déjà 16 ans...
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
résumé : c’est l’anniversaire de cassi, et pour cette occasion, tous se réunissent
genre : romance SJ (comme à mon habitude...)
note de l’auteur : je sais que c’est court, mais je pense pas pouvoir en mettre plus, ça me va comme ça, alors après c’est à vus de le lire et de me dire ce que vous en pensez !
disclaimer : pas à moi.... Pas de sous...
Infirmerie
Toute l’équipe SG1 venait de rentrer de mission et passait comme à son habitude voir Janet pour se faire piquer, analyser, et étudier sous toutes les coutures
J : franchement, une fois par an ça suffirait !
D : et si on découvrait aux prochains tests que vous avez un truc pas normal dans le corps, vous serez bien heureux de le savoir
J : et bien non, comme ça je ne m’inquiéterait pas !
Janet : de toute façon colonel, vous feriez mieux de vous forcer à aimer ça car vous n’en avez pas fini.
D : à moins que vous ne vous rendiez compte que sa vue baisse, que son genoux coince et que son dos se bloque.
Janet : effectivement
J : je suis pas si vieux, et regardez Teal’c... presque cent ans et toutes ses dents !
D : mais vous n’êtes pas un Jaffa et encore moins aussi balèze que Teal’c ! la nature est parfois cruelle...
J : très drôle...
Janet : au fait, je vous invite chez moi demain soir, ce sont les 16 ans de cassi et elle aimerait vous avoir tous à la maison.
S : elle ne préfère pas être avec des gens de son âge ?
Janet : si, elle aura plein d’amis à la maison, c’est devenue une vrai petite américaine ! mais ils partirons pour 10-11h et elle aimerait que les gens qui comptent le plus pour elle soient présents... c’est à dire vous !
J : c’est gentil à elle, à quelle heure doit-on venir ?
Janet : venez pour 8h, elle aimerait vous présenter son petit ami
S : elle a un petit ami ?
Janet : et oui, depuis presque une semaine, c’est un gentil garçon...
J : il faut se méfier des gentils garçons !
D : vous dites ça par expérience Jack ?
J : je dit ça pour cassi
Janet : bref, il a 17 ans, il travail bien à l’école, et il est vraiment très courtois... c’est mieux que son ex petit copain
S : vous nous l’aviez cacher celui là aussi !
Janet : il était vraiment pas pour cassi celui là, mais comment s’interposer, ça l’aurait conduite dans ses bras directement, l’interdiction à toujours un goût plus sucré...
Silence total, et tout le monde sait pourquoi, donc inutile de vous dire que Sam était rouge et que Jack essayait de se concentrer sur son sang qu’il voyait passer dans un tuyaux
Janet : alors, vous venez ?
D : bien sur !
T : ce serait un honneur pour moi docteur Frasier
S : oui, j’y serais
J : ben... moi aussi... vous en doutiez ?
Janet : non colonel, alors je vous attend tous à 8 h chez moi demain, elle va être vraiment contente.
J : y a intérêt !
Le débriefing se passa bien, à vrai dire s’était une mission des plus normale, avec un gentil peuple près à aider la terre en cas de problème, donc, que du bon travail !
Le lendemain, 19h30 appartement du docteur Frasier
Cassi : à quelle heure arrivent-ils ?
Janet : dans une demie heure ma puce, voilà 5 fois que tu me pose la question !
Cassi, c’est que je suis pressée
Janet : profite donc d’être avec ceux de ton age, tu aura le temps de les voir plus tard, je pense qu’ils vont rester un moment
Cassi : à plus tard alors
Et elle reparti avec les jeunes qui dansaient sur de la musique d’aujourd’hui.
20h05 même endroit
Janet : ha ! vous voilà, j’ai cru qu’elle n’allais jamais réussir à vous attendre tellement elle est pressé de vous voir !
D : c’est Jack qui a encore traîner.
J : mais non, c’est carter qui n’était pas prête à l’heure
S : si Teal’c avait bien voulu me rendre ma robe plus tôt
T : le docteur Jackson me l’avait emprunter
J : que faisiez vous avec une robe Daniel ?
D : ben... c’est pour une amie
J : comme si vous aviez quelqu’un dans votre vie en ce moment
D : qu’est ce que vous en savez
Janet : peu importe, entrez vite !
