Titre : comment oublier

Auteur : marge

E-Mail : marjo987@hotmail.com

Genre : Jack Sam romance, petite partit dramatique…mais vous verrez

Résumé : au cours d’une mission, Sam n’arrive pas à temps à la porte, personne ne sait si elle est en vie, ou si elle à été tué par les goa’uld, qu’ils ont croisés en chemin….

Spoiler : je sait pas trop

Avertissement : les personnages y sont pas à moi, et je gagne pas de sous avec… ils sont à la série originale…………….bla bla bla……

Note de l’auteur : bon, voilà, j’ai enfin fini par le terminé, j’ai eu du mal…car je suis sensée bosser… donc, si il y a des disfonctionnements dans l’histoire, il faut zapper, c’est pas grave et ça ne changera rien à la fin ! bonne lecture !!!

Comment oublier

Sur un planète au fin fond de l’univers, SG1 est en tenue de camouflage, et observe un petit village qui semble désert

J : bon, qu’est ce qu’on attend pour aller voir ?

D : une trace de vie !

S : mon détecteur d’onde n’en discerne aucune

J : bien, alors on peu s’approcher !

Toute l’équipe s’avança peu à peu vers les habitation, tout d’un coup, ils entendent du bruit dans un grand édifice

J (regardant carter) : qu’est ce que c’est que ça ? je croyait qu’il n’y avait personne

Sam haussa les épaules

S : je ne comprend pas colonel

J : bon, … Daniel, qu’est ce que vous regardez comme ça ?

D : se bâtiment… on dirait… une église, ou un temple

J : ce qui veut dire… ???

D : je ne sait pas, entrons

J : bien, je passe devant.

Ils entrèrent tour à tour dans ce temple, et regardèrent partout autour d’eux, il y avait une dizaine d’hommes et de femmes, avec une douzaine d’enfants qui semblait être effrayé par leur présence

D : bonjour, nous ne vous voulons pas de mal, nous sommes des explorateurs pacifiques

T : colonel, ces personnes sont terrorisées

J : j’en ai bien l’impression

D : nous sommes des amis AMIS, GHJF, DESZ…

J : oui, on a compris, ils ne parlent pas notre langue

Soudain, l’un d’eux s’avança

?: si, nous parlons le même langage,… vous êtes des voyageurs ??

J : oui, on ne vous fera pas de mal, qui êtes vous ?

?: je suis Trugo, le prêtre du village

S : que ce passe-t-il ici ?

Trugo : nous nous sommes réfugié ici, car notre planète est prise d’asseau par les démons envoyés par Satan

J : ha…vous aussi vous l’appelez comme ça !

D : qui est-ce exactement, vous connaissez son mon ?

Trugo : elle se fait appelé Nirti

Tous : QUOI !

Turgo : Nirti !

J : oui, on avait compris…

S : mon colonel, c’est elle qui avait placé la bombe dans le corps de cassandra

D : et qui a tué des millions de personnes sur de nombreuses planètes.

J : oui, je m’en rappelle

Turgo (curieux) : vous la connaissez ?

J : Ohhhh oui, et on s’en passerait bien, croyez moi !

T : Daniel Jackson, venez voir par ici

Daniel se déplaça jusqu'à Teal’c qui lui montra une inscription gravée dans la pierre

D (fronçant les sourcils) : c’est bien ce que je pensait… (à Turgo) on est dans une sorte d’église ?

Turgo : ceci est un lieu de recueillement pour les fidèles, et j’en suis le prêtre

J (débilement) : j’ai faillit me faire prêtre, si je n’était pas allé à l’armé… ça m’aurait peut être plus !

D (qui ne lâchait pas son mur) : vous êtes trop hétéro pour ça Jack !

J : très drôle… donc mon cher Turgo, vous vous cachez ici pour échapper à la garde de Nirti si j’ai bien compris ?

Turgo : exactement

T : nous n’avons pas repérer de vaisseaux, ni même de trace de Goa’Uld en venant ici

Turgo : ils arrivent sans prévenir, la dernière fois, c’était il y a deux jours, ils ne vont plus tarder maintenant…(plein d’espoir) pouvez vous nous aider ?

J : Heu…

S : …bien sur !

J : oui, évidemment

S : colonel, pourquoi ne les emmènerions nous pas sur terre pour les protéger d’une éventuelle attaque

J : bonne idée major, c’est le général qui va être content (se tournant vers Teal’c) Teal’c, pouvez vous aller prévenir le SGC que nous arriverons d’ici deux heures, le temps de rassembler les affaires

Turgo : non merci, nous refusons votre aide

J : comment ça ?

Turgo : nous resterons ici, en mémoire des nôtres.

D : mais, vous avez une chance de …

Turgo : je vous en suis très reconnaissant, mais mon peuple mourra sur ses terres

J : qui vous dis que vous mourrez, ils ferons plutôt de vous des monstres, ils prendrons votre esprits…

Turgo : je suis désolé

S : mais, et les enfants, et les autres, ils n’on rien demandé, vous ne pouvez pas choisir pour eux !

J : oui, elle a raison

Turgo : n’insistez pas, c’est comme ça !

Tout d’un coup, des tirs d’armes se firent entendre

Turgo : les revoilà !

J (énervé) : il faut partir, ET TOUT DE SUITE !

T : le colonel a raison, vous ne serez pas sauver pour autant si ils vous capturent

Daniel et Sam se dirigèrent vers les habitants qui s’étaient recroquevillé dans le fond de la pièce

D : venez avec nous, vous vivrez heureux

Certains se levèrent, les autres, les plus anciens, ne voulaient pas entendre.

Un coup d’attaque vint frapper la battisse, celle ci était sur le bord de s’écrouler

S (criant pour couvrir les bruits) : colonel, il faut partir

J : pas sans tous le monde, on ne laisse personne

D (aux habitants) : venez, sinon vos enfants serons mort par votre main

D’autres encore se levèrent mais il restait encore trois personnes assises

Dehors, les coup touchaient presque toujours leur cible, la poussière volait dans tous les sens

Jack se trouvait à l’entrée de l’église, et criait de toutes ses forces pour qu’on l’entende au fond de la pièce, si bien que ses veine se dessinaient sur son cou et sur son front.

