cour martiale

Auteur : marge

e-mail : marjo987@hotmail.com

genre : cross over romance

résumé : cross over entre Stargate SG1 et JAG, tout commence par un retour de mission des plus attendus...

disclaimer : les personnages ne m’appartiennent pas, ils sont à leurs séries respectif….

Note de l’auteur : c’est mon premier cross over, et je sait que tout le monde n’aime pas forcément, donc vous êtes pas obligés de le lire… j’ai essayer de rester le plus proche possible de l’esprits de ces deux séries. Si vous pouviez me dire ce que vous pensez de cette histoire, ce serai vraiment gentil à vous.

autre note : ce ff est un peu long, il prend du temps à lire, je suis désolée, mais je n'aime pas trop faire des suite... après je sais plus ou j'en suis sinon!

pour les lettres pour les nom, c'est J --> jack S--> Sam D--> Daniel H --> Harm M--> Mac (c'est tou bête quoi !!!)

Cour martiale

Salle de briefing

H : je suis fier de vous SG1, ainsi que le président qui vous félicite pour votre dernière mission

J : c’est trop d’honneur !

D : nous le méritons bien !

S : nous avons fait ce que nous avions à faire général !

H : mais cette fois, vous nous avez bien sortit d’affaire, on vous pensaient même perdus cet deux dernières semaines, et voilà que vous réapparaissez en nous ayant débarrassés une bonne fois pour toute d’Apophis !

J : pour Apophis, c’était aussi un plaisir personnel !

H : vous faite honneur à notre pays !

D : faites attention on va finir par avoir la grosse tête !

T : je suis fiers de combattre à vos côté, aujourd’hui est un jour spécial pour la Tauri, et aussi pour mon peuple et tous ceux qui sont opprimés par les Goa’Uld.

J : bien dit !

D : on peut fêtez ça !

H : si vous voulez, mais vous ne pourrez pas sortir de la base, vos analyses ne sont pas toutes revenue du laboratoire.

J : pas grave, après deux semaines de calvaires, je suis assez content de rester ici !

S : pour ma part, ça ne me pose pas de problème !

D : vous vous joignez à nous général ?

H : non, je vous remercie, je vous laisse tous les quatre, j’ai beaucoup de paperasse qui m’attend.

J : la joie d’être un général !

H : comme vous dites colonel !

S : il est déjà tard, le mess est fermé à cette heure ci !

H : je vous laisse, je m’y met maintenant, Rompez ! et encore bravo !

Le général Hammond sorti, laissant SG1 dans la salle de Briefing.

J : on peu aller dans mes cartiers !

D : pourquoi ?

J : j ’ai à boire !

S (souriant) : le gén,éral aurait été ravi de l’apprendre…

J : je ne vous le fait pas dire !

D : alors OK on y va !

T : pour ma part, je ne bois pas O’Neil !

J : j’ai aussi des jus de fruits, pour qui me prenez vous ?

L’équipe se dirigea vers les cartiers de jack, heureux de pouvoir enfin décompresser, mais bien qu’a bout de force, ils voulaient mettre un terme à ces durs moments qu’ils avaient passés.

Sam s’assit sur le lit, contre le mur, Daniel pris le fauteuil, et Teal’c une chaise droite… Jack allais dans sa réserve personnelle prendre quelques bouteilles, et les mis sur une table

D : c’est malin, on sait ou vous cacher vos secrets maintenant !

J : je vais donc tous vous tuer à ma fin de la soirée, j "’y suis désormais obligé !

Il servi un verre à chacun, et s’assis sur le sol et s’adossa au mur.

La soirée était assez bonne enfant, et chacun racontait les moments qui les avaient marquez au cour de cette mission, même Teal’c parlait volontiers et donna ses impressions, ils rirent un bon, moment, mais la discutions qui était assez vive au début fit place à la fatigue et à l’alcool, jack et Daniel parlaient lentement en cherchant leurs mots pendant dix bonnes minutes à chaque fois, si bien que Sam, qui n’avait pas dormie de ces deux derniers jours à cause d’une bombe qu’elle à due fabriquer dans des matériaux inconnus, commençait à s’endormir sans s’en rendre compte. Elle s’était endormie à moitié assise à moitié allongée.

D : elle dort ?

J : sans doute, elle doit vraiment manquer de sommeil.

D : elle n’a pas dormie depuis… wouha… super longtemps !

J : et vous vous êtes plus ivre qu’une bouteille de vodka !

D : même pas vrai !

T : je vais porter le major Carter jusqu'à sa chambre…

J : pas la peine, vous allez la réveiller.

D : alors je vais me coucher, je veux pas l’empêcher de dormir… bonne nuit Jack !

T : je viens avec vous docteur Jackson, vous n’avez pas l’air très en état de retrouver votre chemin

Daniel se tourna vers Teal’c et lui mis la main sur l’épaule

D : vous êtes un ami Teal’c !

Jack pouffait de rire en voyant l’air ahuri de son amis qui avait trop levé le coude, et se leva à son tour pour refermer la porte derrière eux.

Il se passa le mains sur les yeux car ils commençaient à lui brûler et à se fermer tous seul, et en les rouvrant, il vit Sam allongée sur son lit, ce qui lui fit arrêter de penser à tout autre chose.

Il s’approcha d’elle et lui enleva ses chaussure et sa veste très délicatement pour ne pas la réveiller, mais elle dormais à point fermé. Il l’installa confortablement pour éviter les courbature le lendemain matin, et s’arrêta un instant une fois qu’il eu fini. Il la regardait dormir, il la trouvait plus belle que jamais.

Des souvenir d’eux en mission commençaient à faire surface, une fois, elle avait craquée, les nerfs avaient lâchés, mais pour ne pas le montrer, elle s’était éloignée, et c’est en allant la chercher pour manger, qu’il la vue sous un arbre, tapant du poins dans la terre humide, elle pleurait et ne semblai pas pouvoir s’arrêter. Il s’était approcher sans faire de bruit pour ne pas qu’elle tente de partir par fierté, et la pris dans ses bras, sans lui parler, il se contentait d’être la présence qui la réconfortait, et elle avait cessé de pleuré, elle allais mieux et s’était ce qu’il voulais, il ne pouvait pas le mettre mal à l’aise et lui faire des reproches, d’ailleurs, il n’avait pas à en faire, elle avait endurer tant de choses. Ce moment était à eux, et rien qu’a eux, ils n’en avaient parler à personne, pas même entre eux, mais ils savaient que ce geste d’affection, resterai pour toujours dans leurs mémoires.

Il la regardait toujours et lui remis une mèche de cheveux délicatement derrière l’oreille, puis, ne voulant pas enlever sa main, il caressa son visage. Avant de se lever pour rejoindre son fauteuil, il l’embrassa légèrement sur le front pendant deux interminables secondes, elle avait un peu remuer à ce contact, et il se recula, et s’assit sur le fauteuil, face à elle, puis la rejoignis dans les bras de Morphée.

Le lendemain,

TOC TOC TOC

H : entrez !

Un homme d’une quarantaine d’année entra dans le bureau du général Hammond.

Homme : je suis l’agent Dereck envoyé par le président des Etats Unis !

H : que me vaux cette visite agent Dereck ?

Agent D : je suis venu pour une visite officielle, et plus particulièrement pour féliciter l’équipe SG1 de son travail !

H : c’est le président qui vous envois ?

Agent D : exacte.

H : je vais faire appeler les membre de SG1, mais ils doivent encore dormir à l’heure qu’il est !

Agent D : ne vous dérangez pas, je suis assez pressé, je vais aller les voir directement.

H : mais je ne sait pas vraiment dans quel état ils sont, ils ont fêter leur victoire hier si vous voyer ce que je veux dire !

Agent D : ne vous en faites pas, je connaît bien ce genre de rituel, c’est tout à fait normal, mais je suis vraiment pressé, et je vais donc aller les voir dès maintenant, ils pourrons se recoucher après.

H : comme vous voulez, je vais vous faire guider par un sergent !

Agent D : merci et au revoir général Hammond.

L’agent D était dans les couloir et se dirigeait vers les cartiers du colonel, il commencerait par le chef de l’équipe, ce qui était normal.

Sergent : c’es ici monsieur.

Agent D : merci

TOC TOC TOC

Personne ne répondis, il insista alors un peu plus

TOC TOC TOC TOC

Il entendis quelqu’un venir à la porte, et vit la poignée se tourner, c’est Sam qui apparue de derrière la porte

S (à peine réveillée) : chut…, vous allez réveiller le colonel O’Neil !

Agent D (énervé): qui êtes vous ?

S : je suis le major Carter, et vous ?

Agent D (qui venait de changer de couleur) : je suis l’homme qui va vous assigner à comparaître dans les prochains jours !

S : quoi ????

Agent D : vous connaissez le code militaire major ! il est le même pour tous !

S : je ne comprend pas !

Agent D : le rapprochement de deux officiers ne doit pas avoir lieu il me semble ?

S (comprenant) : mais…non, ce n’est pas ce que vous croyez !!!!

