un monde... sans commentaire
Auteur : marge (ben si c’est moi qui écrit c’est logique non ?)
e-mail : marjo987@hotmail.com (ça c’est pour les commentaires !!!)
résumé : ben... une mission, une planète, un problème, et peut être une solution
note de l’auteur : Ce fic est un peu long mais je n’ai pas pu m’arrêter alors désolé de vous retenir si longtemps pour le lire, mais dites-moi quand même ce que vous en pensez ce serait sympas !
comme vous le voyez, je n’ai pas été inspirée pour le titre, désolé, ni même pour le résumé alors j’espère que c’est pas trop grave
bonne lecture...
un monde... sans commentaire
SG1 marchait toujours sur cette planète, elle leurs semblait magnifique et aucun mauvais commentaire n’avait eu lieu à son sujet, ils semblaient bien aimer ce calme et cette sérénité qui régnait ici, les arbres se découpaient dans le ciel, laissant voir quelques bouts de ciel bleu parsemé de petits nuages. SG1 arrivait alors au village qu’ils attendaient de voir avec assez peu d’impatience tant cette foret leur procurait du plaisir
J : Wouah....
D : mon dieux....
S : c’est...
T : magnifique !
D : c’est tout simplement superbe...
La ville s’étendait devant eux, un grand château des milles et une nuit précédée d’un bassin entouré d’arbres menaient à une coure intérieur dans laquelle tout le monde était vêtu de couleurs claires et vives, des tissus pendaient aux fenêtres, les murs étaient eux-mêmes dans les teintes rosées et bleutées, des petites fontaines parsemées un peut partout donnais une ambiance unique...
D : cette ville est surprenante....
J : je ne vous le fais pas dire.
S : il faut trouver quelqu’un a qui parler
D (à un homme qui passait) : excusez-moi mais nous souhaiterions s’adresser à votre chef...
Homme : nous n’en avons pas
D : alors quelqu’un a qui on pourrait parler... nous sommes des voyageurs
H : dans ce cas allez dans le bâtiment du fond, c’est après avoir traversé le bras de foret, c’est là bas que vie l’Ancien du village, il connaît tout
D : merci beaucoup
H : ce fut un plaisir, à bientôt
L’homme s’éloigna
S : comme les gens sont accueillants ici !
J : ça nous change de d’habitude
D : je propose qu’on aille voir cet homme dont il nous a parler
Ils traversèrent donc la ville, émerveillé par tout ce qu’ils pouvaient voir autour d’eux, ils ne tardèrent pas à y accéder car la ville était toute petite malgré les apparences
D : je suppose qu’on doit frapper...
Toc toc toc
Un enfant vient ouvrir la porte
Enfant : vous demandez ?
D : bonjour, on voudrait voir celui qu’on nomme l’ancien.
Enfant : entrez donc
Il les conduisit à un petit salon
Enfant : que désirez-vous ?
D : parler à L’ancien.
Enfant : c’est moi.
J : heu... je ne veux pas briser tes illusions petit, mais tu n’as rien ... " d’ancien " !!!
Enfant : je ne vieilli pas, mais je suis effectivement le plus ancien du village, je possède toutes les connaissances de notre peuple
D : mais quel âge as-tu ?
Enfant : presque 450 ans... et vous ?
D : ... seulement 38....
Enfant : vous n’êtes qu’un gosse, mais vous m’avez l’air très gentil.
L’enfant les regarda très attentivement
Enfant : que me veulent ces messieurs de si bon et frai matin ?
S : Rmmm Rmmm
J : heu... 3 hommes seulement...
Enfant : vous êtes quoi ?
J : moi ? un homme, mais elle c’est une femme.
L’enfant regarda Sam très attentivement
Enfant : ce n’est pas possible...
S : je vous assure que si !
Enfant : mais vous avez les cheveux courts !
D : et alors ?
S : je ne vois pas ce que ça change ?
Enfant : les femmes ne peuvent avoir les cheveux court
S : et bien si
Enfant : tu n’es pas une femme
S : Hey !!!!
J : major calmez-vous !
S : mais....
J: ce n’est pas grave
Enfant : si c’est grave. Une femme ne doit pas avoir les cheveux court, c’est interdit !
D : ok... vous avez gagner, c’est un homme !
S : D...
J : bien sur que c’est un homme ! nous sommes une civilisation qui aime rigoler !
S : ...
J : dites lui carter !
S : ... eu... oui.
Enfant : vous m’avez bien eu je dois l’avouer !
D (faussement convaincu) : qu’on est drôle !
Il croisa le regard de Sam au même moment... elle avait les yeux qui brûlaient d’en dedans !
Enfant : alors, que voulez-vous ?
D : nous souhaiterions apprendre à connaître votre civilisation, et devenir des alliers
S : je me demande si c’est une bonne...
J : carter !
S : pardon mon colonel
Enfant : qu’avez vous a nous offrir ?
D : un peu de notre technologie, en échange de la votre, notre soutient et le vôtre en retour...
Enfant : nous n’avons pas besoin de tout ça, le peuple vit heureux et n’a nul besoin d’armes pour la guerre
D : avez vous déjà connu une guerre ?
E : oui, c’était il y a bien longtemps... j’avais l’age de 8 ans... et leur arme m’a bloquer à cet age... j’étais le seul survivant à m’occuper de 9 autres enfants entre 1 ans et 5 ans...
D : comment cela se fait-il ?
E : les adultes ont protéger les enfants dans les sous-sols, ils sont tous morts, et une arme m’a bloquer la croissance
D : alors vous comprenez les dangers que représente une guerre.
E : je comprends surtout que je ne veux pas d’une guerre, en aucun cas, et que nous ne nous battrons pas
J : et la survie de votre peuple ?
E : ce n’est pas mon peuple, il est libre et c’est eux qui l’on voulut ainsi
J : mais c’est ridicule.. et si les Goa’Uld attaquent ?
E : hahahah, vous êtes très drôle !!! comme si notre père allait nous détruire !!!!
SG1 se regarda un instant, ne comprenant pas ce qui pouvait être si drôle... puis, tout devient très clair
D : oui, on aime bien rire !
E : vous m’avez eu encore une foi ! notre père à tous est bon et se bas pour notre survie
J : on parle bien du même ?
E : le seul et l’unique Apophis !
SG1 ne savait pas du tout comment réagir, Jack s’adressa alors entre ses dents pour parler discrètement à ses amis
J : on est mal...
E : pardon ?
J : non rien...
E : vous êtes nos invités, vous resterez ici cette nuit
J : en fait on a un truc à faire d’assez urgent et...
E : vous partez ?
J : oui, c’est préférable
E : mais non ! restez ! ça faisait longtemps que je n’avais pas autant ri !
J : oui, nous aussi on est mort de rire, mais là, on va pas s’éterniser je pense
E : hors que question, vous restez
Daniel fit signe de la tête à Jack, en leur faisant croire qu’ils étaient de leur coté ils ne risquaient rien
E : demande à ton jaffa de rester ici veiller sur vos affaires pendant que nous sortons
Jack se tourna vite vers Teal’c pour ne pas que celui ci réponde à l’enfant
J : ne discutez pas, ce n’est pas le moment, ce n’est qu’un cauchemar et on va partir, mais pour le moment, on se calme !
T : très bien O’Neil.
E : au fait, comment vous nommez-vous ?
