Washington

Auteur : marge

E-Mail : marjo987@hotmail.com

Résumé: SG1 est convié à Washington pour un concret et pour une remise de médaille.

Saison : ?

Genre : J/S romance

Spoiler : aucun.

Disclaimer : les personnages ne m’appartiennent pas, je m’en sert pour vous divertir et je ne gagne pas d’argent avec !

Note de l’auteur : encore un style différent, sans la moindre action cette fois ! mais dites moi ce que vous en pensez, ça fait toujours plaisir (même si les critiques sont pas bonnes)

WASHINGTON

SGC, salle de briefing

H: SG1, je vous ai fait venir pour une nouvelle qui devrait tous vous intéressés…

J : …on va être augmentés ?

H : non…

J : on a des vacances ?

H : colonel O’Neill, me laisserez vous finir ?

J : bien…allez y on vous écoute !

H : MERCI ! donc, la raison pour laquelle vous êtes ici, c’est parce que le Président des Etats-Unis vous demande de vous présenter pendant le congrès de l’armée qui commencera ce samedi

J : et CA, ça devrai m’intéresser ???

H : oui colonel, et même si ce n’est pas le cas, faites au moins un effort pour ne pas le montrer ! Vous y serez pour une période de quatre jours, logés dans l’hôtel même du congrès au frais du président, afin de recevoir une décoration militaire pour votre carrière au sein du SGC.

D : c’est plutôt une bonne nouvelle effectivement, mais, et pour ceux qui ne sont pas militaires ?

H : vous aurez tous de même une décoration de l’armée, sauf si cela vous pose un problème ?

D : non, pas du tout, au contraire…

T : ce sera un honneur général Hammond.

S : c’est formidable !

H: votre enthousiasme me ravie major!

J : et vous dites que le président fait tout ça pour NOUS !

D : on a bien sauvé le monde un paquet de fois !

H : bien sur colonel…en plus, c’est, il me semble, le Président lui même qui vous remettra vos décorations, et il vous recevra en privé, car il tient également à s’entretenir avec vous.

J : je suis sur que 5 minutes passé à écouter les théories du major lui suffirons à jamais !

S (souriantes) : il se peut colonel, que ces informations intéresse le Président.

J : on verra bien, puisque apparemment, on a pas le choix.

H : effectivement, et vous partez dans trois heures, le temps de faire vos bagages…et inutile de vous préciser que les tenues de soirée sont exigés !

J : ça y fallais s’en douter ! hey…Teal’c, vous pourrez venir avec votre armure Serpent !

H : pour vous Teal’c, nous avons fait faire un costume, et un chapeau que bien sur vous ne quitterez pas.

J (moqueur) : j’espère que vous avez de belles robes major !

S (complice) : vous préférez que je vienne en treillis ?

H : bon, assez discuter ! allez vous préparer !

J : une dernière chose… vous êtes sur de ne pas avoir d’invasion Goa’Uld…de réplicateurs…de petits hommes vers ou autre chose comme ça ?

H : absolument colonel, vous n’avez aucun échappatoire.

Sur ce, le général sortit, laissant SG1 dans la salle de briefing.

Daniel pensait déjà aux nombreux musés qu’il pourrait visiter, notamment un sur l’Égypte ancienne, évidemment !

Teal’c se sentait honoré d’être ainsi reconnu par la tauri.

Sam espérait déjà y trouver de nombreux scientifiques comme elle, et pouvoir ainsi parler et échanger des données sur bon nombre de sujets compliqués.

Quand à jack, il semblait ne pas être aussi enthousiaste que ses collègues, et ça pouvait se sentir au son de son petit grognement.

S : mon colonel, pourquoi êtes vous si pessimiste ?

J : carter, tous ces congrès se ressembles, ils sont interminables, les repas durent des heures, et pour combler tout ça, on y rencontre tout le temps des gens que l’on veux éviter.

D : voyez le bon coté des chose Jack, ça nous changera de la base et des autres planètes…

S : Daniel à raison colonel, ça fait du bien d’être un peu chez soit, au mois ici, on ne se fera pas enlevés, torturer, juger…

J : c’est bon, j’ai compris ! bon, allons les faire nos sacs, puisque de toute façon il n’y a pas le choix.

En sortant de la salle, chacun allait à son rythme, c’est a dire que jack traînait le pied, et que les trois autres avaient finis une heure avant la fin du délais. Mais à l’heure dite (+ trois minutes pour jack) tous étaient près à partir.

Dans l’avion, tout se passa bien, Daniel dormais profondément. Teal’c, à côté de Daniel, regardait son petit écran de télé digital. Sam, lisait encore un livre de trois fois son poids sur les sciences physiques et autres complications (en nouvelle édition bien sur !) et jack, assis à côté d’elle près du hublot, essayait de voir (à tout hasard) si il n’y avait vraiment pas une flotte Goa’Uld qui traînait pas là, l’obligeant à rentrer

S : mon colonel, tous va bien se passer, j’en suis persuadée

J : qu’est ce qui vous fait dire ça ?

S : je ne sait pas, mais j’ai l’impression que ça ne sera pas du temps de perdu

J : j’aimerais pouvoir vous croire carter !

S ( avec un grand sourire) : essayez au moins alors ! et arrêtez de fixer ce hublot, sinon, les Goa’Uld vont finir par recevoir un message de vous, leur demandant d’attaquer la terre !

J : c’est un peu ce que j’espérais figurez vous !

S : pensez à autre chose…

J : euh… (trouvant une idée) vous êtes très bien en civil carter !

S (gênée) : …merci mon colonel.

J : oh mais de rien !

S : vous n’avez pas oublier votre smoking au moins ?

J : j’aurait bien voulu, mais voilà presque un ans qu’il n’a pas vu le jour, je ne pouvais pas lui faire ça !

S (se replongeant dans son bouquin) : je comprend bien …

J (comprenant que la discussion était close) : bien… bonne lecture…moi je vais rejoindre Daniel au pays des rêves !