A peine eurent-ils franchit la prote que la petite leur sauta dans les bras
Cassi : vous voilà enfin ! vous en avez mis du temps
S : on est désolés ma puce, joyeux anniversaire
J : ça fait quoi de prendre une année de plus ?
Cassi : tu devrait le savoir !
D : et toc !
T : joyeux anniversaire Cassandra
Cassi : merci à tous, venez, entrez donc.
Elle était grande maintenant, et avait déjà une taille adulte comme les jeunes filles de son âge d’ailleurs, mais ça leur faisait toujours bizarre de le constater, et de se dire que le temps passe vite à l’extérieur lorsqu’on est coupé du reste du monde
Cassandra les présenta aux autres, et une fois que ce fut fait, elle leur présenta son petit ami
Cassi : je voudrait vous présenter Stan
J : ton petit copain ?
Cassi : comment vous le savez ?
Janet : je leur est dit
Cassi : venez....
Elle les conduisit jusqu'à un jeune homme qui était au fond de la salle, et qui discutait avec un copain à lui
Cassi : Stan, je te présente le reste de ma famille, voilà Jack, Sam, Daniel, et Théo
SG1 (touché par le mot " famille ") : bonjour
Stan : bonjour, j’ai beaucoup entendu parler de vous, je suis heureux de pouvoir enfin vous rencontrer.
S (à Janet) : tu as raison, il est bien ce garçon.
Cassi (qui avait entendu) : c’est le mien celui là ! pas touche !
S : t’en fait pas pour ça ma grande
Pendant ce temps, les trois hommes discutaient avec le jeune homme
J : écoute, nous on est pas des méchants, mais si tu embêtes cassi rien qu’une fois, on te fait la misère
D : en fait, on est un peut tous comme ses papas, alors tu comprendras que nous ne voulons que son bonheur
Teal’c ne disait rien, mais sa façon de regarder en disait long
Stan : vous savez, moi je l’aime cassi, et jamais je ne voudrais lui faire le moindre mal
J (tapant sur l’épaule du garçon) : bonne réponse mon garçon !
Cassi (arrivant) : ça y est vous avez fini l’interrogatoire ?
J : oui, et c’est bon, vous pouvez aller vous amuser !
S : que lui avez vous dit au juste mon colonel ?
J : un truc d’homme à homme !
Janet : venez, nous allons aller dans la cuisine en attendant que tout le monde parte.
Tout le monde était là, en train de parler des dernières missions, et bien sur aussi de celle où ils avaient ramener la petite, ils riaient et buvait beaucoup en fait, et ils ne virent pas l’heure tourner...
A 11h10
Cassi entra dans la cuisine
Cassi : ils sont tous partis, et Stan m’a aidé à ranger.
Janet : merci ma puce, tu t’es bien amusée ?
Cassi : oh que oui, nous n’avions pas de fêtes comme ça dans mon monde.
S : on est contents de voir que le notre te plaise
Cassi : vous n’avez pas idée à quel point !
J : c’est l’amour qui parle ?
Cassandra ne disait rien et devin toute rouge
D : bon, je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses !
Janet : comment ça ?
D : ben... nos cadeaux !
Cassi : c’est vrai ?
J : tu pensais pas qu’on allait venir les mains vides quand même !
Cassi : je ne vous ai pas demander de venir pour ça...
T : c’est une tradition pourtant.
D : je commence !
Il sortit de son sac un livre qui n’avait pas de feuilles très bien ranger
Cassi : qu’es ce que c’est ?
Daniel : lorsque nous sommes aller sur ta planètes, nous avions ramasser plusieurs espèces de plantes que nous ne connaissions pas, je les avaient conservées dans un herbier, et je me suis dit que tu serais contente de l’avoir
Cassi : merci beaucoup
Elle ouvrait le livret et regarda intensément chacune des espèces
Cassi : ça remonte à loin maintenant, je suis très touchée Daniel, merci
D : je suis content que ça te fasse plaisir
Cassi : je me rappelais vaguement, ça fait du bien de les revoir...
Cassi fit un baiser sur la joue de Daniel pour le remercier
T : c’est mon tour maintenant
J : j’espère que vous n’avez pas pris une larve ou quelque chose comme ça !
Teal’c sortit d’un sac une énorme peluche, un ourson tout brun avec de grosses joues et un grand museau
Cassi : comme il est beau, merci Teal’c !
J : ce n’est plus une enfant Teal’c !