Agen,t D (en partant) : je ne fait que constater major !

S : non, attendez, je vous dit que vous vous trompez !!!!

Il était partit, et Sam sentit que quelqu’un bougeait derrière elle.

J : arrêtez de crier comme ça major !

S : mon colonel, on a un problème !

J : je m’en fout des problèmes, j’en ai assez eu ces derniers temps !

S : mon colonel, il y a un homme qui viens de passer !

J : et bien la prochaine fois il prendra rendez vous !

S : il m’a trouver ici et en a tiré des conclusions hâtives !

J : comme quoi ?

S : mon colonel, vous écoutez ce que je vous dit ???

J : NANNNNN

S : et bien si on trouve pas vite une idée, on va tous les deux en cour martiale !

J (émergeant) : quoi ???

S : je viens de vous expliquer qu’un homme à frapper à la porte, comme vous dormiez je suis aller ouvrir, et qu’il s’est mis à ma crier dessus en me disant qu’il allais nous assigner à comparaître !

J : oh non…
S : et bien si !

J : comment on fait ?

S : aucune idée, mais je pense qu’il faut aller voir le général !

J : si…si vous le dites !

Il se leva du fauteuil, et se rhabilla un peu pour avoir l’air présentable, Sam mit ses chaussures et sa veste, puis se passa ses mains dans ses cheveux pour avoir l’air moins endormie

TOC TOC TOC

H : entrez !

J : mon général, on a un problème !

H : déjà réveillé…?? vous avez une salle mine tous les deux !

S : mon général, on a un réel problème…

H : je vous écoute.

J : y a un type qui est venu ce matin…

H : l’agent Dereck, oui, je sais, il est là pour vous féliciter pour votre mission.

S : j’en ai pas eu cette impression mon général !

H : que voulez vous dire par là major ?

J : il se trouve que le major Carter c’est endormie dans mes cartiers hier, et c’est elle qui a été ouvrir la porte étant donné que je dormais encore.

H : pardon ????

S : ce… ce n’est pas ce que vous croyez, je me suis endormie pendant la soirée, et à mon réveil, le colonel était dans un fauteuil.

H (après un instant de réflexion) : j’apprécie votre honnêteté, et d’être venu me trouver immédiatement, mais sachez que sinon, j’aurais eu du mal à vous croire !

J : pardon ?

H : je passerais quelques coups de fils, et je verrais ce que je peu faire.

J : merci général !

H : je vous doit bien, ça Jack !

J : oui, c’est assez vrai !

S : pardon ?

H : rien, laissez major… je vous feraient appeler pour vous tenir au courant. Rompez, j’ai des coups de fils à passer !

Il sortirent tous les deux du bureau, en espérant qu’Hammond puisse faire quelque chose.

Le regard de Jack croisa celui de Sam

S : je suis désolée mon colonel…

J : ce n’est pas votre faute !

S : je n’aurais pas due m’endormir dans votre lit…

J : et j’aurais du accepter que Teal’c vous raccompagne !

S : vous n’auriez pas eu à refuser si je ne m’étais pas endormie.

J : je vous dit que c’est pas votre fautes ! c’est ce type, il peu pas réfléchir avant de parler ?

S : que va-t-il se passer ?

J : dans le meilleur des cas, rien, mais dans le pire, on passera en cour martiale, et on se fera virer !

S : pour un malentendu ?

J : j’ai pas dit que ça allait arriver ! j’ai juste dit que c’était le pire scénario…

S : espérons qu’on en arrive pas jusque là…

J : oui…

Ils partirent tous deux dans des directions différentes, regagnant chacun ses cartiers, ils prirent une douche, puis se rendirent tous à 15 h à l’infirmerie pour les résultat des tests qui ne révélèrent rien de particulier. C’est là qu’il apprirent à leurs amis ce qui c’était passé, Daniel Janet et Teal’c en étaient désolés, et si il n’avaient pas vue Sam dormir, ils n’auraient rien crus de cette histoire eux non plus, et auraient pensés qu’il s’étaient passé quelque chose entre eux, s’était si évident à leurs yeux.

Micro : " le colonel O’Neil et le major Carter sont prier de ce rendre dans le bureau du général Hammond immédiatement, je répète, le colonel O’Neil et le Major Carter sont priés de ce rendre dans le bureau du général Hammond immédiatement ! "

J : c’est bon, on a compris, on arrive

D : bonne chance !

Janet : j’espère que tout ce passera bien !

S : merci, on vous tien au courant !

Bureau du général Hammond

H : bon, assaillez vous !

J : c’est si mauvais que ça ?

H : j’ai deux mauvaises et deux bonnes nouvelles.

J : commencez par les mauvaises…

H : … vous passerez en cour martiale !

J : et m…. !!!!!

S : quelle est l’autre ?

H : cette cour martiale commencera dès après-demain.

J : si tôt ?

H : oui, je suis moi même étonné, mais c’est le cas !

J : et les bonnes nouvelles ?

H : j’ai réussi à faire en sorte que vous soyez défendus par les meilleurs ; un amis à moi, l’amiral Chegwidden…

J : un amiral ??? mais c’est la NAVY ça !

H : c’est un très bon ami à moi, et j’ai eu une dérogation, le manquement à ce règlement est les même pour toute l’armée, que ce soit de l’Air Force, ou la NAVY.

J : et il pourra nous aider ?

H : il met ses deux meilleurs éléments sur votre dossier, ils vous attendent dès demain à 9 h, vous partiez dès ce soir, car c’est à Falls Church, en Virginie.

J : si loin ?

H : ils ne peuvent pas venir ici à ce que je sache colonel !

S : et l’autre bonne nouvelle mon général ?

H : j’y viens… j’ai réussi à convaincre le Président, que vous n’auriez pas de peine allant jusqu’au revois définitif, vous êtes sur un projet top secret, et il ne veux pas prendre de risque avec ses meilleur élément !

J : c’est gentil ça !

S : jusqu'à combien risquons nous ?

H : un renvois de un mois non rémunéré !

J : et bien c’est pas si grave alors !

H : mais ceci sera écrit à vie sur votre dossier et sur vos états de service.

J : en ce qui me concerne, mon dossier est déjà bien rempli ! (il se tourne vers Sam) ne vous en faites pas major, ça n’enlève en rien dans la crédibilité ce genre de truc !

S : c’est déjà bien que nous ayons de bon avocats, et que, au maximum nous ayons une peine pas si importante, je vous remercie mon général !

J : moi aussi, c’est sympas !

H : vous me remercierez quand vous serez sortis d’affaire, pour l’instant, c’est à vous de convaincre tout le monde de votre innocence !

J : à quelle heure partons nous ?

H : dans une heure, vous emmenez le docteur Jackson avec vous, il pourra confirmer votre version colonel. Vous logerez à l’hôtel qui se trouve près du cartier général du JAG.

S : nous allons nous préparez mon général si vous le permettez ?

H : à bientôt, et tenez moi informés !

Il sortirent du bureau et allèrent rapporter leur discussion à leur amis, Daniel, Sam et Jack allèrent préparer leurs affaires, et ils partirent à l’heure prévue. Arrivés à l’aéroport de Virginie, il montèrent dans un taxi et dormirent à l’hôtel, ils étaient encore très fatigués de ces derniers temps, et ne tardèrent pas à plonger dans un profond sommeil.

Le lendemain matin

Cartier général du JAG

Falls Church – virginie

TOC TOC TOC

Amiral : entrez !

Harm et Mac entrèrent dans le bureau, et se mirent au garde à vous.

Amiral : asseyez vous… je vous ai fait venir pour un nouveau dossier, c’est un peu spécial, et très important pour moi, c’est la raison pour laquelle je vous le confit.

H : nous en sommes très touché Amiral.

M : quel est le chef d’accusation ?

Amiral : règlement de non fraternisation entre officiers de sexe opposés !

M : et quel est la particularité de cette affaire ?

Amiral : les principaux concernés sont de l’armée de l’air, mais c’est pour un vieil amis que je fait ça…

H : on fera ce qu’on pourra amiral, on vous le promet.

Amiral : j’ai confiance en vous, mais il reste un détail qui a son importance pour cette affaire.

M : on vous écoutes.

Amiral : vous n’avez pas le droit de jouer sur le terrain professionnel, ni même de leurs poser des questions.

H : vous voulez dire qu’ils sont au niveau Top Secret ?

Amiral : je n’ai rien dit du tout moi ! je me contente de vous prévenir.

TOC TOC TOC

Amiral : oui !

Tiner fit son entrée

Tiner : les personnes que vous avez demandés sont arrivées amiral.

Amiral : merci, faites les entrer !

L’amiral regarda ses deux protégée pour vérifier qu’ils avaient bien compris ce qu’il avait dit avant leur interruption, il eu deux hochement de tête comme réponse, puis, Harm et Mac se regardèrent un moment.

Sam Jack et Daniel firent leur entrée, Sam et Jack se mirent au garde à vous tandis que Daniel hocha la tête.

J : amiral !

Amiral : repos ! je suis l’amiral Chegwidden.

J : colonel jack O’Neil !

