pour Teal’c
Auteur : marge
e-mail : marjo987@hotmail.com
résumé : surprise… si je vous le dit ça gâche tout
genre : humour et romance
note : pas à moi (pour changer)
note de l’auteur : ben, un petit mot ne fait pas de mal…pour me dire ce que vous en pensez
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Pour Teal’c
Jack arrivait à la hauteur du labo de carter, et s’y précipita, puis, referma la porte rapidement derrière lui
S : personne ne vous a vu mon colonel ?
J : non personne je pense, et heureusement
S : alors, tout est près ?
J : oui, il ne reste plus qu’à parler à Hammond
S : je suis sure qu’il sera d’accord.
J : alors allons y !
Elle se leva et se rendit avec lui dans le bureau du général Hammond
Toc toc toc
H : entrez !
Ils entrèrent et se mirent au garde à vous
H : repos, que ce passe-t-il ?
J : on voulais vous parler d’une petite chose mon général, on auraient besoin de votre accord pour…
S : en fait, nous avions dans l’idée de…
H (les coupants) : vous voulez vivre ensemble ?
J :…. Heu… non….
H : vous n’êtes pas enceinte au moins major ???
S : mon général, on essaye de vous parler de la 5eme année de Teal’c sur terre…
Hammond resta perplexe, et les deux officiers n’osaient pas se regarder, le malentendu était plein de sous entendu…
H : ok… excusez moi… donc si je comprend bien, vous voulez fêter ça ?
J : exacte
H : et en quoi puis-je vous aider ?
S : en le laissant sortir de la base pour ce week-end… nous aimerions qu’il vienne avec nous.
H : ou ça ?
J : chez moi, avec les autres membres de SG1, et le docteur Frasier.
H : mais que comptez vous faire ?
J : il vaudrait mieux que vous ne le sachiez pas
H : rien d’illégal ?
S : non, on vous le promet, disons que nous allons l’initier à notre vie sur terre…
H : accordé dans ce cas, mais est-il au courant ?
J : non, pas encore, c’est une surprise
S : voulez vous vous joindre à nous ?
H : je vous remercie mais je ne serais pas présent du week-end, c’est gentil d’avoir pensé à moi.
J : on vous le ramènera en entier mon général.
H : j’y compte bien
Jack et Sam sortirent du bureau
J : bon, vous pensez qu’il a compris ?
S : il n’est pas bête
J : mais on y peu rien
S : disons que nous avons peut-être manquer de tact.
J : mais s’il venait, ça gâcherait tout
S : heureusement que sa secrétaire à accepter de vous confier son emplois du temps
J : je n’ai pas eu trop de mal pour ça….
Ils se séparèrent ensuite, évitant délibérément d’aborder le sujet qu’Hammond avait servi sur un plateau
Infirmerie
S : bonjour vous deux !
Janet : Sam !
D : salut
S : alors, où est-il ?
Janet : je viens de lui administrer le sédatif, il s’endormira d’ici deux heures
S : parfais, de notre côté nous avons parler au général, et c’est bon.
D : j’irais chercher la camionnette, et deux membres de SG4 pour le soulever tout à l’heure
Janet : je sens que l’on va bien s’amuser !
D : et vous deux n’oubliez pas de ne venir que dimanche, ce soir, c’est que entre nous.
Janet : ne vous en faites pas, on vous laisse entre homme
S (sortant) : comme si nous ne savions pas ce que vous avez prévu…
Sam était sortie
D : vous le savez ?
Janet : il ne faut pas être devin pour ça !
Janet planta son aiguille dans l’épaule de Daniel et tourna bien fort pour lui faire mal, il savait qu’il l’avait chercher.
Quartiers de Teal’c
Il commençait à s’endormir peu à peu, il ne savait pas pourquoi, mais tout commençait à tourner dans sa tête, il finit par s’effondrer sur son lit…
D : c’est bon, entrez !
?: il est costaux, on va réussir vous pensez ?
D : on a pas le choix, le colonel est partit et ont est que nous trois…. A trois…1…2…3 hop !
Ils portèrent Teal’c sur un brancard prêté à cet effet, et commencèrent leur course poursuite dans la Base, en chemin il croisèrent Hammond mais ils n’eurent pas le temps de s’arrêter
H : mais enfin…
D : pas le temps mon général, et merci pour le week-end
Hammond poursuivit sa route avec un petit sourire
H : oh ces jeunes…
Daniel arrivait dans le garage, ils portèrent tous les trois Teal’c dans le coffre, ils l’installèrent bien et refermèrent
D : messieurs, merci beaucoup, c’est gentil, vous ramenez le brancard au docteur Frasier sinon elle va encore me louper à la prochaine piqûre.