J : il faut partir maintenant !

S (de l’autre côté) : on vous rejoindre mon colonel

J : non, venez tout de suite major !

S : allez avec le premier groupe, sinon personne ne sera sauvé !

Teal’c s’approcha de jack

T : il faut partir immédiatement O’Neil

J : oui je sait, mais les autres en on encore pour une minute

T : vous ne m’avez pas compris, c’est maintenant, le major Carter sait ce qu’elle fait

J : bien (en criant) on se rejoint tous à la porte, c’est parti, on y va !

Teal’c parti en tête, et jack regarda Sam de loin, celle ci, voulant le rassuré, lui fit un sourire, puis lui hocha la tête pour lui faire signe qu’il devait vraiment partir.

Jack sortit, il regardait partout autour de lui, surveillant le moindre habitant, ne laissant personne derrière. De leur côté, Daniel et Sam on réussit à persuader les derniers.

En arrivant près de la porte, Teal’c fit les coordonnées de SG1, et partit prévenir la base de ne pas fermer l’iris, jack se cacha derrière un rocher, et, daniel faisait entrer les rescapés un à un dans la porte, fit passer deux anciens, et vit que jack regardait dans la direction opposée

D : ils arrivent, tout va bien ce passer maintenant !

Tout d’un coup sortie des buissons, apparue Sam et un autre personnage qui se trouvait dans le temple, mais, juste derrière elle, apparurent plusieurs jaffas, et dans le ciel, planait des ailles de la mort.

D : il faut y aller maintenant jack !

J : on attend Carter !

D : elle arrive, allons y !

Juste avant d’entamer les dix derniers mètres, elle fut touchée à la jambe, jack voulu la rejoindre, mais un tir leur arrivait dessus, et Daniel attrapa la veste de son ami pour le faire plongé dans le vortex.

Arrivé derrière, jack et Daniel tombèrent sur le dos, mais jack se releva vite, et attendait que son major ne franchisse la porte, mais, le vortex se rompis, le laissant seul.

Hammond arriva dans la salle d’embarquement, et passa à travers tous les nouveaux arrivants, jusqu'à retrouver Teal’c

H : que ce passe-t-il ? qu’est ce que tout cela veux dire ?

T : une attaque Goa’Uld général Hammond, nous avons fait évacué les survivants.

H : bien !… où est le colonel ?

Il vu alors jack toujours tourné vers la porte, avec Daniel près de lui qui essayait de le prendre par l’épaule pour le faire partir.

D : il ne faut pas rester là jack,… il faut trouver une solution pour aller la chercher !

J (faiblement, comme traumatisé) : elle…elle est en vie n’est ce pas ?

D : je pense…(voyant l’état de jack) OUI ! bien sur qu’elle est en vie

J : vous n’en savez rien, vous n’auriez pas du m’empêcher…

D : jack, vous…seriez mort…

Jack se retourne vers lui

J (criant) : vous n’en savez rien, et en attendant c’est elle qui est là bas !

D : Je… je ne sait pas quoi dire

J (énervé) : alors ne dites rien, surtout, ne dites rien !

H (en les coupant) : que se passe-t-il messieurs…(il regarde autour de lui) ou est le major carter ?

J (en partant) : demandez le à lui !

H (regardant Daniel) : que c’est il passé ?

D : Sam est restée là bas,… elle s’est faite touchée…

Quelques minutes plus tard, pour le briefing

H : bien, que c’est il passé exactement

J (voulant parler) : …

H :…Teal’c, je vous écoute !

T : nous avons sorti les habitants de P4X172 d’une mort certaine, amis le major Carter, qui se trouvait à l’arrière, c’est faite touchée d’après ce qu j’ai entendu, Le docteur Jackson à alors pris le colonel avec lui pour passer la porte…

Jack avait la tête dans ses avants bras, les mains jointes

J : signant son arrêt de mort

D : il fallait partir jack…on n’avait pas le choix, un tir allait nous atteindre !

J : j’aurai eu le temps d’aller la chercher

D : non, et vous le savez aussi bien que moi !

H (interrompant) : messieurs, vous avez fait ce qui fallait faire, j’en suis persuadé ! colonel, je suis certain que le docteur Jackson ne voulait pas non plus laisser le major là bas.

J (résigné) : oui… excusez moi Daniel, c’est que je suis très inquiet.

H : nous le sommes tous colonel. Maintenant, passez à l’infirmerie, après, on s’occupe de la possibilité d’un sauvetage

Tous se levèrent de la pièce, Daniel n’osa pas aller parler tout de suite à jack, il voulait attendre un peu qu’il se calme, et il faut dire, que même si il était sur d’avoir bien fait, il s’en voulait énormément.

T (sorti de nul part) : je suis navré que vous compreniez ma douleur lors de la mort de Sha’re

D : c’est vrai Teal’c, c’est exactement pareil, j’espère que jack comprendra…(se reprenant) mais, il se peux que Sam soit en vie, alors ne désespérons pas !

T : bien docteur Jackson, même si j’en …

D (avec une lueur dans les yeux) : on la retrouvera Teal’c, vous comprenez ou je vous le dit en Goa’Uld ?

T (se redressant et regardant devant lui) : j’en suis persuadé docteur Jackson

Le lendemain, tous cherchaient une tactique de sauvetage, mais le général Hammon trouvait trop risqué de retourner sur cette planète, ce qui rendait jack complètement fou. Il ne voulait plus rien faire, il appelait Thor dans le vide en espérant que ce dernier l’entende…mais rien ne se produisit, désespéré, il comptait repartir en mission pour emprunter la porte de leur destination, mais sous avis du docteur Frasier, il n’avait pas le droit de faire de nouvelles missions, jugeant son état émotionnel trop instable, alors, il errait entre le laboratoire et ses cartiers, ne sachant que faire, comme un poisson hors de l’eau, il semblai se laisser mourir

Au bout d’une semaine…

? (micro) : ouverture extérieure de la porte

Jack courait dans les couloirs, il espérait à chaque fois le retour de carter

H : qui est-ce ?