S: major Samantha Carter !

D: ben... moi c’est le docteur Daniel Jackson, enchanté !

Mac regarda mieux les personnes qui se trouvaient à côté d’elle

Mac : sam !

S : Sarah !

H et J: pardon ?

M : comment va tu ?

S : très bien et toi ?

Les deux femmes se jetèrent dans les bras l’une de l’autre

Amiral : Rrmmmm Rrmmmmm !!!!!

M (reprenant son sérieux) : excusez moi Amiral !

Amiral : vous vous connaissez déjà ?

M : nous avons grandies ensemble…

Mac et Sam se regardèrent complices, encore étonnées de s’être retrouvées ici, après tant d’années.

Amiral : bon, le jugement à lieu demain, alors mettez vous dès maintenant au travail !

H : demain ???

Amiral : oui, cette affaire doit être très vite classée !

H : très bien Amiral !

Les militaires présents se mirent au garde à vous et sortirent de la salle après le " rompez ", Daniel se contenta de hocher la tête une fois de plus.

Un fois dehors, les des amies se serrèrent à nouveau dans les bras l’un de l’autre…

S : alors, ça fait si longtemps !!!

M : qu’est ce que tu deviens ?

S : comme tu vois, je suis dans l’armée maintenant !

M : qui l’eu cru !

S : et toi aussi à ce que je vois ! (dans son oreille) tu portes assez bien l’uniforme, c’est pour ça ???

Les se mirent à rire, les trois hommes regardaient le scène de loin en levant les sourcils (pourtant Teal’c était pas là !) et en se disant que c’était bien la première fois qu’ils voyaient leurs collègues agir de la sorte.

J : pardon mesdames, mais je suis un peu largué là, loin de moi l’idée de vous séparées, mais bon…

S (sourire aux lèvres) : excusez moi mon colonel…

H : il est encore tôt, si nous travaillons vite, on aura fini en une après midi, alors je propose d’aller boire un café, je n’ai pas encore pris le mien…

M : c’est gentil à vous Harm ! merci…

J : bonne idée, de toute façon, rien qu’a l’idée de travailler, je suis pas motivé !

D : vous ne l’êtes jamais Jack !

Il prirent l’ascenseur, et se rendirent au café du coin, pour avoir un premier contact entre les avocat et les client, c’était important de se mettre à l’aise, après tout, ils seraient peu être amenés à des confidences… qui sait ???

D : alors, Sam, comment vous êtes vous connues toutes les deux ?

S : on allais à l’école ensemble… de la maternelle jusqu’au lycée !

J : ça fait un bout de chemin tout de même !

M : on ne s’est revues que trois fois il me semble depuis.

S : on a perdues le contact, et avec nos activités professionnelles, on à guerre le temps !

M : on a toujours eu des tas de choses en commun, quoi qu’il se passe, on étaient dans la même galère !

Un froid fut jeté, Harm ne savait plus trop ou se mettre, il avait bien failli lui aussi outrepasser le règlement avec sa collègue, mais ça n’avait pas été le cas.

M : je propose quelque chose, il n’est que dix heure, on commence à travailler à midi, je doit montrer quelque chose à Sam, on reviens et on vous emmène à manger !

Sam regarda jack pour lui demander l’autorisation

J (à Harm) : alors, que fait-on ? on les laissent partir ou pas ?

H: je sais pas, j’hésite…

J : que vais je faire sans ma tête pensante ?

D : soyez pas vache !

J : allez y, mais je veux manger chinois ce midi !

H : et moi italien !

D : je veux bien du pakistanais, mais dans le cartier, ça m’étonnerait !

M : allons y Sam, avant qu’ils n’abusent de leur pouvoirs et nous demandent de faire leur travail !

D : Sam n’aurait pas grand chose à faire dans ce cas !

J : DANIEL !!!!!!! parlez pour vous même la prochaine fois !

Sam fit un sourire à jack, et partie avec son amie.

Tout ce passait bien pour l’instant, on sentait dans l’air le début de l’été, et c’était assez agréable de ce détendre, bien que la cour martiale était pour si tôt, ils ne voulaient pas se mettre tout de suite à travailler, enfin, surtout Sam et Jack, ils ne voulaient pas être obligés de s’expliquer, et devoir parler de leurs sentiments, car il faudrait mentir…

Un autre café, non loin de la.

M : j’avais envi d’être seule avec toi…

S : oui, moi aussi !

M : alors, comment va tu ?

S : plutôt bien, si il n’y avait pas eu cette cour martiale…

M : j’ai du mal à croire que TOI tu soit impliquée dans une affaire comme celle là !

S : moi non plus… c’est étrange quand même !

M : tu l’as dit !

S : c’est une bague que je vois à ton doigt ?

M : euh…oui !

S : qui est l’heureux élut ?

M : il s’appelle Mic, il est très gentil…

S : ouille !

M : quoi ?

S : quand tu dis " il est très gentil " ça veux dire que ce n’est pas plus que ça !

M : tu me connais bien !

S : pourquoi est tu avec si ça ne va pas ?

M : il m’aime, et il est très gentil !

S : je sais que tu ne peux pas te limiter à ça !

M : c’est compliqué ! un peu comme ton colonel et toi !

S : pardon ?

M : j’ai bien vu comment tu le regarde, comme Jason en cours de math avec Madame Frugas !

S : ça remonte à tellement loin tout ça !

M : et bien tu le regarde avec les même yeux !

S : ne dit pas n’importe quoi, c’est mon colonel

M : je crois qu’on est toutes les deux bien placées pour dire que tout ça c’est très compliqué !

S : commet ça…toi aussi ?

M : on a toujours été dans la même galère, souvient toi !

S : avec ton collègue, l’avocat ?

M : il s’appelle Harm… et comme tu peu le voir, je suis fiancée à Mic !il est encore hanté par son passé…mais si il était pas aussi borné, il se serait passé quelque chose depuis longtemps!

S : de mon côté, c’est le même chose…

M : écoute nous parler…on fait peur !

S (éclatant de rire) : un peu pathétique tout ça non ?

Dans l’autre café

J : à votre avis, elles parlent de quoi ?

H : 50% de chance qu’elles parles de nous, et 50% de leur passé !

D : de toute façon, ça ne nous regarde pas.

H : vous avez raison, alors, vous êtes le docteur Jackson !

D : oui, c’est moi !

H : docteur en médecine ?

D : euh…non…

H : ha oui, c’est vrai, on parle pas de travail !

J : on est là pourquoi alors ?

H : je voulais dire, de vos activités professionnelles !

J : ha…OK !

H: je crois que le plus dur dans cette cour martiale, ce n’est pas de vous faire avoir une peine moins longue possible, c’est de prouver votre innocence…

J : Daniel est là pour ça !

D : trop d’honneur !

Pendant qu’ils parlaient, jack vit un drôle de type qui les regardaient, et lorsqu’il s’en aperçu, il tourna le tête. Jack se disait qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter, mais il connaissait ce visage, il l’avait déjà vu quelque part… mais ou ?

H : et ça fait longtemps que vous travaillez ensemble…c’est juste pour me faire une première idée…

J (sortant de sa bulle) : à peu près 5 ans…

H : en effet…

Le type continuait de fixer Jack, et les autre, mais cette fois, lorsqu’il croisa le regard de jack, il se rappela très bien ou il avait déjà vu ce type, il se le rappelai même trop bien…

Voyant qu’il avait été repéré, l’autre inconnu pris la fuite, Jack se leva très vite et le suivit en courant, sans prendre le temps de prévenir Daniel et Harm, ils se mirent alors eux aussi à leur poursuite.

Jack rattrapa ce type dans une impasse, au moment ou il essayait de passer par dessus un muret de deux mètre de haut, il le tira, et le mis à terre.

J : qu’es ce que vous faites là ?

Homme : rien…

Jack sortit son arme, et la pointa sur la tempe du ce type

J : je repose ma question : qu’est ce que vous faites là ?

A ce moment, Harm et Daniel firent leur apparition.

H : non, ne tirez pas !

D (à Harm) : il ne tirera pas, ne vous en faite pas !

J : Daniel, laissez moi faire !

D : vous êtes sur ?

J : si je vous dit que vous n’avez jamais été mon ais, ça vous suffit comme explication ?

D (à Harm) : venez, il faut partir…

H : quoi ?

D : il ne le tuera pas !

H : mais on ne peu pas le laissez seul avec lui, qui c’est ce type d’ailleurs ?

D : je suis désolé, mais vous n’avez pas à le savoir !

H (frustré) : bon…si vous le dites…

Daniel s’était rappeler ce que lui avait dit Jack le jour ou il avait annoncer qu’il quittait SG1, il lui avait dit qu’il n’avait jamais été son amis, et ça lui avait beaucoup marqué. Jack avait fait ça pour infiltrer le NID.

J : alors, qu’est ce que le NID viens faire ici ?

Homme : je ne dirait rien !

J : un conseil, c’est moi qui suis armé, alors parlez !

Homme : ils me tuerons de toute façon !

J : c’est plus incertain, moi, c’est immédiat !

