Petits jeux entres amies
Auteur : marge
Résumé : ben Sam et Janet décident de passer le temps intelligemment
Genre : humour (mais pas parodique quand même…quoi que…) romance !!!!
Disclaimer : a moi !
Note de l’auteur : ben voilà…ça faisait un moment, c’est dur !
DONNEZ MOI VOTRE AVIS !!!!!!!!!!!
PETITS JEUX ENTRE AMIES
Sam et Janet étaient assises sur le sofa en sirotant une petite vodka orange, elle riaient pour un rien et parlaient fort sans s’en rendre compte, heureusement que cassi était chez une amie, si elle les aurait vu dans cet état, et elle ne s’en serait pas remise de si tôt.
Janet : je crois qu’on devrait se calmer si on veux pas ameuter les voisins
S : tu as raison…mais on a bien le droit de s’amuser un peu quand même !!!
Janet : on le mérite ! levons nos verres…à … à …à nous !
S : tu as raison ! à nous !
Elle triquèrent et avalèrent tout le contenu du verre d’un trait
Janet : ça fait du bien de se détendre un peu
S : ces derniers mois ont été un calvaire !
Janet commença à rire
S : quoi ???
Janet : je repensait à la fois où tu as sauté sur jack pour ne pas qu’il se fasse toucher… tu airais vu sa tête !
S : …je l’ai vu sa tête ! on était presque collé !
Janet : tu aurais vu les regards que tout le monde se lançait alors…
S : et toi quand tu as battus danny aux dames alors que c’était ta première fois, il était vert de rage, et a mis deux jours pour s’en remettre
Janet : il faut passer le temps intelligemment quand on peut, et profiter de s’amuser
S : tu as raison, on devrait faire un règlement comme quoi on doit s’amuser à la base !
Janet : bonne idée !
S : quoi ?
Janet : on va s’amuser à partir de maintenant !
S : au diable le travail !… je n’arrive pas à croire que c’est moi qui ait dit ça !
Elle se mirent à rire
Janet : et si on s’amusait en travaillant ?
S : comment ?
Janet : j’avait une amie avec qui on jouait à ça pendant l’année de terminale, c’était…très intéressant
S : raconte !
Janet : j’ai l’impression de retomber en enfance… mon dieux ça me rajeunit pas !
S : mais raconte !
Janet : où j’en était… ha oui ! les défis !
S : des défis ???
Janet : chacune notre tour on donne un défi à l’autre, seule nous deux devons être au courant, et hors de question de refuser, ni de demander quelque chose de trop dur à faire quand même. Il faut que ça reste un jeu.
S : mais comme quoi ?
Janet : … je ne sais pas … par exemple…tien ! ton premier défit si tu acceptes le contrat sera de… je ne sais pas si tu vas accepter…
S : parle !
Janet : très bien, demain c’est ta journée au labo…je sais que le colonel viens te voir souvent… tu v’as t’arranger pour le frôler le plus possible !
S : quoi ?
Janet : c’est juste comme ça pour un jour, à toi de m’en donner un !
S : …. Tu vas…ho mon dieux… je crois que j’ai ce qu’il te faut !
Janet : quoi ?
S : tu vas me tuer !
Janet : promis que non !
S : ok, alors demain, tu passe la journée sans sous-vêtements !
Elles se mirent à rire de nouveau
Janet : juste ma blouse et mes vêtements ?
S : ouais ! tu dois faire les visites médicales en plus…
Janet : toute la base va passer entre mes mains !
S : je sais…mais ils ne vont rien remarquer, c’est juste pour rire un peu !
Janet : pari tenu ! mais toi n’oublis pas le tien !
S : promis !
Elle finirent un autre verre
S : je crois que… je crois que je vais vomir…
Janet : pas grave, j’en ai vu d’autres ! … moi aussi de toute façon…
*******
Le lendemain, Janet fit ce que Sam lui avait demandé dans son pari, et Sam attendait dans son bureau, un peu anxieuse, mais avec un sourire en coin, elle n’avait jamais autant rit que la veille, et elle se dit que c’était un bon moyen de passer le temps avec une amie.
Toc toc toc…
S : oui?
J: c’est moi, je peux entrer?
S : bien sur mon colonel.
Elle décida d’attaque tout de suite, elle alla vers lui, ouvrit un placard qui se trouvait derrière lui et en sortit quelque chose. Lui, avait retenu sa respiration, mais elle, elle avait fait ça le plus naturellement du monde
J : je venais voir si ça allait ?
S : je vais bien mon colonel
J : il paraît que vous êtes sortie hier ?
S : oui, j’étais chez le Docteur Frasier
J : cassi va bien ?
S : sûrement oui.
J : elle n’était pas là ?
Sam sourit à cette vision de elle et de Janet avachie ivres mortes sur le canapé
S : non mon colonel… tenez, assaillez vous si vous voulez
Il pris le tabouret haut. Elle fit mine de cherche encore quelque chose et passa derrière lui en le frôlant à peine, mais suffisamment pour qu’il en ressente une gène.
J : bon, je vais vous laisser travailler finalement… à plus tard major !
S : à plus tard mon colonel
Il sortit, et elle resta là avec un sourire triomphal, elle avait réussit, et trouvait même ce jeu assez divertissant.
******
De son côté, Janet essayait de ne pas paraître gênée, mais c’était relativement dur … elle n’y pensa plus lorsqu’elle commença à rédiger ses rapports, mais s’en souviens lorsque SG1 arriva pour la visite médicale. Sam lui faisait un sourire non dissimulé et Janet eu du mal à cacher le sien.
S : (frôlant Jack) je vais me mettre là bas...
Janet avait bien compris son manège et la gratifia d’un regard, Sam avait fait ça pour qu’elle ne puisse pas dire qu’elle n’a pas honorer son pari.
Tout d’un coup, les trois hommes dans la pièce se sentirent seuls, comme si les deux femmes se comprenaient sans rien dire
D : y a pas un truc qui cloche ?
J : je pensais à la même chose
Janet : allez messieurs, assaillez vous, je vais vous examiner.
Pendant toute la visite médicale, Sam ne cacha pas son sourire presque trop voyant, essayant de mettre Janet mal à l’aise. Quand enfin le docteur s’occupa de son cas, elle purent parler à voix basse
Janet : de ton côté ?
S : trois fois ! et toi ça va ?
