disclaimer : pas à moi

genre : drame, romance, mort de personnage

note de l’auteur : coucou, alors tout d’abord je tien à dire que j’ai écrit ce fic en essayant de revenir un peu sur les mission et l’activité du SGC... quand même... mais bon, je sais que je ne peut pas m’empêcher d’être " shippers " alors voilà quoi...

Le petit complexe de cheyen montain vivait sa vie bien à l’abri des regards indiscrets, tout semblait paisible vue de l’extérieur, mais la fourmilière travaillait sans relâche

Alarme : ouverture de la porte non programmée, ouverture de la porte non programmée

Jack arriva dans la salle de contrôle les mains dans les poches, le reste de SG1 s’y trouvait déjà et semblais inquiet, Carter s’agitait sur son ordinateur et trifouillait dieux seul sait quelles données

J : qui ose troubler mon sommeil ?

D : vous ne dormiez pas Jack !

J : non, mais j’aurais pu !

H : en plaine journée colonel ?

J : bah...

Sergent : on a un signal, ce sont les Tok’Ra !

J : ...merveilleux...

H : ouvrez l’iris sergent

Sam soupira, elle descendis en salle d’embarquement, suivie du reste des personnes intéressés, soit SG1 et Hammond.

Jacob fit son apparition de la porte des étoiles en compagnie d’un autre Tok’Ra

J : hoho !

D : quoi ?

J : quand ils viennent à deux c’est mauvais signe en général, rappelez vous toutes ces missions ou...

D : la ferme jack !

Jack le regarda bizarrement, Daniel n’avait pas l’habitude de le remettre aussi brutalement à sa place

Jacob : bonjour ma chérie

S : bonjour papa

J : bonjour le papa de carter ! comment allez vous ?

Jacob (se tournant vers Jack) : je vais bien je vous remercie.

J : et votre colocataire ?

Jacob : selmac se porte comme un charme.... D’ailleurs il est en train de me dire que vous faites la tête des mauvais jours !

J : ça viens peut être d’une impression soudaine qui me dit que nous n’allons pas tarder à ...

H : colonel taisez vous un peut ! bonjour Jacob !

Jacob : salut Georges... si nous allions en salle de Briefing ?

J : je le savait ! il se passe un truc !

H : colonel suivez nous et arrêtez de jacasser !

J : je jacasse moi ? carter est ce que je jacasse ?

S : permission de parler librement ?

J : ...non !

S : alors non, vous ne jacassez pas mon colonel

J : ...

Tout le monde suivit en salle de briefing, Jack arriva en dernier

J : c’est bien calme ici...

Jacob (très sérieusement) : le calme avant la tempête messieurs

H : que veut tu dire ?

Jacob : nous avons besoin de l’aide de SG1 Georges

S : pour quelle raison papa ?

Jacob : nous avons besoin de retrouver un de nos indicateur qui se trouve sur Tirsat, il s’y cache. Mais nous ne savons pas ou.

H : que peut on faire ?

Jacob : il est très important pour nous, il nous faut le retrouver

H : tu me demande d’envoyer MON équipe pour retrouver un de VOS hommes ?

Jacob : les nôtres sont tous en mission d’infiltration, il ne reste que les scientifiques à la base, et ils ne savent pas se battre

J : vous devriez leur présenter votre fille elle fait les deux elle !

Jacob : les Tok’Ra sont à sens unique, ils se vouent complètement à leur tache, et ils n’ont pas le temps de penser à autre choses, c’est regrettable

D : heu... ce Tok’ra est-il retenu par un grand maître ou autre chose comme ça ?

Jacob : en effet, tout du moins il l’a été pendant presque deux long mois, maintenant il se cache quelque part sur la planète et nous devons le retrouver. Cet homme à subit les tortures les plus invraisemblables pendant deux mois, il est très désorienté et très vulnérable

H : quel est le danger ?

Jacob : d’après un agent infiltré, le grand maître n’est plus sur place, juste deux vaisseaux satellites sont à terre, ils envois régulièrement des planeurs de la mort pour surveiller le périmètre, ainsi que des troupes terrestres

H : c’est très risqué...

Jacob : je sais, mais cet homme détient de nombreux savoirs, et il a appris plus sur ce vaisseau en deux mois que notre agent en deux ans

H : je comprend

J : mon général c’est de la folie ! tout ça pour un homme !

H : colonel, cette mission est importante pour la Tok’ra, et ils sont nos alliers

J : mais qu’avons nous reçus en échange depuis tout ce temps ou nous les aidons ? ils refusent à chaque fois de ce battre à nos côtés quand nous en avons besoin !