Homme : vous ne le ferez pas !

Jack arma son revolver et le pointa encore sur la tempe.

Homme : attendez !!!!!

J : parlez !

Homme : je suis… je suis là pour vous surveiller…

J : pourquoi ?

Homme : c’est le NID qui est le cause de votre cour martiale…

J : quoi ??

Homme : ils ont placés des caméras dans vos cartiers, et on s’est dit que c’était le moment, pour vous tenir écarter quelques temps…

J : vous compter infiltrer la base c’est ça ?

Homme : …

J : répondez !

Homme : oui…

J : vous m’avez tout dit ?

Homme : je ne suis pas très important, je ne décide de rien moi… je vous en pris, j’ai une famille…

J : vous auriez du pensez à elle avant de vous engager là dedans !

Il se leva et laissa fuir l’Homme, qui passa devant Daniel et Harm en courant

D : Jack tout va bien ?

J : ouais ! c’est bon…

H : que ce passe-t-il bon sang ???

D : rien…

J : j’ai un coup de fil à passer !

Il partit un peu plus loin et composa les coordonnées de la base

J : allô, général ?

H : oui, c’est moi colonel !

J : je vous appelle parce que je viens de recevoir la visite de nos copains du NID !

H : que c’est-t-il passé ?

J : trois fois rien, mais je ne suis plus si jeune que ça, j’ai eu du mal à courir après lui !

H : et alors, que c’est-t-il passé ?

J : il se trouve que c’est eux le coup de la cour martiale !

H : ça explique beaucoup de choses…
J : ils essayent d’infiltrer la base… ils voulaient nous tenir éloigner quelques temps.

H : très bien, je vais faire le nécessaire ici, mais votre cour martiale ne peu être annulée pour autant… tout ce passe comme vous voulez ?

J : on commence l’affaire cet après midi, Carter à retrouver une vielle connaissance !

H : qui ça ?

J : un des deux protégé de votre ami, enfin " une deus deux "

H : vous n’êtes pas partis en vacance colonel, alors tachez de revenir le plus vite possible.

J : OK général ! à plus tard !

Il revint vers les deux hommes

J : on peu y aller !

H : ou ça ?

J : bosser ! il va être l’heure !

H : ha…oui, excusez moi…

Harm était encore un peu sous le choc de ce qui venait de se passer, il ne comprenait pas pourquoi Daniel l’avait empêcher d’agir, ni même pourquoi ce type avait été mis en liberté…

A midi, les deux femmes arrivèrent le sourire aux lèvres, encore en train de parler de tout et de rien

J : vous revoilà, c’est pas trop tôt !

S : excusez nous mon colonel, mais on n’a pas vue le temps passer…

M : nous en avons profiter pour parler de l’affaire, et non pourrons décider ensemble ce que nous décidons de plaider pour pouvoir faire notre ouverture de procès demain !

D : et qu’y a-t-il à manger ???

Il purent maganger tout en discutant, mais à la fin du repas…

J : je peu vous parler major ?

S (surprise) : euh…oui mon colonel…

M : vous pouvez aller dans mon bureau si vous voulez être tranquilles…

J : merci.

Ils entrèrent…

S : alors, mon colonel ?

J : j’ai reçu la visite du NID, et tout ça c’est leur faute, ils avaient des cameras dans ma chambre, et ils ont profiter que vous soyez dans mon lit pour intervenir et nous aire quitter la base.

S : wouha… et… pourquoi nous ?

J : on doit êtes gênant pour eux... on à déjà réussit à déjouer leur plants…

S : c’est sûrement ça en effet…que c’est-il passé ?

J : je l’ai rattraper, et on a eu un petit entretien… mais l’avocat nous à vus, et j’ai l’impression qu’il se pose des questions…

S : et que devons nous faire ?

J : il va sûrement en parler à votre copine, et si elle vous en parle à vous, j’aimerais que vous fassiez en sorte qu’ils arrêtent de ce poser des questions…

Sam regardait tristement dans le vague

J : qu’est ce qu’il y a ?

S : elle saura que je lui ment…

J : quoi ?

S : elle sait toujours quand je lui ment, je n’ai jamais pu rien lui cacher !

J : et bien vous ferez un effort, on n’a pas le choix !

S : bien mon colonel…

J : sinon, pour cette histoire de procès, je pense qu’on pourrai déjà se mettre d’accord tous les deux…

S : non coupable !

J : quoi ?

S : on demande à plaider non coupable !

J : effectivement…allons y !

Il réapparurent dans le bureau

H : bien, on va pouvoir commencer ! vous êtes donc accuser d’avoir manquer au règlement de non fraternisation entre officies supérieurs, que plaidez vous ?

S & J : non coupable !

Il se regardèrent un cour instant.

M : vous savez que l’accusation sera intraitable avec vous, elle va vous harceler de questions…

J : on y répondra, on n’a rien à se reprocher…

H : bien, et si on passait à un interrogatoire fictif, pour voir vos points faibles et vos points fort ?

J : pourquoi pas.

M : on va installer la pièce

Elle mis un siège devant tous les autres, tourné de façon à être face au publique.

H : on commence par vous colonel…

J : pourquoi ?

H : parce que c’est ce que fera l’accusation, ils gardent les meilleurs questions pour les femmes… c’est souvent comme ça !

J : bon…

Il s’essaya

H : veuillez décliner vos Nom Prénom Grade et matricule.

J : colonel Jonathan O’Neil, matricule 574138K

H : pouvez vous nous racontez ce qui comment c’est dérouler la nuit du 5 juin ?

J : nous étions dans mes cartiers, avec notre équipe… nous fêtions quelque chose, et on as un peu bu… on étaient très fatigués, et le major Carter c’est endormie sans que personne ne s’en rendent compte sur le coup, puis, les autres sont aller dormir et je me suis couché

H : pourquoi ne pas l’avoir réveillée ?

J : parce qu’elle était très fatiguée…

H : mais c’est un soldat, elle est entraînée, et vous saviez qu’elle n’avait pas le droit de rester ans votre chambre !

J : j’était trop fatigué pour la réveiller…

H : et ou a-t-elle dormie précisément ?

J : euh… ben dans mon lit…

H : rien que ça !

J : j’était sur…

H : attendez que je vous pose une question pour répondre !

J : alors posez la moi !

H : ou avez vous prétendus avoir passer la nuit colonel O’Neil ?

J : pas " prétendu ", j’ai vraiment passer la nuit sur le fauteuil !

H : vous allez nous faire croire ça ?

J : c’est la vérité.

Harm se déchaînait sur Jack, mais c’était pour son bien… ainsi, il pourrait mieux se débrouiller au procès.

H : et comment contez vous nous faire croire que vous avez passez la nuit sur le fauteuil alors qu vous aviez une ravissante femme dans vos draps ?

J : tout simplement parce que je sui le colonel O’Neil, et que je n’ai pas à avoir un tel comportement envers un subalterne.

Harm affichait un sourire satisfait

H : c’est bien !

J : ce… ce n’est pas ma première cour martiale, je fini par être habitué…

Daniel n’en revenait pas, il ne pouvait même pas s’attendre à ce que ça se passe aussi vir, du tac o tac, il fallait des réponses claires, et précises.

Sam ne disait pas un mot, elle se sentait un peu mal à l’aise

M : c’était que le début, le pire reste à venir…

J : comment ça ?

M : vous voulez faire un essais ?

J : je suis pas motivé là…

H : il vau mieux le faire maintenant que plus tard !

Harm et mac se regardèrent et firent un hochement de tête comme s’ils savaient déjà de quoi l’autre allais parler, ils se comprenaient à merveille.

Mac s’avança au centre du bureau, et mis les mains derrière son dos

M : colonel O’Neil, pouvez vous nous expliquer les sentiment qui vous unissent au major Carter ?

J : euh… c’est à dire que…

M : répondez colonel !

J : c’est une collègue de travail.

M : c’est tout ? mais depuis combien de temps travaillez vous ensemble ?

J : 5 ans bientôt… je crois…

Il était complètement déstabilisé, et Sam ne savait plus ou se mettre, aucun des deux ne voulait se regarder.

M : et en 5 ans, vous n’avez créer aucun lien particulier ?

J : j’ai confiance en elle, et je sait qu’elle connais bien son travail, je respecte ses qualités de soldat !

M : moi j’aimerai approfondir vos sentiments avec ses qualités de femme !

J : le major carter est une amie, rien de plus !

M : bien… mais j’ai encore un point à éclaircir… lorsque l’agent Dereck est arrivé, il prétend avoir trouver le major carter pied nue et en Tee-shirt, alors qu’elle aurait due dormir complètement habillée, si elle n’avait pas fait exprès de s’endormir là, comment l’expliquez vous ?

J : je…

Il n’arrivai plus à parler car il venait de croiser le regard interrogateur de Sam qui venait de réaliser qu’elle ne s’était jamais poser la question.

J : je … l’ai mise à l’aise… un peu…

M : en clair, selon votre version, vous l’avez déshabillée pendant qu’elle dormais… ce n’est pas aller contre le règlement ?