? : code d’identification Tok’Ra général !

H : ouvrez l’iris (à SG1 qui les avaient rejoints) je ne sais pas comment annoncer ça à Jacob…

Hammond entra dans la salle d’embarquement, mais, il vit arrivé deux Tok’Ra qu’il ne connaissait pas, portant de chaque côté, le major Carter, elle ne tenait pas sur ses pieds, et semblait inconsciente, on ne pouvait voir de sa tête que ses cheveux.

Jack et le reste de SG1 arriva en courant dans la salle d’embarquement

H : une équipe médicale d’urgence

J (en parlant à Sam) : carter ?… carter… vous m’entendez ???

Tok’Ra : elle est inconsciente, elle ne réagit pas.

Elle avait de multiples blessures sur le visage, et on pouvait voir à travers ses vêtements déchirés de partout, qu’elle avait des brûlures le long des côtes.

H : que c’est-il passé ?

Tok’Ra n°2 (en installant Sam sur le brancard): Nous étions en infiltration dans la base Goa’Uld de Nirti pour la surveiller, nous avons profiter d’un moment d’agitation pour la sortir de son mauvais pas

J (énervé) : que lui ont-ils fait ?

Tok’Ra : nous ne savons pas, ce n’est pas de notre affectation qu’elle dépendait

Janet (aux brancardiers) : vite, à l’infirmerie

Tout le monde la suivit elle et son équipe, Jack essayait de se rapprocher au maximum pour ne pas la perdre des yeux, il avait peur d’apprendre que les jours de Sam seraient comptés, il refusait d’envisager le pire, tout ce qu’il voulait pour l’instant, c’était être auprès d’elle.

Janet : laissez nous seuls, on va la soigner, attendez tous ici je vous donnerait des nouvelles au plus vite…(elle partit immédiatement)

J : mais…

H : colonel, calmez vous…

D : on l’a retrouvé, c’est le principal pour l’instant

J : oui, mais dans quel état !

T : le docteur Frasier fera tout pour ramener le Major carter auprès de nous.

H : Teal’c à raison, attendons maintenant !

Les deux Tok’Ra arrivèrent dans l’allée

1er : nous devons repartir maintenant, avant que notre absence ne se remarque

2ème : nous ne savons rien d’autre mais votre amie ainsi que tous les autres qui ont souffert des Goa’Uld serons vengés lorsque notre mission aura atteint son but !

H : merci à vous

1er : Selmac et Jacob ne pourrons pas venir, nous préférerions qu’ils ne soient pas au courant, eux aussi sont sur une mission très périlleuse, ils ne peuvent pas abandonner la lutte

H : nous comprenons, merci encore !

les deux Tok’Ra se penchèrent pour saluer l’équipe, et partirent vers la salle d’embarquement.

De leur côté, pendant l ‘attente qui commençait à se faire longue, personne ne tenait en place (à part Teal’c qui semblai songeur), le général et Daniel poussaient des soupirs pour faire comprendre leur inquiétude, jack faisait les cents pas sans s’éloigner de l’infirmerie au cas ou il y aurait des nouvelles.

Janet sortie enfin

Tous : alors ?

Janet : son état est stationnaire, elle à perdue beaucoup de sang, mais la perfusion va vite la guérir, les plaies sont plus ou moins superficielles, ce qui m’inquiète le plus, c’est son inconscience, elle semble durer depuis un moment, elle est en fait dans un demi cama.

J : on peu aller la voir ?

Janet : oui, enfin, un seul et pas plus d’une minute, il faut qu’elle se repose, et j’ai encore des tests à lui faire.

H (voyant le regard plein d’envi du colonel) : allez y O’Neil !

J (reconnaissant) : merci général…

Il entra aussitôt accompagné de Janet qui ne voulait pas perdre de vue sur sa patiente

Janet : je serait derrière le rideau si vous avez besoin

J : …euh…elle entendra si je lui parle un peu

Janet : probablement, allez y, mais pas longtemps…

J (la coupant tant il était pressé) :…oui oui, merci !

Il se dirigea vers Sam, elle avait les yeux fermés et semblait sereine, en s’approchant, un frisson le parcouru, comment aurait-il fait si elle n’était pas revenue, ou…dans un état bien pire ? il s’assis près d’elle et ne savait pas quoi faire. Il posa alors timidement sa main sur la sienne, et ne pu s’empêcher de faire un sourire nerveux, de cligner un peu des yeux et de détourner le regard.

J (difficilement, en chuchotant) : je suis ravi de vous revoir carter, vous nous avez… vous m’avez beaucoup manquer… je…

Il s’arrêtât de parler, aucun mot ne pouvait passer au travers de sa gorge, il se sentait si malheureux, et désespéré en même temps…trop dur à supporter, même après son vécu, car cette fois, il s’agissait de Sam…de sa Sam !

Janet (en réapparaissant ) : il va falloir y aller colonel, elle doit se reposer…

J :…oui…

Il se leva, et la regarda encore une fois, il s’approcha d’elle et l’embrassa sur le front

En se dirigeant vers la porte, Janet lui mis la main sur l’épaule

Janet : ça va aller colonel ?

J : c’est d’elle qu’il faut s’occuper, pas de moi !

Janet : vous serez indispensable à sa guérison, j’en suis persuadé, alors faites en sorte de vous reposer…

J (serrant les lèvres et regardant Sam de loin) : bien, je ferait ce que je pourrait.

Janet : je n’en doute pas

Il passa la porte et ne s’arrêtât pas devant les autre pour leurs parler.

Janet sortie à son tour

H : alors, tout va bien ?

Janet (sérieuse) : je m’inquiète pour les deux.

H : bien, nous allons vous laisser…

D : prévenez nous du moindre changement

Janet : ne vous en faites pas

Tous partirent vers la salle de repos pour Daniel et Teal’c, et vers son bureau pour le général.

Le lendemain, Janet fit appeler tous les membres de SG1 par le micro, et leurs dit de se rendre à l’infirmerie

Quelques instants plus tard, tous étaient présents et étaient nerveux quand à la raison de leur venue.

H : que se passe-t-il ?

Janet (soucieuse) : le major carter est sortie du coma il y a une heure

D : c’est génial !