Jacob : c’est pourquoi je vous accompagne sur Tirsat colonel

J : quoi ?

S : papa...

Jacob : je sais encore me battre, et Selmac est très fort

H : Jacob je ne pense pas que ce soit...

Jacob : j’irait quand même, je suis le seul disponible des Tok’Ra à pouvoir vous accompagner, et je refuse de faire comme le conseil et de vous envoyer à notre place sans notre participation

S : mais papa...

Jacob : Sam, c’est ma décision

J : vous êtes sur ?

Jacob : certain !

H : ... alors je ne vois pas d’autre moyens que d’accepter cette requête, colonel, major et Teal’c, préparez vous à partir dans deux heures piles

D : et moi ?

H : vous ne serez pas utile pour ce genre de mission Docteur Jackson

D : ... ha

J : et oui ! on veux des gent de talents !

H : on essaye aussi de préserver nos talents colonel !

D : vous avez entendu Jack ??, ... néanmoins général SG1 est aussi mon équipe et je ne pense pas attendre ici que tout ce passe de l’autre côté de la porte des étoile

H : je comprend docteur Jackson, mais nous n’allons utiliser que le minimum du personnel pour le moment

D : mais...

H : si vous y tenez vous serez envoyer dans le groupe de renfort

D : ... c’est déjà ça...

H : SG1, rompez !

J et S : a vos ordres

H : Georges, va te trouver une tenue plus adéquate pour cette mission

Jacob : je sais ou c’est, merci...et ne t’inquiète pas pour ton équipe, je te la ramènerait entière

H : j’ai confiance en toi

*******

Salle d’embarquement. Tout le monde se tenait près à " embarquer " (cf. 2010 lol)

H : faites attention à vous surtout, revenez si la mission vous paraît trop délicate et compromise, nous essayerons de vous contacter dans 12H, si nous n’avons pas de nouvelles, nous enverrons du renfort dans 24 H.

J : bien compris général

H : bonne chance à tous

J : astalavista !

H : et pas d’impudence colonel !

J : vous me connaisse monsieur...

H : justement !

Sergent : chevron 7 enclenché

La masse bleutée apparue et SG1 se retrouva derrière la porte. Aussitôt tous en position de défense, mais leur arrivée ne semblait pas avoir été remarquée, ils se replièrent donc vers la foret

J : bon, on va faire ça en deux groupes, Carter et Teal’c vous allez à l’est, papa carter et moi vers l’ouest

Jacob : pourquoi ?

J : on veux un militaire en activité dans chaque équipe... question de prudence, et puis je suis sur que Teal’c s’occupera de votre fille

Sam le regarda avec insistance avec ce regard qui dit " je sais me défendre "

J (se rattrapant) : ...et elle pourra veiller sur Teal’c surtout, j’ai pas confiance de laisser deux serpents ensembles ni les deux carter...

Sam semblait peut convaincue, mais due accepter la situation

Jacob : fait attention à toi ma chérie

S : toi aussi papa, mon colonel, je vous le confit

J : j’en prendrait soin

Un bruit aérien se fit entendre

J : un planeur... on se sépare maintenant, contact radio toutes les heures

S : à plus tard...

Les deux groupes se séparèrent dans la foret, se cachant dès qu’un planeur approchait d’eux.

J : y a du monde on dirait !

Jacob : plus que je ne le pensait

J : on a peut être pas la même façon de conter que vous

Jacob : je suis aussi terrien je vous rappelle

J : ha ouis... j’avais oublier

Jacob : je me demande comment vous faites pour être aussi pessimiste

J : ça dépende des missions en fait

Jack et Jacob poursuivaient leur avancée tranquillement dans la foret

J : je regrette que Daniel ne nous accompagne pas

Jacob : pourquoi cela ?

J : j’aime bien passer mon temps à l’énerver

Jacob : ne jouez pas à ça avec moi !

J : pourquoi pas ?

Jacob : je suis général je vous le rappelle

J : à la retraite !

Jacob : je... je suis plus vieux que vous, j’ai droit au respect !

J : avec selmac vous vivrez plus longtemps que moi, c’est pas équitable

Jacob : je suis le père de Sam

J : et alors ?

Jacob : ça ferait mauvais genre de vous attaquer à votre beau père !

J : je ne...

Jacob : shuttt !

J: quoi ?

Jacob: j’entend des pas!

Un groupe de quatre jaffa arrivait à leur rencontre, mais ils ne semblaient pas les avoir vus

Jacob : il ne faut pas tirer, sinon on va se faire remarquer et on a pas besoin de ça !

J : je le sait je suis militaire je vous rappelle !

