Avec quelques années d’avance...
Partie 1
Auteur :
Mara Jade
Adresse :
Site : L'univers de Mara Jade, fanfictions
http://perso.worldonline.fr/marajade
Résumé :
SG1 arrive au SGC avec un peu d’avance...
Disclaimer :
Ceci est une fanfiction, elle est destinée aux fans de stargate et n’a aucun but lucratif. Et de toute façon les perso ne m’appartiennent même pas ! ! !
Style :
Projection de l’avenir, romance Jack/Sam, romance Daniel/Janet
Note de l’auteur :
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Jack se réveilla en sursaut quittant le doux monde des rêves de façon assez brutale. " Encore un réveille en fanfare grâce à cette stupide alarme ! ", pensa-t-il. Et puis cela commençait par devenir une habitude c’est dernier temps ! Mais si ce coût si c’était encore Anise venu demander de l’aide, il ne répondrait plus de rien...
Mais en bon soldat, il se précipita quant même vers la salle de contrôle telle une tornade. Là il eut la surprise d’y trouver son équipe en compagnie du général. Il était donc le seul à avoir des horaires de sommeille normaux dans cette base !
Carter était déjà penchée sur son ordinateur et ses mains volaient avec légèreté sur le clavier avec un Daniel attentif par dessus son épaule. Et bien sur Teal’c qui restait fidèle à lui-même donc impassible. Et ce brave Hammon qui supervisait le tout !
Le colonel s’approcha du groupe en regardant tour à tour la porte et les moniteurs. C’était une activation non-programmée ça il n’y avait aucun doute !
GENERAL : Alors major ?
SAM : Toujours pas de signal, mon général.
Sam prit alors un air attentif.
SAM : J’ai un code ! (son expression marqua un temps sa surprise) C’est un code SG1, mon général !
JACK : Oui mais on est tous là...
Tous le regardèrent comme s’il venait d’apparaître. Ah ! L’art d’énoncer les évidences à la O’Neil...
SAM : On fait quoi, mon général ?
Ils avait tous les yeux fixés sur la porte ainsi que sur l’iris toujours fermée alors que l’équipe de sécurité tenait en joue la porte dans un silence pesant.
GENERAL : Ouvrez l’iris ! (puis dans le micro) Soyez prêt à toute intrusion, on ne tire qu’à mon ordre !
L'iris s'ouvrit et bientôt c'est presque avec impatience qu'ils observaient la flaque bleuté de la porte des étoiles.
Puis au bout de ce qu'ils leur parurent des heures un homme passa la porte. Il portait un tenue militaire de combat qui ressemblait à celle du SGC mais son uniforme était noir. Pourtant même de la salle de contrôle, ils pouvaient voir sur son épaule le symbole de la Terre. Toujours de dos, l'homme gardait son arme vers la porte.
HOMME : On a récupéré le colonel mais on pas vraiment réussi à les semer !
Mais à peine eut-il fini cette phrase et avant que qui qu'on que n'ait pu réagir deux autre soldat passèrent la porte accompagné d'une femme.
Elle n'avait pas plus de 30 ans. Elle portait une longue robe blanche et un diadème en or d'inspiration égyptienne qui retenait avec art ses superbe cheveux bruns. Une vraie princesse ! pourtant sa façon de ce déplacer ne laissait aucun doute : elle avait reçu une formation militaire.
Les quatre nouveaux arrivant leur tournait toujours le dos semblant redouter une attaque par la porte. Puis la jeune femme ordonna la fermeture de l'iris avec le ton de quelqu'un d'habitué au commandement.
Sam obéit en ce disant qu'il valait mieux pas que ce que craignait le groupe entre dans la base. Puis un fois qu'ils se sentir en sécurité le groupe se retourna et marqua un temps de surprise devant les hommes qui les tenaient en joue.
UN DES HOMMES : Mon colonel ?
FEMME : C'est quoi encore cette histoire, lieutenant ?
LE MEME HOMME : Je suis sûr des coordonnées, mon colonel.
C'est alors que SG1 et le général entrèrent dans la salle d'embarquement où la tension était presque palpable. Le groupe qui se trouvait toujours sur la passerelle semblait vraiment dubitatif.
UN AUTRE HOMME : (calmement) Je crois que l'on est bien au don endroit, mon colonel. On est juste un peu en avance...
FEMME : Wouai, d'une petite trentaine d'années...