Janet : en fait, elle a même ouvert les yeux, quelques instants, mais n’a rien dit, rien regardé, ni même réagit.

J : ce qui veut dire ?

Janet : je lui ai fait des scanners, il n’y a aucune réaction cérébrale.

T : est-ce grave docteur Frasier ?

Janet : si ça ne change pas très vite, ça peu le devenir

J : bien…comment on fait pour que ça arrive

Janet : il faut la faire réagir, votre aide à tous sera la bienvenue, mais elle s’est rendormie, il faut lui laisser le temps de se remettre

H : bien… nous allons suivres vos conseils

Janet baissa les yeux en partant, elle semblait vouloir partir vite, mais il remarqua également qu’elle n’avait regardé personne dans les yeux pendant toute la discutions

J (voyant Janet s’éclipser) : attendez, que nous cachez vous ?

Janet : rien…je vous le jure colonel

H : qu’est ce qui vous fait croire ça colonel ?

J (pas persuadé) : rien… c’était juste comme ça

En fait, il savait que Janet ne parlerait pas devant tout le monde, il décida d’attendre e bon moment.

Plus tard dans la journée, au SGC

Jack est partit dans les cartiers de Sam afin de prendre quelques objets à elle pour les lui déposer à l’infirmerie. Il prit une photo de famille ou était représenté ses parents , elle et son frère lorsqu’ils étaient petits, une petite autre photo de SG1 lors de la visite officielle d’un supérieur de l’Etat, il se souvenait par cœur de cette journée, elle était en tailleur, et était nerveuse comme tout à l’idée de recevoir une décoration militaire, lui, il ne pouvait pas s’empêcher de se dire que ce ne sera pas la dernière, elle avait tant de géni et de classe…

Il lui regarda aussi dans son tiroir de sa commode, et vu un journal intime, il l’effleura du bout des doits et referma vite fait, comme si il se reprochait quelque chose qu’il n’avait pas fait.

En se rendant à l’infirmerie avec son petit paquet, jack croisa Daniel

D : je vous cherchait justement, Sam c’est réveillée, Janet vous fait appeler

Il n’eu pas le temps de comprendre ce pauvre Daniel, que déjà jack était lancé vers l’infirmerie.

Janet était près du lit de Sam, et jack arrivait sur un des bords du lit, les bras encore encombrés

J : carter… ???

Janet : elle ne vous entend pas col…

Tout d’un coup, Sam tourna la tête brusquement vers jack, et sembla avoir une flamme d’horreur et de peur dans les yeux.

J : carter ?…

Janet : Sam ?

Sam se recroquevillât sur elle même, et retomba dans les pommes. Janet pris vite son pouls, et regarda les appareils branchés au bras de sam. Jack, était resté bloqué sur lui même, pourquoi avait-elle eu cette réaction en le voyant ? cette expression dans son regard l’avait tétanisé

Janet ( le sortant de ses rêves) :elle va bien, c’est apparemment un trouble d’ordre mental qui est à l’origine…

J : c’est moi !

Janet : comment pouvez vous dire ça ?

J : son attitude…(faiblement) c’est moi…

Il sortit de l’infirmerie.

Deux heures plus tard, un briefing était programmé pour parler de l’état du major carter.

Janet : il se trouve qu’en observant ses blessures, je peu faire l’hypothèse que ces brûlures sont dues à des sortes d’électrodes, placées de part et d’autre de sa tête, et de ses membres. Son état végétatif reste inexplicable…

D : a- t-on eu plus d’information grâce aux analyses

Janet : effectivement, elle avait de grave carences en à peu près toutes les substances, et en eau aussi, elle est totalement déshydratée ?

Teal’c : je pense que les Goa’Uld on remis à jour une autre forme de torture !

J : y a pire que ce qu’on a déjà subi ?

Teal’c : bien pire colonel O’Neil, ils ont arrêter ce genre de pratique lorsque une race d’aliène a reversé la technologie des Goa’Uld, en s’en servant contre eux, depuis, personne n’a plus touché à ce genre d’appareil

H : qu’est ce qui vous fait dire que c’est ce genre de technologie qui a été utilisé sur le major carter

T : c’est une supposition général, mais les marque décrites par le docteur Frasier y ressemble étrangement.

H : ces aliènes, peuvent-ils nous aidé

T : malheureusement, leur race à été détruite par…Moi

J : sympas ! avant votre reconversion, vous auriez pu réfléchir aux conséquences de vos actes !

T : je regrette profondément O’Neil

J : pas autant que moi !

Janet : quelle est cette torture Teal’c, j’ai besoin d’en savoir plus

T : ils placent des capteur sur la peau du sujet, ils plongent dans sa tête et usent de leurs plus grandes douleurs ou leurs point faible pour les faire souffrir atrocement

J (aussi cyniquement que son état le lui permettait) : charmant tout ça !

T : ils leur font ensuite vivre des scènes insupportables en les plongeants dans certaines situations, faisant en sorte que la personne soit le plus vulnérable possible

D : c’est atroce…

Janet : mon dieu, elle a du souffrir !

H : elle aura besoin de notre soutient à tous.

Après être partit de la salle de briefing, Janet se dirigea vers jack

Janet : colonel.

J : qu’y a-t-il ?

Janet : je peu vous parler un instant

J : bien sur, allons par là (il montre un petit laboratoire)

Janet : en fait, colonel, je voudrai vous demander de ne pas rendre visite au major…pour le moment en tout cas…

J : vous parlez de sa réaction de tout à l’heure ? (pour se réconforter) a vrai dire, c’est bien la première fois que je fait cet effet à une femme !

Janet : effectivement…nous avion essayé de la faire réagir, mais en vain, et dès votre arrivée, elle a eu une réaction des plus surprenante…

J (en se passant la main sur les contours de sa bouche) : je sait, …j’ai vue la peur dans ses yeux…

Janet : vous acceptez donc ?

J : évidemment, c’est pour le bien de Carter… vous me tiendrez au courant ?

Janet : bien sur, vous serez le premier averti en cas de changement.