J : je…

M : parce que selon " notre " version, le major carter à mis ce qu’elle à trouver sur le coup pour se lever et répondre à la porte !

J : c’est complètement faut, comment pouvez vous prétendre savoir ce qui c’est passé alors que vous n’y étiez pas ?

Mac regarda Harm pour savoir si il avait quelque chose à ajouter

H : c’est bon, c’est fini, vous vous êtes bien débrouillée, mais il faut être un peu moins agressif, essayer d’être plus naturel…

D : c’est son côté naturel d’être agressif.

Jack ne réagit pas à la remarque de son amis, parce qu’il vit que Sam était présent morte de trouille.

Mac l’avait vu aussi

M : ne t’en fait pas, ça va bien se passer…

S : on verra bien…

H : c’est à votre tour major Carter !

S (en se levant) oui, oui…

Elle s’assis sur le siège ou était précédemment Jack, face à tous les autres.

H : bien, pouvez vous commencer par nous raconter votre version des fait !

S : oui, nous étions dans la chambre du colonel, on discutait, puis je me suis endormie, à mon réveil, un homme frappait à la porte, j’ai été ouvrir et il s’est mis à me crier dessus !

H : pourquoi étiez vous tous dans la chambre du colonel ?

S : nous fêtions un événement.

H : qui était présent ?

S : le colonel O’Neil, le docteur Jackson, et un ami, T…Tim…

H : aviez vous bus ?

S : pardon ?

H : y avait-il de l’alcool ?

S : oui… on avait bus un peu…

H : Comment décrieriez vous l’ambiance ?

S : on parlais, on riait un peu aussi…

H : vous parliez librement ?

S : oui, …mais où voulez vous en ven…

H : laissez moi finir s’il vous plais ! comment vous adressez vous au colonel O’Neil dans des moments comme celui ci ?

S : comme en temps normal…

H : c’est à dire ???

S : je parle de sciences, et d’expériences…mais il ne comprend pas vraiment…

Daniel retenait son rire, et Jack le regardait méchamment

H : vous parlez librement ?

S : oui…

H : alors que c’est votre supérieur ?

S : j’ai le droit d’exprimer mes idées, et il se peu qu’il les écoutes.

H : bien… passons au moment ou vous vous êtes endormie… comment en êtes vous arriver là alors que juste à côté de vous il y avait du monde ?

S : je n’avais pas dormie depuis deux jours, au moment ou nous avons commencer à parler, je n’était pas fatiguée…

H : alors comment expliquer vous ce qui c’est passé ?

S : la conversation était devenue plus lente, et j’était confortablement installer, au bout d’un moment je ne me rendait plus compte que mes yeux se fermaient malgré moi…

H : et là… ???

S : ben je ne sais plus, je dormais !

H : bien, à votre réveil, que c’est-il passé ?

S ; j’ai été réveillé par les coups donnés dans la porte.

H : vous avez vu le colonel à ce moment ?

S : oui.

H : et vous êtes aller ouvrir ?

S : oui.

H : ne pensez vous pas que, n’ayant pas du vous trouver là, il aurait fallut que ce soit lui qui ouvre la porte ?

S : il dormais, et je n’avais rien à ma reprocher.

Harm se tourna vers Mac et lui fit signe de continuer (elle, elle avait le côté relationnel de la chose)

M : très bien major, ce que je veux savoir, c’est ce qui vous unis au colonel O’Neil !

S : c’est un collègue et avant tout un supérieur.

M : au bout de ces cinq dernières années, n’avez vous pas créer plus de liens que ça ?
S : on se fait confiance, et je le respecte beaucoup, en tans que Soldat et en tant que Personne.

M : comment est-elle cette Personne ?

S : le colonel O’Neil à toujours le mot pour rire même lorsque la situation ne le permet pas… il ferait tout pour venir en aide à un ami, … il est honnête …et…

M : aucun défaut ?

S : si, bien sur, il à tendance à s’emporter trop vite des fois, il est trop impulsif, et têtu.

M : je vous rappelle que vous parlez de votre supérieur…

S : mais c’est vous qui…

M : sait-il se ce vous venez de dire ?

S : je pense oui.

Mac regarda dans la direction de Jack, il fit un mouvement de la main pour dire que oui, il le savait (surtout le côté négatif) et pour continuer l’interrogatoire

M : que ressentez vous pour cet homme ?

S : … du respect, … de l’admiration, … de la tolérance…

M : et rien de plus, vous n’êtes pas devenus amis ?

S : je pense si…

M : comment ça vous pensez ?

S : nous ne parlons pas beaucoup d’autre chose que de travail.

M : vous êtes une femme … vous vivez depuis cinq ans dans un métier d’homme… ne pensez vous pas parfois, que c’est une condition de vie un peu rude pour vous ?

S : au même titre que les hommes d’une base militaire, il doivent attendre de rentrer chez eux que je sache !

M : mais pour vous, la tentation est là ! vous êtes une femme, tout ce qu’il y a de plus normalement constitué, et vous êtes en train de me dire que vous n’avez jamais penser une seule fois que cela pouvait arriver ?

S : j’ai une vie à l’extérieur de mon travail…

M : donner moi le nom du dernier petit amis en date !

S : je ne vois pas en quoi ça a un quelconque rapport.

M : moi, je vois en face de moi, une femme frustrée, qui vit dans un monde d’interdits, et qui peut être un peu trop romantique dans se tête ! ai-je tord ?

S (ne sachant plus quoi répondre) : euh… oui, vous avez tord…

M (à tout le monde) : c’est bon, on s’arrête là, je pense que ça va aller pour le moment…

Sam ne bougeait pas du fauteuil.

H : c’est à vous docteur Jackson !

Daniel pris la place de Sam, et elle allais s’assoire près de Jack, sans même le regarder.

H : veuillez déclarer votre identité, et votre profession.

D : docteur en archéologie Daniel Jackson, je travail en tant que consultant.

H : vous connaissez les deux accusés.

D : effectivement !

H : depuis combien de temps ?

D : comme eux, cinq ans, mais un peu plus pour le colonel O’Neil.

H : vous avez donc participé à la soirée qui avait eu lieux dans la chambre du colonel !

D : oui…

H : passons directement au passage ou le major Carter c’est endormie, l’aviez vous remarquée ?

D : non, pas sur le coup, on s’en ait aperçu bien après…

H : un de vous a-t-il tenté de la réveiller ?

D : non, elle était très fatiguées on a préféré la laisser dormir…

H : donc vous êtes partit ?

D : oui.

H : avec ce Tim ?

D : oui, on ne voulais pas faire trop de bruit.

H : qu’avez vous à rajouter ?

D : ben, je n’ai rien à rajouter, quand je suis partit, le colonel allais se coucher à son tour.

Harm fit encore son superbe regard à Mac

M : comment définiriez vous la relation entre les accusée ?

D : c’est une grande amitié, enfin, c’est comme ça que je le voit, mais c’est pareil pour Tim et moi… nous sommes très soudés.

M : jusqu’ou va cette amitié ?

D (parlant hors contexte) : je doit être honnête là ?

M : bien sur.

D : et bien je pense que chacun des deux iraient jusqu'à donner sa vie pour l’autre, et nous aussi d’ailleurs, je parle de Tim et moi…mais qu’en aucun cas, ni l’un ni l’autre ne ferait quelque chose qui pourrait nuire à l’autre.

M : pensez vous qu’il y ait plus que de l’amitié entre eux ?

D : je ne sais pas, je ne suis pas dans leur tête, comment peut-on dire que deux personnes s’aiment, il n’y a pas un comportement Type du couple !

M : et pour finir, croyez vous que le major Carter et le colonel O’Neil aient outrepassé le règlement militaire ?

D : non, ils me l’on dit, et je sait qu’ils ne me mentiraient pas.

M : merci, ce sera tout docteur Jackson !

D : pas trop tôt !

Une fois terminés, chacun se mit un peu dans son coin, Sam semblai bouleversée par tout ça, et ne voulais pas croire qu’on puisse l’accuser de quelque chose qu’elle n’avait pas commis, bien qu’au fond d’elle, elle en rêvait que d’une chose, c’était de cet homme.

Mac se dirigea vars eux

M : très bien, allez vous coucher, il est déjà tard et vous n’avez pas très bonne mine, le mieux serait de montrer au procès que vous ne vous inquiétez pas tant que ça, ça peu montrer que vous êtes confiant parce que vous n’avez rien à vous reprocher.

Sam se dirigea vers elle et l’enlaça

S : bonne nuit Sarah…

M (dans l’oreille de son amie) : ça va bien ??? je suis désolé d’avoir du être si dure avec toi…

S ; c’est normal…

Elle sortie, après avoir fait un hochement de tête à Harm.

Jack fit un petit signe et partit à son tour, quand à Daniel, il semblait avoir trouver une jeune stagiaire avec qui discuter dans les bureaux du JAG.

Il ne restait alors que Harm et Mac, dans le bureau.

H : vous en pense quoi alors ?

M : on as des chances.

H : c’est aussi ce que je pense.