Daniel allait répondre normalement, mais si l’enfant était un ami d’Apophis, il valait mieux se méfier, car le serpent n’avait peut être pas de pire ennemi qu’eux
D : je suis Martin, lui c’est David (jack), lui c’est Tim (Teal’c), et el...lui, c’est Samuel
E : moi c’est Juio, enchanté
Juio sortit de la battisse et SG1 le suivi à contre cœur, il fallais ne pas montrer qu’ils étaient de l’autre coté de la barrière
Juio : ici, chacun est libre de faire ce que bon lui semble, notre survie se faite grâce à l’aide et à l’amour que nous recevons et que nous donnons
D (à lui-même) : ça n’a rien d’un monde ou pourrait vivre Apophis...
J : et depuis quand ne l’avez vous pas vu ce cher Apophis ?
Juio : depuis presque 350 ans maintenant
J : et il ne revient pas ?
Juio : non, il a dit que nous n’en avions pas besoin, mais il nous envois certaines personne de temps en temps
D : pourquoi ?
Juio : ce sont les être qui sont cher à notre père, il les fait venir ici pour plusieurs année avant de les rappeler près de lui
J : pour quoi faire ?
Juio : pour qu’ils soient " bien "
D : c’est à dire ?
Juio : notre milieu est apaisant naturellement, notre foret nous offre tout ce dont nous avons besoin, et plus encore, elle nous aide
Sam regardait partout autour d’elle et ne voyait en effet aucune femme avec les cheveux courts, elle écoutait vaguement ce qui se disait, mais semblait ailleurs
J : ça va carter ?
S : ho ! .. oui mon colonel
J : ça vous fait quoi d’être un homme ?
S : c’est un peut frustrant vous savez...
J : vous serez la première féministe intergalactique peut être plus tard !
S : je ne pense pas, ça ferait trop de travail avec tous les fous qui existent... mais il faudra que je colle quelqu’un sur le coup !
J : je me demande même comment il a pu penser une seconde que vous étiez un homme !
S : je suis sans doute la première qu’il voit avec les cheveux courts, je ne sais pas mon colonel
J : sans doute...allez, courage, nous rentrons dès que possible, je ne voudrais pas m’éterniser ici
S : a vos ordres mon colonel
Ils firent rapidement le tour, et Juio leur expliqua le principal de la vie sur leurs planètes, puis, ils les conduisit au fond de la ville te les fit patienter dans un petit jardin
D : je n’arrive pas à croire que ce type d’installation soit Goa’Uld... en plus c’est très...oriental comme décor, pas du tout égyptien
J : peut être une cure thermale ?
D : mais oui !!!!
J : quoi ?
D : c’est un lieu ou ils viennent se reposer... comme le club Med ou autre chose comme ça !
J : vous en connaissez beaucoup des serpents qui parlent d’amour et de paix ?
D : là je suis perplexe...ou est-il ?
J : aucune idée...
Juio réapparut derrière eux
Juio : on peut y aller !
J : ou ça ?
Juio : aux bains, c’est l’heure
D : ça consiste en quoi ?
Juio : les bains sont là pour nous détendre, l’humidité des salles nous aide beaucoup
J : en clair on va prendre un bain ?
Juio : oui, tout ensemble.
S : euh...non !
Juio : pardon ?
S : non... enfin, on en a pas besoin !
Juio : ne vous en faites pas, les femmes ne partagent pas le même bâtiment que nous !
S (dans sa tête) : justement !
J : non, on va pas y participer, c’est gentil !
Juio : comme vous voulez, on se retrouve plus tard, retournez donc chez moi pour le repas
J : pas de problèmes, à tout de suite
Juio partit dans l’entrée des bains
J : on se casse !
D : combien de temps pour arriver à la porte ?
J : une demi-heure
SG1 engagea le pas vers la sortie, mais des gardes les empêchèrent de sortir, ils ne pouvaient pas les contourner non plus
J : comment fait-on ?
D : c’est vous le militaire !
J : on a aucune sortie
D : on a cas rester ici !
J : ça va pas ?
D : ils ne nous veulent pas de mal...
S : parlez pour vous !
D : mais ils ne vous ont pas tuer parce que vous êtes une femme à cheveux court que je sache ?
J : mais ils auraient pu le faire s’ils avaient vu que c’était le cas
D : je pense que demain ils nous laisseront partir
J : on fera une autre tentative ce soir
D : bon, je vais aller me promener pour en savoir plus sur cette cité
S : je vais rentrer
J : moi aussi
D : à plus tard
Sam et Jack rentrèrent et rejoignirent Teal’c dans la maison
J : alors ça va ?
T : tout va bien O’Neil
S : désolé que Juio vous ait traité comme un Jaffa
T : mais c’est ce que je suis major carter, par contre, je ne suis pas son domestique
J : on a au pire une nuit à tenir Teal’c, alors ne faisons pas d’histoire, vous serez le jaffa, carter est un homme, et je m’appelle David !
S : tout va bien mon colonel ?
J : heu...oui, excusez-moi, je me suis un peu emporter...n’en pêche que dès qu’on sera sortit d’ici je serais bien heureux
********
le soir venu
Juio avait rejoint SG1 dans sa maison, Daniel était toujours en vadrouille mais jack ne s’inquiétait pas, il savait qu’on ne leur voulait aucun mal, c’est juste le fait de ce trouver dans le camp Goa qui lui donnait de l’urticaire rien que d’y penser.
Juio : alors, comment trouvez-vous notre monde ?
J : très...spécial je doit l’avouer
Juio : nous sommes uniques
S : je suis prête à parier que Daniel ne va pas revenir pour le dîner tant il doit être passionné par votre histoire
Juio ; prête ?
S : heu... près
Juio commença à avoir des soupons sur l’identité de ses nouveaux amis
Juio ; et qui est ce Daniel ?
Jack se rappela qu’ils leurs avait donné de faux nom au cas ou
J : c’est un surnom qu’on lui donne pour l’embêter
Juio : j’ai beau avoir l’apparence d’un enfant, je suis bien plus évolué que vous
J : et alors ?
Juio : vous me cachez quelque chose
J : mais non, c’est ridicule
Juio les regarda droit dans les yeux
Juio : vous n’êtes pas réellement une femme n’est ce pas ?
S : bien sur que non, je suis un homme...un vrai !
Jack la regarda étrangement
Juio : ôtez votre chemise !
S : pardon ?
Juio : ôtez votre chemise
J : hors de question... il va avoir froid !
La plus pitoyable excuse qu’il ait sortit depuis longtemps puisqu’ils faisait dans les 25 degrés
Juio : ôtez votre chemise Samuel !
J : et si c’était une femme ?
Juio : elle devra être protégée
J : contre quoi ?
Juio : nos traditions
S : mais je ne suis pas une femme !
Juio : Prouvez-le !
S : ... je... je vais aux toilettes debout !
Jack la regarda bizarrement encore une fois, il était partagé entre l’envie de rire et celle de s’enfuir en courant
Juio : je vais le vérifier par moi-même dans ce cas...
J : quoi ? allez aux toilettes avec lui ?
Juio : si vous n’ôtez pas votre veste je vais vous la faire enlever
Sam regarda jack afin de savoir ce qu’elle devait faire, il baissa les bras et lui dit de faire comme elle voulais
S : vous avez raison, je suis une femme, mais je n’ôterait pas ma veste !
Juio : et dire que j’ai cru à une blague... mais je me suis rappeler qu’un jour, une de nos femmes s’est brûler les cheveux...
S : que comptez vous faire ?
Juio : a qui appartenez-vous ?
S : personne !
Juio : ce n’est pas la bonne réponse, ici, si une femme n’a pas d’époux à ces 20 années, elle appartient à notre père Apophis
S : euh...
J : elle m’appartient
S : pardon ?
J : ben oui, elle n’a cas m’appartenir !
Juio : vous êtes son époux ?