Janet : arrête de me faire rire et ça ira !
S : désolée mais je ne peux pas m’en empêcher
Janet : j’aurais ma vengeance !
S (ironique) : tu me fais peur !
Janet : ho mais méfie toit! tu ne sais pas de quoi je suis capable…
S : j’attend de voir !
Le contrat était signé, Sam et Janet avaient décidé de continuer ce petit jeux jusqu'à ce que ça ne les amuse plus, où jusqu'à ce qu’elles n’aient plus d’idées.
J (dans l’encadrement de la porte) : bon, on va pas s’éterniser, on a un briefing sur le feu nous !
Sam passa entre lui et la porte sous le regard amusé de Janet, jack étant trop troublé pour se rendre compte de quoi que ce soit ne vit rien que son major passer tout contre lui…
Briefing
H : bonjour SG1, comment allez vous ?
J : d’après le doc. on va plutôt bien !
H : alors c’est parfais… ce n’est pas que je ne vous crois pas….mais j’attendrais ces dossiers.
J : pourquoi est-on là mon général ?
H : une mission colonel ! comme vous les aimez !
S : c’est à dire mon général ?
J : major…ça veux dire…soleil, plage, pêche, et un petit jaffa qui c’est perdu dans le coin !
H : pas exactement colonel, ma phrase était purement ironique…
J : vous faites de l’humour maintenant ?
H : vous allez sur P4C 472, une planète paisible pour des essaient scientifiques !
J : quoi ?????
S : de quel type mon général ?
H : relevés atmosphériques, étude du sol
S : quel est le but de cette mission général ?
H : nous apporter des informations scientifiques major, vous partez demain à 7H
J : mon général ….
H : ne vous en faites pas colonel, vous serez rentrés pour le soir même. Est-ce clair pour tout le monde ?
Après un « oui » plus ou moins partagé par jack, tout le monde pu sortir de la pièce.
J : major vous allez vous amuser !
S : je pense oui, les relevés que le sonde a ramenées étaient vraiment très intéressantes !
J : pffff…
S : vous n’avez pas l’air si enthousiaste que moi mon colonel.
J : vous supposez bien major
D : allons Jack ! ça va pas vous tuer quand même
J : on ne sais jamais, c’est toujours à ce moment que débarquent tous les serpents qu’on connais et qui veulent notre peau !
S : cette planète n’a apparemment pas de Naquada à sa surface, il y a peu de chance pour que ça arrive mon colonel
J : ben alors des primitifs ou des gens qui vont vouloir nous couper la tête, et si c’est pas des individus normaux c’est des méchants virus ou des trucs extra-terrestre , ou encore même….
Tout le monde se sépara dans le couloir, laissant Jack seul expliquant sa théorie.
J : … toute façon j’ai toujours raison ! … enfin presque…
*********
plus tard, cartiers de Sam
toc toc toc …
S : entrez!
Janet passa la porte et la referma derrière elle
Janet : bilan journalier ?
S (souriant) : pourquoi pas…
Janet : pour moi ça a été plutôt bien…si on considère que j’ai passer ma journée à voir tous les hommes que j’ai rencontrer comme des amants potentiels…
S : à ce point ?
Janet : bref…et toi ??
S : moi ça a été plutôt bien comme tu as pu le voir
Janet : je n’aurais pas cru que tu le ferais
S : tu t’es trompée
Janet : visiblement oui ! et j’en suis contente !
S : et maintenant ?
Janet : on continu ?
S : ouais !!!!!! …juste un hic…demain je part en mission pour toute la journée…
Janet : pas grave, j’avais justement quelque chose de parfais pour toi !
S : quoi ?
Janet : tu vas t’arranger pour que toutes tes théories soient quelque peu ambiguë
S : comment ça ?
Janet : cherche toute seule ! tu crois que je vais te donner la solution !
S : ça va être facile vu que personne ne m’écoute quand je parle
Janet : justement c’est à toi d’utiliser les bons mots !
S : ok…je vais essayer
Janet : j’assisterais à votre départ et à votre retour…mais je compte sur toi pendant la mission aussi
S : parfais ! et toi...laisse moi réfléchir…HA oui !!! tu attends mon retour, ce sera une petite surprise…
Janet : dis moi !!!
S : non, tu le sauras demain soir…mais ne t’en fait pas, ça devrait te plaire !
Janet : je te fais confiance alors, j’attendrais.
S : il faut que ça reste entre nous ! personne ne doit savoir !
Janet : parce que tu crois que je vais le dire à quelqu’un peut être ?
S : bien sur que non.
Janet : bon je vais y aller, les résultats des tests de SG2 doivent êtres revenus, et n’oublis pas de préparer ton défit
S : compte sur moi !
Janet sortit de la chambre de Sam
D : hey ! docteur Frasier !
Janet : tout va bien Daniel ?
D : oui, je vous remercie… vous êtes encore réveillée à cette heure ?
Janet : vous aussi !
D : exact…Sam va bien ?
Janet : oui pourquoi ?
D : vous sortez de sa chambre...je me suis dis qu’elle aurais pu être malade …
Janet : c’est gentil à vous de vous inquiéter pour Sam, mais elle va très bien, je suis juste passer la voir…bonne nuit Daniel !
D : bonne nuit Janet !
Puis il repartit vers ses cartiers en finissant de lire son 10ème tome de la collection complète de « chercher à comprendre les autres civilisations »
*******
le lendemain, salle d’embarquement
H : tout est prêt les enfants ?
J : ça va général…néanmoins je tenais à dire que…
H : vous irez que ça vous plaise ou non colonel !
J : bahhh !
H : major tout est prêt ?
Janet la regardais avec insistance du haut de la salle de contrôle
S : la sonde n’a rien détecter depuis sa pénétration sur la planète général, mais les conditions climatiques sont bonnes , alors j’ai prévu un appareil qui calculera l’excitation de l’engin quand il entrera en marche.
Janet la gratifia d’un grand sourire qui passa inaperçu à part pour Sam. Après un bon secouage de tête…car ça avait un effet d’images subliminales pour les autres cerveaux en présence
J : allez les enfant ! on y va !
Tout le monde suivit dans le vortex.
J : alors ?
D : rien !
T : pareil O’Neill !
S : RAS mon colonel
J : bon, alors on peut relâcher la pression ! combien de temps il vous faut major ?
S : je dirais …la journée mon colonel !