La jeune femme qui semblait avoir le grade de colonel baissa son Zac et ordonna a son équipe de faire de même. Le groupe obéi avec quelques secondes d'hésitations. elle fit alors un pas en avant sa longue robe traînante au sol, toujours sous la menace des armes de l'équipe de sécurité.
HAMMON : Mais qui êtes-vous ?
FEMME : Colonel, Share Jackson O'Neil d'SG1 au rapport, mon général.
Cette déclaration laissa place à un silence choqué prendre place quelques instants...
JACK : Et bien celle là on ne nous l'avait jamais faite !
**********
Daniel rentra dans l’infirmerie quelques minutes après avoir quitté les remarques douteuses de Jack. Eh ! Bien oui il s’était porté volontaire pour voir ou en était les analyses et non ce n’était pas à cause de la nouvelle assistante de biologie organique ! Il n’y avait qu’une seule personne qui l’intéressait entre les murs gris de l’infirmerie de la base et ce n'était sûrement pas cette blonde décolorée !
Comme à son habitude même si cette fois ci il avait une raison officielle il fit bien attention à ce que personne ne le remarque puis il rentra...
Elle était là... Un ange penché sur un rapport aussi long qu’un traité sur les Hittites ! Le jeune homme aimait la façon dont elle se tenait, son air concentré et même cette habitude qu’elle avait de se passer la main dans les cheveux. Il aimait tout en elle...
Parfois il avait envie de le crier au reste de la planète et même au reste de la galaxie par la même occasion. Ils étaient ensemble depuis près d’un an et pourtant personne ne se doutait de leur relation. De leur complicité, éventuellement... mais pour le reste...
Puis alors qu’elle allait prendre un nouveau dossier, elle posa ses superbes yeux vers sur Daniel et sourie instantanément en voyant l’archéologue nonchalamment appuyé sur le chambranle de la porte.
JANET : Tu es là depuis longtemps ?
DANIEL : Quelques instants...
JANET : Ah !... Et vous en êtes où ?
DANIEL : Toujours à la case départ. On a un nom et des tas de chiffres...
La jeune femme se leva et s’approcha avec une mimique amusée. Elle aimait bien l’entendre raller contre l’armée, même à mots couverts. Cela les lançait le plus souvent dans de longues conversations qui finissait généralement par un baisé passionné réconciliant l’armée et la vie civile sans équivoques. La jeune femme le trouvait si... humain. A lui tout seul il était une véritable bouffé d’oxygène !
Parfois elle regrettait, elle aussi que leur histoire ne soit pas au grand jour mais c’était une décision, qu’ils avaient pris dès le début de leur relation. Et après alors que pour eux tout paraissait simple, le reste du monde se compliquait. Ce n’était jamais le bon endroit, le bon moment...
Seule Cassandra était au courant... Et pour Janet ces deux là étaient sa famille et cela leurs donnaient un équilibre perceptible par tous même ceux qui ne les croyaient qu’amis.
DANIEL : Tu as fini les analyses ?
JANET : (proche de Daniel) Non, pas encore. Ils ne sont pas fichés mais pour le reste il ne faut plus de temps.
DANIEL : Mais tu crois qu’ils peuvent vraiment venir du futur ?
JANET : C’est possible...
DANIEL :...
JANET : Ca te préoccupe ?
DANIEL : On ne peut rien te cacher ! C’est cette Share Jackson O’Neil, c’est qu’en même troublant...
JANET : Ca te vas bien...
DANIEL : Quoi ? Oh !
Mais il n’eut pas le temps de poursuivre car le médecin avait pris l’initiative de déposer ses lèvres sur celles de Daniel, en toute innocence comme elle savait si bien le faire. Daniel oublia tout pour ne plus penser qu’à Janet. Passant ses mains dans le dos de la jeune femme il l’enlaça comme s’il n’allait plus jamais la laisser repartir de la douce étreinte de ses bras.
JANET : (toujours dans la même position) Arrête de t’en faire.
DANIEL : Tu as raison. On saura bien un jour ou l’autre de quoi il en retourne... Et toi ça vas mieux que ce matin ?
JANET : (avec un sourire) Oui, bien mieux...
Elle ne voyait pas comment le lui dire... Elle s’en était doutée surtout avec huit ans d’études de médecine derrière elle. Mais là c’était le moment : proche...
Puis par réflexe plus qu’autre chose il se séparèrent dès qu’ils entendirent l’arrivé d’une personne. Daniel lui adressa un pauvre sourire pour s’excuser alors qu’il n’y était pour rien.
C’était un soldat...
SOLDAT : Vous êtes demandé en salle de briefing professeur Jackson.