J : merci

Il parti en ayant l’air perdu, dans les couloirs de la base, en passant sa main derrière les cheveux, il se demandait ce qui avait pu arriver à la femme qui le rendait si heureux, et se dit que pour lui épargner ça, il aurait donné sa vie.

Dans l’infirmerie, deux jours plus tard

Janet : elle se réveille…

Assistant : je vais informer SG1 si vous voulez ?

Janet : oui, merci.

(à Sam) : Sam… c’est moi, Janet… vous m’entendez ?

Sam était restée fixe, elle regardait dans le vide, le même regard vide que la dernière fois.

Janet : Sam, je sait ce que vous avez du vivre… je vous en pris, regardez moi…

Sam tourna juste la tête vers son amie, mais ne semblait pas réagir aux paroles de Janet

Janet : Sam… voilà trois jours que vous êtes revenus deP4X172, la planète dans laquelle vous étiez retenue prisonnière… vous êtes de nouveau parmis nous Sam… détendez vous, tout ira bien maintenant !

Elle lui tenait les mains, quand une larme se mis à couler le long des joues de Sam, en contournant un peu son visage, et atterri sur les draps du lit.

Janet : les autres sont dehors, voulez vous que je les fasse entrer ?

(pas de réponse)

quelqu’un frappe à la porte, Janet se leva, et alla ouvrir

Janet : ah, général…le major c’est réveillé, elle que faiblement, je pense que ça lui fera du bien de vous voir tous près d’elle

(elle regarda jack)

J : oui, j’ai compris, je vais attendre dehors !

D : pourquoi ? vous ne voulez pas la voir ?

J : disons que la dernière fois, ma présence n’a pas été très profitable…mais allez y, vous me raconterez après…pour les détails, je pense que je peu compter sur vous Daniel !

D : à tout à l’heure

Daniel posa sa main sur l’épaule de jack, puis rentra, laissant le solide colonel seul, au bord des larmes.

D : bonjour Sam ! comment allez vous ?

(toujours rien)

H : ravi que vous soyez de retour parmis nous major, vous nous avez beaucoup manqué

T : nous n’avons jamais désespéré major carter…

Sam regardait un point invisible dans le mur, et ne pleurait plus. Un silence se fit dans l’infirmerie, et on n’entendait plus que le Bip des nombreuses machines.

Janet (à Sam) : nous allons vous laisser vous reposer désormais, nous repasserons vous rendre visite.

Tous sortirent malgré eux de la pièce froide, aucun ne voulais la laisser seule, ils avaient trop peur pour elle.

J : alors ???

Janet : rien de changé colonel

D : elle m’a l’air encore très choquée

T : c’est exacte Daniel Jackson, elle m’a fait le même effet.

J : vous pensez que je pourrait la voir quand docteur Frasier ?

Janet : nous essaierons demain…elle aura repris des forces d’ici là, et peut-être va-t-elle réagir autrement.

H : tenez nous informé de son état !

Ils se dispersèrent, laissant jack et Daniel seul

J : soyez honnête Daniel, comment était-elle ?

D (hésitant) : au plus mal jack…

J : je m’en doutait ! … comme c’est frustrant de ne pas pouvoir la voir…

D : je comprend, vous êtes si attaché à elle…

J : …je ne veut pas la perdre, (se redressant) c’est un trop bon soldat !

D : dans un moment pareil jack je pensait que vous alliez être honnête, ou au moins un petit peu…

J : Daniel, votre humour ne m’a jamais fait rire, c’est bon ? vous êtes content ?j’ai été assez honnête pour vous ?

D : ce n’est pas ce que j’espérais entendre, mais je vous en veut pas trop !

J : parfait, alors allez vous occuper de vos affaires dorénavant

Daniel conta jusqu'à quatre sur ses doits et releva la tête vers Jack

D : do-ré-na-vant… quatre syllabes jack !! c’est un grand pas pour vous !

J : tirez vous d’ici avant qu’on ne vous retrouve pendu demain matin !

Daniel n’eu pas besoin qu’on le lui répète par deux fois, et s’enfonça dans les couloirs de la base. Jack, regarda une dernière fois la porte de l’infirmerie, et y posa sa main, puis partit, laissant l’empreinte de son amour.

Pendant la nuit

Janet avait veillé toute la nuit, et Sam s’était éveillée de temps à autre, et avait commencer à regarder étrangement le monde qui l’entourait, mais aucun mot ne sortait, juste quelques larmes parfois, laissant ainsi passer ses émotions.

Janet (tout bas à Sam) : Sam…écoutez, je pense avoir une idée du genre de torture qu’ils vous on fait subir… je vous ai fait des examens complémentaires, et, mis à part les nombreuses traces de coups, et de blessures, j’ai aussi,… au cour d’un examen gynécologique…constater qu’il y avait sûrement eu viol…(une pose) je sait que ça doit être dur pour vous, mais désormais, vous êtes parmis nous, il ne vous arrivera rien,… vous pouvez m’en parler, je suis votre amie, rassurez vous, personne n’est au courant ici, à part moi.

Il n’y avait que des larmes qui lui répondirent, elle ne pouvait pas l’obliger à parler, son choc traumatique à du être trop grand pensai-t-elle.

Le lendemain, 15 h, cartiers de jack

Le téléphone sonne

J (se levant difficilement) : oui…j’arrive tout de suite…merci !

Il partit en courant vers l’infirmerie, Janet l’avait appeler pour lui dire que l’état de Sam avait l’air d’aller mieux, elle voulais faire une autre tentative avec jack, car elle savait que c’était le seul à pouvoir la faire dire quelque chose, ou la faire sourire…elle se dit que peut-être, l’incident de la dernière fois n’était qu’une coïncidence.

Jack avait souffert de voir l’expression de Sam, c’est pour cela qu’il ne voulait plus l’approcher, mais, en venant d’entendre Janet lui dire que son état était amélioré, il repris espoir.

A l’infirmerie

J (passant sa tête par la porte) : …je…je peu entrer ?

Frasier : oui, venez…

Jack faisait des pas hésitants et s’approcha à deux mètres du lit… il ne se passait rien, il avança alors, jusqu'à Sam, en la regardant dans les yeux

J (pour évacuer la pression): bonjour major, comment ces vacances ont-elles débutées ?