T : je ne suis pas très doué pour ce genre de tradition O’Neill
Cassi : ne l’écoute pas, je l’adore cet ours, il te ressemble beaucoup je doit dire
Tout le monde étouffa un rire pendant que Cassandra mis l’ours à côté de Teal’c pour montrer la ressemblance
J : c’est vrai qu’il ne sourit pas des masses !
Cassi fit aussi un baiser à Teal’c pour le remercier, et voyant le bonheur de la petite, il lui répondit pas un sourire
D : et vous Jack, vous avez pris un Zat ou une arme de pointe je suppose ?
J : désolé de vous décevoir Danny, mais j’ai trouver mieux que ça !
Jack sortit un grand paquet recouvert de papier
D : charmant les petits lapins sur l’emballage !
J : c’est tout ce que j’avais en stock.
Cassi ouvrit la boite et découvrit une lunette astronomique
J : avec ça tu pourras voir les étoiles !
Cassi : oh ! merci beaucoup Jack, c’est vraiment génial !
J : ravi que ça te plaise
Cassi : je pourrais vous surveiller maintenant lorsque vous serez loin de la terre
J : pas trop quand même, mais on te feras des signes si tu veux !
Cassandra lui sauta au coup
D : et vous Sam ? un lot d’éprouvettes ?
S : désolé, mais mon cadeau ne s’offre pas devant vous tous
J : pourquoi ça major ?
S : parce que vous n’avez pas à le savoir mon colonel
Cassi : qu’est ce que c’est ?
Sam la pris par la main et l’entraîna dans le salon
S : voilà, j’ai pensé à t’offrir quelque chose d’un peu personnel, mais tu dois me promettre de ne pas en parler, ni de le montrer à personne !
Cassi : promis, c’est quoi ????
S : je ne sais pas si ça va te plaire...
elle ouvrit son sac et sortit trois livres qu’elle avait entourer d’un ruban
S : voilà, c’est mon journal, lorsque j’avais 16 ans, je l’ai commencé le jour de mon anniversaire, et ces trois volumes regroupe cette année là de ma vie... je pensait à te l’offrir le jour de ton anniversaire, et c’est le cas.
Cassi : je... je ne sait pas quoi dire...
S : tu dois me promettre de ne pas t’en servir contre moi !
Cassi : pourquoi ? il y a des passages croustillants ?
Sam étouffa un rire nerveux, tandis que Cassandra souriant de pleines dents
S : c’est possible, mais rien qui ne soit interdit à ton âge... tu sauras le reste les autres années si tu veux !
Cassi : comment ça ?
S : si ça te plais, je te les offrirait tous les jours de tes anniversaires, comme ça tu en sauras plus sur moi que quiconque sur terre, et sur les autres planètes
Cassi : dans ce cas je suis pressée d’avoir ton âge...
S : pourquoi ?
Cassi : pour savoir ce que tu penses de Jack...
S : finalement, je ne pense pas que ce soit une si bonne idée que ça !
Cassi : oh que si ! moi je veux savoir !
S : ok, de toute façon, d’ici là, nous avons le temps...
Cassi : merci beaucoup, ça me touche énormément que tu me fasses confiance comme ça.
Sam la pris dans ses bras
S : ça fait bizarre de voir que tu n’es plus une enfant
Cassi ; je suis grande maintenant
S : j’ai vu ça !
Cassi : tu fais allusion à Stan ?
S : oui, entre autre
Les deux femmes se sourirent
Cassi : allez, viens, on rejoint les autres sinon ils vont nous croire perdue
S : ils vont surtout peser que l’on parle d’eux !
Elles arrivèrent dans la cuisine, et Cassandra pris bien soin de cacher les trois livres
D : alors, ou étiez vous ?
J : et c’est quoi ces messes basses ?
Janet : que de cachotteries !
Sam et Cassandra échangèrent un regard complice
Janet : bon, je crois qu’on en tirera rien !
J : si on allait au salon pour finir la soirée, maintenant qu’il n’y a plus personne
Janet : bonne idée, Sam, vous m’aidez à prendre ce qu’il y a à boire ?
S : oui, bien sur
Tout le monde s’installa tranquillement, Cassi avait la place d’honneur bien sur
J : je crois que j’ai encore un truc qui pourrait servir dans mon sac...
Jack sortit une bouteille de champagne
J : il est pas très frais, mais c’est pas grave !