J : ... non
Juio : alors elle n’appartiens à personne
J : et si on se marie ?
S : Mon colonel ?
J : laissez moi faire Carter !
S : mais mon colonel...
J : vous tenez à votre peau Sam ?
S : je... oui
J : alors ?
Juio : alors elle devra le faire maintenant !
J : et comment on fait ?
Juio : vous devez lui donner quelque chose, et elle fera de même
Jack réfléchit un instant
J : je vous donne mon M16 !
S : .. merci...
Juio : et vous, que lui donnez-vous ?
S : je ne suis pas sure que ce soit une bonne idée...
Juio : alors vous serez amenée à notre père dès ce soir, mais c’est un homme bon vous verrez
J : major !
S : mais mon colonel...
J : ça ne veux rien dire de toute façon
Juio : alors ?
S : ... ben... je lui donne le mien aussi
Elle tendis son M16 à Jack
Juio : vous êtes son époux désormais, voilà une trace de votre union
Il lui tendis un bout de papier écrit en Goa’Uld qu’il état aller chercher deux secondes avant
J : ok, merci... et on mange quoi ce soir ?
Il mit le papier dans sa poche, Sam ne pu s’empêcher de sourire
Daniel arriva à ce moment
D : salut !
J : vous avez manquer la petite fête !
D : pardon ?
Juio : vos amis viennent de s’unir comme époux et épouse
D (écarquillant les yeux) : je...
J : ça nous a fait le même effet rassurez-vous
D : je...
J : essayez de relever votre mâchoire inférieure Daniel
D : c’est une blague ?
J : pas vraiment, mais c’est pas bien grave
D : mes félicitations !
J : ne vous fichez pas de nous, c’était ça ou carter était amenée à Apophis
D : en effet
Juio : je vous laisse, je reviendrai pour le soupé
J : ok
Il sortit de la pièce
D : alors comme ça vous êtes mariés ?
J : c’est pas le moment, qu’avez vous trouver ?
D : ha...euh...oui, donc, c’est bien un camp Goa , mais inoffensif, à part bien sur pour les femmes seules qui sont remises à Apophis... j’aurais du faire le rapprochement, mais cette nouvelle m’a beaucoup ému
J : arrêtez de vous foutre de nous et continuez !
D : ha oui... et bien il se trouve que la cité est interdite de sortie pendant le bain, pour éviter les vols et les attaques, c’est pour cela que nous n’avons pas pu sortir, bien que cette cité soir un havre de paix, il reste quelques problèmes internes... j’ai aussi appris que cette planète avait été choisie pour sa beauté et non pas par présence de naquada comme les autres planètes
J : et alors ?
D : si vous aviez entendu le début, j’ai dit que la sortie s’offrait à nous maintenant que le bain est finit Jack !
J : alors fonçons !
S : je vais chercher Teal’c !
J : bonne idée... on se retrouve ici dans deux minutes
D : au fait... ça vous fait quoi d’être mariés ?
J et S : Daniel !!!!
Sam partie à la recherche de Teal’c, il préparait le dîner avec quelques habitants, mais il ne se fit pas prier pour rejoindre les autres à la sortie
Devant les portes de la cité
J : vous êtes qu’on peut sortir sans risque ?
D : oui, normalement
J : ok, alors au cas ou, on va y aller tranquillement, et en faisant croire qu’on revient
Il s’avancèrent, armes baissées
J : alors comme ça y a du gibier dans le coin ?
S : j’ai vu un animal tout à l’heure
D : si on allait s’allonger quelques temps dans la foret ?
J : bonne idée ! ça me va !
Une fois hors de portée des gardes qui les avaient laisser passer avec un grand sourire, ils se mirent à courir vers le stargate
J : Daniel entrez vite les coordonnées !
D : sympas comme lune de miel
J : c’est toujours pas le moment pour ça Daniel, dépêchez-vous !
Ils entrèrent les coordonnées puis disparurent dans la masse bleue et limpide
********
sur terre
SG1 était toujours sur la passerelle quand la voix du général se fit entendre
H : passez à l’infirmerie, et dans une heure au briefing
J : on va bien au fait ! merci de vous inquiéter ça me réchauffe le cœur de penser qu’on a des amis sur terre
H : tout va bien colonel ?
J : merci oui, ça va mieux maintenant
SG1 se dirigea vers l’infirmerie et se rendit au briefing
H : alors tout c’est bien passé ?
J : en fait général, on est tombé dans un camp de gentil goa’uld, mais pas vraiment gentil...
H : Expliquez-vous colonel.
D : ce que Jack veux dire c’est qu’ils sont alliés au Goa mais ne leurs ressemble pas...leur planète est somptueuse et bouleversante, mais ils ont quelques coutumes un peu spéciales
H : comme quoi ?
J : les bains !
H : pardon ?
J : ils prennent des bains tout ensemble...
D ; je parlais plutôt de...
J : oui, tout à fait d’accord, leur façon de traiter des jaffa est inadmissible !
T : merci O’Neil
J : de rien Teal’c
H : colonel, pourriez vous laisser parler le docteur Jackson ?
J : non
H : pardon ?
J : je... ben ce n’est pas une bonne idée mon général
H : j’en jugerais par moi-même colonel... Daniel s’il vous plaît...
D : Jack et Sam se sont mariés !
J : et merde !
H : quoi ? Vous rigolez ?
S : il ne rigole pas mon général, on y a été forcé
H : on vous a menacer ?
S : en quelque sorte
J : bien sur qu’on l’a menacer !
D : général Hammond, je puis vous voir un instant dans votre bureau ?
H : maintenant ?
J : Daniel je ne pense pas que ce soit ce qu’il faille vraiment faire.
D : mais jack ! laissez moi faire ce que j’ai à faire
H : si tout le monde est au courant vous pouvez en parler ici docteur Jackson
D : ok...
J : Daniel !!!!!
H : colonel taisez-vous un peu !
J : mais...
H : c’est un ordre !
Jack échangea un regard avec Sam et se cogna la tête contre la table
D : il se trouve que Jack et Sam sont mariés
H : apparemment...
J : pas exactement, on a fait ça pour empêcher à carter d’être envoyée à Apophis, je ne voyais pas l’intérêt de vous le citer
D : moi je le vois l’intérêt
J : Daniel je croyais que...
D : mais oui je suis votre ami, justement...
H : justement quoi ?
D : et bien le fait qu’ils soient mariés ne pose aucun problème justement
J : vous croyez ça vous ? (à Sam) vous croyez qu’il a lut le règlement ?
S : je ne pense pas mon colonel... mais pourquoi parle-t-on de ce mariage puisqu’il était " fictif " ?
D : pas tant que ça !
J : Daniel ce mariage était une mascarade, c’est pas parce qu’on a échangé nos armes que nous sommes mariés !
H : des armes ?
J : ils ont pas d’alliances là bas... j’ai voulu être original
H : ça vous ressemble bien... mais ça ne répond pas à votre affaire Docteur Jackson... ce mariage ne peut pas vraiment exister
D : il vous a remis un papier Jack ?
Jack réfléchit un instant, et plongea sa main dans sa poche, il sortit un papier chiffonné
D : puis-je ?
Jack lui tendis le papier
D ; c’est écrit clairement ici que vous êtes unis comme époux et épouse
J : et alors ?
D : je vous rappelle que tout mariage peut importe la conception religieuse est accepté aux états unis, et c’est le cas pour celui ci, en plus, l’armée ne condamner pas les couples mariés
S : c’est ridicule Daniel
H : je crois que j’en ai assez entendu pour aujourd’hui !
J : moi aussi général
D : mais...