Janet : elle…

Tout d’un coup, Sam refit son même regard que la dernière fois, en se crispant, jack s’approcha pour la rassurer, mais elle le repoussa violemment…elle se leva, tremblante, puisant dans toutes ses forces, puis cherchait partout autour d’elle, comme une issue de secours. Janet s’approcha de l’interphone

Janet : une équipe médicale à l’infirmerie, immédiatement !

Jack essayait d’aller vers Sam, mais elle se blottie dans un petit coin, entre une armoire et le mur, mis ses poing au niveau de ses yeux, et quand jack s’approcha encore, elle eu un mouvement de recul et de dégoût. Dans une voie à peine claire, elle dis :

S : Non,…..partez…ne me touchez pas !….

J : je ne vous…

Janet le pris par le bras l’empêchant de finir sa phrase, et lui montra la sortie. Pendant que l’équipe médicale arrivait, lui, il marchait à reculons,

Janet : remettez la dans son lit s’il vous plais…ne la brusquez pas surtout !

Elle sortie avec jack, mais en tenant toujours la porte d’une main, comme pour pouvoir rentrer plus vite

Janet : on en reparle tout à l’heure, ne vous en faites pas, on la soignera !

Puis elle s’engouffra dans la pièce blanche et bruyante. On pouvait encore entendre les cris de Sam à travers la porte, demandant à ce qu’on ne la touche pas, et clamant qu’on viendra la chercher, et la vengée.

Le temps sembla long à jack, avant que Janet n’entra dans la salle de briefing,

J : ne dites rien, je paris que c’est de ma faute !

Janet : votre présence semble effectivement avoir un effet sur le major… mais nous n’en savons pas plus

H : pour ce qui est de son état de santé ?

Janet : elle va bien cliniquement, elle a recommencer à parler.

D : que dis-t-elle ?

Janet : elle dis que SG1 viendra la chercher, qu’ils n’avaient pas le droit de lui faire ça… qu’elle ne dira rien… qu’ils n’on cas la tuer…

T : apparemment, le major carter a été exposée à une très forte dose de manipulation, il semble qu’elle croit qu’elle se trouve encore là bas… et que nous sommes la garde de Nirti qui essayent de la piéger

J : comment lui faire comprendre qu’il s’agis bien de nous ?

Janet : j’ai essayé de lui parler…mais pendant quelques temps, elle m’écoute et semble apaisée, puis, elle semble se dire que ce n’est pas vrai…son attitude change, et elle se retourne !

T : il faut un déclic, une information qu’elle seule connaisse, quelque chose qui n’a put être interprété par les Goa’Uld.

D : vous avez une idée Teal’c ?

T : pas la moindre Daniel Jackson

J : ouais…en fait, on n’a presque rien ! on sait jamais, peut-être que d’ici vingt ou trente ans, on aura trouver !

H : pour l’instant, colonel, restez loin de l’infirmerie ! je ne veut pas que de tels incidents se reproduisent !

J (déconcerté) : bien…mon général.

H : ROMPEZ !

Toute la base reprend son courant habituel, tout semble s’être calmé. Tout ? Non, il reste jack qui va droit à la salle de sport pour se défouler et penser à autre chose, cette histoire n’avait ni queue ni tête ! il ne pouvait pas approcher Sam sans lui faire vivre une troisième fois ce cauchemar, tous les autres semblaient vouloir attendre, mais ça ne s’arrangerait pas comme ça, ce n’est pas aussi simple !

Il réfléchissait à tout ça, et le remuait dans tous les sens, dans le vestiaire des hommes, puis, en fermant la porte de son casier, il sursauta !

J : carter ???

Elle était là, avec juste un tee-shirt et un short moulant, elle le regardait avec des yeux mauvais et méprisants, elle était cernée et présentait encore des hématomes sur les épaules, le visage et les jambes.

Toujours sans répondre, elle lui mis un coup dans la mâchoire, ce qui le fit atterrir contre le mur, au sol.

J : (se tenant la joue) : carter ??? c’est moi !! le colonel….JACK !

S (pointant une arme vers lui) : vous n’êtes pas lui !

J : je suis qui alors ? et baissez cette arme !

S : un goa’uld !

J : vous pensez que j’ai une tête a porter du serpent !

S : vous ne m’aurez pas une deuxième fois !

J (ne comprenant pas) : comment ça une deuxième fois ???

S (avec des larmes aux yeux) : c’est fini ! vous ne me toucherez plus !

J (doucement) : de quoi parlez vous…Sam… ???

S : vous vous êtes servi de lui ! mais vous ne m’aurez plus !

J (plus insistant) : expliquez moi maintenant !

S : j’ai toujours su que vous n’étiez pas lui ! il ne m’aurait jamais fait ça ! le vrai jack (avale un sanglot) n’a pas le même regard que vous !

J (comprenant enfin, il se lève) : alors regardez moi bien dans les yeux carter ! regardez bien !

S : vous n’êtes pas lui, vous m’avez trop fait croire à son retour, je n’en peu plus !

J : cart…Sam… regarde moi….et dis moi ce que tu vois !

S (levant ses yeux vers lui, après un intense regard) : ça n’est pas possible…vous ne pouvez pas être… je ne comprend plus rien…

J (s’approchant) : on… je vais vous aider Sam…n’ayez pas peur…

S : vous… vous êtes le colonel ?? LE colonel O’Neil ???

J : c’est comme ça que vous m’appelez en temps normal !

Elle avait reconnu la flamme que jack avait dans les yeux lors de leur regard passionné et plein d’émotion, aucun autre homme ne pouvait la regarder en lui donnant l’impression d’être belle et intéressante, avec un regard plein d’amour et de compréhension…

Elle laissa retomber son bras qui tenait l’arme dans sa main, et il s’approcha d’elle, lui pris le revolver délicatement, et l’enlaça… elle, elle se laissait aller, elle pleurait sans retenue, elle avait trop souffert, mais au bout d’un moment, elle se dégagea, l’air gêné, perdue, et voulant éviter le regard de son supérieur

J : qu’y a-t-il ?