Jacob : mais vous n’en faites qu’a votre tête à chaque fois, alors je préfère être sur !

J : vous ne me faite pas confiance ?

Jacob : ça dépend pour quoi...

J : et pour quoi ?

Jacob : je vous fait confiance pour... mettre de l’ambiance dans une soirée... ça vous va ?

J : c’est tout l’effet que je vous fait ? je suis déçu...

Selmac : je vais prendre la place de Jacob si vous voulez bien... il est un peut...emporté

J : pas de problème... alors comment allez vous mon cher ?

Selmac : plutôt bien ... les jaffas approchent !

Jack et Selmac/Jacob firent silence tant que le petit convois était présent, une fois loin, ils sortirent de leur cachette pour continuer leur route

*******

de leur côté

S : nous devons prendre le contact radio dans dix minutes avec le colonel et mon père

T : ne vous inquiétez pas major carter, je suis sur que tout ce passe bien et que le colonel prend soin de votre père

S : c’est plus pour lui que je m’inquiète en fait... mon père n’est pas ce qu’il y a de mieux pour servir de compagnon de route

T : pour quelle raison ?

S : en fait, ils sont pareil... et que ce passe-t-il quand on met deux molécules de Grasa 21 médium selon vous ?

T : ...

S : ha oui, vous n’en savez rien... et ben elles exploses !

T : mais votre père et le colonel ne sont pas des...molécules de cette espèce major carter, je ne pense pas qu’ils puissent exploser...

S : bien sur que si...

******

Jacob : regardez ! une grotte !

J : mais vous êtes fou ou quoi ? vous m’avez fait peur ! pourquoi vous êtes Jacob ?

Jacob : pas content de me revoir ?

J : j’aime bien selmac

Jacob : il vous adore aussi, mais je ne voulais pas rester en tant que spectateur à ces effusions de sentiments entre vous deux

J : la prochaine fois prévoyez des chandelles et du bon vin

Jacob : selmac me dit qu’il n’est pas intéressé

J : dommage, j’en aurait fait mon nouveau meilleur ami

Jacob : alors on y va à cette grotte oui ou non ?

J : ben... oui évidemment !

Il marchèrent tranquillement vers la grotte qui était en face d’eux, mais ils ne virent pas arriver deux jaffas de la droite qui leurs tira dessus.

J : à couvert !

Jack avait sauté sur Jacob pour le protégé des tirs, il l’avait par la même occasion envoyer dans la grotte, mais Jack avait été touché sérieusement à la jambe et ne se trouvaient qu’a l’entré de la grotte, sous le regard des jaffas

Jacob : jack !!!

Jack essayait de ramper vers l’entré de la grotte

J : Jacob !... tirez !...

Jacob revint près de l’entré et sortit son Zat

J : Aille !

Jacob : tenez bon Jack !

J : pas la choix de toute façon !

Jacob s’approcha jusqu'à voir les jaffas et leurs tira dessus, ils s’effondrèrent, puis il leur donna le coup de grâce

Jacob (se retournant vers Jack) : mon dieux vous saignez beaucoup trop !

Jacob entraîna Jack au fond de la grotte

Jacob : je vais faire un garrot pour empêcher l’hémorragie de continuer

Puis, la radio se mit à grésiller

S : mon colonel... mon colonel

J (à Jacob) : ne répondez pas !

Jacob : pourquoi ?

J : je... je perd trop de sang

Jacob : elle pourra vous aider

J : non... c’est trop tard pour moi

Jacob : ne dites pas de bêtises...

Jacob voulu se servir de la radio mais Jack l’en empêcha

J : je... je ne veux pas qu’elle me vois mourir... si vous... ne le faites pas pour moi...faites le pour elle, je vous en pris

Jacob : ne parlez pas comme ça Jack, vous allez survivre !

Jack : vous le savez aussi bien que moi...c’est trop tard

Jacob : je ne vous laisserait pas mourir

Jack : sur ce coup là vous n’avez pas le choix !

Jacob : si !

Jack : pardon ?

Jacob : selmac est d’accord avec moi...

Jack : NON !

Jacob : c’est la seule solution

Jack : mais vous allez mourir si vous faites ça !

Jacob : je sais...

Jack : je vous l’interdit !

Jacob : jack essayez de garder vos forces...

Jack : non ! je me tire une balle dans la tête si vous le faites !

Jacob : pourquoi ?

Jack : a votre avis ? je ne veux pas que vous mourriez, et votre fille ne me le pardonnerais pas

Jacob : ce coup de feu m’était destiné Jack !

Jack : peu importe, je ne pourrait pas vivre avec votre mort sur la conscience

Jacob : et moi alors ? que va devenir ma fille sans vous ?