DANIEL : J’arrive.
**********
Daniel rerentra en salle de briefing en faisant comprendre d’un signe de tête au général que les résultats des analyses n’étaient pas prêtes puis il alla s’asseoir à côté de Teal’c.
La confrontation n’avait pas vraiment évoluée depuis son départ et il sentait que Jack était à deux doits de perdre son sang froid.
JACK : Vous ne savez pas dire autre chose que votre nom et votre matricule, colonel.
La jeune femme soutenait le regard de Jack avec une lueur de défi dans les yeux et même avec une certaine arrogance qui n’était pas sans rappeler à Hammon l’attitude de son propre colonel.
JACK : Alors ?
SHARE : Je refuse de répondre, mon géné... colonel et mon équipe ne vous dira rien de plus.
Tout le monde avait remarqué l’hésitation de la jeune femme qui n’avait pourtant pas cillé. Hammon ne put retenir un sourire en coin devant l’air un peu déstabilisé de son colonel. Et c’est le major carter qui poursuivie avec plus de diplomatie tout en restant directe.
SAM : Mais vous venez du futur ?
Seul le silence lui répondis. Mais dans ce cas un silence qui valait plus que des mots.
SAM : Mais vous ne pouvez rien dire à cause des paradoxes temporels...
UN DES HOMMES : C’est exact professeur.
SHARE : Silence Lieutenant !
LE MEME : Mais mon colonel...
SHARE : La ferme Tommy !
Mais Sam avait au moins sa confirmation et puis il l’avait appelé "professeur " ! Sam tournait cette réponse dans tous les sens possibles sans réellement comprendre. Ca voulait au moins dire qu’elle serait toujours là dans trente ans !
La jeune femme avait parlé sur un ton qui n’avait laissé aucune ambiguïté, elle avait donné un ordre !
SAM : Oui mais il va vous falloir regagner votre époque et sans notre aide je ne vois pas bien comment vous allez pouvoir y arriver. Mais pour ça il faut nous dire d’où vous venez et qui vous êtes !
La jeune femme sembla réfléchir à cette possibilité puis elle s’adressa à un des membres de son équipe comme si elle ne tenait plus compte de SG1 et du général Hammon.
SHARE : Alors lieutenant, une explication ?
LIEUT : Ca pourrait être plein de chose mon colonel. La porte a put être frappée par une décharge d’énergie ou bien une éruption comme à l’époque de vos... enfin comme ça c’est déjà produit mon colonel.
SHARE : Bref vous n’en savez rien.
LIEUT : (avec un léger sourire) Affirmatif, mon colonel.
JACK : Si on vous dérange vous pouvez le dire !
Mais pourtant il restait fasciné. Ils leur semblaient comme entrevoir leur avenir à travers eux. Mais même Hammon était d’accord. il fallait qu’ils leur parlent sinon ils ne pourraient rien faire !
Puis la jeune femme s’adressa au métisse dans une langue que même Daniel ne comprit pas. Ce dernier souleva un sourcille à la façon de Teal’c puis après avoir pris son temps il lui répondit dans la même langue.
La jeune femme soupira.
SHARE : Ca ne me plaît pas ! On ne peut pas prévoir les conséquences d’une modification même infime ! En laissant nous pourrions changer tout l’avenir ! (son regard s’attarda quelques instant sur Daniel puis comme troublée, elle se força à redevenir impassible et à regarder Hammon) Bien mais on a pas trop le choix... Comme vous le savez déjà, je suis le colonel Share Catherine Samantha Jackson O’Neil de l’air force et je commende SG1. Ensuite vous avez Bratar alias le major Benjamin Meurey.
C’était le jeune métisse. Il avait la peau couleur chocolat et une forte carrure qui le rendait assez imposant.
SHARE : Puis le lieutenant Thomas William Hammon, astrophysicien...
La surprise était de taille pour le général Hammon. Il connaissait bien le petit Tommy ! C’était le fils de sa fille Sara, enfin ça c’est quant elle l’aura mis au monde dans deux mois environs ! Le général se retrouvait donc devant ce grand jeune homme d’un mètre quatre vingt quinze aux cheveux blonds comme les blés alors qu’il ne le connaissait que grâce à des échographies !
SHARE : Et pour finir le professeur Mickael Pierson, archéologue...
L’archéologue était un jeune homme d’à peine 30 ans. Grand, les cheveux bruns, il ressemblait plus à un joueur de foot américain qu’à un rat de bibliothèque !
