rouge, elle avais interprété la phrase de Jack de la mauvaise façon, mais le fait qu’il aurait pu vouloir le dire vraiment lui donna cet éclat rouge vif
J : heu… bref… vous m’avez compris…
S : oui mon colonel
Regrettant aussitôt cette gêne, elle commençais à partir, et Jack ne fit rien pour la retenir
Jarod : moi aussi j’ai détesté ce règlement
J : pardon ?
Jarod : celui de non fraternisation
J : je ne vois pas…
Jarod : bien sur que si
J : …
Jarod : elle vous aime aussi, ne gâchez pas tout, vous avez le droit à une seconde chance
J : comment savez vous ?
Jarod : j’ai vu la photo de votre famille sur le mur, et il n’y a aucun jouet d’enfant ici… et le fait aussi que vous ayez presque 50 ans et que vous ayez toujours peur de vous engager avec cette femme
J : mais…
Jarod : oui je sais, on me le dit souvent !
Jarod souriait et jack baissa les bras, il trouvait ce type plutôt fort, alors, il n’aura pas le dernier mot
***
Pendant ce temps
Sam passait dans le salon pour rejoindre la cuisine
Parker : Hey ! la belle des champs ! j’ai soif !
S : demandez gentiment, on verra après
Parker(chuchotant pour qu’on la croie): vous ne comprenez pas, ce type est fêlé, il veut ma peau depuis longtemps déjà, il vous a utiliser pour m’avoir
S : ça m’étonnerais, il ne voulais pas qu’on vous emmène avec nous
Parker (reprenant ses griffes): mais détachez moi bon sang ! ça fait un mal de chien
S : je n’ai pas confiance en vous
Parker : n’ayez pas confiance en lui non plus alors
S : pourquoi ?
Parker : jarod est quelqu’un à qui on s’attache, mais sa place n’est pas ici
S : et elle est où sa place ?
Parker (faussement gentille) : avec docteur spook et docteur doo little !
S : très drôle
Parker : j’étais presque sérieuse
S : je peux vous poser une question ?
Parker : non
S : pourquoi lui en voulez vous. ?
Parker : ça ne vous regarde pas
S : mais vous êtes amis ?
Parker : on a du l’être… dans une autre vie
S : en tout cas je ne vois pas ce que vous lui reprochez, il a pris soin de vous pendant le voyage, il ne vous veut aucun mal
Parker : il a d’autres moyens de me faire du mal
S : pourquoi vous montrer si dure ?
Parker allait encore cracher quelque chose, mais elles furent interrompues
J : carter ! il faudrait que vous appeliez qui vous savez !
S : j’y vais mon colonel
Parker : allez toutou ! on obéit gentiment et on ferme sa gueule
Sam lui lança un regard meurtrier et partit sans rien dire, elle croisa Jarod qui se tenais dans l’embrasure de la porte et lui fit signe de ne pas s’inquiéter de ces paroles. Elle alla dans la cuisine et appela le général Hammond
S : mon général, ici Carter
H : major, le SGC vous manque tant que ça ?
S : on a un problème mon général, et c’est sérieux
H : allez y
S : on a mis la main sur le corps d’une petite fille qui possédait des restes de Naquada, elle est décédée il y a deux semaine, son corps est au compté de Freguth. J’ai toutes les raisons de croire qu’elle a été possédée par un goa’uld mon général
H : c’est grave major
S : j’ai fait les tests, et je suis certaine de ce que j’avance mon général
H : très bien…
S : je pense que le symbiote a changé d’hôte, il faut le retrouver
H : j’envoies une équipe tout de suite, avec les appareils qui détectent le naquada, ils n’auront aucun mal à le localiser.. enfin espérons, merci pour ces information major carter
S : de rien mon général
H : sinon, comment se passent vos vacances ?
S : … et bien… c’est parfais mon général, je dois vous laisser, Teal’c vient de pêcher une grosse truite…
H : ok ok … à mardi
J : alors ?
S : c’est bon, je ne lui ait dit que l’essentiel mon colonel
J : bien carter.
S : mon colonel, que va-t-on faire pour Jarod et sa mademoiselle Parker ?