Jack : et sans vous ?

Jacob : Jack nous n’avons pas le temps de discuter éternellement

Radio : mon colonel.... Mon colonel vous... entendre nous ?

J : je vous en pris, ne répondez pas

Jacob : alors laissez moi vous sauver la vie

J : Jacob...

Jacob : écoutez moi, j’aurais du mourir il y a deux ans, mais Selmac m’a sauver la vie ainsi que toute la Tok’ra...il restera toujours une part de moi en selmac qui me connais mieux que personne, il saura comment faire...il sera là pour vous aider

J : en plus vous savez à quel point je déteste les serpents !

Jacob : la Tok’Ra lui trouvera un nouvel ôte, et avec la cérémonie vous serez toujours en vie grâce au rituel. Jack, mon fils... promet moi de...

J : non Jacob ne me demandez pas de vous tuer !

Jacob : tu ne me tue pas

J : c’est tout comme

Jacob : ...promet moi de veiller sur ma fille, de la rendre heureuse, dit lui que son père l’aime et que s’il fait ça c’est pour elle, ... pour vous deux

J : si... si vous vous trompiez ? si jamais...

Jacob : non, je ne me trompe pas en disant que tu aimes ma fille et qu’elle a besoin de toi autant que tu as besoin d’elle... je t’en pris, promet moi de la protéger...

J : je le ferait même sans cette promesse

Jacob : et je veux que toi aussi tu me pardonne de ce que m’apprête à te faire vivre... mais c’est pour ton bien

Jack perdait peu à eu connaissance

J : non... Jacob... non...

Jacob (embrassant Jack sur le front) : tu sera à la hauteur mon fil... je le sait...

Jacob s’allongea près de lui et pris la tête de jack qui n’avait pas la force de réagir

Jacob : je vous aimes les enfants

Puis selmac sortit de la bouche de Jacob pour rejoindre le corps de jack. Jacob allait mourir, il sentait ses forces disparaître peu à peu, il regardait Jack qui lui, était complètement inconscient

Jacob : rend la heureuse mon fils

Puis il tomba dans l’inconscience à son tour

********

S : Teal’c je m’inquiète de plus en plus !

T : je suis sur que tout va bien

S :on va partir à leur recherche

T : comme vous voudrez major carter

Sam et Teal’c firent donc le chemin inverse, ils croisèrent quelques jaffa mais ne se firent pas remarquer, ils progressaient dans la foret

S (à la radio) : mon colonel répondez moi ! ici carter !

T : ils ne vous entendent pas major

S : peut être sont-ils dans un endroit ou la communication passe mal...

T : peut être en effet

S : je sent qu’il s’est passé quelque chose pourtant...

T : qu’est ce qui vous permet de dire ça ?

S : je ne sais pas, je le sent c’est tout

Ils arrivèrent près de la grotte

S : regardez ! du sang !

T : il est encore frait

S : ho mon dieu... papa ! colonel !

Elle entra rapidement dans le grotte et trouva les deux corps inanimés, elle resta debout plusieurs secondes sans pouvoir bouger ni parler avant de s’effondrer au sol. Teal’c arriva derrière elle et pris un air très grave.

T : major carter...

Sam leva la main pour qu’il ne parle plus, elle avait besoin de temps... elle s’approcha des deux hommes, elle se tourna vers son père qui n’avait plus de pouls, elle s’effondra sur sa poitrine en pleurant, incapable pour le moment de prononcer un mot, elle n’y croyait même pas.

Trouvant un semblant de courage, elle se tourna vers jack, elle pris son pouls

S : il est vivant ! ho mon dieux ! il est vivant !

Cette pensée ne la réconforta qu’un instant avant qu’elle ne reporte son attention sur son père

S : papa... ce n’est pas possible... papa...

T : major carter, il faut partir rapidement.

S : non... je ne veux pas le laisser...

Un mouvement se fit entendre derrière elle, Jack revenait à ces esprits mais semblait encore embrouillé

J (faiblement) : ... Jacob... Jacob non !

T : tout est finit colonel O’Neil

J : non... Jacob pas ça !

Sam porta son attention vers lui

S : mon colonel...

J : non... ne l’appelez pas... je ne veux pas ...

T : appeler qui ?

J : ... Sam... ne faite pas ça...Jacob !

S : il délire sûrement...

T : je vais les porter tous les deux...