J : haaa oui, c’est vrai qu’on est là pour ça !
D : comme si vous aviez déjà oublié jack
J : j’aurais aimer… tan pis.. bon ben au boulot comme ça on va essayer de rentrer le plus vite possible quand même
S : à vos ordres
Sam partie vers l’engin et ses instruments
D : n’ayant pas la moindre ruine à explorer j’en conclu que nous sommes tous réquisitionnés pour Sam ?
J : exact, vous avez trouver ça tout seul ?
D : on pourrait l’aider ?
J : vous y connaissez vous en matière organique ou autre chose comme ça ?
D : ..ben…non pas vraiment
J : alors allons faire un tour !
D : mais…
J (criant pour qu’elle entende) : carter !!!
S : OUI ???
J : je vous laisse avec Teal’c, on va surveiller le coin avec Daniel !
S : avec Daniel ????
D : ben…pourquoi pas avec moi ?
S : ho pour rien…je vais rester avec Teal’c mon colonel !
J : bien…allons y…
Un peu plus loin
D : c’est vrai que d’habitude c’est Teal’c qui part en reconnaissance avec vous.
J : la dernière fois il n’a pas voulu que je fasse une sieste !
D : alors c’est ça le but ?
J : juste une petite heure Danny, il est 8 h du mat, c’est encore un peu tôt pour moi !
D : alors ok, au risque de vous surprendre, j’ai pas fermer l’œil, d’ailleurs je suis surpris que Sam ai autant la force ce matin !
J : pourquoi ?
D : j’ai croisé Janet sortir de sa chambre hier, il était très tard, et là elle à une forme qui m’épate
J : tant mieux pour elle, mais moi, j’ai un bon petit lit auprès de cet arbre et j’ai envi de savourer le coin tant qu’on est à l’ombre
D : c’est vrai qu’il fait chaud ici…il doit être midi sur cette planète.
J : allez, bonne nuit danny
D : à tout à l’heure…
Il s’adossèrent et s’endormirent rapidement, à l’ombre, plutôt détendus…pendant ce temps Sam s’activait dans ses recherches, Teal’c l’aidait dans ses travaux, il se contentait d’extraire certains matériaux du sol non connus pour le moment sur terre.
Daniel et Jack revinrent une heure plus tard comme prévu…
S : bien dormi ?
J : pardon ?
S : je vous demandait si vous aviez bien dormi mon colonel.
D : mais…
S : vous avez une marque d’un arbre sur la joue Daniel !
J : ha ça !! non ! c’est moi qui lui ai collé un poing
D : mais…
J : qu’avez vous trouvé de beau pendant que nous surveillons le coin ?
S : … il se trouve que ce sol est extraordinaire mon colonel, regardez ces deux composés différents, si on les rapprochent l’un de l’autre, ils s’attirent comme des aimants, et si on les emboîtent, ils fusionnent et ne font plus qu’un ! là ça deviens intéressant…
J : ho mais ça l’était déjà major…
S : il se trouvent que ces deux molécules sont complémentaires, l’une s’emboîte dans l’autre, on le remarque au microscope, donc elles s’accouplent si l’on puis dire et ne peuvent plus se détacher l’une de l’autre, elles ont fusionné ! puis elles deviennent dure comme le marbre.
J : je crois que j’ai saisit carter… pour une fois !
D : à quoi peut-on comparer ça sur terre ?
S : à rien justement ! Mais peut être aux êtres humain…si vous me permettez la comparaison…
J : …et il reste quoi à faire ?
S : une série de tests avec un autre couple de roches, l’une est rouge, l’autre est couleur terre.
J : pourquoi ? les autres étaient comment ? fluo ?
S : l’une ressemblais à du sable et l’autre à du souffre mélangé à du charbon, mais leurs compositions sont différentes de chez nous !
D : quelque chose à l’air de vous tracasser Sam …
S : en effet… il faut que je comprenne comment les deux premières pierres font pour ne pas s’attirer mutuellement dans la nature, apparemment les loi de la physiques sont encore bouleversées car elle ne fusionnent que si on les mets à moins de 10 cm l’une de l’autre, il doit y avoir un champ de force autour d’elles… c’est la seule explication que j’ai trouver pour le moment !
J D T : …
J : c’est déjà ça…
S : c’est ce que je pense aussi (dans sa tête) si Janet était là…mais j’aurais pu faire mieux…
Puis elle se mit à sourire à cette pensée, pour ne pas se faire voir, elle se retourna pour finir son travail.
D (à jack) : elle va le dire comme ça dans son rapport ?
J : si elle fait ça les mecs du pentagones vont rappliquer en moins de dix minutes !
D : .. je pensais avoir été le seul à avoir eu un doute
T : quel doute docteur Jackson ?
D : rien du tout Teal’c… ce doit être une coïncidence…
J : exact ! allez, au travail !
D : ...n’empêche, je vous avais dit qu’il lui fallait un homme dans sa vie !
Le soir venu, Carter avait finit ces tests et s’apprêtait à revenir sur terre avec des échantillons. Elle avait décider d’attendre d’être en salle de briefing pour expliquer ce phénomène, en fait, elle ne voulais pas avoir à le faire deux fois…
********
Tout le monde se réunit en salle de briefing, Janet eu la permission d’assister à la réunion prétendant que Sam avait eu des vertiges pendant la mission et qu’il était préférable qu’il y ai un médecin pas loin
H : alors major ?
S : c’est parfais mon général.
H : parfais comment ?
S : je pense que ces découvertes devraient intéresser la terre
H : ça nous serait d’une grande aide pour poursuivre le programme stargate
S : c’est ce à quoi j’ai penser également.
H : nous vous écoutons major.
Sam lança un regard à Janet, mais ne s’y risqua pas trop longtemps sous peine de rire ou de ne pas paraître crédible, puis elle se lança.
S : comme je l’ai expliquer aux membres de SG1 mon général, j’ai découvert deux roches que j’appellerais X et Y dans mon rapport pour être plus précise, ces deux roches s’attirent mutuellement quand on les approchent l’une de l’autre, il semblerais que ce soit du à un phénomène d’excitation des cellules qui finissent par fusionner ensemble. Ce qu’y n’est pas pour nous déplaire c’est qu’elle deviennent dure comme le plus dur des métal. deux autres roches ont aussi des particularités intéressantes…elles s’attirent comme les précédentes, mais la pierre rouge se contente d’englober la brune, sans la détruire, elles ne se mélanges pas alors qu’elles le devraient comme les deux autres. Certainement parce que la pierre brune est dure comme le silex, et que l’autre est plus malléable.