?: allez, bon week-end à vous !
Daniel monta dans la voiture et démarra très vite, il avait deux heures de route pour aller chez Jack, et il était déjà 3heures de l’après midi
Chez jack….
Teal’c ouvrit les yeux, il avait encore un peu mal à la tête mais ça passera, il ne reconnaissait pas l’endroit, et n’avait aucune idée de ou il pouvait bien être. Des bougies étaient éparpillées un peu partout dans la pièce, laissant une agréable lumière tamisée passer, il sortit du lit dans lequel il était et ouvrit la porte, il y avait encore des tas de bougies partout, et, en entrant dans la grande pièce, il reconnu aussitôt le chalet de jack, car il l’avait déjà emmener pêcher avec lui.
Les rideaux s’ouvrirent, tous, laissant alors passer le jour, et Jack et Daniel sortirent de leurs cachettes.
J : surprise !
T : colonel O’Neill ?
D : on a pensé que ça vous ferait plaisir de fêter vos 5 années sur terre avec nous !
J : les deux femmes ne viendrons que demain midi, pour l’instant, vous passer le reste de la journée avec nous !
T : je suis très honoré de tout ceci O’Neill, Docteur Jackson
J : allez, on va pas commencer à pleurer parce que sinon, on aura pas le temps de faire tout ce qu’on a à faire.
T : colonel O’Neill, que va dire le Général Hammond ?
D : il est au courant, ne vous en faites pas.
T : et que devons nous faire ?
J : ce week-end vous est réservé mon vieux, alors nous allons vous apprendre le principal de la vie sur terre.
D : on commence par vous apprendre à conduire un peu, ça ne se fait pas en une fois, mais c’est pas grave, ensuite, parler normalement et à faire moins peur, il faut un minimum de sociabilité sur terre…. Puis, pour ce soir, c’est la surprise !
J : le major et le docteur vous montrerons comment on fait un bon gâteau au chocolat, vous apprendrons à danser un tango je crois, et comment parler aux femmes de la terre… et ça, c’est pas de la tarte
D : vous serez le seul homme sur terre à avoir de telles confidences, nous on doit ce débrouiller…
T : je me rend compte que j’ai de la chance de vous avoir pour amis.
J : et nous aussi, c’est pour ça qu’on vous offre ce week-end !
D : bon, alors, on commence par la conduite ?
Sur un terrain vague non loin de là.
J : bon, le truc c’est de trouver les pédales.
D : je crois que Teal’c à besoin de plus de place pour ces jambes !
T : et je fait quoi ensuite O’Neil ?
J : comme je vous ai dit tout à l’heure, puis vous appuyez sur l’accélérateur !
La voiture avançait par à-coups, mais au bout de deux heures, Teal’c se débrouillait vraiment bien, et pouvait même aller sur la vrai route, tout en faisant attention, bien sur, jack et Daniel avaient crains pour leurs vie un petit nombre de fois.
J : et là, quand un type vous agace et qu’il conduit mal vous pouvez criez à la fenêtre si vous voulez !
Teal’c passa sa tête
T : HHHHAAAAAAAAAAAAAAA
J : non non… on cris après quelqu’un, on le traites de tous les nom, on cris pas comme ça pour ce défouler, sinon on vous prend vite pour un idiot !
Plus tard….
T : t’as eu ton permis dans une pochette surprise ?????
J : Teal’c !!!!!
D : c’est un flic !!!
J : et vous vous ne l’avez même pas le permis !
Le flic s’approcha
Flic : c’est quoi le problème ?
J : non, rien, mon ami est stressé car sa femme va accoucher d’un moment à l’autre à l’hôpital du conté, alors il essaye de calmer ses nerfs, vous savez sûrement ce que c’est qu’un premier enfant !
Le policier le regarda, et lui fit un sourire
Flic : oh que oui, j’en suis à mon troisième, mes félicitations, et ne recommencez plus surtout !
D : merci !
J : c’est sympas !
Ils partirent ensuite…
J : on va aussi vous apprendre à mentir un peu…
Ils rentrèrent au chalet, après avoir eu de nombreuses émotions fortes pour garer la voiture.