Teal’c mis Jacob sur une épaule et jack sur l’autre, bien que les deux furent très lourds, il trouva la force de les porter jusqu'à la porte des étoiles. Sam ne pouvait pas croire encore ce qui venait de ce passer, l’état second dans lequel elle était ne lui permettait plus de pleurer

********

sur terre

les quatre individus venaient de passer le vortex. En voyant Teal’c porter les corps de Jack et de Jacob, Hammond eu des sueurs froide, il saisit le micro rapidement

H : deux équipes médicales ! vite !

Mais à peine franchit la porte que Sam s’effondra sur ses jambes, elle était incapable de pleurer, elle n’y croyait même pas, son père ne pouvait pas être mort

Les deux équipes médicales arrivèrent et les emportèrent rapidement vers l’infirmerie

H (arrivant à sa hauteur) ! major que ce passe-t-il ?

S : ...

H : Samantha dites moi ...

S : ... mon père...

Le visage d’Hammond s’obscurcit alors, il compris que c’était finit pour son amis

T : le colonel O’Neil semble aller un peu mieux que lorsque nous l’avons trouver

H : ... est ce que vous savez ce qui c’est passer ?

T : non

H : bon... Teal’c ! amenez le major carter dans ses cartiers s’il vous plais...

T : bien sur général

Teal’c souleva Sam par les épaules, il l’aida à marcher avec une main sur la hanche, elle se faisait à moitié portée, incapable de savoir pourquoi son corps était en mouvement et pas sa tête. Mais elle s’arrêta au bout d’un moment

S : le colonel...

T : tout va bien se passer major carter...

S : je veux allez le voir...

T : il doit subir une intervention avant cela

S : mais je veux le voir Teal’c... il sait lui...

T : il ne se réveillera pas avant un moment, il faut être patient major carter

Teal’c la conduit dans sa chambre et l’installa sur le lit

T : je vais aller à l’infirmerie et je vous tien personnellement informée major Carter... tachez de vous reposer un peut

Sam n’eu pas la force de répondre et agissait comme un automates en l’allongeant sur son lit. Une fois que teal’c eu fermée la porte, elle regarda la pièce autour d’elle, plus rien n’avait de sens... elle serra son oreiller dans sa main et se remis à pleurer sans pouvoir s’arrêter

*******

Teal’c retourna donc à l’infirmerie, il vit devant celle ci Daniel qui attendait avec impatience des résultats, il avait vu l’équipe médicale emmener Jack et l’avait suivit instinctivement

Janet sortit une heure plus tard

D : alors ?

Janet (l’air grave) : malheureusement pour le général carter, il est décédé avant même d’arriver ici...

T : il n’avait plus de pouls sur Tirzat...

D : ho mon dieux...

H : c’est une triste nouvelle...

D : et... et pour jack ?

Janet : il est vivant...

H : que c’est-il passé docteur Frasier ?

Janet : vous allez avoir du mal à l’admettre, mais il se trouve que le colonel O’Neil ait survécu par la mort du général carter...

H : expliquez vous ?

Janet : le colonel à hérité de Selmac, ça lui a sauver la vie

D : quoi ?

Janet : d’après les examens que j’ai pratiquer sur eux, Jacob n’avait aucune raison de mourir, je pense donc qu’il a fait ça pour sauver le colonel .

H : ... mon dieux...

Janet : le colonel nous en expliquera plus à son réveil

H : ... comment va-t-on annoncer ça à sa fille... ?

D : je le ferait si vous voulez général...Sam est une amie...

H : non, c’est à moi de le faire, Jacob était un très bon ami...je... excusez moi... je vais aller un instant dans mon bureau...

Janet : venez me voir si ça ne va pas général...

H : .. merci docteur ...

Le général repartit dans con sens

D : et dans combien de temps Jack se réveillera-t-il ?

Janet : avec sa blessure et selmac, je dirait que nous avons la nuit... allez vous coucher messieurs, nous aurons les idées clair demain

D : mouais... à plus tard

******

toc...toc...toc...

S : ...

H : Sam, c’est moi... je peut entrer ?

S : ...

Hammond ouvrit la porte, il vit Sam allongée sur le lit, les yeux rouges et grand ouvert, fixant un point imaginaire, la dernière fois qu’il l’avait vue comme ça c’était pour la mort de sa mère, et pendant toutes ces années il avait crue ne jamais avoir à revoir Sam dans cet état

H : Sam...

S : mon général....

H : je ne viens pas en tant que général ma puce... il faut que tu soit forte...

S : ... c’est...c’est...

H : je sais que c’est dur... ton père n’aurais pas aimer te voir dans cet état

S : mais il est...

H : je sais

Il pris la main de Sam dans la sienne

H : il repose auprès de ta maman maintenant

Il avait l’impression qu’elle avait à nouveau 15 ans quand elle était comme ça, il revoyait la petite fille abattue avec ses long cheveux et un photo de sa mère entre les doigts

H : il faut que tu sache autre chose...