Janet sortit les coupes et les plaça sur la table
Janet : cassi, c’est la première et la dernière fois avant tes 18 ans !
Cassi : promis
Jack : vous voulez dire jusqu'à ses 17 ans doc. !
Janet : on avisera colonel
Tout le monde pris une coupe et but son champagne
D : comme le temps passe vite
J : et c’est un archéologue qui dit ça !
D : c’est vrai quoi ! regardez là, elle est presque adulte, et nous on est encore au SGC
J : vous n’êtes pas bien avec nous ?
D : bien sur que si, mais nos vies n’évoluent pas.
Janet : je me rappelle de mes 16 ans, je pensais devenir chercheur ou quelque chose comme ça, pour les cancers
S : vous êtes chercheur Janet, mais c’est un peut différent
S : et vous Daniel ?
D : j’étais en Égypte avec des amis pour les vacances, j’y ait eu le premier amour de ma vie !
J : sans blague ? et s’était réciproque ?
D : on a passé un ans et demi ensemble
J : pas mal du tout
Cassi : et que s’est-il passé ?
D : elle m’a quitter pour un autre !
Cassi : elle a oser ?
D : ben...oui ; et il faut dire que l’autre n’avait rien a voir avec moi...
J : pourquoi ? il était si beau que ça ?
D : bref... c’est ce qu’y m’a marque le plus cette année là !
S : et vous Teal’c ?
T : j’ai presque cent ans major, mes 16 ans remontent à très loin, mais je m’en souvient très bien.
J : racontez...
T : et bien je servait Apophis, mais je n’était pas encore son primat, Brat’ak m’enseignait l’art du combat, et j’ai également rencontrer la femme qui est désormais la mère de mon fil.
S : ça fait un bout de temps que vous êtes ensemble dites donc !
T : 82 ans plus exactement.
J : mince alors...
D : et vous Jack ?
J : ben moi je ne foutait pas grand chose à 16 ans, j’étais nul en cour, je me faisais renvoyer sans arrêt pour de mauvaises raisons en plus, je me rappellerais toujours cette prof d’histoire...
D : histoire ???
J : à cette époque j’adorait l’histoire grâce à elle, elle avait le don de rendre les cours intéressant
T : comment s’y prenait-elle O’Neill ?
J : je crois que son secret résidait dans ses mini jupes et ses décolletés plongeants, toujours est-il que je connais par cœur l’histoire de la guerre de sécession maintenant !
Janet : et vous trouvez que c’est un exemple à donner à cassi ?
J : ben... on m’a demander de raconter... alors je le fais... c’est à votre tour major !
Sam fit un regard avec cassi lui disant qu’elle ne dirait pas tout, car la totalité de sa vie était dans ses carnets, et elle préférait qu’elle ne lui dévoile pas tout maintenant
S : c’est une époque que j’essaye d’oublier, donc je ne veux pas trop m’attarder dessus... je suis désolé
En effet, chacun se rappelait que Sam avait perdue sa mère à 15 ans, alors sa 16eme année ne devait pas être si réjouissante que ça.
J : bon, ben il est déjà tard, il va falloir rentrer tout le monde
Janet : c’est hors de question, avec tout ce que vous avez bu ce soir, je ne vous laisserait pas prendre le volant
S : mais on ne va pas rester ici quand même
Janet : bien sur que si !
J : alors dites nous comment on fait pour dormir ?
Cassi : j’aimerait dormir avec Jack et Sam !
Tout le monde la regarda
Cassi : c’est mon anniversaire, je veux être avec celle qui m’a donner la permission de vivre, et avec celui que je considère comme mon père... pour une fois que je vous vois tous les deux
J : je suis très touché ma chérie
S : moi aussi ma puce
Cassi : je vous considère tous les cinq comme mes parents, et j’en ai déjà discuter avec Janet, je sais que c’est elle qui m’élève, et qu’elle est irremplaçable, mais vous deux vous avez fait aussi beaucoup pour moi, et Janet n’étant pas encore mariée, je n’ai pas de père !
Janet : mais tu n’as qu’un lit double...
Cassi : je ne prend pas beaucoup de place.
Janet : mais est ce que Sam et Jack sont d’accord au moins ?
Cassi les regarda avec de tels yeux, qu’il ne purent dire non
J : ok, mais si une de vous deux ronfle, elle fini sur le sol !
S : pareil pour vous mon colonel
Cassi : génial !