H :mais que peut on faire de ces roches ?
S : elles sont en quantités abondantes, il n’y a plus qu’a les ramasser, les deux couples de pierres peuvent êtres travaillées pour faire des armes ou des mesures de protection mon général.
H : colonel ?
J : … moi ?? ha.. aucun danger à signaler monsieur.
D : vous étiez dans vos pensées Jack ou vous écoutiez Sam ?
J : un peu les deux…
H : une équipe de recherche ira récolter les pierres pour les étudier à Washington, je vous remercie les enfants, Major, c’est du bon travail…mais revoyez un peu votre argumentation…
S : plus technique monsieur ?
Janet cru qu’elle allais étouffer, la prestation de Sam n’avais pas été très convaincre pour le moment, mais le coup de grâce était pas mal
H : non…juste…plus scientifique c’est pour le pentagone !
S : a vos ordres monsieur
H : le briefing est terminé, l’équipe scientifique ira demain chercher les pierres, accompagné de vous Teal’c, si vous n’y voyez pas d’inconvénients ?
T : aucun général.
H : parfais. Rompez !
Tout le monde quitta la pièce peu à peu, Janet attendis Sam à l’angle du couloir et elles partirent tourtes les deux.
S : alors ?
Janet : pas mal pour un début
S : on se retrouve dans dix minutes devant la salle 214
Janet : pourquoi ?
S : pour ton défit !
Puis Sam partie tranquillement
*******
Janet : alors que dois-je faire ?
S : prend ces papiers.
Janet : qu’est ce que c’est ?
S : aucune importance, ils viennent droit de ma poubelle
Janet : et ?????
Sam se tourna vers le mur qui était dans leur trajectoire de vue
S : entre et fait tout tomber, tu ressort avec tous les papiers en main
Janet : mais…
S : ça ne vas pas te tuer, tu es médecin
Janet : oui mais les seuls hommes nus que je vois sont soit des petits amis, soit des morts que je doit autopsier
S : focalise toi sur l’un d’eux d’en ce cas
Janet s’empara des dossiers, seulement composé de feuilles volantes et s’avança en regardant le paquet de feuille, si quelqu’un la voyais, au moins, elle aurais une excuse : l’inattention !
Elle ouvrit la porte d’une grande volée, et regarda ou elle se trouvait… le vestiaire des hommes. Elle imita tellement bien la surprise qu’elle en fit tomber tous ces papiers
Janet : je…heu… je…
D : qu’est ce que???????
J : DOC ???????????
T : docteur Frasier vous avez perdu quelque chose ?
J : mais vous ne voyez pas qu’elle est dans les douches des hommes ?
T : et alors ?
J : et alors c’est pour les hommes !!!!!!
Janet (ramassant ses papiers) : je suis désolée, je n’ai pas fait attention…
Daniel s’approcha avec une serviette autour de la taille
D : c’est pas de votre faute…attendez…je vais vous aider.
Janet : non ça va aller merci !
Mais Daniel l’aidait déjà à rassembler tous les papiers éparpillés dans toute la pièce. Janet fit quand même un tour d’horizon et remarqua deux membres de SG7 dans le fond, deux techniciens et un manutentionnaire du 25ème étage. Après avoir tous les papiers en main, elle se redressa
Janet : veuillez m’excuser messieurs
J : ben sortez maintenant !
Janet : colonel j’ai déjà eu affaire à vos fesses alors ce n’est pas ceci qui va vous perturber quand même !
Jack ne savais plus ou se mettre
D : à ouais ???
J : piqûre !
Janet : comme sur vous tous messieurs…je vous laisse
J : pas trop tôt !
Janet : au moins je suis rassurée que vous êtes tous en parfaite santé !
Puis elle sortit des vestiaires avec un sourire de triomphe
S : alors ?
Janet : il manquait ce grand blond du niveau 26 …dommage !
Elles repartirent vers leurs cartiers pour poursuivre la discutions
Pendant ce temps…tout le monde était sortit des douche, il ne restait que les trois membres de SG1
J : mais qu’est ce qu’y se passe en ce moment ?
D : je ne sais pas, mais c’est louche
J : vous trouvez aussi ?
T : quoi colonel O’Neill ?
J : Teal’c, vous ne trouvez pas que Carter et Frasier sont…différentes ?
T : en effet colonel
J : je le savais !
T : ce n’était pas très dur à voir, ce sont des femmes colonel.
J : mais ça je le savais…mais vous ne les trouvez pas différentes de d’habitude ?
T : le docteur Jackson m’a expliqué un jour que ça pouvait venir des hors normes
D : non, les HORMONES !
J : ça m’étonnerais.
D : on se fait peut être des idées
J : j’espère
T : je peux les surveiller si vous voulez ?
J : bonne idée !
D : jack on va pas les faire surveiller quand même !
J : Daniel, il se passe un truc et je veux savoir quoi ! si ça menaçait la sécurité de la Terre ?? vous y avez penser à ça ???
********
Dans les cartiers sa Sam
S : une bonne journée d’écoulée, je suis contente de mon travail, j’espère qu’il portera ses fruits
Janet : j’en suis sure
S : le projet stargate est encore sur la tangente, c’est pour ça que je m’inquiète
Janet : je m’inquiète aussi figure toi, mais ça n’est pas de notre niveau, tu fais ton travail et c’est parfais !
S : ouais… enfin…
Janet se mit à rire
Janet : tu aurais vu la tête de Daniel quand il s’est penché pour m’aider !
S : raconte
Janet : il ne savais plus ou se mettre le pauvre
S : tu lui as toujours fait peur !
Janet : moi ?
S : bien sur toi !
Janet : pourquoi ?
S : tu es une femme sure de toi et lui un homme peu sur de lui, tu as un tempérament fort, je crois que c’est ça qu’il aime, mais aussi qui lui fait un peu peur
Janet : ne me fait pas passer pour une mangeuse d’hommes !
S : c’est ce que tu es ma chère !
Janet : mais non !
S : j’étais là la dernière fois qu’on a été au bar toutes les deux…tu n’es pas repartie seule !