Dans le salon
J : bon, maintenant, on va essayer les muscles faciaux !
D : il faut que vous ayez l’air moins sévère, ce serait pas mal.
Teal’c fit un immense sourire qui montrait toutes ces dents
J : non, pas autant, il faut que ça fasse naturel !
D : et aussi, essayez de vous assoire moins droit sur votre siège, affaissez vous un peu pour voir…
Teal’c faisait ce qu’on lui demandait, il avait l’air un peu coincé au début, mais il trouva vite son aise, et ils mirent un match de foot à la télé.
D : ça c’est le rayon de Jack
J : désolé que ce ne soit pas du patinage artistique Daniel
D : j’aime assez les collants des patineuses… plus en tout cas que les mollet des footballeurs !
J : mais ça au moins c’est du sport !
D : je suis sur que Teal’c adorerait le patinage ! il y en a sur la chaîne sportive en ce moment !
Jack changea de chaîne, et observa Teal’c.
J : vus aimez ?
T : c’est très joli
D : je vous l’avait dit… cette patineuse à les plus belles formes de tout le monde du patinage
T : j’aime bien ces deux sport ! mais sur quoi sont-il en fait,
D : sur la glace, et ils ont des patins aux pieds pour glisser, vous n’avez cas demander à Sam et à Janet de vous y emmener demain !
T : j’y penserait docteur Jackson.
J : laissez tomber le tutu par contre, c’est pour les femmes.
Le reste du début de soirée se passa très bien et la nuit fut enfin tombée
T : bon, je vais aller me coucher !
J : hors de question, ce n’est pas fini
T : que ce passe-t-il ?
J : on attend de la visite, alors… et bien on attend…
Teal’c se rassit tranquillement dans le canapé, Daniel essayait d’effacer son sourire, mais n’y arrivait pas.
- - -
à l’extérieur de la maison
S (chuchotant) : vous êtes sure que c’est une bonne idée,
Janet : mais oui, vous allez voir, je suis sur qu’ils avaient prévu le coup !
Sam et Janet attendaient dans une voiture, non loin de l’entrée de la maison de jack, quand une voiture arriva enfin derrière elles, et se gara, il en sortit trois femmes
Janet : je vous l’avait dit
S : oui… alors, on fait quoi ?
Janet : comme prévu !
Janet et Sam sortirent de la voiturent et allèrent à la rencontre des trois femmes
Janet : bonjour, nous sommes des amies de ces messieurs et nous aimerions leur jouer un petit tour, si on vous donne 10 dollars chacune, c’est bon ?
Femme : que voulez vous faire ?
S : on aimerait que vous portiez ces tenues plutôt que les votres…
Autre femme : vous avez de la chance qu’ils n’aient pas demander quelque chose en particulier
Sam sortie trois tenue du coffre
Femme : comment saviez vous que nous étions trois
Janet : ça m’étonnerait que Jack et Daniel fassent profiter Teal’c et pas eux-même !
Femme : de vrai homme quoi…
Les femmes se regardèrent avec un sourire complice
Comme par hasard, dans le groupe des trois streep-teaseuses, il y a avais une blonde une brune et une rousse.
Janet fit le partage des tenue, il y en avait une en Ranger avec un treillis pour la blonde et un petit haut très serré, l’autre en infirmière en mini blouse et petit chapeau sur le tête pour la rousse, et la dernière (la brune donc) en danseuse du ventre
Janet : voilà, ça me semble bon !
Femme : que voulez vous faire au juste ?
Janet : tous les associer à leurs fantasmes…
S : comment savez vous pour Daniel ?
Janet : il me l’a dit lorsqu’il était un peu ivre un soir, quand à Jack ce n’était pas dur à deviner
Sam se mit à rougir
Femme : alors, lequel est lequel ?
Janet : vous (l’infirmière) vous allez vers le brun à lunette, si il ne les a pas, c’est facile, c’est le plus jeune des trois, vous (la danseuse du ventre) vous allez avec le grand balèze, vous ne pouvez pas le louper, et vous…(la militaire) vous allez vers le plus vieux, mais pas touche de trop près les filles, ils sont tous plus ou moins pris.
Femme : ne vous en faites pas, solidarité féminine !
Les trois femmes partirent vers la maison
S : vous pensez vraiment que c’est une bonne idée ?