S : quoi ?

H : le colonel va bien...

S (absente): tant mieux... j’irais le voir plus tard...

H : il faut que tu sache que...

S ; que quoi ?

H : c’est ton père qui a sauver jack.

S : ... hein ???

H : c’est ce que nous supposons... selmac est dans le corps de Jack ...

S : ... quoi ? mais...

H : nous en saurons plus avec le réveil de Jack, mais je tenais à te prévenir par moi même

S : mon père à sauver le colonel ?

H : c’est ce qui semble le plus vraisemblable... ton père n’avait aucune raison de mourir, il n’a pas été touché pendant la bataille

S : ho mon dieu...

H : il faut que tu te repose maintenant

S : je...

H : allonge toi je vais éteindre la lumière

S : ...

Hammond sortit de la pièce, ses yeux commençaient à devenir rouge également il fallait qu’il aille à son bureau afin de s’isoler un peut.

********

le lendemain

micro : SG1 est appelé en salle de Briefing, je répète, SG1 est appelé en salle de briefing

Daniel passa chercher Sam, elle avait une tête épouvantable, mais les larmes et la chagrin avaient réussit à la faire dormir sans qu’elle ne s’en soit rendue conte

Ils arrivèrent en salle de Briefing ou ils trouvèrent Hammond et Teal’c

D : que ce passe-t-il général ?

H : asseyez vous, le docteur Frasier m’a annoncer que le colonel O’Neil s’était réveillé et qu’il allait mieux, elle est partie le chercher pour qu’il puisse nous expliquer ce qui c’est passer...ça va mieux major carter ?

S : ... ça va aller général...

H : je comprendrais si...

S : je vous dit que ça va aller

Janet fit son apparition avec jack dans un fauteuil roulant, il avait lui aussi les yeux rouges, il semblait être l’ombre de lui même

H : bonjour colonel...

Jack leva les yeux sur lui mais ne dit pas un mot

H : jack... nous aimerions savoir ce qui c’est passé pendant le mission...

A la surprise de tous, c’est selmac qui pris la parole une fois que jack eu baisser la teste

Selmac : bonjour à tous... je suis désolé mais jack a encore du mal à accepter ce qui c’est passer... moi aussi...Jacob et moi étions très proches...

Après s’être remis de cette impression étrange...

H : racontez nous ...

Selmac : jack était touché et Jacob avait été sauvé grâce à lui... mais il allais mourir si on ne faisait rien. Jacob et moi avons discuter avant de prendre cette décision, mais elle nous semblait la meilleur. Nous devions sauver jack

S : ...et mon père... ?

Selmac : Samantha... je suis désolé, mais c’est ce qu’il voulais...

H : et pour la suite ?

Selmac : je vais devoir trouver un nouvel ôte, et avec la cérémonie des Tok’Ra, jack sortira en vie de ce transfère... je tien à vous préciser Samantha, que Jack était contre cette idée, il ne voulais pas que je prenne son corps, mais contre sa volonté et celle des Tok’ra, nous l’avons fait quand même

S : pourquoi ?

Selmac : pour vous.

S : ... mais.. mon père est...

Selmac : c’est un grand drame, je sais, j’en suis moi même très affecté, mais je pense que le reste c’est à jack de vous le dire, il est encore très traumatisé de ce qui c’est passé, il ne voulais pas que ça arrive.

Selmac/jack baissa la tête, tout le monde compris que jack reprenais possession de son corps, ses yeux se vidèrent, mais il put parler

J : ... pardonnez moi...

D : ce n’est pas votre faute Jack... vous n’y êtes pour rien...

J : je ne voulais pas...

T : nous le savons O’Neil

Janet : je vais le ramener à l’infirmerie, il a besoin de repos

H : tenez nous au courant docteur Frasier

Ils sortirent de la salle de Briefing

H : je pense que tout est plus clair maintenant... vous avez quartier libre jusqu'à nouvel ordre...

Il se leva et partit à son bureau

D : ça va Sam ?

S : ... ça va aller Daniel...je... j’a besoin d’être seule...

Elle se leva et sortie de la salle à son tour

D : nous avons un sérieux problème

T : je pense aussi

D : Jack Sam et Hammond vont avoir du mal à s’en remettre

T : il nous faudra être présent pour eux

D : allons voir Janet pour en savoir plus.