J : Daniel un conseil... allez dans votre terrier qui vous sert de bureau, montez un mur de brique devant la porte et faite vous déclaré pour mort !
T : il me semble que ce n’est pas une bonne idée O’Neil
J : ha ! Teal’c se réveille enfin !
T : je suis parfaitement réveillé O’Neil, et je tien à vous préciser que je n’approuve pas votre attitude...
J : quelle attitude ?
T : celle de refuser une des cérémonies de mon peuple, et de dire que celles ci ne valent rien, j’ai épouser ma femme ainsi, en échangeant le maigre pain que j’avais jamais eu depuis de nombreux jours, elle m’a donner une mèche de ses cheveux en échange n’ayant rien qui nous appartenait.
J : je... je suis désolé
T : vous pouvez l’être en effet
Teal’c se leva pour sortir
J : ne vous vexez pas ... Teal’c !
Mais il était déjà sortit
D : mon mariage avec sha’ré était aussi presque identique, et il a été reconnu par les états unis en lui donnant une identité terrienne
H : mais la question ne se pose pas.... A moins que vous ne voudriez y réfléchir... on verra ça demain, rompez !
Les deux militaires se levèrent et sortirent de la salle après un salut en règle. Il ne restait que Daniel et Hammond dans la salle
H : Dites-moi docteur Jackson c’est bien vrai tout ça ?
D : général, le règlement n’a pas été bafoué, ils n’ont eu aucun rapprochement, mais ce sont immédiatement retrouver marié, et deux personnes mariées peuvent travailler dans la même équipe sans problème
H : je le sais ça, mais pensez-vous qu’ils vont accepter ce mariage
D : ils peuvent ... ou plutôt VOUS pouvez conserver ce papier, et en cas de problème futur, vous avez cette assurance
H : bonne idée je dois dire
D : personne ne pourra rien leur reprocher si ...
H : le plutôt serait le mieux
D : donnons leur l’occasion d’en parler entre eux, on pourrait les considérer comme des personnes mariées sans qu’elle le soit vraiment
H : mais elles le sont (sourire malicieux)
D : bien sur mais je sui certains que ça va les faire réfléchir
H : ok... au fait, remerciez Teal’c pour son petit discours, il a été très convaincant
D : il a dit la vérité général
H : ha... merci Daniel
*********
plus tard, dans les couloirs
D : ha Jack ! Vous n’avez pas vu votre femme ? il faut que je lui donne des papiers
J : Daniel arrêtez avec ça OK ! carter et moi ne somme pas mariés
D : hun hun
Daniel allait dans le labo de Sam
D : major O’Neil je puis vous voir un instant
S : DANIEL !
D : oui c’est vrai, je vous appelais par votre prénom avant alors pourquoi plus maintenant
S : Daniel !
D : je viens vous donner ces résultats sur l'artefact que l’on a retrouver sur P5F451
S : merci
La micro se mit en marche à ce moment là
Micro : le colonel et le major O’Neil sont priés de se présenter en salle de contrôle
S : QUOI ?????????
D : c’est pas moi cette fois !
S : mon oeil !
D : mais...
Elle sortit rapidement de son bureau et partit vers la salle de contrôle, elle trouva sur son passage de nombreux militaires lui souriant innocemment, arrivée dans la salle, elle y vit Hammond
H : major carter que faites-vous là ?
S : ben...
H : Ha oui c’est vrai, excusez-moi, c’est vous que l’on a appeler
Elle se sentie ridicule d’avoir été visé par le nom de O’Neil, mais c’était bien elle qu’on avait appeler
Jack arriva à ce moment
J : c’est quoi cette histoire encore ???? Je vous signale qu’on est pas marié !!! OK ?
H : colonel calmez-vous
J : mais toute la base est morte de rire maintenant
H : et alors, il fallait bien qu’ils l’apprennent un jour ou l’autre, je ne voulais pas que ça fasse des rumeurs dans les couloirs, ça aurait distrait tout le monde, maintenant on a mis fin à toutes les suppositions vous concernant et tout rentrera dans l’ordre
S : de quelles suppositions parlez-vous mon général ?
H : celle qui pesait sur votre couple, maintenant c’est fait. Rompez !
S : mais mon général....
H : major la discussion est clause, au fait, vous avez les félicitations de votre père, il sera là dans deux jours, pour le moment il est en mission
S : QUOI ? MON PERE ???
H : il s’en réjoui déjà
J : mais tout le monde est devenu fou ici ?
H : je ne vous permets pas de m’insulter colonel maintenant allez à vos occupations
Jack et Sam sortirent de la salle de contrôle, et s’appuyèrent contre un mur non loin de là
J : je crois que c’est aller un peut trop loin
S : oui moi aussi mon colonel
J : qu’est ce qui leur prend à tous de nous faire ça ?
Deux sergents passèrent à ce moment et se mirent au garde à vous devant eux
J : quoi sergent ?
Sergent : nous voulons vous féliciter et vous souhaitons tout le bonheur du monde Colonel, major.
J : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Les deux sergents partirent un peu inquiets
S ; mon colonel calmez-vous !
J : me calmer ?
S : on est pas obliger d’écouter tout ce qu’ils nous disent, nous on sait à quoi s’en tenir
J : justement non !
S : pardon ?
J : on est marié ou pas ?
S (baissant la tête) : à vrai dire je n’en sais rien monsieur...
J (le ton grave) : moi non plus et c’est ce qui m’effraie... si je tenais cette saleté de gamin en ce moment vous savez ce que je lui ferais ?
S : non
J : je lui ordonnerais d’épouser Teal’c ! ce serait la coutume O’Neil !
Sam ria un peut
S : même avec l’apparence d’un enfant je l’aurais mis au cachot
J : ou on aurait pu l’enfermer dans une pièce avec des crabes !
S : oui aussi
J : bon sang... on est dans un sacré pétrin carter
S : en plus mon père qui viens en pensant qu’on est marié !
J : le général à dit que votre père nous félicitait... c’est étrange venant d’un ancien général
S : mon père vous apprécie beaucoup même s’il ne le montre pas
J : j’aurais jamais cru
S : j’ai bien vécu de nombreuses années avec lui, il me traitait pareil... il a sa façon d’aimer
J : je suis dans ses petits papiers alors ?
S (souriant) : oui si vous voulez
J : allez venez, on va boire un café !
S : au mess ?
J : non ! Y a trop de gent !
S : ce serait un moyen pour leur expliquer qu’on est pas réellement marié et de mettre les choses au clair
J : en effet... on y va alors !
Ils arrivèrent au mess et trouvèrent Daniel en grande discussion avec quelques militaires qui se séparèrent à l’arrivée du colonel et du major, faisant comme si rien n’était
J : que faites-vous Daniel ?
D : je réponds à quelques questions... rien de plus
Jack regarda Sam d’un air exaspéré, puis monta sur la table
J : Ecoutez-moi tous....
Un soldat : félicitation !
Tous les autres se mirent à crier pareil et à l’applaudir, levant les verres et criant " au colonel et au major ! "
J : mais écoutez-moi bon sang !!!
Sam monta à son tour sur la table pour leurs demander de ce calmer
Un autre soldat : le baiser ! la baiser ! la baiser !
Tout le monde l’imita et le mess ne fut rempli que de ce bruit sourd, toutes les personnes présentes tapaient sur les tables pour les encourager
J : GARDE A VOUS !
S : s’il vous plaît laissez nous parler !
Mais personne ne se tut
J : je suis encore votre colonel alors laissez moi parler !
Le général arriva à ce moment, les bruits se dispersèrent, et il avança jusqu'à la table ou se trouvaient jack et Sam
H : vous n’êtes plus colonel pour les deux prochaines semaines Jack
J : pardon ?