Janet : c’était un vieil ami…ce n’est pas ce que tu crois.
S : admettons…
Janet : si on passait aux choses sérieuses ?
S : je t’écoute !
Janet : j’y ai pensé un peu aujourd’hui, et …demain, tu vas draguer tous les mecs que tu croiseras !
S : tous ?
Janet : tous !
S : ok… et toi…tu trouves le moyen de te faire passer pour une bombe sexuelle auprès de toute la base !
Janet : comment ?
S : fait courir le bruit
Janet : wow, tu es sure de n’avoir jamais fait ça avant ???
S : ça marche ?
Janet : ça marche pour moi !
S : juste un détail, pour être sure que ça marche, il faut qu’ils aient l’air gênés devant toi !
Janet : mais ils le seront déjà ! je viens de les voir nu Sam !!!!
S : ha oui… alors je veux que ça me retombe dans les oreilles par les bruits de couloirs !
Janet : ça aussi ça va être dur, tous les bruits sont sur toi et le colonel
S : moi et le colonel ?
Janet : ne fait pas l’innocente, pas avec moi !
S : et qu’est ce que ça dit ? … juste par curiosité bien sur…
Janet : ils déforment chacune de vos paroles ou chacun de vos actes, à les écouter vous seriez ensemble depuis 2 ans, vous auriez deux enfants cachés sur des planètes extra-terrestres qui sont nés à vitesse éclair grâce à une technologie aliène, et une autre rumeur dit qu’en fait Hammond vous couvre car c’est lui votre vrai père biologique et pas Jacob…
S : wow…ils en ont dans la tête
Janet : essaye de passer moins de temps dans ton labo !
S : j’essaierais…
Elles discutèrent encore longtemps comme ça, ne se rendant pas compte de l’heure qu’il était, puis Janet se décida à partir, sans savoir que Teal’c était dans l’ombre d’une porte depuis presque trois heures maintenant…
********
le lendemain.
J : alors ?
T : alors vous aviez raison…
J : et ?????
T : elles sont restés dans les cartiers du major pendant trois heures hier, le docteur Frasier à fait très attention avant de sortir, elle a vérifié qu’il n’y avait personne dans le couloir
D : c’est louche
J : plus que louche
D : qu’est ce qu’elles nous cachent ???
J : résumons, elles sont devenues étranges il y a deux jours maintenant…
D : oui je m’en souviens, elles avaient l’air complices
J : la veilles elles avaient passé la soirée ensemble…chez le doc.
D : elles font de drôles d’allusions tout le temps
J : elles ne sont pas sous contrôle extra terrestre au moins ?
D : non, Janet n’as pas bougé de la base
J : vous pensez qu’elles sont…. ?????
D : vous voulez dire…. ????
J : ben ouais….
T: qu’elles sont quoi colonel O’Neill ???
J : ben… Daniel expliquez lui!
D : Rmmm… voilà…disons que sur Terre, les hommes et les femmes sont…comme sur chulack ! et ben il se peut aussi que des hommes aillent avec d’autres hommes et des femmes avec d’autres femmes… vous me suivez ?
T : comme le sergent Jones et le capitaine Vista ?
D : ….possible…
J : bref, on se dit que c’est peut être le cas pour Carter et Frasier… elles sont vraiment étranges…
T : je vais tacher d’y faire attention O’Neil, mais pourquoi ne pas simplement leur poser la question ?
D : parce que c’est….délicat….et qu’elles risquent de mal le prendre. Gardez ça pour vous !
J : les voilà !
D : faisons comme si ne rien était…
Les deux femmes arrivèrent
S : bonjour tout le monde, Teal’c, je peux m’assoire à côté de vous ?
T : …bien sur major Carter
Janet : à quelle heure est votre briefing ?
J : on n’en a pas on est libres aujourd’hui… qu’allez vous faire Carter ?
S : je doit finir mon rapport sur les roches, puis je vais essayer de me changer les idées
D : c’est vrai que le général nous met la pression en ce moment pour ramener des technologies aliènes.
Janet : ménagez vous un peu, à ce rythme vous ne tiendrez pas ! …et croyez moi j’en connais quelque chose sur le rythme.
Jack Daniel et Sam durent faire un effort pour ne pas s‘étouffer en avalant leur petit déjeuné
J : bon, je vais aller finir la paperasse, vous venez Daniel ?
D : moi ??? ou ! bien sur ! j’arrive…
Ils sortirent tous les deux
S : ils sont étranges…
Janet : je trouve aussi
Teal’c faisait semblant de rien et mangeai son yaourt
S : Teal’c ???
T : oui major Carter ?
S : savez vous ce qui ce passe avec le colonel et Daniel ?
T : non major carter, je suis désolé
Janet : mais vous reconnaissez qu’il se passe quelque chose…
T : je ne suis pas habilité à en parler mesdames, veuillez m’excuser.
Puis il sortit de table
S : tant pis
Janet : qu’ils fassent leurs petits secrets, de toute façon ça ne nous intéresse pas !
S : exact !
Janet : sam ???
S : oui?
Janet : à qui fais-tu de l’œil ?
S : au lieutenant Krain derrière toi
Janet : comment réagit-il ?
S : il est assez gêné… je te demanderais de faire passer ça pour un déficit visuel dès demain
Janet : ok
S : bon, je dois aller travailler, on se revois pour manger ?
Janet : à plus tard
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Sam alla finir son rapport dans son labo, elle du se concentrer énormément pour valoriser le projet, car un envoyé du pentagone viendrait d’ici quelques jours pour évaluer le site, beaucoup reposait sur ses épaules, mais depuis deux jours, c’est vrai qu’elle était moins stressée.
La journée passa relativement vite, Sam avait mangé à une table de soldats à midi et avait fait quelques remarques étranges à tout ceux qui portaient quelque chose dans le pantalon… pendant ce temps…
J : vous pensez que c’est pour se couvrir ?
D : possible, elles essayent de faire qu’on ne les soupçonnent pas…
J : quand même, c’est étrange cette affaire…
D : je me trouve un peu con tout d’un coup…
J : et moi alors ??
D : .. ;jack ?
J : quoi ??
D : j’ai presque honte d’avouer que…
J : n’y pensons pas !
D : ok !
J : bonne nuit, à demain !
D : ouais c’est ça…à demain !
Il se séparèrent virilement.