J : aucune idée, il est déjà tard, ils vont rester ici pour la nuit, mais demain, on trouvera un moyen pour l’emmener loin et le laisser partir
S : que cachent-ils au juste ?
J : aucune idée, mais c’est pas clair.
Plus tard…
Tout le monde était dans le salon, chacun avait son assiette sur les genoux ou sur la table basse, l’ambiance était plus décontracté car Miss Parker n’avais pas ouvert la bouche, mais ça allais pas tarder
S : comment vous trouvez le repas ?
J : très bon ! je ne savais pas que vous saviez cuisiner
D : ça change du préchauffé et du " sous vide " habituel
S : je doit penser à donner la recette à ThéoTHOR car chez lui c’est pas très nourrissant
Parker : j’aimerais bien pouvoir manger, mais… (elle montra ses mains)
Jarod : tu m’as pas déjà fait le coup ?
Parker : ça fait 7 H que je suis là, j’ai la dalle !
Jarod posa son assiette et pris la sienne, puis lui tendis une fourchette pleine de pattes devant la bouche
Parker : arrête ça ! je suis pas un môme.
Jarod : t’as faim tu manges, t’as pas faim, tu manges pas !
Parker regarda partout autour d’elle, mais se résigna à serrer les dents
Jarod : comme tu veux, mais ça ne te mène à rien.
J : vous savez, nous on vous veux pas de mal
Parker : alors pourquoi me garder ici
Jarod : pour faire peur à mes anciens amis
J : et pour permettre à Jarod de partir
S : et à vous d’être conduite loin d’ici pour que vous n’y reveniez plus
Parker : trop tard, il ne fallait pas laisser le courrier sur la table
D : oups !
Parker : il a fait une belle gourde le simplet
D : hey !!!
J : bien dit ! j’aurais pas trouver mieux
Jarod : et pour la petite fille ?
S : on a des amis qui s’en chargent
Jarod : vous êtes sur ?
S : oui, ne vous en faites pas.
Jarod : je n’ai rien le droit de savoir c’est ça ?
J : exact
Parker : on dirait que mon cher petit caméléon n’a pas pu se fondre dans le décor cette fois ci.
D : de quoi elle parle ?
Jarod : de rien.
Parker : tes nouveaux amis ne sont pas au courant ?
Jarod : laissent les en dehors de ça, d’ailleurs, je crois qu’il le vaut mieux pour toi et ta famille
Parker : en parlant de ça… as-tu retrouver ton meurtrier de père
Jarod ne répondis pas et sortit de la pièce
J : vous savez quoi ? je ne vous aime pas
Parker : j’aime la réciprocité
S : bon, je pense qu’il est tard…
J : vous avez raison, allons y
D : bonne nuit tout le monde
Parker : je présume que je n’ai pas le droit à un lit douillet…
J : vous êtes vraiment la meilleure aux devinettes !
D : à moins qu’on, fasse un regroupement de chambre
J : hors de question que je passe la nuit avec vous Daniel
D : je parlais de …
J et S : DANIEL !
Daniel regarda Jarod et ils s’échangèrent un sourire satisfait
Jarod (souriant) : je reste sur le canapé de toute façon…
T : je peu monter la garde si vous voulez ?
Jarod : allez plutôt vous reposer, merci
T : mais je peut tenir plusieurs…
D : …heures ! mais c’est pas suffisant Teal’c…
Teal’c arqua un sourcil, il est vrai que ce n’ai pas très normal de tenir plusieurs jours sans dormir, donc il ne dit rien, et partit avec Daniel
J : tout va bien ?
Parker : si on veux
J : c’est pas à vous que je parlais
Jarod : oui ça va aller… je pense qu’on va faire ressortir pleins de vieux souvenirs…
S : bonne soirée alors, à demain
Jack laissa Sam passer devant lui dans l’escalier, tout le monde dira que c’est galant, mais pas quand il s’agit de reluquer son postérieur…
Ils se trouvaient tous les deux devant la chambre de Sam, car elle était la plus proche dans le couloir.