*******

l’enterrement du père de Sam avait lieux le lendemain, tous étaient présents, Jack était dans un fauteuil roulant, il n’avait pas eu la force de parler à Sam, mais il devait prononcer quelques mot pendant la cérémonie à laquelle étaient invités certains Tok’ra. La cérémonie se déroulait dans la salle d’embarquement, la porte des étoile ouverte vers la planète sur laquelle Jacob les avaient quitter

H : ...je vais donc vous laissez, le colonel O’Neil et selmac doivent désormais prendre la parole

Jack roula jusqu'à la scène mais ne monta pas dessus

J : ... Jacob... Jacob m’a sauver la vie en échange de la sienne...vous avez toutes les raisons de m’en vouloir...je m’en veux moi même. Mais ce jour là... Jacob m’a demander de respecter sa plus grande volonté, je tien à lui dire s’il m’entend là ou il est... qu’il n’a pas de souci à se faire, que malgré tout j’aurais accéder à sa demande. Jacob était un homme grand pour qui j’avais et pour qui j’ai toujours un profond respect. Et en ce jour... en ce jour...

Selmac pris la parole

S : excusez le colonel O’Neil... je tien moi aussi à parler de Jacob à vous tous qui avez étés ses amis, ses collègues et sa famille. Jacob aimait jack comme un fils, c’est pourquoi il lui a parut naturel de donner sa vie pour lui, ne lui en veuillez pas c’est tout ce qu’il demande. J’ai été le symbiote de Jacob pendant deux années... deux très bonnes années, il a été un ôte et un partenaire de route exemplaire dans bien des domaines. Je le remercie de m’avoir accueillis, et je lui souhaite d’avoir trouver ce qu’il cherchait là ou il se trouve.

Selmac/jack repartirent vers les autres

Sam s’approcha alors avec Hammond à son bras, ils passèrent tous deux la couronne de fleur à travers la porte, puis celle ci se referma. Le général fit alors le salut militaire, et chaque nation présente fit un hommage à sa manière, soit en saluant, soit en baissant la tête.

Sam partit sans se faire remarquer, elle parcourait les couloirs de la base sans trop savoir ou elle allais, puis se retrouva dans ses cartiers

Toc...toc...toc...

S : ...

J : je peut entrer?

S : ... oui

Jack ouvrit la porte et entra

J : je... je voulais vous parler...

S : rassurez vous mon colonel, je ne vous en veux pas pour ce qui c’est passer... mon père a agit en connaissance de cause

J : merci...mais je suis venu vous parler au nom de votre père...de ce qu’il m’a dit en ...

S : en mourrant ?

J : ... oui

S : je ... je vous écoute.

J : il, il m’a demander de vous dire qu’il vous aimait, et je sais maintenant grâce à selmac... qu’il vous aimait plus que tout au monde...

S (se retenant de pleurer) : ... merci... ça me touche beaucoup

J : il n’aimerais pas vous voir dans cet état

S : vous non plus

J : je sais, mais moi j’ai un serpent dans ma tête alors je peut protester

S : ...

J : il m’a aussi demander de prendre soin de vous

S : ...ha...

J : je l’aurais fait de toute façon... vous savez qu’il...ho et puis après tout, tout ça n’a plus d’importance alors je peut bien vous le dire ! : quand nous nous sommes retrouver seul, il m’a fait comprendre à quel point je tenais à vous

S : et ça n’a plus d’importance ?

J : ce qui n’a plus d’importance c’est que je ne vous le dise pas...c’est pour ça que je vous en parle...

S : merci pour tout

Jack se rapprocha de Sam

J : je ne veux pas que vous soyez triste, votre père continuera de survivre, à travers selmac en tout cas, il le connaissait par cœur.

S : je...je le sais, et plus j’y pense et plus je me dit que mon père a pris cette décision de bonne fois... mais... mais pourquoi ne pas nous avoir appeler ?

J : c’est moi qui ne voulais pas ... il était trop tard et je ne suis pas doué pour les adieux

S : vous seriez mort sans même nous appeler ?

J : je ne voulais pas que vous me voyez dans cet état Jacob a accéder à ma demande.

S : je savais au fond de moi que quelque chose s’était passé, je le sentait

Jack et Sam arrêtèrent de parler pendant un moment, puis jack se mit à rire doucement

S : quoi ?

J : c’est selmac, il est en train de me remonter le moral...

S : il y arrive ?

J : il me compare à votre père et à ses pensée... il est en train de me dire que Jacob avait raison sur toute la ligne... mais je vais finir cette discussion interne plus tard

S : on vous sépare de selmac demain mon colonel

J : pas trop tôt... aille ! ... excusez moi mais il viens de me mordre... ça fait un mal de chien

S : avouez moi une chose... c’est une des méthodes de selmac et de mon père ?