Janet : je veux voir leurs têtes demain !
S : il y a quoi entre vous et Daniel au juste ?
Janet : alors ça… vous ne le saurez pas…
Les deux femmes remontèrent dans leurs voitures et partirent
Chez jack….
Ding dong !!!!!!
J : on appelle à la porte, Teal’c, vous pouvez ouvrir s’il vous plais !
T : tout de suite O’Neill.
Teal’c se dirigea vers le porte et ouvrit, pour ce trouver nez à nez avec trois femmes
T : vous êtes ?
Militaire : tu n’a pas à le savoir !
Elle le pousse et entre, suivit des autres femmes
T : qu’est ce que cette histoire O’Neill ?
J : ben… c’est une coutume terrienne, venez vous assoire
D : y a pas un truc louche là ?
J : pourquoi ?
D : vous trouvez pas que la coïncidence est quand même…
Il fut coupé par l’infirmière qui s’approcha de lui, car elle ne voulais pas que leur plant soir découvert
Les trois hommes ne purent pas vraiment penser à ce spectacle, tout d’un coup, ils se mirent à penser à leurs femmes… enfin, à celles qu’ils aimaient, et n’arrivaient plus à ce concentrer
J : y a comme un malaise là….
Militaire : quoi mon choux ?
J : vous ressemblez beaucoup à…
Militaire : arrête de penser alors
D : c’est pareil pour moi…
T : je doit penser à quoi ?
J : si vous vous ne sentez pas de malaise, et bien pensez à ce que vous voulez…
Au bout d’un moment, les filles partirent laissant les trois homme seuls
J : vous pensez à une coïncidence,
D : non
T : pour quel motif ?
J : rien, laissez tomber…
D : mais en tout cas, le spectacle en était que plus appréciable
J : c’est sur, mais je ne peu m’empêcher de me dire que tout ça n’est pas innocent…
Les trois homme burent encore une ou deux bière, suivit que quelques alcools plus forts et montèrent se coucher, complètement ivre, même Teal’c qui avait accepter de boire pour une fois, inutile de vous préciser que son symbiote non plus ne tenait pas l’alcool…
Le lendemain, midi moins dix
Toc toc toc
J: entrez, c’est ouvert !
Sam et Janet entrèrent, suivit de Cassi
J : coucou ma puce !
Cassi : Jack !!! Daniel et Teal’c !
Elle embrassa très fort les trois hommes
Janet : elle a absolument tenue à venir avec nous
Cassi : moi aussi je veux vous souhaiter un bon anniversaire terrien, après tout, nous n’avons que deux ans d’écart !
Teal’c : c’est vrai cassandra, vous avez raison
D : Teal’c montrez leur ce qu’on vous a appris !
Teal’c le regarda bu une gorgée de coca, et fit un énorme rot qui résonna dans toute la pièce
Cassi : berk…
Janet : messieurs,… une explication…
Daniel : mais non pas ça Teal’c !!! L’autre chose…
Daniel et Jack ne savaient plus ou se mettre
Teal’c pendant ce temps leur fit un beau sourire pas crispé du tout, et parla avec une voie plus douce
T : mesdames, si vous voulez bien vous joindre à nous pour le repas….
Janet : mais volontiers cher monsieur
S : quels progrès…
J : vous avez vu ça un peu !
Ils mangèrent tranquillement, racontant ce qui s’était passé la veille (mis à part l’épisode des steap teaseuses) et passèrent au salon pour prendre le café.
Cassi regardait un peu autour d’elle, s’était rare qu’elle venait dans la maison de Jack, et ses yeux s’arrêtèrent derrière le pouf qui était près du mur, à ses pieds, on pouvait voir un soutien gorge.
Elle tapa ans le coude de Sam
S : quoi ?
Cassi (chuchotant) : tu m’expliques ce que fait le soutient gorge de maman derrière le pouf là bas ?
Sam éclata de rire devant tout le monde
J : et bien major, peut-on savoir ce qui vous fait tant rire
S ; désolé mon colonel
Sam attendit que tut le monde recommence à discuter, et tapa dans le coude de Janet qui était à coté d’elle, et sans rien lui dire, elle lui montra du regard la direction du pouf, après dix seconde, Janet vit son soutint gorge spécialement blanc pour la blouse, qu’elle avait passé à la steap teaseuse, et se mis elle aussi à éclater de rire
D : c’est contagieux ?