J : bon… ben… bonne nuit major
S : vous aussi… mon colonel
J : je suis désolé… ce n’est pas les vacances que j’espérait vous faire passer
S : à charge de revanche
J : ça veux dire que vous reviendrez ?
S : si le général me bloque l’accès de mon labo, y a de fortes chances…
J : il m’a déjà fait cette faveur une fois, il pourra bien recommencer !
S : vous le saviez…. C’était votre idée ????
J : heu…
S : j’arrive pas à y croire !
J : mais c’est pour votre bien, je suis sur que la faible lumière de votre labo est néfaste pour vos yeux, vous avez besoin de voir la vrai lumière du jour !
Sam lui souri
Il la regarde quelques secondes dans les yeux, et essaya de trouver un sujet de discussion pour ne pas avoir à se séparer d’elle maintenant. Mais les secondes s’allongèrent et il était trop troublé pour dire un truc intelligent
J : vous aimez les étoiles ?
S : à votre avis ?
J : oui, en effet… logique… ça vous tente ?
S : quoi mon colonel ?
J : ben… d’aller voir les étoiles…
S : là ? maintenant ?
J : j’ai un balcon avec une longue vue
S : … je ne sais pas si…
J : c’est l’alignement de deux planètes dans deux jours, alors on aura peut être la chance de dire bonjour à votre papa et à toute la Tok’Ra!
S (riant doucement) : ok, si vous voulez mon colonel, mais je croyais que vous ne les aimiez pas.
J : ben je les narguerais… moi je suis en vacance et pas eux !
Ils se dirigèrent vers la chambre de Jack, il ouvrit la porte et vit qu’elle hésitait à entrer, mais elle se laissa convaincre et se persuada que ce n’était peut-être pas une si mauvaise idée. Elle le regretta en voyant quelques photos de son fils et de son ex-femme, mais fit comme si elle n’y prêta pas attention, puis il ouvrit les portes fenêtre pour se rendre sur une terrasse en bois.
J : C’est pas la grande classe, mais c’est tout ce que j’ai !
Il lui tendais un bout de tronc d’arbre en guise de siège
S : ne vous en faites pas, et puis sinon il reste le sol
Bien une heure que jack et Sam regardaient le ciel, et que ce dernier lui racontait chaque histoire de chaque constellation, elle en était très impressionnée.
***
Pendant ce temps, au salon …
Jarod arrivait en se passant les mains sur le visage, vêtu d’un Tee-shirt noir trop large et d’un vieux jean de la même couleur un peu délavé.
P : t’as pas l’air frais
J : et toi !
P : écoute, laisse moi partir d’ici
J : tu sais que je ne peux pas
P : …de quoi parlais-tu en disant que l’on allait se remémorer le bon vieux temps ?
J : tu sais que je ne me sépare jamais de mon portable
P : épargne moi ça !
J : pourquoi ?
P : je n’ai pas envi…
J : …de voir combien tu as changé ?
P : je n’ai pas changé !
J : alors laisse moi te montrer un truc !
P : je ne veux pas voir ce que tu as à me montrer, je veux dormir
J : écoute moi, tu prétends vouloir venger ta mère, mais ta mère essayait de me sauver la vie… tu ne trouves pas qu’il y a un truc qui cloche ?
P : les choses évolues… et je ne suis pas ma mère
J : non, ça je sais, ta mère ne me voulais aucun mal elle se battait pour les enfants !
P : épargne moi tout ça ! tu fais voir que ce qui t’arrange de toute façon.
Alors tu vas voir ce film… et après tu me donneras ton avis
Il pris le portable et la plaça face à elle, il introduisit un disque et appuya sur une touche
***
plus haut
J : alors celle là c’est Alcyone, une de la constellation du taureau …
S : whoua…
J : quoi ?
S : je pensais juste à la tête de Daniel, je suis sur qu’il n’en connais pas autant sur les étoiles
J : je cache bien mon jeu… c’est pour mieux être impressionnant après
S : vous avez garder le suspense 5 ans
J : ça en valais le coup !
Il la regarda, et elle le savait, mais avait peur tout d’un coup de la confrontation de son regard
S : et oui, déjà 5 ans
J : c’est une longue période
S : je n’arrive pas à réaliser que nous soyons encore en vie
J : pourquoi ?