HAMMON : (encore un peu sous le choc) Et de quelle année venez-vous ?
THOMAS : Pour nous on est en 2034... mon général.
JACK : Wouaa ! 2034 ! Et vous avez les résultats sportifs des 30 dernières années en mémoire bien entendu !
Share eut un pauvre sourire nostalgique.
MICKAEL : Et on peut savoir en quelle année nous sommes ?
JACK : En cette bonne vielle année 2001 !
Le groupe se regarda pour finalement rester sur le colonel, le leur.
SHARE : Je n’y peux rien ne me regardé pas comme ça !
SAM : Vous pouvez nous dire dans quelles conditions vous avez passé la porte ?
Share fit un geste pour inviter le major Hammon à répondre.
THOMAS : Nous étions en mission de récupération. Sur le retour à la porte nous avons rencontré une forte opposition et nous avons dut passer la porte sous un feu nourris. Nous ne savons pas ce qui c’est passé nous étions toujours en contacte radio avec la base juste avant de franchir le vortex. La bonne, celle de 2034 !
SAM : Donc la porte à très bien pu être frappé par un tir ?
THOMAS : C’est tout à fait possible... major.
SAM : Donc il faudrait faire l’analyse complète du spectre du vortex pour trouver...
Mais déjà seule deux personnes suivaient cette conversation. Voilà que Carter c’était trouvé un nouvel ami qui comprenait ce qu’elle disait. Et puis Jack trouvait que ça lui allait très bien cet air passionné. Elle était superbe...
Share elle ne pouvait détacher du regard Daniel qui tentait de comprendre ce que disait Sam et Thomas. Cela lui semblait irréel. Elle avait l’impression d’être redevenue une petite fille...
Puis le général se força à sortir de ses propres rêves pour faire de même avec les autres.
HAMMON : Bien je propose que le lieutenant Hammon et le major Carter travail dans ce sens et de faire le point ce soir. D’ici là rompez !
Puis il se leva et se dirigea vers son bureau avec un dernier regard pour ce jeune homme qui était en réalité son petit-fils.
Sam et Thomas se levèrent aussi et partir pour le labo de Sam après que Share lui ai donné la permission d’un geste de la main. Daniel lui se leva aussi pour aller rejoindre Janet et finir la conversation, qu’ils avaient interrompu mais aussi à cause de celle-ci car il fallait absolument qu’il lui en parle !
Il resta donc dans la salle de briefing deux colonels O’Neil, Bratar, Teil’c et Mickael.
JACK : Alors comme ça je suis général ?
SHARE : Peut-être bien.
JACK : C’est pas que je mes en doute ce que vous dites mais c’est pas vraiment mon style moi je serais plus coure martiale.
SHARE : L’un n’empêche pas l’autre.
Jack ne savait pas trop comment régir. Il était en train de se faire prendre à son propre jeu !
JACK : Vous, vous me connaissez bien !
SHARE : C’est possible.
Mickael éclata de rire et il eut droit en retour à un regard furibond de son chef d’équipe.
MICKAEL : Arrêtez ! Ca ne sert à rien ! Même sans trop en dire sur l’avenir on ne peut pas cacher que tous les deux vous êtes les mêmes !
Teal’c arqua un sourcille.
JACK : Les mêmes ?
SHARE : (comme une menace) Mick...
MICKAEL : Quoi ? Share O’Neil ? Ca se voit jusque dans ton nom que tu as été élevé par les O’Neil ! Et je ne parle même pas du caractère !
SHARE : Et qu’est-ce qu’il a mon caractère ?
MICKAEL : Mais rien.
JACK : Alors c’est moi qui vous ai élevé ?
SHARE : Oui, (avec un regard assassin pour Mickael) mais tout le monde l’avait déjà vu puisque c’est si frappant ! Et arrête de sourire comme ça Bratar !
Le jeune homme n’avait strictement rien dis pourtant son expression voulait tout dire. En plus elle rappelait étrangement quelqu’un à Jack...
SHARE : Bien ! Je suis votre fille adoptive ! Voilà c’est fait maintenant que cela est classé, on peut passer à autre chose !
Elle se leva et tout le monde l’imita. Jack reconsidéra cette femme. Sa fille adoptive voilà qui mettait cette histoire sous un autre jour. Et puis colonel, commandant d’SG1 ! Comme quoi la tradition O’Neil n’était pas si détestable que ça...
SHARE : J’espère que le mess est toujours au même endroit. J’ai une faim de loup !