S : bonne nuit colonel !

Au cour de la nuit, Sam lâcha son livre une seconde, pour regarder le colonel dormir à côté d’elle, il était tourné vers elle, et s’appuyait sur l’accoudoir. Mais en tournant sa tête vers lui, elle vit qu’il ne dormais pas, il la regardait… en se rendant conte qu’il n’aurait pas du, jack se tourna de l’autre côté comme un vieil ours, et Sam resta un moment à réfléchir avant de continuer son interminable roman.

Le lendemain, arrivée à l’hôtel

D : c’est magnifique !

J : bien sur Daniel que c’est magnifique, c’est un cinq étoiles

S : je passerait bien deux jours de plus ici…

J : attendez de voir comment ça va se passer au moins !

T : je suis très ému d’être reçu ainsi par votre peuple O’Neill

J : …vous verrez bien Teal’c…vous verrez …

Un Stewart les conduis jusqu'à leur chambre, ils étaient tous au dernier étage, dans l’aile Nord, d’ou on pouvait voir les gratte ciel au loin, et aussi la maison blanche. En fait, il s’agissait d’une suite, avec quatre chambres, reparties autour d’un grand salon, et au bout, deux salles de bains, avec tout le nécessaire à l’intérieur.

J : j’avoues qu’ils ont faits des effort pour nous loger !

D : ce serait possible d’avoir les mêmes chambres à la base ?

S : on peu toujours espérer

J : on en touchera un mot à Hammond en rentrant

T : à quelle heure commence le Congrès ?

J (essayant de se souvenir) : il n’est que 10h du matin… et le congrès commence à …18h !

D : bien…alors je vais commencer par aller au musé de Washington !

T : je vais rester ici pour faire ma séance de méditation, le voyage en vaisseau m’a quelque peu agiter

J : on dit un avion chez nous ! et vous carter… que faites vous ?

S : je vais me rafraîchir un peu avant d’aller voir ce qui se passe en bas, et rencontrer peu être des personnes que je connais.

J : et bien moi j’ai repéré un petit casino au rez-de-chaussée de l’hôtel…vous saurez ou me trouver !

Daniel dans son musé : mon dieu que c’est beau, mais ça fait bizarre de se dire que tout ce qui est ici n’est qu’un " masque " pour le Goa’Uld, et que la vérité est bien plus terrifiante… tous ces gens ne savent pas …

Teal’c dans la chambre : se service d’étage est surprenant, je peu demander ce que je désire, et un tauri me l’amène, ça ressemble à de l’esclavage Goa’Uld… il faut que j’en parle à O’Neill en rentrant…

Sam quelque part dans l’hôtel : comme c’est frustrant !!!! je ne peu pas parler de mon travail avec ces gens, et je ne peut pas les contredire sans preuves à l’appuis, et comment leur parler de la découverte la plus importante du monde physique : le naquada !!!

Jack au casino : si je mise sur le " deux rouge ", j’ai peut-être plus de chance que sur le " douze noir " car il est déjà….

Bref, toute l’équipe vaguait à ses occupations habituelles.

A 17h00 tous se retrouvèrent dans la suite, afin de se préparer

J : je sens vraiment que je ne vais pas aimer cette soirée

S : je vous pari le contraire

J : vous pariez quoi ?

S : je ne sait pas…ce que vous voulez !

J (la prenant au mot) : très bien…

Il alla chercher un papier et une enveloppe

D : que faites vous ?

J : j’écris le contra, que le major ce fera un plaisir de respecter lorsqu’elle aura perdu son pari.

S : je ne peu pas savoir ?

J (mettant le bout de papier dans l’enveloppe) : non, sinon, vous risqueriez de refuser.

S : de toute façon, je suis sur d’y arriver, le contra ne concerne que la soirée.

J : oui, mais vous oubliez que c’est une soirée de scientifiques !

D : nous verrons bien… il est temps de se préparer !

Jack posa l’enveloppe sur le petit bar de la suite, et Sam alla dans sa chambre, pour prendre des affaires, puis, elle s’installa dans une des deux salles de bains

D (à jack) : allez…dites moi ce que vous avez écrit

J : certainement pas !

D : même pas un petit truc à m’en dire pour me faire patienter ????

J : je vous le dirais quand vous serez sur votre lit de mort !

Ils allèrent un à un dans la salle de bain qui restait inoccupée.

18h

J: on vous attend Carter ! ça fait une heure que vous êtes enfermée là dedans !

S (à travers la porte) : j’arrive colonel !

J (à Teal’c) : elles sont pareil les femmes sur chula’c ?

A ce moment, la porte s’ouvrit, laissant passer sam. Les trois autres la regardaient comme si ils ne la connaissaient pas, elle portait une magnifique robe noire, fine, qui descendait jusqu’au talons hauts qu’elle portait. Elle avait également mis de magnifiques et discrètes boucles d’oreilles, ainsi qu’un fin collier en or.

S : je suis prête !

J : … ce…c’est pas trop tôt, on commençait à ce demander si vous alliez sortir un jour !

D : vous êtes superbe Sam !

T : Daniel Jackson dit vrai, vous êtes très élégante.

S (gêné) : merci à vous.

Un petit moment de gène général se mis en place, Daniel et Teal’c regardaient jack dans les yeux comme pour l’obliger à parler lui aussi.

J ( au deux autres) : oui… c’est bon…(à Sam) vous êtes très belle ainsi…

S : merci mon colonel, vous êtes très élégant vous aussi.

J (pour sauver la situation trop ambiguë pour lui…) : allons y, comme ça on sera plus vite repartis !

Dans l’ascenseur qui menait au hall de l’hôtel, personne n’osa dire un mot, Sam regardait ses ongles, jack regardait défiler les chiffres du cadran de l’ascenseur, Teal’c restait fixe et Daniel regardait ses pieds.