S : après tout ce que nous avons traversé… je pense que nous avons eu beaucoup de chance
J : surtout une bonne équipe, à nous tous, on est indestructible… enfin, c’est l’impression que j’en ai…
S : moi aussi
J : … carter
S : oui ?
J : est ce que un jour vous puissiez imaginer quitter le programme, je veux dire… s’il s’arrête…
S : il va s’arrêter ?
J : non, mais on ne sait jamais,… ça vous manquerait ?
S : ho que oui
J : moi aussi
S : pourquoi cette question ?
J : vous me promettez de ne pas rire ?
S : oui
J : et bien… il se trouve que mon heure tourne.. ;et que je ne suis plus tout jeune… bien que je me sente comme à mes 20 ans, je doit avoué que je suis un peu rouiller
S : vous parlez de la retraite ?
J : en effet
S : c’est étrange, mais je n’aime pas trop les changements…je ne peux pas concevoir SG1 sans vous mon colonel…
J : merci
S : de quoi,
J : d’être honnête
S : mais je ne veux pas que vous restiez si c’est pour les autres… je veux dire… que si vous ne vous en sentez plus capable, il ne faut pas prendre de risques pour vous.
J : je comprends bien…mais, ce qui me manquera le plus je crois… c’est vous
S : …
J : j’ai cet étrange impression de malaise en pensant que la vie va continuer au SGC, et que je n’en ferait plus partit… que je serais démodé, qu’on finisse par m’interdire les couloirs d’accès parce qu’on ne me connais pas, et aussi que chacun d’entre nous finissent par oublier les autres…
S : je comprends, et moi non plus je ne peut pas imaginer ma vie sans vous…il y a peut-être un moyen pour que vous restiez ?
J : attendez un peu ! j’ai pas dis que je prenait ma retraite MAINTENANT, j’ai dit que j’y pensait un peu plus sérieusement qu’à l’époque
S : alors je suis rassurée
J : je vous manquerait tant que ça ?
S : vous n’avez pas idée…
Ils se regardèrent l’espace d’une seconde avant de détourner la tête
J : et vous voyez, celle là s’est l’étoile qui servait à la construction des pyramides…
S : mon colonel…
J : et celle la…
S : mon colonel !
J: oui?
S: je pense qu’il faut qu’on parle…
******
le film s’acheva
J : alors ?
P : alors quoi ?
J : je ne t’avais pas mentit
P : jarod, ça ne prouve rien
J : mais si ça prouve tout, le truc c’est que tu refuses de l’admettre
P : écoute moi…( le ton de sa vois était étrangement doux, mais était sincère) avec tout ce que l’on me dit.. ;avec tout ce que j’apprend de nouveau chaque jour sur mon passé, je ne sais plus qui croire…
J : je te comprends, mais nous, nous sommes à la recherche de la même vérité, et tu le sais, tu sais aussi au fond de toi que je suis incapable de te faire du mal
P : mais tu représentes l’ennemi
J : on t’as dressé pour que tu me vois de cette manière
P : pas du tout !
J : alors tu veux que je te dise pourquoi ils t’ont éloigner du centre quand tu es partie en Europe ?
P : je ne vois pas le rapport
J : ton père et e triumvirat ont pensé que nous étions trop attachés l’un à l’autre, ils t’ont éloigner de ton père tout ce temps pour que tu finisses par me détester, et que nous grandissions séparément.
P : c’est ridicule, nous n’étions que des enfants
J : mais tous les deux des enfants très évolués… nous étions capable de plus de sentiment que quiconque au centre
P : mais…
J : écoute les voix…je suis sur qu’elles t’aiderons
P : qu’en sais-tu ? je ne commande pas ce genre de truc
J : essaye
Miss Parker le regarda et leva les yeux au ciel comme pour l’envoyer promener, mais il lui saisit la tête par ses deux mains, et la regarda dans les yeux
J : essaye !