J : quoi ?

S : ils savent que vous êtes le seul à pouvoir me remonter le moral

J : on dirait bien un complot en effet... mais ayant peur de dire quelque chose que mon colocataire qui ne paye pas sa taxe habitation pourrait mal interpréter, je préfère arrêter là

S : je comprend... à plus tard mon colonel

J : reposez vous bien major

********

le lendemain, sur Vorach

Anise : l’opération est un succès, le colonel O’Neil va se réveiller d’ici quelques minutes

S : comment va selmac ?

Anise : son nouvel ôte lui conviens parfaitement tout c’est bien passé

Le nouvel ôte et jack firent leur apparition

S : mon colonel vous êtes encore faible !

J : ça va carter... ne vous en faites pas

Le nouvel ôte parla au nom de selmac

Selmac : mon nouvel ôte est quelqu’un de bien... mais je regrette votre père

J : au fait selmac, je vous interdit de divulguer ce que vous avez trifouiller dans mon cerveau !

Selmac : vous n’avez pas le droit de refuser votre part d’héritage Jack

H : quel héritage ?

Selmac : celui de Jacob, Jack sait de quoi je veux parler...

Un regard passa entre eux

H : bien, nous allons retourner sur terre maintenant

Selmac : au revoir à tous, et merci

S : prenez soin de vous

Selmac (dans l’oreille) : votre père aurait été fier de vous Samantha, vous non plus ne refusez pas ce qu’il vous laisse...

SG1 repartit sur terre, jack avait été complètement soigné par la présence de selmac et part les soins de Janet. La tristesse était toujours présente, mais elle s’atténuait, tout le monde comprenait que Jacob avait fait un choix, et il fallais le respecter et passer à autre chose maintenant.

********

sur terre.

Sam était dans son labo, il fallait qu’elle pense à autre chose qu’a la mort de son père, il fallais avancer dans la vie.

Toc...toc... toc...

S : entrez

J : comment allez vous?

S : dans la mesure du possible je dirait que ça va

J : je voulais vous parler... j’attendait que selmac me laisse un peut d’intimité

S : il était si prenant ?

J : vous n’avez pas idée... j’ai eu en même temps ces souvenirs et ceux de votre père... d’ailleurs, je ne savait pas que vous étiez une peste à ce point quand vous étiez petite ! vous avez fait accuser votre frère pour toutes vos bêtises !

S : ne me forcez pas à devoir vous éliminer mon colonel

J : je garderais ça pour moi... en fait si je suis venu vous voir, c’est parce que je ne voulais pas que la mort de votre père ne serve à rien

S : elle vous a sauver la vie mon colonel

J : et je vous remercie de ne pas m’en tenir rancune

S : je vous en ai voulu au début, mas j’ai compris

J : moi aussi j’ai compris... je voulais profiter de cette deuxième chance pour ...

S : pour quoi ?

Jack se rapprocha de Sam

J : savez vous pourquoi votre père m’a laisser vivre ?

S : je pense en avoir ma petite idée

J : dites.

S : il savait à quel point votre mort aurait été insupportable pour moi.

J : en mourant votre père m’a fait deux cadeau, la vie, et vous

S : moi ?

J : il m’a donner l’occasion de vous dire à quel point je me sent seul sans vous... je...

S : ne dites pas quelque chose que vus pourriez regretter mon colonel...

J : je ne le regretterait pas, car ce jour là, mon seul regret était de ne jamais vous avoir dit combien je vous aimait... vous n’êtes pas obligée de répondre quoi que ce soit, je voulais juste vous le dire, et vous dire aussi que quoi qu’il arrive par la suite, vous pourrez toujours conter sur moi...

Sam s’approcha de lui et l’embrassa timidement

S : je vous aime aussi

J : ...je ...j’ai bien entendu ?

S : oui

J : oh mon dieux...

Il l’embrassa à nouveau

J : dis moi que je ne rêve pas

S : impossible

J : pourquoi ?

S : parce que je ne sais pas si je ne suis pas moi même en train de rêver... j’ai l’impression d’avoir fait un cauchemar... que tout ça n’est jamais arriver ...

Jack se recula un peut d’elle pour la regarder

J : nous y arriverons ensemble

S : j’en suis sure

Jack et Sam s’embrassèrent à nouveau tendrement, mais au bout d’un moment, Jack se remis à rire

S : qu’y a-t-il de si amusant

J : ton père avait parié 50 billet sur nous

S : sur nous ?

J : nous avant Janet et Daniel

S : j’ai honte de dire que je lui aurait bien botter les fesses !

J : paix à son âme