M : alors pourquoi paraissez vous préoccuper ?

H : cette après midi, on a rencontrer un type un peu étrange, le colonel O’Neil à foncé sur lui et l’a mis sur le sol en lui pointant son arme, je n’ai pas pu réagir ^parce qu’apparemment ils se connaissaient , et le docteur Jackson m’a tenu à l’écart en me disant que ce n’était rien de grave, puis le type est partit.

M : étrange en effet…

H : c’est pas tout ce qui me dérange, il y a aussi le fait que dans une équipe, on a : un soldat, une scientifique, un archéologue, et un Tim d’ailleurs, on ne sait pas qui c’est celui là !

M : rappelez vous ce que nous a dit l’amiral, on ne peu pas intervenir sur leur vie professionnelle.

H : je sait, c’est secret défense, mais je ne peu pas m’empêcher de me poser des questions !

M : oui, moi aussi.

H : bon, on y va ?

M : je vous suit !

H : vous allez ou ?

M : finir de travailler sur ce dossier, je veux être prête pour demain.

H : moi aussi, on as cas travailler ensemble, on ira plus vite.

M : bonne idée.

H : on va chez vous, je n’ai plus rien à manger et j’ai un petit creux…

Il sortit devant elle, la laissant avec un petit sourire au coin du visage. Il réapparut dans l’ouverture de la porte.

H : alors, vous venez !

Sur la route, Harm décrivait encore ce qu’il avait vu dans l’après midi, visiblement, ça l’avait marquer cette histoire.

Ils arrivèrent chez Mac un peu plus tard, et ils s’installèrent dans le salon, Harm mis les dossiers en place pendant que Mac préparait une petite collation pour ne pas avoir trop faim, quand elle revins, la table basse du salon était pleine de paperasse.

M : par quoi commence-t-on ?

H : déjà, on ne peu pas jouer de trop sur leur travail, mais en même temps, c’est ce qui à fait ce qu’ils sont devenus…

M : oui, mais pour ça, j’ai trouver qu’ils s’en tiraient plutôt bien à l’interrogatoire, mis à part peut-être les angoisses de Sam…

H : c’est compréhensible, on n’y est pas aller de main morte !

M : c’est pour son bien…

H : ne vous en faite pas pour elle, essayez de vous concentrer sur notre argumentation !

M : on peu commencer par dire que donc, ils n’on rien faits, et on termine en demandant " est ce que c’est si grave après tout ? "

H : on ne peu pas dire ça au tribunal…

M : mais c’est pourtant le cas, ce sont de choses qui arrivent assez souvent et que l’armée ne peut pas toujours contrôler…

H : vous savez aussi bien que moi que le règlement est formel sur ce point.

M : mais ce règlement date de l’époque de la guerre de sécession !

H : pas tant que ça !

M : pas loin …

H : en tout cas, nous n’avons pas comme but de faire abolir cette loi.

M : il faudrait que quelqu’un y pense un jour !

Elle se leva, il compris que la discutions n’avait plus rien à voir avec l’affaire Carter-O’Neil, mais qu’elle concernait la relation qu’ils entretenaient tous les deux depuis déjà longtemps, depuis le jours ou ils avaient étés tous les deux en Australie, plus rien n’était comme avant, ils connaissaient les sentiments qu’ils avaient l’un pour l’autre, mais ne pouvaient pas les exprimer.

H : Mac, vous ne pouvez pas me reprocher éternellement ce qu’y s’est passé… ou plutôt, ce qui ne c’est pas passé…

M : ça n’a aucun rapport avec ce ferry !

Il se leva à son tour

(pour ceux qui ne savent pas, il y a eu un moment très tendu sur un bateau en Australie…)

H : oh que si, et vous le savez, mais vous êtes avec Mic il me semble !

M : qu’est ce que vous avez imaginer ??? que vous me plaisiez ??? laissez moi rire !

H (gêné) : osez dire le contraire !

M : mon capitaine, je vous le dit en face…

H : allez y !

M : laissez moi parler !

H : vous savez que cette tension entre nous est toujours là, mais nous sommes militaire, en train de travailler sur une affaire du gouvernement américain !

M : même quand on étaient de l’autre côté de la planète c’était pas assez loin pour vous !

H : je suis désolé si je vous déçoit Mac, mais je n’ai pas envi de gâcher ce que nous avons construit…

M : on le gâche déjà en se cachant la vérité…

H : vous pensez que nous devrions être honnêtes l’un envers l’autre ?

M : mon côté avocate me dit que oui…

H : et l’autre ?

M : le militaire me dit que non…

H : lequel choisissez vous ?

M : il m’en reste un… celui de femme qui me dit que oui.

H : c’est le OUI qu’y l’emporte…

M : alors, par quoi on commence ?

H : nous savons que cette histoire ne mènerait à rien…

M : je sait, mais c’est de plus en plus dur de vivre et de travailler avec vous Harm…

H : il y une chose que l’on ne peu pas renier, c’est que nous désirons tous les deux la même chose, mais il faut faire attentions, les conséquences de nos actes sont graves…

M : je n’ai pas peur… mais je refuse de briser votre carrière

H : et moi la votre.

M : vous pensez qu’il existe une solution ?

Ils étaient de plus en plus proche, et ils sentaient la tension monter entre eux, comme si ils voulaient voir jusqu'à quand ils trouveraient des truc à dire pour les retenir un peu, tout en sachant que ce moment fatidique allait arriver, et c’est ce qui ce passa,

H : je pense qu’il faut combattre le mal par le mal

Et il l’embrassa, doucement, pour voir si elle allait réagir, il ne voulais pas se trouver bête si elle se reculait, mais bien au contraire, elle répondit à son baiser par un autre, et ils prirent de l’assurance.

Dans cette faible lueur, il étaient enfin ensembles, ils pouvaient enfin se laisser aller à leur désirs communs.

M (entre deux baisers) : ça résume en gros ce que je pense…

Il l’embrassa encore plus passionnément, la faisant tomber sur le canapé, et caressait ses cheveux et ses hanches, il pouvait enfin connaître les courbes du corps de son lieutenant-colonel Sarah MacEnzi, et il ne s’en privait pas, depuis le temps qu’il rêvait de ce moment.

Elle non plus ne semblais pas s’ennuyer dans cette discussion approfondie, quand les mots viennent à manquer, et qu’il ne reste plus que le langage corporel pour ce comprendre, elle lui enleva sa cravate, et son uniforme, il fit de même sur, elle. Ça ressemblait à de la provocation envers l’armée, faire voler en l’air les uniformes, et les répandre sur le sol…

Leurs baisers devenaient de plus en plus forts, et allaient même jusqu'à se transformer en morsure.

Ils passèrent la nuit à rattraper ainsi les années qui les avaient maintenues loin l’un de l’autre, et qui s’étaient intensifier à chaque seconde, rendant leur volonté incontrôlable.

Motel

TOC TOC TOC

S : c’est ouvert !

J :c’est moi, je peu entrer ?

S : mon colonel.

Jack passa la porte et la referma derrière lui.

S : que… que ce passe-t-il ?

J : je viens de recevoir un coup de fil d’Hammond, et j’ai pensé que vous aimeriez savoir qu’il ont démasquer la Taupe qui venait de s’infiltrer

S : c’est une bonne nouvelle.

J : oui, je trouve aussi… mais il faut dire que dès qu’on fait partit du NID, il y a une salle odeure qui vous suit, et on vous repère facilement

Sam souries malgré elle, elle n’était pas très en forme après la journée qu’elle avait passée, c’était riche en émotion.

S : et quoi d’autre mon colonel ?

J : euh… il se trouve que j’ai demander au général Hammond de partir à la recherche de cette camera qui était dans ma chambre, ils ont découvert tout un dispositif, mais l’enregistrement n’est pas là.

S : ou est-il dans ce cas ?

J : je n’en sait rien moi !

S : mais cette bande pourrait nous innocenter !

jack tourna les talons et regardait partout autour de lui.

S : qu’y a-t-il mon colonel ?

J : rien…

S : dites le moi !

J : vous n’avez pas d’ordre à me donner major !

S : je pense être concernée par cette histoire, et je vous demande de me dire pourquoi vous faite cette mine.

J : c’est que je ne suis pas sur que cette bande vidéo soit vraiment la solution…

S : pourquoi ? puisqu’il ne s’est rien passé !

J : euh…

S : mon colonel ???

J : ben en fait…

S : quoi ?

J : voilà, quand vous dormiez, je vous ait… embrassé…

S : quoi ?

J : c’est bon, c’est pas la peine de crier, je vous ai entendue !

S : qu’est ce que vous avez fait ?

J : calmez vous, je vous ait juste embrassé sur le front, mais cet acte peut être mal perçu.

S : alors comment vous l’interprétez vous ?