Janet : excuse moi Daniel mais je ne pouvait pas me retenir…
J : bon, ben si c’est comme ça on va vous laisser, c’est à votre tour, d’enseigner à Teal’c !
D : j’espère que vous avez brancher les caméras Jack j’aimerait bien savoir ce qu’elles vont lui dévoiler !
J : sûrement le plus grand secret de l’humanité : comment pensent les femmes !
S : à plus tard messieurs
J : on sera de retour pour 21h ; on passera acheter des pizzas, et on mangera chez moi
Jack ferma la porte derrière lui
D : alors, on fait quoi nous ?
J : ben… on va pêcher !
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Dans la maison de Jack
S (lui tendant son soutient gorge) : tenez Janet !
Janet : merci !
Cassi : tu m’expliqueras maman ?
Janet : quand tu seras plus grande ma puce
T : alors mesdames, que fait-on ?
S : en effet, il y a du progrès Teal’c !
Janet : on va déjà vous dévoilé le plus grand secret des groupes féminins !
S : on va faire la cuisine !
Teal’c : mais ça n’est pas un secret pour les femmes
S : oui, mais savez vous pourquoi les femmes se réunissent pour faire un bon gâteau par exemple ?
T : pour le manger ensemble…
Janet : perdu ! c’est pour pouvoir discuter en paix, sans les hommes.
S : en fait nous n’avons besoin que d’une personne pour faire la cuisine, le reste boit un café !
Cassi : c’est moi et Teal’c qui allons faire le gâteau !
Ils allèrent à la cuisine, et déballèrent les sacs qu’ils avaient acheter
T : à quoi sert ce gâteau major carter, si nous allons en faire un ?
S : ça c’est l’astuce N°1, c’est un gâteau de secours au cas ou le premier soit raté, on ne dit rien et on le remplace discrètement
Cassi commença à montrer à Teal’c comment faire monter des blanc en neige, et après, rajouter le chocolat et tout le reste, ils avaient de la farine partout
Cassi : ce n’est pas tous les jours que deux extra terrestres font du gâteau au chocolat, ce sera un Stargateau !
Tout le monde éclataient de rire aux remarques de cassi, Teal’c avait beaucoup de plaisir à rester avec les femmes et parler, il trouvait cette ambiance très chaleureuse. Une fois le gâteau dans le plat, ils mirent les casseroles et les bols sales au milieux pour les finir avec les mains
T : mais ce sont des bouts de gâteaux pas cuits.
Janet : et c’est ce qu’il y a de meilleur
S : alors, vous étés content pour l’instant
T : je ne me suis jamais aussi bien sentit sur votre planète major carter
Cassi : tu sais c’est un peu ta planète à toi aussi maintenant
S : elle a raison
Une fois que le gâteau était cuit, ils passèrent au salon pour apprendre quelques pas de danse, c’est Cassandra qui s’y colla, car elle avait appris récemment, et elle se débrouillais pas mal du tout, Teal’c faisait très attention à ne pas lui marcher sur les pieds, et à bien conduire sa cavalière.
Après un moment, Teal’c maîtrisait très bien plusieurs type de danse, et les trois organisatrices décidèrent de faire les boutiques, elles faisaient certains magasins pour homme afin de trouver des vêtement qui lui aillent bien, elle lui achetèrent un jean, et un pull gris avec un col roulé bien épais, qui laissait voir sa musculature, inutile de dire que les vendeuses des magasins n’arrêtaient pas de lui faire du rentre dedans sous le regard amusé des trois femmes qui lui donnaient des conseils après chaque approche.
Les bras chargés de paquet pour tout le monde, tous se mirent en route pour retourner au chalet de Jack.
A 21h, jack et Daniel rentrèrent avec quelques poissons
J : finalement, laissez tomber la pizza !
D : Wouahh Teal’c, ça vous va super bien !
T : merci docteur Jackson
Jack leva la tête pour juger par lui même
J : mince alors, elles vous ont transformé…
S : ça lui va bien non ?
J : quand est-ce que vous vous occupez de moi comme ça ?
Janet : pour votre anniversaire si vous voulez
D : alors vous avez percer le secret de l’univers,
T : je crois que oui
D : et alors,
T : vous ne pourriez pas comprendre, il faut vivre ces moments, c’est vraiment une autre façon d’être, et ce serait que trahir la moitié de la population terrienne de vous en parler
Janet et Sam le remercièrent d’un sourire, Daniel et Jack semblaient vexés.