S : je doit partir…

J (lui caressant la joue) : il y a quelque chose qui me va pas ?

S (se retirant très vite) : je… je doit y aller…Janet… ou est Janet ????

J (perdu) : à l’infirmerie… je pense !

Sam sortit précipitamment, et jack la suivi de loin

Sam arriva chez son amie

S : Janet ??

Janet : Sam !!! vous allez mieux ???

S : oui, je viens de me rendre compte que j’était de retour ! mais…

Janet : qu’y a-t-il ?? Sam ?? vos yeux sont rouges ! vous avez pleurer ??

S : je viens de parler avec le colonel… en fait, j’ai faillit le tuer…

Janet : quoi ?

S : je suis aller le voir avec l’intention de le tuer !

Jack, qui avait donc suivi Sam de loin, eu un choc en écoutant la conversation des deux femmes, il s’avait qu’elle avait l’air d’en avoir après lui, mais pas au point de vouloir tout faire pour le tuer !

Janet (reprenant ses esprits) : et que c’est-il passé ?

S : je me suis rendu compte que c’était bien lui…le vrai !

Janet : vous voulez dire que ces goa’uld se sont servit de son image pour vous faire parler ?

S (baisse la tête) : c’est bien ça…

Janet : et j’ai l’impression que ce n’est pas tout. Je me trompe ?

S :…non…en fait, écoutez, ce n’est pas si important que ça…

Janet : est-ce que ça a un rapport avec les traces de...viol...que j’ai trouvé sur vous après un examen complémentaire ?

S : ils se sont servit de son image…

Janet (fronçant les sourcils) : du colonel ???

S : oui…

Janet : vous dites qu’ils ont utiliser son image pour vous violer ???

Sam fondit en larme, et Janet la plaça dans ces bras pour qu’elle puisse se soulager un peu, Janet était horrifiée par ce qu’elle venait d’apprendre, et ne parlons pas d’un certain jack, cacher non loin de là !

Jack avait tout entendu, et ne savait pas quoi dire, il voulu aller les voir, mais si elle avait su qu’il les espionnaient, elle n’aurait pas pardonné, surtout sur un sujet aussi intime !

S (se remettant) : c’est la pire torture à laquelle j’ai eu droit, ils avaient beau me faire vivre des scènes atroces dans ma tête à l’aide des électrodes, comme une opération chirurgicale sans anesthésie, ou encore, lorsqu’il m’ont broyer les deux jambes avec un poids, mais, dans c’est cas là, la douleur n’était que physique, bien qu’elle soit forte, mais, un viol, c’est mental, ça me fait si mal…

Janet : comment ce fait-il que j’ai trouver des traces si cela ne se produisait que sous image magnétiques reliés au cerveau ?

S : le premier essai à bien eu lieu, il faisait noir, dans une cellule humide…mais les autres, on été fait avec les électrodes

Janet : vous n’aviez dis tout à l’heure, que vous aviez reconnu le colonel grave à son regard… comment avez vous fait s’il faisait noir ?

S ( regardant Janet droit dans les yeux) : ce n’était pas un viol jusqu'à ce que je découvre à qui j’avait à faire !

Janet (prenant les mains de Sam) : oh mon dieux !

Jack n’en pouvait plus…ce qu’il venait d’entendre dépassait tout ! elle avait été abusée au plus au point, il se dit aussi que Sam avait consenti à ce moment avec lui, autant que lui l’espérait en tout cas ! mais d’en d’autre circonstances ! c’était comme… un viol d’intimité… un acte odieux et pire que tout.

Janet : Sam… vous allez bien ?

S : vous comprenez… c’était lui ! pour moi, c’était lui et ça ne faisait aucun doute ! je me sent honteuse de vous l’avouer, et maintenant, je n’oserait plus le regarder en face… comment vais-je faire ?

Jack se décida à sortir de derrière la porte

Janet (se levant) : colonel, veillez nous laisser s’il vous …

Il ne l’écoutait pas, il se dirigea lentement vers Sam, qui elle, se retourna vers le mur

J : carter ?

J (après un moment sans réponse) : …Sam ?

S : partez…s’il vous plais…

J : hors de question ! sauf si vous me le dites dans les yeux !

S : partez ! je vous en pris…

Jack lui posa la main sur l’épaule, et elle se dégagea de ce geste trop intime après tout ce qui c’était passé dans sa vie ces derniers jours.

Janet : ça va aller Sam ??

S : oui…merci. Pouvez vous sortir également ?

Janet (en sortant) : bien sur, je suis juste là s’il y a besoin

S : merci

J : moi je ne sortirais pas…Sam… vous n’avez pas a avoir le moindre reproche à vous faire… je n’aurait pas du vous laisser là bas… vous n’auriez pas du rester et souffrir comme ça a été le cas… et …

S : ce n’est pas votre faute, j’ai été stupide…

J (finissant sa phrase de tout à l’heure) : …et je n’aurait pas du vous cacher mes sentiment tout ce temps…

S (se retournant) : co …comment ça ???

J : je vous ai toujours aimé Sam…je suis encore plus désolé que j’ai attendu tout ce temps pour vous le dire…que vous ayez vécu toutes ces choses bien trop dures pour vous…

S (se reprenant en main) : je suis forte mon colonel…

J : pour ça j’en suis sure, j’en ai encore mal à la mâchoire !!!

Elle sourit en baissant un peu la tête

S : je suis désolé…mon colonel

J : je vous laisserait le temps qu’il vous faudra pour vous reprendre Sam, et quand vous voudrez parlez, je serait là, pour m’expliquer aussi…sur ce que je viens de vous dire…

S : je suis prête… de toute façon, il n’y a pas grand chose à dire… à part peu être que je ressent la même chose pour vous !

J (surpris) : c’est vrai ça ???

S : je n’est jamais été aussi sérieuse ! …mais…

J : je sait que ça ne doit pas être facile pour vous.

S : vous comprenez, j’ai encore cette image de…dans ma tête

J : oui, bien sur…je vous ai dis que je vous laisserai le temps que vous voudrez.

S : merci.

J : tout le plaisir est pour moi !