H : ben oui, c’est votre lune de miel... vous êtes en vacances !
J : c’est vrai ?
Sam lui donna un coup de coude comme il avait seulement entendu le mot " vacances "
J (se reprenant) : non, on est pas en vacances, y a pas de lune de miel et on reste ici un point c’est tout
Il profita du silence pour crier
J : et on est pas marié alors arrêtez avec ça !
Ils sortirent tous les deux du mess, Daniel monta à son tour sur la table
D : ne vous inquiétez pas, il est juste un peu nerveux... ça fait 5 ans qu’il ne se passait rien et du jour au lendemain ils se marient alors...
*********
labo de Sam
Jack entra et ferma la porte rapidement derrière lui, puis regarda par les stores
S : Mon colonel ?
J: j’espère qu’on ne m’a pas vu entrer !
S : et les caméras de surveillance ?
J : merde ! Je savais bien que j’oubliais un truc !
Sam sourie
S : que voulez-vous mon colonel ?
Jack lâcha la porte et commença à parler avec un ton de lassitude
J : cette situation ne peut plus durer carter !
S : je suis d’accord avec vous mon colonel
J : tout le monde s’y met maintenant, même le général !
S : je n’ose même plus sortir de mon labo
J : pourquoi ? C’est si honteux d’être marié avec moi ?
Jack avait dit ça pour détendre l’atmosphère, mais il s’est bien tromper sur ce coup
S : je n’ai pas dit ça...
J : oui, excusez moi... je comprends je vis la même chose que vous je vous signale
S : que va-t-on faire ?
J : laisser courir, dans quelques temps il n’y paraîtra plus
S : il ne manquerait plus qu’ils fassent une fête en notre honneur
J : comment vous le savez ?
S : je ne le sais pas je suppose... pourquoi ?
J : parce que j’ai entendu deux airs man en parler tout à l’heure...
S : c’est pas vrai !!!
J : je crois bien que si.
S : on devrait faire annuler le mariage !
J : je pense qu’ils ont étés plus subtils que ça... ils n’ont pas du encore l’enregistrer... ils font ça pour nous pousser à bout
S : mais dans quel but ?
Elle se sentie rougir
S : heu... excusez moi mon colonel...
J : nous savons tous les deux quel but à cette manœuvre...
S : c’est quoi leur problème ?
J : ils sont tous plus frustrés les uns que les autres... la vie dans la base ne les réussit pas.
S : vous savez quoi mon colonel ?
J : quoi ?
S : je m’en fou des autres !
J : mais moi aussi
S : je vous dis que je me fou de leur réaction, ils peuvent dire ce qu’ils veulent, je continuerais de travailler, de rendre mes rapports à temps, leurs remarques ne m’atteignent pas
J : bonne résolution
S : si on sortait la tête haute de ce labo mon colonel ?
J : avec plaisir major carter
S : ils finiront bien par ce fatiguer
J : je suis tout à fait d’accord avec vous
Il lui ouvrit la porte du labo et la laissa passer devant, il la rejoignit dans le couloir et marchèrent quelques temps
J : on va ou au fait ?
S : aucune idée...
J : on a cas juste marcher !
S : ok.
Pendant la petite promenade, il ne put s’empêcher de se dire qu’il pouvait avoir tout ce qu’il désirait dans la vie : Sam, mais malgré l’autorisation et tout ce qui se passait autour, il ne pouvait toujours pas l’avoir, à cause de leur foutue fierté
Sam en était au même point de discussion intérieure, elle ne pouvait pas s’empêcher de se demander ce qui se passerait si elle l’embrassait maintenant, mais les idées et les actions suivent rarement dans ce genre de cas.
Après avoir marcher une bonne demi-heure et avoir parler des sujets les plus débiles qui soit, Sam se décidât à retourner travailler afin d’aller se coucher tôt
Le lendemain se passa dans le même esprit, Jack et Sam ne pouvaient pas être tranquille 5 minutes que tout le monde voulais les féliciter et avoir plus de détails sur cette histoire. Daniel alla harceler jack pendant deux bonnes heures tandis que Janet s’occupait de Sam, les deux comparses avaient échapper à la mort de justesse quand ils avaient prétendu que le mariage était valide
Le jour suivant, commença plutôt bien, les félicitations avaient stopper car tout le monde y était passer, mais en revenant dans ses cartiers le colonel O’Neil eu un choc
J : mais...
Sergent (saluant) : colonel O’Neil !
J : qu’est ce que vous faites là ?
Sergent : j’ai reçu l’ordre de changer quelques dispositions de vos quartiers
J : quel ordre ? C’est moi qui donne les ordres ici !
Sergent : c’est un ordre direct du général Hammond mon colonel
Jack partit de ses cartiers vers le bureau du général, mais ne l’y trouva pas, il alla en salle des contrôles et le vit sur la passerelle avec Jacob, il descendis et arriva à hauteur de Hammond
H : ha colonel !
Jacob: comment ça va fiston ?
Il n’eu pas de réponse, jack regardait Hammond dans les yeux
J : c’est quoi cette histoire dans mes cartiers ?
Hammond ne pu répondre que Sam arrivait se pointa aussi devant Hammond
S : ou sont mes affaires mon général ?
J : je sais ou sont vos affaires major, mais ce que je veux savoir c’est ce qu’elles font dans mes cartiers ?
S : quoi ?
Jacob : bonjour ma chérie.
S : tu es là papa ?
Jacob : ravi de voir que ma présence passe inaperçue
Elle l’embrassa
S : bonjour papa
Jacob : alors comme ça tu te marie sans ton vieux père ?
S : OH NON !!!! Pas toi !!!! Tu ne vas pas commencer !!!
Jacob : Calme-toi ma puce, je ne t’en veux pas tu as fait un très bon choix
J : merci c’est gentil !
Sam le regarda et il se ravisa très vite
J : mais nous ne sommes pas mariés Jacob
Jacob : d’après ce que m’a expliquer George SI !
S : papa !
J : général ça n’explique pas les affaires du major dans mes quartiers
G : il se trouve colonel que le SGC accroît le nombre de ses hommes, mais la base ne peut être agrandie, j’ai profiter de ça pour réunir vos cartiers, ceux du major seront attribués dès ce soir à un nouveau
S : mais vous n’avez pas le droit mon général !
H : bien sur que si ! Vous avez désormais le droit de partager vos quartiers, alors je ne m’en priverais pas... surtout qu’on a vraiment besoin de place.
Jacob : ce n’est pas bien grave ma chérie... tu as l’habitude de partager tes nuits avec les missions.
J : Jacob, avec tout le respect que je vous dois, en mission nous ne partageons pas un lit deux place avec des oreillers rose bonbon !
S : rose ?
J : attendez de voir les draps en satin
S : j’y crois pas !
H : l’ensemble du mobilier est un cadeau de mariage du personnel de la base, ils ont tous cotiser...
S : parce qu’il y a autre chose que ce lit ?
H : une armoire plus grande pour vous deux.... Une deuxième table de chevet... un plus grand bureau... et le nécessaire que le docteur Jackson à juger utile
J : j’aurais du me douter qu’il était derrière tout ça !
S : je vais le tuer !
Jacob : mais non, tu ne va tuer personne ma chérie
S : tu te trompe papa, tu ne m’as jamais vue comme ça !
Et elle partie en marchant très vite, suivit de près par jack
J : laissez moi l’achever !
S : je ne sais pas
J : ne m’obligez pas à vous l’ordonner
Ils partirent donc à la recherche de Daniel à travers les couloirs, ils le virent tenant un bouquin et lisant en marchant
J : Daniel !