P : ok…
Elle se laissa alors peu à peu aller, laissant place à ces voix, comme Sydney lui avais appris, et commença a entendre des sons un peu plus précis
P : mmmm…. Mourir.. jarod…fille… mourir…
La voyant dans un état semi conscient, Jarod la secoua et lui demanda de revenir à elle
J : j’ai compris
P : y a rien a comprendre, c’est juste des mots.
J : avant de mourir, ta mère m’avait demander une faveur
P : laquelle
J : celle de prendre soin de toi quoi qu’il arrive, et de veiller à ta vie…
P : quoi ? tu ne me dis pas tout !
J : et à ton bonheur, elle voulais qu’une fois que je sois grand et qu’elle ait réussit à me sortir du centre, que je te face quitter ce monde, et que je t’en éloigne le plus possible
P : ma mère n’a pas pu te dire ça, tu n’étais qu’un enfant
J : crois ce que tu veux, mais ta mère t’aimait, et elle m’aimait aussi à défaut de mère…
P : comment veux-tu que je te fasse confiance ?
J : tu dois avoir confiance en ta mère, c’est elle qui s’adresse a toi dans tes voix…
Jarod ferma l’ordinateur
P : non, attend ?
J : quoi ?
P : tu peux me rendre un service ? je sais que tu va avoir du mal a me croire, mais…j’ai mes raisons
J : que veux tu ?
P : des papiers
J : ???
P : pièce d’identité, fiche de paye, fiche d’état civil, tout ce que tu pourras me trouver
J : tu veux quitter le centre ?
P : je veux surtout pouvoir en être capable… si je veux partir, il me suffira d’aller chercher ses papiers
J : part maintenant !
P : je ne peut pas, j’ai encore accès aux fichiers du centre
J : mais moi aussi !
P : pardon ?
J : comment crois tu que j’étais au courant avant vous de ce qu’il se passait là bas ?
P : mais…
J : part maintenant ! c’est le seul moyen pour être en paix avec toi même, et te laisser le temps de retrouver ta mère au fond de toi.
P : jarod, fait moi une nouvelle identité s’il te plaît
J : mais tu sais aussi que j’aurais du mal à te faire confiance
P : tu seras le seul à connaître tout de ma vie, puisque tu l’auras fabriquée, alors fais comme tu veux, mais je pense que celui de nous deux qui dois le plus s’inquiéter de la franchise de l’autre c’est moi
J : ok,
Il pianota sur son ordinateur, et réécrivit une nouvelle existence pour miss Parker
******
J : parler ?
S : vous m’avez très bien comprise mon colonel
J : si vous voulez qu’on parle, je pense qu’il faut enlever le " colonel "
S : c’est tout ce qu’il me reste pour garder une…
J : …distance ?
S : oui
J : qui vous dit que c’est ce qu’il y a de mieux pour nous ?
S : nous le savons tous les deux
J : non
S : mon colonel… vous savez que nous…
J : oui je le sais, ce n’est pas la peine de me le rappeler
S : a mon avis, cette tension ne disparaîtra jamais
J : des avis extérieurs nous dirait de crever l’abcès une bonne fois pour toute et de faire un essais, mais le pentagone nous dirait bien autre chose
S : nous devons avouer aussi que cette situation nous rend malheureux tous les deux
J : pourquoi faut-il toujours que ce soit si compliqué ?
S : aucune idée mon colonel.
J : vous pensez qu’on doit mettre un terme à tout ça ?
S : à mon avis, oui… mais je n’en ai aucune envie
J : on peut faire un test
S : comment ça ?
J : embrassez moi !
S : pardon ?
J : embrassez moi je vous dit !
S : vous n’allez pas bien mon colonel ?
J : si on veux finir tout ça, il faut qu’on fasse le pas et qu’on se rende compte que ça n’en vaux pas la peine, après il n’y aura plus de regrets
S : mais si jamais ça en vaux la peine ?
J : ha oui…j’y avais pas pensé
S : il n’y a pas de solution.
J : on peut aussi prendre le taureau par les cornes.
S : expliquez vous
J : Hammond sait à quel point nous sommes attachés l’un a l’autre, mais aussi que nous sommes important pour le programme SG, je ne pense pas que l’on risque…et puis, on est pas obligé de lui en parler
Jack venait de placer son bras dans le dos de Sam afin de la rapprocher d’elle
S : vous voulez dire…qu’on se cache ?