Enfin…moment de libération…la porte s’ouvrit, laissant voir de nombreuses personnes, toutes en tenues de soirée pour les dames, en uniforme de sortie pour les militaires, et en smoking pour les civils.

En sortant de l’ascenseur

J : bienvenue dans la fausse aux lion !

S (reconnaissant un ami de loin) : non, c’est pas vrai !

J : quoi…si, je vous jure que c’est…

S (le coupant, et en passant devant lui pour rejoindre son ami) : Marty !! comment vas-tu ?

Marty : Samy…ça fait si longtemps !!!

Ce " Marty " la pris dans ses bras, et la serra très fort, la soulevant même de terre.

D (à jack) : vous le connaissez vous ce " Marty "

J (ne lâchant pas Sam des yeux) : non, mais ça ne va pas tarder !

D : que voulez vous…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase car jack se dirigeait vers ce type qui lui était déjà antipathique.

Arrivé à leur hauteur

J (pour signaler sa présence) : Rmmm Rmmm !!

S (s’apercevant qu’il était juste derrière elle) : Ho… mon colonel, désolé…je vous présente le docteur Matin Droen, un astrophysicien, (à martin) martin, je te présente le colonel Jack O’Neill, mon supérieur.

Les deux hommes se serrèrent la main, mais jack avait un regard un peu méchant, tandis que l’autre était assez souriant.

M : alors c’est vous le fameux Jack O’Neill, le COLONEL Jack O’Neill !

J : oui, c’est mon nom. Alors comme ça vous connaissez Carter !?!

S : nous avons travailler ensemble sur de nombreux projet avant… l’armée de l’air.

M (à Sam) : que peu tu bien trouver à ces satellites, je me le demande tous les jours.

S (regardant jack) : je trouve mon travail passionnant !

J : oui, c’est même dur de l’arrêter parfois !

M : dans ce cas tant mieux !

J (à martin) : et vous…vous travaillez sur quoi ?

M : sur un nouveau processeur qui permettra, avec un minimum de photon chargés…

Sam esquissa un sourire en voyant que le colonel faisait comme s’il savait de quoi son interlocuteur parlais, mais il n’en captait pas un mot, et, en regardant Sam, il se dit qu’elle comprenait très bien sa situation.

S (à martin) : je pense que le colonel à bien compris, mais son domaine est tout à fait différent…

J : euh…oui… merci major.

M (changeant de sujet) : vous savez que la dernière fois que j’ai vu Sam, il y a à peu près deux mois…, elle ne m’a dis que du bien de vous !

S (gênée) : oui, enfin…on venait de faire du bon travail sur un nouveau model de satellite

J ( à Sam) : alors comme ça vous parlez de moi carter ?

M (le coupant) : que en bien je vous rassure.

J : oui… bon, ben, je vais vous laisser, j’ai… j’ai à faire !

S : à plus tard mon colonel.

Jack alla rejoindre Teal’c et Daniel au buffet.

D : je pense que vous allez facilement gagner votre pari jack !

J : je le pense aussi Daniel

T : pourquoi cela Daniel Jackson ?

D : parce que Sam à retrouver un ami à elle avec qui elle semble assez proche…

J : ça n’a aucun rapport Daniel ! il y a justes des mauvaises ondes ici !

D : oui des " ondes Marty " qui rayonne de dentifrice et d’eau de toilette !

Jack parti seul vers sa table, et s’assit.

Pendant ce temps …

M : alors c’est lui…

S : oui, comment le trouves tu ?

M : il m’a l’air parfait, très mignon ! en tout cas, il ne m’aime pas, et c’est bon signe pour toi !

S : ne dis pas de bêtises, et ne soit pas méchant avec lui, il est juste un peu agacé d’être là !

M : non, je t’assure que c’est bien moi qui le faisait enrager. Tu ne lui a pas parler de moi n’est ce pas ?

S (gêné) : non.. ;tu comprend, comment aborder un sujet ? nous ne parlons presque que travail.

M : notre amitié est importante pour nous deux, et s’il sait toute la vérité, soit il m’aime bien, soit il me fuit.

S : je pense qu’il est ouvert d’esprits.

M : alors dis lui.

S : j’attendrais le bon moment.

M : alors profite en… sa pourrait le faire bouger un peu !

S : tu oublis que c’est mon supérieur, et il ne ressent rien pour moi, je te l’ai déjà dit.

Elle lui sourit, et alla s’asseoir avec jack à la table, ou entre temps, étaient arrivés Daniel et Teal’c

D : alors Sam, qui est-ce ?

S : un très bon ami que j’ai connu avant notre projet.

D (l’air de rien en regardant jack du coin de l’œil) : juste un ami ?? il est très bien pourtant !

S : je suis sur que ce compliment lui ferait plaisir…, et pour vous répondre bien que ça ne vous regarde pas Daniel, oui, nous sommes des amis, et très proches.

A ce moment le " Marty " vint se placer derrière Sam, et mis ses mains sur ses épaules.

M (en se penchant, très près de l’oreille de Sam, mais à voie haute) : allez viens, on va danser !

Sam devient alors toute rouge, et ne savais pas trop quoi répondre, car la présence de jack la troublais complètement

J (à contre cœur) : vous n’avez pas besoin de mon autorisation major, vous êtes grande

M : allez, vient…

Elle se leva et le suivit sur la piste, jack ne les quittait pas du regard, et il se senti mal quand cet homme lui plaça sa main le long de son dos à elle.

D : vous n’avez pas peur jack ?

J : de quoi ?

D : de la perdre ?

J : Daniel, laissez moi vous dire que vous êtes exaspérant !

Sur la piste de danse

S : Daniel te trouve très bien !

M : il est très bien aussi. Et ton colonel, il ne semble vraiment pas bien ici, pourquoi ne danses tu pas avec lui ?

S : je remet ta question à un autre jour si tu veux bien, et dis moi plutôt ce que tu deviens…tu m’a beaucoup manqué.