Daniel leva la tête et vit les deux militaires en face de lui, mais ils avaient encore quelques mètres de distance, il pris donc ses jambes à son cou, sachant ce qui allait lui arriver
Jack et Sam coururent aussi, essayant le rattraper, mais il avait de l’avance, et il faut dire que Daniel savait courir vite quand il s’agissait de sauver sa peau.
Il entra dans l’infirmerie faisant sursauter Janet
D : je ne suis pas là ! Tu ne m’as pas vu ! et il se cacha sous un brancard
Janet : mais que...
Elle fut interrompue par la porte qui se rouvrit en grand laissant passer jack et Sam essoufflé
J : on sait qu’il est là ! Pas la peine de le cacher !
S : on veut juste le tuer, et on le fera bien lentement !
Janet : mais que...
J : ne dites pas que vous n’êtes pas au courant ! vous êtes la prochaine sur la liste
Ils entendirent un grand bruit et se tournèrent vers sa provenance, Daniel était accroché au brancard pas en dessous, mais il était tomber, jack l’attrapa et le mis au-dessus du brancard
Janet : colonel faites attention à ce que vous faite
Jack retira les lunettes de Daniel complètement apeuré
D : non jack, ce n’est pas une bonne idée... mais alors pas du tout...
J : et votre petit manège alors ???
S : vous devriez avoir honte Daniel
D : mais je suis votre amis...
J : curieuse façon de le montrer alors
D : amis je vous jure que c’est vrai...
J : pourquoi avoir fait ça ?
D : c’est... vous risqueriez de me frapper après...
S : si vous le dite je vous jure qu’il ne vous frappera pas
D : c’est vrai ?
J : ...oui
D : c’est pour que vous vous rapprochiez
Il reçu un grand coup dans la mâchoire
D : aille !!!!!!!
S : moi je n’ai rien promis par contre !
J : bien jouer carter
S : merci mon colonel
D : ailllllleeeee
Janet : mais vous êtes fou... vous l’avez abîmer !
J : ne vous en faite pas, je suis sur que c’est pour son plus grand bonheur... n’est ce pas Daniel ?
Jack se pencha à l’oreille de Daniel
J : on a fait ça pour vous rapprocher du doc.
Daniel ne répondit rien... de toute façon il ne sentait plus rien dans sa bouche
Janet : ce n’était pas la peine de le frapper pour autant colonel
Janet se pencha au-dessus de Daniel
Janet : ça va aller, ne t’en fait pas
Jack et Sam se regardèrent un instant, apparemment non, Janet et Daniel n’avaient pas besoin de se rapprocher plus que ça....
Le couple de jeunes mariés partis donc en vadrouille dans la base, se sentant un peu coupable d’avoir fait du mal à un ami, ils avançaient sans s’en rendre compte jusqu’aux cartiers de Jack
J : je crois qu’il faut que je vous fasse visiter vos nouveaux cartiers major.
S : pourquoi pas....
Il ouvrit la porte et trouva une clef supplémentaire suspendue à la poignée
J : je crois que celle là c’est pour vous
Elle pris la clef dans ses mains, et le remercia d’un sourire
J : voilà votre demeure....
Le chambre se dévoilait devant elle, en effet, il y avait un nouveau lit double avec des oreillers rose, mais depuis le passage de Jack, tout ce dont avait parler le général s’y trouvait aussi, sur la table, on pouvait voir un vase avec des fleurs et une carte
Jack la saisit et la lut à haute voix
J : " mes chers amis, toute la base se joint à moi pour vous dire combien nous sommes heureux pour vous, vous êtes des êtres sur qui on peut compter, et ces 5 années avec vous me l’on fait comprendre, je suis certains que vous êtes fait pour cette vie, si je me trompe, vous avez le droit de me tuer comme bon vous semble...j’espère que vous ne m’en voulez pas trop... vos amis.... signé Daniel Janet et Teal’c "
Jack reposa la carte sur la table, et regarda Sam qui était encore debout sur le pas de la porte
J : on dirait qu’on ne peut pas leurs en vouloir... ils ont pensé à s’excuser
Aucun des deux n’osa dire un mot, mais Jack voyait que Sam hésitait encore à entrer
J : et bien entrez donc, c’est chez vous aussi maintenant
S : je n’ai pas cette sensation
J : j’aurais été pareil si ça avait été dans vos quartiers, mais vous n’en avez plus alors faites comme chez vous ok ?
S : ok Mon colonel
Sam fit le tour de la pièce et tomba devant l’armoire, elle ouvrit un battant et le referma en souriant
J : que se passe-t-il ?
S : ils ont même déménager mes vêtements
J : ils ont penser à tout
Sam voulait sortir de cet endroit, elle était si gênée de s’y trouver avec son colonel qu’elle trouva une excuse pour partir
S : je vais aller saluer mon père avant qu’il ne rentre, il est déjà tard et il ne va pas tarder
J : ok
Elle sortit donc et alla trouver son père qui allait la faire appeler au micro
Jacob : laissez tomber sergent, la voilà
Jacob se tourna vers sa fille
Jacob : tout va bien ma chérie ?
S : je pense oui...
Jacob : tu veux m’en parler ?
S : Je ne sais pas...
Jacob : je suis ton père... tu peux tout me dire...
S : je... tout se bouscule papa !
Il la fit s’assoire dans la salle de briefing
Jacob : prend ton temps ma chérie
S : je...je me retrouve mariée au colonel sans l’être réellement, et on se retrouve à partager la même chambre et à recevoir de cadeaux de mariage papa ! Tout ça en deux jours !
Jacob : tu aurais préféré faire ça dans les règles ?
S : je ne sais pas... mais c’est mon colonel papa
Jacob : et alors ? c’est le seul moyen qu’il y ait pour légaliser votre union, et tout le monde sait ce que vous éprouvez l’un pour l’autre
S : je n’en suis plus si sure...
Jacob : de tes sentiments ?
S : non... des siens
Jacob : crois moi... j’ai vu comment il te regarde, il t’aime Sam
S : je ne sais pas, et même si c’était le cas... on ne peut pas en parler en ce moment, on est...
Jacob : la gêne fait partit de ce que vous vivez, si vous dépassez cette étape c’est bon
S : j’ai peur papa
Jacob : je serais toujours là ma chérie si tu as besoin de parler
S : merci papa
Jacob : je vais devoir renter sur Vorach maintenant
S : je t’accompagne
Elle le ramena à la porte et après quelques paroles, il partit, n’osant pas entrer d’elle-même dans ses nouveaux cartiers, elle alla au labo effectuer quelques tests, mais elle était si fatiguée qu’elle s’efforça de garder les yeux ouverts refusant de rentrer dans le même lit que Jack dans ces circonstances, elle finit par s’endormir
Carter ?
Elle entendis vaguement quelqu’un l’appeler
Carter ? réveillez vous ce n’est pas un endroit pour dormir
Elle ouvrit les yeux et vit jack penché au-dessus d’elle
J : je savais que vous seriez ici, mais écoutez-moi bien, cette histoire ne doit pas avoir de conséquence sur votre santé c’est bien compris ?
Sam hocha la tête, trop fatiguée pour répondre
J :je vais vous porter jusqu'à la chambre si vous voulez
Mais Sam trouva la force de répondre
S : non... je vais bien... je vais marcher...
Elle se leva difficilement, et s’appuyait sur la table pour avancer, au bout de quelques pas elle fut à peu près claire et réveillée, et pu avancer dans le couloir, jack était à sa hauteur
J : vous savez, moi non plus je ne suis pas habitué à cette situation, mais je ne veux pas que ça change quoi que ce soit
S : je comprends ce que vous voulez dire mon colonel
J : cette chambre est autant la mienne que la votre c’est compris maintenant ?