J : ça peut être romantique pendant un bon moment
S : comme lorsque j’allais au lycée… ça peut être amusant …
Tout en parlant, ils se rapprochaient de plus en plus, jack avait les cheveux de Sam qui lui chatouillait le cou, il pouvait sentir son odeur
J : Sam… quitte à partir du programme, je veux que ce soit avec une bonne raison
S : tu as dit que tu ne partais pas maintenant
J : on ne sait jamais, tout dépendra de comment le prend notre chef
S : ..jack…
J : oui ?
S : embrasse moi !
Jack mis sa main dans le cou de Sam pour avoir sa tête face à lui, il la regarda et ils fermèrent les yeux, mais comme pour prolonger se moment, ils mirent un peut de temps à se trouver, ils se cherchaient, esquivant les avancées de l’autre, fais finissant par un baiser profond et câlin, comme ils n’en avaient jamais eu, tout leurs sens étaient aiguisés par la fraîche nuit d’été, les mains de l’autre sur leur corp étaient alors une véritable source de chaleur et de plaisir, ils se laissèrent aller, oubliant tout ce qui pouvait ce trouver autour d’eux… ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, enrouler dans une couverture au pied du lit, incapable de remonter dessus tant leur fatigué était grande…
*****
J : voilà pour ton nom c’est fait !
P : merci
J : tu es officiellement, Miss Braker, tu est née le 19 août 1971, joyeux anniversaire… j’ai pensé que ta naissance serait pas mal pour aujourd’hui ! tu es sans emplois…désolé mais ton travail ne consiste en rien dans le monde normal
P : tu n’as qu’a me mettre… dans la police
J : l’armée ça te tente pas ? tu es très axée sur les ordres !
P : non, plutôt comme inspecteur…je ne veux pas avoir a quitter mon arme, et comme c’est un travail de recherche, j’aurait tout le loisir de chercher nos mères
J : bien, tu as été mariée ?
P : non
J : je vais mettre que tu est d’origine polonaise, et que tu as vécu en internat, comme ça, tu n’a aucune attache familiale. Je vais m’occuper après de tes antécédents médicaux
P : tu les connais ?
J : bien sur
P : on ne peut pas avoir de vie privée ici !
J : non… voilà, je te rajoute une ou deux contraventions et une conduite en état d’ivresse à 19 ans, comme ça tu n’aura pas de problèmes… maintenant, tu habites…
P : en Floride !
J : je te cherche un appart… voilà, y en a un de libre… 785 Grater avenue, un petit pavillon bien situé… je me chargerait plus tard de te faire livrer les meubles nécessaires, tes nouveaux employés recevrons ton, dossier d’ici une semaine, ta carte bleu est a ton nom à la banque du cartier, tu as 30.000 dollars dessus
P : wouah ! d’où tu sors ça ?
J : j’ai garder en mémoire les numéros de code du centre, ne t’en fait pas, je le fais depuis longtemps, et ils ne remarquent rien… voilà, je pense que tout y est miss Braker !
P : ça fait bizarre
J : je sais, mais tu t’y habituera, fait juste en sorte de ne pas te faire remarquer, sinon, je te laisse mon numéro et tu n’hésites pas.
P : tu penses que c’est une solution ?
J : oui, c’est ce qu’il y a de mieux pour toi, et puis dès que je localise notre demi frère, je lui dit de passer te voir.
P : ça va être dur…changer de vie…
J : on se verra souvent, je partagerais mes recherches avec toi, on ira plus vite
P : merci encore
Jarod lui pris la main qui était toujours attachée, elle lança un regard vers ses liens et le supplia du regard
J : tu sais bien que je ne peux pas…
P : tu n’as pas confiance c’est ça ?
J : comprends moi, je veux pouvoir croire que tu es sincère et que tu vas vraiment changer de vie, mais je ne dois pas commettre d’erreur
P : tu ne peux pas m’attacher ailleurs alors, parce que là, j’ai très mal.
J : ok, je te laisse le canapé !