Jack alla alors dans le jardin près du lac pour faire cuire ses poissons, Sam le suivit
S : alors mon colonel, pas trop déçu ?
J : non, en fait je pensais bien ne jamais le savoir, et vous, pas trop déçue ?
S ; de quoi ?
J : c’est la première fois que vous acceptez de venir dans ma cabane
S : j’appelle ça un chalet, c’est très beau ici…
J : alors vous accepterez de m’y accompagner un jour ?
S : j’y penserais plus sérieusement
Sam eu un frisson quand un courant d’air froid passa, il faisait nuit et on pouvait voir les flammes commencer à décimer le bois
J : approchez vous du feu.
S : merci… (elle s’assis près de lui)
J : vous savez, je suis content de voir à quel point notre équipe tourne bien
S : c’est vrai que nous n’avons pas à nous plaindre les uns des autres
J (avec un sourire): moi j’ai plein de truc à vous reprocher !
S : alors soyez honnêtes !
J : je n’arrive pas à m’énerver réellement contre vous, et vous êtes trop intelligente aussi, et aussi peut-être un peu trop bavarde et trop gentille avec les autres !
S : c’est la liste de mes défauts,
J : oh non, rassurez vous, il y en a plein d’autres !
S : j’ai eu peur…
J : à votre tour !
S : de quoi ?
J : de me dire ce que vous me reprocher
S : ben… vous êtes sur ?
J : allez y !
S : très bien, alors, vous êtes…trop coléreux, trop impulsif, trop têtu… vous n’êtes pas assez ouverts à nous et vous êtes trop gentil pour un supérieur.
J : vous trouvez que ce n’est pas normal d’être gentil ?
S : je n’ai pas dit ça, mais il y a des fois ou vous auriez pu me coller des dizaines de rapports
J : et vous avez profiter de la situation
S : un peu, j’avoue
J : ça ne se reproduira plus, je vous le jure, la prochaine fois je vous colle un rapport !
Les deux se sourirent
D (depuis la porte du chalet) : alors c’est cuit ?
J : non, pas encore, on attend les braises
S : c’est un chouette anniversaire quand même
J : oui… on a pas eu trop de mal à convaincre Hammond…
Un froid vint se glisser dans la conversation, l’épisode ou Hammond avait cru à un couple était encore dans leurs têtes
Janet : Sam venez voir !
S : j’arrive Janet!
J: à tout à l’heure
S : à tout à l’heure mon colonel…
Elle se leva et entra dans la maison, faisant une tête un peu déçue
Le repas se passa bien, et chacun pu rire une dernière fois, et boire un coup avant la fin de la soirée, qui signifiait aussi le retour à la base le lendemain matin. Cassandra venait de s’endormir dans un des fauteuils quand Janet allait la réveiller pour partir
J : c’est pas la peine, laissez la se reposer, vous pouvez tous dormir ici, il y a de la place
Il sortit une couverture d’un placard et la plaça sur cassandra qui dormait paisiblement
T : comment fait-on pour dormir alors ?
J : vous Teal’c y a votre chambre là haut, on a mis des bougies exprès.
Dans le fond de la cuisine, on pouvait voir Janet et Daniel s’embrasser
J : j’hésite à leur passer ma chambre à ces deux là…
Finalement il le leurs passa, Sam dormis sur le canapé, et lui, il alla dans sa cabane en bois, derrière le lac, plus loin.
Sam n’arrivait pas à dormir, ce peut-il que Hammond accepte leur liaison s’il y en a une, apparemment oui, mais ce peut-il que Jack l’aime vraiment ? elle en était presque sur, depuis les tests, c’était même certain !
Jack non plus n’arrivait pas à dormir, ça cabane était froide, et il n’avait pas beaucoup de place dans son lit de camp
Ils savaient tous deux qu’ils étaient attirés l’un par l’autre, mais le fait qu’apparemment il n’y ai plus d’interdiction, leur faisait étrangement peur, comme s’ils n’avaient plus de raison de refuser le bonheur
Sam se leva, elle était encore à moitié ivre, mais savait ce qu’elle faisait. Elle pris la couverture et s’en recouvrit, puis sortie dehors, elle longea le lac, jusqu'à arriver à la petite cabane, elle fit le tour pour chercher la prote, et la trouva enfin, quand elle essaya d’ouvrir la poignée, elle sentie quelqu’un l’attraper par derrière et lui mettre sa main sur sa bouche, comme pour l’immobiliser.