*******
cartiers de Janet
Janet : alors après avoir dit à tout le monde que mon chiffre préféré était 6, avoir parler du 69ème régiment d’artillerie, et m’être auto-téléphonée pour faire croire que je parlait de trucs bizarres devant tout le monde, j’espère que ça à marcher !
S : je confirme, tu t’es bien débrouillée !
Janet : et toi ?
S : j’ai eu trois affaires à suivres…mais ce n’était que pour la journée…tu savais que le capitaine Vista était gay ??
Janet : non
S : il m’en a parlé pendant dix minutes au moins, …dommage il m’aurait peut être plus…
Janet : tu dis ça parce que tu es sure que tu n’as rien à craindre de lui
S : …j’ai trouvé le colonel, Daniel et Teal’c étranges aujourd’hui…
Janet : moi aussi, tu as bien vu ce qui c’est passé ce matin
S : oui, mais j’ai l’impression qu’ils me regardent bizarrement ou se sentent très gênés tout d’un coup devant moi…ils trouvent toujours un moyen pour ne pas me regarder dans les yeux et partir le plus vite possible.
Janet : oui, c’était pareille avec moi
S : attendons un peu et on leur en parlera, je ne veux rien affirmer sans en être sure
Janet : parfaitement d’accord
S : …et pour demain qu’y a-t-il au programme ?
Janet : une bouffée de chaleur…je parle pour toi. !
S : explique
Janet : tu vas enlever une épaisseur de vêtement à chaque fois que nous serons tous réunis, tu dois finir la journée en débardeur et en short dans la base !
S : vendue ! quand à toi…tu vas faire une erreur dans ton infirmerie, le gaz hilarant restera ouvert deux bonnes minutes avec toi dedans. Fais moi prévenir !
Janet : tu veux me droguer ?
S : bien sur que non, tu sais que c’est à effet temporaire
Janet : ok
S : bon, je vais aller me coucher
Janet : ok, bonne nuit
Sam sortit et ferma la porte, fit deux pas dans le couloir et revins sur ses pas
Toc, toc, toc
Janet : oui ?
Sam entrouvrit la porte seulement et parla à voix basse à Janet
S : je n’ai pas de débardeur…
Janet : attend, je t’en passe un
Sam attendait sur le pas de la porte et Janet lui remis la pièce de vêtement que Sam cacha dans sous son tee-shirt. Elle se surirent et Janet referma la porte, Sam partit se coucher
? : aille ! …mais qui ????
D : jack ???
J : Daniel ??, mais qu’est ce que vous faite là ?
D : pareil que vous je pense…je voulais être sur
J : je crois qu’on est fixé maintenant !
D : malheureusement oui
J : …allez venez on va se saouler pour oublier tout ça !
D : volontiers !
Arrivés dans le bureau de Jack
D : jack…vous pensez que si ça avait été avec un autre homme ça aurais été… plus dur ?
J : sûrement…je n’arrive même pas à leur en vouloir
D : on a pas de chance !
Ils trinquèrent
J : à nous deux, …les parfais idiots !
********
le lendemain
SG1 avait un briefing avec le général Hammond
H : bonjour à tous, je voulais vous annoncer la mauvaise nouvelle en premier
J : charmant comme entrée en matière
H : …le sous secrétaire d’Etat va arriver d’ici une heure pour votre rapport major
S : il est finit mon général
H : parfais, si nous n’avons rien à lui présenter nous risquons de gros ennuis
J : ils n’ont pas encore compris que sans la porte nous mourrons ???
H : apparemment non colonel, il faut être convaincants
S : nous ferons de notre mieux mon général
H : je n’en doute pas, …mais colonel…essayer de ne pas être trop…agressif s’il vous plais, ça ne nous aidera pas
J : Teal’c s’en chargera, c’est inné chez lui
H : soyez près dans une heure devant les ascenseurs
S et J (se levant) : a vos ordres mon général !
SG1 se retrouva seul après le départ du général
D : il va falloir être diplomate
J : c’est votre domaine
S : pensez vous que ma théorie de l’espace temps puisse l’intéresser ?
J : pourquoi pas…en plus il se sentira cruellement bête comme ses pieds face à vous
D : …au fait Sam ? vous n’avez pas trop chaud avec toutes ses couches de vêtements ?
S : maintenant que vous le dites…
Elle enleva sa veste, mais il lui restait encore deux bons pulls, un tee-shirt et un débardeur
J : vous êtes malade ?
S : non pourquoi mon colonel ?
J : oh pour rien.. ;vous passez du temps avec le doc. en ce moment…
S : en effet… je vais devoir aller classer mes différents rapports…messieurs.
Puis elle sortit
J : vous avez vu !!!
D : elle a réussit à esquiver
J : mouais…mais elles ne nous aurons pas !
T : comptez vous leurs faire la guerre ?
J : bien sur que non, mais c’est pareil…
T : je me vois dans l’obligation de protéger le major Carter et le Docteur Frasier dans ce cas
J : mais on ne veux pas leurs faire de mal Teal’c, on veux juste qu’elles ne nous prennent pas pour des cons ! on sait tout
T : pourquoi ne pas leurs en parler ?
D : on vous l’a déjà dit… et puis je me vois mal balancer le sujet
J : pareil pour moi…imaginez vous….alors quoi de neuf ??,vous ne seriez pas…
Sam refit son apparition
S : excusez moi j’ai oublier mes notes… je suis tellement stressée par l’arrivée du sous secrétaire que j’en oublis mes dossiers
J D : …
S : tout va bien mon colonel ??? Daniel ?? Teal’c ???
T : il se trouve major Carter …
J : que nous attendions votre retour, vous avez mis près de 2 minutes avant de vous apercevoir qu’il vous manquait un truc ! record battu !
S : .. ;ha...bon, je dois vraiment y aller…a tout à l’heure
Elle ressortie
J : …ouffff
D : Teal’c… ne refaites jamais ça ! s’il vous plais
T : …
Sam allais vers l’infirmerie
S : Janet ?
Janet : entre je suis là….que ce passe-t-il ?
S : juste te dire qu’on attendra ce soir pour le gaz…le sous secrétaire d’état viens par là, ce serait vraiment mauvais s’il te croisait dans un état second
Janet : comme tu veux. Tout va bien ?
S : je…c’est peut être un peu idiot, mais je sens vraiment qu’il y a quelque chose de pas net chez mon équipe
Janet : quoi ?