S : j’essayerais de m’en souvenir mon colonel
J : non, pas " essayer " je vous dis que c’est le cas !
S : merci mon colonel
Ils arrivèrent à la porte de la chambre, et jack attendis que Sam l’ouvre pour lui donner confiance en elle
Elle le compris bien et ouvrit la porte en lui adressant un sourire, puis ils entrèrent dans la chambre.
S : je vais aller me changer
J : je passe après vous, prenez votre temps
Elle entra dans la salle de bain et se passa de l’eau sur le visage, puis ce décida à prendre une bonne bouche quand elle vu les deux peignoirs assortis sur les portes manteaux
Elle était en short et en tee-shirt noir, elle finissait d’essuyer ses cheveux avec une serviette humide, il se leva à son tour et entra dans la salle de bain en évitant de trop la regarder, il pris lui aussi une douche en voyant lequel des peignoirs c’était approprié Sam (le plus petit bien sur), il finit ce qu’il avait à faire, et retourna dans la chambre en bas de jogging et en tee-shirt noir également, il trouva Sam au bureau en train de lire quelques papiers
J : carter je vous aie trouer dormant dans votre labo alors allez me faire le plaisir de vous coucher immédiatement
S : je dois vraiment finir ça avant
J : c’est un ordre major
S : mais mon mari n’a pas d’ordre à me donner colonel
J : dans ce cas je ne suis pas " colonel "
S : ok Jack ! laissez moi finir et j’arrive
Elle avait insister sur son prénom, en effet, sa vie personnelle devait être dissociée de sa vie professionnelle se dit elle, et il approuvait ce choix, il se dit aussi que ce n’était pas normal de donner des ordres à la femme qui partagerait sa vie
Elle tria encore deux ou trois papiers le temps pour lui de ranger un peu ses affaires et ils étaient près à ce coucher, mais aucun d’eux n’osait approcher le lit
J : je... on est adultes...
S : en effet
J : alors vous dormez à gauche ou à droite d’habitude ?
S : comme vous voulez
J : alors vous prenez le coté du mur... je me lève la nuit parfois
S : pas de problèmes
Ainsi, c’était à elle de rentrer en première dans le lit, elle hésita, mais ouvrit les couvertures et se plongea à l’intérieure jusqu'à atteindre son côté, jack éteignit la lumière et trouva le lit sans le voir, trouva les couvertures et se glissa dedans, le contact avec les draps doux de satin était agréable, mais il se punit lui-même de penser à de telle chose
Les deux était allongés, regardant le plafond avec le couette jusqu’aux cou
J : bonne nuit carter
S : bonne nuit mon colonel
Au bout d’un moment, ils finirent par se détendre un peut, mais pas à trouver le sommeil, lorsque Sam bougea, il en profita
J : vous dormez ?
S : non, je n’y arrive pas, et vous ?
J : si je vous parle c’est que non
S : ha...
* silence *
S : mon colonel ?
J : ou est passé le " Jack " ?
S : je ne sais pas...
J : ... quoi ?
S : quoi quoi ?
J : vous m’avez appeler avant que je ne vous coupe.
S : ha oui...
J : vous vouliez dire quoi ?
S : je ne sais plus
J :personne ne sait plus rien aujourd’hui !
S ; désolé mon colonel
J : carter on est dans le même lit pour un moment alors appelez-moi Jack
S : c’est risqué
J : je sais bien, mais ça me gène de me faire appeler par mon grade
S : ok
* silence*
J : major ?
S : Sam !
J : quoi ?
S : si je vous appelle Jack moi c’est Sam
J : ok, Sam ?
S : quoi ?
J : vous pensez que nous sommes effectivement mariés ?
S : je me suis aussi posée cette question
J : tant mieux parce que vous avez sûrement la réponse vous... vous avez tout le temps une réponse !
S : et bien non...
J : vous êtes sur ?
S : certaine
J : pas même une petite idée ?
S : peut être bien si...
J : je ne vais pas vous manger Sam, on peut parler librement
S : ben... je pense que de notre point de vue le mariage n’a pas eu lieu, mais selon la loi et nos amis qui s’obstinent, le mariage est valable
J : oui mais ce genre de chose doit être fait sans contraintes normalement
S : je sais, mais ils ne l’on pas enregistrer ça... vous avez accepter le papier que vous a donner Juio mon colonel, c’est l’acte d’union
J : c’est ma faute ?
S : je n’ai pas dit ça
J : mais J’AI pris ce papier
S : il aurait pu me le donner à moi... je l’aurais pris sans réfléchir
J : alors comment on fait ?
S : je ne sais pas
J : on est mal partit alors !
* silence*
Jack se mit à rire au bout de quelques minutes
S : quelque chose de drôle ?
J : je repensais juste à un truc qu’a dit Teal’c tout à l’heure, Daniel fait des tests d’humour sur lui...
S : et qu’as-t-il dit ?
J : Teal’c me disait très exactement que nos enfants n’auront pas intérêt à nous ressembler
S : il a dit ça ?
J (riant de plus belle) : oui, j’étais assez surpris de sa part
S : ho mon dieu, Daniel l’a transformé en demi-lui !
J : c’est ce que je me suis dit aussi
S : on est mal !
Les deux se mirent à rire de bon cœur
J : vous pensez qu’il soit possible qu’il ait été sérieux ?
A : à propos de nos soit-disant enfants ?
J : ouais... ce serait vraiment dommage pour tout le monde
S : comment ça ?
J : ils seraient les plus beaux, les plus intelligents et les plus drôles...ils en feraient pleurer tous les jaloux !
S : de qui tiendrait-il son coté comique ?
J : de Thor si vous voulez !
Ils continuèrent à rire doucement en parlant de leurs enfants, au bout d’un moment, ils se turent, et essaient de retrouver une respiration régulière pour ne pas montrer leur trouble à l’autre
S : je pense qu’on est pas dans les temps mon colonel...
J : je pense aussi major
S : c’est vrai, on est ami, puis marié, on parle d’enfants mais dans tout ça il n’y a pas de " nous " et on s’appelle encore par nos grades....
J : on fait tout de travers et dans le désordre...
S : je dois avouer que nos vies n’étant pas simples, ça m’aurait étonner de vivre cette étape de ma vie de la même manière que tout le monde
J : c’est assez bon comme résonnement
S (exagérément modeste) : oui je sais, il m’a fallut des années pour en arriver là
J : combien exactement ?
Sam hésita à répondre, plus un bruit dans la pièce
S : 5 précisément
J : depuis le SGC...
S : ...oui
Sam était toujours sur le dos, les bras sur la couverture, tandis que Jack s’était redressé sur son coude et était tourné dans sa direction
J : nos vies auraient été si... différentes sans ce programme
S : je pense aussi
J : vous seriez cosmonaute à la NASA et je serais sur mon balcon à regarder les étoiles
S : on aurait pu se voir de là haut ! qui sait ?
J : oui aussi... mais on ne se serait pas connu, ça aurait été dommage...
S : qui aurait cru que le Jack O’Neil que j’ai rencontré il y a 5 ans dirait ça un jour !
J : et que ce Jack O’Neil en question se retrouverait marié avec vous...non vraiment je pense que la vie est imprévisible
S : j’en suis certaine...
Un autre silence se fut dans la pièce
J : je ne sais pas combien de temps ça va durer tout ça...j’espère pas trop longtemps
S (avec une pointe de déception) : pourquoi ?