**********
Daniel retrouva Janet dans ses cartiers comme ils en avaient l’habitude. Elle était déjà là à l’attendre allongé sur le lit en feuilletant un des livres d’archéologie, que Daniel avait laissé traîné. A l’arrivé du jeune homme elle délaissa le livre mais ne changea pas de position. Daniel s’assit près d’elle et lui caressa la joue...
DANIEL : Alors cette matinée ?
JANET : Rien de bien palpitant et la tienne ?
DANIEL : 2034.
JANET : 2034 ?
DANIEL : Oui c’est de là que viennes nos mystérieux visiteurs.
JANET : Et ?
DANIEL : Et rien. Sam se retrouve à chercher la solution avec le lieutenant Hammon et les autres se regardaient dans le blanc des yeux quand je suis parti.
JANET : Tu n’es pas resté ?
DANIEL : Non, j’avais envie de te voir.
JANET : (se rapprochant de Daniel) Et tu as préféré me voir plutôt qu’une des plus grandes énigmes de l’histoire ?
DANIEL : Oui et puis, je les retrouverais pour le déjeuné. Et puis j’avais l’impression que tu avais quelque chose à me dire depuis ce matin...
Janet sourit. C’était bien son Daniel, ça ! Toujours à l’écoute. Et puis avec elle, il sentait quant elle avait quelque chose à lui dire. Il savait la mettre à l’aise.
Daniel comprenant que Janet devait lui dire quelque chose de très important, il s’allongea près d’elle pour pouvoir la regarder dans les yeux.
Il remit une mèche rebelle en place et lui demanda gentiment :
DANIEL : Qui y a-t-il mon ange ?
JANET : C’est à propos de mes malaises...
DANIEL : Oui mais tu m’as dis que ça allait maintenant. Tu n’as rien de grave ?
Janet ne put que sourire devant l’air préoccupé et attentionné de son compagnon.
JANET : Non, non... C’est juste que... Et bien voilà je suis enceinte !
Daniel resta interdis quelques secondes puis il enlaça Janet plus près.
DANIEL : C’est vrai ? Oh ! Mon Dieu, c’est... c’est...
JANET : Tu es heureux ?
DANIEL : Si je suis heureux ? Je ne l’ai jamais été autant !
Puis Daniel la lâcha quant il réalisa qu’il l’étouffait presque.
DANIEL : Pardon ! Je t’ai pas fait mal ?
Janet ne put que rire devant les réactions de Daniel.
JANET : Je suis enceinte Daniel pas en sucre !
DANIEL : C’est juste que... Wouaa ! C’est fantastique ! Et puis c’est aussi l’occasion que je voulais de puis longtemps.
Le jeune homme se leva et alla chercher quelque chose dans sa commode. Puis alors que Janet se leva sur un coude pour voir ce qu’il faisait, elle eut la surprise de le voir se mettre à genoux et de lui prendre les mains.
DANIEL : Janet Fraiser, voulez-vous être ma femme ?
Janet sentait les larmes et l’émotion la submerger. Daniel tenait une superbe bague ou trônait un solitaire...
JANET : Je ne sais pas quoi dire...
DANIEL : Dis oui...
JANET : Oh ! Oui, Daniel de tout mon coeur oui !
Daniel lui passa la bague et l’embrassa. Cette bague avait appartenu à sa mère et c’était l’une des rares choses qu’il possédait d’elle. Il voulait la voir porter par la femme qu’il aimait...
Puis le couple se força à s’arrêter pour juste se prendre dans les bras. Janet était contre le torse de Daniel et ce dernier lui caressait les cheveux avec tendresse.
JANET : Il va falloir le dire aux autres cette fois ci.
DANIEL : (déposant un baisé dans ses cheveux) Oui. Comme ça je n’aurais plus à subir les insinuations sur l’assistante de biologie organique !
JANET : (joueuse) C’est vrai que je trouve qu’elle te regarde avec beaucoup trop d’insistance !
DANIEL : Eh !
JANET : Je plaisante ! Mais il va vraiment falloir le leur dire.
DANIEL Très bien !
Puis dans un bon Daniel se leva entraînant sa compagne avec lui.
JANET : Quoi maintenant ?
DANIEL : On n’a déjà attendu près d’un ans alors maintenant c’est très bien !
JANET : Et on va voir qui ?
DANIEL : Je pense que le général et quelques autres personnes suffirons et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire toute le base sera au courant !
JANET : Tu es fou !
DANIEL : Oui de toi !
A suivre...
Dites moi ce que vous en pensez, c'est important...