S : ils me regardent étrangement…Teal’c avec insistance…et quand je suis revenue chercher mes papiers j’ai eu l’impression de mal tomber
Janet : ils parlaient de toi ?
S : loin de moi l’égocentrisme, mais j’en ai bien l’impression
Janet : ok, on s’en occupera plus tard, pour le moment concentrons nous sur cette visite
S : tu as raison, à tout à l’heure
*******
une heure plus tard, SG1 se trouvait devant les ascenseurs et attendait le sous secrétaire d’état qui avait été annoncé. La porte s’ouvrit, laissant apparaître un homme d’une quarantaine d’année, visage sévère.
J : bonjour je suis le colonel Jack O’Neill, voici mon équipe, le Major Carter, le Docteur Jackson et Teal’c
Homme : mon non est Drumont, conduisez moi à votre général
J : bien sur monsieur
Le cortège suivit silencieusement jusqu’au bureau de Hammond ou l’homme pénétra, les autres attendaient dans la salle de briefing
S (enlevant un pull) : mon dieux qu’il fait chaud ici.
J : …
D : ils en mettent du temps
J : tant mieux, comme ça ce temps la on le passera pas en sa compagnie
S : j’ai hâte de lui détailler les plans
D : on vous le laisser alors ?
J : si seulement
Les deux hommes sortirent du bureau et Hammond ordonna à SG1 de faire visiter l’installation, ainsi qu’au major de résumer ses théories et ses découvertes, ce qu’ils firent le reste de la journée. Puis le sous secrétaire repartit avec Hammond dans son bureau
J : alors ?
D : ben on verra…mais vous vous sentiez obliger de la faire monter sur le ring de boxe ???
J : faut faire visiter non ?
S : je ne pense pas avoir été convaincante
T : je vous ai compris major carter
J : pas moi, mais je suis sur que c’était très intéressant
Ils continuèrent à discuter et aussi à rester silencieux, l’inquiétude se lisait tout de même sur leur visage. Quand la porte s’ouvrit, le sous secrétaire sortit en ne disant qu’au revoir et partit. Les membres de SG1 approchèrent vers le bureau qui avait sa porte fermée.
H : entrez !
Jack ouvrit la porte et tout le monde entra timidement
J : alors ?
H : alors…
D : soyez directs, ça nous fera moins mal !
H : il se trouve que le projet va devoir subir quelques modifications mes enfants…
J : comment ça ??? ou il est ce petit c…..que je lui…. !!!!
H : colonel ! …je disais qu’il y aura des modifications dans le sens ou le sous secrétaire d’état à juger que nous maquions de moyens !
J : pardon ?
S : je ne pense pas avoir saisit mon général…
H : nous allons investir dans les armes, dans la protection, dans les salles de repos et de sport, et même dans la décoration !
D : la déco ???
H : il se trouve que le sous secrétaire est un fan de star treck et qu’il est passionné par ce que nous faisons, même s’il ne le montre pas, il avait arranger cette venue soit disant « neutre » rien que pour mettre les pieds ici
J : on s’est fait avoir ?
H : oui mais ça nous rapporte gros mes enfants !!!
J : on peut avoir une HI-FI qui marche maintenant ???
D : une vrai bibliothèque ???
S : un nouveau réacteur et une deuxième pièce pour le labo ???
H : oui !!
J : et vous Teal’c ?
T : … des bougies ???
H : si vous voulez !! je suis vraiment heureux !
J : on va fêter ça ?
H : c’est moi qui offre à toute la base, tous au mess dans 10 minutes !
J : wow
Tout le monde sortit le visage rayonnant
J : en plus c’est lui qui offre,… la dernière fois qu’il m’a offert un truc c’était à votre mort Daniel !
D : trop aimable
J : on y va ?
S : je dois passer à l’infirmerie, je vous rejoindrait plus tard avec Janet
Daniel en fit tomber ses livres
J : ..ok à tout à l’heure
Elle partit
Sam appris la bonne nouvelle à son amie qui s’empressa d’appeler le général pour un autre électrochoc, des trousses de premiers secours, un nouveau brancard et quelques produits dont elle avait besoin
S : ce pauvre général va être accaparé pour les demandes
Janet : du moment que j’ai ce qu’il me faut ici
S : en parlant de ça…où est la bonbonne ?
Janet : je l’ai mise de côté en prétendant l’installer plus tard pour que les infirmiers puissent témoigner à une faute technique.
S : comme toute la base est au mess… c’est le moment !
Janet : ok, sort de là alors, si on est deux à ne pas gérer la situation ça va être problématique
S : je t’attend de l’autre côté
Janet mis en route l’inhalateur pour ne pas en vaporiser partout dans la pièce, puis commença à respirer… sans savoir pourquoi elle se mis à rire à ne plus s’en arrêter, si fort qu’elle en fit tomber la bonbonne qui se répandis dans toute la pièce. Sam entendait et se disait que ça suffisait, alors elle entra mais ne s’aperçu pas tout de suite que la bonbonne était sur le sol, en train de se vider… sa tête se mis à tourner et elle rejoint son amie dans son délire, elle imitèrent les pingouins et le cris des baleines pendant de longes minutes, elle avaient comme décider de revêtir les tenues des chirurgiens et d’opérer l’homme invisible, elle le disséquaient avec plaisir !!
Au mess
J : … c’est louche, elles en mettent du temps
D : ne me faite pas penser à ça Jack, je vous en pris !!!!
T : allez leurs parler
D : après tout c’est pas une si mauvaise idée…
J : quoi ???
D : elles sont nos amies, c’est dommage tout de même
J : mouais…mais je vous repose la question, comment arriver et leurs demander : vous ne seriez pas…
H : colonel !!! venez boire une bière !
J : ..il est bourré ?
D : oui je pense, ne faites pas attention il aura oublier dans dix minutes
J : bon, ok, on y va, mais c’est vous qui parlez
D : vendu !
Ils descendrent à l’infirmerie, les couloirs étaient silencieux, mais arrivés devant la porte, ils entendirent rire. Ils frappèrent mais on ne leurs répondis pas, alors ils poussèrent la porte. Janet était en train de faire un bandage de la jambe gauche à Sam, à savoir qu’elle lui avait déjà plâtrer l’autre et mis un bras en écharpe, rajoutez à cela une minerve et un soutien-dos
Mais l’effet s’estompais, elles avaient juste mal à la tête maintenant
J : …major ???