M (en l’embrasant sur le front) : toi aussi…

J (vraiment énervé) : bon, je vais faire un tour.

La soirée continua son cour, ils eurent un bon repas. Sam appris à danser à Teal’c, et fit un joli massacre sur la piste de danse avec Daniel.

Vers minuit et quart, Teal’c monta se coucher avec Daniel, car aucun des deux ne tenaient vraiment l’alcool.

Peu après, Sam fit un petit tour dans le hall, pour prendre un peu d’air, quand elle croisa Marty et Jack en pleine discutions, d’ailleurs, elle était surprise qu’ils puissent se parler.

S : vous êtes là !

J : non, ce n’est qu’une image !

M : comment vas-tu ?

S : je vais monter me coucher.

M : tu as raison, j’avais presque oublier que demain nous enchaînons conférences sur conférences !

J (ne voulant pas se sentir exclu) : oui ! bien sur !

S (souriant à jack) : vous contez vous rendre aux séminaires mon colonel ?

Il ne répondis pas

M (à jack) : bon, et bien je suis ravis d’avoir discuter un moment avec vous, bonsoir !

J (comme presque poli) : oui…bonsoir !

M (allant vers Sam et la serrant dans ses bras) : je ne lui ai rien dis ! bonsoir toi.

S : bonsoir.

Jack et Sam restèrent seul

J : bon, on y va ?

S : je vous suit !

J (entrant dans l’ascenseur, il s’adossa contre un mur) : vous vous rappelez du paris ?

S : oui, je crois…

J (souriant) : et bien cette soirée n’était pas aussi parfaite que vous me l’aviez promis.

S (souriant) : je suis sure que vous mentez…vous faites ça pour que JE fasse le gage

Ils rirent bien ensemble, et ce fut sûrement du aux quelques coupes de champagnes échangées au cour de la soirée.

Arrivés dans la suite, Sam saisie l’enveloppe

J (la lui prenant des mains) : non, ce n’est plus la peine.

S (toujours en riant) : pourquoi cela ?

J (il se servait un verre en répondant) : laissez tombé… vous en voulez un ?

S : ma fois…oui, pourquoi pas !

Il continuèrent à boire un moment, l’ambiance était plutôt bonne, et, pendant que jack était partit dans la salle de bain, elle en profita pour prendre l’enveloppe, l’ouvrit et la lue.

J (revenant) : que faites vous carter ?

Elle ne dis rien et s’avança vers lui, c’est alors qu’il reconnu le morceau de papier

J : écoutez carter… que faites vous ???

S : j’honore ma dette envers vous !

Elle se plaça tout contre lui, et l’embrassa. La surprise le fit hésiter un instant, mais la boisson prenait le dessus, ils n’était plus vraiment maîtres de leurs actes.

Il plaça sa main sur le cou de Sam, et la fit descendre jusque dans son dos, leurs gestes étaient des plus passionnés, et des plus doux à la fois, on aurait dit que ce baiser ne s’arrêterait jamais, puis, reprenant leurs souffles…

J : et ce…Marty…. ??

S : quoi ???

J : vous et Marty ??

S : il est gay !

J (surpris) : c’est vrai ?

S : si je vous le dis !

J : dans ce cas, ma soirée n’était pas si mal que ça !

S : alors à votre tour d’honorer le pari…

Il l’embrassa encore plus fortement, entre deux respirations, puis, ne sentant plus les éléments s’enchaîner…il l’amena tant bien que mal jusque dans sa chambre…

Sur le papier laissé au sol, on pouvais lire : Embrassez moi !

Le lendemain matin, Sam fut réveillé par un énorme mal de crâne et un rayon du soleil qui lui arrivait pile dans l’œil, elle ne savait pas trop ou elle était

S : ou suis-je ? quelle heure peut-il bien être ??

En se tournant pour chercher un réveil, elle trouva jack tout contre elle…

S : Mince ! que s’est-il passé ??? ouahh ma tête…

Elle se leva difficilement en faisant en sorte que le colonel ne se réveille pas, elle ramassa ses affaire éparpillées un peu partout, mis un peu d’ordre, et sortit.

S (dans sa tête) : dieu merci personne n’est réveillé… il faut que je me prépare…que s’est-il passé…je ne me rappelle plus…. !

Elle se dépêcha, et rangea toutes les bouteilles au sol, en commençant à ce remémorer progressivement par Flashs, chaque objet lui rappela quelque chose, et elle se sentait de plus en plus mal, jusqu’au bout de papier qu’elle trouva sous une table basse.

D (qui se levait au même moment) : Ma tête !!! ha…bonjour Sam…que faites vous ?

S (prenant vite le bout de papier) : je vais partir à une conférence… vous avez trop bu hier ?

D (mettant ses paumes contre son front) : ohh que oui… je vais me recoucher je crois. A plus tard !

Sam entendis du bruit dans la chambre de jack, elle pris alors la direction de la sortie.

Jack se réveillait progressivement avec lui aussi un mal de crâne atroce, il sourit néanmoins, il venait de faire un superbe rêve, il passait la nuit avec Sam… mais à vrais dire, ce rêve, il le faisait déjà presque tous les jours, mais celui là était… avait l’air presque réel.

Sam était dans l’ascenseur, et n’arrêtait pas de tout retourner dans son esprit,

S (dans sa tête) : comment avons nous put faire ça ? que… ce n’est pas possible… comment va-t-on faire ? comment vais-je faire ? il ne faut plus reparler de ça ! il faut oublier, peut-être ne s’en rappellera-t-il plus !

La journée passa comme cela, elle se torturais la tête et ne put assister aux différents séminaires, elle était sortie prendre l’air, pendant que jack essayait de se rendormir pour refaire le même rêve.

Daniel et Teal’c étaient sortis pour visiter Washington.

Le soir ce passa sans trop d’incident, Sam se fit la plus discrète possible, et alla se coucher après une réunion interminable.