J : c’est juste sur le moment, je ne sait pas…

Il s’assit sur le lit de Sam et se passa la main autour de la bouche et sur son menton

J : je suis désolé, c’est comme si j’avait agit contre vous…

S : un peu, mais je ne vous en veut pas, nous avions bus, et nous étions fatigués, en plus de tout ça, nous avions vécus des moments atroces avant ça…

J : je m’excuse…

S : pas autant que moi…

J : pourquoi ? vous n’avez rien à vous reprocher vous…

S : si, juste une chose…

Elle s’agenouilla devant lui, en appuyant ses mains sur ses genoux, leurs têtes étaient maintenant à la même hauteur.

J : quoi ?

S : de ne pas avoir été réveillée quand ça s’est produit…

J : j’ai bien entendu ????

S (souriant) : oui.

J : mais pourtant…

S : …je vais être honnête avec vous mon colonel, peu importe que ça me risque ma place ou pas, mais depuis longtemps déjà, je m’endors en ne pensant qu’a vous, et je m’en veux d’avoir été trop fatiguées pour ne pas m’être réveillée à ce moment, je pense aussi que je n’ai pas à avoir de tels sentiments pour vous, mais je commence à en avoir marre de garder tout ça au fond de moi, et s’il le faut, je partirais.

jack ne savait pas quoi dire, il était complètement tétanisé, c’est la première fois que Sam lui parlais comme ça, aussi franchement, au moment ou il était le plus vulnérable

S (voyant qu’il n’y avait pas de réponse, elle se leva et lui tourna le dos) : je suis navrée, mais je voudrais être seule à présent… excusez moi pour ce que je viens de dire…

J : non !

S : je vous en pris, excusez moi, je vous promet de déposer ma démission en rentrant

J (il se leva à son tour) : hors de question, je ne veux pas que tu partes…

S : pardon ?

J : tu m’a permis de découvrir tellement de choses… que la vie valait la peine qu’on s’y attache, que même si on fait une erreur, on peu se faire pardonner, et se pardonner à soit même, mais aussi, tu m’as permis d’apprécier les sciences, et ça c’était pas facile !

S (souriant) : vous n’y comprenez rien…

J : mais j’aime t’écouter parler, même si je ne le montre pas tout le temps…

S : c’est vrai ?

J : ohhh que oui, et je ne veux pas que tu partes de la base, parce que dans ce cas, je n’aurais pas de raison d’y rester.

S : mais nous n’avons pas le droit de… cette histoire de cour martiale le montre bien…

J : lorsque j’ai eu Hammond au téléphone, il m’a dit que cette affaire n’aurai jamais fait parler d’elle si le NID n’était pas derrière ça…

S : comment ?

J : si personne n’avait avertit les supérieurs et entamer les procédures, le général Hammond m’a affirmer qu’il n’aurait pas été aussi loin…

S : ce qui veux dire que…

J : oui, il ne tien qu’a nous de décider de la suite des évènements…

Ils se rapprochèrent de plus en plus tout en parlant…

S : quelle option va-t-on prendre alors ?

J : j’en ai une magnifique devant moi…

S : et vous pensez que c’est raisonnable ?

J : non, mais je m’en fiche bien, si on se fait avoir en cour martiale, on aura un mois de vacance tous les deux… et après, on pourra travailler en étant ensemble…

S : ça me plais assez…

Leurs lèvres se rapprochèrent, et proportionnellement, leur voix baissait, ils pouvaient se regarder dans le blanc des yeux maintenant, et Sam sentie la main de jack se poser dans son dos, elle frissonna un instant quand il remonta sa main jusqu'à son cou, pour la rapprocher plus près d’elle, pour mieux l’embraser.

Elle commençait à manquer d’air, elle se détacha un instant, puis, joua avec lui, comme si elle allait l’embrasser, elle s’approchait, puis se reculais, pendant un instant, il essaya de la capturer, mais en vain, elle décida alors de s’offrir à lui. Il l’allongea sur le lit de la chambre, et se laissèrent aller eux aussi, à leur véritable raison de vivre.

Lendemain matin.

H : bonjour toi…

M (souriant tout en s’étirant dans les draps) : bonjour…

H : j’espère que tu seras en forme pour aujourd’hui…

M : si ce n’est pas le cas, je te tiendrais pour unique responsable…

H : essaye un peu pour voir !

Harm la chatouilla sous les draps, elle riait aux éclats, mais ils furent stoppés pas le réveil, qui se mis à sonner dans la pièce. Ils étaient l’un contre l’autre, et Harm se pencha au dessus de Mac pour aller éteindre l’appareil perturbateur, et en revenant, l’embrassa passionnément.

M : on va être en retard…

H : pour une fois que je suis bien…

M : oui, mais n’oublis pas que on est en train de défendre des individus qui sont accusé d’avoir fait ce que nous avons fait toute la nuit, et qu’en plus ils sont innocents…on leurs doit bien ça…

H : tu as raison…(il l’embrassa) si on ne veux pas être en retard, il faut qu’on aille à deux à la douche, ça ira plus vite…

Motel

J : Mmmmmmm

S : encore une minute…

J : je veux pas me lever…

S : moi non plus…

J : viens par là !

Il la plaça dans ses bras, et fit comme s’il se rendormais

S : comme c’est agréable…

J : de quoi ?

S : de pouvoir enfin fermer les yeux…

Jack souri en l’embrassant sur l’épaule

J : je sait pas si tu as remarqué, mais il fait jour…

S : non, c’est ton imagination…laisse moi dormir…

J : si ça ne tenait qu’a moi… mais Daniel ne va pas tarder à venir nous chercher…

S : et bien qu’il vienne, je m’en fiche pas mal, je veux dormir…

J : je vais te faire couler un bain si tu en as envie

S : ça c’est la meilleur idée que tu ait eu depuis dix minutes…

J : reste là !

S : j’ai pas la force de me lever de toute façon !

Il allait faire couler un bon bain chaud, et revint près de Sam

J (chantonnant doucement) : il faut se réveiller…

S : encore un peu…

J : c’est moi qui traîne au lit habituellement !

S : oui mais là je suis trop bien…

J : je ne vais pas te porter jusque dans la baignoire quand même !

S : pourquoi pas !

J : à une condition…

S : accordé

J : mais…

S : tu allais me demander de faire toit aussi un petit plongeon dans l’eau…

J : waw… comment t’as fait ?

S : l’instinct…

Jack et Sam se préparèrent donc pour se rendre à leur cour martiale ; qui allaient les juger pour ce qu’ils n’avaient pas fait, alors qu’il allaient s’en tirer à bon compte pour la nuit qu’ils venaient de passer.

Hall de l’hôtel

D : c’est pas trop tôt !

J : du calme Daniel…

S : pourquoi s’énerver de si bonne heure ?

D : vous avez des têtes à faire peur !

J : le voisin du dessus à fait la fiesta toute la nuit !

S : impossible de dormir !

D : je n’ai rien entendu.

J : vous êtes au premier étage, nous on est au deuxième et lui au troisième !

D : bon, en effet, mais il faut vraiment y aller maintenant !

S : c’est partit !

Tribunal des armée

Falls Church – Virginie

Harm et Mac attendaient Sam Jack et Daniel devant l’entrée du tribunal, ils arrivèrent dix minutes avant l’ouverture du procès.

H : ha…vous voilà, bon, ça va commencer… vous pensez que ça va aller

D : on a été quelque peu " retardé " ! (en regardant Jack et Sam)

M : allons y, on sera plus vite fixé.

Ils entrèrent dans le tribunal, et le procès commença sans embûche, Harm et l’avocat de l’accusation firent leur speech, et tout les interrogatoire se déroulèrent à peu près de la même façon qu’à la simulation, en effet, Harm et Mac connaissaient vraiment bien leur sujet, et ils savaient que cela pourrait être dur pour eux.

Sam était juste un peu plus anxieuse qu’aux répétitions, il faut dire qu’elle venait de passer la nuits dans les bras de Jack, et qu’elle devait affirmer qu’il ne s’était rien passé entre eux l’avant-veille.

Daniel était assez décontracté, et Jack plaçait quelques remarques désobligeantes, ce qui lui valut un regard menaçant de la part des quatre autre, mais il se calma assez vite.

Celui qui restait à écouter était l’agent Dereck, mais il ne se présenta pas au tribunal, à la surprise de tout le monde.

En fait, maintenant que les plants du NID avaient été déjoués, cette cour martiale n’était plus qu’une grosse mascarade, une affaire de pacotille, ou même, une histoire de paperasse.

Tout entrera dans l’ordre une fois que toute cette affaire sera finie.

Juge : très bien, nous avons écouté les deux partis, le jugement sera rendu dans deux heures.

Il frappa avec son marteau et tout le monde se leva pour montrer son respect, puis quand il quitta la salle, les trois membres de SG1 se tournèrent vers leurs avocats.

S : alors, qu’en pensez vous ?

H : à vrai dire, je suis étonné que ça se passe si bien…

M : oui, moi aussi, mais on ne va pas s’en plaindre…

D : si on allais manger, je meurs de faim !

J : ça c’est une brillante idée Daniel !

Ils allèrent tous dans un restaurant, après tout, leur travail était fini, et il ne leur restait plus qu’a entendre la sentence prononcée par le juge.