Il l’attacha au montant du canapé, de façon à ce qu’elle puisse s’allonger un peut, lui, il se mis sur le tapis avec une couverture. Miss Parker se pencha par dessus le canapé
P : bonne nuit jarod
J : bonne nuit Parker
******
au petit matin
J : bonjour toi…
S : laisse moi deviner, tout ceci n’est qu’un rêve, et le signal d’alarme vas bientôt me tirer de ces superbes bras ?
J : pas exactement… d’ailleurs, qui te dis que tu te débarrasseras de ces bras ?
Sam se retourna pour être face à lui
S : aille…
J : on va avoir mal au dos pendant au moins deux semaines
S : ça valais le coup
J : je pense aussi
Ils s’embrassèrent avant de descendre rejoindre les autres, mais ils s’étaient mis d’accord pour dire que tout ceci resterait entre eux pour le moment
D : alors bien dormi ?
J : oui, très bien, merci, et vous ?
Jarod : tout va bien, mais votre plancher est rudement dur !
J (regardant Sam) : oui, ça je sais !
Jarod : j’ai pris la liberté de détacher partiellement mademoiselle Parker pour ce matin
D : comment ça partiellement ?
Jarod se décolla de l’encadrement de la porte et miss Parker était attachée à son bras.
J : ça vous va bien au teint les menottes ! on vous l’a déjà dit ?
Parker : assez souvent en effet !
J : de mauvais poil dès le matin ! de toute façon, on va vous laisser sur le bord de la route.
Jarod : non, je vais l’accompagner ailleurs... ne vous en faites pas.
J : comme vous voulez.
S : nous devons partir dans une heure, nos vacances sont finit
Jarod : nous partons immédiatement, nous avons de la route a faire, merci beaucoup pour tout ce que vous avez fait pour moi
S : de rien, c’était normal
D : on se reverra peut être un de ces jours !
Jarod : au revoir colonel O’Neill (en le prenant à part), je vous avais dit que vous seriez heureux ensemble !
J : comment… ???
Jarod : c’est mon job ! Allez, au revoir vous tous !
Ils partirent vers la porte, et on l’entendis démarrer sa voiture, puis partir
D : voilà des vacances bien mouvementées
T : cet homme était bon. Mais cette femme… un peu spéciale je dirais, mais ils se sont retrouvés au bout de toutes ses années
J : comment le savez vous ?
T : j’ai vu le film colonel rappelez vous…
J : en effet… bref, on va préparer les sacs et on lève le camps bande de fainéants !
*****
quelques jours plus tard
J : … Sam… je ne savais pas que…
S : tais toi et embrasse moi !
J : à vos ordres !
S : j’adore quand tu me parles comme ça !
J : ne…t’y habitue pas trop…
Micro : SG1 est appelé en salle de Briefing, je répète, SG1 est appelé en salle de Briefing immédiatement
J : c’est pas vrai !
S : il faut y aller
J : ils vont finir par faire de nous des vrais frustrés !
Sam lui sourit pendant qu’elle se remettait en ordre, il l’embrassa furtivement avant de la laisser sortir en premier du cagibi, car après tout, c’est lui qui était en retard d’ordinaire…
****
salle de Briefing
H : bonjour à tous
D : que ce passe-t-il général ?
S : rien de grave ?
J : quelqu’un a besoin d’aide ? si c’est le cas, c’est à superman qu’il faut s’adresser !
H : non, rien de tout ça ! rassurez vous, je viens de recevoir un papier de Washington.
J : concernant les fonds ?
D : il se passe quelque chose ?
S : au sujet des recherches ?
H : mais laissez moi parler !!!!!!! … bon, ils pensent que nous manquons d’ordre mental… c’est comme cela qu’ils disent…
J : on est pas des fou !
H : ce n’est pas ce qu’ils disent, ils pensent juste qu’une aide psychiatrique pourra vous aider, un envoyer du pentagone qui est récemment au courant du projet porte des étoile s’installera à la base dès maintenant, je vous présente donc, le docteur Travis.
Le docteur Travis passa la porte
Docteur : on peut aussi m’appeler jarod…je ne suis pas contre.
FIN…..