Daniel avait fait la connaissance d’une jeune physicienne et la faisait rire avec ses maladresses.

Teal’c était assis sur une chaise et n’osait pas dire à l’homme ivre qui lui parlais, qu’il voulais partir, alors il l’écoutait patiemment…

Le lendemain, c’était le fameux jour ou avait lieu l’entrevue avec le Président, tous sauf jack étaient réveillés à sept heure, et en meilleur état que la veille, car ils avaient faits attention à ne pas boire.

D : il faudrait aller le réveiller

S : allez-y Daniel.

D : non, il m’en voudrait pour le reste de ses jours

T : je vais y aller si vous voulez.

S : merci Teal’c.

Teal’c se dirigea alors vers la chambre de jack, frappa à la porte.

J ( à peine réveillé et grognant) : quoi ???

T : il va être l’heure O’Neill.

J : je me lève, c’est bon.

En se mettant debout, jack se fit mal au doit, et il s’aperçut qu’il saignait un peu. En regardant de plus près, il vit une petite boucle d’oreille brillante, coincée dans son matelas, et il la reconnue immédiatement, en ayant des flashs de plus en plus précis de la nuit passée avec Sam, cette nuit là qu’il avait pris pour un rêve !

J (dans sa tête) : ohh non… c’est pas vrais… ça c’est vraiment passé… c’est pour cela qu’elle semblais m’éviter toute la journée d’hier… mon dieu, comment ça a pu arrivé ?

T (toquant encore à la porte) : colonel O’Neill, il faut y aller !

J (encore dans ses pensées) : oui…j’arrive Teal’c, merci !

Jack sortit et croisa le regard de Sam, qui se défila au même moment

D : il serait temps que vous vous prépariez ? vous ne croyez pas ?

J : Daniel vous commencez à m’énerver dès le matin, ce n’est pas bon, mais alors pas bon du tout !

D : le président nous fait l’honneur de nous recevoir, alors il vaut mieux ne pas le faire attendre trop longtemps !

Jack lança un regard vers Sam, et la vit tournée vers la fenêtre, semblant éviter tout contact avec lui.

J (sérieux) : moui…j’y vais.

Maison Blanche - Washington 9h du matin

Secrétaire : le président vous recevra d’ici peu, veuillez patienter.

J : on n’a pas trop le choix !

D : jack… !

J : quoi ?

D : rien, laissez tombé…. (se tournant vers Sam) tout va bien Sam ? vous semblez absente alors que vous n’attendiez que cela !

S : tout va bien Daniel, merci.

Secrétaire (revenant) : le président vous attend, vous pouvez entrer…

Bureau ovale - Maison Blanche

En arrivant devant le bureau du Président, jack et Sam se mirent au garde à vous, Daniel se contentait de se tenir droit comme un écolier, et Teal’c inclina la tête.

Président : bonjour à tous, ravi de rencontrer enfin notre chère équipe SG1 !

J : monsieur le président, c’est un honneur pour nous.

Prés. : repos ! nous allons nous installer confortablement pour discuter un peu.

J : bien monsieur le président.

Prés. (les désignant) : donc, vous êtes le colonel Jack O’Neill, vous le major Samantha Carter, Daniel Jackson, et Teal’c !

J : c’est exact monsieur.

Prés. : bien, je voulais vous voir , avant tout, pour vous félicitez pour tout ce que vous faites pour notre planète, c’est remarquable.

J : il faut dire qu’on est doué pour ça !

Prés. : je sais aussi que ça doit être dur pour vous de ne pourvoir parler à personne de votre vie au SGC, et que cela doit être lourd de conséquences dans vos vies.

J : on s’y habituent

D : vous peut-être, mais pas tout le monde jack !

J : vous n’êtes pas heureux avec nous Daniel ?

D : ce n’est pas de cela que je parlais…

Prés. : votre travail est essentiel, et vous êtes tous les meilleurs dans vos domaines, et c’est pour cela que vous êtes ici.

S : nous en avons conscience monsieur, mais nous créons des alliances, qui elles aussi sont indispensables, et qui nous ont beaucoup aidées dans nos batailles.

Prés. : j’en ai conscience major Carter, et votre père en est un des piliers principal, nous le remercierons pour cela, ainsi que les autre peuples…(il cherchais es mots)

J :… les asgards, les nox…les tok’ra…, les thollan…

Prés. : effectivement, tous ceux là et les autres aussi ! donc, je vous ai fait venir pour vous dire tout ça, avant les remises de vos décorations officielles.

D : nous en sommes très touchés monsieur le Président

T : c’est un honneur pour moi d’avoir été reçu par le chef en personne de la Tauri

Prés. : je ne suis pas vraiment le chef de la terre, juste des Etats Unis ! bon, il va falloir y aller, c’est le moment.

Ils se rendirent tous dans une salle annexe de la Maison Blanche, se mirent au garde à vous, et, entouré de nombreux supérieurs hiérarchiques de l’armée de l’air, ils reçurent leurs médailles, qui avait beaucoup d’importance aux yeux de chacun. Puis, la cérémonie terminée, ils furent conduit en voiture spéciale du gouvernement, jusqu'à leur hôtel.

Il y avait une sorte de froideur dans la voiture, jack et Sam ne s’étaient pas adressés un mot, et Daniel l’avait remarqué, donc, vue les tensions mises en place, il ne préféra pas insister, et quand à Teal’c, il ne faisait rien pour sauver la situation.

Hôtel

Sam alla ranger sa médaille, et se changea pour aller ensuite voir Marty qui devait l’attendre dans le hall, de plus, elle n’avait aucune envie de passer plus de temps avec le colonel.

T : ou allez vous major Carter ?

S : je…j’ai une conférence… je doit aller voir Martin, il m’attend.

J : amusez vous bien…

Elle se contenta de baisser les yeux et de répondre " oui " furtivement de la tête, puis, elle sortie

D : que lui avez vous fait ?