D : …doc. ???
Janet : aille….ma tête… mais qu’est ce que vous faites ici….
S : Janet je ne peut plus bouger…
Janet : oh merde…
Janet entrepris de retirer les bandages
J : peut on savoir que qu’il s’est passé ?
Janet : je…j’ai essayer de visser cette bonbonne d’hélium il me semble… mais la bouteille m’a échapper des mains…
D : ça explique tout en effet
J : vous vous êtes droguées ?
S : bien …pas directement
Elle retira son pull, elle était maintenant en Tee-shirt
Janet : le major a essayé de me venir en aide, mais le gaz était dans toute la pièce
J : …
S : mais que faites vous là ??il n’y a pas un pot en l’honneur du budget ?
T : le colonel et le docteur Jackson souhaitaient vous parler
Janet : et de quoi messieurs ?
J : oh finalement…
Ils essayèrent de faire demi-tour mais Teal’c les en empêcha de son air sévère
S : parlez messieurs…
D : ben c’est à dire que…jack ??
J : non allez y vous !
D : …disons qu’on vous trouvent … changées
Janet : changées comment ?
D : vous passez du temps ensembles…on ne sait jamais sur quelle planète vous vous trouvez
J : on va dire que vous êtes différentes d’avant
Janet et Sam échangèrent un regard, ils avaient découvert leur jeux…
T : ce que le colonel et le Docteur veulent vous dire c’est qu’ils pensent que vous êtes liée par ce que vous appelez chez vous « l’amour » …et ce qui va avec
Janet et Sam éclatèrent discrètement de rire, elle avaient bien du mal à se retenir, mais c’était plus fort qu’elles, en un autre regard elle se comprirent, le défit était lancé
Janet : et ???
J : et on se disait que ça ne nous dérangeait pas finalement…enfin…moins qu’on l’aurais cru
S : pourquoi mon colonel ?
J : on ne peut pas vous empêcher d’être heureuse major, ni vous doc. alors si ça vous conviens…ben tant mieux
Janet : merci à vous de le prendre comme ça…ça fait chaud au cœur
D : donc on avait raison ?
S :je peux parler librement mon colonel ?
J : bien sur…cette conversation est à titre privée alors allez y
S : parfais…ce que j’en déduis…c’est que le fait de pouvoir imaginer un instant que Janet et moi soyons ensemble ne vous gène pas…soit… mais je crois aussi savoir que bien au contraire, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs, mais les hommes aiment à savoir ce genre de chose
Janet : je confirme.
T : dans mon pays il est coutume d’avoir deux femmes la veille de son union
J : ...hey !!! mais vous êtes marié !
T : en effet
S : alors au risque de vous décevoir…(elle se tourna vers Janet) tout est finit entre nous !
Janet : oh !! trop dur pour moi !!!
J : pardon ???
S : mon colonel, le docteur Frasier et moi ne sommes pas et n’avons jamais été un couple !
J : ha bon ???
Janet : vous insister en plus ?
J : non non….
D : alors ???
Janet : alors vous venez de vous ridiculiser en beauté messieurs
J : mais il faut dire que ces derniers temps vous étiez…
S : étranges ???
D : oui
Sam enleva son Tee-shirt et resta en débardeur
J : tenez !! comme ça par exemple… ça n’est pas… carter !
Janet : je ne pense pas que vous aimeriez connaître le fond de l’histoire, de toute façon vous ne la connaîtrez pas sauf sous notre accord commun
J : je vais vous l’ordonner dans ce cas
Janet : je ne suis pas militaire
D : écoutez, on en a pas dormis ces trois dernières nuits alors on pense que …
S : ça vous a troubler à ce point ?
D : heu…un peu quand même
Janet : je vais trouver un moyen de mettre vos hormones en stand by messieurs, comptez sur moi.
S : …ne vous en faites pas …nous serrons plus discrètes voilà tout
J : mais on veux savoir !
S : colonel, ma vie privée ne concerne que moi et la ou les personnes qui sont en cause, dans ce cas précis il s’agit de Janet
D : alors vous n’êtes pas… ???
Janet s’avança vers Daniel, le saisit par le col et l’embrassa devant tout le monde
Janet : ça vous suffit ?
D : …
S : je crois qu’il en redemande
Janet l’embrassa à nouveau puis s’écarta
D : …je…je suis troublé
Janet : j’en attendais pas moins
J : fermez la bouche Daniel !
Janet : allez, accompagnez moi à ce pot !
Elle attrapa le bras de Daniel et le traîna dehors à moitié effrayé
D : Teal’c...TEAL’C !!!
T (resté dans la salle): je crois que le docteur Jackson à besoin de mon aide
Puis il partit, laissant les deux autres seuls. Sam se dirigea vers son tee-shirt pour le repasser avec un sourire sur le visage
J : alors ? vous ne voulez pas me raconter ?
S : vous n’aurez cas louer la vidéo !
J : …
S : excusez moi, c’est encore l’effet de ce gaz…
J : excuse acceptées…de justesse
S : et inutile d’insister maintenant mon colonel
J : je me sens vraiment idiot
S : vous l’êtes
J : c’est comme ça qu’on parle à un supérieur ?
S : j’ai l’autorisation de parler librement mon colonel !
J : retiré maintenant !
S : pas avant que vous ne vous soyez excuser mon colonel
J : ok je m’excuse, mais avouez que tout laissait à croire que…
Elle se dirigea vers lui et l’embrassa avec la même passion qu’avait eu Janet avec Daniel
S (se séparant doucement) : excusez moi, c’est ce gaz…
J : je comprend, ce n’est pas de votre faute…ce gaz ?? il est dans toute la pièce ?
S : oui, pour encore quelques minutes
J : ha…et combien de temps avant qu’il ne fasse effet
S : je dirait que c’est trop tard pour vous, l’effet s’estompera dans 5 minutes tout au plus
J : on a encore le temps alors
S : c’est pris comme risques du métier ?
J : bien sur
Il se pencha vers elle et l’embrassa encore et encore
J : …il nous faudra un alibi en béton
S : la ferme !
J : quoi ?
S : t’arrête pas !
FIN
Voilà, j’espère que ça a plus quand même…je me suis un peu laisser aller et je savais pas ou arriver à la fin…ni même au milieu.