T : pour ma part, je ne vais pas dormir docteur Farsier, je vais me mettre en Kelnourim
D : ben il me reste le canapé !
Janet : parfait, alors à demain tout le monde...
Tous montèrent à l’étage, et Cassandra se jeta sur le lit
Cassi : je suis crevée...
Sam s’assis à côté d’elle
S : viens pas là...
Elle la pris dans ses bras et la berça comme une enfant, à moitié allongée sur le lit. Jack vit s’allonger de l’autre côté et regarda les deux femmes. Cassi était entre eux deux, adossée sur Sam, et tenant la main de Jack, elle se sentait en confiance avec eux deux, et finit pas s’endormir
S : je pense que ça lui rappelle son enfance
J : comment ça ?
S : dormir avec ses parents, quand elle était petite
J : vous pensez qu’elle s’en souvient ?
S : comment oublier ça...
J : je suis désolé...
S :pourquoi ?
J : vous avoir demander tout à l’heure, pour vos 16 ans, nous savons que cette période était dure pour vous.
S : ne vous en faites pas pour moi, ça fait longtemps que je tente d’oublier, mais on ne peut pas, et cassi est marquée à vie par son passé
J : en fait, on s’est trompé, c’est encore une petite fille...
S : je ne devrait pas dire ça, mais j’aurais aimer être sa mère...ou juste avoir un enfant à m’occuper et à regarder grandir
J : je suis sur que vous feriez une mère formidable... vous lui expliqueriez la preuve par trois en version math supérieur, vous lui feriez des tests à tout moment...
S : pas à ce point quand même ! et vous, vous lui diriez d’aller pêcher au lieu de faire ses devoirs, et vous lui transmettriez votre humour tordu
J : vous aimez bien mon humour, et il est pas tordu du tout
S : juste un peu alors...
J (sérieux) : je suis sur que vous ferez une mère remarquable...
S : merci, et vous aussi
J : une mère ?
S : non, un père
J : je l’ai déjà été et ça ne m’a pas réussit
S : je suis sur que non
J : vous ne savez pas ce que c’est que de perdre un enfant Major...
Sam était surprise que Jack ne bloque pas la conversation au contraire, il semblait s’ouvrir à elle et elle aimait ça
S : non je ne sais pas, mais je sais qu’il y a des choses que doivent arriver, et qu’on y peu rien
J : j’y aurais pu quelque chose
S : non mon colonel, c’est comme ça... et on ne peut pas changer le passé, j’ai mis presque 15 ans à comprendre cela et à pardonner à mon père, c’est pareille pour vous.
J : j’ai tué mon fil, ça n’a rien à voir
S : vous n’avez pas tué votre enfant, ça devait arriver probablement... regardez ou vous en êtes désormais...
J : j’ai parfois honte d’y penser, mais si Charly n’était pas mort, je ne serais pas au projet stargate, et on aurait pas fait tout ça
S : on aurait pas sauvé toute la terre à plusieurs reprises, on aurait pas délivré des peuples entiers, et on aurait encore moins aidé Cassi à survivre
J : c’est vrai tout ça, et si je n’étais pas rentré au projet srtargate peut-être le monde serait détruit, et Charly serait mort de toute façon...
S : oui, sans doute
J : mais j’ai réussi à tenir tout ce temps au SGC, c’est plutôt surprenant alors que je pensait mourir en mission
S : qu’est ce qui vous a fait rester en vie ?
J : si je vous le dit je suis mal barré !
S : pourquoi ?
J : parce que je finirait en cour martiale
Sam compris alors à quoi il faisait allusion
S : moi par la même occasion...
Jack pris la main de Sam qui était posée sur celle de cassandra, et la serra un peu, ...dans la douceur de la nuit, ils pouvaient se voir parfaitement, leurs regard ne pouvaient plus se détacher désormais, mais cassandra bougea, ce qui les fit interrompre ce moment délicat
J (chuchotant) : bonne nuit Sam...
S (pareil) : bonne nuit Jack...
Sam s’allongea alors un peu mieux, tenant cassi dans ses bras, et toujours la main du colonel posée sur la sienne, ils s’endormirent ainsi, avant de faire place au petit matin
Un rayon de soleil entra dans la chambre, les faisant ouvrir à peine les yeux, ils changèrent un peu de place avant de reprendre leurs esprits, et se rendre compte de là ou ils étaient. Jack tenait encore la main de Sam, mais Cassi n’était plus là
J : bonjour
S : bonjour mon colonel
J : bien dormi major ?