J : je ne suis pas sur…

D : vous n’avez pas d’idée ?

J : si, mais je ne sait pas…

D : que s’est-il passé ?

J : ça ne vous regarde pas !

D : je disait ça comme ça…

Hall de l’hôtel

M : te voilà enfin, je ne t’ai pas vu de la journée d’hier ! ou était tu ?

S : c’est une longue histoire !

M : et ta décoration, tu l’as eu ?

S : oui, ce matin…

M : écoute, tu n’as pas l’air bien…veux tu qu’on en parle ?

S : non, c’est la fatigue…allons y !

Le soir, même endroit

M (à jack) : excusez-moi ? je peu vous parlez un instant ?

J (surprit) : moi ? oui, bien sur

Jack ne savait pas trop pourquoi, mais il n’éprouvais plus de haine envers cet homme, sans doute lié au fait qu’il se rappelais aussi que cet homme était plus porté vers les hommes que vers son major.

M : je m’inquiète pour Sam, j’ai l’impression qu’elle ne va pas très bien.

Le visage de jack s’assombrit

M : vous savez quelque chose ???

J : moi ? non ! je suis désolé…

M : écoutez, je ne l’ai jamais vue aussi mal, je pense qu’il y a quelque chose qui ne va pas, … vous êtes son amis… vous devez savoir…

J (se levant) : je vais voir ce que je peu faire… à plus tard.

M : merci !

Tout en se dirigeant vers là ou pourrait être Sam, jack se dit qu’il était temps d’avoir une petite discussion, pour faire en sorte que leurs relations ne prennent un virage à 90°, après tout, il l’aimais, il ne voulais pas que ça dure plus longtemps, mais en même temps, il s’en voulait atrocement de n’avoir pu se contrôler.

J (à Daniel) : avez-vous vu Carter ?

D : elle vient de remonter…

Jack était déjà partit.

Dans la suite

J : Carter… c’est moi… est ce que vous êtes ici ?

S : je suis ici colonel.

Elle était devant la baie vitrée du salon.

J : je…je pense qu’il faut qu’on parle…

S : oui, je pense aussi

J (la regardant) : vous avez les yeux rouges… vous avez…

S (en le coupant) : je suis juste fatiguée !

J (résigné) : bien… donc… je…j’ai trouvé ça, ce matin dans mon lit…et…

Il lui montrait la boucle d’oreille qu’il venait de sortir de sa poche.

J : … et je pense que c’est à vous.

S (la prenant) : effectivement,… écoutez mon colonel, je ne sait pas…

J : attendez, c’est moi qui vais parler si vous voulez bien, voilà, si je ne vous en ai pas parler plus tôt, c’est que je pensait que toute cette histoire était un rêve, mais, ce matin, en trouvant votre boucle, je ne savais pas comment réagir, je doit avoué que je suis mort de peur, et que je ne sait pas comment nous avons pu en arrivé là…

S : nous avions bu mon colonel

J : peu importe que nous ayons bu ou pas, notre… nuit passée ensemble à bel et bien eu lieux, et on ne peu pas changer ça !

S : vous avez raison… mais je ne veux pas que notre relation de travail en soufre

J : je ne veux pas non plus, ainsi que notre amitié…

Ce mot raisonnait mal aux oreilles de l’un comme de l’autre, ça faisait " faux "

S : mais je ne sait pas si je pourrait continuer à travailler au SGC

J : pourquoi ça ?

S : je ne sait pas si je pourrait…

J : vous ne pouvez pas partir carter, on a besoin de vous ! qui va nous sortir des trucs barbants en plein briefing, et qui rigolera à mes blagues débiles.

S (souriant à sa dernière phrase) : personne n’est irremplaçable.

J : bien sur que si… VOUS !

S : soyez sérieux colonel… et soyons honnêtes l’un pour l’autre, il n’y aura plus de complicité dans notre travail, nous allons nous fuir, et nous finirons par nous détester, … je ne le supporterais pas !

J : moi non plus… et si vous voulez que je soit honnête pour que vous restiez, je dirait une seule chose : je vous aime Sam, et vous ne pourrez jamais me faire penser autrement !

S (surprise) : comment ça ?

J : ben oui, c’est pas le genre de truc qui se commende, mais j’y peu trop rien…c’est pas à moi qu’il faut en vouloir, c’est comme ça ! je vous aime depuis longtemps déjà, et si un de nous deux doit partir, ce sera moi, et certainement pas vous !

S : colonel…vous pensez vraiment ce que vous dites ??

J : je n’ai jamais été aussi sérieux, mais si vous ne ressentez rien pour moi, essayez d’oublier tout ce que je viens de vous dire, et ce sera moins embarrassant pour moi !

Elle se leva, le regarda dans les yeux

S : comment pouvez vous douter de ce que je ressent, j’ai tout fait pour vous depuis le début, j’ai tout risqué à chaque fois que je vous ai crue perdu, je donnerait ma vie pour vous… et tout ce temps, j’ai haïs le règlement de non fraternisation!

J : que dois-je en conclure ?

Elle s’approcha encore plus, et l’embrassa, tendrement, en l’effleurant à peine de ses lèvres, craignant qu’il ne la rejette, bien qu’il lui ait fait ses aveux, elle se sentait tout de même bien, elle avait dit tout ce qu’elle ressentait.

S : je vous aime colonel

Il l’embrassa à son tour, et la regarda longuement

J : j’ai souvent rêvé de ce moment, mais jamais ça ne s’était produit de cette façon ?

S : moi aussi, mais maintenant, que va-t-on faire, pour l’armée, et le général surtout ?

J : tu oublies qu’on a un nouvel ami à la Maison Blanche, qui nous aime bien, qui nous ai redevable, et qui nous a fait des remarques sur notre vie au SGC

S : le Président ?

J : lui même, tu as tout compris, j’essaierait de l’appeler tout à l’heure, pour avoir un autre entretient.