J : parce que je ne sais pas combien de temps je vais tenir avec vous près de moi... je n’ai pas confiance en moi pour ce qui est de ce tenir auprès d’une jeune femme
S : vous n’avez pas à faire le moindre effort avec moi Jack je vous ai vu dans des situations telle que je sais comment vous êtes au naturel
J : je ne crois pas que l’on parle de la même chose, si je ne fais pas d’effort, c’est à vos risques et péril... croyez-moi, c’est préférable
S : ... préférable pour maintenant ou pour l’avenir ?
J : pour l’avenir
S : et pour maintenant ?
J : je pense trop à l’avenir, j’en ai trop peur
S : de quoi ?
J : que quelque chose tourne mal et que tout soit perdu... de vous rendre triste
S : mais vous savez aussi me rendre heureuse le reste du temps
J : j’aimerais que ce soit tout le temps
S : ...moi aussi...
Jack la regarda et pu voir son visage dans la presque totale obscurité, elle était à, juste à coté de lui, sans rien à part sa peur pour le retenir d’agir, il plaça sa main sur la sienne et commença doucement à caresser ses doigts, il jouait avec son pouce furtivement pour lui faire comprendre doucement ce qu’il ressentait, elle le regarda mais ne bougea pas sa main
S : vers quoi ça nous conduirait ?
J : dans l’avenir proche ou dans le lointain ?
S : les deux
J : pour l’un se serait.... Le bonheur.... Et l’autre....le même chose, enfin je pense
S : j’espère que vous pensez bien
J : on a pas de moyen de vérifier.... C’est ce que vous voulez ?
S : seulement si je ne suis pas la seule à le vouloir
Il se pencha vers elle et l’embrassa timidement
J : et si on reprenait les choses dans l’ordre maintenant ?
S : pourquoi pas...
Il l’embrassa à nouveau, et elle semblait répondre à son baiser, non, elle répondait vraiment à son baiser, se sentant si bien dans ce lit si grand, dans les bras de l’homme qu’elle aime depuis si longtemps, elle n’y croyait pas
S (entre deux baisers) : jure-moi que ce n’est pas un fait de mon imagination ou que je ne suis pas dans le coma.
J : si je te dis que je ne veux jamais me réveiller tu es convaincue ?
S : pas totalement, mais je ne laisserais pas passer cette chance...
Ils s’embrassèrent encore et encore, jusqu'à faire tomber le drap qui les séparait et jusqu'à tout oublier autour d’eux, cette nuit fut certainement la plus belle et la plus surréaliste de leur vie passée, dans les bras l’un de l’autre et plus si affinité
********
le lendemain matin
micro : le colonel et le major O’Neil sont appelés en salle de briefing, je répète, le colonel et le major O’Neil sont attendu en salle de briefing
le couple venait à peine d’ouvrir les yeux quand la voix se tue dans le haut-parleur
J : mmmm quelle heure est-il bon sang ?
S : ils veulent notre peau !
Jack mis son bras autour du ventre de Sam
J : en fait je pense que ça viens du fait qu’on a dormi que 3H si je compte bien
S : ça y ressemble...
Il l’embrassa, toujours emmitouflée dans les draps et les oreillers
S : j’ai pas envi de partir...
J : moi non plus
S : mais il le faut... c’est peut être important
Micro : on aurait penser que le major pourrait avoir une bonne influence sur le colonel !
S et L : LA FERME DANIEL !
J : il ne peut pas nous entendre
S : mais il sait ce qu’on en pense
J : tu n’as pas taper assez fort sur sa mâchoire
S : Janet m’aurait planté ses aiguilles partout après ça !
Ils se regardèrent un instant prenant connaissance de leur bonheur
S : il faut y aller
J : alors on revient se coucher après ?
S : tut dépend de ce que le général a à nous demander
Ils s’habillèrent assez rapidement et marchèrent jusqu'à la salle de briefing
H : ha ! colonel, major, veuillez vous assoire
J : que se passe-t-il ?
H : c’est à propos du mariage, je veux une réponse maintenant
J : c’est que...
S : on a pas vraiment eu le temps d’y penser mon général....
H : si je l’annule pensez-vous ne rien avoir à vous reprocher ?
J : ...
S : ...
H : ok.... Je pense que c’est non ?
J : c’est à dire que...c’est plus compliquer que ça en à l’air... en fait non ! C’est très simple !
Sam le regarda étonné
J : je veux vivre avec Sam
Sam lui souriait après avoir eu un moment d’étonnement
H : je suppose que c’est pareil pour vous major ?
S : ... oui mon général
J : c’est pas à moi que tu dis " oui " normalement ?
Sam se tourna vers lui
S : bien sur que je te dis oui !
Il lui pris la main devant Hammond
H : je suis heureux que tout soit enfin rentré dans l’ordre !
J : on commence tout juste à s’y habituer...
H : vu le sourire que vous affichez colonel, je n’en doute pas
Sam se sentie rougir et baissa la tête
H : alors on vous attend ce soir au mess pour une petite fête en votre honneur
J : c’est vrai ?
H : bien sur, Daniel vous fera un petit discours
J : qu’est ce qu’il va nous balancer cette fois ? Qu’on attend des triplets depuis deux mois déjà ?
H : j’en doute colonel, j’ai lut son discours et il est très bon
S : nous y serons général
Le soir venu, toute la base était au mess pour célébrer l’union de Sam et de Jack, ils étaient heureux et ne le cachaient pas, au moment venu, Daniel qui les avait évité toute la soirée pour ne pas se reprendre un coup se leva et demanda le silence
D : mesdames et messieurs !! Et entités extraterrestres s’il vous plaît j’ai besoin d’un peu de calme !!! ... merci !
Tout le monde se suspendu à ses lèvres
D : je coulais vous dire à tous combien je suis heureux aujourd’hui de voir deux des êtres qui me sont le plus cher vivre enfin heureux après tant d’années !
Les petits applaudissements firent leur apparition
D : je voulais aussi dire que...j’espère qu’ils ne m’en veulent pas trop pour avoir été aussi radical mais je ne voulais pas attendre encore 5 ans ! ...
Il s’adressa ensuite aux deux personnes visées
D : Sam, Jack... je pense que vous comprenez mon geste désormais et je tien à vous dire que je suis sur que votre couple donnera exemple à de nombreux autres... je l’espère... et que maintenant, vous allez un peu me lâcher pendant les missions et que vous allez vous occuper d’autre chose que der me faire la vie dure
J (criant à travers la foule qui riait, mais en souriant) : JAMAIS !
Ils échangèrent un regard amusé tous les deux, puis il mis son bras autour de la taille de Sam et l’embrassa devant tous les regards ébahis des autres militaires
D : je vais finir mon petit discours en disant que si d’autres d’entre vous souhaitent se marier entre militaires, il suffit d’aller su P5F754 et de demander à parler à l’ancien, je vous communiquerais les coordonnées plus tard ...
Il descendis de la table ou il se trouvait et se dirigea vers Janet
Janet : beau travail doc.
D : merci doc.
Janet : on a finit par y arriver avec ces deux là !
D : c’est pas trop tôt, mais je me demande ce que je vais faire pendant ma retraite maintenant
Janet : on trouve toujours à s’occuper
D : mais vous savez ce qu’on dit : les cordonniers sont souvent les plus mal chaussé !
Janet : que voulez vous dire ?
D : ho... pas grand chose
Il la regarda dans les yeux, et elle lui sourit, pendant que plus loin, deux autres tentaient de s’éclipser par une issue de secours ...
FIN
(pas trop tôt) lol je vous laisse partir maintenant... j’espère que ça vous a plus, et on est jamais à un petit feedback près... sniff