S : très bien, merci, et vous ?
J : très très bien
Il regardait sa mains toujours dans celle de Sam
J : ça fait longtemps en fait que je n’ai pas eu de si beau réveil
S : moi aussi
J :ou est-elle ?
S : je pense qu’elle est plus matinale que nous
J : et vous pensez réellement que c’est volontaire ?
S : à vrai dire, non, pas tant que ça...
J : j’ai l’impression qu’elle nous a mijoté quelque chose
S : ça a un goût de complot
J : ça voudrait dire qu’il y en a d’autres dans le coup !
S : à vrai dire, je m’en fiche totalement mon colonel
Elle se remettait bien dans les draps, car elle était encore bien fatiguée, elle sentie la main de jack sur la sienne commencer à la caresser avec le pouce sur le dos de sa main, elle aimait ce contact doux, et se laissa faire, répondant même parfois à ses caresses. Lui aussi se remis bien dans les couvertures, et en profita pour s’approcher de Sam
J : vous savez pour hier...
S : oui...
J : merci
S : merci à vous aussi
J : je suis si bien ici... je ne veux pas bouger
S : mais il le faut
J : encore un peu maman, je veux pas aller à l’école !
S : mon colonel, je pense qu’il faut que nous nous levions... nous n’avons plus d’excuses valable pour êtres tous les deux dans le même lit.
J : je m’en fiche, vous n’avez qu’à en chercher une d’excuse
Ils étaient tous les deux à moitiés enlacés, les yeux fermé, et tournés l’un vers l’autre, savourant ce moment même lorsqu’ils parlaient
S : mais c’est vous le supérieur
J : et c’est vous la tête pensante
S : je n’ai pas très envi de penser en ce moment
J : et moi encore moins envi de donner des ordres
S : alors on fait quoi ?
J : on peut rester comme ça un moment, et prétendre dormir encore
S : vous pensez que c’est raisonnable ?
J : non, mais tant pis
S : c’est vous le chef !
J : bon raisonnement
Ils restèrent donc encore une bonne heure comme ça, à se faire de toutes petites caresses en étant dans un état second, mais ils étaient heureux, et c’est tout ce qui comptait
Dans la cuisine
D : bonjour ! ou sont les autres ?
Cassi : Jack et Sam dorment encore
Janet : vous voulez quoi au petit dej ?
Daniel : juste un café, merci
Janet : vous avez bien dormi sur le canapé au moins ?
Daniel : oui, ne vous en faites pas, mais je me demande combien de temps ils vont mettre ces deux là à ce lever
Cassi : il est déjà midi et à mon avis, ils ne sont pas presser et cherchent une excuse
Daniel : vous pensez ce que je pense ?
Janet : on y a pensé bien avant vous !
Cassi : je propose qu’on les laissent seul aujourd’hui, allons faire un tour
Daniel : bonne idée, je vous amènent au cinéma !
Les quatre partirent donc avec une voiture
Pendant ce temps, dans la chambre
J : tu n’as rien entendu ?
S : si... je pense qu’ils sont partis...
J : tant mieux...
S : je pense aussi que c’est fait exprès
J : c’est aussi ce que je me disait, mais le principal, c’est qu’on est seuls ici...
Il la regardait avec de grands yeux, s’approcha de son visage en les fermant, et l’embrassa tendrement
S : mmm ça a des bons côtés d’êtres seuls...
Elle l’embrassa à son tour, un baiser bien plus passionné que le premier, et qui les fit à moitié perdre le contrôle de la situation.
S : je pense que là on n’a vraiment plus d’excuses valables
J : ça c’est sur, mais je ne m’en plaint pas
S : tu penses que c’est inquiétant ?
Toujours en s’embrassant, leurs caresses devenaient des plus insistantes
J : oui, mais c’est pas grave, nous soufrons d’un syndrome post mission, et on inventera un truc plus tard...
S : tout à fait d’accord
Le reste se perdit dans la maison de Janet, les deux amants venaient enfin de se lier, au plus grand bonheur de tous et de toutes, peu importe ce qui allait se passer ensuite, ces deux là trouveraient bien une solution pour continuer leur belle histoire qui ne fait que commencer...
The end !
Et oui, c’est un peut court, mais tant pis...
envoyez moi un petit mot pour me dire ce que vous en pensez...
merci