S : si il refuse ?

J : ne pensons pas à ça ! concentrons nous là ou nous en étions !

S (souriant en l’embrassant) : à vos ordre mon colonel !

Ils restèrent une bonne partie de l’après-midi dans la chambre de jack, revivant les moments oubliés, qui refaisaient surface peu à peu, donnant encore plus de force à leurs sentiments, et, ils se mirent à somnoler, dans les bras l’un de l’autre. Sam était dans un bras de jack, et lui caressait le torse du bout de ses doit, lui, il lui caressait doucement l’épaule, et en prolongeant jusqu’au bras.

J (en chuchotant) : tu vas bien ?

S : je n’ai jamais été aussi bien.

J : je peu te poser une question ?

S : vas y

J : pourquoi es-tu partie l’autre jour, tu aurais pu rester…

S : j’ai un peu paniqué, je ne connaissait pas la réaction que tu aurait pu avoir…et puis, j’avais du mal à accepter

J : ça aurait été le plus beau des réveils !

S : on en aura peut-être l’occasion un jour… de se réveiller ensemble.

J : pas " peut-être " !

S : en parlant de ça, tu vas appeler le Président ?

Jack pris le téléphone posé à côté du lit, attrapa une carte dans son pantalon à terre, et composa le numéros, Sam avait l’air inquiète, alors pour la rassuré, il lui remis doucement sa mèche de cheveux derrière l’oreille en lui souriant.

J : allô ?… oui, bonjour, ici le colonel Jack O’Neill, je souhaiterait parler au Président… je suis venu le voir ce matin…oui… merci…

J (à Sam) : ils veulent que je patiente !

S : on ne parle pas aussi facilement avec le Président !

J (reprenant le téléphone) : oui…monsieur le Président, excusez moi de vous déranger, mais, je voulais savoir si vous pouviez me recevoir…

S (doucement) : je viens aussi !

J : euh… nous recevoir, avec le major carter, pour nous entretenir un cour instant… oui, Merci beaucoup, nous y serons !

Il raccrocha et ne dit rien

S : alors… raconte !

J (ne voulant pas faire durer le suspense plus longtemps) : il nous attend demain à 8h, je me demande si je serait réveillé ?

S : je me chargerait de ça.. ; ne t’en fait pas !

J : c’est Daniel qui va être content!

S : ça ne m’étonnerais pas, et Janet aussi !

Hall de l’hôtel 20h00

D : ou est jack ? vous ne l’auriez pas vu ?

J (sur un ton heureux) : je suis là !

T : vous allez bien O’Neill ?

J : je n’est jamais été aussi bien !

S (en arrivant à son tour) : que ce passe-t-il ?

D : oh rien, …

S : bon, je vais voir martin un instant

J (souriant) : a tout à l’heure

S (répondant à son sourire) : je revient très vite

Elle partie

D : bon maintenant, dites moi ce qui se passe !

J (naïvement) : je ne sait pas…

D : c’est bizarre mais vous n’êtes pas jaloux alors qu’elle va voir ce Marty…

J : il est gay !

D (bloqué) : en effet, ça explique tout !

J : tout quoi ?

D : il me parlais coiffure tout à l’heure ! mais pourquoi vous souriez comme ça… NON ! J’ai compris… c’est vous le Sam ! Ca y est !!!

J : peut-être…

D : si, j’en suis sur !

J : bon d’accord, mais pas un mot à qui que ce soit ! je vois le président demain pour lui en parler.

D : je suis sur qu’il va accepter

J : je l’espère, sinon, un de nous devra partir…

D : ça n’arrivera pas !

La soirée suivit son cour, jack était heureux pour une fois à un congrès ! Sam parlais avec de nombreux physiciens et accorda une danse interminable à Jack, si belle que bon nombre d’invités les regardaient de loin, tout était magique pour eux deux, pendant tout le repas, il y avait des regard complices, des gestes ambigu que seuls eux comprenaient, ils aimaient assez cette situation ou il faut garder tout ça pour soit, mais ils savaient que ça ne durerait pas, alors ils en profitèrent le temps d’une soirée.

Daniel aimait les regarder, il était heureux pour ses deux amis, et ne voulais pas leur gâcher ce moment là, c’est pourquoi il se tenait à l’écart, avec sa petite physicienne qu’il avait rencontré la veille.

Teal’c était à table et ne semblait (je dis bien : semblais) rien voir, il se contentait de manger.

La nuit fut rapide à s’installer pour tout le monde, la fatigue de ces trois derniers jour avait pris le dessus, et le lendemain, jack et Sam avaient rendez-vous à 8h.

Hôtel – 7h00

S (tout doucement) : jack ???

J: mmmmmm

S: il va être l’heure…

J : mouais… attend une seconde, je veux être sur que je ne rêve pas.

S (en l’embrassant) : et là, tu es convaincu ?

J : un petit peu… tu peux pas retenter l’expérience ?

S : pas avant que tu ne soit debout, je ne tiens pas à ce que tu soit en retard aujourd’hui !

J : t’es dure avec moi quand même !

S : c’est pour ton bien.

Ils se levèrent et s’habillèrent, puis, en sortant de la chambre, ils croisèrent Daniel qui n’était pas très surpris que tous les deux sortent de la même chambre, ce qui étonna un peu sam.

D : bonjour à vous, vous allez être en retard, dépêchez vous…

S (surprise) : Daniel ???

J : …il est au courant, il a tout deviné !

S : ah !

D : je vous ai déjà fait appeler le petit déjeuné car je ne veux pas que jack vous retarde

J : pourquoi c’est toujours moi qui ai ce mauvais rôle

S (moqueuse) : je pense qu’avec moi tu devrais vite perdre cette habitude.

J : alors n’allons pas le voir ce Président, je tient à ma réputation !

Maison Blanche - Washington

Secrétaire : le Président va vous recevoir d’ici peu, veuillez patienter.