Ils se trouvaient tout deux gênés, sans savoir quoi dire, c’est alors, que Sam, prenant son courage à deux mais, se dirigea vers lui, s’arrêtât lorsqu’elle était tout contre lui, lui prit le visage dans les main pour le forcer à le regarder, comme pour vérifier qu’il était LUI.

Après un léger sourire de sa part, elle l’embrassa timidement, et délicatement, mettant à moitié sa lèvre supérieur contre la lèvre inférieure de jack, et peu à peu, elle se laissa aller à ce plaisir qu’elle trouvait étonnement plus fort qu’il ne l’avais jamais été, même jusque dans ses rêves les plus intimes.

Lui, ne se retenait pas non plus, il passa sa main dans les cheveux de sa partenaire, et descendis l’autre dans le creux de sa hanche, lui aussi se dit à ce moment précis, que jamais il n’avait eu pareille émotion, et pareil frisson.

Un frisson qui d’ailleurs semblait électrique, et qui possédait les deux cops sous son contrôle.

L’étreinte se relâcha alors, à cour de souffle.

J : il ne t’as pas fallu beaucoup de temps, j’aurai pensé que c’était plus long

S : il faut vaincre ses démons si on ne veux pas qu’ils nous poursuives, et je veut me libérer de cette histoire, bien que je sache qu’elle ne me quittera pas.

J : j’aime assez ce raisonnement… mais … tu te sent bien ??

S : oui, j’aurait pensé que ça allait être plus dur, mais c’est une thérapie qui fonctionne bien…

J (en lui caressant le dos): je pense que le docteur Frasier devrai te prescrire ce genre de cure !

S ; je lui en toucherais un mot !

J (sourire malicieux): si on reprenait ou on en était ???

S : on en était ou déjà ???

J : quelque part par là…

Il l’enlaça encore plus tendrement, ils se donnaient mutuellement à l’autre, aussi fortement qu’on le peu quand deux êtres se sont attendus quatre années, quatre longues années de frustrations.

Pendant ce temps

Salle de briefing

H : que pensez vous qu’il soit arriver au major carter

D : je n’en ai pas la moindre idée, mais sa rémission semble en bonne voie bien que d "’après le docteur Frasier que j’ai croisé tout à l’heure, Sam ait tentée de tué jack

T : ils s’explique dorénavant

H : oui ben j’espère qu’il ne s’expliquerons pas trop car je vais avoir du mal à expliquer ça à mes supérieurs

D : faites leurs une fleur…après ce qu’ils ont vécus !

H : de toute façon, je n’ai pas le choix, ce sont mes meilleurs éléments

D : c’est sympas pour nous !

H : vous comprenez ce que je veut dire Docteur Jackson !

T : moi je n’ait pas compris !!!

D : c’était sans importance Teal’c.

Janet entra

H : docteur Frasier ! comment se portent-ils ?

Janet : j’ai vu par les stores de l’infirmerie que leur discussion était en bon chemin général

D : même si ils ne doivent pas échanger grands mots…

Janet : en effet ! (moqueuse) mon général…comment acceptez vous le choc ?

H : vous parlez d’un choc vous ? moi je dirait que ça ressemblait au plus long film que je n’ai jamais vue de ma vie, en connaissant déjà la fin !

D : vous savez général, je ne pense pas que ça va s’arrêter là…ils ont de longues années devant eux.

Tous étaient si passionnés par leur discussion, qu’ils ne virent pas jack et Sam arriver main dans la main.

J : Rumm Rumm

Tous se retournèrent

H : colonel ! major !

J : vous parliez de nous à l’instant ?

D : pas du tout, on se disait que…

J (le coupant) : peu importe Daniel… je ne vous laisserait pas gâcher ma journée par une explication, surtout si elle est de vous.

S : en fait, on a quelque chose à vous dire…

Hammond s’assit dans son fauteuil, et voulait faire ressortire un peu de sa sévérité, Daniel et Janet avaient un grand sourire aux lèvres, et Teal’c ne bougeait pas…

H : que ce passe-t-il ?

J : et bien voilà…le major et moi… nous voulons être ensemble…

S (reprenant) : c’est à dire…ENSELBLE quoi !

H (essayant de garder son sérieux du mieux qu’il pouvait): je ne comprend pas ??!!

J : ne faites pas le gamin ! vous avez très bien compris !

H : compris que vous voulez être avec le major carter, bien ! vous êtes déjà ensemble dans la même équipe !

S : plus proche que ça général…

J : plutôt comme CA

Il posa sa main sur l’encadrement de la porte, et pencha Sam qui se retrouva dos au mur, puis, il l’embrassa devant tous le monde.

Dans la salle, c’était le silence complet, mis à part quelques poufs de rire, c’est alors que jack relâcha son étreinte

H : hhaaaa… vous parliez de ce genre de promiscuité…celle qui est interdite, par il me semble, votre supérieur, et que vous affichez pleinement dans mon bureau

J : comme si vous ne vous en doutiez pas !

H ( son visage changea et devin rayonnant) : en effet, j’avait même eu l’accord du président, et de l’architecte des armées pour vous faire des cartiers communs, le jour ou vous l’auriez souhaité !

S (écarquillant les yeux) : général ! vous avez vraiment fait tout ça ?

H : ben…oui…je me suis dis que vous en auriez besoin un jour, et ce genre de paperasse, c’est long !

Sam avança vers le général et l’embrassa sur le front

J : Heyy, pas touche !

H : major ! je suis votre général !

S : et accessoirement notre amis à tous !

Hammond fut très touché ; et, tous se mirent à féliciter le nouveau couple, à se rembourser les paris qu’ils avaient fait depuis pas mal de temps, mais… pendant ce temps, d’un bout à l’autre de la pièce, deux jeunes tourtereaux n’écoutaient rien de se qui se disait, et se regardait droit dans les yeux. Et justement, ces yeux là leurs avaient sauvés la vie, en y trouvant, tout l’amour qu’ils recherchaient depuis longtemps.

THE END…

Ps : n’oubliez pas de m’envoyer un petit message pour me donner vos impression sur ce fanfic, et sur les autres aussi si vous voulez ! bref, à+ tard pour de nouvelles petites histoires