Ils mangèrent donc avec appétit, et au bout d’un moment, le regard de Sam et de Mac se croisa, mais avec une lueur différente dans les yeux, comme lorsqu’elles étaient petites, et qu’elle avaient un secret à se dire très vite.

Simultanément, elles se levèrent, comme si elles communiquaient par télépathie, apparemment ça ne pouvait pas attendre.

S & M : on revien !

Les trois hommes surpris et amusés par cette spontanéité, les admiraient partir... sauf Daniel, qui admirait Jack et Harm regarder les deux femme !

Sam et Mac se retrouvèrent dans les toilettes féminin

M : alors ?

S : quoi alors ??

M : tu veux me dire un truc !

S : toi aussi !

M : toi la première !

S : pourquoi ?

M : parce que… je suis la plus vielle, et qu’on a toujours fait comme ça !

S : tu n’a que deux mois de plus !!!

M : vas y, je t’écoutes!

S : bon…mais la prochaine fois c’est toi !

M : ok…vas y Sam, raconte moi….

S : ben… hier soir…à l’hôtel, le colonel et moi on a parler…

M : qu’avez vous dit ?

S : qui t’as dit qu’on s’est dit quelque chose ?? on a juste… communiquer….

M :ahhhhh je comprend mieux ce grand sourire sur ton visage !

S : et toi, d’ou viens le tien ?

M : je crois que c’est la même raison…

S : non ???

M : si !!!

S : je suis contente pour toi !!!

M : et moi pour toi !!!

S : mais on est plutôt mal partit… comment on va faire ?

M : en ce qui concerne Harm et moi, je ne sait pas, on veut continuer à être ensemble, mais on veux aussi pouvoir travailler au JAG, ce n’est pas facile…

S : vous avez pris une décision ?

M : je pense qu’on va continuer à ce voir en dehors du travail, en faisant en sorte de garder cette liaison pour nous le plus longtemps possible… et vous ?

S : ben, nous avons un peu plus de chance, notre général est compréhensif, mais tu sais aussi que je suis sur un projet…

M : … Top sercet !

S : Oui, et ils ne pourrons pas vraiment se passer de nous sans entrer dans les détails, donc ça devrait aller...

M : tu as toujours voulu clarifier la situation, dans n’importe quel contexte, alors ça ne m’étonne pas de toi !

S : et toi tu aime vivre dangereusement…

M : il m’arrive de me brûler…

S : mais tu cicatrise bien…

M : c’est assez vrai…

S : bon, si on retournait là bas !

M : bonne idée !

S : on fait comme si on ne savait rien !

M : évidemment !

Sam regarda Mac droit dans les yeux et lui fit un sourire en détournant la tête*

M : quoi ?

S : rien…

M : dis moi !

S : se genre de discussion… ça te rappelle pas dans les toilettes du lycée ?

M : c’est vrai, en y réfléchissant bien, on n’a pas vraiment évoluer !

S : à vrai dire, ça me rassure de voir que nous sommes rester les même.

M : tu as raison… il faut y aller Sam !

Les deux femmes se serrèrent dans les bras, et retournèrent auprès de leur amis.

J : je me demandait si il fallais envoyer les fusées de détresse !

S : pour quelles raison mon colonel ?

J : on allais vous déclarer perdues toutes les deux.

M : excusez nous.

H : en fait, on s’est demander de quoi vous pouviez bien parler…

M : c’est… un vieux souvenir…

S :…d’enfance…

M : on venait de s’en rappeler…

J : mais oui, c’est ça !

H : bon, il est temps de retourner au tribunal, la sentence va être rendue.

J : on va enfin en avoir fini avec cette histoire !

Tribunal

Voilà deux minutes qu’ils étaient assis, et attendaient le juge.

Un homme en militaire entra

Homme : veuillez vous lever.

Tout le monde se mis debout, et le juge s’assis sur son trône, puis, les membres du jury prirent place sur leurs chaises.

Juge : asseyez vous ! membres du jury, avez vous rendu votre verdict ?

Jury N°1 : oui votre honneur.

Comme le protocole l’oblige, le jury N°1 donna son papier à un huissier, qui le donna lui même au juge, et le rendis au Jury.

Juge : vous pouvez y aller.

La tension était assez importante dans le salle, car c’était tout de même une cour martiale, et même si le verdict n’était pas important, il y avait malgré eux, un pression incontrôlable.

Jury N°1 : pour le chef d’accusation de l’article du code militaire de non fraternisation entre officier supérieur de sexe opposé…

Le temps que mettait cet homme fit grogner Jack, et Sam ne pu s’empêcher de sourire

Jury N°1 : …le colonel Jack’O’Neil et le Major Samantha Carter, son reconnus…NON COUPABLES !

Un souffle de soulagement se fit entendre dans le camps des accusés qui étaient enfin innocentés, Jack aurait voulu prendre Sam dans ses bras, mais ça n’aurait pas eu une très bonne impression, alors il se contenta de lui sourire, et elle fit de même.

Juge : bien, le colonel O’Neil et le Major Carter serons lavés de tout soupons, le procès est terminé !

Sam pris Mac dans ses bras pour la remercier, elle avait échapper à cette clause dans son dossier d’état de service pour l’armée, elle ne sera pas marquée à vie par cette cour martiale.

Ils sortirent du tribunal, et un homme s’avança vers eux.

Homme : colonel O’Neil, Major Carter, Docteur Jackson.

J (pas très content de le voir) : bonjour sergent . que nous vaux cette visite ?

Sergent : j’ai reçu ordre de vous ramener immédiatement à la base.

J : pourquoi ? moi je serait bien rester un peu dans le coin.

Sergent : nous avons un problème avec… un satellite mon colonel !

S : lequel ?

Sergent : P1X546

Sam regarda Jack dans les yeux, ils s’étaient très bien compris, c’était la planète sur laquelle les Tok’Ra venaient de s’installer.

H : vous faites des satellites ?

J : ben…oui !

H: drôle de nom tout de même !

S (tristement, à Mac) : nous devons vraiment partir…

M : on se reverra !

S : ne t’en fait pas pour ça !

Elle se serrèrent dans les bras l’une de l’autre.

M (à son oreille) : de toute façon je t’appelle pour que tu me tienne au courant !

S : moi aussi, je veux tout savoir !

M : pas de problème, à plus tard !

S : prend soin de toi !

Elle se séparèrent

J : bon, ben, merci pour tout, ce fut un plaisir de vous rencontrer !

D : au revoir !

H : au revoir

Tous les trois montèrent dans le Jeep qui était venue les chercher, Sam fit un dernier coucou de la main, et la voiture disparue à l’angle.

H : c’est de plus en plus étrange, un soldat pas très intelligent, une astrophysicienne, et un archéologue qui bossent sur des satellites qui ont un nom bizarre !

M : je crois qu’on ne saura jamais…

H : vous avez raison Mac.

Mac se tourna vers lui.

M : vous me vouvoyez après ce qui c’est passé Harm ?

H (souriant) : vous aussi… c’est que…nous sommes en publique alors je me disait que ce serait plus prudent…

M : vous avez raison mon capitaine… alors si on allais se parler en privé ?

H : requête accordé !

Ils se sourient mutuellement et partirent vers une voiture qui les transporta chez Harm…

Le soir même, très tard…

Salle de Briefing

H : bje suis content que cette histoire soit rentrée dans l’ordre !

J : pas tan que ça !

H : et bien si colonel, le NID n’a pas pu agir, et vous êtes innocenté !

J : disons que…

Il regarda Sam pour être sur d’avoir son accord pour continuer, elle hocha la tête pour le rassurer

J : on n’a été jugé pour ce qui c’est passé ce soir là, mais nous n’avons pas été jugé pour ce qui c’est passé le lendemain…

H : pardon ??

J : ben… le major et moi…

H : vous avez mentis au tribunal ?

S : non, nous avons répondus à leurs questions mais juste en nous limitant au minimum…

H : vous voulez dire que vous êtes…

J : …ensemble !

D : je me demandais si vous alliez le dire un jour !

J : pardon ?

D : vous n’avez pas été très discret en Virginie ! … ma chambre était sous celle de Sam !

J : euh… (bloqué !)

H : colonel, vous savez ce que j’en pense !

J : justement, c’est pour ça que je vous le dit… vous m’aviez dit qu’avec vous, cette histoire ne serait jamais aller aussi loin… donc…

H : c’est vrai, mais nous aurons tout le temps de reparler de ça une autre fois, je vous laisse du répits pour le moment… nous avons une affaire importante à régler !

Le général Hammond commençait alors à raconter son histoire avec les Tok’Ra, et pendant ce temps, jack pris la main de Sam, et la maintenais au creux de la sienne, ils pouvaient être ensemble, et ils savaient tous deux que le général ne reviendrait jamais sur ce sujet.

De leurs côté, Harm et Mac, qui ne pouvaient pas afficher leur amour au grand jour, se contentaient de le crier, non sur les toits, mais dans un lit ! …………

Fin…

J’espère que ça vous a plus… c’est mon premier cross over alors dites moi ce que vous en pensez, ce serait gentil !