J (à Sam) : ça doit être lourd de répéter toujours là même chose !

S : c’est son travail…

Secrétaire : vous pouvez entrer, le président vous attend.

S : ça y est, c’est le moment de vérité.

J : nous allons êtres fixé.

S : j’ai un peu peur tout de même

J : ne t’en fait pas, je suis là !

Elle sourit furtivement, avant d’entrer dans le bureau ovale, et de ses mettre au garde à vous.

Prés. : colonel O’Neill, major Carter, que me vaut cette nouvelle visite ?

J : Monsieur le Président nous sommes ici à titre personnel.

Prés. : je vous écoute…

J : vous nous avez dits vous même que la vie à la base depuis aussi longtemps, devait être dur pour nous, que tous ces décalages dans l’espaces pourrait nous déstabilisé…

Prés. : effectivement… où voulez vous en venir ?

J : nous… je veux dire le major et moi…

Prés. : je crois que j’ai compris …

J : comment cela monsieur le Président

Prés. : vous voulez être ensemble, comme un couple, mais il y a un règlement !

S (surprise) : effectivement monsieur le Président.

Prés : en fait, j’ai téléphoné à George hier, après votre coup de téléphone, je me posait des questions sur vous deux, et il a sut y répondre, vous savez que votre général est un type bien ?

J : oui, bien sur, mais vous dites que le général Hammond est au courant !

Prés. : vous croyez qu’il est devenu général parce qu’il aimait s’assoire derrière son bureau ?

S : non monsieur le président.

Prés. : alors laissez moi vos dire un truc à tous les deux, il se trouve que le général Hammond est un type bien, et qu’il tien énormément à vous deux, il a déjà essayé de se poser la question il y a un certain temps, mais apparemment vous avez mis plus de temps que prévu ! il se trouve aussi que votre programme est classé top secret, et que nous ne pouvons pas nous permettre de risquer une cour martiale pour vous deux, donc, personne ne viendra vous embêtés pour cela, l’affaire est close !

J : je… je crois que j’ai loupé un épisode…monsieur le Président.

Prés. : en clair, vous êtes libres de vos actes, et personne ne s’y opposera !

J : c’est…

S : …merveilleux

J : merci pour tout monsieur le président !

Prés. : de rien, c’est naturel ! vous pouvez disposer, je vous reverrait peut-être un jour, si vous repassez par Washington, faites moi un signe !

J : nous n’y manquerons pas.

Sam et jack se mirent au garde à vous, avant de sortir

A peine franchi le seuil de la maison blanche ils s’embrassèrent passionnément, ils pouvaient enfin dévoiler leur amour au grand jour, et ne pas subir de fâcheuses conséquences.

S : c’est génial ! tu te rend compte ?

J : ce vieux Hammond nous a bien eu !

S : il aura le droit à toute ma gratitude

J : le Président est un type plutôt sympathique

S : je pense qu’il nous aime bien !

J : bon…je pense qu’il est temps de rentrer, Daniel et Teal’c vont nous attendre !

S : mais au fait, tu n’as rien trouvé de bizarre tout à l’heure, nous deux, devant le Président…

J : tu as raison, on se serai cru à… à notre…

S : mariage !

J : je voulais pas trop dire le mot, mais je pense que c’est celui là qui convient.

S : il est un peut tôt pour parler de ça !

J (souriant) : tu as raison, attendons de voir ou cette situation va nous mener.

Hôtel

Il y avait Daniel qui attendait toujours, il avait mis Teal’c et Marty dans la confidence, et tous les trois, attendaient le retour du couple, quand ceux ci franchirent la porte

D : alors ??

J : ben…

Il se pencha et embrassa Sam devant tout ce petit monde réuni autour d’eux.

D : je pense que des félicitations s’imposes

J (libérant Sam) : pourquoi pas Daniel !

M (prenant Sam dans ses bras) : je suis heureux pour toit ma chérie !

S : merci, ça me touche beaucoup

T : toutes mes félicitations Major Carter, colonel O’Neill !

S & J : merci Teal’c

D: il faut y aller, on va louper notre avion !

J : les bagages sont près, il n’y a plus qu’a partir !

Sam se tourna vers Marty

S : merci pour tout Marty

M : non, tu as mérité tout ce qui t’arrive…

S : je parle de tout ce temps ou tu m’a réconforté et conseillé, depuis tant d’années…

M : c’était un plaisir, et j’espère qu’on ne s’arrêtera pas là !

Ils s’enlacèrent une dernière fois

J : au revoir Martin

M au revoir Jack, j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir tous ensemble !

J : bien sur …( à tous) aller tout le monde, on lève le camp

Ils étaient tous partis, et le voyage se passa très bien, tout était comme à l’allée, sauf que deux tourtereaux semblaient avoir trouvés une occupation.

SGC

H : bonjour à vous SG1, votre voyage s’est-il bien passé ?

Sam se leva et alla embrassé Hammond sur la joue

H : major ? que vous arrive-t-il ?

S : c’est pour vous remercié.

H : à ce que je vois, vous êtes passés voir le Président !

J : oui, et moi aussi je tenait à vous remercier, c’était vraiment gentil de votre part, ça m’étonne un peut tout de même !

H : vous me voyez comme un monstre colonel ! soyez heureux tous les deux, vous le méritez.

J ( parlant au général, mais regardant Sam dans les yeux) : ne vous en faites pas pour ça, je prendrait soin d’elle, je le promet.

S : moi aussi !

Il se prirent la main mutuellement, tous étaient avec le sourire aux lèvres, même Teal’c était heureux, car tous savaient que la vie au SGC ne serait plus jamais la même, et que tous auraient peut-être un jour la chance, d’assister à leur mariage, car rien n’est encore décidé !

FIN

Ps : ce fanfic est encore différent des autres que j’ai écrit, c’est un autre style, dites moi ce que vous en pensez, se serait vraiment sympas !