Elle donna un coup de coude et se détacha
S : mon colonel ?
J : carter?
S : vous m’avez fait peur...
J : j’ai entendu du bruit, j’ai pensé que quelqu’un essayait de rentrer… que faites vous là ?
S : je n’arrivait pas à dormir, alors je suis sortie faire un tour
J : entrez, il fait froid
Elle dut se penche pour entrer par la petite porte, et se retrouva dans un tout petit cagibi des pas plus de 8m2 avec une banquette, une petite table et une chaise en bois, le nécessaire de pêche et des étagères avec des photos et des disques un peu anciens
J : assaillez vous
S : merci
J : alors… ben… le voilà ma cabane humide
S : et vous arrivez à dormir ici
J : en mission on dort bien n’importe où !
S ; c’est vrai mon colonel
J : ce sont les deux tourtereaux qui faisaient du bruit à l’étage ?
S : oui, le canapé est juste en dessous…
J : je m’en suis douté
S : comment ça ?
J : j’ai prévu un deuxième oreiller
S : mais il n’y a pas la place
J : je vais dormir par terre
S : hors de question, vous allez tomber malade et ce sera ma faute
J : je ne vous laisserait pas dormir par terre
S : je n’ai cas rentrer et essayer de me recoucher, bonne nuit mon colonel
Elle se leva et partie vers la prote
J : Sam !
Elle se retourna lentement
J : … reste…
S : …
J : je suis sure que tu y as réfléchie aussi, sinon tu ne serais pas là en ce moment
S : je…
J : reste
Un frisson parcourue Sam, ses paroles était dites sur un ton si beau, qu’elle ne pouvait y résister, s’apercevant de ce petit frisson, il s’approcha d’elle et la pris dans ses bras, elle se sentie alors mourir, ce feu qui la brûlait semblait s’être réveillé en un éclair, elle était dans ses bras, et c’est tout ce qui comptait
Ils passèrent la plus belle nuit de leurs vie, dans cette cabane humide, de l’autre côté du lac…
Au petit déjeuné
Jack et Sam arrivèrent en même temps, en se tenant la main, ce qui ne surpris personne car ils étaient tous les deux manquants à l’appelle du matin
Janet : alors, bien dormi ?
J : oui très bien… merci et vous ?
D : pareil… je pense…
Sourire partagé
T : je tient à tous vous remercier pour ce week-end, ce fut l’un des plus beau moment de ma vie, je ne vous remercierais jamais assez.
J : ne vous en faites pas Teal’c
T : et en plus de cela colonel O’Neill, je vois que vous êtes enfin avec le major Carter
D : que va dire le général ?
J : je pense qu’il acceptera
Chacun fini son petit dej , et partit vers la base, car un briefing était prévu à 11h00
A 10h28- devant le bureau du général Hammond
Toc toc toc
H : entrez !
Ils entrèrent et se mirent au garde à vous
H : repos, que ce passe-t-il ?
J : on voulais vous parler d’une petite chose mon général, on auraient besoin de votre accord pour…
S : en fait, nous avions dans l’idée de…
H : j’ai la sensation de déjà vue…
J : que feriez vous si le major et moi…
H : rien.
J : comment ça rien ?
H : que voulez vous que je fasse ?
J : je ne sait pas moi…
H : mais vous pouvez compter sur moi pour faire en sorte que tout ce passe bien
S : c’est vrai ?
H : oui, c’est vrai, vous en avez mis du temps, mais ça valait le coup !
J : merci mon général
H : restez discret tout de même, je ne veux pas que ma base devienne le nouveau lieu de refuge pour tous les militaires amants !
S : ne vous en faites pas
H : bonne chance à vous les enfants
J : merci mon général
S : merci beaucoup
H : rompez ! … enfin… de mon bureau…
J : oui, on avait compris !
Jack et Sam sortirent alors du bureau de Hammond et se sautèrent dans les bras l’un de l’autre
Hammond ne fut pas surpris de reconnaître à travers la porte les voix de SG1 et du docteur qui se félicitaient dans tous les sens, il s’adossa tranquillement à son fauteuil, et afficha un sourire satisfait
H : ha… cette jeunesse…
Fin